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  1. À plusieurs reprises, les dirigeants le groupe franco-néerlandais ont fait savoir qu'ils observeraient toutes les opportunités se présentant à eux. Pour en lire plus...
  2. Les deux organismes de financement hypothécaire viennent de vendre pour 3 G$ US de titres de dette de court terme, ce qui donne à penser qu'ils peuvent se financer sans aide du gouvernement. Pour en lire plus...
  3. Les quelque 42 analystes de la Banque du Canada sont sévèrement critiqués par des experts indépendants, qui déplorent qu'ils soient mal dirigés et sous-payés. Pour en lire plus...
  4. mtlurb

    Réunion 101

    Une mer de travailleurs roulent des yeux ou soupirent chaque fois qu'ils sont convoqués à une nouvelle réunion. Quand ils ne grognent pas. Pour en lire plus...
  5. L'Association des hôtels du grand Montréal lance un appel pressant aux employés afin qu'ils se prononcent au plus tôt sur les propositions patronales. Pour en lire plus...
  6. Confrontées à la hausse fulgurante du coût du kérosène, British Airways et Iberia annoncent qu'ils discutent d'une fusion. Pour en lire plus...
  7. Un groupe d'investisseurs veut intenter un recours collectif alors qu'ils accusent l'institution d'avoir manqué de transparence quant à son exposition aux «subprime». Pour en lire plus...
  8. Les États-Unis offrent de plafonner à 15 milliards de dollars par an les subventions qu'ils accordent aux agriculteurs afin de débloquer les discussions à l'OMC. Pour en lire plus...
  9. En février, la province a autorisé les Albertains à vendre l'excédent de l'électricité qu'ils produisent. La pratique reste marginale. Pour en lire plus...
  10. La Cour suprême s'est prononcée hier en faveur du congédiement par Hydro-Québec d'une employée malade qui avait manqué 960 jours de travail entre 1994 et 2001. Le jugement, qui rappelle que les employeurs doivent faciliter la vie aux employés malades, souligne qu'ils n'ont pas pour autant à «modifier de façon fondamentale les conditions de travail d'un salarié». Pour en lire plus...
  11. De plus en plus de pêcheurs au Nouveau-Brunswick partent chercher du travail dans l'Ouest canadien pour compenser les pertes qu'ils subissent en pratiquant la pêche. Pour en lire plus...
  12. «Le Québec est le paradis du recours collectif», entend-on, pour signifier qu'ils sont trop facilement autorisés et trop nombreux. Pour en lire plus...
  13. L'ancienne coalition régionale pour la défense des consommateurs de carburant sont heureux d'avoir maintenant la preuve de ce qu'ils prétendaient il y a 10 ans. Pour en lire plus...
  14. L'ancienne coalition régionale pour la défense des consommateurs de carburant sont heureux d'avoir maintenant la preuve de ce qu'ils prétendaient il y a 10 ans. Pour en lire plus...
  15. Des immigrants ignorent l'obligation de déclarer leurs revenus Photo archives, La Presse Dean Beeby La Presse Canadienne Ottawa Un immigrant de fraîche date sur trois n'ayant jamais produit de déclaration d'impôt ignorait tout de cette obligation ou ne savait tout simplement pas comment faire, indiquent des recherches internes pour l'Agence du revenu du Canada. Selon cette étude, qui a impliqué des groupes de consultation rassemblant au total plus de 500 personnes, près de la moitié de ces nouveaux venus ne savaient pas qu'ils devaient déclarer la totalité de leurs revenus de partout à travers le monde et pas seulement de leurs revenus canadiens. «Les résultats de l'étude démontrent que l'obligation de déclarer les revenus provenant de partout à travers le monde était plutôt mal connue», mentionne un rapport dont La Presse Canadienne a obtenu copie en vertu de la Loi sur l'accès à l'information Des sondages remplis de façon anonyme par des immigrants arrivés ici récemment ont montré que la plupart, soit près des deux tiers, n'avaient jamais rempli une déclaration canadienne d'impôt sur le revenu. Plusieurs de ces immigrants étaient des étudiants à faibles revenus, qui n'avaient pas à produire une déclaration. Mais 16,5% d'entre eux n'en ont pas faite parce qu'ils ignoraient qu'ils avaient à le faire, et 16,1% n'ont pas réussi à remplir les formulaires plutôt complexes parce qu'ils ne savaient pas comment s'y prendre. Les sessions ont été menées auprès de 10 groupes de consultation dans la région de Toronto en 2002. En tout, 522 personnes y ont participé. Le nombre relativement élevé de néo-Canadiens mal informés a incité les chercheurs à conclure qu'une campagne d'éducation serait tout indiquée. L'étude menée par l'agence fédérale, sa plus récente sur les nouveaux immigrants et leur familiarité avec leurs obligations fiscales, était un projet pilote. Il a vu le jour après après une mise en garde du vérificateur général dans les années 1990. Il avait constaté que le Canada ne percevait pas suffisamment d'impôts sur les revenus étrangers. Des consultations avec des professionnels de la fiscalité avaient confirmé le problème: plusieurs immigrants récents ne savaient pas grand-chose du système fiscal canadien. Les conclusions de l'étude de 2002 ont incité les responsables à organiser une deuxième série d'études auprès de groupes de consultation - à Montréal, Toronto et Vancouver - en vue, cette fois, d'élaborer une campagne multimédias à l'intention de tous les nouveaux immigrants. Revenu Canada espérait lancer sa campagne publicitaire cet été, mais elle a été reportée après la remise des conclusions des dernières consultations, effectuées en mai par la firme Ipsos-Reid. ================================================ La vraie question qu'il faut se poser, est pourquoi notre système d'impots et si complexe et quand le simplifiera-t-on?
  16. J'ai pensé que le commentaire suivant vous ferait plaisir: moi et mon épouse étions en vacance la semaine derniere; une croisiere sur la cote Ouest mexicaine. En discutant avec plusieurs couples d'américains a bord, j'ai été d'abord surpris que plusieurs ait visité Montréal. Ils ont tous vraiment aimé mais ce qui m'a le plus surpris, c'est que, sans exception, ils m'ont tous dits qu'ils avaient trouvé la ville tres propre! Ca change d'entendre ca!
  17. Le Journal de Montréal 27/11/2007 Déçus du manque de services offerts à Montréal et découragés par le prix des propriétés, deux tiers des jeunes adultes de la métropole la quitteraient ou songeraient à le faire pour s'installer en banlieue. Ces données, tirées d'un avis du Conseil jeunesse de Montréal (CjM), démontrent que la ville est loin d'avoir conquis le coeur des jeunes adultes de moins de 30 ans Parmi les 800 répondants, 26% ont affirmé vouloir déménager pour une meilleure offre de services sportifs et culturels en banlieue. Un peu plus de 30% ont mentionné vouloir malgré tout rester en ville et 40% ont dit qu'ils évalueraient les deux options. Les familles et les jeunes Si la problématique des familles qui désertent Montréal pour les banlieues est connue, les intentions des jeunes qui sont nombreux à vouloir partir le sont moins. «C'est la première fois qu'on les questionne directement, dit Mylène Robert, coordonnatrice du CjM. Ça nous permet de voir qu'ils ne trouvent pas assez de services en ville, notamment. «Un jeune artiste qui veut pratiquer la batterie dans son appartement peut difficilement le faire à Montréal, poursuit-elle. Il pourrait alors être attiré vers la banlieue.» Maisons et loyers trop chers Les prix des loyers et des maisons, beaucoup trop élevés, poussent aussi les jeunes adultes à s'établir hors de Montréal, qui devient de plus en plus une «ville de passage», selon le CjM. Hier, en point de presse, l'organisme a exhorté Marcel Tremblay, du conseil exécutif, d'agir dans ce dossier pour freiner l'exode de la jeunesse. «Nous entendons relever le défi du sentiment d'appartenance à notre ville et cet avis permettra à notre administration d'orienter certaines de ses interventions», a dit celui qui s'occupe notamment des services aux citoyens et de la jeunesse à la Ville.
  18. Quelle rivalité Québec-Montréal? Les seuls qui apprécient Montréal sont... des banlieusards! Les raffineries de l'est de Montréal et leur pollution Photothèque Le Soleil Pierre Desjardins Auteur et professeur de philosophie, Montréal On a beaucoup parlé de la rivalité Québec-Montréal: les gens de la ville de Québec perçoivent Montréal comme une grande ville où il se passe plein de belles et grandes choses et dont ils sont un peu jaloux. Disons que cette image remonte au temps de l'Expo 67 où, sous l'égide du maire Jean Drapeau, Montréal avait été propulsée au rang de métropole internationale; dans les années 60 et 70, rien ne semblait en effet vouloir freiner l'expansion de cette ville aux projets grandioses. Mais cette époque est depuis longtemps révolue et la ville de Québec n'a plus rien à envier à Montréal qui, depuis le fiasco financier des jeux olympiques de 1976, n'a cessé de dépérir. On a aussi beaucoup parlé de Montréal comme de la ville aux deux solitudes. Ce qualificatif reste cependant vrai. En fait, plusieurs l'ont dit, Montréal n'est pas une ville, mais deux villes : à l'ouest, la montagne, les arbres, les beaux quartiers et les boutiques de luxe. À l'est : peu d'arbres, des industries — ou ce qu'il en reste—, des manufactures, des quartiers pauvres, des logements insalubres avec une grande concentration de HLM. À ces deux solitudes, il faut en ajouter aujourd'hui une troisième: c'est celle des immigrants de plus en plus nombreux qui se regroupent en ghettos de part et d'autre du boulevard Saint-Laurent. Notons d'ailleurs que ce boulevard, dont on a tant chanté autrefois la poésie, est devenu une poubelle à ciel ouvert où rats et souris se croisent de jour comme de nuit. À Montréal, les seuls quartiers résidentiels que l'on retrouve sur la montagne n'appartiennent pas à Montréal comme telle mais à Westmount, ville anglophone ultra riche située en plein centre de Montréal et où l'on retrouve le revenu per capita le plus élevé au Canada. Toutefois, bien qu'ils profitent d'une vue superbe sur Montréal, son fleuve et ses environs, les habitants cette ville choyée préfèrent penser qu'ils ne font pas partie de Montréal ou du Québec, mais bien plutôt uniquement du Canada… Il faut dire à leur décharge qu'ils sortent très peu et que, lorsqu'ils vont au-delà du boulevard Saint-Laurent, c'est uniquement en groupe, un peu comme des touristes qui découvrent l'Amérique du Sud. On comprendra également que, ne parlant pas ou très peu le français, les Westmountais n'osent s'aventurer dans notre belle province et y découvrir ses paysages. En fait, lorsqu'ils voyagent, ils vont plutôt vers des destinations plus huppées comme Toronto, Vancouver ou Los Angeles. On peut d'ailleurs noter le même phénomène d'enfermement chez les immigrants de Montréal qui, plus pauvres et encore plus craintifs, ne sortent jamais de leur ghetto, sauf pour aller travailler. Montréal est par ailleurs la seule ville au monde où tous les habitants, de l'ouest comme de l'est, ont l'impression d'avoir le statut d'étrangers. Les anglophones ne peuvent plus comme autrefois s'identifier à Montréal parce qu'ils se sentent submergés par la plèbe de French-Canadians qui, à leurs yeux, prend aujourd'hui beaucoup trop de place. C'est sans doute ce qui explique que dès que nous franchissons les limites de Montréal à l'ouest, le boulevard René Lévesque se métamorphose soudainement en boulevard Dorchester et que les Arrêts se transforment vite en Stop. Mais d'autre part, à l'est, les francophones se considèrent eux aussi comme des étrangers dans leur ville, car ils ont l'impression que tout ce qui est beau et qui a de la valeur à Montréal ne leur appartient pas mais appartient aux Anglais, qui gardent le contrôle économique la ville. Montréal a beau s'afficher en français, il est vrai que les principaux moteurs économiques de la ville restent anglo-canadiens ou américains. Par ailleurs, chose pour nous sympathique, notons comment les immigrants de Montréal nous considèrent comme leurs frères, c'est-à-dire, tout comme eux, comme de frêles étrangers dans une ville anglophone. Les banlieusards se sentent vraiment montréalais! Finalement, les seules personnes qui se sentent vraiment montréalaises sont les gens de banlieue qui s'identifient complètement à Montréal. Dès qu'ils sortent de leur patelin, que ce soit Laval, Brossard ou Longueuil, ils vous diront tous en chœur qu'ils sont de fiers Montréalais. Car voilà bien la particularité d'une ville comme Montréal: c'est en n'y habitant pas qu'on l'apprécie ! L'originalité de Montréal ne s'arrête pas là: c'est la seule ville au Canada où les policiers n'appliquent aucun règlement municipal. Comment est-ce possible ? La surveillance policière est inexistante! Dans les rues de Montréal, on peut rouler à la vitesse que l'on veut et comme on veut. Les panneaux de circulation ont, semble-t-il, un but strictement décoratif! Personne n'est là pour les faire respecter. Rouler à 80 ou 100 km/h dans des zones de 50 est chose courante à Montréal. On n'a qu'à remonter la rue Saint-Denis ou la rue Notre-Dame pour s'en rendre compte. On parle de réduire le nombre de policiers à Montréal. Qui verra la différence ? Au fil des années, nos rues se sont transformées en une véritable jungle qui fait fuir les touristes. Les gangs de rue y font la pluie et le beau temps. La criminalité prolifère partout. La vente de drogues se fait à ciel ouvert. De plus, Montréal est bondée de jeunes psychiatrisés errants dont l'administration municipale refuse de s'occuper. Pas de vue sur le fleuve Soulignons en outre, qu'au contraire de Québec, à peu près nulle part à Montréal, on peut profiter de la vue sur le fleuve. Cette vue est complètement obstruée par des édifices et des condos tous plus laids les uns que les autres. On se demande d'ailleurs parfois comment on a pu réussir à construire une ville aussi laide sur un site aussi beau. Depuis des années, Montréal ne possède aucune ligne architecturale directrice. La ville va de grand projet en grand projet qu'elle abandonne l'un après l'autre faute de fonds. Elle n'a aucun plan de développement à long terme. Si ce n'était de sa situation géographique stratégique, à cheval sur le Saint-Laurent entre l'Atlantique et les Grands Lacs, Montréal serait une ville morte. Aujourd'hui, elle doit son existence uniquement au commerce extérieur car, depuis le référendum de 1995, elle s'est vidée de ses sièges sociaux et de ses industries au profit de Toronto. À ce titre, c'est Montréal beaucoup plus que Québec ou le reste de la province qui a payé pour l'échec référendaire... Et c'est ce qui en fait aujourd'hui une des villes les plus pauvres au Canada. Ce sont les cols bleus qui dirigent la ville... Après l'ère Drapeau, Montréal a vu un laisser aller total de ses administrations municipales. Le maire Tremblay ne dirige pas plus la ville que les maires Bourque et Doré ne l'ont fait. Ce sont plutôt les 8000 cols bleus, solidement regroupés en mafia syndicale, qui dirigent Montréal et qui, depuis des années, comme moyens de pression, paralysent volontairement tous les services municipaux. L'administration Tremblay est une administration fantoche qui n'a aucun pouvoir sur les services offerts aux montréalais. Le réseau routier tombe en désuétude. Les rues défoncées sont réparées à vitesse de tortue. Des déchets jonchent le sol partout. On retrouve ici et là des poubelles certes, mais personne ne les vide. Les cols bleus sont trop occupés, nous dit-on à la ville, au ramassage des ordures ménagères. Avez-vous déjà suivi un de leurs camions? Les sacs de plastiques sont nonchalamment projetés dans le camion et lorsque la cible est ratée, le sac éventré se retrouve par terre. Et l'on ne ramasse rien! Ce seront aux rats et aux écureuils de finir la job, si ce n'est aux quêteux ou aux itinérants. Au niveau des transports, aucun progrès n'a été réalisé depuis des années. Pire : alors que Montréal pouvait autrefois compter sur deux aéroports, on a fermé le plus gros et les usagers se retrouvent coincés dans un petit aéroport qu'on a tenté de ravaler tant bien que mal. Un énorme bouchon Pour ce qui est des responsables de la circulation de la ville, ils font tout pour s'assurer que rien ne fonctionne. L'été, pendant la période des festivals, tout le centre-ville forme un énorme bouchon de circulation. Aucune coordination n'existe. Contrairement à Québec où les évènements sont coordonnés, les festivals sont devenus une véritable plaie à Montréal: plutôt que de les concentrer dans un lieu moins achalandé comme le Vieux-Port, on bloque les rues principales, provoquant alors une pollution automobile et sonore incroyable qui nuit aux activités normales de la ville. De plus, pour de soi-disant travaux, on ferme des artères importantes sans se soucier des conséquences que cela peut avoir sur les commerces environnants. Des rues commerçantes restent ainsi fermées pendant des mois sinon des années pour des travaux mal gérés par les ingénieurs de la ville. Voulant éviter ce bordel de circulation automobile, vous choisirez peut-être de garer votre voiture sur une petite rue tranquille. Bonne chance ! Sur chaque rue, un nombre démentiel de panneaux d'interdiction de stationnement, tous plus incompréhensibles les uns que les autres, ont été installés dans le désordre le plus complet. Vous n'arriverez jamais à y comprendre quoi que ce soit !
  19. Plusieurs bijoux du patrimoine Montréalais n'ont pas survécu au temps. Soit à cause du feu ou parce qu'ils ont été tout simplement laissés à l'abandon puis détruit. Beaucoup sont aussi devenus inutiles et enfin, plusieurs n'on pas survécu aux promoteurs.voila lien ou il ya les photoshttp://www.imtl.org/montreal.php?vsearch=1&expo=DISPARU&m=Les%20bâtiments%20disparus%20de%20Montréal
  20. BILLETERIE DE DERNIÈRE MINUTE Bon pour Broadway, bon pour nous David Patry Le Journal de Montréal 09-10-2007 | 10h49 Montréal inaugure demain sa billetterie de dernière minute, La Vitrine culturelle, 34 années après que le premier guichet du genre eut ouvert ses portes, à New York. Le TKTS est devenu une institution incontournable dans la Grosse Pomme, et il est difficile de croire que la métropole québécoise ait pu s'en passer. Depuis son ouverture à New York, en juin 1973, la billetterie de dernière minute TKTS jouit d'un incroyable succès. Des centaines de personnes se présentent chaque jour en plein coeur de Times Square à la recherche d'un billet de spectacle à prix d'aubaine. Les éternelles files d'attente devant la remorque du TKTS font maintenant partie du paysage new-yorkais. Et les chiffres ont de quoi faire rêver. En 34 ans, 50 millions de billets ont trouvé preneurs au TKTS, ce qui représente des recettes de plus de 1,3 milliard de dollars. Indispensable «C'est un véritable symbole des théâtres de Broadway et de New York. Sans le TKTS, il y aurait beaucoup moins de monde dans les salles, il y aurait également beaucoup moins de gens qui auraient été familiarisés aux spectacles», indique Victoria Bailey, directrice principale du Theatre Development Found, organisme sans but lucratif à l'origine du TKTS. Selon elle, la billetterie a permis à des millions de personnes de goûter à un spectacle pour la première fois et d'avoir la piqûre. «Ils n'y seraient pas allés autrement parce qu'ils n'en avaient pas les moyens», affirme-t-elle. Pour les uns, c'est une façon d'économiser. Pour les autres, c'est un lieu de rassemblement. «Les gens font la ligne tout en parlant entre eux des spectacles qu'ils ont vus, qu'ils ont aimés. C'est une véritable communauté qui crée un enthousiasme autour des spectacles», dit-elle. Situation gagnant-gagnant Visiblement passionnée, l'administratrice nous fait l'éloge au bout du fil de son établissement et de son impact sur la vie culturelle new-yorkaise. Même les producteurs tirent avantage à écouler leurs billets de 25 à 50% moins cher. «Les théâtres vendent autant de billets qu'ils le peuvent au plein prix. Ce ne sont que les billets restants qu'ils écoulent à la dernière minute en les offrant à rabais», explique Victoria Bailey. «C'est bon pour la santé des spectacles, et c'est très bon pour les spectateurs. Donc tout le monde y gagne.» Avec tous ces avantages pour le milieu culturel, difficile de croire que Montréal ne se soit pas encore doté d'une billetterie de dernière minute. De nombreuses villes dans le monde ont la leur, dont Londres, Boston et Toronto. Montréal lancera la sienne demain. «Je suis surprise que vous n'en ayez pas encore. Je pensais que ça allait arriver plus tôt!» lance Victoria Bailey, qui se dit fort heureuse que l'expérience new-yorkaise fasse un nouveau bébé. Championne mondiale incontestée, la billetterie de Times Square se refait justement une beauté en ce moment. Un projet impliquant plusieurs partenaires est en cours afin de doter le TKTS d'un tout nouvel édifice permanent. Un investissement de 14 M$ qui démontre toute l'importance que l'établissement prend dans le décor culturel new-yorkais
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