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  1. Il est intéressant de noter que ces temps-ci il y a un immense boom planétaire de constructions de grande échelle et de grande hauteur... pas juste Dubai et Shanghai, mais aussi beaucoup beaucoup beaucoup d'autres villes : http://www.skyscrapercity.com/showthread.php?t=635755 Pour ceux qui sont intéressés par ces développements spectaculaires, je pense qu'ils parleront de Shanghai aux Grands Reportages à RDI ce soir 20h.
  2. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/05/18/007-cite-memoire-multimedia-vieux-port-montreal.shtml Cité Mémoire, un hommage tout en émotion pour Montréal Publié le mercredi 18 mai 2016 à 17 h 00 | Mis à jour le 18 mai 2016 à 19 h 40 Le reportage de Valérie-Micaela Bain Depuis mardi soir, les gens qui se promènent dans le Vieux-Montréal peuvent admirer 19 tableaux multimédias qui relatent l'histoire de Montréal. Cité Mémoire est un parcours conçu par des créateurs québécois qui nous fait découvrir des évènements et des Montréalais qui ont marqué la ville à leur manière. À la tombée de la nuit, des personnages et des évènements marquants de l'histoire de la métropole apparaissent dans le Vieux-Montréal. La Susan de Leonard Cohen, l'aubergiste Joe Beef et la féministe Éva Circé-Côté prennent vie au sol, sur des façades et même sur des arbres. Les concepteurs Victor Pilon, Michel Lemieux et Michel Marc Bouchard ont créé un parcours urbain spectaculaire et intime en 19 tableaux. « Ces gens-là qui ont construit, rêvé, bâti Montréal sont encore dans les murs, dans les briques, dans les parois, dans la pierre de Montréal, et on s'est dit qu'on veut que ces personnages-là émergent des murs et qu'ils viennent nous raconter un peu de leur histoire, de ce qu'ils ont vécu », explique Victor Pilon Des légendes montréalaises comme Maurice Richard et Émile Nelligan font partie du parcours, mais Cité Mémoire rend aussi hommage aux personnages méconnus qui ont composé l'ADN de Montréal. Jackie Robinson, le premier Noir de la Ligue majeure américaine de baseball, et l'esclave Marie-Josèphe Angélique en sont de bons exemples. Victor Pilon et Michel Lemieux On essaie de toucher les gens par des émotions et par l'émotion, les gens s'identifient à Jackie Robinson par exemple. Michel Lemieux Les visiteurs parcourront le circuit de 5 kilomètres grâce une application mobile sur téléphone ou tablette et des écouteurs. Plus de 200 comédiens, danseurs, acrobates, musiciens ont participé au tournage des fresques. Le dramaturge Michel Marc Bouchard a choisi et mis en scène les personnages en plus d'écrire les textes. Michel Marc Bouchard On a tenté dans ce qu'on présente d'avoir une espèce d'unicité par rapport à Montréal, quelque chose qui n'appartient qu'à Montréal. Michel Marc Bouchard Cité Mémoire, une oeuvre de 20 millions de dollars unique au monde et majoritairement financée par des fonds publics, constitue un des legs du 375e anniversaire de Montréal. Elle sera présentée 10 mois par année, et ce, pour les quatre prochaines années. La poésie de l'oeuvre émerveillera sans aucun doute chacun des visiteurs.
  3. Je crois qu'ils refont la façade au complet. Autrefois : https://maps.google.ca/maps?q=google&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.53002,-73.621426&spn=0.001593,0.004128&oe=utf-8&client=firefox-a&hq=google&hnear=Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&t=m&z=19&layer=c&cbll=45.530048,-73.621573&panoid=Skd2hNbu4nnp6CPQvERoSA&cbp=12,40.84,,0,-12.81 Maintenant :
  4. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  5. Les Canadiens sont toujours en voie d'atteindre une année record en ce qui a trait au niveau d'endettement personnel, même s'ils ont terminé 2013 en réduisant légèrement la somme d'argent qu'ils doivent à leurs créanciers, a indiqué mercredi l'agence de surveillance du crédit TransUnion. À la fin de l'année, les Canadiens cumulaient en moyenne des dettes de 27 368 $ sur diverses lignes de crédit, cartes de crédit et prêts automobiles, a indiqué TransUnion dans une étude dévoilée mercredi. Ce montant est en baisse de 117 $, soit 0,42%, par rapport à celui de 27 485 $ du quatrième trimestre de 2012 - le plus haut niveau d'endettement jamais affiché, en excluant les dettes hypothécaires. «Nous nous sommes fait dire encore et encore et encore, de la part de tant de personnes, que nous devions réduire cette dette, mais nous n'y arrivons pas», a observé le vice-président des services d'analyse et de décision de TransUnion, Thomas Higgins. TransUnion prévoit toujours que la dette moyenne des consommateurs canadiens, en excluant les prêts hypothécaires, atteindra le sommet record de 28 853 $ d'ici la fin de 2014. «Il n'y a rien qui nous laisse croire que les niveaux d'endettements vont commencer à reculer de façon assez importante», a poursuivi M. Higgins depuis Toronto. «En ce moment, nous nous dirigeons toujours (vers une plus haute dette), certainement.» Les Canadiens ont commencé à accumuler des dettes dans les années précédant la récession de 2008, a expliqué M. Higgins. Selon lui, il faudrait que la dette personnelle des Canadiens diminue de façon soutenue d'entre 500 $ et 1000 $ sur quatre à six trimestres avant de pouvoir dire qu'une tendance à la baisse se dessine. Au cours du dernier trimestre de 2013, la dette sur les cartes de crédit et les lignes de crédit des consommateurs a légèrement reculé, a noté M. Higgins. Mais si les consommateurs ont moins dépensé pendant leurs courses des Fêtes, ce n'est que parce qu'ils ont profité de «meilleurs rabais», et non parce qu'ils ont volontairement réduit leurs dépenses, a-t-il estimé. L'étude a en outre montré que les taux de délinquance sur les prêts du trimestre terminé le 31 décembre avaient reculé, ce qui signifie que les consommateurs sont en mesure de faire les paiements minimaux sur leurs dettes. M. Higgins a cependant prévenu que si quelque pépin devait survenir et avoir un impact sur l'économie, les marchés ou les taux d'intérêt, les taux de délinquance seraient normalement les premiers à être touchés. Entre-temps, l'étude a permis de montrer que les résidents de Vancouver sont les Canadiens qui ont le plus augmenté leur endettement - il a atteint 41 077 $ à la fin de l'année, en hausse de sept pour cent par rapport à 38 357 $ en 2012. Les Montréalais, à l'inverse, ont réussi à réduire leur dette de 5,5% et celle-ci est passée de 19 651 $ à une moyenne de 18 563 $, la plus faible parmi les résidents des grandes villes canadiennes. Selon M. Higgins, les Vancouvérois jouissent généralement de salaires plus élevés qui leur permettent de contracter de plus grosses dettes, tandis que les consommateurs de Montréal économisent habituellement avant d'effectuer de gros achats, ou bien règlent leurs factures avec des cartes de débit. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/26/01-4742513-endettement-eleve-au-canada-mais-pas-autant-a-montreal.php
  6. Selon un sondage Léger pour le jdm. http://www.journaldemontreal.com/merveilles Les gagnants sont: Le fleuve St-Laurent Le fjord du Saguenay Le Jardin botanique de Montréal Les plaines d'Abraham Le Chateau Frontenac Les chutes Montmorency Le rocher Percé J'aurais aimé qu'ils fassent un vote séparé pour les sites naturels et les constructions. Note: parmi les nominés il y avait... le Carrefour Laval.
  7. Personne ou presque ne l'avait anticipée. Malgré une année 2011 morose en matière d'emploi et l'hémorragie qui s'est poursuivie vers la banlieue, l'île de Montréal a connu une hausse spectaculaire de la valeur des permis de construire. En un an, ceux-ci sont passés de 2,4 à 3,5 milliards, une augmentation de 45% selon le dernier rapport de Statistique Canada. Et meilleure nouvelle encore, ce ne sont pas les grands projets gouvernementaux comme le CHUM qui en sont responsables: les permis résidentiels et commerciaux expliquent presque à eux seuls cette surprise. «Montréal fait peau neuve, résume Chantal Routhier économiste au Mouvement Desjardins. C'est une belle effervescence, signe d'un beau dynamisme affiché par la métropole.» Les 19 arrondissements et les 15 villes liées de l'île ont accordé 12 532 permis de construction résidentielle l'an dernier, le plus haut total en plus de 20 ans. Il s'agit d'une hausse modeste de 6% en nombre absolu par rapport à 2010, mais de plus de 41% en matière d'investissements. La tendance est similaire pour le secteur commercial, dont les investissements ont pratiquement doublé en un an pour se chiffrer à 1,2 milliard. De gigantesques projets immobiliers comme l'Altoria, aux abords du square Victoria (152 unités sur 35 étages), l'Onyx dans Côte-des-Neiges (102 unités), le Centre de recherche du CHUM, le succès de secteurs comme Griffintown et les environs du Centre Bell expliquent cette hausse, estime Mme Routhier. Emploi et confiance À l'hôtel de ville, on accueille cette bonne nouvelle avec jubilation. «C'est un témoignage de la vitalité de la ville, c'est le fruit des choix stratégiques faits par l'administration en place, affirme Richard Deschamps, responsable du développement économique au comité exécutif de la Ville. Le fait de lancer un message crée un environnement, un cadre, un esprit qui va faire en sorte que les entrepreneurs viennent investir à Montréal.» Il rappelle que des projets structurants comme le Quartier des spectacles, l'Espace pour la vie ou le développement du Havre de Montréal ont donné le ton à ce dynamisme. Selon le Conference Board du Canada, plus de 24 000 logements ont été construits à Montréal dans les six derniers mois de 2011, «un niveau d'activité très solide», précise Mario Lefebvre, directeur du Centre des études municipales. La construction, surtout dans le secteur résidentiel, est un signe évident de santé économique, rappelle-t-il. «J'ai rarement vu un meilleur indicateur. Ça signifie que les gens sont confiants, qu'ils ont un emploi et qu'ils pensent qu'ils vont encore en avoir un demain.» Il s'attend à une diminution notable du nombre de permis délivrés en 2012, car le rythme de l'an dernier est «insoutenable». «On a senti un certain essoufflement au quatrième trimestre.» Selon le Conference Board, Montréal a connu une croissance «modeste» de son produit intérieur brut réel de 1,5% en 2011. Au Mouvement Desjardins, on évalue plutôt cette croissance à 3,8% pour le PIB nominal - qui tient notamment compte de l'inflation. Pourtant, la situation de l'emploi s'est détériorée l'an dernier, avec la perte de 43 000 emplois dans les sept derniers mois qui ont pratiquement ramené la métropole dans le creux observé lors de la récession en 2008. «Tout le monde se gratte la tête sur ces pertes d'emplois dans la deuxième moitié de l'année, note M. Lefebvre. Tous les autres indicateurs étaient solides. Tout le monde est sur le qui-vive pour les prochains mois.» Richard Deschamps assure au contraire que «ce n'est qu'un début». La conjoncture économique, les taux d'intérêt bas et les initiatives de la Ville comme Montréal 2025 devraient permettre de continuer sur cette lancée. «Ça fait plusieurs années que tout ça se prépare, il y a eu une période d'incubation et nous en profitons maintenant.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201203/01/01-4501593-construction-en-2011-une-annee-record-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4501755_article_POS2
  8. Chantelle Grady, Australienne parachutée à Montréal, vient de publier un des plus beau magazine jamais fait sur Montréal. Elle nous dit sur notre ville: ''J'aime qu'elle s'enroule autour de la montagne, j'aime les maisons de briques et leurs escaliers, j'aime les gens chaleureux et accueillants et qu'ils aiment la mode et le style!'' http://alittlerelish.com/magazine/
  9. Sur le site de l'ancien concessionnaire Clermont Chevrolet sur St-Denis entre les métros Laurier et Rosemont. Les rendus présentent une construction sur le vaste stationnement... je me demande ce qu'ils vont faire avec la batisse comme telle (qu'on voit à la droite de l'image) LE CLERMONT
  10. ok c'est pas une tour de 72 étages, mais encore un autre parmi une quantité constante année après année de beaux petits projets infill, celui-ci dans ce qui est l'un des plus beaux secteurs (le plus beau?) de Montréal - les environs du parc Molson à Rosemont. http://www.lebeaubiendesecores.com/ on réalise pas l'impact de ces bâtiments class et sobres, parce qu'ils sont discrets. mais depuis plusieurs années, leur multiplication commence à avoir un effet vraiment cool (rapiécement) sur la trame urbaine. celui-ci pourrait être un peu plus moderne, mais ça va.
  11. Voici un article qui relate la vente prochaine de la maison Louis-Hippolyte La Fontaine à des intérets chinois. Je trouve que c'est une bonne nouvelle et j'espère qu'ils feront bon usage de cette maison historique. Par contre, ce que je trouve intéressant dans l'article c'est que les acheteurs sont plus intéressé par la hauteur permise dans le secteur que la maison elle-meme. Donc j'assume ici qu'ils ont acheté le terrain et qu'ils sont intéressé par la construction éventuelle d'un immeuble de 35 étages. http://www.journalmetro.com/linfo/article/927632--la-maison-sir-louis-hippolyte-la-fontaine-sur-le-point-d-etre-vendue selon Dinu Bumbaru :
  12. UN autre pas vers une société ultra-socialiste...qui frôle le communisme! Bientôt je suppose que je vais devoir demander la permission du gouvernement ou d'un syndicat si je peux aller chier dans ma propre maison! Je n'ai pas de problème à ce que le gouv. investisse de l'argent pour éduquer les jeunes, mais commencer avec des interdictions, non merci. Nous ne vivons pas dans une dictature. Notre gouv. prend déjà assez de place comme ça. Pi si un morveux de 18 ans avec sa civic pi sa casquette à l,envers se fait pincer par la police pour un grand excès de vitesse, et bien qu'on lui enlève son permis pour 3-5 ans. Si il perd son permis à 18 ans, il ne pourra pas le récupéré avans l'age de 23 ans. Pourquoi chercher à pénaliser tout les jeunes! Il y a BEAUCOUP de jeunes qui ne font pas les imbéciles en auto. Pourquoi les pénaliser aussi! Pour ce qui est des jeunes à Drummondville qui se sont tués, si ils sont assez caves pour rouler à 140km/h dans une zone de 50km/h, et qu'ils sont saouls en plus et bien ils méritent de mourrir! Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/centre-du-quebec/201105/10/01-4397895-alcool-et-vitesse-au-volant-des-jeunes-un-coroner-reclame-un-couvre-feu.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1 Alcool et vitesse au volant des jeunes: un coroner réclame un couvre-feu Un coroner troublé par les ravages de l'alcool et de la vitesse au volant chez les jeunes recommande l'imposition au Québec d'un couvre-feu nocturne pour les conducteurs âgés de 16 à 24 ans. Cette recommandation du coroner Yvon Garneau prévoit cependant des exceptions pour les conducteurs devant se rendre à leur lieu d'étude ou de travail. Le coroner Garneau a enquêté sur un accident qui a tué quatre jeunes hommes de 17 à 22 ans le 10 octobre dernier, à Drummondville. L'analyse toxicologique a révélé que le taux d'alcoolémie du conducteur, Carl Francoeur-Ouellette, dépassait de près de deux fois la limite légale. De plus, l'enquête policière a démontré que le véhicule circulait à environ 140 km/h dans une zone de 50 km/h. Dans ses recommandations au législateur, Yvon Garneau rappelle que l'Ontario applique déjà une interdiction de conduire à de jeunes conducteurs entre minuit et 5h00, même si les dispositions de cette province touchent une catégorie d'âge plus restreinte. Il signale qu'au Québec, les jeunes de 16 à 24 ans sont responsables d'un excès de vitesse sur deux, qu'ils écopent de 34 pour cent des contraventions pour grande vitesse et qu'ils sont impliqués dans le quart des accidents avec blessés. Le coroner émet d'autres recommandations. En outre, il propose que tous les véhicules neufs vendus au Canada soient munis d'anti-démarreurs éthylométriques. Il suggère aussi que Transports Canada poursuive ses travaux étudiant la pertinence des dispositifs limitant la vitesse. Enfin, il recommande au gouvernement du Québec d'intégrer des cours de sensibilisation routière à la 6e année du primaire et tout au long du secondaire.
  13. Je propose un fil sur le thème des immeubles montréalais coup de coeur que chacun pourrait proposer en photos. Pas besoin qu'ils soient connus ou imposants, anciens ou modernes, ce peut être un simple duplex digne de mention notamment, ou tout autre type de construction. L'important serait qu'ils se distinguent par leur facture particulière et qu'ils soient pour vous un bel exemple de réussite, un secret bien gardé ou un exemple inspirant à suivre. Ce pourrait même être une découverte dans votre quartier ou ville ou région montréalaise, que vous souhaitez partager sur le forum.
  14. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/312376/rencontre-avec-henry-mintzberg-gourou-du-management-la-productivite-a-l-americaine-tue-les-entreprises#partager
  15. Salut ! J'aimerais avoir des photos de rosemont dans les 90'Ms, j'ai grandis dans le quartier, donc pas mal tout mes souvenirs y sont rattachés. Quelques unes que j'ai trouvé. Le Dauphin ! "Mon" Provigo ! La taverne "Donald duck" avec "Joe le roi de la patate" (Je viens de vois qu'ils ont retiré l'annonce ...) Vous voyez le genre ? C'est weird à dire mais c'est plus tough de trouver des photo su quartier qui date de 15 ans que de 50 ans...
  16. Après leur annonce du Rogers Arena à Vancouver pourquoi pas un Centre Rogers à Montréal avec un spectacle permanent du Cirque du Soleil maintenant qu'ils sont partenaires ? Ça serait pas mal du tout et j'ai l'impression qu'ils ont les poches profondes:highfive: ! En tout cas moi je m'abonne avec eux s'ils font ça ! http://smr.newswire.ca/fr/rogers-communications-inc/cirque-du-soleil-and-rogers-two-icons-of-innovation
  17. Atze

    Fox News s'excuse

    Fox News s'excuse La Presse canadienne Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Fox News, excuses, Forces armées, États-Unis (pays), Canada (Pays) Ottawa -- Un animateur du réseau américain de nouvelles continues Fox News a offert ses excuses aux Canadiens, hier, après que des commentaires formulés dans son émission eurent outré le gouvernement Harper. Greg Gutfeld, l'animateur de l'émission Red Eye, a affirmé que ses commentaires et ceux de ses invités «ont été mal compris», et qu'ils ne voulaient pas manquer de respect envers «les braves hommes et femmes» servant dans l'armée canadienne et leur famille. Au cours de l'émission Red Eye, l'animateur et plusieurs chroniqueurs ont fait des blagues sur les soldats canadiens, laissant notamment entendre qu'ils voudraient prendre une pause de la guerre en Afghanistan pour aller «faire du yoga, se promener sur les plages en bermudas et se faire faire une manucure», a lancé l'animateur Gutfeld. «Ne serait-ce pas le moment idéal pour envahir ce pays ridicule? Ils n'ont pas d'armée!» Les propos ont été tenus après que le chef d'état-major de l'armée canadienne, le lieutenant-général Andrew Leslie, eut indiqué qu'une fois terminé le retrait canadien d'Afghanistan, les militaires auraient besoin d'une année pour reprendre des forces. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241449.html (24/3/2009 9H06) Pour ceux qui voudraient voir le clip en question: http://www.youtube.com/watch?v=wPmXKEsm-HE
  18. Dans un discours important devant le Congrès, à deux jours de la présentation de son premier budget, le président américain affirme avoir confiance en ses concitoyens, mais ne cache pas qu'il faudra qu'ils fassent des sacrifices. Pour en lire plus...
  19. Montréal - «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen» Claude Lafleur Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le palais se trouve désavantagé par sa taille relativement modeste En plus de ses charmes culturels indéniables, sa gastronomie et ses festivals sont autant d'avantages en faveur de Montréal. Quiconque organise un congrès a une grande préoccupation: ceux à qui s'adresse ce congrès viendront-ils y assister? C'est en effet en rassemblant un nombre suffisant de participants que l'organisateur fera ses frais. C'est aussi en promettant une belle assistance qu'il convaincra des commanditaires d'y contribuer. Du nombre de participants dépend donc le succès (financier) de l'entreprise. Or l'un des grands avantages de tenir un congrès à Montréal serait que l'organisateur est pratiquement assuré que les participants viendront en nombre. La «qualité première de Montréal», indique Robert Cazelais, directeur des ventes du Palais des congrès, est qu'un congrès qui y est tenu connaîtra affluence. «Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les gens organisent un congrès à Montréal, dit-il, mais je dirais que la raison principale, c'est qu'ils savent dès le départ que l'affluence y sera.» Il est même très fréquent, ajoute-t-il, que les organisateurs «battent leur record». C'est ainsi que, lorsque les représentants de la Meeting Professionals International -- l'association des organisateurs de réunions et de congrès -- se sont rencontrés à Montréal en juillet 2007, ils ont brisé tous leurs records d'assistance. «Et pourtant, ce sont des gens habitués à voyager, des gens qui en ont vu d'autres!», de lancer fièrement M. Cazelais. Charme et efficacité Pourquoi vient-on en si grand nombre à Montréal? «Encore là, il y a plusieurs bonnes raisons, dont la sécurité, l'hospitalité et la propreté de la ville, d'indiquer Robert Cazelais, mais je dirais que la première raison est le fait que nous combinons à la fois le charme d'une ville européenne et l'efficacité de l'organisation à l'américaine.» C'est d'ailleurs ce que confirme Sherry Pagoto, responsable du programme du 30e congrès de la Société de médecine comportementale, qui aura lieu à la fin d'avril. «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen», dit-elle. Comme c'est la première fois que cette société américaine se réunit au Canada, pourquoi nous avoir préférés à Toronto ou à Vancouver? «Ce sont nos membres qui ont voté en faveur de Montréal, dit-elle. Ils nous ont dit qu'ils viendront à Montréal. Nous avons donc choisi Montréal et j'en suis ravie!» Résidante de Boston, Mme Pagoto raconte qu'elle nous a récemment visités et qu'elle a trouvé la ville «vraiment charmante». Montréal est perçue comme une ville européenne en raison de sa culture française, confirme-t-elle, «ce qui a beaucoup d'attrait pour nous. D'un point de vue américain, cela nous donne l'impression d'être un peu comme en Europe, ce qui nous semble être moins le cas pour les autres villes canadiennes.» Montréal, une ville propre «On retrouve à Montréal cette fameuse "joie de vivre" ou, je dirais plutôt, ce charme européen qui attire tant les Américains», d'enchaîner Robert Cazelais. Montréal est aussi une ville propre -- cleanliness, disent les anglophones. «"Propreté" dans notre façon de faire, dans notre accueil chaleureux et sincère envers tout le monde, dit-il. Nous sommes en fait considérés comme très ouverts envers les autres, quels qu'ils soient.» Même l'hiver et la neige seraient un attrait faisant partie de notre exotisme. «Nous faisons remarquer aux organisateurs de congrès que ce n'est pas parce qu'il y a de la neige en février que les participants ne viennent pas ici, relate le directeur des ventes du Palais des congrès. Ils viennent, je ne dirais pas "en dépit de la neige", mais grâce à la neige. En raison du froid, ils vivent quelque chose de différent, d'exotique...» Montréal est en outre une ville très sécuritaire qui, aux dires de M. Cazelais, «rassemble tous les avantages d'une grande ville et presque aucun inconvénient». Parmi les autres raisons de venir y tenir un congrès, il y a le fait que Montréal est une capitale du savoir. «Les participants ne viennent pas juste pour le plaisir, ils viennent ici parce qu'ils savent qu'ils y ont des collègues et donc qu'ils seront en mesure de développer leur domaine d'affaires ou de science.» En perte de vitesse Enfin, l'un des grands avantages qu'offre Montréal est la localisation de son Palais des congrès en plein centre-ville, au coeur de la vie culturelle et nocturne. Or, rapporte Robert Cazelais, nombre de centres de congrès sont situés en périphérie de leur ville, souvent en bordure d'un aéroport. Montréal offre donc un avantage significatif, d'autant plus que, chose unique, il s'agit d'une ville extrêmement sécuritaire (l'une des plus sécuritaires au monde). Et, bien entendu, Montréal se distingue aussi au chapitre de ses restaurants, renommé pour sa gastronomie et ses festivals. Le Palais des congrès se trouve cependant désavantagé par sa taille relativement modeste. «Il y a deux ans, si je me rappelle bien, nous nous situions aux environs du 65e rang en matière de taille parmi les deux cents centres de congrès en Amérique du Nord, rapporte M. Cazelais. Et comme, chaque semaine, il se construit de nouveaux centres de congrès et que les centres existants s'agrandissent, notre situation, elle, ne s'améliore pas.» Il cite même un fait inusité: à la fin des années 1990, le Palais des congrès a entrepris de doubler sa taille. «Or, lorsque nous avons commencé les travaux, nous nous classions à peu près au vingtième rang pour la taille des centres de congrès en Amérique du Nord. Mais, une fois les travaux terminés, nous étions... au 65e rang! Nous sommes comme un coureur qui participe à une compétition... mais nous ne sommes pas les seuls à courir vite! On peut donc être assuré que, si nous disposions d'un palais plus grand, nous aurions la chance d'aller chercher de plus grands congrès.» Le plus difficile pour les dirigeants du palais est d'évaluer ce que feront leurs concurrents. Entre autres, Robert Cazelais souligne que beaucoup de pays émergents se rendent compte à quel point il est important d'accueillir des congrès, et ce, pour plusieurs raisons. «Le Mexique est un bel exemple, dit-il, comme les Émirats arabes unis ainsi que l'Inde. Et ces gens-là mettent le paquet et l'argent pour aller chercher des congrès.» «Je pense que nous, à Montréal, sommes un peu trop habitués à recevoir des congrès et qu'on oublie par conséquent jusqu'à quel point cela nous rapporte gros, dit-il, non seulement en matière de retombées économiques mais également beaucoup plus que cela, entre autres en matière de retombées intellectuelles et de prestige pour la ville et pour le Québec.»
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