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  1. Saputo acquiert Alto Dairy Cooperative pour 160 millions $ US Il y a 3 jours MONTREAL - Le géant canadien des produits laitiers Saputo (TSX:SAP), soucieux d'accroître sa présence sur le marché américain, a conclu une entente de 160 millions $ US en vue d'acquérir les activités d'Alto Dairy Cooperative, entreprise située à Waupun, dans l'Etat du Wisconsin. Alto, dont les ventes se sont élevées à quelque 378 millions $ US, en 2007, compte deux usines, l'une à Waupun, l'autre à Black Creek, également au Wisconsin. Elle emploie 467 personnes. La transaction, approuvée par le conseil d'administration d'Alto, demeure sujette à l'approbation des autorités américaines en matière de concurrence et à celle des membres de la coopérative américaine, qui se prononceront en assemblée le 27 février. L'acquisition sera réalisée sur une base au comptant, sans endettement, par l'utilisation des crédits bancaires disponibles, a précisé Saputo, mardi. Alto produit des fromages de type mozzarella, provolone, cheddar, monterey jack, muenster, fontina et gouda - ainsi que du lactosérum, produits commercialisés à l'échelle nationale sous une variété de marques nationales et privées. Manon Goudreault, directrice des communications chez Saputo, a indiqué que l'entreprise avait été approchée par Alto au sujet de la possibilité de conclure une transaction. "Ils cherchaient à vendre leurs activités, a-t-elle affirmé. Cette transaction fait vraiment partie de notre orientation stratégique et elle va nous aider à développer nos activités principales aux Etats-Unis. "Cela va également nous aider à croître aux Etats-Unis et à y avoir une présence accrue." Saputo compte 15 usines aux Etats-Unis, incluant au Wisconsin et en Californie. "Nous sommes toujours à la recherche d'occasions afin de croître, mais nous ne mettrons jamais en danger 54 ans d'affaires juste pour faire une acquisition", a indiqué Mme Goudreault. "Lorsque nous faisons une acquisition, c'est parce qu'elle est stratégique, qu'elle va permettre à l'entreprise de croître et qu'elle va ajouter de la valeur pour les actionnaires." En avril dernier, Saputo a complété l'acquisition, pour 216 millions $ US, des activités de fabrication de fromage de la coopérative américaine Land O'Lakes, située en Californie. A la Bourse de Toronto, mardi après-midi, le cours de l'action de Saputo était de 27,01 $, en hausse de 54 cents ou 2,04 pour cent par rapport à la veille. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iNNFTr9JN_AyHgSq2o9cW4YWIZwA
  2. (Le samedi 31 mars 2007 )Le grand stabile L'Homme, du sculpteur américain Alexander Calder, que l'on peut voir ancré dans l'île Sainte-Hélène depuis le Vieux-Port de Montréal, pourrait être déménagé au centre-ville, à l'échangeur des Pins, à la place du Canada ou dans le futur Quartier des spectacles. Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, a suggéré un tel déménagement jeudi à l'UQAM alors qu'il prononçait une conférence intitulée Beauté, esthétique et tourisme : les défis de Montréal, au cours de laquelle il a encouragé la Ville à améliorer l'attrait de la métropole. Selon M. Lapointe, Montréal devrait mettre davantage en valeur la sculpture de «l'oiseleur de fer», comme le poète Jacques Prévert appelait le sculpteur américain. Pour ce faire, il a proposé l'échangeur des Pins ou la place du Canada, au coin du boulevard René-Lévesque Ouest et de la rue Peel. «Dans l'île, on ne peut se rendre à cette sculpture immense en voiture, a dit M. Lapointe. Et il est difficile de la voir depuis le centre-ville, surtout avant le mois de juin alors qu'elle est cachée par les branches des arbres.» Charles Lapointe dit qu'il faut agir comme on l'a fait avec La Joute, de Riopelle, ôtée de son site olympique pour être avantageusement placée dans le quartier international. La proposition de M. Lapointe est bien accueillie par le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, également responsable de la Culture au comité exécutif de Montréal. M. Labonté veut toutefois que la décision soit «largement partagée». «Cette oeuvre d'art est quand même liée à l'Expo 67 et on est dans l'année du quarantième anniversaire, dit-il. S'il y a une volonté de la mettre en valeur afin qu'elle soit (plus) vue, pourquoi pas, mais il faut trouver un endroit assez grand et cela pourrait être aussi dans le Quartier des spectacles, pour donner à celui-ci une coloration culturelle. Mais je ne recommanderai pas un déménagement avant d'avoir parlé à Héritage Montréal ou à des groupes d'artistes.» Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal, n'est pas très chaud à l'idée de déménager le Calder. «On n'a pas de position dogmatique sur cette oeuvre, mais elle appartient à l'Expo 67 et l'Expo, ce sont les îles, dit-il. Par contre, on doit se demander pourquoi on a arrêté d'installer de grandes oeuvres sculpturales à Montréal avec l'Expo 67. Quand on voit l'installation extraordinaire de La Joute au quartier international, on voit qu'il y a parfois des gestes audacieux à poser.» M. Bumbaru dit qu'on a déjà voulu installer le Calder au centre-ville, «dans la pente de la rue Université». «C'était comme d'envoyer la sculpture en exil dans les gaz d'échappement, dit-il. On devrait aborder le nomadisme des monuments avec parcimonie.» À l'occasion de son 100e anniversaire, le cabinet d'avocats Fasken Martineau va bientôt léguer une oeuvre d'art à l'espace public montréalais, a révélé Charles Lapointe. Et c'est dans le quartier international qu'elle sera placée, a indiqué M. Labonté.
  3. La Caisse de dépôt et placement pourrait perdre jusqu'à 4 G$ Le chiffre a été lancé mardi à l'Assemblée nationale par le chef de l'opposition, Mario Dumont. Source: Decarel.com La Caisse de dépôt et placement du Québec pourrait perdre jusqu'à 4 G$ dans la crise dite des "papiers commerciaux", selon l'Action démocratique. Le chiffre a été lancé mardi à l'Assemblée nationale par le chef de l'opposition, Mario Dumont, et son collègue adéquiste de Chauveau, Gilles Taillon, qui accusent le gouvernement Charest de "camouflage" dans ce dossier. L'Action démocratique a tenté à plusieurs reprises mardi à l'Assemblée nationale de savoir du premier ministre Jean Charest quelle valeur la Caisse détient en hypothèques à risque et quelle proportion de ces investissements inclut-elle dans d'éventuelles pertes. Selon des données qui circulent et dont le chef adéquiste a fait état sans les prendre à son compte, la Caisse détiendrait la moitié des 35 G$ d'hypothèques à risque possédées au Canada, soit une valeur de quelque 17 G$. Les pertes subies dans ce portefeuille seraient évaluées à une somme variant entre 1,5 G$ et 4 G$. A l'Assemblée nationale, M. Dumont a rappelé que toutes les banques canadiennes avaient, au cours des dernières semaines, rendu publiques leurs provisions pour pertes. Dans un geste de transparence, la Caisse, qui gère l'argent de tous les Québécois, devrait en faire autant, ont clamé MM. Dumont et Taillon. Le député Taillon a même soutenu que si la Caisse s'était procurée tant d'éléments à risque dans son portefeuille d'investissements, c'est qu'elle avait reçu une commande de rendement très élevé de la part du gouvernement. Il croit que ce sont les retraités qui vont devoir payer pour ce risque pris par la Caisse. Cette dernière gère les sommes que lui confient notamment la Régie des rentes et le Régime de retraite des employés du gouvernement et du secteur public.
  4. (Le mercredi 11 avril 2007) Un magazine américain de tourisme gai classe Montréal, Vancouver, Edmonton, Winnipeg et Toronto parmi les villes canadiennes les plus accueillantes pour les gais. Dans l'édition de l'été 2007 du magazine Out Traveler, Montréal est décrite comme une ville «qui s'amuse passionnément», portée par une nouvelle confiance, après les bouleversements politiques des années 1970 et le mouvement indépendantiste. Également, la publication qualifie Toronto de «ville débonnaire qui attire aisément des vagues d'admirateurs avec ses plages, ses boîtes de nuit, ses cocktails et ses terrasses». Le magazine a fait remarquer que la plus grande concentration de gais au Canada se trouve dans le secteur des rues Church et Wellesley, à Toronto. Par ailleurs, le rédacteur en chef Ed Salvato a affirmé dans une entrevue qu'Edmonton, la capitale de la riche Alberta, constituait un «bastion de progressisme» étonnamment accueillant pour les gais. Le magazine a fait remarquer que la ville a été désignée capitale culturelle du Canada par le fédéral en 2007 et qu'elle connaît une grande vitalité en raison de la croissance économique de la province. La voisine albertaine Calgary ne fait toutefois pas partie de la liste, même si la ville a annoncé il y a un mois qu'elle ciblait maintenant les touristes gais.
  5. 24/03/2007 Plusieurs des 2000 résidents du secteur montréalais Glenmount, dans Côte-des-Neiges, demandent l'annexion à Ville Mont-Royal, mais ce n'est pas là une mince affaire. «On veut appartenir à Ville Mont-Royal parce qu'on y vit en permanence et la voie ferrée qui longe la rue Jean-Talon nous coupe géographiquement de toutes activités dans Côte-des-Neiges», explique Francine Brodeur, porte-parole des propriétaires. Le quartier est au trois-quarts encerclé par Ville Mont-Royal et la rue Jean-Talon et une voie ferrée le découpe de Côte-des-Neiges, au sud. «Bibliothèques, sports, loisirs, églises, écoles, commerces, restaurants, épiceries! Notre enclave, dit-elle, nous conduit logiquement à Ville Mont-Royal pour toutes ces activités. «D'ailleurs, la Ville de Montréal accepte de verser 80 000$ à sa voisine pour nous permettre d'utiliser les services publics de Mont-Royal.» Elle paraît tellement logique cette «annexion» que le Comité de transition avait attaché le quartier Glenmount à l'arrondissement Mont-Royal, lors de la grande fusion de 2002. Mais Ville Mont-Royal a été reconstituée lors de la bataille des défusions et la Ville de Montréal a repris possession de «son ancien quartier» qui représente tout de même une valeur foncière de 137 M$. Échanges «Notre association veut au moins obtenir une vraie consultation pour connaître l'opinion générale. Nous préparons une pétition, porte-à-porte, en vue de faire bouger les choses auprès du gouvernement qui sera élu lundi», confirme Francine Brodeur. Le maire de l'arrondissement montréalais, Michael Applebaum, croit que la démarche n'est pas nécessaire et que les citoyens de Glenmount peuvent aussi profiter de tous les services de l'arrondissement. «Montréal assume tous les services de première ligne comme le déneigement et la cueillette des déchets et nous leur assurons une très bonne qualité de vie», soutient le maire. Il croit par ailleurs qu'une annexion à Mont-Royal coûterait «très cher» aux propriétaires qui auraient à rembourser immédiatement leur part de la dette publique étalée sur 20 ans. On a déjà songé à tenir un référendum La mairesse de Mont-Royal, Vera Danyluk, a songé au référendum pour annexer le secteur Glenmount, mais cette «solution» ne tient pas du miracle. Non seulement n'y a-t-il aucune assurance que le «oui» serait majoritaire, dans un tel référednum, «mais encore faudrait-il que Ville Mont-Royal se plie à la loi qui l'obligerait aussi à consulter la population concernée de Côte-des-Neiges pour savoir ce qu'elle en pense», explique la mairesse. Et l'aventure ne se terminerait pas avec un deuxième résultat positif. «Le ministre des Affaires municipales aurait, ultimement, le pouvoir d'acccepter ou de refuser l'annexion si tout le monde y était favorable», dit-elle. «Je me suis informé à savoir si la ministre verrait ça d'un bon oeil et j'ai obtenu comme réponse qu'elle préférerait régler les problèmes de l'agglomération avant d'avoir à trancher dans un éventuel dossier d'annexion de Glenmount.
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