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  1. Déconstruction puis redéveloppement des Habitations Val-Martin, à Laval
  2. Longueuil deviendra-t-elle le Brooklyn du Grand Montréal? article * Plein de points positifs: Ils ont enfin un plan! L'accès aux berges La reconfiguration du boulevard Saint-Charles L'élimination d'une bretelle d'autoroute Un nouveau théâtre pour Longueuil Le développement d'une partie du stationnement de la Place Longueuil Plusieurs points négatifs: L'aménagement, tel que présenté, date résolument d'une autre époque. Une forêt de tours modernistes des années 70, une multiplication du Port de mer. L'enclavement d'une nouvelle station de métro. Au final, ça va être un quartier désagréable et désert la majorité du temps, mais en chiffre, ça va être dense et profitable (principalement pour les promoteurs).
  3. Pas mon habitude de citer le JdM, mais là... Hostie de trou du cul.... Un deneigeur delinquant dans la mire de la ville de Montreal | JDM
  4. <header id="page-header"> 24/10/2016 Mise à jour : 24 octobre 2016 | 19:48 Ajuster la taille du texte [h=1]KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e[/h] Par Laurence Houde-Roy Métro </header> <figure> <figcaption> Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, est l'une des deux œuvres d'art permanentes du parcours KM3. Elle sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal au coût de 672 603$. </figcaption> </figure> Un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public temporaires et permanentes intitulé KM3 sera créé à l’automne prochain et installé sur l’ensemble du territoire du Quartier des spectacles, à l’occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ces créations, principalement installées autour de l’axe de la rue Sainte-Catherine, seront sur la place publique du 31 août au 15 octobre 2017. Décrit comme le «plus important événement d’art public temporaire extérieur à Montréal», le projet orchestré par le Partenariat du Quartier des spectacles invitera des créateurs québécois «reconnus pour leur contribution dans le domaine de l’art public, mais aussi des créateurs qui auront la possibilité de s’exprimer pour la première fois dans l’espace public» à créer ces oeuvres. L’appel à ces créateurs et les commandes seront passés au courant de la prochaine année. <aside class="related-articles"> </aside> «L’événement mettra en valeur les arts visuels, l’art urbain, l’art numérique, le design et l’architecture en occupant des murs d’édifices, des places publiques et des lieux inusités», indique le Partenariat du Quartier des spectacles. Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal Seulement deux oeuvres de ce parcours ont été dévoilées lundi. Contrairement au reste des oeuvres, celles-ci seront permanentes et seront acquises par la Ville de Montréal. Elles seront situées sur la rue Émery, en face du cinéma Quartier Latin, et sur le Parterre, en face de la Maison symphonique de Montréal. Une troisième oeuvre permanente sera dévoilée. À la fin de cette édition, les installations artistiques iront rejoindre la collection permanente du Partenariat du Quartier des spectacles et pourront être présentées ailleurs dans le monde. Lux Obscura, de Jonathan Villeneuve, sera installée sur la rue Emery, en face du cinéma Quartier Latin Le Quartier des spectacles souhaite faire de KM3 un événement bisannuel et en faire une offre touristique importante. La scénographie de cette première édition a été confiée à Melissa Mongiat et Mouna Andraos, à qui l’on doit notamment les fameuses 21 Balançoires. <aside class="stat-highlight"> 2,5M$ L’aide financière de 2,5 M$ provenant de la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec permettra la réalisation de plusieurs oeuvres temporaires (1,5 M$), puis la création de deux nouvelles oeuvres d’art public permanentes (1 M$) acquises par la Ville de Montréal. </aside> KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e | Metro
  5. Dans le cadre de la discussion sur le réaménagement du Square Viger, j'ai proposé un grand parcours piétonnier dont voici le texte. J'ai finalement décidé de le publier dans la section Vision, pour le mettre plus en évidence et aussi pour ne pas nuire, par une longue digression, au fil du square lui-même. J'emprunte en même temps la vidéo publiée par ChrisDVD parce qu'elle est en partie ma source d'inspiration. Le projet de NIPPaysage Je retiens l'élément principal de cette vidéo, l'axe central qui ralliera les 4 segments du Square-Viger. Cet axe que j'espérais voir apparaitre sur les plans, me confirme que l'on pourrait à terme le prolonger de part et d'autre pour rejoindre le Palais des Congrès et le pont Jacques-Cartier via Lagauchetière et les terrains de la SRC. Et même au-delà, en se connectant éventuellement avec la promenade centrale du nouveau boulevard Robert-Bourrassa à l'ouest et un axe à poursuivre plus à l'est dans Ste-Marie. Le tout étant complété par une boucle de retour tout le long des berges du St-Laurent au Vieux-Port, le canal Lachine et finalement à nouveau la promenade R-B. Un merveilleux tour d'horizon piétonnier de quelques kilomètres, qui traverserait en les reliant: le Quartier International, le Quartier Chinois, le Quartier de la Santé, le Quartier des Ondes et le Quartier Ste-Marie. Retour via les berges du Port, le Faubourg Québec, le Vieux-Montréal et le Vieux Port. Donnant ensuite accès selon la direction choisie au Quartier des Médias, Griffintown et le centre-ville. Ce parcours urbain deviendrait en même temps un abrégé de Montréal, supporté par une application mobile conçue spécifiquement pour le trajet. On développerait ainsi un véritable circuit piétonnier central, de jour comme de nuit, complètement intégré et unique en son genre. Le Montréal d'hier, d'aujourd'hui et de demain, accessible à tous (montréalais et visiteurs), dans une promenade dynamique qui nous en mettrait plein la vue. A lui seul ce sentier pédestre deviendrait une attraction touristique ultra populaire, tout en nous invitant aux autres promenades urbaines, dont celle qui montera jusqu'au Mont-Royal. Difficile de faire mieux autant sur le plan urbanistique, qu'au niveau du développement durable. Même la valeur foncière des secteurs riverains augmenterait substantiellement par la proximité de ce superbe itinéraire structurellement organisé. On ne pourrait faire mieux non plus pour encourager la marche active et les activités de santé. Le tout couplé d'animations diverses et de places publiques invitantes sur chaque segment de cette exceptionnelle randonnée. Voilà en résumé mon rêve le plus cher pour Montréal. Ne suffit que d'un peu plus d'audace, car tout est potentiellement possible si on se donne la peine de construire des liens pratiques et esthétiques pour les chainons manquants. Pour le reste cette voie royale et les terrains concernés seront prochainement en chantier sur presque tout le parcours est-ouest. Ne suffira que de coordonner l'ensemble et travailler spécifiquement la grille de rues pour obtenir une infrastructure de classe mondiale, dont nous pourrons tous (montréalais et québécois) vraiment être fiers.
  6. Je suis à la recherche d'une nouvelle propriété à acheter à Montréal. Mes recherches m'ont récemment mené à Villeray. J'ai été fort surpris de voir que, malgré que le quartier semble plutôt loin de l'aéroport, le bruit des avions qui y circulent peut-être relativement dérangeant. J'hésite maintenant à poursuivre mes démarches dans ce quartier pour cette raison. Quelqu'un a une expérience personnel avec ce problème à Villeray ? Ou peut-être de l'information général sur les nuisances causées par les corridors aériens vers YUL ? Votre aide serait certainement des plus appréciées !
  7. Happy to see Montreal back in the 2016 top 25 cities ranking by Monocle, one of my favorite magazines. Montreal is back at number 25. Unfortunately the magazine is not online so you will have to pick it up at a bookstore! https://skift.com/2016/06/22/monocles-new-quality-of-life-top-25-cities-survey-tokyo-is-tops-again/ A few takeaways from the Montreal description: Pros: SLR Cons: "Lack of diversity" Other Montreal mentions in this latest issue: Alexandraplatz and Quartier Marconi
  8. 28/06/2016 Mise à jour : 28 juin 2016 | 17:39 http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/986540/des-artistes-pour-transformer-sainte-catherine-est/ Des artistes pour transformer Sainte-Catherine Est Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale Le projet Quartier en art embellit déjà quelques vitrines de la rue Sainte-Catherine Est. La rue Sainte-Catherine Est connaîtra bientôt un vent de renouveau avec l’arrivée d’artistes et artisans dans ses locaux vacants, promet la société de développement commercial (SDC) Hochelaga-Maisonneuve. L’organisme vient de se voir accorder un financement de 90 000$ pour le projet «Sainte-Catherine, rue des artistes et des artisans», sélectionné dans le cadre du programme PRAM-Est de la Ville de Montréal. Un total de 157 631 $ partagé entre la ville-centre, la SDC et d’autres partenaires sera investi dans la réalisation de projets qui inciteront des artistes à y installer leur atelier ou leur boutique, dans le secteur de la SDC allant de l’avenue Bourbonnière à la rue Viau. L’embauche d’une personne ressource permettra de faire le lien entre les propriétaires et les artistes, et des concours d’entreprenariat encourageront certains à s’y lancer en affaires. «Il y a déjà des ateliers boutiques sur la rue Sainte-Catherine, mais on veut renforcir cette identité. Il commence déjà à avoir une clientèle pour ces produits-là», explique le directeur de la SDC Jimmy Vigneux. Le projet surfera en effet sur la vague de nouveaux arrivants dans le secteur : les Ateliers Créatifs, dont les locaux ouvriront cet été, amèneront une centaine de créateurs dans les locaux du 3890-3910, rue Sainte-Catherine. La présence d’ateliers-boutiques comme Electrik kidz, Bigarade et Gabardine et de la galerie Gham et Dafe marquent également la volonté des artistes de s’installer dans le secteur. Le projet répond au besoin d’améliorer «l’image» de la rue Sainte-Catherine. Le montant octroyé par la Ville s’ajoute aux nombreux efforts de relance de l’artère, dont le tronçon entre Pie-IX et la rue Moreau fait l’objet d’une démarche de revitalisation urbaine intégrée (RUI) de la Table de quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis 2012. Le projet s’arrimera par ailleurs avec les efforts de la table, qui vise le recrutement d’artisans depuis plusieurs mois, après des consultations menées auprès de la population du secteur. Secteur défavorisé Parsemée de graffitis et de locaux vacants, au nombre de 46, la rue Sainte-Catherine a l’avantage d’être beaucoup moins coûteuse pour les locataires. La moyenne des loyers s’élève à 10$ le pied carré, soir la moitié moins des montants exigés sur la rue Ontario, fait savoir le directeur. «C’est un type de commerce viable sur Sainte-Catherine, puisque 100% de leur chiffre d’affaires ne se fait pas nécessairement sur la rue. Comme l’achalandage n’y est pas si élevé que sur Ontario, on considère que c’est un bon filon», affirme-t-il. Le directeur souhaite offrir à des artistes d’occuper des locaux vacants gratuitement de manière temporaire, afin d’attirer de possibles locataires. Le projet vise aussi à améliorer l’aspect des vitrines en travaillant en collaboration avec Un quartier en art, projet qui vise à afficher des œuvres d’artistes locaux dans les locaux vacants. «Il faut établir que c’est rue artistique, on veut que les artistes puissent s’exprimer sur la rue», ajoute savoir le directeur.
  9. J'ai copié le texte de l'article, mais il y a beaucoup de photos dans le lien, allez-voir le lien si ça vous intéresse! C'est moins pertinent sans les photos. C'est le genre d'intervention citoyenne qui donne une vraie personnalité à des quartiers, j'adore ça. Les rues Mentana et Waverly valent le détour si vous êtes dans le coin (Mile-End/Nord du Plateau). Pas nécessairement besoin de grands événements ou de subventions de nos gouvernements pour créer de vrais corridors d'art (même si c'est bienvenu), il faut juste des artistes impliqués dans leur quartier. Il y a aussi un terrain vague aménagé en champ d'œuvres à la sortie ouest du viaduc Van Horne, par l'artiste Glen LeMesurier, qui mérite qu'on s'y attarde. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985512/un-quartier-soude-par-lart/ Plateau-Mont-Royal: Un quartier soudé par l’art Par Josie Desmarais Texte et photos En vous baladant dans les rues du Plateau, avez-vous déjà remarqué des œuvres d’art disposées devant des résidences privées? Métro vous propose une excursion dans ce quartier foisonnant d’artistes. Waverly Dans cette rue du Mile-End, on trouve plus d’une dizaine d’œuvres sises dans les cours avant des maisons. C’est le soudeur-sculpteur Glen LeMesurier qui est derrière ces installations, qui intriguent et égaient les passants. L’artiste s’inspire des lieux et de l’architecture pour créer ses pièces, faites de morceaux de métal recyclés. Son projet artistique, Bloom (fleurir), s’étale depuis trois ans dans le quadrilatère formé par les rues Van Horne, Saint-Urbain, Fairmount et Parc. C’est l’artiste lui-même qui propose ses œuvres aux propriétaires, qui peuvent les garder aussi longtemps qu’ils le désirent ou même les acheter. C’est ce qu’a fait Richard Ryan, conseiller de Projet Montréal. «Glen marque le territoire. C’est un quartier ouvert à l’art, et les gens embarquent facilement». Une des plus récentes œuvres de Glen LeMesurier a été installée devant les bureaux d’un acuponcteur. La pièce, discrète, évoque une colonne vertébrale surmontée d’une fleur. Mentana Des résidants de la rue Mentana affichent pour leur part des sculptures de bois devant chez eux. Elles sont l’œuvre de Jacques Huet, un artiste-menuisier qui habitait la rue. À l’instar de Glen LeMesurier, il a demandé à ses voisins s’il pouvait installer ses œuvres de bois devant leurs demeures. En 2008, Jacques Huet commence un corridor d’art en disposant 13 œuvres rue Mentana. Il meurt le printemps suivant, mais les installations restent en place tout l’été. On peut présentement en observer cinq, les autres étant entreposées ou en processus de restauration. Satellite diffuseur de l’art dans l’espace a été restaurée l’été dernier par la fille de M. Huet, Christiane Dinelle. «Depuis, des voisins m’ont demandé : “En as-tu une de trop?” Alors j’en ai placé trois autres.» On peut les admirer entre les rues Mont-Royal et Gilford. Une sculpture de Glen LeMesurier a été ajouté samedi dernier sur la rue de l’Esplanade. Voyez son installation ici: (voir le vidéo dans le lien)
  10. With Festival Season Underway, Montreal Reflects on 10-Year Cultural Plan BY GREG SCRUGGS | JUNE 17, 2016 Summery electronic beats floated through the air alongside fragrant cheese and the occasional whiff of marijuana. Picnic blankets laden with pâté and baguettes commingled with flowing bottles of beer and wine. Families parked strollers, millennials lounged near their bikes, and techno tourists went gaga for Swedish DJ and producer Peder Mannerfelt. The occasion for such a languid Saturday afternoon earlier this month in downtown Montreal was MUTEK, a festival dedicated to electronic music and digital arts that held its 17th edition this year. Its free programming at the Parterre, a simple plaza easily converted into a performing arts venue, is just a small sampling of the festival overload that takes hold every summer in the city’s Quartier des Spectacles, a downtown cultural district that hosts most of the outdoor fêtes. Even as the 40,000 MUTEK attendees, roughly half from outside the metropolitan area, fluttered among a handful of the Quartier’s sleek venues, workers were busy maneuvering lighting trusses and erecting stages on downtown streets to accommodate the 500,000 that came for Les FrancoFolies, a French-language music festival that wraps up Friday, and the 2.5 million expected for the Montreal Jazz Festival, which starts June 26. Montreal is North America’s undisputed festival capital, with 200 annual medium- to large-size events downtown that generate over 1,000 festival days, according to the city’s Bureau of Cinema, Festivals, and Events. “For the size of Montreal, that’s pretty astounding,” says the bureau’s director, Daniel Bissonnette. The metro area of 4 million has a comparatively low GDP per capita, he points out, but through a combination of dedicated cultural infrastructure and savvy marketing, it punches well above its weight. Cities have come knocking at his door to ask what’s in Montreal’s secret sauce, he says, most recently Los Angeles. At the end of June, Bissonnette will travel to Kraków, Poland, for a meeting of a nascent, as-yet-unnamed international network of festival cities that also includes the likes of Adelaide, Barcelona, Berlin and Edinburgh. But as the city’s international festival acclaim grows, it must also continue to nurture the local cultural community, whose public arts funding is in limbo as the provincial government plans to cut back while the federal government has pledged to increase support. Plus, next year concludes the scope of the city’s 10-year cultural plan and the city council is poised to adopt a new strategy. While it’s still early for any concrete details, the bustling summer scene downtown offers some clues as to what the future might hold. The square-kilometer patch of the eastern edge of downtown Montreal demarcated as the Quartier des Spectacles was once the city’s red light district and a popular cheap housing option for artists. But it was also the home to the symphony and opera halls, a clutch of theaters and music venues, and the Museum of Contemporary Art — now MUTEK’s annual home base. First proposed in 2002, the Quartier des Spectacles came together over the last decade through a series of demolitions, rehabs and new constructions. The artists living there were, by and large, kicked out — whether by eviction or escalating housing costs as new condos came into the neighborhood. Some affordable live-work space was built in the Mile End neighborhood in exchange for the loss, but the artistic community who created the cachet for the neighborhood to become the Quartier des Spectacles was not compensated directly. While some of Montreal’s infamous strip clubs remain, it’s hardly the red light district it used to be — though red illumination on many of the Quartier’s sidewalks pay homage to its seedier days. And new construction continues apace, from outdoor spots like the Parterre and the Place des Festivals to new anchors like a fresh home for the Montreal Symphony Orchestra and next year’s planned arrival of the National Film Board of Canada. The result has been a resurgence in downtown living by a more well-heeled crowd attracted to the city’s cultural offerings, which mirrors trends across North America. But while cities like Philadelphia have managed at best an Avenue of the Arts, Montreal has taken over a whole neighborhood and it continues to grow. “The Quartier des Spectacles is not a finished thing,” notes MUTEK Director Alain Mongeau. Chantal Fontaine opened a bistro two years ago in the heart of the quarter along Boulevard Saint-Laurent, which is pedestrianized during the summer festival months. “The golden age of the red light district passed a long time ago,” she says, dismissing any nostalgia for the neighborhood’s previous incarnation. Also an accomplished comedienne, Fontaine lives three blocks away and notes that she can walk out the front door of her condo at 7:45 p.m. to make an 8 o’clock show. She envisions the Quartier as the city’s answer to Broadway in New York and hopes that the city’s new cultural strategy will reflect that ambition. “International renown, that Montreal becomes an incubator of shows that tour the world,” she says. “We must value our local culture abroad, we have the talent for that.” MUTEK, meanwhile, is already doing that and downtown is essential to its identity. “If we moved to another neighborhood we’d have to remap the whole discourse of the festival,” Mongeau says. “We feel like we’re contributing to the brand of the city.” Blending culture and commerce doesn’t sit well with everyone however. “Western society is pushing us to be entrepreneur artists,” laments Ghislain Poirier, a DJ/producer and a fixture on Montreal’s music scene who has played at MUTEK in past years. In 2010, he wrote an open letter to the mayor complaining that the city was kowtowing to new condo dwellers’ noise complaints and shutting down music clubs — the very venues that made the neighborhood appealing for real estate developers in the first place. That issue has since quieted down, with Bissonnette pointing out new building codes requiring triple-pane windows, policies governing the timing of outdoor amplified sound during festivals, and municipal noise inspectors who will come to a complainant’s home to objectively measure interior sound. “That’s the price you pay to have the excitement downtown,” he says. “A park far away from downtown? That’s not how Montreal works.” Nevertheless, Poirier is convinced that the cultural geography of the city has changed as a result. “Downtown is more for performing, it’s not a place of creation,” he says. “Before it was lofts and artists. Now it’s venues and festivals, mass culture and Hollywood big events.” At the same time, such bookings are valuable and Poirier looks forward to the fat paycheck from festival gigs in the Quartier des Spectacles, which help him pay Montreal’s still affordable, but nevertheless rising, cost of living. While the trend of displaced artists is hardly unique to Montreal, the phenomenon of cultural gentrification is atypical — newer, fancier forms of culture displacing older, scruffier types. As the city prepares to plan ahead for the next 10 years, it may be time to put on the brakes, Poirier says. “There are almost too many events. We’re coming to a saturation point.” https://nextcity.org/daily/entry/montreal-festivals-10-year-cultural-plan
  11. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  12. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  13. Consultez « À la une » provenant de La Presse+. http://plus.lapresse.ca/screens/a0893e1f-43ec-470c-ad15-f25dd78f036e%7C_0.html De centre-ville inhabité et moribond, le cœur de Montréal est en train de devenir un véritable quartier résidentiel, dynamique et enthousiaste. La métropole québécoise est-elle en train de vivre une véritable révolution? Nos journalistes ont parcouru les projets qui fleurissent dans les quartiers chauds de Montréal tels que Griffintown, le quartier des spectacles et le centre-ville; ils ont constaté une effervescence dont nos derniers souvenirs pourraient remonter aux Olympiques de 1976. Tours à condos, grands projets de transport, revitalisation des quartiers et projets du 375e convergent pour donner un nouveau souffle à Montréal. Le dossier spécial Le réveil de Montréal, publié le dimanche 5 juin dans La Presse+, vous projettera dans un futur proche très emballant. sent via Tapatalk
  14. http://journalmetro.com/plus/vacances/972394/chasse-aux-fantomes-a-griffintown/ 31/05/2016 Mise à jour : 31 mai 2016 | 23:20 Chasse aux fantômes à Griffintown Par Dominique Cambron-Goulet Métro Des vestiges de l’église Sainte-Anne sont encore bien visibles aujourd’hui. Chantal Levesque/Métro Il n’y a pas que les châteaux d’Écosse qui sont remplis de fantômes. Certains lieux de la métropole recèlent des histoires à faire peur, et il est possible de les découvrir grâce aux visites guidées de Montréal hanté. Aperçu de la visite du Griffintown hanté. Histoire du quartier Le premier arrêt de cette tournée du Griffintown hanté est un terrain abandonné de la rue Barré. «C’est ici que j’explique l’histoire de Griffintown, précise Donovan King, fondateur de Montréal Hanté. Durant la famine de 1847, Griffintown est devenu le bidonville le plus célèbre du Canada parce que 75 000 réfugiés irlandais y sont débarqués, alors que le quartier ne comptait auparavant que 50 000 citoyens.» Peu après, une épidémie de typhus a ravagé Griffintown, et de nombreuses fosses communes y ont été creusées. Héritage irlandais Ces Irlandais ont amené bien des traditions avec eux. «Lors des funérailles, il n’était pas rare que les corps soient exposés debout et que les gens festoient ou même dansent avec le cadavre, explique M. King près des vestiges de l’église Sainte-Anne, dans le parc du Faubourg-Sainte-Anne. Il y a trois ans, un homme qui magasinait un condo a vu un prêtre fantôme se matérialiser ici, ainsi qu’un cercueil avec un chœur d’enfants.» Écrasement meurtrier Une tragédie méconnue est survenue à Montréal en 1944, quand un bombardier qui avait décollé à Dorval s’est écrasé dans Griffintown, tuant les 5 membres d’équipage et 10 personnes au sol, et détruisant triplex. «Des gens disent qu’il s’agit d’un sabotage. En effet, un enfant a trouvé une pièce d’or sur le site de l’écrasement, et on sait que les joyaux de la Couronne étaient gardés dans l’édifice de la Sun Life durant la Deuxième Guerre mondiale», raconte Donovan King. Il n’a toutefois jamais été prouvé que les joyaux se trouvaient à bord du bombardier. La prostituée sans tête Un arrêt au coin des rues William et Murray, le lieu que hanterait le fantôme de Mary Gallagher, est le clou de la visite. «Le 27 juin 1879, Mary Gallagher, une prostituée de 38 ans, a été massacrée par sa meilleure amie, Suzy Kennedy, raconte Robusquet, comédien qui sert de guide pour le parcours en français. Tous les sept ans depuis 1879, des gens voient son fantôme décapité errer ici. Apparemment, elle chercherait sa tête.» Sa dernière apparition date de 2012. Oserez-vous aller vous promener à cette intersection en 2019? Infos Les comédiens-guides de Montréal hanté offrent depuis quelques années des visites des lieux hantés de Montréal en anglais. À partir du 3 juin, des excursions en français auront lieu les vendredis à 20 h, et ce, jusqu’au 7 octobre. Les visites du Griffintown hanté et du mont Royal hanté sont offertes en alternance.
  15. http://journalmetro.com/local/rosemont-la-petite-patrie/actualites/969345/un-nouveau-pub-ludique-dans-rosemont/ 25/05/2016 Mise à jour : 25 mai 2016 | 17:16 Un nouveau pub ludique dans Rosemont Par Hugo Jolion-David TC Media Collaboration spéciale - Andréanne Lupien Le nouveau rendez-vous de tous les passionnés de jeux dans Rosemont Les amoureux des soirées jeux de société sauront désormais où aller dans Rosemont avec la récente ouverture du Randolph pub ludique de Rosemont au 6505 rue des Ecores, coin Beaubien Est. C’est le deuxième pub de la lignée Randolph après celui de la rue Saint-Denis dans le quartier latin, ouvert en juillet 2012. Le concept montréalais a été créé par quatre passionnés de jeux : le comédien Normand D’Amour et ses trois associés, Justin Bazogue, Joël Gagnon et Benoît Gascon. Selon les créateurs, l’idée était de mettre en avant l’innovation dans le domaine des jeux contemporains en offrant un espace de rencontre où des animateurs proposent des jeux en fonction de la motivation et des préférences des clients. Face à l’extrême motivation de ces derniers, le pub a rapidement été victime de son succès : « Depuis deux ans le Randoph du quartier latin a une file d’attente de deux heures tous les vendredis et samedis. Il était grand temps d’ouvrir une nouvelle succursale pour satisfaire la demande » raconte Normand D’Amour. Et quel autre endroit que Rosemont pour développer le concept : « Rosemont, c’est mon quartier. Je suis né ici. C’est le plus beau et le meilleur quartier du monde. Et en plus, des quatre lieux visités, c’était le plus adéquat » explique-t-il dans un sourire. Dans un très vaste espace lumineux et décoré sous la thématique des jeux de société, le pub peut accueillir 209 personnes, du mercredi au dimanche, autour de plus de 500 jeux tels que les Aventuriers du rail, Scotland Yard ou encore Au feu!.
  16. http://www.boma-quebec.org/details-autres/2016-04-19/montrEal-6e-edition-le-montrEal-du-futur MONTRÉAL - 6e édition - LE MONTRÉAL DU FUTUR® <section class="news events details module block" style="box-sizing: border-box;"><article class="event-article" style="box-sizing: border-box;"> <header class="news-header event-header content" style="box-sizing: border-box; line-height: 1.8em;">19 avr. 2016 au 25 avr. 2016</header>La Grande-Place du complexe Desjardins Quartier des Spectacles, Montréal Téléchargez le plan de visibilité ici </article></section>
  17. La ville a annoncé via le PPU du Quartier des Gares la construction d'une coopérative d'habitation au coin nord-est de l'intersection des rues Notre-Dame et de la Cathédrale.
  18. Dans le quartier Sainte-Marie À la sortie du pont Jacques-Cartier, face au parc des Faubourgs. Ce terrain est juste au nord de Church of Latter Day Saints. sent via Tapatalk
  19. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  20. Les Affaires CONNEXION | INSCRIPTION BLOGUES ACCUEIL > BLOGUES > JULIEN BRAULT image INTELLIGENCE ARTIFICIELLE JULIEN BRAULT Neoshop, une boutique venue d'Europe, veut vous vendre des produits technos québécois Publié à 13:05 Lancée à Laval (en France) en 2013, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. La première boutique Neoshop hors France devrait ouvrir ses portes à Montréal en septembre prochain. Exploitée par le Quartier de l’innovation, la boutique aura pour mission de supporter les start-ups québécoises en leur permettant de tester leur produit plus rapidement auprès des consommateurs. L’emplacement de la première incarnation de la boutique n’a pas été déterminé, si ce n’est qu’elle aura pignon sur rue à l’intérieur de la zone dont se réclame le Quartier de l’innovation. À terme, toutefois, Neoshop devrait déménager dans l’ancien Planétarium Dow, qu’on est en train de rénover. Lancée à Laval (en France) en 2013 par l’organisme de développement économique Laval Mayenne technopole, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. Après avoir ouvert une boutique éphémère à Paris en décembre, l’organisme veut maintenant exporter son concept. Selon Gabrielle Langlois, directrice des opérations du Quartier de l’innovation, l’organisme est en négociation avec des partenaires dans une douzaine de villes européennes, qui sont intéressés à ouvrir des boutiques Neoshop. La boutique Neoshop à Montréal devrait ainsi offrir des produits de start-ups européennes, mais réserver la plupart de ses tablettes aux produits locaux. En contrepartie, cette affiliation européenne pourrait permettre à des start-ups québécoises d’introduire leurs gadgets en Europe. Validation de produits innovateurs Les vendeurs de Neoshop recevront une formation qui leur permettra de donner de la rétroaction aux entrepreneurs, pour qui Neoshop servira de terrain d’essai dans le monde du détail. Si certains d’entre eux choisiront sans doute de retourner à la planche à dessin, les autres se verront offrir des services d’accompagnement à la commercialisation par Neoshop. Alors que la France ne manque pas de start-ups à l’origine de produits physiques, c’est moins le cas au Québec, où Neoshop pourrait avoir du mal à garnir ses tablettes. Lorsque je lui ai demandé si elle considère un vêtement de bébé en chanvre comme un produit de start-up, Gabrielle Langlois m’a assuré que non. «Ça peut être low tech, mais il faut qu’il y ait de l’innovation dans le produit; on ne veut pas être un deuxième Salon des métiers d’art.» sent via Tapatalk
  21. http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201512/07/01-4928659-cinema-en-salle-le-centre-ville-perd-lequilibre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS3 Publié le 07 décembre 2015 à 13h33 | Mis à jour à 13h33 Cinéma en salle: le centre-ville perd l'équilibre Marc-André Lussier La Presse En excluant l'Impérial, le Cinéma du Parc et la Cinémathèque québécoise, dont les vocations sont différentes, il ne reste que trois cinémas au centre-ville de Montréal. L'effet trou de beigne? En marchant rue Sainte-Catherine d'ouest en est, les cinéphiles plus mûrs se tapent forcément un bon coup de nostalgie. Il serait bien difficile de faire autrement. Ici remonte le souvenir d'une projection mémorable d'Apocalypse Now ou de Pink Floyd: The Wall au Cinéma York. Là, le plaisir d'avoir vu un film dans la grande salle du magnifique cinéma Loew's, ou mieux encore, dans sa fameuse salle 3, construite à même l'ancien balcon. Et puis, tous ces films de répertoire, plus ou moins «underground», découverts au Séville ou au Cinéma de Paris. Sans oublier, bien sûr, l'incontournable cinéma Le Parisien. Ce complexe, où ont été présentés tant de films français et internationaux, a aussi été investi tous les ans par des milliers de cinéphiles lors des meilleures années du Festival des films du monde. Au point où nombre des projections se déroulaient même dans un climat de chaise musicale. Des dizaines de spectateurs devaient en effet se résigner à regarder le film assis par terre tellement les salles étaient pleines... En 30 ans, le paysage a beaucoup changé. Au centre-ville, il ne reste que trois cinémas exploités par les grandes chaînes. Trois gros complexes multisalles. Une perte nette Dans l'Ouest, il y a le Cineplex Forum. Ses 22 écrans sont occupés par des productions hollywoodiennes en version originale et aussi quelques productions internationales, présentées avec des sous-titres anglais. Les 13 écrans du Cinéma Banque Scotia, à l'angle Sainte-Catherine et Metcalfe, sont exclusivement réservés aux productions hollywoodiennes en version originale. Vient ensuite le cinéma du Quartier latin (rue Émery). On propose dans les 17 salles de ce complexe francophone des productions hollywoodiennes en versions doublées, des films québécois et parfois des films internationaux, disons, plus «accessibles». En totalisant 52 écrans, ces 3 complexes sont bien entendu en mesure de proposer une offre substantielle. Pour les cinéphiles, il s'agit quand même d'une perte nette, surtout au chapitre de la diversité. Ces trois complexes sont exploités par la chaîne Cineplex Odeon, laquelle est en situation de monopole au centre-ville. L'autre grande chaîne de la région montréalaise, les Cinémas Guzzo, exploite quatre complexes ailleurs dans l'île (Marché central, Sphèretech, à Saint-Laurent, Lacordaire, dans le Nord-Est, et Des Sources, à Dollard-des-Ormeaux), et préfère visiblement installer ses Méga-Plex en banlieue. Comment en sommes-nous arrivés là? Dans son excellent ouvrage Les salles de cinéma au Québec, publié aux Éditions GID il y a cinq ans, le professeur de cinéma Pierre Pageau voit l'arrivée de la vidéocassette et des chaînes de télévision payante dans les années 80 comme un grand tournant. «Pour faire face à la situation, on procède à la création de grands complexes cinématographiques regroupant des multisalles», écrit-il. Déjà, au cours des années 70, plusieurs grandes salles à écran unique ont été fractionnées. On construit aussi au milieu des années 80 de nouveaux cinémas comportant quelques salles (Le Faubourg Sainte-Catherine, L'Égyptien, le Centre Eaton, Cineplex 9). Mais ceux-ci ne vivront qu'une quinzaine d'années. Une concentration d'activités Pour concurrencer les nouvelles formes de consommation à domicile, les chaînes répliqueront en se débarrassant de leurs plus petites salles à la fin des années 90 pour mieux concentrer leurs activités dans de nouveaux grands complexes multisalles. On veut du gros, on veut de l'écran géant, on veut du son. Très fort. Autrement dit, on met à l'affiche des superproductions spectaculaires, plus propices à inciter le spectateur - plutôt jeune - à se déplacer. Du coup, les oeuvres plus intimes, destinées à un public adulte, ont davantage de difficulté à se faire valoir. La fermeture récente des trois salles d'Excentris rend le cinéma d'auteur encore plus orphelin d'écrans au centre-ville. On voit mal comment le Quartier latin, seul cinéma à proposer du cinéma en français, pourrait absorber les productions un peu plus «pointues» que l'enceinte du boulevard Saint-Laurent affichait sur sa marquise. Il n'est pas dit que le Cinéma Beaubien, beaucoup moins central, soit en mesure d'offrir un refuge à tous ces films non plus. Le Cinéma du Parc peut de son côté s'appuyer sur une clientèle fidèle, mais propose une programmation visant plutôt un public anglophone ou bilingue. Absence d'équilibre Dans la plupart des métropoles du monde, on trouve habituellement au centre-ville un équilibre entre les grands complexes multisalles et des salles «à l'ancienne», à dimension plus humaine. Cet équilibre a malheureusement disparu à Montréal. L'évolution démographique de la région - et les difficultés causées par les entraves à la circulation - a en outre fait en sorte que de nombreux spectateurs préféreront de loin fréquenter les complexes de banlieue, particulièrement ceux qui résident dans la couronne nord ou la Rive-Sud. Et ils iront voir les films qu'on leur propose, les mêmes que partout ailleurs. D'évidence, la diversité de l'offre en souffre grandement. Voilà le grand problème auquel les distributeurs indépendants sont maintenant confrontés. Tant que le cinéma d'auteur aura besoin du prestige d'une sortie en salle pour se faire remarquer, il faudra bien un endroit de diffusion quelque part au centre-ville. Le tout nouveau Quartier des spectacles aurait dû être, en principe, un endroit propice pour la création de nouvelles salles de cinéma. Or, aucun projet en ce sens n'existe. Qui veut encore du centre-ville?
  22. UrbMtl avait publié cette image dans un autre fil, il y a un bon temps déjà. Il n'y avait pas de fil pour discuter de ce projet, alors j'en crée un.
  23. Ce projet est situé dans le quartier Mercier-Ouest au 5655 rue Pierre-de-Coubertin, Montréal. Photos : Construction Vergo
  24. Cet édifice fédéral est situé dans le nouveau quartier écologique d'Estimauville à Québec. Photographe : Stéphane Groleau
  25. En attendant la ligne bleue Par Marc-André Carignan Le moins qu’on puisse dire à propos de la rue Jean-Talon Est, c’est qu’elle n’est vraiment pas l’artère commerciale la plus attrayante de Montréal. Pour y avoir travaillé dans une autre vie, je vous avoue que je ne m’ennuie pas tellement de son architecture commerciale et résidentielle disparate, de ses trottoirs ravagés par le temps et de ses arbres chétifs qu’on peut pratiquement compter sur les doigts d’une main. Et que dire de ses «mosaïques» d’asphalte et de pavé uni de trois ou quatre mètres de large, faisant grossièrement le lien entre le trottoir et les façades commerciales? Quelques restaurants y ont vu l’occasion d’aménager des terrasses, mais pour les autres, c’est un espace tristement oublié où pousse la mauvaise herbe. Cela dit, il faut reconnaître que l’artère s’en sort relativement bien sur le plan commercial, particulièrement à l’est de Viau. On y croise peu de locaux vacants, alors que les communautés culturelles (ghanéenne, arménienne, algérienne…) trouvent progressivement leur place dans cette zone longtemps dominée par la communauté italienne. La qualité de l’offre commerciale s’améliore également avec de nouveaux commerçants qui décident d’en faire leur terre d’accueil. Reste que cette artère névralgique de Saint-Léonard a mal vieilli et aurait besoin d’un peu d’amour. «Il faut ramener un sentiment de fierté sur la rue, avoue Sylvain Tardif, directeur de la Société de développement commercial (SDC) Jean-Talon Est. On a besoin de places publiques, de verdure, d’art public. On doit donner le goût aux résidants et aux commerçants de s’impliquer dans le quartier.» M. Tardif planche d’ailleurs en ce moment, en collaboration avec la ville-centre, sur un projet de revitalisation urbaine estimé à 3M$, qui s’étendrait de Viau à Langelier. Les objectifs: verdir Jean-Talon Est, favoriser la marche, voire le vélo, avec un design urbain adéquat et, surtout, attirer de nouvelles PME. «Il y a de la pauvreté dans le quartier, et la création d’emplois pour les nouveaux arrivants est une priorité, poursuit M. Tardif. Plusieurs d’entre eux sont diplômés, mais n’arrivent pas à travailler. […] On veut donc attirer de nouveaux commerces, mais aussi remplir nos bureaux avec des entreprises qui offrent des emplois de qualité.» Pour le directeur de la SDC, un milieu de vie plus attractif est incontournable à ce stade-ci pour réussir à attirer de nouveaux investisseurs. Il compte également sur l’arrivée tant espérée (mais pas encore confirmée) de la ligne bleue du métro. «Beaucoup de gens circuleront à pied pour se rendre aux stations de métro, notamment sur Jean-Talon, indique-t-il. Il faut préparer le quartier pour mieux desservir les futurs usagers. Il faut aussi penser à densifier le secteur pour y amener davantage de résidants. […] Il y a encore beaucoup de pain sur la planche.» La ville-centre et l’arrondissement Saint-Léonard organiseront des consultations publiques cet hiver afin d’inviter les résidents et les commerçants à participer au projet de revitalisation urbaine. Le début de travaux est prévu pour 2017. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/853933/en-attendant-la-ligne-bleue/
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