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  1. Des experts s'interrogent sur l'avenir de la papetière au moment où elle s'apprête à dévoiler ses résultats du dernier trimestre 2008. La vente de ses actifs québécois pourrait être une solution à son manque de liquidités. Pour en lire plus...
  2. George St-Pierre (GSP) : Victoire sans équivoque Samedi 31 janvier 2009 RDS.ca Georges St-Pierre (Photo PC) Le Québécois Georges St-Pierre n’a laissé aucun doute quant à son statut de légende vivante des arts martiaux mixtes. L’athlète originaire de Saint-Isidore a facilement défendu sa ceinture des poids mi-moyens de l’UFC en battant par K.-O. technique le champion des poids légers B.J. Penn, lors du UFC 94 présenté samedi soir à Las Vegas. St-Pierre (18-2), qui avait battu Penn par décision partagée à UFC 58 en mars 2006, a été en contrôle de la première à la dernière seconde et les médecins n’ont eu d’autre choix que de stopper le carnage après un quatrième round où l’Américain en a eu plein les bras. « Je m’entrainais depuis le mois de septembre en vue de combat », a déclaré le Québécois, qui a été ardemment encouragé par les spectateurs réunis au MGM Grand Garden Arena. « Je suis très fier de ce que j’ai réalisé. » Après un premier round où les deux combattants sont demeurés debout, St-Pierre a véritablement commencé son travail de destruction en envoyant son adversaire au sol au deuxième assaut. Le Québécois a lancé de solides coups de poings au visage de Penn, le coupant sous l’œil gauche. St-Pierre a également envoyé quelques coups de genou dans les côtes de Penn, qui tentait tant bien que mal de retenir St-Pierre avec ses deux jambes. Dès le début de la troisième reprise, St-Pierre a délivré une solide gauche au visage de Penn, qui a immédiatement commencé à saigner du nez. Le reste du round s’est déroulé au sol, l’Américain continuant à encaisser la rafale de coups du Québécois. Le quatrième assaut aura été à l’image des deux précédents à la différence que Penn avait de plus en plus de mal à monter sa garde. Le supplice a finalement pris fin après que les médecins eurent décidé le combattant originaire d’Hawaï en avait eu assez. ------------- Ce gars la est une grande vedette, le Québécois le plus populaire internationnalement actuellement, nul n'est prophète en son pays qu`ils disent...
  3. Les Québécois s'appauvrissent de jour en jour * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 09:44 Un Québécois gagne chaque semaine 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Le Québec est la seule province canadienne où le salaire moyen a baissé entre octobre et novembre derniers. Ainsi, les salariés québécois gagnaient en moyenne 746,68 dollars par semaine en novembre, soit 1% de moins qu’en octobre. Toutes les autres provinces et territoires canadiens ont vu les salaires moyens stagner ou augmenter, à l’image de l’Alberta où la hausse a été de 1,7% d’un mois sur l’autre, selon Statistique Canada. Si l’on regarde l’évolution des salaires sur une année, le Québec, là encore, enregistre l’une des plus faibles progressions, avec un +1,4% de novembre 2007 à novembre 2008. Les plus fortes hausses concernent l’Alberta (+5,8%), les Territoires du Nord-Ouest (+5,8%), la Saskatchewan (+4,2%) et Terre-Neuve-et-Labrador (+4%). Les salaires chutent dans l’immobilier À l’échelle du Canada, les salaires ont augmenté en moyenne de 0,4% entre octobre et novembre, et de 2,7% en un an. Le salaire canadien moyen est maintenant de 804,58 dollars. Un Québécois gagne donc chaque semaine quelque 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Les secteurs économiques canadiens qui ont vu les salaires moyens le plus baisser d’un mois à l’autre sont ceux de l’immobilier (-4,7%, à 677,71 dollars), de l’hébergement et de la restauration (-3,2%, à 334,35 dollars), de la foresterie (-1,7% en un mois, à 978,31 dollars) et du commerce de gros (-1,1%, à 936,52 dollars). De moins en moins de salariés En terme de nombre de salariés, presque toutes les provinces et territoires canadiens ont enregistré des baisses entre octobre et novembre. De son côté, le Québec a enregistré une perte de 0,3% de salariés, à 3 310 400. Ceux qui s’en sortent le mieux sont les Territoires du Nord-Ouest (+4,5%) et la Saskatchewan (+0,5%). Les secteurs économiques canadiens les plus touchés par la diminution du nombre de salariés sont la foresterie (-4%), la fabrication (-1,6%) et la construction (-1,5%).
  4. Le secteur québécois des technologies n'est pas insensible aux mauvaises nouvelles en provenance des États-Unis, mais on est loin de la crise. Pour en lire plus...
  5. La société McKesson Canada offre d'acheter l'ensemble des actions du groupe québécois Uniprix, propriétaire des chaînes de pharmacies Uniprix, Unipharm et Uniclinique. Pour en lire plus...
  6. Pendant qu'Hydro demande aux Québécois d'économiser l'électricité par temps froid polaire, elle allonge plus de 7000 $ pour chaque mégawatt racheté à des clients industriels. Pour en lire plus...
  7. Après avoir bâti leur industrie en mettant en valeur une multitude de produits, les publicitaires québécois doivent maintenant passer à une nouvelle étape et se vendre eux-mêmes. Pour en lire plus...
  8. Le télédifuseur québécois Astral Media entame l'exercice 2009 avec une hausse des ventes et du bénéfice net au premier trimestre. Pour en lire plus...
  9. Québec préfère Telus à Bell 10 janvier 2009 - 10h42 La Presse Maxime Bergeron Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Québec a lancé un appel d'offres en avril dernier pour faire migrer deux réseaux de transport de données vers un seul. Après une analyse des deux seules candidatures reçues - celles de Bell et Telus -, le ministère des Services gouvernementaux (MSG) a jugé que l'entreprise de Vancouver était plus qualifiée que sa contrepartie montréalaise pour réaliser ce mandat. «C'est Telus qui présente la meilleure proposition», a résumé Jacques Duval, porte-parole du MSG, pendant un entretien téléphonique. Le contrat s'étalera sur 5 ou 10 ans et procurera jusqu'à 923 millions à Telus. Bell, qui perd un important mandat dont il avait la charge depuis 1989, s'est engagé à collaborer pour assurer une période de transition de deux ans. Le nouveau mégaréseau desservira 160 ministères et organismes provinciaux de même que 350 établissements du secteur de la santé. Telus installera dans un premier temps tous les équipements nécessaires, puis gérera le système. Ce réseau constitue un «très gros morceau» dans l'infra-structure de télécommunications de l'État québécois, a indiqué Jacques Duval. Et il sera de plus en plus utilisé, au fur et à mesure que les besoins en bande passante augmenteront. Le transfert électronique de photos médicales, par exemple, requiert beaucoup de puissance, a-t-il expliqué. Contrat historique Chez Telus, dont le siège social québécois est situé à Rimouski, on jubilait hier. Il s'agit là d'une victoire majeure pour l'entreprise de l'Ouest canadien, qui vient décrocher un mandat de taille dans l'arrière-cour de Bell Canada. «Je peux affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est le plus gros contrat de notre histoire», a dit Stacey Masson, porte-parole de Telus au Québec. Telus affirme que l'attribution de ce contrat n'est lié à aucune promesse de création d'emplois ou d'investissements supplémentaires au Québec, où le groupe compte environ 5000 employés. «Pas besoin de faire de promesses parce que, dans le fond, on n'aura pas le choix: on va engager au moins 200 personnes pour les besoins du contrat, surtout à Québec», a soutenu Mme Masson. C'est Nathalie Normandeau, vice-première ministre du Québec, qui a confirmé le retrait du contrat à Bell avant-hier en répondant à la question d'un journaliste en Gaspésie. Radio-Canada a diffusé la nouvelle jeudi soir. Mme Normandeau a refusé d'accorder une entrevue à La Presse Affaires hier pour donner plus de détails. Son attachée de presse nous a dirigé vers la ministre des Services gouvernementaux, Dominique Vien, qui a elle aussi refusé de nous parler. L'appel d'offres a été géré au gouvernement sans intervention du politique, a fait valoir le porte-parole de Mme Vien pour justifier ce refus. Au MSG, Jacques Duval a expliqué que les deux entreprises ont présenté leurs soumissions après avoir lu un devis technique de plusieurs centaines de pages. En gros, il s'agissait de répondre le mieux possible aux besoins de l'État «en matière de sécurité, de robustesse et de capacité du réseau», a-t-il dit. Ce que Telus aurait mieux fait que Bell. Déception La perte de cet important contrat a été reçue comme une «déception» à Bell Canada, un mois à peine après l'échec du rachat de l'entreprise par Teachers' pour 52 milliards. Le porte-parole Jacques Bouchard s'est toutefois employé à en relativiser l'ampleur. «On continue d'être un bon fournisseur du gouvernement et on va tout faire pour ravoir le contrat.» Le conglomérat montréalais gère notamment 28 000 lignes téléphoniques de l'État, un contrat de 70 millions de dollars. Aussi, Bell touchera des redevances de Telus au cours des prochaines années puisque l'entreprise de Vancouver utilisera une partie de son réseau pour réaliser son nouveau contrat, a souligné M. Bouchard, sans les quantifier. La nouvelle a malgré tout pesé sur le moral de certains employés, hier. «C'est une autre tuile qui nous tombe sur la tête, a confié un responsable des réseaux sous le couvert de l'anonymat. Le climat est à la déception et à l'incertitude, surtout dans le contexte économique actuel.» Les travailleurs craignent de nouveaux licenciements, après les vagues de compressions des derniers mois, ce que Bell exclut pour l'instant. «Mais le pire dans tout ça, c'est que ça vient confirmer que Bell a perdu son statut de chef de file», a ajouté l'employé. Bataille à venir Selon Amit Kaminer, analyste en télécoms au SeaBoard Group, les péripéties qui ont entouré le rachat avorté de Bell Canada Entreprises par Teachers' ont probablement déconcentré l'entreprise au cours des 18 derniers mois. «Bell est une société en transition, en changement de rapport, a-t-il avancé. Mais quand on change de vitesse dans une voiture, il y a toujours un moment où les roues ne répondent plus au moteur. Telus a vu ce moment et en a profité.» La perte de ce contrat viendra faire grimper d'un cran la concurrence entre les deux géants, croit M. Kaminer. «Tous les coups sont maintenant permis. Maintenant que Telus a été capable de lui arracher ce contrat, je crois que Bell sera plus combative aussi dans les territoires de Telus.» Le titre de BCE a clôturé à 24,32$ hier à la Bourse de Toronto, en baisse de 1,3%, et celui de Telus a fini à 35,13$, en hausse de 0,5%.
  10. De l'Agence France-Presse http://fr.news.yahoo.com/2/20090110/twl-le-velo-en-hiver-un-moyen-de-transpo-36d2a39_1.html Le vélo en hiver, un moyen de transport téméraire mais populaire au Québec De plus en plus de cyclistes québécois refusent de ranger leurs bicyclettes durant l'hiver et persistent à pédaler sous la neige, un exercice parfois périlleux, mais qui peut être facilité par un équipement adapté. "C'est un peu dangereux, mais ce n'est pas si compliqué", souffle Valérie Lemieux, installée sur son vélo de route le long d'une piste cyclable dans le centre de Montréal. "Je m'organise avant de partir. Il faut des bonnes mitaines, un casque, des bonnes bottes. Et puis plusieurs couches de vêtements", ajoute l'étudiante, dont on distingue à peine le visage entre une épaisse écharpe et un cache-oreilles. Comme elle, près de 200.000 Québécois enfourchent leurs vélos pendant les longs mois d'hiver, dont 50.000 à Montréal, selon un sondage effectué en 2005 par l'association Vélo Québec. Face à la popularité de ce mode de déplacement, les autorités montréalaises ont prévu dans leur dernier plan de transport d'étendre à 70 km le réseau de pistes cyclables déneigées d'ici 2014. Déjà 30 km de ce "réseau blanc" (son nom officiel) sont en service cette année. Que ce soit pour faire de l'exercice, par souci de l'environnement ou par soif d'adrénaline, les motivations des "snowbikers" sont diverses. "Tu as plus le contrôle de quand tu pars, quand tu arrives. Ça te tient en forme et puis, c'est bon pour l'environnement...", dit Valérie Lemieux. "C'est le côté extrême que j'aime bien", explique Isabelle Pénélope, qui se sert de sa bicyclette aussi bien pour amener sa petite fille à l'école que pour dévaler les sentiers sinueux et glacés du Mont-Royal, la montagne boisée du centre de la métropole québécoise. "Je suis déjà tombée dans un parc avec ma fille sur le siège arrière. On a glissé et j'ai eu très mal... Mais on est reparties", rigole-t-elle. Quant à Mathieu Bomblet, un belge originaire de Liège, il se déplace en VTT car farouchement opposé aux transports en commun, trop lents et trop chers selon lui. "Ça réveille bien le matin ! Sur la route, ça va, mais sur les trottoirs, c'est plus glissant", dit-il, agrippant d'une main ses patins et sa crosse de hockey, de l'autre le guidon d'un VTT aux freins complètement hors d'usage. "Je n'ai plus que les pieds pour freiner... c'est un peu casse-figure, mais c'est ça qui est bien", ajoute le jeune homme. Tous les cyclistes hivernaux ne sont pas aussi téméraires et la plupart s'équipent spécifiquement pour le climat. Certains constructeurs, tels le canadien Louis Garneau ou l'américain Surly, proposent des modèles modifiés spécialement pour l'hiver. Ces petites reines possèdent des dérailleurs intégrés dans le moyeux afin de prévenir la rouille, des pneus cloutés pour éviter les dérapages ou carrément des pneus larges de 9,4 cm pour "flotter" sur la neige. "Il y a eu beaucoup de glace au début de l'hiver, tout le monde tombait... Les gens ont dévalisé nos stocks de pneus à clous, même notre fournisseur n'en a plus", raconte Christian Bisnaire, vendeur dans un magasin de sport. Patrick Howe, porte-parole de l'association Vélo Québec, félicite les autorités d'avoir pris conscience de l'engouement des Québécois pour le vélo d'hiver, mais regrette que Montréal demeure sous "la dictature des déneigeurs". "L'automne venu, la ville nettoie ou retire à peu près tout le mobilier urbain. On n'a plus de banc ni de stationnement pour attacher nos vélos!", regrette-t-il.
  11. La récession est venue à bout de la robustesse des marchés du travail canadien et québécois en fin d'année et elle mordra davantage cet hiver. Pour en lire plus...
  12. Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Pour en lire plus...
  13. Hausse des saisies immobilières au Québec 8 janvier 2009 - 10h01 LaPresseAffaires.com La crise immobilière aux États-Unis a quelques impacts au Québec, où les saisies de propriétés ont monté de façon importante en 2008. C'est ce que révèle ce matin le Journal de Montréal citant un relevé de la firme GDL Crédit Ressources, de Québec. Selon la firme, 2354 Québécois ont perdu leur maison l'an dernier, soit un bond de 39% comparativement à 2007. Décembre 2008 a été un mois très difficile avec 196 saisies, une hausse de 63% comparativement à la même période l'année précédente. Le plus grand prêteur québécois, le Mouvement Desjardins, a connu 1716 préavis de défauts de paiement et 563 saisies. La Banque Nationale, la TD et la CIBC ont reçu respectivement 246, 152 et 151 préavis.
  14. La valeur totale des actifs des Québécois atteignait un peu plus de 94 milliards au troisième trimestre de 2008, selon les données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). Pour en lire plus...
  15. Le géant laitier québécois Agropur nourrit ses ambitions américaines en réalisant une deuxième acquisition dans ce pays en moins d'un an. Pour en lire plus...
  16. Les grandes différences entre les secteurs manufacturiers québécois et ontarien rendent la province voisine plus vulnérable aux déboires de l'économie américaine. Pour en lire plus...
  17. C'est moins facile que ça l'était, mais ça se trouve encore. Le producteur québécois d'énergie Innergex vient de trouver 53,4 millions pour financer son projet éolien de Carleton en Gaspésie. Pour en lire plus...
  18. Le tourisme québécois était déjà en perte de vitesse avant la présente tempête économique, et il faut accélérer les investissements pour lui redonner rapidement son erre d'aller, affirment des représentants de l'industrie touristique. Pour en lire plus...
  19. Les projets publics soutiendront la construction 1 décembre 2008 - 11h59 Presse Canadienne Les chantiers de construction seront soutenus par les investissements publics en 2009, estime la Commission de la construction du Québec (CCQ). En rendant publiques ses perspectives, lundi, la CCQ a souligné que l'industrie bénéficiera notamment du Plan québécois des infrastructures qui, à lui seul, permettra l'investissement de 30 G$ d'ici 2012 dans le réseau routier, le transport en commun, les infrastructures municipales, la santé et l'éducation. Parallèlement au Plan québécois des infrastructures, Hydro-Québec augmentera ses investissements puisque le chantier du complexe La Romaine s'ajoutera à celui de l'Eastmain-1A-Rupert-La Sarcelle, a ajouté la Commission. Le bâtiment institutionnel devrait aussi profiter d'une croissance grâce aux investissements publics qui seront faits dans les écoles et les hôpitaux. Une croissance de 10% est anticipée dans ce secteur, ce qui permettra de compenser en bonne partie les baisses possibles dans le bâtiment commercial. Le bâtiment industriel, qui est éprouvé depuis quelques années par la vigueur du dollar canadien et par la vivacité de la concurrence étrangère, conservera, en 2009, son niveau actuel. Quant à la construction résidentielle, la CCQ anticipe un léger ralentissement - de sept pour cent - des heures travaillées dans ce secteur en 2009. Selon les prévisions de la CCQ, la légère diminution des investissements dans le secteur résidentiel et dans le bâtiment commercial sera compensée, en 2009, par les investissements publics - qui représentent près de 70% des investissements non résidentiels en construction. La Commission prévoit qu'en 2009 la construction occupera plus de 140 000 travailleurs et que l'industrie aura besoin en moyenne annuellement de 14 000 nouveaux travailleurs d'ici 2012 afin de réaliser les travaux prévus. En 2008, l'industrie a attiré et intégré 14 000 nouveaux travailleurs pour répondre aux besoins en main-d'oeuvre des entrepreneurs.
  20. Le sous-sol québécois est l'un des plus riches au monde. Et de toute évidence, il n'a pas fini de nous étonner. Pour en lire plus...
  21. Aucun Québécois avec ÉCJ? (Corus Sports)- Pour la première fois de l'histoire, Équipe Canada Junior pourrait n'aligner aucun Québécois en janvier prochain. Encore pire, ils pourraient tout simplement être absents du camp d'entraînement. Hockey Canada dévoilera mercredi prochain sa liste d'invitation en vue du camp d'entraînement d'ÉCJ. Selon notre collègue Stéphane Leroux, ne comptez pas trop sur les Québécois pour aider le pays à décrocher l'or encore cette année. «Ça se peut qu'il n'y ait même pas de Québécois pure laine d'invité.» «Ça revient chaque année et je me fis toujours à ce que l'on voit au repêchage de la LNH. Le Québec est toujours moins bien représenté que l'Ouest et l'Ontario, c'est la même chose pour la composition d'Équipe Canada junior.» Prenons en exemple le dernier encan de la LNH. Seulement 27 représentants de la LHJMQ ont été sélectionnés, comparativement aux 46 de l'Ontario et aux 36 de l'Ouest. La statistique la plus effrayante: aucun n'a été choisi en première ronde, contre 11 de l'Ontario et 9 de l'Ouest. Preuve que l'Ouest du pays semble encore une fois posséder les meilleurs talents cette année, analysons les résultats des derniers d'étoiles contre l'équipe russe. Après avoir remporté le premier duel 5-3, la LHJMQ s'est inclinée lors du 2e par la marque de 4-3. Pendant ce temps, les deux autres ligues enlevaient leurs deux matchs respectifs, l'Ontario gagnant 6-3 et 3-2 tandis que l'Ouest ne faisait qu'une bouchée des Russes 5-0 et 2-1. À défaut de ne pas retrouver de Québécois, certains joueurs de la LHJMQ devraient être présents au camp. Jake Allen, gardien du Junior de Montréal, et Christopher DiDomenico, solide centre des Sea Dogs de Saint John seront invités. Les deux sont toutefois natifs respectivement du Nouveau-Brunswick et de l'Ontario. Problèmes de développement? «Ce que je trouve agaçant, en janvier 2006, Équipe Québec Midget a remporté le Championnat du monde. Ces joueurs-là avaient 15 ou 16 ans à l'époque. On pensait alors qu'ils allaient former le noyau d'ÉCJ en 2009. Aujourd'hui, peut-être qu'aucun de ces 20 joueurs-là ne va être invité au camp», a analysé Leroux. Imaginez, 4 joueurs ne jouent même plus au niveau junior. Du groupe de 2006, seulement deux joueurs pourraient être invités au camp: Angelo Esposito et Kevin Marshall. Encore là, cette présence au camp est loin de leur assurer une place au sein de la formation finale. Parlez-en à Esposito, qui a été retourné chez lui lors des 3 derniers camps... «On va l'inviter seulement si on pense qu'il a de très bonnes chances de faire l'équipe. On ne voudrait pas l'humilier pour une 4e année de suite.» «Les autres de l'édition 2006, ils ne sont même pas proches d'être invités.»
  22. Une nouvelle hausse des tarifs d'électricité en 2009 causerait une perte du pouvoir d'achat des ménages québécois, plus précisément ceux à faibles revenus. Pour en lire plus...
  23. Un Québécois doit 873 millions $ à Facebook ! 24 Novembre 2008 - 15h24 (INFO690)- Facebook a gagné son procès contre un québécois qui bombardait les usagers de millions de messages non sollicités à caractère sexuel ou faisant l'éloge de drogues. Ce dernier a été condamné à verser 873 millions $ à Facebook. Un juge californien, a signé le jugement par défaut vendredi, mettant un terme à des poursuites engagées par Facebook en août dernier contre Adam Guerbuez, de Montréal, et sa société, Atlantis Blue Capital. Selon Facebook, Adam Guerbuez avait dupé les usagers en les amenant à révéler leurs mots de passe, pour pouvoir ensuite envoyer plus de quatre millions de messages faisant notamment l'éloge de la marijuana. L'entreprise de Palo Alto, qui est basée en Californie, a prédit qu'il serait difficile de récolter l'argent, mais elle a espéré que le montant de l'amende découragerait de futurs «spammers» sur son site.
  24. Même si la crise économique fait peur aux Québécois, elle ne les empêche pas de dépenser pour leurs loisirs. Pour en lire plus...
  25. Intégration difficile des immigrés au marché du travail 21 novembre 2008 - 06h37 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Déclenchée sur fond de crise financière, la campagne électorale québécoise accorde une grande place à l'économie. Comme les partis politiques ont décidé d'en faire leur principal enjeu électoral, La Presse Affaires leur pose cette semaine cinq grandes questions économiques. Aujourd'hui : faut-il augmenter l'immigration afin de régler la pénurie de main-d'oeuvre ? Carlos Leitao est né au Portugal. Il a suivi ses parents au Québec à l'âge de 17 ans. Trente-cinq ans plus tard, il est l'un des économistes les plus réputés de sa terre d'adoption - l'agence Bloomberg le place même au deuxième rang des meilleurs économistes en Amérique du Nord! S'il y a un économiste qui devrait penser que l'immigration peut régler le problème de pénurie de main-d'oeuvre au Québec, c'est bien lui. Et pourtant, l'économiste en chef de la Banque Laurentienne ne croit pas à cette théorie. «Il faut augmenter le nombre d'immigrants, mais pas pour régler la pénurie de main-d'oeuvre, dit Carlos Leitao. J'ai une vision plus humaniste de l'immigration. Pour la pénurie de main-d'oeuvre, la solution numéro un reste la formation de la main-d'oeuvre. Dans ce contexte-là, on peut toujours aller chercher des immigrants dans des domaines spécialisés, mais l'immigration ne réglera pas la pénurie de main-d'oeuvre de façon générale.» Carlos Leitao sait de quoi il parle. Pendant qu'il faisait ses études en économie, ses parents gagnaient honorablement leur vie dans l'industrie du vêtement et de la construction. Aujourd'hui, la famille Leitao aurait beaucoup plus de difficulté à joindre les deux bouts dans la même situation. «L'économie québécoise a beaucoup changé au cours des 35 dernières années, dit-il. Quand mes parents sont venus au Québec, il y avait plein d'emplois non spécialisés avec lesquels il était tout à fait faisable de mener un niveau de vie décent. Ce genre d'emplois est très rare aujourd'hui.» Les plus récentes statistiques concluent que l'intégration des immigrants au marché du travail se fait plus difficilement au Québec que dans le reste du Canada. Selon Statistique Canada, le taux de chômage chez les immigrants est supérieur de 1% au taux de chômage moyen des Canadiens en 2007 (7,0% pour les immigrants canadiens contre 6,0% pour les Canadiens en général). Au Québec, l'écart est de 3,3% (10,5% pour les immigrants québécois contre 7,2% pour les Québécois en général). Selon une étude du professeur Pierre Fortin, les nouveaux arrivants au Québec (moins de cinq ans de séjour) ont beaucoup plus de difficultés à trouver un emploi que ceux qui s'établissent en Ontario. Chez les minorités visibles (arabe, africaine, sud-asiatique, orientale, etc.), l'écart du taux de chômage des immigrants par rapport à celui de la population en général est de 16% au Québec contre 6% en Ontario. Quant aux immigrants de race blanche, l'écart par rapport à la moyenne provinciale est de 11% au Québec contre 4% en Ontario. «La situation économique des immigrants au Québec est tragique comparativement à celle des autres provinces du pays, dit Pierre Fortin, qui enseigne l'économie à l'UQAM. Le Québec intègre très mal ses immigrants à son économie.» Même si le taux de chômage des immigrants est plus élevé que la moyenne québécoise, le gouvernement Charest soutient que les choses s'améliorent. L'an dernier, le taux de chômage des immigrants québécois est passé de 12,0% à 10,2%. Les immigrants arrivés au Québec depuis moins de trois ans font encore mieux: leur taux de chômage a diminué de 13,4% à 10,7% l'an dernier, selon les chiffres d'Emploi-Québec. Au cours des prochaines années, le gouvernement Charest espère attirer environ 9000 immigrants supplémentaires au Québec - ce qui porterait le total à 50 000 nouveaux arrivants annuellement. Un contingent qui comblerait une partie des 700 000 emplois disponibles au Québec d'ici 2011. «Si nous ne réglons pas la pénurie de main-d'oeuvre, ça peut signifier une décroissance économique pour le Québec», dit le ministre québécois de l'Emploi et de la Solidarité sociale Sam Hamad, lui-même né à Damas, en Syrie. Selon la plupart des économistes, l'idée du gouvernement Charest d'accepter plus d'immigrants ne règlera pas le fond du problème: l'intégration difficile des immigrants au marché du travail québécois. «Il y a encore beaucoup de contraintes qui font en sorte que des immigrants médecins ou ingénieurs ne sont pas capables de pratiquer leur métier au Québec, dit Yves St-Maurice, économiste en chef adjoint du Mouvement Desjardins. Faire immigrer des médecins de l'extérieur pour les faire travailler dans un Tim Hortons, ça ne donne rien.» Mauvaise nouvelle pour les futurs immigrants québécois: leur intégration risque de continuer d'être difficile au cours des prochaines années. Le problème: ils sont surqualifiés! Près de la moitié - 48% en 2006 - des immigrants québécois détiennent une formation universitaire. Or, le Québec aura surtout besoin de nouveaux travailleurs dans les secteurs techniques d'ici 2011. Selon les prévisions d'Emploi-Québec, le Québec formera suffisamment de diplômés universitaires afin de combler les emplois universitaires disponibles sans l'apport de l'immigration. Le ministre Hamad tempère les conclusions de son ministère. Selon lui, il y a un besoin urgent d'immigrants qualifiés dans certains domaines universitaires comme l'ingénierie. «Nous avons besoin d'ingénieurs au Québec à l'heure actuelle, dit-il. Et avec les travaux d'infrastructures qui auront lieu au cours des prochaines années, il faudra des ingénieurs supplémentaires.» Conscient des défis entourant l'intégration des immigrants, le ministre Hamad fait valoir que le Québec a modifié ses critères d'évaluation des demandes d'immigration afin de mieux refléter les besoins de son marché du travail. «Nous croyons que l'immigration peut combler nos besoins de main-d'oeuvre», dit-il. L'économiste Pierre Fortin n'est pas d'accord avec les conclusions du ministre Hamad. «Avant d'augmenter le nombre d'immigrants, qu'on concentre plutôt nos efforts sur ceux qui sont déjà chez nous, dit-il. Nous sommes déjà débordés de néo-Québécois qu'on est incapable d'intégrer.» POUR Le Québec a besoin de 700 000 nouveaux travailleurs d'ici 2011. Près de la moitié des immigrants québécois ont un diplôme universitaire. CONTRE L'intégration des immigrants au marché du travail se fait plus difficilement au Québec que dans le reste du Canada. Au cours des prochaines années, le Québec aura surtout besoin de nouveaux travailleurs dans les secteurs techniques et non dans les secteurs universitaires. LA PÉNURIE DE MAIN-D'OEUVRE EN CHIFFRES 2012 Début de la crise de la pénurie de main-d'oeuvre (la population d'âge actif commencera alors à décliner au Québec...) 700 000 Nombre d'emplois à combler au Québec d'ici 2011 246 000 Nouveaux emplois engendrés par la croissance économique d'ici 2011 454 000 Emplois disponibles à la suite de départs de la retraite d'ici 2011 L'IMMIGRATION EN CHIFFRES 26 509 Nouveaux immigrants au Québec en 1998. 46 300 Nouveaux immigrants au Québec en 2007. 50 000 Pourcentage des immigrants québécois qui sont des immigrants économiques (en 2006). 41%
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