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  1. http://www.lapresse.ca/actualites/201607/22/01-5003797-tabagisme-les-logements-prochain-champ-de-bataille-.php Publié le 23 juillet 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Tabagisme: les logements, prochain champ de bataille ? Aux États-Unis, les organismes antitabac ont fait des représentations auprès des compagnies d'assurances pour qu'elles accordent des réductions aux immeubles interdisant la fumée dans tous les appartements. Mathieu Perreault La Presse Les occupants des appartements subventionnés par le gouvernement fédéral américain pourraient bientôt perdre le droit de fumer à la maison. Le département du Logement et du Développement urbain envisage une telle règle, que les autorités de santé publique réclament à cors et à cri. Cette bataille a un écho au Québec, où des groupes antitabac tentent de convaincre des coopératives d'habitation et certains grands propriétaires d'immeubles résidentiels d'emprunter la même voie. « Le débat est certainement lancé au pays », dit François Damphousse, de l'Association pour les droits des non-fumeurs. « Par exemple, la Société de logement communautaire d'Ottawa a adopté un règlement interdisant de fumer dans les logements, mais avec une clause grand-père pour les résidants fumeurs qui habitaient déjà les immeubles. Un règlement similaire est entré en vigueur en 2010 pour les logements sociaux de la ville de Waterloo en Ontario. » « Au Québec, nous accusons un certain retard en comparaison d'autres provinces, mais je crois que le mouvement pour des immeubles résidentiels complètement sans fumée va devenir de plus en plus populaire. » - François Damphousse, Association pour les droits des non-fumeurs M. Damphousse a notamment eu en 2009 un avis juridique d'un grand cabinet d'avocats qui affirme qu'une telle clause pourrait être valide devant la Régie du logement. Aux États-Unis, les organismes antitabac ont fait campagne auprès des compagnies d'assurances pour qu'elles accordent des réductions aux immeubles interdisant la fumée dans tous les appartements, selon Alan Charles Geller, spécialiste de la question de l'Université Harvard qui vient de publier un éditorial en ce sens dans le prestigieux Journal of the American Medical Association. « Certains affirment qu'en interdisant la cigarette dans les HLM, on fait la guerre aux pauvres, dit le Dr Geller. Je pense que si on préserve un préau abrité où il est possible de fumer, dans le stationnement de l'HLM en question, c'est parfaitement équitable. » UN IMMEUBLE SANS FUMÉE La Coopérative du lac St-François, à Valleyfield, a interdit il y a deux ans la cigarette dans tous ses appartements. « Après l'incendie dans la résidence pour personnes âgées dans le Bas-du-Fleuve [à L'Isle-Verte à la fin 2014), au C.A., on a décidé de sensibiliser les locataires et de faire un sondage, explique Roland Deschênes, préposé à la recherche de la coopérative. Seulement deux ou trois appartements sur 24 avaient des fumeurs. On leur a offert une clause grand-père, mais ils n'ont pas voulu s'identifier comme fumeurs. » Aucun espace extérieur couvert pour les fumeurs n'est offert. L'une des fumeuses qui ne s'est pas prévalue de la clause grand-père est la soeur de M. Deschênes, Jeanelle. « C'est merveilleux parce que j'ai eu un cancer de la gorge et que j'ai dû arrêter. J'ai commencé à fumer à 9 ans, j'ai arrêté à 68 ans. J'aurais peut-être recommencé sans ça. » - Jeanelle Deschênes Certains se sont montrés récalcitrants. Une nouvelle locataire, qui n'était pas couverte par une clause grand-père, a fini par quitter la coopérative peu après s'y être installée, selon M. Deschênes. Une autre, qui était voisine de Mme Deschênes et dont les deux grands garçons fumaient sur le balcon en contravention avec les règlements, a déménagé au rez-de-chaussée pour qu'ils puissent s'éloigner de l'immeuble. « Des fois, je sentais ça sur leur balcon, ça me donnait envie d'aller m'en chercher », dit Mme Deschênes. Au Front populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), un groupe de défense des droits des locataires, l'interdiction de fumer dans les appartements d'un immeuble suscite l'inquiétude. « A priori, il ne faut pas qu'un fumeur soit expulsé de son logement ou harcelé, dit Marie-José Corriveau du FRAPRU. S'il s'agit d'une décision de tous les membres d'une coopérative et qu'on ne touche pas aux fumeurs, là c'est O.K. Mais dans le cas du logement social, pourquoi appliquer une règle qui n'est pas imposée aux propriétaires privés de logements ou aux syndicats de copropriété ? C'est deux poids, deux mesures. Souvent, quand on sent la cigarette d'un autre logement, c'est un signe de mauvais entretien. Il ne faut pas faire porter ça au locataire. Je ne dis pas qu'il n'y a pas de problème avec la cigarette, je suis moi-même une ancienne fumeuse. Mais après ça, est-ce qu'on va interdire de cuire du poisson parce que les autres n'aiment pas l'odeur ? Ça n'a pas de bon sens. » «20 % Proportion des femmes québécoises adultes qui fumaient en 2010 17 % Proportion des femmes québécoises adultes qui fumaient en 2014 27 % Proportion des hommes québécois adultes qui fumaient en 2010 22 % Proportion des hommes québécois adultes qui fumaient en 2014 17 % Proportion des femmes canadiennes adultes qui fumaient en 2010 15 % Proportion des femmes canadiennes adultes qui fumaient en 2014 24 % Proportion des hommes canadiens adultes qui fumaient en 2010 21 % Proportion des hommes canadiens adultes qui fumaient en 2014 Source : Statistique Canada»
  2. Montreal company on the offensive! http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201605/02/01-4977110-bce-achete-manitoba-telecom-pour-39-miliards.php (Winnipeg) Le géant canadien des télécommunications BCE a annoncé lundi l'acquisition de Manitoba Telecom Services (MTS) pour 3,9 milliards de dollars. BCE acquerra l'ensemble des actions ordinaires émises et en circulation de MTS moyennant la somme approximative de 3,1 milliards et assumera l'encours de la dette nette d'environ 800 millions. Les actionnaires de MTS pourront choisir de recevoir 40$ en espèces ou 0,6756 par action ordinaire de BCE pour chaque action ordinaire de MTS, selon la proportion de la contrepartie totale, qui sera composée à 45% en espèces et à 55% en actions ordinaires de BCE. Le conseil d'administration de MTS a approuvé la transaction et recommande aux actionnaires de MTS de voter en faveur de celle-ci. La clôture de la transaction est prévue pour la fin de 2016 ou le début de 2017.
  3. Les baby-boomers ne repeupleront pas les villes, selon une nouvelle étude de l'Université Concordia. La proportion des déménagements de personnes âgées dont la destination est un quartier très urbanisé de Montréal a baissé de plus de 30%, à moins de 20%, depuis 20 ans, selon l'étude. C'est une baisse plus rapide que chez les autres groupes d'âge, et la plus haute parmi les grandes villes au Canada. «Dans les médias, on entend parler de baby-boomers qui rentrent en ville à leur retraite, parce qu'ils veulent profiter de la proximité des commerces et des divertissements et n'ont plus besoin de leur grande maison en banlieue, explique Zachary Patterson, géographe à Concordia, qui est l'auteur principal de l'étude publiée dans le Journal of Transport Geography. Des études américaines ont montré que ça ne semble pas être le cas. Nous voyons avec nos données que ça ne se produit pas non plus au Canada.» L'étude se penchait sur les déménagements vers les «quartiers urbains» (urban core) de six grandes villes canadiennes. À Montréal, cela correspond grosso modo aux quartiers sous le boulevard Métropolitaine, entre Hochelaga-Maisonneuve et Lachine et ceux qui bordent le boulevard Saint-Laurent jusqu'à la rivière des Prairies. Alors que Montréal est la seule grande ville où la proportion de jeunes qui déménagent vers un tel quartier urbain augmente depuis 1991, avec un léger plateau depuis 2001, elle connaît une baisse légèrement plus rapide de cette proportion chez les personnes âgées. À noter, Edmonton est une anomalie: la proportion de personnes très âgées (plus de 75 ans) déménageant vers un quartier urbain était supérieure à celle des jeunes de moins de 25 ans en 1991, et est toujours supérieure à celle de toutes les autres catégories d'âge. Qu'est-ce qui explique cette tendance? «Les terrains coûtent moins cher en banlieue, les gens choisissent de s'y établir, et probablement les résidences pour personnes âgées aussi», explique M. Patterson. Est-ce à dire que le stéréotype du baby-boomer qui veut s'installer près des théâtres, des restos et des petites épiceries de quartier pour y faire ses courses à pied est une invention médiatique? «Je ne peux pas m'avancer, mais il reste qu'on a vu ça seulement dans les médias, pas dans les données», dit le chercheur de Concordia. M. Patterson veut maintenant adapter les données de Statistique Canada de 2011, qui ont été faites selon un nouveau questionnaire très controversé (il n'est notamment plus obligatoire de le remplir), pour voir si la tendance se poursuit au-delà de 2006. http://www.lapresse.ca/actualites/201410/15/01-4809266-les-baby-boomers-ne-reviennent-pas-en-ville.php **** pas pour vous écoeurer, mais "I told you so".
  4. La popularité des condos en hausse au Québec La Presse Canadienne Québec La popularité des condominiums prend de l'ampleur au Québec. Cet attrait est particulièrement important en milieu urbain et chez les ménages avec peu ou pas d'enfants. Ces résultats sont tirés des données sociodémographiques de l'Institut de la statistique du Québec qui indiquent que la demande pour ce type de propriétés a bondi de 49 pour cent entre 2001 et 2006.L'Institut soutient que 94 pour cent des propriétaires de condos étaient concentrés dans l'une des six régions métropolitaines de recensement, en 2006: les trois quarts avaient opté pour celle de Montréal. Malgré cette progression notoire, la proportion de propriétaires de condos par rapport à l'ensemble des types de propriétés représente moins de 15 pour cent dans toutes les régions du Québec. Ailleurs au Canada, le rapport est nettement supérieur. En Colombie-Britannique, par exemple, certains secteurs voient le tiers de leur parc immobilier dominé par les condos. Cette situation fait en sorte que les chiffres du Québec paraissent plutôt faibles lorsqu'on les compare au marché canadien. Toutefois, l'Institut soutient que la tendance observée au cours des 15 dernières années laisse présager que l'intérêt, loin de s'estomper, ira en s'accélérant.
  5. Les syndiqués de GM au pays acceptent par une vaste majorité un plan de restructuration qui comprend un gel de salaire jusqu'en 2012, dans l'espoir de donner un coup de pouce à une industrie en difficulté. Pour en lire plus...
  6. Sondage L'économie et le français en déroute Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h10 http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2009/02/20090218-091000.html La langue française perd du terrain à Montréal, et l'économie se dégrade, constatent une majorité des Montréalais interrogés dans le cadre d'un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. Trois Montréalais sur cinq trouvent que l'état de la langue française dans leur ville se détériore. L'opinion des Montréalais rejoint donc les conclusions de plusieurs rapports -et d'une récente enquête du Journal de Montréal -qui démontrent que l'utilisation du français recule à Montréal, particulièrement dans les commerces du centre-ville. Le gouvernement a lancé plus tôt cet hiver une vaste campagne pour promouvoir l'usage du français dans les commerces montréalais. L'économie aussi Sans surprise, la même proportion des répondants juge que l'économie de la métropole va de mal en pis. À peine 2% des personnes interrogées croient que l'économie s'améliore. «Avec la crise économique que nous traversons, il est un peu normal que les gens soient pessimistes», fait remarquer le sondeur Jean-Marc Léger.
  7. Le Québec Inc. est en panne Martin Jolicoeur, Les affaires 09:30 Seulement 16% des Québécois ont déjà créé ou repris une entreprise. Le mythe du Québec entrepreneur est résolument en déclin. Un sondage Léger Marketing montre que la province se trouve bonne dernière pour la plupart des indicateurs de l’entrepreneuriat au Canada. Raymond Bachand réagit au sondage Entrepreneuriat : Québec, société distincte Ainsi, seulement 16% des Québécois adultes affirment avoir déjà créé ou repris une entreprise, selon le sondage commandé par la Fondation de l’entrepreneurship. C’est le pire résultat au pays, loin derrière la moyenne canadienne, qui est à 24%. Et quand on se compare, on se désole. Ainsi, en Alberta, 38% des répondants (soit plus du double qu’au Québec) ont vécu l’expérience de l’entrepreneuriat; 30% au Manitoba; 29% en Colombie-Britannique. « La situation est alarmante au Québec, commente Mario Girard, pdg de la Fondation de l’entreneurship. Si rien ne change, si on ne se mobilise pas rapidement pour changer les choses, on se prépare à un lendemain de veille assez terrible. » Basé à Québec, cet organisme a eu l’initiative de ce sondage, le plus important jamais réalisé sur la question au pays. Plus de 17 000 Canadiens ont été sondés, dont plus de 10 000 Québécois. Dans tous les résultats de ce sondage, un entrepreneur est défini comme une personne ayant créé ou repris une entreprise, en incluant les travailleurs autonomes. En queue de peloton Le Québec se trouve également en queue de peloton en ce qui concerne la proportion de ceux qui ont créé une entreprise au cours des cinq dernières années. Ainsi, 2,8% des Québécois affirment avoir tenté l’aventure. Ce résultat est inférieur du quart à la proportion observée dans le reste du Canada (3,7%). Cette proportion atteint 3,6% en Ontario, près de la moyenne nationale, et même 4,3% en Alberta et 4,6% en Colombie-Britannique. Dans cette dernière province, le nombre d’adultes qui affirment avoir fondé une entreprise au cours des cinq dernières années dépasse de 65% celui du Québec ! L’écart est cependant moins grand en ce qui concerne l’intention de création d’entreprises au Québec. Au cours des cinq prochaines années, 7,1% des Québécois affirment vouloir se lancer en affaires, comparativement à une moyenne de 7,5% dans le reste du pays. Mais bien qu’il soit proche de la moyenne nationale, ce résultat inquiète au plus au point les spécialistes de la question. Il indique en effet un recul brutal de l’ambition d’entreprendre des Québécois, qui tournait autour de 15%, en 2007, d’après le consortium de recherche internationale Global Entrepreneurship Monitor (GEM). « En deux ans, le désir d’entreprendre des Québécois a fondu de moitié ! » se désole Nathaly Riverin, vice-présidente, vigie, recherche et développement à la Fondation de l’entrepreneurship et responsable de GEM Canada. Derrière les Maritimes Le seul aspect pour lequel le Québec semble se rapprocher de la moyenne canadienne concerne la proportion de la population qui affirme... avoir fermé une entreprise ! À ce chapitre, le Québec affiche un taux de 5,8%, comparativement à une moyenne nationale de 5,7%. Un résultat d’autant plus surprenant que la proportion d’entrepreneurs dans la province (7,3%) est presque deux fois moindre que celle du reste du pays (13,8%). À titre de comparaison, en Alberta, pas moins de 16,8% de la population se dit propriétaire d’une entreprise; 8,6% dans les provinces maritimes. « Dans le passé, observe Nathaly Riverin, le Québec parvenait toujours à devancer une ou deux régions du pays. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Québec se trouve au tout dernier rang, et même bien souvent derrière les Maritimes. » Problème de financement ? Par ailleurs, on remarque que les entrepreneurs du Québec comptent davantage sur le financement institutionnel que les autres Canadiens pour créer leur entreprise. Interrogés sur leur principale source de financement, le tiers d’entre eux (34%) citent les banques et autres institutions telles que la SGF ou la Caisse de dépôt et placement du Québec, et seulement 16% leurs économies personnelles. En Alberta, les modèles de financement sont complètement inversés : 39% puisent d’abord dans leurs économies, et 10% seulement s’en remettent aux institutions financières. Autre surprise : lorsque les entrepreneurs du Québec demandent l’aide du gouvernement, c’est une fois sur deux (49%) pour de l’aide financière. Dans le reste du pays, cette proportion n’est que de 30%. Faut-il en conclure que les entrepreneurs du Québec dépendent trop de l’État ou de tiers pour réaliser leurs projets? Pas forcément, estime M. Girard, qui pointe plutôt la rareté des grandes fortunes privées au Québec. Le sondage de la Fondation de l’entrepreneurship est le plus important jamais réalisé sur la question au pays. La firme Léger Marketing a sondé 17 192 Canadiens de toutes les régions du pays par Internet entre le 23 janvier et le 3 février. Parmi les répondants, 10 665 habitent le Québec. Les résultats du sondage comportent une marge d’erreur de 0,33 % au Canada et de 4,1 % au Québec. Ce sondage sera répété chaque année au cours des quatre prochaines années, ce qui permettra de suivre l’évolution de l’entrepreneuriat au pays.
  8. Quelle est la proportion de votre travail que vous pouvez faire à l'extérieur des locaux de votre employeur, ou si vous travaillez à votre compte, à l'extérieur des locaux de votre client? Donnez des détails personnels si possible sur comment vous vous organisez pour faire le travail à l'extérieur.
  9. Les 200travailleurs ont accepté une nouvelle convention collective dans une proportion de 87%. Pour en lire plus...
  10. Il y a toujours eu un certain nombre de PME qui trouvaient que l'accès au crédit n'était plus ce qu'il était. Cette proportion est maintenant trois fois plus élevée. Pour en lire plus...
  11. Le 450 attire et le transport en commun est au neutre Dominique Lemoine, Lesaffaires.com 2 avril 2008 De plus en plus de Canadiens font du covoiturage pour se rendre au travail, mais pas les Montréalais. Photo: Bloomberg Les Canadiens sont depuis 2001 plus nombreux à choisir de travailler en banlieue et l’utilisation du transport en commun connaît une faible augmentation, selon l’analyse du Recensement 2006 diffusée mercredi par Statistique Canada. L’analyse révèle que le nombre de personnes travaillant dans les banlieues a augmenté deux fois plus vite (12,2%) que le nombre de personnes travaillant dans les grandes villes (5,9%) entre 2001 et 2006. Montréal aurait connu une augmentation de 3,7% de son nombre de travailleurs, alors que le nombre de travailleurs aurait augmenté à Laval de 16%, selon Jimmy Ruel, analyste principal chez Statistique Canada. Il explique cette popularité du travail en banlieue par la hausse du nombre de familles qui s’y installent depuis 10 ans. Travailler en banlieue lorsque l’on vit en banlieue serait plus avantageux au niveau des temps de déplacement, soutient-il. Les Canadiens qui travaillent en banlieue seraient toutefois beaucoup plus susceptibles de conduire leur voiture pour se rendre au travail. L’augmentation de la distance à parcourir pour se rendre au travail et un accès plus difficile aux transports en commun expliqueraient cette tendance. La distance médiane parcourue par les Canadiens pour se rendre au travail était de 7,6 kilomètres en 2006, de 7,2 kilomètres en 2001 et de 7,0 kilomètres en 1996. Faible hausse de l’utilisation des transports « verts » à Montréal Cette tendance à la hausse de l’utilisation de la voiture serait compensée en partie au Canada par le fait que plus d’un million de travailleurs se rendent au travail dans le siège du passager plutôt que derrière le volant. La proportion des travailleurs qui vont travailler en voiture comme passagers est passée au Canada de 6,9% à 7,7% entre 2001 et 2006. Cette tendance ne serait toutefois pas observée dans la région de Montréal où la proportion serait stable depuis 1996 autour de 5%. Les augmentations seraient plus fortes dans les villes de l’Est du Canada. Par ailleurs, la proportion des travailleurs canadiens ayant utilisé le transport public est passé de 10,5% en 2001 à 11,0% en 2006, une hausse de 0,5%. À Montréal par contre, la proportion des gens se rendant au travail en transport en commun ou en covoiturage n’aurait augmentée que de 0,7% entre 1996 (25,7%) et 2006 (26,4%), selon Jimmy Ruel. De son côté, l'Agence métropolitaine de transport de Montréal (AMT) parle d'une augmentation de 0,9% des déplacements annuels effectués dans la région métropolitaine, ce qui inclut les services de la STM et les trains de l'AMT. La porte-parole de l'AMT, Mélanie Nadeau, soutient que «l'AMT considère qu'il s'agit d'une bonne augmentation», compte tenu du fait que l'achalandage des transports collectifs était en «chute libre» entre 1986 et 1995. Elle soutient que la fréquentation a maintenant dépassée son niveau de 1986. http://www.lesaffaires.com/article/0/general/2008-04-02/475172/le-450-attire-et-le-transport-en-commun-est-au-neutre.fr.html
  12. Le nombre de diplômés universitaires bondit de 24% Archives La Presse Émilie Côté La Presse Les jeunes sont plus scolarisés que leurs aînés. Entre 2001 et 2006, le nombre d'adultes détenteurs d'un diplôme universitaire a fait un bond de 24%. «Pendant ce temps, la population n'a crû que de 7%», indique Yvan Clermont, directeur adjoint du Centre de la statistique de l'éducation chez Statistique Canada. Selon les données du recensement de 2006 dévoilées hier, 23% des adultes âgés de 25 à 64 ans ont un diplôme universitaire. Si bien qu'à ce chapitre, le Canada a pris le sixième rang des pays membres de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) en 2006, à égalité avec l'Australie et la Corée. Mais la proportion de détenteurs de diplômes universitaires est deux fois plus importante chez les gens qui ont immigré au Canada entre 2001 et 2006 que chez la population née au Canada. Elle est aussi presque deux fois plus grande que chez les immigrants arrivés avant 2001. «Au Canada, 51% des immigrés récents ont des diplômes d'études universitaires, indique Yvan Clermont. Parmi les 142 000 personnes qui ont un doctorat, 49% ne sont pas nées au Canada. C'est une statistique très intéressante.» Des données révélées hier viennent chiffrer un autre phénomène dont on parle depuis longtemps: la prédominance des filles dans les universités. En 2006, le tiers (33%) des femmes de 25 à 34 ans avaient un diplôme universitaire, comparativement à 25% chez les hommes du même âge. Chez les 55 à 64 ans, c'est l'inverse: 21% d'hommes, contre 16% des femmes. «Les chiffres viennent nous en apprendre plus sur l'ampleur du phénomène. Il est indéniable», commente Jacques Hamel, professeur de sociologie à l'Université de Montréal. Selon M. Hamel, les données dévoilées hier sur la scolarisation des Canadiens confirment «des tendances qu'on observe depuis des années». «Mais il faut faire quelques nuances. Ces données portent sur des diplômes acquis, souligne-t-il. Il faut voir de quelles disciplines on parle et s'ils permettent véritablement aux gens d'intégrer le marché du travail sur la base de leur formation.» Le sociologue s'interroge aussi à savoir si les gens restent à l'école à défaut de trouver un emploi. Derrière les chiffres se cache peut-être également le phénomène du «décrochage-rattrapage». Des gens qui retournent à l'école et qui obtiennent leur diplôme sur le tard. «C'est une réalité qu'on observe», dit-il. Et le Québec C'est dans la Belle Province qu'on retrouve la plus importante proportion de 25 à 64 ans formés pour un métier: 18%, contre 12% dans l'ensemble du Canada. «Au Québec, la situation est d'autant plus unique que la proportion est plus élevée chez la cohorte plus jeune que chez la cohorte plus âgée, poursuit Yvan Clermont. Au Québec, c'est 19% contre 15%. Au Canada, c'est plutôt 10% contre 13%.» Selon Jacques Hamel, il ne faut pas voir ces chiffres «comme quelque chose de négatif». «Le gouvernement n'a pas arrêté de faire de la publicité pour valoriser les métiers. Ç'a porté fruits, indique le sociologue. Les jeunes ont été sensibles aux campagnes du ministère de l'Éducation. Dans les autres provinces, il y a peut-être aussi ce besoin.» Yvan Clermont souligne toutefois un point important. «Nous avons une situation singulière au Québec car nous avons des programmes d'apprentis.» Autre trait propre aux Québécois révélé dans les dernières données du recensement, ils préfèrent rester dans leur province pour étudier. «Pour des raisons évidentes, c'est au Québec qu'on retrouve le plus fort pourcentage de gens diplômés à l'intérieur de la province (87%)», note M. Clermont. Entre 2001 et 2006, le Québec affichait un déficit migratoire de 5400 diplômés de l'enseignement postsecondaire, dont 3900 qui avaient un diplôme universitaire. «Au Québec, les gens ont tendance à plus partir qu'à venir, signale M. Clermont. Au niveau du flux migratoire, les deux endroits qui enregistrent les plus importants gains sont l'Alberta et la Colombie-Britannique.» Le document intitulé Portrait de la scolarité au Canada, Recensement de 2006, fait état de la scolarité des 17 382 100 Canadiens adultes âgés de 25 à 64 ans. Scolarité des Canadiens 24% Le nombre d'adultes de 25 à 64 ans titulaires d'un diplôme universitaire a grimpé de 24% de 2001 à 2006. 6e rang Le Canada prend le sixième rang des pays de l'OCDE en ce qui a trait à la proportion de diplômés universitaires au sein de la population adulte (22,9%), ex aequo avec l'Australie et la Corée. 33% En 2006, le tiers (33%) des femmes de 25 à 34 ans avaient un diplôme universitaire, comparativement à 25% pour leurs homologues de sexe masculin. C'est nettement supérieur aux taux observés chez les 55 à 64 ans: 16% des femmes et 21% des hommes. 18,1% C'est au Québec qu'on retrouve la plus importante proportion d'adultes ayant un certificat d'une école de métiers: 18,1%, contre 12,4% au Canada. Les Canadiens travaillent plus longtemps 2 millions Un peu plus de 2 millions de personnes de 55 à 64 ans occupaient un emploi en 2006, soit 43,0% de plus qu'en 2001. 15,3% En 2006, les travailleurs âgés de 55 ans et plus représentaient 15,3% de l'ensemble de la population active, soit une augmentation de 11,7% comparativement à 2001. 41,2 ans L'âge médian de la population active a franchi pour la première fois la barre des 40 ans, grimpant de 39,5 ans en 2001 à 41,2 ans en 2006. Niveau de scolarité Chez les 25 à 64 ans QUÉBEC / CANADA Aucun certificat, diplôme ou grade 17,1% / 15,4 % Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent 21,1% / 23,9 % Certificat ou diplôme d'apprenti ou d'une école de métiers 18,1% / 12,4 % Certificat ou diplôme d'un collège, d'un cégep ou d'un autre établissement d'enseignement non universitaire 17,5% / 20,3 % Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat 5,4% / 5,0 % Certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat 20,8% / 22,9% Source : Statistique Canada http://www.cyberpresse.ca/article/20080305/CPACTUALITES/803050725/1019/CPACTUALITES
  13. Les Québécois optimistes Un sondage Géocom Recherche pour le compte du Conseil du commerce de détail indique que les Québécois sont relativement satisfaits de leur situation financière. Ainsi, les ménages québécois estiment que leur situation financière s'est améliorée ou est demeurée stable au cours des 12 derniers mois dans une proportion de 82 %. Cette proportion était de 80 % en mars 2006. Pour les 18 % qui ont indiqué une détérioration de leur situation financière au cours des 12 derniers mois, on l'impute soit à l'augmentation du coût de la vie (44 %), à une diminution des conditions de travail (22 %), à un changement de statut: retraite, retour aux études (15 %) ou à la perte d'un emploi (15 %). Quant à leur situation financière pour les 12 prochains mois, 89 % des ménages estiment que leur situation devrait ou bien demeurer la même (55 %), ou bien s'améliorer (34 %). Seulement 7 % des ménages s'attendent à une détérioration, occasionnée principalement par l'augmentation du coût de la vie. Situation financière du Québec Les Québécois sont moins optimistes quant à la situation financière de la province. 29 % estiment que la situation financière va se détériorer au cours de l'année. Ce taux représente toutefois une diminution par rapport à l'an dernier quand 45 % se montraient pessimistes. Intentions d'achat 27 % des ménages prévoient effectuer un achat majeur au cours des 12 prochains mois. Il s'agit de la proportion la plus élevée depuis 2003. C'est toujours l'automobile qui est au premier rang des achats importants prévus chez 10 % des ménages, viennent ensuite les électroménagers (6 %), la maison (5 %), les meubles (3 %) et l'informatique (3 %). Le facteur âge L'étude révèle que l'âge constitue un facteur déterminant d'optimisme. Les 18-54 ans affichent, selon les tranches d'âge, des taux de confiance de 107,4 à 100,9 tandis que les 55-64 ans et les 65 ans et plus enregistrent respectivement des indices de 90,5 et 85,7. Le sondage a été effectué sur un échantillon aléatoire de 1002 Québécois(es) entre le 14 et le 28 février 2007. La marge d'erreur est d'environ 3,2 %, 19 fois sur 20. Le Conseil du commerce de détail est la plus importante association représentant le secteur du commerce de détail au Québec. Il représente une industrie regroupant plus de 56 000 établissements commerciaux, plus de 500 000 emplois, soit près d'un travailleur sur cinq au Québec et plus de 86 milliards de dollars de ventes au détail en 2006.
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