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  1. Le Cirque du Soleil à vendre ? 16 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Le Cirque du Soleil serait à vendre. Enfin, c’est ce qu’affirme le London Daily Telegraph dans son édition de lundi. Le populaire cirque qui a des activités partout sur le globe aurait été approché par plusieurs acheteurs potentiels notamment un groupe d’investisseurs de Dubaï. Le nom de ce possible acheteur n’est pas nommé par le quotidien anglais, mais la transaction pourrait valoir 2 G$. Nakheel PJSC, promoteur des fameuses îles de Dubaï, a déjà offert au Cirque du Soleil de construire un théâtre permanent sur un des complexes, la Palm Island. Un porte-parole du Cirque du Soleil a indiqué que la nouvelle selon laquelle la troupe aurait été approchée par Istithmar, une firme associée à Nakheel, n’est que «rumeurs et spéculations».
  2. Nom: Centre de recherche du Centre hospitalier de l'Université de Montréal - CRCHUM Hauteur: 6, 15 étages Coût du projet: 470 000 000,00 $ Promoteur: Gouvernement du Québec Architecte: Emplacement: St-Denis/Viger/Sanguinet/St-Antoine Début de construction: 2010 Fin de construction: 2014
  3. Boom immobilier dans le Sud-Ouest Le mercredi 5 mars 2008 Danielle Bonneau La Presse L'arrondissement du Sud-Ouest sort de sa torpeur. Ses quartiers sont parmi les plus pauvres de Montréal: Saint-Henri, Petite-Bourgogne, Pointe-Saint-Charles, Ville-Émard, Côte-Saint-Paul et Griffintown. Mais le vent tourne. Ce qui joue en sa faveur? La proximité du centre-ville et du Vieux-Montréal, de même que le canal de Lachine, qui le traverse. La fermeture de nombreuses usines y a laissé de grands terrains vacants et d'anciens bâtiments industriels. De nouvelles entreprises y élisent toutefois domicile et plusieurs sont reconvertis en immeubles en copropriété. Le potentiel est énorme. Le Portail du canal > 5524-5530, rue Saint-Patrick > 184 condos (en tout) > Première phase: 120 unités > 72 condos vendus > Superficie: de 433 à 1230 pieds carrés > Prix: de 96 900$ à 300 000$ > La construction devrait débuter sous peu > Emménagement prévu: janvier 2009 > Promoteur: Les Développements Harcon Les deux bâtiments seront construits sur un terrain vague, dont le zonage a été modifié pour permettre la construction d'un projet principalement résidentiel. Situé aux abords du canal de Lachine et de la piste cyclable, il abritera quelques commerces au rez-de-chaussée. Nul besoin d'y aménager une salle de conditionnement physique ou une piscine: les futurs copropriétaires pourront se rendre à pied au centre récréatif Gadbois, de l'autre côté du canal. Pour faciliter l'accès à la propriété, le promoteur offre son propre programme de crédit d'achat abordable. Les conditions de financement ressemblent à celles offertes par la Société d'habitation et de développement de Montréal, dans le cadre de son programme Accès Condos. La seconde phase du projet comprendra 64 condos. L'arrondissement du Sud-Ouest a effectué un exercice de réflexion, il y a cinq ans, pour tirer le meilleur parti du terrain, qui appartenait à la Ville de Montréal. Longeant le canal de Lachine, celui-ci est bordé par le chemin de la Côte-Saint-Paul et la rue Saint-Ambroise. Résultat: trois projets très différents, répondant à des besoins variés, y ont été menés simultanément. La résidence Côte-Saint-Paul s'inscrit ainsi dans l'Opération Solidarité 5000 logements de la Ville de Montréal. À côté, la construction du complexe l'Héritage du canal va bon train. Viennent aussi d'être construits les condos du complexe Zone C, bâtis dans le cadre du programme Accès Condos. Les premiers copropriétaires ont emménagé à la mi-janvier. Près d'une vingtaine d'appartements sont encore disponibles. La phase II du projet Zone C, qui comprendra aussi 72 unités, est en préparation. Résidence Côte-Saint-Paul > 5400, chemin de la Côte-Saint-Paul > 138 logements à coûts abordables, pour personnes âgées à revenus modestes > 92 des logements > Loyer: à compter de 900$ par mois, pour un logement avec une chambre (chauffage, électricité, téléphone, câble, cinq repas par semaine, inclus) > Emménagement prévu: mi-avril 2008 > Plus de 80 logements disponibles > Constructeur: Construction Gesmonde > Promoteur: Office municipal d'habitation de Montréal (OMHM) À proximité du canal de Lachine, l'immeuble de six étages conçu par l'Atelier Chaloub+Beaulieu Architectes se démarque. Brique rouge, verre et métal rappellent le passé industriel du secteur. «Cela ne coûte pas nécessairement plus cher de construire un bel immeuble, souligne Fabien Cournoyer, directeur général de l'Office municipal d'habitation de Montréal. Cela prend un peu plus de recherche.» La salle communautaire et la salle à manger seront au rez-de-chaussée, doté de nombreuses fenêtres. Aux étages supérieurs, les locataires auront une vue sur le canal. L'Héritage du Canal > 5380, chemin de la Côte-Saint-Paul > 24 condos > Prix: de 129 900$ à 226 900$ > Superficie: de 600 à 1205 pieds carrés > Emménagement prévu: automne 2008 > Constructeur: Excellence Construction Zone C (programme Accès Condos) > 5170, rue Saint-Ambroise, apt. 4 > 72 condos > À partir de 203 000$ (stationnement et taxes inclus) > Constructeur: Les Habitations Siena/ Excellence Construction > Promoteur: Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) Loft Impérial / Phase IV > 735, rue Bourget > 52 lofts urbains > Mise en vente: au printemps > Superficie: de 500 à 800 pieds carrés > Prix: de 139 000$ à 240 000$ > Occupation prévue: printemps 2009 > Promoteur: Groupe Prével La reconversion des anciennes usines d'Imperial Tobacco, amorcée en 2006, se poursuivra au cours des trois ou quatre prochaines années. En tout, sept anciens bâtiments industriels seront métamorphosés et un nouvel immeuble sera construit. Ils comprendront à terme environ 500 condos. Le promoteur construit aussi actuellement un bâtiment de 60 logements communautaires, rue Bourget, pour la coopérative Manoir Bourget. La rénovation de deux bâtiments (phases II et III du projet), rue Rose-de-Lima, avance rondement. Les logements devraient être prêts respectivement l'été et l'automne prochains. Le promoteur prépare maintenant la transformation d'un quatrième édifice. Les condos seront encore une fois de taille réduite, avec de hauts plafonds de béton. Et leurs prix seront abordables pour les jeunes couples et les célibataires. Les copropriétaires habitant dans les quatre premiers immeubles rénovés pourront se donner rendez-vous sur la terrasse qui sera aménagée sur le toit du troisième bâtiment. Il y aura une piscine, un barbecue et un foyer, de même qu'un chalet urbain, avec une table de billard, une petite cuisine et un salon. Un autre chalet urbain sera construit probablement sur le toit de la phase VI, à l'intention des copropriétaires des phases V, VI, VII et VIII. Le Saint-Philippe > 644, rue Saint-Philippe (au coin de la rue Saint-Jacques) > 32 appartements en copropriété > Superficie: de 610 à 1050 pieds carrés > Prix: de 117 000$ à 199 000$ > La construction devrait débuter ce mois-ci > Emménagement prévu: novembre ou décembre 2008 > Promoteurs: Mondev Construction et Excellence Construction Un ancien bâtiment industriel sera démoli ce mois-ci pour faire place à l'édifice de trois étages. Les logements sont vendus à des prix abordables pour plaire à des jeunes couples et des célibataires qui songent à acheter leur première propriété. Le projet est situé tout près de la station de métro Saint-Henri. L'Ambiance du marché / Phase II > 2718, rue Notre-Dame Ouest, au coin de la rue Atwater > 23 appartements en copropriété répartis sur deux étages > 18 unités sont vendues > Superficie: de 800 à 1400 pieds carrés > Prix: de 189 900$ à 330 000$ > La construction vient de commencer > Emménagement prévu: novembre 2008 > Promoteur: Mondev Construction Le complexe immobilier de trois étages est construit sur un terrain vague, tout près du marché Atwater et de la station de métro Lionel-Groulx. Il y aura un commerce au rez-de-chaussée, fort probablement une pharmacie. Les appartements sont conçus comme des maisons en rangée. Sur le toit, devant leur unité, les copropriétaires auront un espace privé où ils pourront installer des chaises et un barbecue. Cet espace donnera sur une terrasse commune. Il y aura un ascenseur et un stationnement intérieur. Le Nordelec > 1751, rue Richardson > Plus de 1000 logements, répartis dans plusieurs bâtiments > Les travaux débuteront cet été > Promoteur: Groupe El-Ad (Canada) L'imposant édifice de huit étages, construit en 1904, est situé à proximité du canal de Lachine. Le bâtiment, qui abrite déjà un millier de travailleurs, conservera sa vocation commerciale. Environ 230 appartements en copropriété seront ajoutés, en prolongeant trois des quatre ailes de l'immeuble jusqu'à la rue Saint-Patrick. Si le marché le permet, les trois derniers étages pourraient être convertis en lofts. Environ 270 logements seraient ainsi créés. Le rez-de-chaussée, qui comprendra des commerces et des bureaux, sera entièrement réaménagé. La construction d'un stationnement intérieur, sous les nouveaux condos, permettra de libérer un terrain adjacent, qui sert actuellement de stationnement. Le promoteur a cédé le terrain à l'arrondissement et se chargera de le décontaminer. Environ 180 logements sociaux et communautaires, destinés à des familles et des personnes âgées, y seront construits. Au cours des prochaines années, le Groupe El-Ad (Canada) prévoit bâtir, à côté du Nordelec, six édifices de six et huit étages, qui comprendront 560 logements. De grandeurs variées, ils ne seront pas aussi haut de gamme que ceux de la première phase. Environ 15% d'entre eux seront abordables. Les Jardins Bourgeoys > Rues LeBer, Sainte-Madeleine et Bourgeoys > 108 appartements en copropriété > Prix: de 154 900$ à 199 900$ > 668 à 881 pieds carrés > Les condos viennent d'être mis en vente > Emménagement prévu: fin 2008 > Promoteur: Samcon Ce projet est le premier à voir le jour dans cet ancien secteur industriel appelé à être revitalisé. Un petit bâtiment vacant sera démoli pour faire place aux nouvelles habitations. Les condos seront aménagés dans des bâtiments en rangée de trois étages, qui formeront ultimement un U. À l'arrière, tous auront de grands balcons, qui donneront sur une vaste cour intérieure joliment aménagée. Le stationnement sera intérieur. Les copropriétaires à l'étage supérieur auront une vue sur le centre-ville. Les bâtiments de brique rouge seront dotés de nombreuses fenêtres. À proximité: le canal de Lachine et la station de métro Charlevoix. Lowney / Phase IV > 400, rue de l'Inspecteur > 110 condos urbains > 30 unités encore à vendre > Superficie: de 550 à 1000 pieds carrés > Prix: de 139 000$ à 275 000$ > La construction devrait débuter plus tard ce printemps > Occupation prévue: printemps 2009 > Promoteur: Groupe Prével Le Groupe Prével a été un des premiers à s'aventurer dans Griffintown. En 2003, lorsqu'il a acheté le terrain délimité par les rues William, de l'Inspecteur et Saint-Paul, à l'est de l'ancienne brasserie Dow, il faisait figure de pionnier. Deux anciens bâtiments industriels, où étaient jadis confectionnés les Cherry Blossom, ont été convertis en condos au cours des deux premières phases du projet. La construction d'un nouvel immeuble de 136 unités va maintenant bon train. Les premiers résidants devraient emménager en juillet. La métamorphose du quadrilatère sera complète avec l'ajout d'un quatrième édifice de brique rouge, dont la construction commencera dans quelques semaines. Pour demeurer abordables, les condos seront encore une fois de dimensions réduites. Comme dans les trois phases précédentes, la terrasse sur le toit deviendra un lieu de rencontre avec sa piscine, son bain tourbillon, son barbecue et son coin «feu de camp». Une formule qui plaît particulièrement aux jeunes. En tout, les quatre bâtiments comprendront 370 condos urbains. Une cour intérieure sera aménagée au centre. Le projet ne s'arrêtera pas là. Le promoteur a en effet acheté le stationnement en face, bordé par les rues de l'Inspecteur, Montfort, Notre-Dame et Saint-Paul. Environ 325 unités devraient y être proposés au cours des prochaines années, dans trois immeubles de quatre à 10 étages. Le cinquième édifice devrait être dans le même esprit architectural que ses prédécesseurs. Les logements de la cinquième phase devraient être mis en vente cet été. PROJETS À VENIR Anciens ateliers du CN (Alstom), à Pointe-Saint-Charles > Terrain bordé au nord par la rue LeBer, à l'ouest par les rues De Sébastopol et Bourgeoys, et encerclé au sud et à l'est par des voies ferrées. > Superficie: environ 85 000 mètres carrés (plus de 900 000 pieds carrés) > Nombre et types de logements: à déterminer > Il y aura aussi probablement des activités commerciales et industrielles C'est le calme plat dans l'ancienne gare de triage du CN, de même que dans les anciens bâtiments industriels situés à proximité, qui sont d'intérêt patrimonial. Le propriétaire du terrain veut donner une nouvelle vocation à l'endroit, mais aucun projet n'a encore été mis au point. Le promoteur devrait entamer un dialogue ce printemps avec les organismes du milieu et les citoyens, pour guider sa démarche. Ancien centre de tri de Postes Canada > Terrain bordé au nord par la rue Ottawa, au sud par le canal de Lachine, à l'est par la rue du Séminaire et à l'ouest par la rue Richmond. > Superficie: 96 634 mètres carrés (plus d'un million de pieds carrés). > Nombre et types de logements: à déterminer. > Il y a aura une grande variété d'habitations, de tous les prix. > Il y aura aussi probablement des bureaux, des commerces, des activités touristiques, culturelles et récréatives. > La riche histoire industrielle du secteur sera mise en valeur. > Propriétaire: Société immobilière du Canada (SIC). La Société immobilière du Canada se livre actuellement à un vaste exercice de consultation pour comprendre les besoins du quartier et les préoccupations des organismes locaux. Sa priorité: bâtir un consensus sur l'avenir des lieux, comme elle a réussi à le faire à Benny Farm. Pour ce faire, elle a mis sur pied un comité, qui s'est réuni pour la première fois le 11 décembre dernier. La société d'État fédérale a multiplié aussi les rencontres avec des centaines de personnes de tous les horizons afin de dégager sa vision. La première ébauche du plan directeur pour le réaménagement du site devrait être présentée au public en avril. Elle servira de base aux discussions futures. Il s'agit d'un des plus importants projets de l'organisme, dans tout le pays, affirme Gordon McIvor, vice-président de la SIC. «C'est le berceau de l'industrialisation du Canada, explique-t-il. C'est aussi le début du réaménagement du Nouveau Havre de Montréal, dit-il. Cinq autres propriétés seront achetées des autorités portuaires de Montréal et de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), au cours des prochaines années, à mesure que leurs baux viendront à échéance. Des terrains totalisant près de 5 millions de pieds carrés seront réaménagés sur les berges du canal de Lachine et autour, dans le secteur du Silo No 5, dans le port de Montréal, et dans la Cité du Havre, à côté d'Habitat 67!» Griffintown > Territoire bordé à l'est par l'autoroute Bonaventure, au sud par le canal de Lachine, au nord par la rue Ottawa et à l'ouest par la rue du Séminaire. > Superficie: environ 1 million de pieds carrés. > Environ 3860 logements sont prévus (65% de la superficie totale). > Il y a aura près de 900 logements sociaux et abordables. > Près de 900 logements locatifs pour personnes âgées. > Environ 500 logements pour étudiants. > Environ 1560 condos moyen et haut de gamme. > Création de rues piétonnières, bordées de restaurants et de boutiques. > Environ 18% de la superficie sera commerciale. > Préservation d'une vingtaine de bâtiments de valeur patrimoniale. > Construction d'édifices à bureaux. > Revalorisation du canal de Lachine et de ses berges. > On pourrait y trouver: une salle de spectacle, un hôtel, des salles de cinéma, une marina, des ateliers d'artistes, un musée ou un centre d'interprétation. > Promoteur: Devimco. > Une consultation publique sur le programme particulier d'urbanisme (PPU) du secteur Peel-Wellington est en cours actuellement, dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Devimco est prêt à investir 1,3 milliard de dollars dans la réalisation du projet. Ce dernier a beaucoup changé depuis son dévoilement, l'an dernier. La proportion commerciale a été réduite de moitié, tandis que le nombre de logements a plus que doublé. Et il continue d'évoluer. Pour maximiser ses chances de succès, le promoteur a rencontré de 30 à 40 organismes depuis juin dernier. Il a tenu compte de leurs commentaires pour revoir son concept. D'autres modifications seront apportées à la suite des consultations publiques. «Ce n'est pas le projet d'un seul promoteur», souligne Serge Goulet, coprésident de Devimco, qui entend engager de multiples équipes de consultants et confier la construction des immeubles à divers constructeurs, pour favoriser un bouillonnement d'idées. Après les consultations publiques, le projet progressera encore. À la demande de Devimco, des experts de divers milieux se pencheront sur la vocation du pôle culturel, patrimonial et récréotouristique qui sera créé. Le but: ne pas entrer en concurrence avec ce qui est déjà offert à Montréal. Proposer plutôt un projet inédit, inspiré de ce qui se fait de mieux dans le monde. Les deux premières phases pourraient débuter au printemps et à l'automne 2009.
  4. Montréal - Le retour des grands projets Kathleen Lévesque Édition du samedi 01 et du dimanche 02 mars 2008 Mots clés : gare de triage d'Outremont, Griffintown, gare-hôtel Viger, Construction, Montréal Les promoteurs se sont adjoint une expertise qui accélère le processus administratif L'ancienne gare Viger a été vendue à Viger DMC International sans appel d'offres pour neuf millions. Photo: Jacques Grenier C'est l'explosion de grands projets à Montréal par les temps qui courent. Et les promoteurs des Griffintown, gare-hôtel Viger, gare de triage d'Outremont et autre autoroute Notre-Dame ont la part belle avec le maire Gérald Tremblay, qui voit dans la promesse de cette grande coulée de béton le bonheur sous forme de taxes municipales. Mais qui orchestre la bousculade? Montréal ne sait plus où donner de la tête. Tous les projets qui s'annoncent, tant publics que privés, créent un bel enthousiasme, mais amarrer des paquebots comme le CHUM, le CUSM, le Quartier des spectacles ou le projet immobilier de Radio-Canada en même temps demande à bien des égards du doigté et, surtout, des ressources. Amochée et réduite à sa plus simple expression depuis les acrobaties politiques des fusions-défusions, la machine administrative montréalaise peine à suffire à la tâche. Mais qu'à cela ne tienne, le secteur privé regorge d'experts qui peuvent vous concocter en un tour de main une vision de développement ou une autre. Dans le récent dossier des compteurs d'eau, le contrat le plus important à avoir jamais été octroyé par Montréal (355 millions de dollars) n'a pas été soumis à la vérification juridique du contentieux de la Ville de Montréal. Les avocats sont débordés, a-t-on argué en haut lieu. On a préféré sous-traiter ce devoir d'analyse indépendante au cabinet Dunton-Rainville, qui travaille main dans la main avec la firme d'ingénierie BPR, laquelle a piloté pour la ville l'octroi du contrat. Les liens d'affaires entre BPR et Dunton-Rainville sont de notoriété publique: ils partagent même une loge au Centre Bell pour y accueillir des clients potentiels. L'emprise des promoteurs L'effervescence immobilière que l'on connaît donne à penser que Montréal se développe au rythme insufflé par les promoteurs. Il n'y a qu'un pas à franchir pour croire que Montréal se fait dicter les investissements publics à faire. De façon plus nuancée, force est de constater que les gens d'affaires et les politiciens circulent dans les mêmes réseaux et que les passerelles d'un milieu à l'autre sont de plus en plus nombreuses, bien que franchies en toute discrétion. Ainsi, en 2006, le maire Tremblay a mis sur pied un comité d'orientation économique pour le guider dans ses choix des projets à privilégier (Vision 2025). Une quarantaine de dirigeants de grandes entreprises et de bonzes de la finance y siègent, dont Phil O'Brien, de Viger DMC International, le promoteur de la gare-hôtel Viger, Luc Benoît et Jean-Pierre Sauriol, respectivement président des firmes d'ingénierie Tecsult et Dessau, ainsi que Lucien Bouchard, du cabinet d'avocats Davies Ward Phillips & Vineberg, qui a mené l'assaut contre «l'immobilisme» en tant que «lucide». Sous l'administration de Pierre Bourque, un comité semblable avait discrètement vu le jour sous le nom de «comité des sages». Les gens d'affaires qui y siégeaient avaient proposé la privatisation de nombreux services municipaux ou le recours à la formule de partenariat public-privé, dont c'étaient les premiers balbutiements au Québec. Si la communauté des affaires a l'oreille attentive du maire Tremblay, sur le terrain les promoteurs doivent s'engouffrer dans des méandres administratifs interminables pour parvenir à faire approuver leurs projets. Ils s'en plaignent depuis toujours. Les modifications de structures n'ont allégé en rien le parcours des promoteurs. Certains se découragent. L'an dernier, un important promoteur immobilier avait confié au Devoir sous le couvert de l'anonymat ne plus vouloir brasser d'affaires à Montréal. Il faut frapper à la porte d'un fonctionnaire, puis d'un autre, voir un maire et un autre, expliquait le coloré personnage, qui avait alors décidé de se tourner vers Laval, où les transactions ne sont jamais compliquées et où on a toujours une oreille attentive, disait-il. «À Laval, c'est simple. La ligne est claire. Une île, une ville, un Gilles!», avait déclaré le promoteur. Consciente du problème, la Ville de Montréal a décidé de changer les règles du jeu. À la faveur de tiraillements politiques, le maire a mis la main sur les grands projets et les dossiers touchant le centre-ville. On a aussi créé sans tambour ni trompette une nouvelle structure à géométrie variable, une sorte de voie d'accélération des projets. Le groupe d'intervention stratégique et tactique (GIST) bénéficie d'une enveloppe budgétaire annuelle d'un million de dollars pour commander des études ou des analyses afin de soutenir les promoteurs. Des liens tricotés serré De leur côté, les promoteurs ont compris depuis longtemps qu'il fallait avoir une équipe capable de s'introduire à l'hôtel de ville sans avoir besoin de présenter une carte professionnelle. Plusieurs d'entre eux ont embauché d'anciens fonctionnaires ou d'anciens élus, profitant ainsi de certaines compétences, de réseaux précieux et d'une connaissance intime de la machine administrative. Ainsi, l'ancien responsable du développement économique au sein du comité exécutif de Montréal, Georges Bossé, travaille sur le dossier de Griffintown chez la firme d'urbanisme Daniel Arbour et associés, qui fait les démarches pour le compte du promoteur Devimco auprès de la Ville. Or le dossier de Devimco a été présenté à M. Bossé à l'époque où ce dernier était derrière son bureau de politicien. Dans le dossier de l'eau, la firme BPR a recruté le haut fonctionnaire Yves Provost, le grand responsable des infrastructures qui a été le maître d'oeuvre de l'implantation des compteurs d'eau dans les industries, les commerces et les institutions. M. Provost a mené le dossier en collaboration avec BPR pendant deux ans. Le projet de la gare-hôtel Viger est encore plus intéressant. Phil O'Brien, chef de direction chez Viger DMC International, a étendu ses tentacules. Il siège entre autres au comité d'orientation économique, au conseil d'administration du Partenariat du quartier des spectacles et à la Fondation du maire de Montréal pour la jeunesse. À ses côtés, chez Viger DMC International, on retrouve Cameron Charlebois, qui a été nommé membre du comité consultatif d'urbanisme de Ville-Marie par Benoit Labonté, maire de l'arrondissement. M. Charlebois a démissionné lorsque des questions se sont posées publiquement sur la possibilité d'un conflit d'intérêts compte tenu du fait que le projet de gare-hôtel Viger est situé dans le territoire administratif de l'arrondissement de Ville-Marie. Auparavant, M. Charlebois avait été directeur général adjoint de la Ville après avoir tâté de la politique municipale sans succès. Jusqu'en 2003, il était responsable du développement urbain et économique. Phil O'Brien s'est également adjoint les services de Pierre Ouellet, un ancien directeur du service de l'urbanisme de Montréal. M. Ouellet a également dirigé une société paramunicipale appelée SIMPA, aujourd'hui disparue. MM. O'Brien et Ouellet se sont rencontrés à l'époque de l'élaboration du projet du Centre de commercial mondial. MM. O'Brien, Charlebois et Ouellet sont tous trois très associés au parti du maire Tremblay, l'Union des citoyens de Montréal. Des projets qui s'imposent Viger DMC International est prête à investir 400 millions pour réhabiliter la gare-hôtel Viger et développer le secteur alentour en y implantant quatre tours qui dérogent aux règles d'urbanisme. Dans une première étape, la société a acquis sans appel d'offres la gare-hôtel et les terrains adjacents pour neuf millions de dollars alors que la valeur aux livres était de plus de 14 millions. Après avoir franchi plusieurs étapes administratives, Viger DMC International ne veut pas s'embarrasser des règles supplémentaires de consultation qui s'appliquent à son projet parce qu'il est situé en grande partie dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal. Le promoteur a d'ailleurs multiplié les démarches politiques pour réclamer un changement à la Charte de Montréal et éliminer l'étape de la signature du registre qui peut enclencher un référendum. Le gouvernement se montre ouvert à l'idée, tout comme le maire Tremblay. C'est le même Gérald Tremblay qui, il n'y a pas si longtemps, avait tout fait pour que Québec édicte des règles strictes comme rempart à d'éventuels projets qui risqueraient de défigurer le Vieux-Montréal ou le mont Royal. Dans le dossier de Griffintown, la Ville de Montréal a géré le projet main dans la main avec le promoteur Devimco. Ce dernier s'est plié à plusieurs exigences de la Ville, notamment pour réduire le pourcentage d'espaces commerciaux en augmentant le nombre de résidences. En contrepartie, Devimco a participé à la rédaction du programme particulier d'urbanisme (PPU), comme l'affirmait lui-même le président de l'entreprise, Serge Goulet. Le PPU devant établir les balises de développement du secteur au sud-ouest du centre-ville, à l'entrée du canal de Lachine, et donc déterminer les besoins en fonds publics, a été fait sur mesure pour le projet Griffintown. Les documents officiels émanant de différents services municipaux l'écrivent noir sur blanc. Le PPU et le site visé par Devimco ont les mêmes contours, les volumétries des immeubles correspondent en tout point aux besoins exprimés par le promoteur, les deux sont «intimement liés puisque le projet de PPU a été préparé pour permettre la réalisation du village Griffintown». Mais les exigences de Devimco n'ont pas été exprimées qu'en coulisses. Serge Goulet affirmait récemment au Devoir que le projet d'un tramway devait se faire impérativement pour assurer le lancement de son propre projet. L'argument de l'homme d'affaires était de taille: le versement de 10 millions de dollars si le tramway voit le jour d'ici deux ans. De la même façon, le promoteur de Griffintown s'est assuré l'appui de la collectivité en faisant des consultations privées, en proposant de conserver des immeubles à caractère patrimonial et en versant un million de dollars à l'École de technologie supérieure pour la création d'une chaire d'études en développement durable, dont «une grande partie de ses activités sera en lien avec le projet Griffintown». Dans le paysage montréalais, ces deux projets, comme tous les autres qui se profilent, démontrent une grande intimité entre les promoteurs et les dirigeants politiques. Mais peu importe les craintes des certains que Montréal puisse ne pas être en plein contrôle de la situation, le maire Tremblay n'a jamais été aussi passionné par tant de mouvement. «Au lieu d'attendre qu'on soit critiqués pour des projets, pourquoi ne pas les planifier ensemble? On veut accélérer la réalisation des projets. On veut accompagner les promoteurs», répète sur toutes les tribunes Gérald Tremblay. http://www.ledevoir.com/2008/03/01/178440.html (29/02/2008 23H00)
  5. Nom: 30 St-Jacques Hauteur (étages): 11 étages Hauteur (mètres): TBD Coût du projet: TBD Promoteur: Dev McGill Emplacement Début de construction: TBD Site internet: http://www.devmcgill.com/fr/30-st-jacques-place-d-armes Infos:Cette magnifique image panoramique de la Place d’Armes n’est pas un montage, c’est la réalité et vous pourriez un jour habiter tout juste à côté… Nous sommes fiers de vous annoncer que le promoteur DevMcGill et ses partenaires ont remporté un concours public de la Ville de Montréal leur permettant de donner vie à un nouveau projet de condominiums très attendu, le 30 St-Jacques. Situé sur l’un des très rares terrains vacants et développables du Vieux-Montréal, le 30 St-Jacques est voisin de la Place d’Armes, un secteur qui figure parmi les plus remarquables en Amérique du Nord grâce à son architecture. Environ 150 nouvelles résidences, dotées de commodités enviables, sont prévues sur ce site convoité depuis des années par de nombreux promoteurs. À un coin de rue de la station de Métro Place d’Armes et d’un accès à la ville souterraine de Montréal (RÉSO), les futurs résidents de cette copropriété pourront se rendre sans voiture et à l’abri des intempéries, à des milliers de commerces, services et entreprises. Il s’agit là d’un des rares développements de condominiums de Montréal à s’être vu accorder une note parfaite, soit de 100 %, sur le site Web indépendant « WalkScore.com ». Ce dernier compare l’arrondissement à un réel paradis pour le piéton.
  6. Nom: Le Séville Hauteur: 7, 11, 11, 20 étages Coût du projet: 112 000 000,00 $ Promoteur: Claridge Investments et Prével Architecte: Prével Emplacement: Sainte-Catherine entre les rues Lambert-Closse et Chomedey Début de construction: Hiver 2010 Fin de construction: 2012
  7. Nom: Altitude Hauteur: 33 étages/124 mètres Coût du projet: Promoteur: Groupe Daca Architecte: Groupe Daca Emplacement: University/Cathcart Début de construction: Printemps 2010 Fin de construction: Été 2012
  8. Swatow transformera le Quartier chinois 6 septembre 2007 - 06h00 La Presse Éric Clément Photo fournie par Alain Hui de Hui architecte L'édifice Swatow de six étages et deux sous-sols sera construit à la place du bâtiment actuel de deux étages situé au 998, boulevard Saint-Laurent, et dont les deux terrains adjacents, situés entre la rue Clark et le boulevard, sont inoccupés. Ce bâtiment, qui abrite un commerce d'importation de produits asiatiques (Swatow import-export inc.), appartient à M. Cheung. Celui-ci a décidé d'agrandir son magasin et de se lancer dans l'immobilier en créant Développement Swatow pour construire le centre commercial et louer des espaces à des commerçants et des entrepreneurs. «Il y a beaucoup d'immigrants investisseurs chinois qui veulent ouvrir leur commerce ou leur entreprise dans le Quartier chinois et ils manquent d'espace donc je pense que le centre commercial va combler un besoin et apporter quelque chose de nouveau dans le quartier», dit M. Cheung. Au premier sous-sol du Swatow, il y aura un quai de chargement et 36 places de stationnement. Le deuxième sous-sol sera occupé par un gros supermarché alimentaire. Au rez-de-chaussée, il y aura un foyer et des commerces de grande surface, tandis que les deuxième, troisième et quatrième étages seront réservés aux petites boutiques. Des bureaux professionnels occuperont le 5e étage tandis qu'un restaurant chinois panoramique d'une centaine de places se trouvera au dernier étage, où un couronnement chapeautera le bâtiment. «On pourra voir les feux d'artifice du pont Jacques-Cartier depuis le restaurant panoramique», dit l'architecte du projet, Alan Hui. Les travaux devraient commencer au début de l'an prochain afin que l'édifice soit prêt pour les fêtes de fin d'année de 2008. Ce projet de 20 millions déroge, en ce qui concerne la hauteur, au Règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie, les bâtiments du quartier étant principalement de trois ou quatre étages. L'édifice de 23 m de hauteur sera le plus haut du quartier. De plus, la grandeur et la forme des fenêtres du projet ne sont pas du même style, tant s'en faut, que l'architecture locale du Quartier chinois, notamment avec celui du bâtiment situé juste au sud du projet et dont la valeur patrimoniale est notable, même s'il aurait besoin d'être restauré. L'arrondissement a toutefois donné son accord au projet en autant que le promoteur place le 6e étage du bâtiment légèrement en retrait et travaille un peu plus l'aspect de la façade donnant sur Saint-Laurent. De plus, l'administration du maire Labonté a demandé au promoteur de prévoir un quai de chargement en sous-sol pour éviter une congestion régulière de la rue Clark près de la rue Viger. Le directeur de l'Aménagement urbain et des Services aux entreprises de Ville-Marie, Pierre Sainte-Marie, explique que le promoteur devra faire des améliorations à son projet s'il veut avoir rapidement le permis de construire. «Ce projet particulier d'urbanisme a été approuvé au conseil d'arrondissement du mois d'août et la prochaine étape, c'est en effet la révision architecturale, dit-il. Le comité consultatif d'urbanisme devra être satisfait du traitement architectural apporté pour que ça s'intègre bien au boulevard Saint-Laurent.»
  9. Bloc Urbain Architectes: ? Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidentiel Promoteur: Conception Rachel-Julien Emplacement: Quartier Latin, Montréal Site Internet: http://www.blocurbain.com/ ? mètres - 6 étages
  10. Village olympique: El-Ad présente un projet plus vert Éric Clément La Presse Cité Nature, la nouvelle version du projet résidentiel du promoteur El-Ad situé derrière les pyramides olympiques, est moins ambitieuse (1400 logements au lieu de 2000) et plus respectueuse de l'environnement, a appris La Presse. En avril dernier, le conseil d'arrondissement de Rosemont-La Petite Patrie avait rejeté l'accord de principe donné par le précédent conseil au promoteur El-Ad. Le projet situé entre les pyramides et le golf municipal du parc Maisonneuve ne respectait pas un certain nombre de critères définis à cause du caractère exceptionnel de ce secteur de Montréal. Le promoteur n'avait pas apprécié ce changement de cap, mais, finalement, il a fait contre mauvaise fortune bon coeur et a modifié son projet qui, selon les documents obtenus par La Presse, ne prévoit plus de constructions au bord de la rue Sherbrooke et respecte la hauteur maximale de 14 étages. Il n'y a plus d'empiétement sur des terrains municipaux, notamment sur le golf ou son champ de pratique et le massif de conifères est préservé. La densité du projet, qui s'adresse surtout à une clientèle de familles et de personnes âgées, a aussi été réduite : le nombre de logements est passé de 2000 à 1400. Cité Nature est composée de huit immeubles résidentiels ayant de 117 à 211 logements en location ou en copropriété, selon la tendance du marché. Cinq bâtiments de 10 à 14 étages, contenant les 943 logements du quartier Est de l'ensemble, sont d'abord prévus derrière les pyramides, du côté du boulevard de l'Assomption et du terrain d'entraînement du golf. Trois autres bâtiments (de 9, 13 et 14 étages), d'un total de 457 logements pour le quartier Ouest, seront construits sur le stationnement situé derrière les pyramides, du côté de la rue Viau. Différents aménagements paysagers autour et sur les bâtiments sont prévus afin d'offrir beaucoup de verdure aux résidants, qui pourront encore jouir du massif de conifères qui demeurera entre les deux quartiers de Cité Nature. Les promoteurs veulent ajouter 146 arbres sur les lieux, mais devront en couper une vingtaine. Un stationnement souterrain de trois étages sera construit pour les résidants du nouveau projet et pour ceux des pyramides qui auront perdu leur place à cause de la construction d'un des bâtiments. Le promoteur prévoit que la construction des huit bâtiments se fera sur une période variant de six à huit ans. Elle pourrait débuter à la fin de l'année si les autorisations de l'arrondissement sont obtenues. Le projet est-il conforme au règlement de zonage et aux critères du Programme d'implantation et d'intégration architecturale (PIIA) de l'arrondissement? Le maire André Lavallée ne le sait pas. «L'entreprise El-Ad m'a informé qu'elle présentera un projet entièrement conforme, mais ce projet n'a pas encore été formellement déposé à l'arrondissement, donc je ne peux pas prétendre à sa conformité», dit-il. Toutefois, El-Ad a fait discrètement deux réunions publiques pour prendre le pouls des résidants du quartier, auparavant très récalcitrants. Gilles Beaudry, qui s'était opposé au précédent projet, se dit agréablement surpris. «Les architectes ont réellement fait un bon travail avec un projet qui s'intègre bien avec le village olympique, dit-il. Ils respectent tout ce qu'on avait demandé.»
  11. Immeuble de 14 étages au coin de Papineau et Sainte-Catherine, sur le site de la station-service abandonée et du théatre abandoné. Les 2 immeubles seront démolis pour faire place à la nouvelle tour. Des espaces commerciaux sont prévus aux 3 premiers étages, et le haut sera consacré à des condominiums. Le promoteur ( à qui j'ai parlé) a bouclé le financement et n'attend que le feu vert de la Ville pour démarrer les travaux. Aucun plan ou aperçu disponible pour l'instant.
  12. Le Victoria Architectes: DCYSM Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 10 étages Descriptions: - Le projet est situé sur le même terrain que la Place de la Cité Internationale, au coin de la rue Viger et Square Victoria. - La tour, qui sera juste devant le Square Victoria, possèdra 104 unités - C'est Westcliff, le même promoteur que la Place de la Cité Internationale, qui la constuira. 3 images. Le Victoria - 2003
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