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  1. Le prochain projet Accès Condos sera dans Saint-Henri Le prochain complexe immobilier réalisé dans le cadre du programme Accès Condos, de la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM), sera construit dans Saint-Henri, à l’intersection des r ues Saint-Jacques et De Courcelle. Il intégrera 67 logements locatifs abordables, administrés par l’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM). Le prochain complexe immobilier Accès Condos sera construit dans SaintHenri, à l’intersection des rues Saint-Jacques et De Courcelle. Il intégrera 67 logements locatifs abordables. L’immeuble de huit étages sera construit sur le terrain de l’ancienne église Sainte-Élisabeth du Portugal, inoccupée depuis 2003 et la proie des flammes en 2007. Il se dressera à l’ombre de l’autoroute Ville-Marie, dans un secteur qui a besoin d’être restructuré, indique Guy Hébert, directeur général de la SHDM. « Nous all ons dans des endroits qui n’intéressent personne pour contribuer à leur revitalisation, rappelle-t-il. Les terrains peuvent ainsi être acquis à des prix raisonnables. Les copropriétaires, de leur côté, sont conscients que les secteurs sont en mutation et ils sont prêts à faire un compromis pour devenir propriétaires. » La proximité du centreville et de la station de métro Place-Saint-Henri , à une dizaine de minutes à pied, sont de gros atouts. En tout, l’édifice comprendra 210 unités: 143 appartements en copropriété offerts dans le cadre du programme Accès Condos et 67 logements locatifs construits dans le cadre du programme Logement abordable Québec. Les unités seront aménagées à l’intérieur du même immeuble, mais les deux types d’habitations auront des halls d’entrée et des ascenseurs distincts. Les stationnements souterrains seront également séparés. « La demande pour l es logements abordables s’amplifie, fait remarquer Fabien Cournoyer, directeur général de l ’ OMHM. En nous imbriquant dans un projet Accès Condos, nous bénéficions d’économies d’échelle et nous sommes en mesure d’offrir des logements de qualité. » Dans les deux types d’habitations, la plupart des unités au rez-de-chaussée ont été conçues pour plaire à des familles, note Danielle Cécile, chef de division à la direction de l’habitation à la Ville de Montréal. Comptant trois chambres, elles auront leur propre entrée à l’avant et une petite terrasse à l’arrière, donnant sur une vaste cour intérieure commune. La SOLIM, bras immobilier du Fonds de solidarité de la FTQ, a acheté le terrain en 2005. Elle avait dès lors la volonté qu’une partie soit consacrée au logement à caractère social. L’arrondissement du Sud-Ouest a mené une consultation publique en février 2009 avant d’autoriser le projet. Construction Marton, qui a aussi fait le Phoenix dans le cadre du programme Accès Condos, à Saint-Laurent, a par la suite acquis le terrain. L’entreprise fait équipe de nouveau avec l’Atelier Chaloub Beaulieu Architectes. La construction devrait débuter incessamment. Quant au bureau des ventes, il ouvrira l’automne prochain. Source: Journal LaPresse 2010-02-20
  2. Vous voulez conserver l’assurance parentale23 juin 2011 | 17h07 Argent Le Régime québécois d'assurance parentale augmentera ses cotisations de 4 % en 2012 afin de résorber son déficit de près de 600M$ d'ici 2018. En 2011, la hausse avait été de 6,25%. Il s’agit de la cinquième hausse annuelle consécutive, au même moment où certains disent que le Québec n'a pas les moyens de se payer ce programme. Nous avons demandé aux lecteurs d’Argent et de TVA Nouvelles s’ils croyaient que ce programme était indispensable? Voici quelques-uns de leurs commentaires : Je me dis que plus que le gouvernement enlève de l’argent sur mes paies, moins j’en ai pour mon petit garçon. C'est important d'avoir un revenu assuré après l'accouchement. J’utilise moi-même le programme. C’est en partie grâce à cela que je peux rester avec mon fils et l'éduquer. Si on a de l’argent pour se payer des avions de guerre, on a de l’argent pour aider les familles du Québec. Non? Vous avez beaucoup de chance aujourd'hui, j'espère que vous vous en rendez compte. Quand j'ai eu mes enfants, il fallait retourner au travail après 6 semaines de congé. Il y a beaucoup de dépenses inutiles au Québec, mais pas celle-là… Si le programme est en déficit, c’est qu’il a été mal géré. Quand ton budget est dans le rouge, tu coupes dans les affaires frivoles pour te concentrer sur l'essentiel. Il faut couper ça au plus vite. C'est ça mon cher, coupons l'aide pour les nouveaux parents. Pendant ce temps, les BS iront acheter un « sixpack »de Wildcat et un billet de 6/49 avec notre argent. Quand des gens de 50 ans paient « l'assurance parentale », ce n'est pas une assurance, c'est un impôt déguisé. Il n’y avait pas d’assurance parentale à mon époque et je ne suis pas morte, c’est une vraie blague cette histoire-là! Oui c'est important pour augmenter la natalité au Québec! On nous le vend en disant que ça augmente le taux de natalité, mais ailleurs au Canada, ils n'ont pas ces généreux programmes et le taux de natalité est semblable.
  3. La gauche déconnectée La présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, veut partir l’année du bon pied. En s’attaquant à « la droite », qu’elle juge « de plus en plus provocante ». Cette droite, incarnée par le Réseau Liberté Québec (RLQ), veut, entre autres, moins de fonctionnaires, plus d’argent dans nos poches de contribuables, et désengorger les urgences avec l’aide d’entrepreneurs québécois – le « privé ». Beaucoup de Québécois appuient ces idées. Et ça fait paniquer les syndicats de la fonction publique. On les comprend. Leur employeur, c’est l’État. Si celui-ci décide de se serrer la ceinture, ça veut dire moins d’emplois et moins de privilèges pour les syndiqués. Quelle privatisation? Le discours des centrales syndicales est toujours le même : nous vivons dans un monde « néolibéral » de droite, où l’État coupe et privatise sans cesse les programmes sociaux. Mais quel monde néolibéral? Quelle privatisation? C’est l’inverse. Au Québec on étatise et syndique les programmes sociaux sitôt qu’on a la chance. Dernier exemple : les garderies. La CSN et la CSQ ont récemment syndiqué 15 000 gardiennes en milieu familial (des grèves ont suivi aussitôt). Contrairement à ce que claironne la propagande syndicale, l’État ne rapetisse pas. Il grossit. Le nombre de fonctionnaires aussi. On comptait 94 employés du secteur public pour 1000 habitants au Québec en 2000, selon Statistique Canada. Aujourd’hui : 112. Le poids du gouvernement dans l’économie était de 27 % à l’arrivée de Jean Charest comme premier ministre en 2003. Aujourd’hui : 31 %. Si vous payez 1 % plus de TVQ à partir d’aujourd’hui, ce n’est pas un hasard. La supposée « privatisation des services publics » est un mensonge. Un épouvantail ridicule qui n’effraie aucunement quiconque se donne la peine de vérifier les chiffres. Programmes sociaux en danger C’est vrai, nos programmes sociaux sont en danger. Mais pas à cause de la droite. Ironie ultime, ce sont les syndicats eux-mêmes, par leur gourmandise et leur intransigeance, qui menacent la survie des programmes sociaux au Québec. Revenons aux garderies à 7 $. Le coût de ce programme est passé de 290 millions en 1997, à plus de deux milliards aujourd’hui. Sept fois plus. Pourtant, le nombre de places pour les enfants a à peine plus que doublé. Le programme est dans le rouge – le gouvernement a emprunté plus de 200 millions l’an dernier pour se le payer. Et pour satisfaire les exigences salariales des 15 000 nouveaux syndiqués, il faudra ajouter un autre 300 ou 400 millions à la facture. Bientôt, la survie du programme sera menacée. Pas à cause de « la droite ». En grande partie à cause des syndicats et de la bureaucratie, qui font exploser les coûts. On pourrait aussi parler des hôpitaux, où les syndicats et corporations agissent comme obstacles à une livraison plus efficace des services. De nos écoles, où les syndicats et génies du ministère de l’Éducation nivèlent par le bas autant la qualité des professeurs que des élèves. Illusions solidaires Les citoyens qui souhaitent garder des programmes sociaux de qualité au Québec doivent réaliser une chose : ceux qui se déguisent en défenseurs de vos intérêts – les centrales syndicales, comme celle de Mme Carbonneau – sont les mêmes qui vont dépouiller ces programmes pour leur profit, jusqu’à ce qu’on n’ait plus le choix de les privatiser… parce qu’on n’aura plus un sou. Selon Mme Carbonneau, « les libertés dont le RLQ se réclame sont des “illusions tranquilles” pour l’immense majorité de la population, qui n’aura jamais les moyens de s’en prévaloir ». Erreur. Ce que les Québécois ne sont plus capables de s’offrir, ce sont les « illusions solidaires » de la CSN, FTQ et autres syndicats. Et les fantasmes ruineux d’une gauche déconnectée de leur réalité. http://descoteaux.argent.canoe.ca/general/la-gauche-deconnectee/
  4. Montréal veut son quartier de la finance Mise en ligne 15/11/2007 04h00 Photo © Corbis Géraldine Martin Le Journal de Montréal Après le «quartier des spectacles», pourquoi pas le «quartier de la finance»? C’est l’idée de Jacques Girard, président-directeur général par intérim de CFI Montréal, qui songe à créer une grappe dans le secteur financier à Montréal tout comme il en existe déjà dans le secteur de l’aérospatiale, par exemple. M. Girard a déjà eu deux rencontres à ce sujet avec les entreprises du secteur financier et la Ville de Montréal. Une rencontre avec la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, est également dans les plans. Selon M. Girard, Montréal dispose de tous les ingrédients pour développer une grappe dans le secteur de la finance. «Ayant notamment constaté que le monde financier se développe là où il y a une réalité universitaire intéressante, pourquoi ne pas tenter de faire croître la place financière de Montréal en se donnant des mécanismes de coordination?», nous a-t-il confié. Montréal possède quatre grandes écoles de gestion et universités qui accueillent chaque année près de 20 000 étudiants. «Il y a une force réelle à Montréal», assure M. Girard. Toujours pertinent Dans son projet, pas question toutefois de supprimer les centres financiers internationaux, ce programme qui offre des avantages fiscaux aux entreprises et aux personnes qui viennent faire de la finance internationale à Montréal. Idéalement, le programme s’inscrirait dans le cadre de la grappe. «Il faut bonifier le programme, sinon il risque d’être marginalisé», soutient Frank Zampino, président du Comité exécutif de la Ville de Montréal, qui siège au conseil de CFI Montréal, l’organisme qui fait la promotion du programme fiscal. Les deux hommes assurent que le programme a encore toute sa raison d’être. «C’est un programme qui a donné des résultats et qui continue de donner des résultats», affirme M. Girard. En plus de retenir à Montréal des spécialistes qui seraient peut-être allés à Toronto, le programme, soutient-il, est allé chercher chaque année, depuis 2005, de six à huit nouveaux CFI. Et si, dans les chiffres, ça ne se voit pas forcément, c’est qu’il y a eu des fusions et des acquisitions, dit-il. √ Une grappe regroupe des entreprises d’un même secteur d’activité. L’idée est de partager certaines ressources pour être plus compétitif. √ Le projet des grappes est une initiative de la Communauté métropolitaine de Montréal. Il en existe quatre actuellement, dont trois qui sont hébergées chez Montréal International. √ Jacques Girard était président de Montréal International entre 1996 et 2003.
  5. Des chiffres obtenus grâce à la Loi d'accès à l'information indiquent que, malgré une population trois fois supérieure, Montréal reçoit moins que Québec dans un des quatre principaux programmes d'infrastructures. Programme d'infrastructures de loisirs C'est vrai pour l'important programme d'Infrastructures de Loisirs, qui permet aux villes canadiennes de réparer ou construire des installations sportives. Des chiffres obtenus indiquent qu'à Montréal, quatre projets d'une valeur de 3,321 millions de dollars ont été approuvés. Québec a obtenu le financement pour quatre projets d'une valeur de 3,565 millions de dollars. À Montréal, trois arénas de la métropole ont reçu des subventions de 1 million de dollars pour mettre à niveau les systèmes de réfrigération. Cependant, environ le tiers des projets acceptés par Ottawa ont été censurés par l'Agence de développement économique du Canada, qui gère ce programme. Cela signifie que d'autres projets à vocation sportive pourraient êtres annoncés d'ici quelques mois. Reste qu'à Montréal certains projets, comme la réfection de l'aréna Ahuntsic, semblent être morts au feuilleton. En septembre dernier, l'ex-président du comité exécutif Claude Dauphin aurait confirmé à la députée fédérale d'Ahuntsic, Maria Mourani, que l'aréna serait l'objet d'un projet de rénovation de 5 millions de dollars. Ottawa aurait aussi confirmé à madame Mourani que les fonds ont été envoyés à Montréal. Mais le projet ne serait plus dans les cartons, aux dires de la députée. Elle se demande si les millions dorment quelque part à Montréal ou si les contribuables d'Ahuntsic sont victimes du fait qu'ils ont voté pour un des deux partis d'opposition. « Pourquoi avant l'élection municipale, on était une priorité - et j'ai même des confirmations écrites ici - et puis, qu'après les élections, soudainement, on ne fait plus partie du décor? Est-ce que c'est parce que Ahuntsic n'a pas voté pour le maire de Montréal? C'est ça, moi, ma question », affirme Me Mourani. Fonds de stimulation de l'infrastructure En ce qui a trait au fonds de stimulation de l'infrastructure, Montréal a obtenu jusqu'ici 42 millions de dollars. Québec, avec le tiers de la population, en a obtenu presque autant, c'est-à-dire 40 millions de dollars. Les chiffres ont été colligés par Infrastructure Canada, qui gère ce programme destiné à financer des programmes de réfection routière. Renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées Quant au fonds pour la réfection des conduites d'eau, Montréal n'a obtenu que 36 millions de dollars. Selon Louise Harel, la chef de Vision Montréal, cela représente moins de 10 % des fonds disponibles pour le Québec. « C'est vraiment décevant, parce que les gouvernements supérieurs ont créé ces programmes-là, mais cela ne reviendra pas. Et ça ne reviendra pour un bon bout de temps, parce qu'on connaît les niveaux de déficits de Québec et d'Ottawa », souligne Mme Harel. Dans un sommaire décisionnel publié lundi, l'administration explique que les investissements importants réalisés par Montréal depuis trois ans ont rendu la tâche de la Ville plutôt difficile. L'ajout de projets supplémentaires aurait été compliqué pour deux raisons. Puisque la Ville défraie le tiers du coût des projets, l'ajout de projets aurait été prohibitif pour Montréal. De plus, ça aurait présenté un défi logistique pour la Ville, compte tenu du grand nombre de projets d'infrastructures déjà prévus avant le plan de relance fédéral. Fonds d'initiatives vertes Montréal figure mieux dans le cadre de ce programme, parce que la métropole a obtenu 67 millions de dollars pour des projets de traitement des déchets. La ville de Québec a obtenu seulement 16 millions dans le cadre de ce programme. L'administration Tremblay n'a pas répondu à nos appels. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/04/19/008-Gentile-infrastructure-Quebec.shtml
  6. Moins de projets au Québec Mise à jour le lundi 2 novembre 2009 à 16 h 53 L'argent du plan de relance du gouvernement fédéral destiné au Québec tarde à arriver, alors que d'autres provinces reçoivent leur part, indique une analyse menée par la Presse canadienne. L'agence de presse s'est basée sur les informations disponibles sur la « carte des projets » du site Internet officiel du plan d'action économique du Canada en date du 25 octobre. Elle a ainsi recensé 4833 projets au pays. Deuxième province en terme de population, le Québec reçoit moins de 10 % de ces projets, soit moins de 300. L'Ontario en a plus de 2500, tandis que l'Alberta et la Colombie-Britannique en ont plus de 300 chacune. Le Bureau du Conseil privé, qui gère les données apparaissant sur le site Internet du plan de relance d'Ottawa, n'a pas été en mesure de confirmer que tous les projets fédéraux annoncés au Québec avaient été inscrits dans la carte des projets, note toutefois La Presse canadienne. Des sommes qui mettent du temps à arriver Interrogés par l'agence, tant la Fédération québécoise des municipalités (FQM) que l'Union des municipalités du Québec (UMQ) reconnaissent que l'argent tarde à arriver. Il y a eu beaucoup d'annonces, mais le travail semble de plus en plus problématique. Il a fallu tellement de temps pour conclure les ententes. — Bernard Généreux, président de la Fédération québécoise des municipalités M. Généreux estime que le gouvernement provincial ne veut pas que le gouvernement fédéral s'immisce trop dans les affaires municipales, qui sont de compétence provinciale. La plupart des fonds du plan de relance du gouvernement fédéral requièrent une entente et une participation pécuniaire égale de la part des gouvernements provincial et municipal. Un délai supplémentaire demandé Le Québec a obtenu près de 1 milliard de dollars d'Ottawa pour le Fonds de stimulation de l'infrastructure, qui s'élève à 4 milliards. Mais, à titre d'exemple, 30 % des sommes destinées au Programme de renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées (PRECO) ont été allouées à des projets spécifiques, rapporte La Presse canadienne. Le programme a été mis sur pied en mars dernier. Tant la FQM que l'UMQ veulent qu'Ottawa accorde davantage que les deux ans qu'il a fixés pour engager toutes les sommes allouées en vertu du plan de relance de l'économie. « Nous ne voulons pas être pénalisés au bout de deux ans » parce que l'argent prévu dans le programme tardait à arriver sur le terrain, a fait valoir Jasmin Savard, analyste à l'UMQ.
  7. Le maire de New York expédie des SDF à Granville Louis Laroque (à Caen) et Adèle Smith (à New York) 10/08/2009 | Mise à jour : 08:42 | Un programme créé en 2007 prévoit de payer un aller simple aux sans-abri accueillis par un membre de leur famille vivant hors de New-York. «Une famille américaine arrivée pour un long séjour dans ma ville ? Mon collègue de New York, Michael Bloomberg, ne m'a pas prévenu», ironise, un brin amer, Daniel *Caruhel, 63 ans, maire DVG de Granville, cité de 15 000 habitants sur les côtes du département de la Manche. Ce pourrait être le jeu de piste de l'été : rechercher ce couple et ses trois enfants en provenance de New York et censés être accueillis à Granville ou ses environs chez une parente de la mère de famille ? Il ne s'agit pas d'un voyage d'été, ni du déplacement classique des enfants et petits-enfants d'un vétéran du Débarquement. Mais d'un aller sans retour pour des SDF new-yorkais avec billets d'avion pour Paris et tickets de train de Montparnasse à Granville. L'addition de 6 332 dollars (4 520 euros) est réglée par la mairie de New York. Depuis 2007, la ville et son maire, Michael Bloomberg, paie des billets d'avion vers la destination de leur choix aux sans-abri. Seule condition : pouvoir justifier d'un hébergement assuré à destination. Une situation mise au jour par le New York Times dans son édition du 28 juillet. Contacté par Le Figaro, le département chargé des sans-abri à la mairie (Department of Homeless Services, DHS) affirme que la famille de Granville est la seule qui ait été renvoyée en France. Le DHS précise qu'en principe les familles reçoivent un appel des autorités de la ville de New York pour vérifier que leur installation s'est bien passée. Nul ne trouve en tout cas la *trace des intéressés en France : ni à la mairie, ni à la préfecture de la Manche, ni au consulat américain à Rennes. Même ignorance à l'ambassade US à Paris où l'on s'interroge : «Il ne s'agit pas d'un projet fédéral. Peut-être cela se *traite-t-il de mairie à mairie ?» «Marchandisation et exportation de la pauvreté» Le maire de Granville n'est au courant de rien. Ancien vice-président national de Peuples solidaires, cet horticulteur de 63 ans, élu en 2008 à la tête d'une liste «humano-pragmatique au-delà des clivages» ne mâche pas ses mots : «On connaissait déjà les charters pour Africains. Cette fois, on assiste à la marchandisation et à l'exportation de la pauvreté.» Interrogé par CNN, Michael Bloomberg a déclaré : «Est-ce que l'on est en train de transférer le problème ailleurs ? Je ne sais pas. Peut-être trouvent-ils un nouvel emploi quand ils arrivent dans un nouvel endroit, peut-être pas. C'est peut-être plus facile pour eux. Ce qui est sûr, c'est que l'on a deux choix : faire ce programme [de billets d'avions] ou payer très cher, chaque jour, pour leur fournir un hébergement.» Un hébergement qui coûte 36 000 dollars (25 000 euros) par an et par famille. Chaque nuit, 38 000 SDF sont accueillis dans les centres d'accueil de la grande métropole. Depuis 2007, près de 550 familles ont déjà bénéficié du programme de «rapatriement volontaire» pour un coût global d'environ un million de dollars (700 000 €). San Juan (Porto Rico) accueille le plus grand nombre d'entre elles pour un coût de «seulement» 484 dollars (340 €). D'autres sont partis pour Johannesburg (Afrique du Sud). Au total, 24 destinations différentes sur les cinq continents.
  8. HILTON EMBASSY SUITES Montréal (Aéroport Dorval), Qc COÛT : 26 000 000 $ ACHÈVEMENT : projet en cours PROGRAMME 240 chambres Centre Santé Piscine Centre de congrès J'ai aucune idée sur ce projet.... ça l'air neuf?! http://leclerc-architectes.com/projets_realises/autres/hilton_embassy_suites/
  9. Le MBA de HEC Montréal au Top 10 de Forbes Publié le 06 août 2009 à 07h46 | Mis à jour à 08h01 Nadielle Kutlu lapresseaffaires.com Pour une quatrième fois d'affilée, le MBA intensif offert à HEC Montréal figure au palmarès biennal des meilleurs MBA, excluant les États-Unis, répertorié par le prestigieux magazine Forbes. Ce MBA, d'une durée d'un an, occupe le 10e rang du palmarès. Près de 170 étudiants s'insrivent chaque année au MBA intensif de HEC Montréal. Et parmi ceux-ci «45% sont des étudiants étrangers (hors Canada)», précise la relationniste médias du programme, Céline Poissant. Le classement a été réalisé en tenant compte du rendement de l'investissement des diplômés, cinq ans après l'obtention de leur diplôme, en considérants des droits de scolarité et des revenus non touchés pendant leur scolarité. «Nous sommes particulièrement fiers que notre MBA se classe à nouveau parmi les meilleurs programmes offerts en dehors des États-Unis», affirme Jacques Roy, directeur du programme, par voie de communiqué. Cette année, quelque 17 000 diplômés de 2004 issus de 103 établissement partout dans le monde ont reçu le questionnaire de Forbes en vue de la préparation du classement. Le classement des MBA selon Forbes ( excluant les États-Unis) 1. Insead - France 2. IMD - Suisse 3. Instituto de Empresa - Espagne 4. Cambridge (Judge) - Royaume-Uni 5. Oxford (Said) - Royaume-Uni 6. City University (Cass) - Royaume-Uni 7. Lancaster - Royaume-Uni 8. SDA Bocconi - Italie 9. Cranfield - Royaume Uni 10. HEC Montréal - Canada
  10. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/200906/28/01-879676-payer-les-eleves-pour-recompenser-leurs-efforts.php
  11. Les vendeurs et les constructeurs automobiles canadiens suggèrent à Ottawa de mettre en place un incitatif de 3500$ pour les consommateurs qui changent leur veille voiture pour une neuve, comme cela se fait en Europe. Pour en lire plus...
  12. L'APCHQ part en guerre contre la SHDM Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mercredi 27 mai 2009 Mots clés : Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec, programme Accès condos, Construction, Québec (province) Les constructeurs d'habitations réclament l'abolition du programme Accès condos Sévèrement blâmée pour sa gestion du dossier du Faubourg Contrecoeur, la SHDM fait de nouveau l'objet de critiques. Cette fois, ce sont les entrepreneurs en construction qui l'accusent de concurrence déloyale, montrant du doigt le programme Accès condos. Estimant que le programme Accès condos est illégal, l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ) a déposé une requête en Cour supérieure hier contre la Ville de Montréal et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), afin que celles-ci cessent la mise en marché de tout projet lié à ce programme. Lancé en 2004, le programme Accès condos facilite l'accès à la propriété à Montréal. Grâce à un crédit d'achat, des ménages peuvent acquérir à un prix abordable une unité détenue en copropriété divise. Or, selon l'APCHQ, la SHDM agit comme constructeur et promoteur dans ce dossier sans toutefois détenir de licence, contrevenant ainsi à la Loi sur le bâtiment. Celle-ci précise d'ailleurs que les organismes publics ne peuvent obtenir une telle licence. «C'est la SHDM qui détermine l'emplacement, le nombre de logements, le type d'unité, le prix des unités, et c'est elle qui fait la vente. Elle n'agit pas comme promoteur et elle fait toutes ces étapes-là? Je trouve un peu ridicule de penser que les gens vont embarquer là-dedans», commente Marc Savard, directeur général de l'APCHQ du Montréal métropolitain. L'APCHQ ne s'oppose pas aux programmes d'accession à la propriété, mais elle estime que la SHDM et la Ville devraient plutôt se tourner vers des programmes de subventions pour acheteurs tel qu'Habiter Montréal. «Si elles jouent au promoteur-constructeur, comme elles le font présentement, c'est sûr qu'elles vont trouver des constructeurs sur leur chemin», ajoute M. Savard. L'APCHQ prépare le dossier depuis 13 mois. Elle souhaite que le Tribunal déclare illégale la façon d'agir de la SHDM et lui ordonne de cesser la mise en marché de tout nouveau projet dans le cadre d'Accès condos. Elle allègue que la SHDM représente une concurrence déloyale pour les entreprises en construction, car son statut d'organisme public lui permet notamment de financer ses projet à un taux d'intérêt «insignifiant» et la soustrait à l'obligation de payer des impôts sur certains revenus. Selon M. Savard, l'impact pour les promoteurs privés est majeur, car il devient difficile pour eux de vendre des unités lorsque la SHDM se pointe dans un quartier. La SHDM se défend d'agir comme un promoteur et de contrevenir à la Loi sur le bâtiment. «Quand on a développé le programme Accès condos, on l'a fait en se basant sur des opinions juridiques pour s'assurer qu'on ne contrevenait pas à la loi. Des vérifications récentes ont confirmé la même chose», indique Gabrielle Collu, porte-parole de la SHDM. Le programme est offert à tous les entrepreneurs dont les projets respectent les critères établis par la SHDM, insiste-t-on. «Ce programme est un énorme succès», rappelle Mme Collu. Depuis 2004, le programme a permis à près de 1000 ménages d'acquérir une propriété. http://www.ledevoir.com/2009/05/27/252316.html (27/5/2009 9H04)
  13. Korean Air, a unit of South Korea’s Hanjin Group, has an agreement with Los Angeles developer Thomas Properties Group to develop the Wilshire Grand pending city approval. Construction is proposed to begin in 2011, with completion in 2014. Above, a sprawling view of downtown Los Angeles. Korean Air a annoncé son projet de créer un nouvel hôtel de luxe à Los Angeles, ainsi que des bureaux et un complexe résidentiel. Korean Air, qui possède également trois hôtels en Corée et à Hawaï, a acheté le Wilshire Grand Hotel, en 1989. La compagnie aérienne va construire à la place du bâtiment actuel un programme immobilier de 610000 mètres carrés à usage mixte. Le programme sera composé de deux tours, dont une tour de 40 étages ainsi qu'un hôtel de luxe de 700 chambres. Ce projet dont le coût devrait atteindre le milliard de dollars devrait être certifié selon le standard de développement durable américain US Green Building Council LEED. Le maire de Los Angeles, Antonio Villaraigosa a déclaré: "Ce nouveau projet est un grand pas en avant dans nos efforts visant à construire des immeubles écologiques, à usage mixte au centre de notre ville. Le programme Grand Wilshire contribuera à revitaliser le centre-ville, et sera un nouvel immeuble emblématique important pour Los Angeles et l'économie locale." Plus d'infos: http://www.latimes.com/business/la-fi-downtown4-2009apr04,0,6152342.story http://www.latimes.com/entertainment/la-et-notebook11-2009apr11,0,7766716.story
  14. Pratt Whitney: 500 postes à supprimer à Longueuil (Source: Radio-Canada) La moitié des postes dont veut se départir l'entreprise seront éliminés dans son usine du Québec. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. 2009-04-10 18:11:44 L'entreprise Pratt & Whitney Canada éliminera 500 emplois à son usine de Longueuil. Ces suppressions d'emplois font partie des compressions de 1000 postes annoncées en février dernier. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. « C'est important de dire qu'il s'agit d'un chiffre approximatif, car des employés pourront se prévaloir d'un programme de retraite anticipée volontaire. Quand on saura exactement combien d'employés souhaitent se prévaloir du programme, ça réduira d'autant le nombre de mises à pied à faire. Ça pourrait donc être beaucoup moins », a précisé Pierre Boisseau, porte-parole de Pratt et Whitney. Une centaine de travailleurs pourraient souscrire au programme de retraite anticipée volontaire, mais M. Boisseau n'a pas donné de chiffre exact. Ce sont les employés de la production qui seront surtout touchés par les congédiements, de même que des employés de bureau. Un marché qui bat de l'aile L'entreprise, qui fabrique principalement des moteurs d'avion, emploie 10 000 personnes dans le monde, dont 5500 au Québec. Pratt & Whitney explique ces mises à pied par la morosité du marché de l'aviation d'affaires. Elle mise sur la stabilité du marché des hélicoptères et de l'aviation régionale pour éviter d'autres compressions, mais elle ne les exclut pas. Mise à part l'aviation d'affaires, les autres secteurs pour lesquels Pratt & Withney Canada produit des moteurs (aviation commerciale régionale, hélicoptères et petits appareils) se portent encore relativement bien. Au pays, la compagnie compte des installations à Longueuil, à Lethbridge, en Alberta, à Mississauga, en Ontario, et à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
  15. Un milliard de dollars pour les infrastructures municipales - Québec et Ottawa promettent d'agir rapidement La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Les municipalités qui poussaient les hauts cris devant l'état de leurs conduites d'eau depuis des années verront peut-être enfin la lumière au bout du tunnel. Les gouvernements fédéral et provincial ont précisé hier les modalités du programme PRECO pour le renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées. Ce programme sera doté de 700 millions, soit 350 millions de la part de chacun des deux ordres de gouvernement. À cette somme, les municipalités ajouteront leur part, pour totaliser un milliard sur deux ans. Québec et Ottawa veulent y aller rondement, cette fois, surtout après avoir entendu les doléances des municipalités, qui ont des projets dans leurs cartons depuis des années et qui attendaient qu'Ottawa et Québec s'entendent. L'aide financière sera disponible en 2009-2010 et 2010-2011 et sera octroyée en fonction des longueurs et des diamètres des conduites d'eau existantes. Le versement de l'aide financière sera effectué après la démonstration que les conduites ont été effectivement renouvelées, indique la documentation du gouvernement du Québec. La ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau a promis que les choses iront rapidement. «Le délai de traitement sera rapide. Nous prenons l'engagement dans un délai de deux semaines de donner une réponse positive aux municipalités», a-t-elle dit. Mais les besoins sont tels, les conduites si vétustes, dans certains cas, que le programme ne permettra de combler qu'une partie des besoins. Le Québec abrite plus de 80 000 kilomètres de conduites souterraines, a noté la ministre des Affaires municipales. Relance économique Le premier ministre Jean Charest a présenté le programme PRECO dans un cadre plus large de contribution à la relance économique, puisque cela crée des emplois dans la construction et dans les secteurs connexes. «Les gouvernements, dans le contexte de ralentissement économique, cherchent à faire des programmes d'infrastructure. Et c'est souvent le premier choix pour plusieurs raisons, d'abord parce que le besoin est là, mais, en plus, c'est un investissement stratégique, qui nous permet à plus long terme de structurer notre économie, d'améliorer notre qualité de vie», a expliqué le premier ministre.
  16. CAE investira 714 millions en R&D Mise à jour le mardi 31 mars 2009, 11 h 56 . Le fabricant de simulateurs de vol CAE investira jusqu'à 714 millions de dollars dans le Projet Falcon au cours des 5 prochaines années. Le Projet Falcon est un programme de recherche et développement visant à transposer les technologies de simulation à d'autres secteurs de l'aéronautique que la formation, comme l'analyse et les opérations. « Ce nouveau Projet Falcon nous permettra de continuer à diversifier les activités de CAE en tirant parti de ses technologies principales dans les marchés adjacents [...] - Le président de CAE, Rober E. Brown » Le gouvernement canadien investira jusqu'à 250 millions de dollars dans le projet, une somme qui est remboursable par l'entreprise située dans l'arrondissement Saint-Laurent de Montréal. Le programme créera et permettra de conserver quelque 1000 emplois. « L'innovation est essentielle pour permettre à CAE de conserver sa position de chef de file dans les domaines de la modélisation, de la simulation et de la formation », a déclaré le président et chef de la direction de CAE, Robert E. Brown. « Nous continuerons donc à investir en R. D., même en ces temps difficiles. ». CAE précise qu'elle continuera à former des partenariats avec les universités et les principaux organismes de recherche au Canada de même qu'avec les fournisseurs de partout au pays. CAE est un leader dans le domaine des technologies de simulation de vol et de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense de nombreux pays. Elle génère des revenus annuels de plus de 1,4 milliard de dollars canadiens et compte environ 7000 employés répartis dans plus de 75 sites situés dans 20 pays.
  17. Les petits entrepreneurs forestiers du Québec pourront désormais bénéficier de l'argent du programme Renfort, en attendant que passe la crise. Pour en lire plus...
  18. Le programme de stimuli économiques prôné par le président désigné Barack Obama comprendra pour des centaines de milliards US d'allégements fiscaux pour les particuliers et les entreprises. Pour en lire plus...
  19. Avec le programme Renfort, Investissement Québec doublera son aide offerte aux entreprises au cours des deux prochaines années. Pour en lire plus...
  20. Les chantiers maritimes régionaux espèrent qu'ils seront admissibles au nouveau programme d'aide qu'Ottawa entend déposer pour soutenir le développement des chantiers au Canada. Pour en lire plus...
  21. L'équipementier en télécoms Alcatel-Lucent a annoncé vendredi un vaste programme d'économies pour faire face au ralentissement du marché. Pour en lire plus...
  22. La compagnie se dote d'un programme de dépenses en immobilisations d'au plus 4 G$ pour 2009, ce qui représente une diminution considérable. Pour en lire plus...
  23. Le premier ministre Stephen Harper se trompe en ne lançant pas un programme massif d'investissements pour aider à relancer l'économie canadienne, soutient l'investisseur milliardaire Stephen Jarislowsky. Pour en lire plus...
  24. Sur fond de récession occidentale et de crise financière mondiale, les chefs des gouvernements du groupe des 20 grandes économies du monde (G20) se réunissent pour la première fois aujourd'hui à Washington. Pour en lire plus...
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