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  1. Le titre du groupe Internet réagit à des informations de presse indiquant que l'ancien patron du portail AOL, Jonathan Miller, chercherait à le racheter. Pour en lire plus...
  2. Transformation du 3e sommet du Mont Royal (INFO690)- Le troisième sommet du Mont Royal, qui abrite actuellement un controversé dépôt à ordures, sera bientôt transformé en parc public. Le comité exécutif de l'équipe du maire Gérald Tremblay devrait dévoiler les détails du projet au cours des prochaines semaines. L'espace de 23 hectares sera aménagé sur le sommet d'Outremont, propriété actuelle de l'Université de Montréal et du cimetière Notre-Dame-des-Neiges . Selon La Presse, les deux institutions cèderont les terres en question à la ville par bail sur une période de 50 à 99 ans. Haut de 211 mètres, le sommet d'Outremont est le deuxième plus élevé des trois sommets du Mont Royal. La valeur des investissements requis pour mener à bien l'aménagement de ce parc est inconnue.
  3. Publié le 28 novembre 2008 à 15h41 | Mis à jour à 16h44 Deux ténors de Vision Montréal claquent la porte Éric Clément La Presse Critiquant le leadership de Benoit Labonté, le chef de Vision Montréal, deux ténors de ce parti ont claqué la porte, ce vendredi après-midi, a appris La Presse : Claire Saint-Arnaud, la leader de l'opposition officielle, et Robert Laramée, le conseiller spécial de M. Labonté dans l'arrondissement de Ville-Marie ont présenté leur démission. Autant Mme Saint-Arnaud, conseillère municipale dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve que M. Laramée, ex-directeur général de Vision Montréal, ont joué un rôle important pour favoriser la venue de Benoit Labonté dans ce parti il y a un an. Ils l'avaient soutenu pour qu'il en devienne le chef, ce qu'il est devenu le 25 mai dernier lors d'un congrès à la chefferie. Amère, Mme Saint-Arnaud a dit à La Presse que «depuis l'été dernier, Benoit Labonté s'éloignait de ses élus, était dans sa bulle et travaillait en vase clos». Déjà, il y a une semaine, Mme Saint-Arnaud avait failli démissionner mais s'était ravisée. Mais finalement, elle a fait le constat que «ses attentes» ne seraient pas comblées. «Quand j'ai travaillé pour que Benoit reprenne l'opposition et devienne le maire de Montréal, j'ai jamais été aussi sincère de ma vie et je croyais en lui fermement, a-t-elle dit. Mais je cherchais un chef, pas un patron.» De son côté, l'ex-directeur du parti Vision Montréal, Robert Laramée, devenu conseiller spécial de Benoit Labonté dans Ville-Marie l'été dernier, a annoncé également son départ à la fois du parti et de son travail dans l'arrondissement. «Benoit Labonté n'est pas un gars d'équipe, dit-il. Et pourtant, j'ai cru en lui. Aujourd'hui, je me sens libéré.»
  4. Publié le 27 novembre 2008 à 14h46 | Mis à jour à 14h51 Les Premières nations veulent déclarer leur souveraineté Rémi Nadeau La Presse Canadienne Québec Le chef libéral Jean Charest trouvera les autochtones sur son chemin s'il veut concrétiser son plan Nord. Exaspérées du manque d'écoute des gouvernements du Canada et du Québec, l'Assemblée des Premières nations du Québec et du Labrador a annoncé, jeudi, qu'elle prépare une déclaration unilatérale de sa souveraineté sur le territoire. En conférence de presse à Québec, le chef du conseil de bande de Pessamit, Raphaël Picard, a prévenu M. Charest que s'il est reporté au pouvoir, son plan Nord ne se réalisera pas sans qu'il ait reconnu l'intégrité territoriale des Premières nations. Le chef de la communauté Kitigan Zibi en Outaouais, Gilbert Whiteduck, a même évoqué le recours possible aux barrages routiers si les gouvernements canadien et québécois continuent de faire la sourde oreille aux revendications des autochtones. Le chef de l'Assemblée des Premières nations du Québec, Ghislain Picard, a qualifié «d'échec total» la relation entre les gouvernements et les autochtones et a lancé cet avertissement au parti qui sera choisi pour diriger le Québec le 8 décembre: «Tenez-bien votre chapeau, parce que les indiens s'en viennent». Les leaders autochtones, qui ont rencontré la presse au terme d'une assemblée tenue à Québec, prépareront leur déclaration de souveraineté, assortie d'un plan de réalisation, au cours des trois prochains mois.
  5. La Caisse de dépôt n'est pas au bout de ces peines dans le dossier du papier commercial (PCAA). Tout indique qu'elle devra à nouveau dévaluer son placement de quelque 2 milliards de dollars, a pu constater La Presse. Pour en lire plus...
  6. Ian Luder a estimé lors d'un point de presse que ces emplois auront disparu dans le secteur entre la fin de cette année et le début d'année prochaine. Pour en lire plus...
  7. La Caisse de dépôt et placement a vendu des actifs financiers en octobre afin de «protéger le capital des déposants», a-t-elle répondu hier à un reportage gênant dans la presse d'affaires torontoise. Pour en lire plus...
  8. Lors d'une conférence de presse, la Caisse de dépôt et placement du Québec assure qu'elle n'éprouve aucun problème de liquidités, malgré le contexte actuel. Pour en lire plus...
  9. La Caisse de dépôt et placement qui est dans la tourmente depuis plusieurs jours va faire le point sur sa situation lors d’un point de presse très attendu qui se déroulera à 16h00. Pour en lire plus...
  10. L'agence de presse américaine réduira de 10% les membres de son personnel au cours de l'année à venir alors que les cotisations des journaux membres diminuent et que la crise économique se fait sentir. Pour en lire plus...
  11. Le congé de maladie du nouveau président, Richard Guay, a pris au dépourvu le personnel de la Caisse de dépôt. Toutefois, la direction et les employés sont loin d'être en mode panique, a pu constater La Presse. Pour en lire plus...
  12. L'ancien magnat de la presse Conrad Black espère que le président des États-Unis, George W. Bush, le graciera avant son départ de la Maison-Blanche. Pour en lire plus...
  13. Le magnat des médias estime que les pessimistes qui croient qu'Internet va tuer la presse quotidienne sont des «cyniques égarés». Pour en lire plus...
  14. Le maire de Laval caresse de grands projets Sara Champagne La Presse Le maire de Laval rivalise d'audace avec le maire de Québec, Régis Labeaume, qui veut amener les Jeux olympiques dans sa ville. Dans la foulée des élections provinciales, Gilles Vaillancourt a révélé à La Presse, vendredi, que lui et son équipe sont en train de ficeler les derniers détails d'un projet de centre de foires capable d'accueillir des expositions équivalentes à celles que reçoit le Stade olympique de Montréal. «Il s'agit d'un projet d'environ 80 millions, a dit le maire de Laval, lors d'un entretien exclusif. On n'en a pas encore déterminé l'emplacement exact, mais ce n'est pas l'espace qui manque à Laval. C'est en tout cas du sérieux. Même que notre plan fonctionnel et technique (PFT) est déjà terminé.» Mais le maire de Laval ne s'arrête pas là. Il demande aussi la collaboration des gouvernements provincial et fédéral pour financer la construction d'un complexe aquatique et d'un complexe de glace qui compterait une ou deux patinoires. Les deux projets sont évalués à au moins 45 millions. M. Vaillancourt explique qu'il est tout à fait réaliste de penser que le privé financera un quart du projet et la Ville un autre quart. Le reste, donc 50% des coûts, serait fourni par Québec et Ottawa. Il demande donc un financement total de plus ou moins 60 millions. «On a réalisé de nombreuses études et le potentiel est là, ajoute le maire de Laval. La demande est là. Et notre ville a le potentiel de réaliser ces projets.» Outre ces projets d'expansion, l'administration Vaillancourt demande toujours au gouvernement de Jean Charest de financer le prolongement de la ligne orange du métro, à partir de la station Côte-Vertu, jusque dans l'ouest de Laval. Il souhaite aussi obtenir de l'argent pour la mise à niveau des usines de transformation d'eau potable, projet évalué à 125 millions. courriel Pour joindre notre journaliste: sara.champagne@lapresse.ca
  15. Les politiciens ne sont pas les seuls à jouer avec les chiffres. Même le vérificateur général, Renaud Lachance, a changé de méthode pour calculer le déficit cumulé du Québec, a constaté La Presse. Pour en lire plus...
  16. Le CN presse de nouveau le Surface Transportation Board afin qu'il prenne rapidement une décision au sujet de sa proposition de rachat de la ligne régionale Elgin, Joliet & Eastern de Chicago auprès de U.S. Steel. Pour en lire plus...
  17. Selon le Wall Street Journal, un nouveau programme d'aide aux propriétaires devrait être révélé lors d'une conférence de presse aujourd'hui vers 14h00. Pour en lire plus...
  18. Même si la Caisse de dépôt et placement assure être en mesure de remplir ses obligations envers ses déposants, Mario Dumont presse le gouvernement Charest de faire la lumière sur sa situation financière. Il estime que la crise des marchés boursiers a coûté des dizaines de milliards à l'institution. Pour en lire plus...
  19. Publié le 23 octobre 2008 à 11h48 | Mis à jour à 13h33 Deux adéquistes traversent la chambre Malorie Beauchemin La Presse (Québec) Deux députés de l'ADQ passent au Parti libéral du Québec. Il s'agit d'André Riedl, député d'Iberville, élu le 26 mars 2007, et Pierre Michel Auger, député de Champlain, aussi élu en 2007. Homme d'affaires d'Eastman, André Riedl était, avant de se lancer en politique, spécialisé en redressement d'entreprises et conférencier international. Sa philosophie de gestion était : «fun, passion, résultats». Lors de la dernière campagne électorale, en 2007, il avait été qualifié par le chef Mario Dumont comme l'une de «ses trois candidatures exceptionnelles du milieu économique», avec Gilles Taillon et Linda Lapointe. M. Riedl avait été sollicité pour être candidat adéquiste par M. Dumont lui-même, trois jours après le déclenchement de la campagne électorale, au moment où il s'apprêtait à partir en vacances. Porte-parole en matière d'affaires internationales, il avait été fort présent lors de la controverse entourant le départ précipité du délégué général du Québec à New York, Bruno Fortier. Le mois dernier, en pleine campagne fédérale, il n'avait pas caché son penchant pour le chef libéral Stéphane Dion, contrairement à plusieurs députés adéquistes qui s'étaient prononcés en faveur des conservateurs. Pierre Michel Auger, aussi homme d'affaires, était porte-parole en matière d'emploi. Jean Charest a confirmé la nouvelle lors d'un point de presse qu'il a convoqué à la dernière minute et durant lequel il a présenté ses deux nouveaux députés. Les deux transfuges ont d'ailleurs eu des mots durs à l'endroit de leur ancien chef. «Je me suis rendu compte que l'ADQ est le parti d'un seul homme», a indiqué M. Riedl, en point de presse aux côtés de M. Charest. Pour sa part, M. Auger a accusé M. Dumont de ne pas écouter ses députés. Ce rebondissement survient au moment où les travaux parlementaires reprennent à Québec dans un climat tendu. Mardi, l'élection du péquiste François Gendron au poste de président de l'Assemblée, à la suite d'une alliance entre le Parti québécois et l'ADQ, a irrité au plus haut point les libéraux. Malgré ces ajouts à son caucus, le premier ministre Charest est encore loin de détenir une majorité en Chambre. Les libéraux comptent désormais 48 sièges, les adéquistes 39 et les péquistes 36; deux sièges sont vacants. Pour détenir une majorité, le parti au pouvoir doit détenir au moins 63 sièges. Les transfuges sont rares à l'Assemblée nationale du Québec. En 1992, le député indépendant Richard Holden (élu en 1989 sous la bannière du Parti Égalité) s'était joint au Parti québécois, soulevant l'ire de ses électeurs dans Westmount. Il avait par la suite été battu en 1994. Avec La Presse Canadienne
  20. Publié le 10 octobre 2008 à 06h57 | Mis à jour le 10 octobre 2008 à 07h00 Main d'oeuvre: l'entente France-Québec sera appliquée rapidement Tommy Chouinard La Presse (Québec) Les ordres professionnels concrétiseront plus rapidement que prévu l'entente sur la mobilité de la main-d'oeuvre que signeront en grande pompe le président français Nicolas Sarkozy et le premier ministre Jean Charest la semaine prochaine. Certains abattront le jour même des obstacles à la reconnaissance des compétences, alors que d'autres s'engageront à le faire au printemps ou au plus tard le 31 décembre 2009. La Presse a obtenu de plusieurs sources des informations sur cette entente France-Québec que M. Charest qualifie de «première mondiale» et dont la signature sera l'un des moments forts de l'automne. Le 17 octobre, après la cérémonie officielle de MM Sarkozy et Charest à Québec, au moins deux ordres professionnels, les ingénieurs et les arpenteurs-géomètres, signeront avec leur vis-à-vis français un «arrangement sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles». Grâce à cet «arrangement», obtenu par La Presse, un Français pourra exercer sa profession au Québec plus facilement, tout comme un Québécois en France. Les modalités sont prévues dans cet accord. Des contraintes, qui pouvaient limiter la mobilité de la main-d'oeuvre, sont éliminées. En vertu de cet «arrangement», l'ordre professionnel du Québec ou de la France devra accuser réception d'une demande de reconnaissance dans un délai d'un mois. Il disposera ensuite de trois à quatre mois pour informer le demandeur des «conditions de délivrance de l'aptitude légale d'exercer». Prenons l'exemple d'un arpenteur-géomètre québécois. L'ordre professionnel français reconnaîtra automatiquement ses qualifications professionnelles. Auparavant, il était obligé de suivre des cours en France. Ensuite, pour exercer sa profession dans l'Hexagone, ce Québécois devra faire un stage d'appoint de 12 mois afin de se familiariser avec la réglementation française. Une évaluation suivra. Le stage et l'évaluation existaient déjà auparavant. Le géomètre-expert français devra entreprendre la même démarche s'il veut travailler au Québec. Dans le cas des deux «arrangements», quelques détails techniques devront être réglés avant que le protocole de reconnaissance des compétences n'entre en vigueur. Toujours le 17 octobre, une dizaine d'autres ordres professionnels signeront une déclaration d'engagement, également obtenue par La Presse, dans laquelle ils promettent de se conformer à l'entente France-Québec au plus tard le 31 décembre 2009. Ils signeront donc eux aussi, d'ici 14 mois, un «arrangement sur la reconnaissance des qualifications professionnelles». Le Collège des médecins signera avec son homologue français une déclaration dans laquelle il prévoit la conclusion d'une entente avant le 30 juin 2009. Les travailleurs sociaux promettront un arrangement d'ici le mois de mars; les comptables agréés, au plus tard à la mi-avril. Les autres ordres qui signeront une déclaration d'engagement sont, notamment, les pharmaciens, les dentistes, les géologues, les architectes, les avocats et les sages-femmes. Plusieurs métiers de la construction seraient prêts à mettre en application l'entente France-Québec. De son côté, l'Ordre des infirmières, qui avait déjà facilité la venue de collègues françaises, lèvera un obstacle de plus. Il éliminera l'examen exigé à toute candidate de France. Seul le stage d'intégration en milieu de travail, d'une durée de quatre mois environ, sera toujours imposé. Selon les documents obtenus par La Presse, les ordres élimineront des obstacles à la mobilité de la main-d'oeuvre, mais ils auront le pouvoir d'imposer un «stage d'adaptation», une «épreuve d'aptitude» ou encore une «formation complémentaire», qui pourrait se faire dans le pays d'origine du candidat alors que sa demande est en traitement. Une telle «mesure de compensation», qui vise à combler uniquement une «différence substantielle» dans la formation ou le champ de pratique, «doit être proportionnée, la moins contraignante possible, et tenir compte notamment de l'expérience professionnelle des demandeurs», indique-t-on. Jusqu'à tout récemment, on s'attendait à ce que l'entente France-Québec n'ait un impact concret ou ne soit appliquée par les ordres professionnels avant quelques années. Si des ordres sont en mesure d'aller de l'avant rapidement, c'est qu'ils ont commencé à négocier avec leurs vis-à-vis français avant même la conclusion d'une entente entre les gouvernements. Les négociations sont toutefois moins avancées dans certaines professions. Mais Québec créera vendredi prochain un secrétariat pour faire le suivi des négociations et amener les parties à s'entendre «dans les plus brefs délais», pour reprendre les termes d'un document obtenu. L'entente France-Québec sur la mobilité de la main-d'oeuvre est un projet cher à Jean Charest. Il parle de ce «traité historique» dans tous ses discours depuis plus d'un an. Le gouvernement espère que cet accord lui permettra de recruter plus de travailleurs qualifiés afin de faire face à la pénurie de main-d'oeuvre.
  21. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  22. Le gouvernement britannique va annoncer lundi matin, sous l'oeil intéressé de l'Europe, le détail de son vaste plan de sauvetage bancaire qui pourrait conduire à une prise de contrôle majoritaire de deux des plus grandes banques du pays, RBS et HBOS, selon la presse dominicale. Pour en lire plus...
  23. Deux cadres supérieurs de la Caisse de dépôt et placement ont annoncé leur départ, au cours des dernières semaines, a appris La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  24. Le président et chef de la direction de Domtar, qui quitte son poste à la fin de l'année, a rencontré cette semaine les journalistes de La Presse. À la veille de la nomination de son successeur, il répond à nos questions. Pour en lire plus...
  25. Volvo élimine 500 emplois en Ontario 30 septembre 2008 - 11h49 Presse Canadienne Le groupe suédois Volvo a annoncé l'élimination d'environ 1900 emplois mardi, dont environ 500 en Ontario. Cette annonce survient dans le cadre de mesures destinées à améliorer sa rentabilité et l'aider à devenir plus concurrentiel. Quelque 1400 des emplois perdus sont rattachés aux usines de la division des camions de Volvo à Gand, en Belgique, et à Goteborg et à Umea, en Suède. Volvo a expliqué dans un communiqué de presse, mardi, que ces pertes d'emplois sont une conséquence de sa décision de réduire la capacité de sa production en Europe afin de s'ajuster à la demande décroissante pour les camions dans le marché européen. Au cours des dernières années, Volvo avait augmenté graduellement sa capacité pour satisfaire une demande croissante, mais compte tenu de la demande devenue plus faible, la compagnie a décidé de ramener sa capacité de production à des niveaux plus normaux. Volvo soutient que la baisse du marché a été exacerbée par les récents événements ayant affecté les marchés financiers, expliquant que ses clients sont devenus plus conservateurs lorsqu'il s'agit de remplacer leurs véhicules et que certains n'arrivent même plus à obtenir des prêts pour financer l'achat de nouveaux camions. En Ontario, les employés touchés par les mesures adoptées par Volvo sont à l'emploi de la division de l'équipement de construction du groupe (Volvo Construction Equipment ou Volvo CE). Volvo a décidé de transférer sa production de niveleuses de Goderich, en Ontario, à son usine de Shippensburg, dans l'Etat américain de la Pennsylvanie. La mesure, qui sera effectuée en différentes phases, devrait être complétée d'ici 2010. Elle entraînera des coûts d'environ 45 M$ Us qui seront pris en charge au troisième trimestre de 2008. Volvo a cédé sa division de production d'automobiles à Ford Motor en 1999.
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