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  1. MONTREAL - A battle is brewing for Quebec arts and crafts shoppers as North American giant Michaels prepares to enter the province Friday with the opening of seven stores. The move by the Texas-based retailer will put it in closer competition with homegrown DeSerres, which is opening its 18 location in the province and 28th across Canada. After three years of planning, Michaels will open stores in suburban locations in Gatineau, LaSalle, Lachenaie, St-Jean-sur-Richelieu, St-Jerome, Vaudreuil-Dorion, and Laval. The move comes 17 years after it expanded into English Canada. "We wanted to make sure we were 100 per cent compliant to the rules and regulations of the Quebec government and we wanted to make sure that we were going to provide an unbelievable shopping experience to our customer," Tom Making, president of Michaels Canada, said in an interview from St-Jean-sur-Richelieu. He said Michaels translated 2.5 million words to ensure that its packaging and signage was trilingual in English, French and Spanish to service customers in Quebec and the United States. Michaels has invested $20 million in the Quebec stores, hired 500 workers and developed a new store prototype that includes better lighting, wall graphics and wider aisles. It has also signed up four Quebec vendors to supply books, stamping and scrapbooking materials. The Quebec stores will offer the same merchandising as its 92 other stores in Canada, but it will target the Quebec consumer with a larger yarn department, beading area and expanded framing section. "The Quebec public is a very creative customer in crafts, in fine arts and we offer that unique shopping experience in all of our stores." Making said the arrival of Michaels will "enhance" the market along side the 104-year-old DeSerres chain. "We offer a different product line. Our objective is to bring a whole new crafting experience to the Quebec consumer and I think we will enhance one another." DeSerres president Marc DeSerres said Michaels will only have a short-term impact on a few of its nearby stores. "You always have to be concerned when someone with large means comes in your territory but I feel we are prepared," he said in an interview from Paris where he was shopping for new products. "We have a different offer, we're based here, we're Canadian-owned, we know the market and we adjust our stores based on the market." As a smaller company, DeSerres said it can bring in new products and follow trends much quicker than Michaels. While Michaels is strong in crafts, DeSerres said his stores excel at fine arts. They sell canvases made in Montreal, notebooks manufactured in Toronto and artist paints made in Canada. "(Michaels is) putting themselves close to Walmart so the selection is probably close to Walmart's and they will probably compete more with Walmart and the dollar store than us." Michaels operates more than 1,070 big box stores averaging 1,800 square metres and plans to add more stores in Quebec in the next five years. About nine per cent of its more than US$4.2 billion of sales in fiscal 2011 came from Canada. The stores carry more than 35,000 products. Nearly half its sales are in general products and children's crafts, according to its 2011 annual report. The rest is divided among home decor and seasonal, framed and scrapbooking goods. Opened in 1983, it was purchased in 2006 by private equity firms Bain Capital, founded by U.S. presidential candidate Mitt Romney, and The Blackstone Group. Michaels employs about 45,300 workers, including 34,600 who are part-time and nearly 5,000 in Canada. Note to readers: This is a corrected story. An earlier version said Michaels had 89 other stores in Canada Read more: http://www.montrealgazette.com/business/all/Arts+crafts+retailer+entering+Quebec+market+with+seven/7229361/story.html#ixzz26J95n6OG
  2. lesaffaires.com . les affaires.com . 24-07-2012 Offrir une solution de rechange à bon prix aux espaces de bureau du centre-ville, voilà une des motivations qui ont incité la Corporation immobilière Kevric à acheter deux anciennes manufactures du quartier Villeray à Montréal. Le gestionnaire et promoteur immobilier spécialisé dans la remise en valeur d’édifices a allongé 16 M$ pour mettre la main sur deux propriétés de respectivement 350 000 et 120 000 pieds carrés sur la rue MilesEnd, dans le quartier Villeray à Montréal. Kevric convertira ses deux anciennes usines textiles, situées au 7250 et au 7450 MilesEnd, en lofts-bureaux, a expliqué à LesAffaires.com Richard Hylands, président de Kevrik. En incluant les coûts de conversion, l’investissement du promoteur immobilier s’élèvera à 35 M$. «Ces immeubles nous permettront d’offrir une alternative aux loyers du centre-ville, à environ la moitié du prix», explique M. Hylands. Le président de Kevrik explique que de nombreuses entreprises cherchent des solutions de rechange aux espaces locatifs du centre-ville de Montréal et qui sont situés à proximité des transports en commun. Les immeubles acquis sont situés près du métro et du train de banlieue, tout en étant à quelques pas du Parc Jarry. Un quartier en pleine effervescence Le quartier où Kevrik investit est en pleine effervescence. Les projets immobiliers et commerciaux dans la située entre les Boulevard St-Laurent à l’Avenue du Parc se sont multipliés au cours des dernières années. M. Hylands cite en exemple l'immeuble reconverti par Rosdev, aux coins des rue Jean-Talon et Avenue du Parc, «un bâtiment recyclé qui se loue très bien».
  3. Une chaîne américaine que je ne connaissais pas. Trouvé sur le Twitter d'Allison Lampert http://www.solutions-emailing.com/i/?id=09vcDkuA4auvj46wHXUNVh9gW7Rc1AAY5C55s956nkbAf16yxk7HTFuFk7XwI1nYD12zNZ0LylE_3d
  4. Le Groupe CGI (T.GIB.A) annonce l'acquisition de Logica, un fournisseur de services en affaires et technologie dont le siège social est établi au Royaume-Uni. La firme montréalaise, qui oeuvre dans le domaine des technologies de l'information, offre d'acquérir toutes les actions ordinaires de Logica pour un prix d'achat total de 1,7 milliard de livres, ou près de 2,8 milliards de dollars CAN. > Sur le blogue des marchés: CGI bondit en Bourse CGI prendra également en charge la dette nette de Logica, évaluée à 322 millions de livres ou 515 millions CAN. L'acquisition devrait être complétée d'ici la fin de septembre 2012. L'entreprise combinée comptera près de 72 000 professionnels répartis dans 43 pays. Le président et de chef de la direction de CGI, Michael E. Roach, a fait valoir que cette consolidation mondiale était à la fois nécessaire et inévitable. Dans la foulée de cette acquisition, la Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé un investissement d'un milliard de dollars dans le Groupe CGI. Le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia, a soutenu que cet investissement correspondait en tous points à la stratégie visant à favoriser la croissance internationale des entreprises québécoises, tout en générant des rendements attrayants à long terme pour les déposants. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/31/01-4530268-cgi-achete-logica-pour-28-milliards.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS1
  5. Fiera Immobilier, une division de Fiera Capital, met la main sur le gestionnaire de placements immobiliers Roycom. Les détails de la transaction n'ont pas été dévoilés. En achetant cette firme située à Halifax, Fiera Immobilier ajoute 500 M$ à son actif sous gestion afin de créer une plateforme d'investissement en placements immobiliers axée sur les fonds communs et de services de gestion de comptes distincts pour les clients institutionnels. « Grâce à notre association avec Roycom, nous avons trouvé le partenaire dont nous avons besoin pour nous aider à lancer notre entreprise et à commercialiser de nouveaux produits », déclare Stuart Lazier, chef de la direction de Fiera Immobilier, par voie de communiqué. Fondé en 1976, Roycom est un gestionnaire de placements spécialisé en acquisitions, gestion d'actifs, gestion immobilière, services de location et en aliénation d'actifs. Stuart Lazier occupera le poste de chef de la direction et Rob Roy, l'actuel président de Roycom, deviendra président de la nouvelle entité. Ils dirigeront une équipe de 12 professionnels établis à Halifax et Toronto. « Notre mission consistera à mobiliser et à motiver notre équipe de façon à générer des bénéfices pour nos investisseurs et bâtir la confiance en un avenir prometteur », mentionne Stuart Lazier, dans un communiqué. « Notre priorité numéro un est de nous assurer que les besoins de nos clients actuels sont pleinement satisfaits », ajoute-t-il. « Fiera Immobilier possède maintenant l'équipe, la plateforme et la feuille de route qui nous permettront d'accéder à une position dominante dans le secteur de la gestion d'investissements immobiliers », indique Jean-Guy Desjardins, président du conseil, chef de la direction et chef des placements de Fiera Capital, par voie de communiqué. Créé en 2011, Fiera Immobilier est une coentreprise établie par Fiera Capital et Axia Investments dans le but d'édifier une plateforme de services en placements immobiliers destinée aux investisseurs institutionnels.
  6. Le 500 place D'Armes sera rénové et non détruit comme certains le souhaite... Cure de jouvence pour le 500, place d'Armes Publié le 07 décembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 07h32 André Dubuc La Presse (Montréal) À l'image de la place d'Armes dont on vient de refaire le parvis, le gratte-ciel de facture moderne qui la borde du côté ouest subira une cure de jeunesse dans les prochains mois. L'ensemble des systèmes électromécaniques de l'immeuble de 30 étages construit entre 1965 et 1968 sera remis aux normes du jour. Les travaux commenceront en 2012 et s'échelonneront sur 2 ou 3 ans. Le 500 place d'Armes a comme locataire principal la Banque Nationale. On y trouve aussi des bureaux d'avocats et l'Ordre des comptables généraux agréés. L'Agence métropolitaine de transport l'a quitté pour le 700, De La Gauchetière, connu autrefois sous le nom de Tour Bell. «Le 500, place d'Armes va redevenir un immeuble de catégorie A», dit André Plourde, président du Groupe Immobilier de Montréal, dans un entretien. Dans le jargon des professionnels de l'immobilier commercial, les immeubles de catégorie A représentent les plus beaux immeubles de bureaux, dotés de toutes les caractéristiques recherchées par l'utilisateur de bureaux. Le Groupe Immobilier de Montréal vient de décrocher le mandat exclusif de location des propriétés de Cromwell Management à Montréal et Québec. Outre le 500, place d'Armes, le portefeuille comprend l'ancien siège social de Cinar, au 1055, boul. René-Lévesque Est et le 500, boulevard René-Lévesque Ouest, l'ancien immeuble Air Canada. Cromwell appartient à son président Georges Gantcheff. À Québec, Cromwell possède le 500, Grande Allée Est, jadis un immeuble de prestige comptant 109 000 pieds carrés répartis sur 9 étages. Des travaux de près de 26 millions de dollars sont en cours pour redonner une nouvelle vie à cette adresse stratégiquement située sur la colline parlementaire, dans la Vieille Capitale. Au total, le Groupe Immobilier s'occupera de la location d'un portefeuille de sept immeubles totalisant 1,6 million de pieds carrés. «Il s'agit pour nous d'un important gain qui nous confère un statut de leader du secteur de la location commerciale avec un portefeuille qui atteint maintenant plus de 5 millions de pieds carrés», fait savoir M. Plourde dans un communiqué. Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201112/07/01-4475357-cure-de-jouvence-pour-le-500-place-darmes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS21
  7. Paul-André Gilbert Le Courrier du Sud - Publié le 27 septembre 2011 à 09:00 BROSSARD.En venant s’installer à Brossard, BBA a l’intention d’être une bonne entreprise citoyenne, qui s’impliquera dans la communauté brossardoise. «BBA étant une bonne entreprise citoyenne, partout où nous sommes installés, on a été actifs dans les différents organismes», a déclaré Steeve Fiset, président de l’entreprise. Ainsi, lorsque vient le temps de s’impliquer dans la communauté, l’entreprise privilégie deux domaines : les arts et l’éducation. BBA se targue également d’être une entreprise de pointe au niveau de la conciliation travail-famille. Parmi les mesures mises en place, la compagnie possède une banque de temps qui permet aux employés d’accumuler des heures et de les reprendre plus tard. «Ils peuvent faire des heures en avance dans la semaine et reprendre ces heures-là, lorsque c’est possible évidemment, lorsque les conditions le permettent, pour aller s’occuper d’un enfant qui est malade ou aller à un rendez-vous», a indiqué M. Fiset. La compagnie choisit Brossard pour poursuivre sa croissance La compagnie, dont le siège social est situé à Mont-Saint-Hilaire, couvre principalement deux marchés : l’énergie et les mines. Le bureau de Brossard sera consacré aux projets d’infrastructures électriques et d’automatisation pour des clients qui sont dans le secteur minier. Selon M. Fiset, BBA a décidé d’ouvrir un bureau à Brossard pour deux raisons. Premièrement, la ville de Brossard, et plus particulièrement le secteur du Quartier DIX30, est aux dires du président un endroit dynamique qui sera propice à la croissance future de la firme. Ensuite, l’ouverture d’un bureau à Brossard donnera à BBA l’accès à un bassin de main-d'œuvre complémentaire à son bureau de Montréal et à son siège social de Mont-Saint-Hilaire. «Avoir un bureau à Brossard donnera accès à toute une main-d'œuvre qualifiée technique, qui ne souhaite pas nécessairement venir à Saint-Hilaire ou traverser les ponts à Montréal», a-t-il dit. Le président veut attirer la main-d’œuvre de Brossard, mais aussi de la région de La Prairie, Sainte-Catherine et Saint-Constant.
  8. (Courtesy of CNW) It should be open in the Spring of this year. I drove passed it, honestly it doesn't look at like it at all ready. They are setting up shop in the old Ferrari-Maserati dealership. At least now people don't have to go to Toronto or John Scotti to get their Rolls
  9. Maxime Bergeron LA PRESSE Patrick D'Astous s'apprête à dire adieu aux heures de pointe entre sa maison de Saint-Lambert et son bureau du centre-ville de Montréal. Dans quelques semaines, le chef d'entreprise déménagera sa boîte de services-conseils - et ses six employés - sur la Rive-Sud, après 10 ans dans un gratte-ciel de la rue Beaver Hall. Le Lambertois avait déjà pris sa décision avant les embouteillages infernaux des dernières semaines. Mais l'aggravation de la situation a « bien adonné » pour le conforter dans son choix de rompre son bail de trois ans avant terme. « Le plus grand aspect de cette décision-là, c'est la qualité de vie », résume-t-il. Le cas de Patrick D'Astous demeure isolé. La multiplication des cônes oranges n'a pas encore écoeuré les entrepreneurs au point de causer un exode de l'île de Montréal. À moyen et long terme, toutefois, l'impact de l'encombrement chronique sera catastrophique pour les sociétés de toute la métropole si rien n'est fait pour corriger la situation, avertissent plusieurs représentants du milieu des affaires. Les bouchons fréquents causent une série de désagréments aux employeurs. Certains, comme les retards des travailleurs, sont déjà bien palpables. Mais d'autres problèmes, autrement plus sérieux, commenceront seulement à faire sentir leurs effets pervers au fil des prochaines semaines et des prochains mois. « Ça désorganise carrément les chaînes d'approvisionnement des entreprises qui sont situées sur l'île ou autour de l'île, explique Simon Prévost, président de Manufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ). C'est un impact qui se voit moins à l'oeil nu, mais qui va être clairement ressenti par les manufacturiers. À l'ère du juste à temps, on va être à l'ère du toujours en retard. » L'industrie manufacturière, moins sexy que celle de la finance ou du multimédia, demeure cruciale pour l'économie montréalaise. Selon les données les plus récentes de Statistique Canada, les 13 500 fabricants de la région métropolitaine emploient à eux seuls 230 000 personnes. Leurs exportations internationales ont totalisé 58 milliards de dollars l'an dernier. Or, avant d'expédier leurs sofas, biscuits et autres électroménagers vers l'Europe ou les États-Unis, ces manufacturiers doivent d'abord s'approvisionner en matières premières et pièces de toutes sortes. Des composantes qui arriveront à des heures de plus en plus imprévisibles en raison des bouchons systématiques sur les routes. « Ça va être majeur, ça va demander une réorganisation des processus de production, et surtout, ça rajoute beaucoup d'incertitude, lance Simon Prévost. Si on pouvait me dire : ça va toujours être en retard d'une journée, tu t'organises, mais d'une fois à l'autre, on ne le saura pas. Ça devient très compliqué. » Cette coordination difficile, combinée à la surtaxe aux embouteillages que veulent imposer les camionneurs à Montréal, mine la productivité des entreprises manufacturières montréalaises. Un constat d'autant plus sombre qu'elles tirent déjà de l'arrière à cet égard, déplore le président de MEQ. Recrutement difficile Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, dénonce lui aussi les pertes économiques causées par le « chaos » sur les routes de la métropole. En 2003, son regroupement estimait à 1,4 milliard les coûts annuels liés aux embouteillages, une facture qui a sans doute grimpé en flèche aujourd'hui, reconnaît-il. Le pire reste cependant à venir, craint M. Leblanc. Les bouchons généralisés risquent d'encourager de plus en plus d'employés à choisir des postes moins intéressants en banlieue, en plus d'inciter des entreprises à s'installer dans des endroits moins stratégiques au plan concurrentiel. Autant de freins à la productivité globale de la région. « Ces petites décisions-là, qui sont toutes individuelles, lorsqu'on les additionne, finissent par expliquer les milliards de dollars de pertes qu'on observe », tranche-t-il. Pour les recruteurs professionnels, l'impact de ces embouteillages quotidiens constitue désormais un casse-tête « énorme », indique Martine Lachance, directrice de succursale de la firme Manpower pour Montréal et sa banlieue sud-est. Depuis environ un an et demi, de plus en plus de travailleurs quittent leur poste au centre-ville et choisissent de poursuivre leur carrière de l'autre côté des ponts. « Nos clients commencent à avoir un problème de rétention de leurs employés, souligne-t-elle. Des gens qui travaillent déjà depuis 10 à 15 ans au centre-ville et qui demeurent en banlieue quittent leur emploi pour éviter tout le trafic. » Plusieurs employés sont même prêts à accepter des postes moins intéressants pour s'éviter les bouchons. Martine Lachance donne l'exemple récent d'une jeune adjointe administrative de Longueuil, qui a perdu 5 % de salaire et une semaine de vacances en acceptant un nouveau poste sur la Rive-Sud. « Elle était prête à faire des concessions pour avoir une meilleure qualité de vie », note-t-elle. Télétravail Et qu'en est-il des sociétés de secteurs de pointe, dont les employés typiques sont souvent des urbains purs et durs ? Le président de d'Astous Groupe Conseil, qui se spécialise dans l'innovation en technologies de l'information, reconnaît qu'il a dû modifier quelque peu ses façons de faire pour convaincre ses six employés de le suivre dans son déménagement à Saint-Lambert cet été. « Il faut trouver des moyens de les attirer, et un de ces moyens, c'est de permettre le télétravail, explique Patrick D'Astous. On l'offrait déjà, mais là on améliore notre infrastructure pour le faire davantage. » Les six employés de M. D'Astous, qui travaillent beaucoup sur la route, n'auront plus l'obligation de se présenter au bureau. Tout ce qui compte, c'est que les cibles de l'entreprise soient atteintes, dit-il. Avec la multiplication prévue des chantiers routiers d'envergure ces prochaines années - dont ceux de l'échangeur Turcot, de la rue Notre-Dame et du tunnel L.-H. Lafontaine -, ce modèle pourrait faire des petits dans la métropole. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201106/23/01-4412143-congestion-routiere-un-cauchemar-pour-les-entreprises-montrealaises.php
  10. MONTREAL, March 29 /CNW Telbec/ - Mr. Michel Leblanc, President and CEO of the Board of Trade of Metropolitan Montreal, is pleased to invite media representatives to the Strategic Forum of the Board of Trade, which will focus on major projects in Montréal, on Wednesday, March 30, 2011, at 7:30 a.m. With the Mayor of Montréal, Gérald Tremblay, to be on hand, along with a number of experts and nearly 500 participants, this unique event will enable to learn more about how various key and shaping Montréal projects are advancing. The major development projects will be on-hand: The Montréal of tomorrow, an overview of the city's major projects Emilio Imbriglio, Partner, Raymond Chabot Grant Thornton TOWARDS MAJOR PRIVATE PROJECTS The impact of condo development on the Montréal landscape Jacques Vincent, Co-President, Prével Urban renewal, from Angus to Quadrilatere Saint-Laurent: The need for a territorial approach Christian Yaccarini, President and CEO, Angus Development Corporation The Windsor sector: Major developments for the Bell Centre and its surrounding area Salvatore Iacono, Senior Vice President, Development, Eastern Canada, Cadillac Fairview Corporation Ltd. LARGE-SCALE HEALTH INFRASTRUCTURES Sainte-Justine UHC - Grandir en santé: Innovation in personalized medicine for mothers and children Dr. Fabrice Brunet, Executive Director, Sainte-Justine University Hospital Center MUHC Normand Rinfret, Associate Executive Director and COO McGill University Health Centre The Jewish General Hospital Dr. Hartley Stern, Executive Director, Jewish General Hospital and Philippe Castiel, Director of Planning and Real Estate Development, Jewish General Hospital CHUM Christian Paire, Executive Director, Centre hospitalier de l'Université de Montréal MAJOR INSTITUTIONAL PROJECTS A space for life Charles-Mathieu Brunelle, Executive Director, Montréal's Nature Museums The UdeM's Outremont Campus Guy Breton, Rector, Université de Montréal The Innovation District: Progress report and guidelines for its implementation Yves Beauchamp, Director General, École de technologie supérieure and Heather Munroe-Blum, Principal and Vice-Chancellor, McGill University The redevelopment of the CBC/Radio-Canada site Maryse Bertrand, Vice-President, Real Estate, Legal Services, and General Counsel CBC/Société Radio-Canada The Quartier des spectacles Jean-Robert Choquet, Director, Department of Culture and Heritage, Ville de Montréal and Stéphane Ricci, Coordinator, Quartier des spectacles project, Ville de Montréal The Silo No. 5 and the Bassins du Nouveau Havre: Major revitalization projects for Montréal Cameron Charlebois, Vice-President, Real Estate, Quebec, Canada Lands Company Date: Wednesday, March 30, 2011 Time: From 7:30 a.m. to 12:30 p.m. Where: Palais des congrès de Montréal 1001 place Jean-Paul Riopelle Room 710 The Board of Trade of Metropolitan Montreal has some 7,000 members. Its primary mission is to represent the interests of the business community of Greater Montréal and to provide individuals, merchants, and businesses of all sizes with a variety of specialized services to help them achieve their full potential in terms of innovation, productivity and competitiveness. The Board of Trade is Quebec's leading private economic development organization. Contacts RSVP with Sylvie Paquette Advisor Media Relations by phone at 514 871-4000 ext. 4015 or by email at sylvie.paquette@ccmm.qc.ca.
  11. Invitation aux médias - Rencontre avec le président de Société Générale au Canada - SOCIÉTÉ GÉNÉRALE CHOISIT MONTRÉAL POUR Y INSTALLER UN NOUVEAU CENTRE SPÉCIALISÉ MONTRÉAL, le 18 févr. /CNW Telbec/ - M. Pierre Matuszewski, Président de Société Générale au Canada, invite les représentants des médias du secteur des affaires, de l'économie et des finances à venir en apprendre davantage sur le nouveau centre spécialisé du Groupe qui s'implante à Montréal et sur les nouveaux emplois qui y seront créés. Il y sera aussi question de la présence de la banque française sur l'échiquier québécois et canadien. Cette rencontre se tiendra le mardi 22 février à 10 h 30 dans les bureaux de Société Générale. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/February2011/18/c4040.html
  12. Montréal veut son quartier de la finance Mise en ligne 15/11/2007 04h00 Photo © Corbis Géraldine Martin Le Journal de Montréal Après le «quartier des spectacles», pourquoi pas le «quartier de la finance»? C’est l’idée de Jacques Girard, président-directeur général par intérim de CFI Montréal, qui songe à créer une grappe dans le secteur financier à Montréal tout comme il en existe déjà dans le secteur de l’aérospatiale, par exemple. M. Girard a déjà eu deux rencontres à ce sujet avec les entreprises du secteur financier et la Ville de Montréal. Une rencontre avec la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, est également dans les plans. Selon M. Girard, Montréal dispose de tous les ingrédients pour développer une grappe dans le secteur de la finance. «Ayant notamment constaté que le monde financier se développe là où il y a une réalité universitaire intéressante, pourquoi ne pas tenter de faire croître la place financière de Montréal en se donnant des mécanismes de coordination?», nous a-t-il confié. Montréal possède quatre grandes écoles de gestion et universités qui accueillent chaque année près de 20 000 étudiants. «Il y a une force réelle à Montréal», assure M. Girard. Toujours pertinent Dans son projet, pas question toutefois de supprimer les centres financiers internationaux, ce programme qui offre des avantages fiscaux aux entreprises et aux personnes qui viennent faire de la finance internationale à Montréal. Idéalement, le programme s’inscrirait dans le cadre de la grappe. «Il faut bonifier le programme, sinon il risque d’être marginalisé», soutient Frank Zampino, président du Comité exécutif de la Ville de Montréal, qui siège au conseil de CFI Montréal, l’organisme qui fait la promotion du programme fiscal. Les deux hommes assurent que le programme a encore toute sa raison d’être. «C’est un programme qui a donné des résultats et qui continue de donner des résultats», affirme M. Girard. En plus de retenir à Montréal des spécialistes qui seraient peut-être allés à Toronto, le programme, soutient-il, est allé chercher chaque année, depuis 2005, de six à huit nouveaux CFI. Et si, dans les chiffres, ça ne se voit pas forcément, c’est qu’il y a eu des fusions et des acquisitions, dit-il. √ Une grappe regroupe des entreprises d’un même secteur d’activité. L’idée est de partager certaines ressources pour être plus compétitif. √ Le projet des grappes est une initiative de la Communauté métropolitaine de Montréal. Il en existe quatre actuellement, dont trois qui sont hébergées chez Montréal International. √ Jacques Girard était président de Montréal International entre 1996 et 2003.
  13. Renduring Completed Built: 2006 Its on the McGill campus. Matrox, President paid $10 million to cover part of the costs.
  14. Historic Ogilvy's building could fetch $100M Groupe Devimco in negotiations to purchase Montreal landmark By Robert Gibbens, The GazetteJanuary 26, 2010 7:29 "Spoonman" Cyrille Esteve performs outside the landmark Ogilvy's building in Montreal. Le Groupe Devimco is reportedly in talks to buy the building for about $100 million.Photograph by: Phil Carpenter, The GazetteMONTREAL – The landmark Ogilvy's building on Ste. Catherine St. will probably be sold for about $100 million to Le Groupe Devimco, one of the backers of the big Quartier Dix30 lifestyle centre in Brossard, and partners. Toronto property developer David Jubb, owner of Pyxis Real Estate Equities, bought the Ogilvy's building from the Standard Life Assurance Co. of Canada in May 2000 for $50 million. His office said he was "out of the country" and unavailable for comment. Devimco president Jean-Francoisn Breton also was not available for comment. But Ogilvy's president Bernard Pare confirmed that sale negotiations are well advanced and in the due diligence stage, though "it's not yet a done deal." Some reports said a trust controlled by the Beaudoin and Bombardier families may be a partner in the Ogilvy's deal. It was one of the original investors in Quartier Dix30 along with a large Toronto-based property trust and two pension funds. Founded in 1866 by James A. Ogilvy at the northwest corner of St. Catherine and de la Montagne, the store was acquired in 1927 for the "modest sum" of $38,500 by James Aird Nesbitt, whose father had founded the brokerage firm of Nesbitt Thompson in Montreal, and was expanded into a full-size department store. A major overhaul in 1986 moved it upscale with 60 individual boutiques, including several leading luxury brands. It kept the famed bohemian crystal chandelier on the ground floor and the bagpiper. Jubb, who owns other commercial properties in Montreal, Toronto and Vancouver, made further improvements, including a new air-conditioning system.
  15. Despite its abundance of culture, attendance is low. It’s hard to imagine that cosmopolitan Montreal, with its feted music scene, mountains of arts funding, work-to-live inclination and literary sensibility, would place anywhere but at the very top of a list of Canada’s Most Cultured Cities. An even bigger surprise is to find it near the bottom. True, cultural opportunities abound in Montreal. There’s the world-class Montreal Symphony Orchestra, L’Orchestre Métropolitain, L’Opéra de Montréal, Les Grands Ballets Canadiens, a half-dozen music festivals, including the Montreal International Jazz Festival and Pop Montreal, and no fewer than a dozen museums. “But the index isn’t about whether something exists,” says Paul Cappon, president and chief executive of the Canadian Council on Learning. “It’s about whether people actually use it.” And when you crunch the numbers, looking at how many Montrealers actually went to the ballet, for instance, or visited the McCord Museum of Canadian History last year, the locals look a lot more like rubes than the cultural leaders many in the rest of Canada imagine them to be. Only one in four Montrealers visited a museum last year, compared with nearly half of all Victoria residents. More Winnipeggers Scores:http://www2.macleans.ca/2010/05/20/smart-cities-2010-canadas-most-cultured-cities/ Source:http://www2.macleans.ca/2010/05/20/why-does-montreal-rank-so-poorly/
  16. NEARLY $630 MILLION IN FOREIGN INVESTMENT AND TWO NEW INTERNATIONAL ORGANIZATIONS ATTRACTED; HELP TO OVER 1,000 SKILLED FOREIGN WORKERS TO ESTABLISH IN GREATER MONTRÉAL MONTREAL, April 15 /CNW Telbec/ - On the occasion of its 14th Annual Meeting held today with 200 members and partners attending, Montréal International (MI) presented its results for the year 2009. Among the highlights were the metropolitan economic development organization's success in contributing to attract nearly $630 million in foreign investment, two new international organizations and over 1,000 skilled foreign workers into Greater Montréal. On the innovation front, MI supported five promising projects in high-tech industries in Metropolitan Montréal. As for promoting the region's advantages on the international stage, some 40 activities were undertaken in foreign markets. At the event - which welcomed Mr. André Lauzon, Executive Producer and Head of Electronic Arts Mobile Montréal as guest speaker - the Acting President and CEO of Montréal International, Mr. Luc Lacharité, emphasized: "The competence and dedication of MI's staff, combined with the support and collaboration of the organization's members and partners, once again has generated further substantial benefits for the metropolitan region's economic competitiveness and international status, in spite of difficult world economic conditions." Foreign investment In 2009, MI helped attract $626.3 million in foreign investment into Greater Montréal. This investment, nearly three-quarters of which is in high-technology sectors and will create or maintain over 2,900 jobs in the metropolitan region, comes 56% from North America, 32% from Europe and 12% from Asia. A further indicator of the added value of MI's results is that over half (55.3%) of the projects were new set-ups. International organizations In terms of attracting international organizations (IOs), the MI 2009 Activity Report mentions the decision of two IOs to set up in Montréal, as well as the official opening of the secretariats of two other IOs in the metropolis. Various international promotional and networking activities were also organized among the IOs community during the year. Skilled foreign workers In 2009, the International Mobility team handled 1,025 files of skilled foreign workers on behalf of 262 businesses, institutions and international organizations in Greater Montréal. In total, 1,784 individuals benefited from MI help and career counselling to settle in the region. The impact of this specialized foreign workforce is very positive for Greater Montréal, as their combined earnings will represent more than $155 million over three years. This qualified workforce also boosts the region's expertise in key sectors. Innovation Last year, MI supported five promising projects in innovation development in Greater Montréal: - Research and innovation initiative in computer-generated images, a Québec Film and Television Council project; - Mobility Alliance, a TechnoMontréal project in cooperation with Alliance numérique to develop and market new applications and new content for mobile platforms; - ScienceAffaires meetings, in cooperation with the Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada (NSERC), a pilot project to maximize sharing among scientists, artists, economic development players and the business world; - A market intelligence study in the medical drug sector, in cooperation with the Québec Consortium for Drug Discovery (CDQM); - The 2009 Aerospace Innovation Forum, organized by Aéro Montréal. International promotion of Greater Montréal At the top of the list of MI's key promotional achievements in 2009 is its upgraded website. The 2009-2010 edition of "Greater Montréal's Attractiveness Indicators" has also drawn keen interest. This annual MI publication also won an APDEQ (Québec Association of Economic Development Professionals) award in the best information tool category. Lastly, numerous promotional events were organized last year, including a mission to New York in which MI partners participated. MI Board of Directors The 2010-2011 Board of Directors of Montréal International is made up of the following members (N=new member, R=renewal): Private Sector Members: - Mr. Luc Benoît, President, AECOM Tecsult; - Mr. André Boulanger, President, Hydro-Québec Distribution ®; - Mr. Jean-Jacques Bourgeault, Vice Chairman of the Board, Montréal International, and Corporate Director; - Mr. Pierre Brunet, Chairman of the Board of Directors, Montréal International, and Corporate Director; - Mr. Renaud Caron, Principal Vice President, Strategic Development, CGI Group; - Me C. Stephen Cheasley, Treasurer, Montréal International, and Partner, Fasken Martineau ®; - Mr. James C. Cherry, President and Chief Executive Officer, Aéroports de Montréal ®; - Mr. Richard Filion, Director General, Dawson College, and President, Regroupement des collèges du Montréal métropolitain (Metropolitan Montréal College Alliance); - Mr. Michel Guay, Chairman of the Board, TechnoMontréal ®; - Mr. Luc Lacharité, Acting President and Chief Executive Officer, Montréal International; - Mr. Guy LeBlanc, Managing Partner, Montréal Office, PricewaterhouseCoopers (N); - Me David McAusland, Partner, McCarthy Tétrault ®; - Mr. Andrew T. Molson, Vice Chairman, Molson Coors Brewing Company ®; - Mr. Marc Parent, President of the Board of Directors, Aéro Montréal, and President and Chief Executive Officer, CAE; - Ms. Louise Roy, Chancellor, Université de Montréal, Chair of the Board, Conseil des arts de Montréal, and Cirano invited Fellow ®; - Mr. Jean-Pierre Sauriol, President and CEO, Dessau; - Mr. Hubert Thibault, Vice President - Institutional Affairs, Fédération des caisses Desjardins du Québec ®; - Ms. Sylvie Vachon, President and Chief Executive Officer, Montréal Port Authority ®; - Dr. Judith Woodsworth, President, Concordia University. Public sector Representatives: - Mr. Michael Applebaum, Mayor of the Borough of Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Vice Chair of the Executive Committee of the City of Montréal, responsible for Services to citizens, Relations with the Boroughs and Housing, Member of the Agglomeration Council and the Board of Directors of the Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) (N); - Mr. Richard Deschamps, Member of the Executive Committee, responsible for Major Projects 2025, Economic development, Infrastructures and Roads, City Councillor, LaSalle Borough, City of Montréal ®; - Mr. Claude Haineault, Mayor of the City of Beauharnois ®; - Mr. Luis Miranda, Mayor of the Anjou Borough, City of Montréal ®; - Ms. Sylvie Parent, Member of the Executive Committee, City of Longueuil ®; - Mr. Jean-Marc Robitaille, Mayor of the City of Terrebonne and Warden of MRC Des Moulins ®; - Mr. Jean Séguin, Sous-ministre adjoint à la Métropole, Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire (MAMROT); - Mr. Gérald Tremblay, Mayor of the City of Montréal and President of the Board, Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ®; - Ms. Rita Tremblay, Vice President, Policy and Planning, Canada Economic Development for Québec Regions; - Mr. Gilles Vaillancourt, Mayor of the City of Laval and Vice President of the Board, Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ®. A full report of Montréal International's 2009 activities is available on its website: http://www.montrealinternational.com. About Montréal International Montréal International (MI) was created in 1996 as a result of a private/public partnership. Its mission is to contribute to the economic development of metropolitan Montréal and to enhance its international status. Its mandates include attracting foreign investment, international organizations and qualified workers, supporting the development of innovation and metropolitan clusters, and promoting the competitive and international environment of Greater Montréal. Montréal International is funded by the private sector, the Communauté métropolitaine de Montréal (Montréal Metropolitan Community), the City of Montréal and the Governments of Canada and Québec. Since its creation, Montréal International has helped to attract more than $7.5 billion in foreign investment to Greater Montréal. From these investments, more than 43 000 jobs have been created or maintained. To date, MI's activities have also allowed more than 25 international organizations to establish themselves in the city and attract more than 4 000 qualified foreign workers. To learn more, please visit MI Web site at: http://www.montrealinternational.com. For further information: Benoît Lefèvre, Communications Advisor, Montréal International, (514) 987-9323, benoit.lefevre@montrealinternational.com http://www.newswire.ca/en/releases/archive/April2010/15/c2834.html
  17. Métro, boulot, condo Mise à jour le lundi 4 janvier 2010 à 11 h 49 Toronto force désormais les constructeurs de condominiums à fournir gratuitement aux acheteurs un laissez-passer mensuel de transport en commun durant un an. L'initiative vise à inciter les nouveaux propriétaires à prendre le métro, le tramway ou l'autobus, plutôt que leur voiture. « La majorité des condos sont situés près d'une ligne de transport de haute qualité », indique le président de la Commission des transports, Adam Giambrone. Promoteurs immobiliers en colère Le président de l'Association torontoise des promoteurs immobiliers, Stephen Dupuis, croit que de 30 à 50 % des acheteurs n'utiliseront pas le laissez-passer mensuel qui vaut une centaine de dollars. Selon lui, le coût sera simplement transféré aux nouveaux propriétaires dans le prix d'achat ou sonnera le glas d'options gratuites, comme des comptoirs en granite. Le fondateur du groupe Transport 2000, Harry Gow, voit quant à lui l'initiative d'un bon oeil. Selon lui, les gens s'habituent au transport en commun et poursuivent ensuite leur « bon comportement ». Le nouveau règlement municipal ne s'applique pas aux condominiums déjà en construction; les effets de la mesure ne se feront donc pas sentir avant un an ou deux.
  18. Publié le 16 décembre 2009 à 20h00 | Mis à jour à 20h00 Sans réforme de la Santé, les États-Unis risquent la «faillite» Agence France-Presse Washington Le président Barack Obama a une nouvelle fois plaidé mercredi pour l'adoption d'une réforme de la couverture maladie, affirmant que l'alternative était une «faillite» à terme du gouvernement fédéral, dans un entretien à une télévision américaine. Mesure phare du début du mandat de M. Obama, la réforme de la couverture maladie peine à passer au Sénat, où les élus sont divisés sur le contenu du texte, y compris parmi les alliés démocrates du président. «Si nous ne la votons pas, voici ce qui est garanti: vos primes vont augmenter, vos employeurs vont faire peser davantage de coûts sur vous», a expliqué M. Obama au micro de la chaîne ABC, qui doit diffuser l'entretien en intégralité mercredi soir et en a publié des extraits sur son site internet. Le président a aussi affirmé que les coûts des programmes fédéraux d'assurance maladie suivaient une tendance à la hausse «intenable», et que si rien n'était fait, «le gouvernement fédéral fera faillite». A terme, «personne ne conteste que les coûts de la santé vont utiliser le budget fédéral tout entier», a-t-il insisté. Mardi, M. Obama s'était dit «prudemment optimiste» sur le devenir de la réforme, affirmant que les démocrates étaient sur le point de parvenir à un accord au Sénat. Conformément à la feuille de route rédigée par la Maison Blanche, le projet de loi doit être adopté au Sénat avant la fin de 2009. Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a besoin des voix de 60 sénateurs sur 100 pour faire approuver le projet de loi en évitant une obstruction de la minorité républicaine. Le texte du Sénat vise à fournir une couverture à 31 des 36 millions d'Américains qui en sont dépourvus et à faire baisser les coûts de la santé, tout en améliorant la qualité des soins. Une fois adoptée par le Sénat, la loi devra être fusionnée avec une autre version déjà adoptée par la Chambre des représentants, avant d'être promulguée par M. Obama.
  19. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200908/25/01-895773-george-w-bush-donnera-une-conference-a-montreal.php http://montreal.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20090825/mtl_bush_090825/20090825/?hub=MontrealHome Damn! I hope I can get in some how. I wonder who does the inviting? I just hope that a bunch of leftists don't try and storm the place or something. It will make the city look terrible.
  20. Petro-Canada n'investira pas 1,3 milliard à Montréal Publié le 09 septembre 2009 à 11h35 | Mis à jour à 11h38 Hélène Baril La Presse (Montréal) Maintes fois reporté, le projet d'expansion de 1,3 milliard de Petro-Canada à sa raffinerie de Montréal est maintenant abandonné par son nouveau propriétaire Suncor. La décision de l'entreprise a été communiquée aux employés, qui ne sont pas du tout surpris. «On savait que ça s'en venait», a commenté hier le président du syndicat qui représente les 300 employés de la raffinerie, Jacques Vanier. Petro-Canada voulait ajouter à sa raffinerie une installation pour traiter le pétrole épais tiré des sables bitumineux de l'Ouest. Un conflit de travail d'une durée de 13 mois et la fusion de Petro-Canada avec Suncor avaient fait en sorte de retarder le projet. La chute du prix du pétrole et la crise du crédit ont aussi obligé les entreprises à revoir leurs projets d'investissements. L'abandon du projet de Petro-Canada et l'intention de Shell de fermer ou de vendre sa raffinerie de Montréal sont de mauvaises nouvelles pour Montréal, qui voit son industrie pétrochimique disparaître petit à petit. Selon le président du syndicat des employés de Petro-Canada, il ne faudrait toutefois pas croire que le projet est mort et enterré. Petro-Canada a déjà investit beaucoup d'argent dans le projet, qui pourrait être relancé lorsque la conjoncture changera.
  21. The French President replaces the English-language channel The French President plans to replace the English-language channel with a new, purely French-speaking network, France Monde French President Nicolas Sarkozy has announced the killing off of the English-language news channel France 24, barely a year after it first hit the airwaves. The president announced on Tuesday that it would be replaced by a new, purely French-speaking network, France Monde. The new creation is to be a combination of French-speaking broadcaster TV5, Radio France Internationale and France 24, and is expected to be set up at some point later this year. According to Sarkozy, it should be no problem to include subtitles in English, Spanish and Arabic, to present a "French vision." The announcement sounded the death knoll for the pet project of his predecessor Jacques Chirac. France 24 was launched in December 2006 and broadcasts around the world in French, English and Arabic. The aim of the 24-hour news channel had been to offer a French alternative to global news channels like BBC World and CNN. However, on Tuesday, Sarkozy said he was not comfortable with a French channel that broadcast in other languages. "With taxpayers' money, I am not prepared to broadcast a channel that does not speak French," Sarkozy told a press conference. The main journalists union, the SNJ-CGT, reacted with fury to Sarkozy's announcement that French government would stop funding France 24's foreign language programming. The union's secretary general, Jean-Francois Tealdi, told Agence France Presse that the president was "confusing the mission of France 24 and RFI, which was to cover world events with a different vision from that of the Anglo-Saxon approach, and the mission of TV5 Monde, which is to provide a space for the French-speaking world." An English-speaking member of the France 24 staff told AFP that "everyone is sad and shocked" by the news. The journalist said that if the English and Arabic speaking service disappeared, it would "give France an image of being behind the times." Provided by Spiegel Online—Read the latest from Europe's largest newsmagazine
  22. http://www.cyberpresse.ca/opinions/forums/la-presse/200908/04/01-889558-le-train-manque.php
  23. Barack Obama faces 30 death threats a day, stretching US Secret Service US President Barack Obama is the target of more than 30 potential death threats a day and is being protected by an increasingly over-stretched and under-resourced Secret Service, according to a new book. By Toby Harnden in Washington Published: 8:34PM BST 03 Aug 2009 Since Mr Obama took office, the rate of threats against the president has increased 400 per cent from the 3,000 a year or so under President George W. Bush, according to Ronald Kessler, author of In the President's Secret Service. Some threats to Mr Obama, whose Secret Service codename is Renegade, have been publicised, including an alleged plot by white supremacists in Tennessee late last year to rob a gun store, shoot 88 black people, decapitate another 14 and then assassinate the first black president in American history. Most however, are kept under wraps because the Secret Service fears that revealing details of them would only increase the number of copycat attempts. Although most threats are not credible, each one has to be investigated meticulously. According to the book, intelligence officials received information that people associated with the Somalia-based Islamist group al-Shabaab might try to disrupt Mr Obama's inauguration in January, when the Secret Service co-ordinated at least 40,000 agents and officers from some 94 police, military and security agencies. More than a dozen counter-sniper teams were stationed along the inauguration parade route and the criminal records of employees and hotel guests in nearby buildings were scrutinised. Despite all this, there were glaring loopholes in the security. Kessler describes how more than 100 VIPs and major campaign donors were screened by metal detectors but then walked along a public pavement before boarding "secure" buses and were not checked again. It could have been relatively simple for an assassin to have mingled with them in order to get close enough to shoot the new president. After Mr Obama was elected president, his two children Malia, 11, codenamed Radiance, and Sasha, eight, codenamed Rosebud, began receiving Secret Service protection. Mr Obama's wife Michelle is codenamed Renaissance. The Secret Service also started to protect Vice-President Joe Biden's children, grandchildren, and mother. Instead of bringing in more agents - instantly identifiable because of their bulky suits, worn over bullet-proof jackets, and earpieces - the Secret Service directed agents to work longer hours to cover the extra load and to miss firearms training, physical fitness sessions and tests. "We have half the number of agents we need, but requests for more agents have fallen on deaf ears at headquarters," a Secret Service agent told Kessler. "Headquarters' mentality has always been, 'You can complete the mission with what you have. You're a U.S.S.S. agent'." Mr Biden's constant travel, including back to his home state of Delaware-the burden has meant that all agents on his team have ceased training. According to Kessler, however, they fill in forms stating they have "taken and passed all tests, when they have not, creating a dishonest culture". The Secret Service has increasingly cut corners after it was absorbed by the new Homeland Security Department under Mr Bush. Kessler said that when Mr Biden threw the first pitch at the first Baltimore Orioles game of the 2009 season, the Secret Service did not screen any of the more than 40,000 fans, stunning his agents and the local Secret Service field office.
  24. Haïti et la Syrie face à l'Impact Mardi 02 juin 2009 LA PRESSE CANADIENNE Ajouter Partager Répondez Imprimer La stade Saputo sera l'hôte de trois matchs internationaux au cours des prochaines semaines. (Pépé) MONTRÉAL - L'Impact de Montréal a annoncé la tenue de trois matchs amicaux internationaux au Stade Saputo entre le club montréalais, l'équipe nationale d'Haïti et l'équipe nationale de Syrie. Le premier match opposera Haïti et la Syrie, le samedi 27 juin (15h30). L'Impact affrontera la sélection haïtienne le mercredi 1er juillet (19h30), puis, le mercredi 8 juillet (19h30), la formation montréalaise jouera contre la sélection syrienne. "Ces trois matchs s'inscrivent parfaitement dans la philosophie de notre club de vouloir jouer et promouvoir des matchs internationaux, a déclaré le président de l'Impact et du Stade Saputo, Joey Saputo. Ces rencontres nous permettront de faire la promotion du soccer québécois en collaboration avec les différentes communautés culturelles au Québec. C'est une excellente occasion de montrer notre talent local à la communauté du Moyen-Orient et de renouer avec le soccer haïtien. Nous sommes heureux d'annoncer qu'une partie des fonds recueillis sera remise à la communauté haïtienne." L'équipe nationale d'Haïti, actuellement au 122e rang du classement de la FIFA, participera à la prochaine Gold Cup de la CONCACAF. Il s'agira donc d'une dernière préparation pour la sélection avant son premier match contre le Honduras, le 4 juillet. "Nous voulons remercier l'Impact d'avoir fait les démarches pour organiser ces matchs internationaux, a déclaré le Dr Yves Jean Bart, président de la Fédération haïtienne de football. Nous sommes honorés de cette invitation, qui nous permet de renouer avec une longue tradition d'échanges entre le soccer haïtien et celui de Montréal. Nombreux sont nos compatriotes qui vivent à Montréal. Ils auront l'opportunité d'aller apprécier les talents de notre sélection, fière porte-drapeau d'un pays en souffrance, mais qui veut se réconcilier avec son passé glorieux." L'équipe nationale de Syrie, 99e au classement de la FIFA, prendra part à une tournée en Amérique du Nord. "C'est avec grand plaisir que nous confirmons notre voyage dans la ville excitante qu'est Montréal, a déclaré le Dr. Ahmad Jabban, président de l'Association syrienne de football. Nous avons hâte de jouer pour les supporters de notre héritage arabe et pour tous les amateurs de soccer de Montréal, qui sont de vrais connaisseurs." ============================= Mon billet est déjà réservé pour le match du 8 juillet (section 105).
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