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  1. http://radio-canada.ca/arts-spectacl...osm-salle3.asp Une nouvelle salle pour l'OSM L'orchestre symphonique de Montréal aura finalement sa salle de concert, rapporte Le Devoir dans son édition de samedi. Le gouvernement Charest a conclu un partenariat public-privé pour la construction du nouvel édifice, qui, toujours selon le quotidien, occupera une partie de l'esplanade de la Place des Arts. La ministre de la Culture du Québec, Line Beauchamp, devrait en faire l'annonce officielle mardi lors d'une conférence de presse qui réunira le premier ministre Jean Charest, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, et le chef Kent Nagano. Le coût du projet dépasserait quelque peu les 100 millions de dollars. La nouvelle salle devrait accueillir entre 1800 et 2200 personnes. OSM.pdf
  2. ******************** Ce sont tous les commerces jouxtant le Spectrum qui seront rasés dans le projet qui est devant les autorités de la Ville. Archives La Presse Projet immobilier de 70 millions sur l'emplacement du Spectrum Mario Cloutier La Presse Le Spectrum vit ses derniers mois. Il était prévu que cette institution du showbizz montréalais soit détruite tôt ou tard pour faire place à un nouveau complexe qui aurait abrité le nouveau Spectrum. Ce n'est plus le cas. Le nouveau propriétaire des lieux va de l'avant avec un projet de 70 millions, commerces et tour de bureaux, qui exclut la salle de spectacle. «Jusqu'à preuve du contraire, il n'est plus question d'une salle de spectacle. On avait des délais à respecter. On a travaillé avec Spectra depuis mai 2006 pour relocaliser le Spectrum à l'arrière de l'édifice, mais malheureusement, jusqu'à aujourd'hui, rien ne se passe, on est obligés d'aller vers une autre option», a confié à La Presse Sam Benatar, président de la société immobilière SIDEV. Si la Ville l'autorise, le Spectrum et les commerces avoisinants seront rasés l'été prochain après la tenue des FrancoFolies, organisées par Spectra, aussi responsable du Festival international de jazz. La nouvelle construction devrait commencer sans plus tarder. Responsable de la transformation du Gordon Brown Building, 400, de Maisonneuve Ouest, qui a reçu le Prix du patrimoine commercial 2006, le promoteur ajoute que les délais sont dépassés depuis le 30 octobre dans le cas du Spectrum. «On a avisé Spectra qu'on allait travailler tout de suite sur les autres options puisqu'on n'avait pas de réponse. On les a avisés qu'ils devaient quitter les lieux le 15 août prochain. Comme entrepreneur privé, vous comprenez, on ne peut pas attendre indéfiniment», souligne M. Benatar. SIDEV procède déjà à une phase de pré-location pour des locaux commerciaux d'une superficie de 50 000 pieds carrés. Les investissements nécessaires pour les locaux commerciaux seront de plus de 10 millions, tandis que la tour de bureaux aura besoin d'au moins 60 millions pour se réaliser. «Best Buy est en train de négocier avec nous une possibilité de s'incorporer dans notre projet commercial. Il n'y a rien de finalisé. On discute avec toutes sortes de locataires. Je ne vous cache pas qu'on a été approchés par des locataires majeurs qui aimeraient être du projet», indique le président de SIDEV. La vente du quadrilatère abritant le Spectrum a été conclue juste avant Noël avec l'ancien propriétaire, la famille Feldman. Au rôle d'évaluation foncière, la valeur du terrain a augmenté de près d'un million entre 2004 et 2005, alors que celle des immeubles vétustes a chuté, pour une valeur totale de 5,5 millions. Généralement, le prix d'achat est supérieur à celui du rôle d'évaluation, surtout pour un secteur aussi prisé. Spectra Pour l'équipe Spectra et son président, Alain Simard, locataires et non propriétaires du Spectrum, il était clair que la salle allait être rasée avec les commerces avoisinants, même que «c'est une bonne nouvelle pour Montréal», selon lui. Il croit cependant encore aux chances du projet auparavant nommé Complexe Spectrum. «On ne jette pas l'éponge. On a quelques mois pour trouver une solution, soutient M. Simard. D'une manière ou d'une autre, le Spectrum va certainement continuer d'exister. Ce qu'on veut savoir, c'est si la Place des festivals va voir le jour parce qu'en ce moment, on perd des espaces pour les spectacles gratuits.» Interrogé à ce sujet, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté, réitère qu'il «doit y avoir une Place des festivals dans ce secteur», c'est-à-dire dans l'îlot Balmoral. Il en parlera bientôt à la ministre de la Culture, Line Beauchamp, et le plan de développement de l'îlot Balmoral devrait être livré au début février. Il avoue que la disparition du Spectrum ne lui plairait pas. «Si on devait en arriver là, ça ferait une donnée de plus dans l'équation qu'on doit résoudre sur l'îlot Balmoral, dit-il. Est-ce qu'on prévoit, par exemple, la construction d'un nouveau Spectrum ou une autre salle de remplacement ? La vraie question est de savoir s'il y a quelque chose autour qui peut absorber cette perte. Est-ce que ça prive nos chanteurs et musiciens d'un lieu ou s'il y en a d'autres ? Je pense qu'il y en a d'autres.» Financement Là comme ailleurs, l'argent reste au coeur du problème. Spectra n'est pas en mesure de financer entièrement la construction d'une nouvelle salle de 1000 places pas plus qu'elle ne pouvait exercer son option de premier refus et procéder à l'achat du quadrilatère comprenant le Spectrum. Sam Benatar indique, de son côté, qu'il a décidé d'aller de l'avant «après des mois et des mois d'investissements très importants de notre part sur des plans de relocalisation du Spectrum. «Le chantier va commencer au mois d'août», répète-t-il. «La location est tellement bonne pour ce secteur, ajoute le président de SIDEV. C'est un coin stratégique qui va attirer énormément de gros locataires avec ce qui se prépare à l'îlot Balmoral et la salle de l'OSM. C'est un quartier qui va être en pleine expansion dans les années à venir.»
  3. (PRESSE)Trente milliards de dollards devront étre investis a montréal au cours des deux prochaines décennies pour la mise a niveau des infrastructures, souterraines et de transport en commun.A l instar du fonds de l eau,qui permettra d autofinanacerles travaux d infranstructures dans le réseau souterrain a partir de 2013, l administration Tremblay-Zampino envisage la mise sur pied d un fonds similaire,celui ci dédié aux infrastructures routiéres.C est qu a révélé le président du comité exécutif de la ville de Montréal ,Frank Zampino,en entrevue avec Montreal Express.(ce fonds pour les infrastructures routiéres permettrait de mettre a niveau non ponts,viaducs et l ensemble du réseau artériel.Nous nous sommes engagés a investir 500millions dollard dans nos infratructures routiéres,notament pour corriger le probléme des nids-de-poules, mais cette somme n est pas suffisante pour la remise a niveau de toutes les rues )explique M.Zampino.Selon lui montréal nécessitera des investissements de 30 milliards au cours des 20 prochaines années,soit 10milliards pour les infrastructures routiéreset 10 milliards pour les infranstructures de transport en commun.Les deux autres paliers de gouvernement seront appelés a contribuer ,comme c est notament le cas du fédéral avec la taxe d accise sur l essence et du gouvernement du Québec pour le métro de montréal .Mais Montréal n en reste pas la et réclame également des pouvoirs habilitants en matiére fiscale et administrative pour continuer son dévloppement.(Nous dépendons de l impot foncier qui représente environ70pour100 de nos revenus sur un budget de 4 milliards dollard , poursuit M.Zampino .Nous voulons obtenir une partie de la croissance générée a Montréal.Chaque fois qu un milliard est investi ici,les gouvernements supérieurs retirent chcun 150millons .On demande a Québec et a Ottawa de partagerla moitiéde ces retombées avec nous)(Si le gouvernement n accorde pas d attention a sa métropole,elle qui crée plus de la moitié de la richesse au Québec , nous serons toujours en retard par rapport a Toronto et aux autres grandes villes du monde.Ajourd hui ,la compétition se fait entre les grandes villes ,pas entre les pays)soutient le président du comité exécutif.Le maire Gérald Tremblay et Frank Zampino doivent rencontrer sous peu le chef du parti québéquois et celui de l Action démocratique su Québec pour les sensibiliser aux besoins de Montréal.
  4. Montréal (Québec), le 24 janvier 2012 –Alors que C2-MTL s’apprête à réinventer la conférence d’affaires, les organisateurs sont heureux d’annoncer l’ajout de trois nouveaux conférenciers de calibre international à la liste des intervenants qui prêteront leur immense talent à l’événement prévu du 22 au 25 mai prochain. Il s’agit du chef de la direction financière de Google, Patrick Pichette, du directeur de la création de DreamWorks, Bill Damaschke et du cofondateur et architecte principal de MVRDV, Winy Maas. L’équipe est également heureuse d’annoncer la participation de Teressa Iezzi (rédactrice en chef de Co.Create et membre de l’équipe de rédaction chez Fast Company Online), Mitch Joel (auteur et président de Twist Image) et Laurent Simon (professeur agrégé en gestion, HEC Montréal MosaiC), qui font maintenant partie de la liste préliminaire des panélistes. Ces penseurs et acteurs de renommée internationale se joindront à une impressionnante liste de conférenciers, parmi lesquels le réalisateur Francis Ford Coppola, l’ancien président directeur général de Disney, Michael Eisner, la rédactrice en chef de AOL Huffington Post Media Group, Arianna Huffington et le rédacteur en chef de Fast Company, Robert Safian. La liste complète des conférenciers est disponible à c2mtl.com/fr/les-conferenciers. Imaginez une conférence d’affaires… autrement Le sujet de la créativité se devant d’être abordé de manière créative, les organisateurs de C2-MTL s’apprêtent à réinventer l’expérience de la conférence d’affaires. Leur approche sans précédent se traduira entre autres par une contribution inédite du Cirque du Soleil, partenaire créatif de l’événement, un Boot Camp de création, des discussions personnalisées, du contenu évolutif, des conférences multimédias, une exposition immersive, des espaces conceptuels et des ateliers expérientiels destinés à invoquer la collaboration et enflammer la créativité. Le tout se déroulera dans un « village d’innovation » pour lequel le complexe patrimonial industriel New City Gas et ses alentours seront entièrement restaurés pour être transformés en un véritable carrefour créatif conçu spécialement pour l’événement. « Préparez-vous à être surpris », de prévenir le président et chef de la direction du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre. Les participants auront aussi à leur disposition une série d’outils et ressources interactifs, dont une application mobile conçue exclusivement pour C2-MTL. Cette application permettra à une équipe éditoriale présente sur les lieux d’organiser et de personnaliser le contenu des conférences en temps réel et d’offrir aux participants des résumés journaliers personnalisés, enrichis de contenu et de suggestions supplémentaires destinés à alimenter la réflexion. Et bien sûr, l’ADN créatif de Montréal ne manquera pas d’être mis à contribution à travers un programme de divertissement sans précédent, comprenant notamment festivités nocturnes percutantes, expériences gastronomiques surprises et autres performances spectaculaires –après tout, nous sommes à Montréal ! http://c2mtl.com/fr/nouveaux-conferenciers-2012-01/ http://c2mtl.com/fr/les-conferenciers/
  5. Repairs to Hélène de Champlain building force eatery to shut Restaurant's owner plans to close it down when lease expires at end of 2009 ALAN HUSTAK, The Gazette Published: 8 hours ago The building that houses the Hélène de Champlain restaurant on Île Ste. Hélène needs massive repairs, and the restaurant will close for good in 16 months when its lease expires. Pierre Marcotte, the French- language television personality who has leased the red sandstone building from the city since 1983, says the property needs between $3 million and $5 million in repairs. "We have no choice but to close," he said. "The city has decided not to renew its lease after 2009 in order to undertake the repairs. That could take a year or more to complete. The electrical and heating systems are outdated, and major repairs to the building itself are necessary." Initially meant to be a sports pavilion, the island chalet was built during the Depression as a Quebec government make-work project. It was designed by Émile Daoust to resemble a Norman château, and the grounds were landscaped by Frederick Todd. It was turned over to the city in 1942 and in 1955 became a municipal restaurant, but didn't get a liquor licence until 1960. In 1966, Mayor Jean Drapeau had the building redone as the official residence for Expo 67's Commissioner-General, Pierre Dupuy. It also had a hall of honour next to the main dining room that was used by Drapeau as a reception centre for visiting dignitaries and heads of state. The reception for French President Charles de Gaulle was held in the chalet after he delivered his controversial "Vive le Québec libre" speech. Even though the restaurant proved to be a money-loser, Drapeau kept its five dining rooms open until 1977, when they were closed because of a labour dispute. They reopened in 1981. Marcotte said he does not plan to renew his lease, and no one is certain what will happen to the building once the repair work is done. In the past, there has been talk of converting the site into a hotel for high rollers at the Montreal Casino. ahustak@ thegazette.canwest.com
  6. http://www.groupebourgouin.com/cachemire.html Au coeur des Jardins Angora, Les Tours Cachemire est un projet de 80 unités de condominiums qui conjuguent deux vues, l’une sur la tranquillité de la magnifique forêt d’un parc de conservation naturel, l’autre sur Montréal, sa vie culturelle et ses services. --- TERREBONNE, LE JEUDI 11 JUIN 2015 – Le maire de Terrebonne, M. Jean-Marc Robitaille, accompagné des membres du conseil municipal et du président du Groupe Bourgouin, M. Robert Bourgouin, a fièrement procédé jeudi, en fin d’après-midi, à la pelletée de terre inaugurant officiellement les travaux de construction d’un projet résidentiel d’envergure développé par le Groupe Bourgouin au cœur des Jardins Angora. La première des « Tours le Cachemire », un projet de condos, comprendra 84 unités de logement sur 14 étages, dont 6 penthouses.
  7. Montreal’s cash-strapped universities have a wealth of notable and famous alumni who got their start at one of our local universities before leaving their mark on this province and beyond. Across the fields of business, science, politics and the arts, there are countless examples of notable alumni who earned a degree at a Montreal university before making it big. The list from Université de Montréal reads like a veritable Who’s Who of Quebec leaders, while McGill University has an embarrassment of riches, with bragging rights to the longest list of notables across all fields and by far the most prestigious prize winners. Here are some examples of those famous alumni (with apologies to the many accomplished graduates we didn’t have space to include). We have also included Nobel Prize winners and the number of Rhodes Scholars to round out the list of distinguished alumni. Montreal universities have bragging rights to many famous alumni | Montreal Gazette
  8. http://www.newswire.ca/news-releases/keywords-to-expand-its-montreal-studio-creating-100-jobs-577614131.html MONTRÉAL, Canada and DUBLIN, Ireland, April 29, 2016 /CNW Telbec/ - Keywords Studios, an international technical service provider to the global video game industry, announced today that it intends to expand further in Montréal, creating 100 new jobs within the next three years. This announcement was made during a visit of The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, at Keywords headquarters in Dublin, Ireland, and after his discussions with Andrew Day, Chief Executive Officer of Keywords Studios. We love the city and we love the quality of the talent we can find in Montréal", commented Mr Day. "Since coming to Montréal in 2010, we've had great results there and we want to continue this success." Keywords offers technical services to the gaming industry. Functional testing and localization testing are the main tasks accomplished in Montréal. Keywords' clients includes the world's best-known developers, among which, to name a few, Ubisoft, WB Games, Zynga, King and Sony. They have worked on thousands of different titles such as Rise of the Tomb Raider, Halo 5: Guardians, Assassin's Creed Syndicate, Candy Crush, Clash Royale and Mobile Strike. "Keywords' decision to continue to invest in our metropolis illustrates once again Montréal's strength in the video game industry", said The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, during his visit of Keywords' headquarters, part of his European trip. "What's more, it does highlight the fact that the whole gaming cluster plays a vital role in our economy and that Montréal is the place to be." Montréal International, Greater Montréal's investment promotion agency, has provided support to Keywords Studios over the years. "Along with our government partners, we've been working with Keywords since their arrival in Montréal, stated Stéphane Paquet, Vice President - Investment Greater Montréal at Montréal International. Their reinvestment is most welcome and the whole team at MI look forward to continuing working with Keywords on other projects." "I hope that this most recent announcement is only a first step, added Mr Day, since we are currently studying further more ambitious possibilities for our Montréal studio." Keywords' Montréal studio currently employs around 350 employees.
  9. Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
  10. Création de 500 emplois sur cinq ans dans le secteur de l’environnement au Québec. Montréal, le 2 décembre 2015 – Afin de satisfaire les besoins du marché québécois de la collecte, du transport et du traitement des matières résiduelles, Derichebourg Environnement annonce l’implantation de son siège social nord-américain à Montréal. L’entreprise prévoit créer 500 emplois au Québec, et ce, au cours des cinq prochaines années. Le leader européen de la collecte des déchets ménagers rassemblera notamment au sein de sa nouvelle filiale les ressources matérielles et humaines dédiées à la collecte des déchets ménagers sur deux arrondissements de la Ville de Montréal, soit Rosemont–La Petite-Patrie et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. L’annonce a été faite par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, en mission en France dans le cadre de la tenue de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21), qui se tient du 30 novembre au 11 décembre à Paris. « Les collectivités doivent faire face à une réduction de budget pour la collecte de déchets, tout en améliorant leurs services aux usagers. C’est pourquoi les municipalités doivent trouver des prestataires capables d’innover et de présenter des offres concurrentielles », a déclaré M. Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Canada Environnement. « C’est dans cette optique que Derichebourg Environnement désire accélérer son développement à l’international et plus particulièrement au Canada, en faisant de sa filiale montréalaise la plus importante en Amérique du Nord au sein du Groupe. » Derichebourg s’est engagé dans une politique de recherche et développement à long terme visant à mettre en place des filières pérennes de traitement des biens en fin de vie, respectant et même dépassant les objectifs de valorisation fixés par les directives européennes. « Avec l’arrivée d’un nouveau joueur comme Derichebourg, la métropole québécoise renforce sa position dans la valorisation des matières résiduelles et le développement des compétences dans la collecte et le traitement des déchets », a déclaré M. Denis Coderre, maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal. « La Ville de Montréal priorise toujours des services publics efficaces et efficients, essentiels pour assurer la croissance économique, générer le plus de bénéfices possible pour la collectivité et optimiser le bien-être de tous les citoyens », a-t-il ajouté. Montréal International, en collaboration avec Investissement Québec, a soutenu la société française Derichebourg dans son implantation dans la région. « Le marché de la collecte et du traitement des déchets est en pleine croissance dans le monde. Le Grand Montréal pourra dorénavant compter sur l’expertise ciblée et à l’avant-garde d’un nouvel acteur reconnu en Europe, qui pourra partager son savoir-faire avec des partenaires académiques, institutionnels et industriels au Québec », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. « Cette implantation vient renforcer l’économie du Québec et de la grande région montréalaise. De concert avec nos partenaires en prospection, nous avons eu l’occasion d’entretenir des échanges fructueux avec Derichebourg, qui ont permis de mettre en valeur avec succès nos avantages concurrentiels. Cette relation est appelée à se développer et nous comptons bien accompagner l’entreprise dans son développement au Québec », a conclu M. Pierre Gabriel Côté, président-directeur général d’Investissement Québec. Mentionnons que Derichebourg Environnement dispose d’opérations dans toute la France (Paris, Ile de France, Marseille, Caen), en Italie (Turin, Milan, Florence, Sardaigne), au Maroc (Rabat, Marrakech), et à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien. À propos de Derichebourg (http://www.derichebourg.com) Le Groupe Derichebourg est un acteur majeur, au plan international, des services aux entreprises et aux collectivités. Avec un chiffre d’affaires 2014 de 2,56 milliards d’euros, l’entreprise compte aujourd’hui 28 000 collaborateurs dans le monde, répartis dans 14 pays et sur 3 continents. Derichebourg propose une gamme complète et intégrée de prestations dans deux secteurs d’activités complémentaires et à travers deux entités distinctes : Derichebourg Environnement. Services à l’environnement : recyclage et valorisation des biens en fin de vie, collecte & gestion des déchets industriels et ménagers, propreté urbaine. Derichebourg Multiservices. Services aux entreprises (multiservices) : propreté, énergie, aéronautique, intérim, accueil, manutention, milieux sensibles. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/derichebourg-implantation-siege-social-nord-americain-dans-le-grand-montreal/
  11. http://journalmetro.com/actualites/montreal/885493/denis-coderre-prochain-president-de-metropolis/ Sent from my iPhone using Tapatalk
  12. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  13. Ça va pas ben pour Aubut... http://journalmetro.com/sports/851393/le-coc-elargit-lenquete-sur-marcel-aubut/ Le COC élargit l’enquête sur Marcel Aubut MONTRÉAL – L’enquête sur les allégations de harcèlement sexuel visant Marcel Aubut sera étendue à «toute plainte, formelle ou non», qui sera portée à l’attention du Comité olympique canadien. Le Comité a diffusé un communiqué, vendredi, dans lequel il dit trouver «extrêmement troublantes» les nouvelles allégations de même nature visant son président qui ont fait surface dans les médias au cours des derniers jours. L’organisme a donc décidé de mettre sur pied un deuxième mécanisme dont le travail sera dirigé par un tiers indépendant qui reste à identifier et qui procédera à un «examen détaillé» de toute plainte additionnelle. Le Comité olympique encourage toute personne qui aurait des informations à cet effet à lui faire part de ses préoccupations et affirme qu’il est régi par des politiques claires en matière de harcèlement. Il s’engage à prendre toutes les mesures requises à la suite de ces enquêtes. Le nouveau mécanisme d’enquête s’ajoute à celui mis sur pied sous l’égide de l’ancien juge en chef de la Cour supérieure du Québec François Rolland, qui se penche sur la seule plainte formelle déposée jusqu’ici dont l’auteur et la nature demeurent confidentiels. Marcel Aubut s’est temporairement retiré de ses fonctions, mercredi, en attendant la conclusion de cette enquête. Dans un communiqué qu’il a publié lui-même mercredi soir, M. Aubut décrit les allégations comme étant «une remarque qu’il aurait faite à une collègue». Il dit offrir son soutien «inconditionnel» aux enquêteurs. Ce communiqué ne visait toutefois que la première plaignante, les autres incidents n’ayant pas encore été rapportés au moment où il a été diffusé. Depuis, d’autres femmes ont publiquement partagé des allégations contre le président du Comité olympique canadien et de la Fondation olympique canadienne. Vendredi, le quotidien La Presse révélait que le Comité olympique canadien était au courant de certains comportements déplacés de son président depuis plusieurs années. En 2011, le secrétaire général et chef de la direction du COC à l’époque, Jean R. Dupré, avait écrit une lettre à son président — dont La Presse a obtenu copie — dans laquelle il demandait à ce dernier de cesser une série de comportements spécifiques auprès des femmes et acceptait de ne pas porter plainte contre lui parce qu’il avait donné l’assurance que de tels comportements cesseraient sur le champ. L’avocate montréalaise Amélia Salehabadi-Fouques a accordé plusieurs entrevues aux médias, jeudi, dans lesquelles elle a détaillé ses interactions avec M. Aubut. Le réseau TVA et la station de radio 98,5 FM ont également diffusé des entrevues avec une femme qui dit avoir travaillé avec Marcel Aubut et avoir subi du harcèlement sexuel. Amélia Salehabadi-Fouques, une avocate spécialisée dans le droit du sport et membre de l’Association canadienne de soccer depuis 2013, a dit avoir été victime de harcèlement de la part du président du COC à trois reprises dans les quatre dernières années. Mme Salehabadi-Fouques a notamment soutenu que M. Aubut l’a embrassée de force et lui a fait des commentaires sexuels. Ses allégations n’ont pas été prouvées devant un tribunal. Dans les entrevues accordées à des journaux et des stations de radio, Mme Salehabadi-Fouques raconte être entrée en contact avec Marcel Aubut il y a quatre ans, pour s’impliquer dans le COC. Il lui aurait donné rendez-vous dans un chic restaurant de Montréal, mais à son arrivée, elle a été surprise de voir qu’il était assis au bar. En discutant, il est devenu clair pour elle qu’il était davantage intéressé par son physique que par son expérience professionnelle. Il lui aurait posé des questions de nature privée et aurait fait des commentaires personnels. Plus tard dans la soirée, il l’aurait embrassée «avec la langue». Elle dit avoir pris un taxi seule pour rentrer chez elle. Dans diverses entrevues, elle se remémore aussi un incident survenu l’an dernier, à Québec. Il l’aurait invitée à assister à une rencontre d’affaires avec une foule d’autres personnes, mais une fois à l’hôtel, elle était seule. Il n’y avait qu’une seule chambre d’hôtel réservée au nom de M. Aubut, aucune pour elle, a-t-elle affirmé. «Il me dit: « quand est-ce que je vais venir dans ta chambre? J’ai demandé des clés pour ta chambre »», a-t-elle confié à La Presse. Encore l’an dernier, lors d’un match de la Coupe du monde de soccer féminin U-20, devant son fils de 15 ans, il l’aurait interpellée dans un couloir et lui aurait demandé: «Quand est-ce qu’on couche ensemble?» En entrevue au 98,5 FM, l’avocate a affirmé ne pas savoir si elle porterait plainte formellement. Lorsqu’elle a appris qu’une autre personne avait porté plainte, cette mère de trois enfants s’est sentie concernée et a décidé de ne plus rester silencieuse. «En tant que mère, je vais toujours me lever pour les jeunes femmes harcelées», a-t-elle écrit sur Twitter mercredi. Plus tard jeudi, TVA a diffusé une entrevue avec une femme soutenant avoir été victime de plusieurs gestes de M. Aubut en 2011, lorsqu’elle travaillait dans un bureau d’avocats de Montréal. La femme n’a pas été identifiée, mais TVA a indiqué qu’elle était une de ses anciennes adjointes exécutives. Selon ce qu’elle raconte au réseau d’information, Marcel Aubut mettait ses mains autour de sa taille, et elles étaient un peu plus basses chaque nouvelle fois. Elle a également soutenu qu’il plaçait ses mains sur ses épaules et touchait sa poitrine. Elle l’aurait également vu en caleçons à une occasion, lorsqu’il l’a appelée dans sa salle de conférence. Après ces incidents, a-t-elle raconté, elle a dû quitter pour des raisons de santé. Selon TVA, elle n’a pas porté plainte car le cabinet lui a proposé une entente lui donnant l’équivalent de 10 000 $ contre son renoncement à tout recours. Âgé de 67 ans, Marcel Aubut est membre du COC depuis 2000, et président depuis avril 2010. Par le passé, il a occupé le poste de président des Nordiques de Québec, jusqu’au déménagement de l’équipe au Colorado en 1995. Il a notamment aidé à faire venir au Canada les frères Stastny, en 1980, pour jouer pour les Nordiques. Il a été nommé officier de l’Ordre du Canada en 1993, officier de l’Ordre national du Québec en 2006, et avocat émérite du Barreau du Québec en 2008. Il a été intronisé au Panthéon des sports canadiens en 1999. Il exerce le droit et est partenaire, avocat et vice-président du conseil d’administration de la firme montréalaise BCF. Mercredi, BCF a fait savoir qu’elle ne commenterait pas l’enquête et a ajouté que le rôle de M. Aubut dans la firme n’était pas à risque puisque les allégations ne concernaient pas directement ses activités professionnelles.
  14. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/banque-industrielle-commerciale-chine-montreal/ Bonne nouvelle, évidemment, mais l'histoire ne dit pas ou ils vont s'installer.
  15. Ça n'a pas été posté nulle part, me semble? http://fr.canoe.ca/infos/regional/archives/2013/06/20130604-135115.html
  16. Made you click Molson Coors relocating headquarters to 1801 California in downtown Denver Molly Armbrister Reporter- Denver Business Journal Molson Coors Brewing Co. will relocate its U.S. headquarters next year to Denver's second-tallest building: 1801 California. The company (NYSE: TAP) has leased 53,872 square feet in the 54-story tower at 1801 California St., which was purchased and upgraded by Brookfield Office Properties Inc. last year. Molson Coors will renovate the office areas, located on the 45th, 46th and part of the 47th floors, beginning in the spring. The company expects to inhabit the new space in fall 2015. Molson Coors' HQ is currently located at 1225 17th St. in Denver. It also has headquarters space in Montreal. "We are pleased to be moving to 1801 California, which will allow us to maintain our headquarters presence in vibrant downtown Denver," said Sam Walker, Molson Coors global chief people and legal officer. "This new location enables us to bring together our offices and employees under one roof and remain in the heart of Denver's thriving business community." 1801 California was formerly occupied entirely by Qwest Communications, but now CenturyLink Inc., which bought out Qwest, occupies about 30 percent of the building's 1.3 million square feet. Brookfield has been working to fill the building since completing its renovations on the property in February. "We're thrilled to have Molson Coors' U.S. headquarters making its home at 1801 California, said David Sternberg, executive vice president for the midwest and mountain regions for Brookfield. "1801 California is an ideal setting for Molson Coors — a landmark location for one of Colorado's iconic companies and one of the world's leading brewers," said Ted Harris, senior vice president at Cassidy Turley, one of the brokers on the transaction.
  17. http://www.montrealgazette.com/business/Obituary+David+Azrieli+touched+many+parts+society/10014707/story.html By Paul Delean, THE GAZETTE European-born David Azrieli, who fled the Nazis as a teenager, fought in the 1948 Arab-Israeli war and then found fortune in Canada, died Wednesday at age 92. According to Forbes magazine, the Montreal-based real-estate developer and businessman was one of the richest Canadians with an estimated worth of $3.1 billion. He also was one of the most generous, contributing more than $100 million to philanthropic causes around the world, many of them in the fields of medical research, education and the arts. “It’s a great loss,” said Susan Laxer, president of local Jewish organization Federation CJA. “He literally changed the landscape in Israel with his office towers and architecture, and with his philanthropy, he touched many parts of our society and community. Through his legacy, he’ll continue to touch the lives of many people.” Norma Joseph, professor of religion and associate-director of the Azrieli Institute of Israel Studies at Concordia University, described him as “a formidable person, very strong-minded. And he used his mind for a wonderful vision of community and building.” The institute got its start in 2011 with funding provided by the family foundation, “but he did more than give money. He also gave his personal time and effort,” Joseph said. Born into a Jewish family in Poland, Azrieli escaped ahead of the Nazi occupation and kept moving, winding up in British Mandate Palestine in 1942. He studied architecture at Technion-Israel Institute of Technology and fought in Israel’s war of independence before settling in Canada in 1954. In a rare 1973 interview with the Montreal Star, he said he arrived here with no family connections and “literally, penniless.” “Nobody gave me anything,” he said. After earning a Bachelor of Arts degree from the Université de Montréal and working at a number of jobs, he had enough saved for his first solo project in 1957, construction of four duplexes on vacant lots he purchased in Ville D’Anjou. It was the start of a real-estate juggernaut that would eventually include thousands of apartment units, office buildings and shopping centres in Canada, the U.S. and Israel. Among his local holdings is the downtown Dominion Square Building housing The Gazette, acquired for $78.25 million in 2005, and the Sofitel Hotel. The Azrieli Group also held interests in companies active in the fields of energy, water and finance. He remained its chairman until last week when daughter Danna succeeded him, a move prompted by his medical condition. A sometimes controversial figure, Azrieli made headlines in the 1970s when he razed the former Van Horne Mansion on Sherbrooke St. and erected a 17-storey office tower on the site. In 1984, he sued The Gazette for libel over an editorial about a local development, but lost. “From the times of the pyramids to those of the skyscrapers, the works of architects and builders have been monuments to their glory or to their shame,” Superior Court Judge Paul Reeves said. “They build before the public eye and the public rightfully says whether it likes or dislikes what it sees.” In his later years, Azrieli split his residency between Israel and Westmount. “I have two homelands,” he once said, “two places that I love and where I have been blessed to do what I love best.” Active in and supportive of Jewish causes throughout his lifetime, he served as president of the Canadian Zionist Federation and in 2008 authored a book called Rekindling the Torch: The Story of Canadian Zionism, which told the story of the contribution of Canadian Jews and non-Jews to establishment of the state of Israel and their continuing support for the country. He also made Holocaust remembrance a personal crusade after it took from him two siblings and both parents. “This is my vision, to be able to use the tangible rewards of my career in building and construction to create a legacy for education and educational institutions in both of my homelands,” he said. A recipient of the Order of Canada, Azrieli also was a “chevalier” of the Ordre National du Québec. Married for 57 years to Stephanie Lefcort, he had four children: Rafael, Sharon, Naomi and Danna. He died surrounded by family at his country home in Ivry-sur-le-Lac, Que. pdelean@montrealgazette.com
  18. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  19. Junex: il n'y a pas que l'électricité 7 février 2007 - 06h00 Le Soleil Gilbert Leduc Junex (JNX), rencontre avec le président Jean-Yves Lavoie Jean-Yves Lavoie débarque de Houston. Il assistait, la semaine dernière, à un congrès réunissant plus de 17 000 joueurs des secteurs pétrolier et gazier. Des représentants des gouvernements de plusieurs provinces y participaient. Pas de trace, cependant, d'un quelconque émissaire du gouvernement du Québec. Sa société d'État - Hydro-Québec - a récemment mis sur la tablette sa filiale Pétrole et gaz et le programme de recherche prévoyant des investissements de plus de 300 millions $ d'ici 2010. «Pour plusieurs, l'électricité est la seule source d'énergie que peut produire le Québec. Chez Junex, nous travaillons à démontrer qu'il y a aussi du potentiel pour le pétrole et le gaz naturel», affirme Jean-Yves Lavoie, président et chef de l'exploitation de cette entreprise de Québec spécialisée dans l'exploration gazière et pétrolière. Au cours des dernières années, Junex - qui détient les droits d'exploration sur plus de quatre millions d'acres situés dans le bassin géologique des Appalaches - s'est attardé à mettre en valeur ses terrains, à réaliser des études géophysiques et à faire des présentations devant des sociétés savantes. Tout ça dans l'espoir d'attirer des partenaires de l'extérieur. Ententes Ce travail a porté ses fruits puisque Junex a conclu, l'an dernier, des ententes avec deux sociétés américaines qui vont investir environ 20 millions $US au cours des deux prochaines années. Au moment de la visite du Soleil dans les bureaux de Junex, le vice-président aux affaires corporatives, Dave Pépin, montrait un communiqué de presse diffusé, la semaine dernière, dans lequel Talisman Energy, de Calgary, annonçait que l'entreprise allait commencer la production de gaz naturel dans l'État de New York et plus particulièrement dans le bassin géologique des Appalaches. Tiens, tiens... De plus en plus, selon Jean-Yves Lavoie, les géants nord-américains de l'énergie cherchent des hydrocarbures sur le continent plutôt que d'aller chercher au Moyen-Orient. Il ne faut donc guère se surprendre de l'intérêt de l'industrie pour les sables bitumineux de l'Alberta. Le shale gas - ces gaz non conventionnels que l'on trouve dans le corridor entre Québec et Montréal - en font saliver également plusieurs. Plusieurs chaudrons sur le feu Junex a fondé sa stratégie sur la conclusion de partenariats afin de réduire les risques financiers associés à la recherche de gaz naturel et de pétrole. "Tranquillement, nous commençons à regarder les marchés de l'Ontario et du Nord-Est américain", a indiqué M. Lavoie. Pour le moment, toutefois, l'entreprise pilote de nombreux projets au Québec. À une vingtaine de kilomètres de Gaspé, l'entreprise est associée avec Bernard Lemaire - patron de Cascades - dans le projet de production de pétrole et de gaz de Galt. "Nous venons de terminer un quatrième forage. Deux pompes de production sont déjà installées." Le pétrole tiré du puits Galt numéro 3 a permis à Junex de réaliser des ventes de 150 000 $. L'entreprise a déjà investi environ 2 millions $ dans un autre projet - celui de la baie des Chaleurs -, où elle possède un permis d'exploration qui couvre une superficie de plus d'un million d'acres. "Aucun puits n'a jamais été creusé", informe Jean-Yves Lavoie en signalant que les études géophysiques réalisées démontraient un "potentiel intéressant". Toujours en Gaspésie, Junex est partenaire avec Pétrolia dans un projet qui permettrait de produire 34 barils de pétrole par jour. Pour "payer l'épicerie", la compagnie continue de pomper de la saumure dans la région de Bécancour qui est utilisée comme déglaçant l'hiver et abat-poussière l'été. "Nous évaluons la possibilité d'en faire une exploitation industrielle", fait-il remarquer en signalant que la vente de ce liquide représentait, l'an dernier, une somme de 750 000 $. JunexAnnée de fondation : 1999 Direction : Jean-Yves Lavoie, président et chef de l'exploitation, et Jacques Aubert, président du conseil et chef de la direction Secteur d'activité : exploration gazière et pétrolière Chiffre d'affaires : 3 millions $ Nombre d'employés : il varie entre 15 et 40 Symbole boursier : JNX (TSX de croissance) Valeur de l'action : 96 ¢ Adresse : 3075, chemin des Quatre-Bourgeois, bureau 103, Québec Téléphone : 418 654-9661 Télécopieur : 418 654-9662
  20. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/philippe-cantin/201308/05/01-4677016-trois-influents-philanthropes-se-mobilisent-pour-le-parc-olympique.php
  21. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201308/11/01-4679005-centre-ville-de-montreal-plus-de-monde-assez-de-bouffe.php ...
  22. LA DÉLÉGATION DE L'UPR AU QUÉBEC PUBLIE UNE LETTRE OUVERTE CONTRE LA CONFÉRENCE DE SARKOZY A LA CHAMBRE DE COMMERCE DE MONTRÉAL par François Asselineau - Union Populaire Républicaine (Articles), mercredi 24 avril 2013, 02:53 La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCM) a annoncé que l'ancien président français Nicolas Sarkozy donnera, le jeudi 25 avril à Montréal, une conférence payante de deux heures accompagnée d'un repas. Le sujet précis de la conférence sera « l’état de l’économie mondiale, les perspectives pour l’Europe, les nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » [ cf. http://www.ccmm.qc.ca/fr/evenements-reseautage/leader_nicolas_sarkozy/ ] ---------------------------------------------------------------------------------- De 170 € à 600 € par personne pour écouter pendant 2 heures Sarkozy jouer les sages et les experts en économie ! ---------------------------------------------------------------------------------- Les prix des billets vont de 225 dollars canadiens (170 €) pour les membres de la Chambre, à 795 dollars (600 €) pour les non-membres souhaitant occuper l'une des 150 meilleures places et rapporter chez eux une photo individuelle avec M. Sarkozy. [ À titre de comparaison, nous rappelons que le droit d'entrée aux conférences de François Asselineau varie de 0 € à 5 € et que les sommes récoltées ne servent qu'à financer la location de la salle ou des actions militantes, le président de l'UPR ne prenant naturellement aucune rémunération.] Pour faire la promotion de la conférence de Sarkozy - qui devrait rapporter beaucoup d'argent à l'ancien président de la République - la Chambre de commerce de Montréal invite les personnes intéressées à « rencontrer l'homme reconnu pour l'énergie avec laquelle il a dirigé la deuxième puissance économique européenne ». L'événement se déroulera au Palais des Congrès de Montréal. Le nombre des places disponibles n'a pas été précisé par les organisateurs qui ne prévoient pas d'accréditations pour les médias. [source : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php ] ------------------------------------------------------------------------------------------- La délégation de l'UPR au Québec a adressé une lettre ouverte à la CCM pour protester contre la tenue de cette conférence payante -------------------------------------------------------------------------------------------- Nos lecteurs trouveront ci-dessous la lettre que la délégation de l'UPR au Québec - composée de 18 expatriés - a envoyée le 23 avril 2013 aux membres du conseil d'administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour s'indigner de la tenue de cette conférence. Nos adhérents expatriés au Québec ont estimé à juste titre que cette conférence, au tarif d'entrée prohibitif pour le commun des mortels, est une véritable insulte : Insulte à la démocratie, puisque Nicolas Sarkozy n'aura aucun contradicteur face à lui au cours de cette conférence, et que le droit d'entrée est tellement ruineux que seuls les plus riches peuvent envisager d'y participer. Insulte à la justice, puisque Nicolas Sarkozy ose se faire payer grassement pour se pavaner en public alors qu'il est sous le coup de plusieurs mises en examen infamantes. Insulte à la morale, puisque l'on ne compte plus le nombre de victimes de la politique économique, sociale et diplomatique de celui qui a eu l'effronterie de faire ratifier le traité de Lisbonne malgré le Non de 55% des Français à la Constitution européenne. -------------------------------------------------- Nous félicitons nos adhérents expatriés au Québec pour cette lettre ouverte qu'ils vont se charger de diffuser au plus grand nombre possible de journalistes canadiens et que nous allons nous-mêmes diffuser au plus grand nombre possible de journalistes français et étrangers accrédités à Paris. Nous suggérons à tous ceux qui le peuvent d'écrire eux aussi à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour faire part également de leur indignation devant cette invitation, et pour soutenir expressément la lettre adressée par la Délégation de l'UPR au Québec. Il suffit pour cela d'écrire à http://www.ccmm.qc.ca/fr/a-propos/contact/ (Il est obligatoire d'indiquer les nom, prénom et courriel). ========================================================= DÉLÉGATION DE L'UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE AU QUÉBEC Objet : Conférence de Nicolas Sarkozy à la CCM Montréal, le 23 avril 2013 À l’attention de Monsieur le Président Luc Sabbatini et de l’ensemble des membres du conseil d’administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, Comme il est de bon ton de démarrer un propos par une citation, nous choisirons un passage du Discours à la jeunesse que Jean Jaurès fit à Albi, le 30 juillet 1903 : « Le courage,c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » Ce jeudi 25 avril 2013, Monsieur Nicolas Sarkozy tiendra à votre demande une conférence au Palais des congrès de Montréal sur « l’état de l’économie mondiale, des perspectives pour l’Europe, des nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » Aussi, apprenez qu’à Montréal, en ce moment même, un groupe d’hommes et de femmes, de tous âges, de toutes conditions, de toutes confessions, de toutes orientations politiques, composé de Françaises et de Français expatriés, mais aussi de Québécoises et de Québécois qui posent sur la France un regard amical,s’est réuni pour s’indigner de la tenue de cette conférence, et ce, pour plusieurs raisons : D’abord, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que Monsieur Nicolas Sarkozy,qui s’était fait élire en France en 2007 sur la « réduction du déficit », accuse un bilan désastreux : « En cinq ans, la dette publique a augmenté de 500 milliards d'euros, la France a perdu un point de compétitivité, le nombre de chômeurs a progressé de près d'un million, le pouvoir d'achat et la croissance ont stagné et les impôts ont augmenté » (L'Expansion.com, 10 avril 2012). Voilà un curriculum quelque peu différent decelui qui vous a probablement été présenté. Est-ce donc cet « as » de la dette publique, de la hausse des impôts et du chômage qui expliquera aux Québécois les ressorts de l’économie mondiale … ? Ensuite, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que le Parquet de Paris a ouvert vendredi 19 avril 2013, une information judiciaire contre X pour : « corruption active et passive », « trafic d'influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux », « blanchiment, complicité et recel de ces délits », dans le cadre du soutien financier de la Libye à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007. Nous respectons bien évidemment le principe de la présomption d’innocence.Cependant, nous ne saurions que trop conseiller à M. Nicolas Sarkozy de se faire discret dans de telles circonstances. Mais encore, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que M. Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 13 juin 2012 pour « abus de faiblesse » et le 13 février 2013 pour « escroquerie » dans l’affaire Bettencourt. Encore une fois, nous respectons le principe de la présomption d’innocence, mais admettez que ça commence à faire beaucoup. Et alors qu’on s’attendrait naturellement, dans un tel contexte, à ce que ce monsieur fasse profil bas, eh bien pas du tout ! Il parcourt le monde pour donner à prix d’or des conseils de bonne gestion gouvernementale. Tout cela n’est pas sérieux. Pour ne pas nous arrêter en si bon chemin, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que le19 novembre 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Économie, des Finances et de l’Industrie et Christian Noyer, alors gouverneur de la Banque de France,ont mis au point un dispositif visant à vendre environ un cinquième des 3 000 tonnes d’or détenues par la Banque de France. Selon le rapport de la cour des comptes du 8 février 2012, la vente des 589 tonnes d’or a dégagé d’importantes plus-values de cession, mais reste une mauvaise opération compte tenu de l’évolution du cours de l’or et du phénomène d’inflation. De plus, et c’est l’essentiel selon nous, nous souhaitons rappeler aux membres du conseil d’administration que le président Sarkozy, alors que le peuple français avait rejeté le traité constitutionnel européen (TCE) le 29 mai 2005 par voie référendaire, a décidé (avec l'approbation du Parti socialiste) de nier la souveraineté populaire en faisant ratifier par voie parlementaire en 2008 le traité de Lisbonne, un texte quasiment identique au TCE. C'est une forfaiture de la plus grande ampleur. M.Nicolas Sarkozy a donc, par un procédé confinant à la dictature, sciemment violé la voix du peuple français. Pour finir, nous rappelons aux membres du conseil d’administration qu’une révision des dispositions sur la responsabilité pénale du chef de l’État, à l’article 68 de la Constitution française, intervenue en février 2007, a substitué à l’antique et belle formule de « haute trahison », l’expression affadie, banale et totalement imprécise de «manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat ». Nous invitons les membres du conseil d’administration à méditer quelques secondes sur ce dernier point. http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php En conséquence, nous vous annonçons que nous dénoncerons publiquement toute personne, tout groupe de personnes ou toute institution, qui en connaissance de cause, concèderait injustement à M. Nicolas Sarkozy un statut d'expert économique ou de démocrate suffisamment honorable pour donner des leçons de politique aux Québécois. Compte tenu de la gravité des éléments qui ont été portés à votre connaissance, nous ne pouvons considérer qu’insultante, à tous égards, la tenue de cette conférence à Montréal. Fervents défenseurs de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada, nous espérons que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain se ravisera, et respectera ainsi la communauté importante de Français expatriés, qui a trouvé au Québec une terre d’accueil. La moindre des choses serait que M. Sarkozy soit confronté à un ou plusieurs contradicteurs à l'occasion de cette conférence, que des critiques légitimes puissent se faire entendre. Comme nous avons commencé par une citation, terminons par une autre,celle-ci du poète grec Ésope, célèbre pour ses fables : « Les menteurs ne sont jamais plus fanfarons qu'en l'absence de contradicteurs. » Espérant trouver un écho favorable à notre requête, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, l’expression de nos salutations distinguées. La délégation de l’Union Populaire Républicaine (UPR) au Québec http://www.u-p-r.fr/
  23. C'est au tour d'une autre histoire qui va finir par nous embarasser! ------------------------------------------ Les hôpitaux anglophones devraient être interdits Les hôpitaux anglophones n'ont pas leur place au Québec et les jeunes non-francophones devraient avoir l'obligation de fréquenter le cégep en français. C'est l'essence du message qu'a passé ce matin le groupe Impératif français devant la commission parlementaire qui étudie le projet de loi 14 sur la refonte de la Charte de la langue française (Loi 101). « Définir les hôpitaux sur une base linguistique c'est pratiquer la discrimination », a dit le président d'Impératif français, Jean-Paul Perreault. Selon M. Perreault, les anglophones et les allophones devraient avoir accès à des services d'interprètes dans les hôpitaux québécois. «L'avenir du français est gravement menacé au Québec», a renchéri le président du Mouvement Québec français (MQF), M. Mario Beaulieu, à l'occasion d'une conférence de presse tenue ce matin conjointement avec Impératif français. M. Beaulieu a déclaré avoir été l'objet de menaces de mort après avoir exprimé son opinion au sujet du projet de loi 14. L'État québécois doit donc cesser d'offrir des services en anglais a ajouté M. Beaulieu en conférence de presse. «Si l'État donne des services dans les deux langues, on devient un État bilingue. L'objectif de la Loi 101 était de faire du français la seule langue officielle au Québec. «On exige l'anglicisation pour accommoder des gens qui devraient avoir l'obligation d'apprendre à parler français. Toute personne qui fait le choix de vivre au Québec devrait apprendre le français», a martelé M. Beaulieu qui était accompagné pour l'occasion du président de la CSN Jacques Létourneau et du vice-président du SFPQ, Paul de Bellefeuille. La CSN a fait savoir qu'elle se dissocie de la position d'Impératif français au sujet des hôpitaux. http://www.journaldequebec.com/2013/04/09/les-hopitaux-anglophones-devraient-etre-interdits
  24. http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-forums_strategiques_grands_projets_0313/ LA MÉTROPOLE ET SES GRANDS PROJETS Immobilier et revitalisation urbaine Vendredi 15 mars 2013 de 7 h 30 à midi PRIX Membres Non membres Billet(s) 350 $* 450 $* Table(s) de 10 3150 $* 4050 $* * Taxes en sus. DEVENIR MEMBRE Par téléphone : 514 871-4001 Politique d'annulation > Pour plus d'information Kevin Alouini Responsable, Forums stratégique 514 871-4000 , poste 4048 kalouini@ccmm.qc.ca Lieu Palais des congrès de Montréal 1001, place Jean-Paul-Riopelle Montréal Programme LES GRANDS PROJETS redéfinissent le visage de la métropole. Chacun d’entre eux redynamise toute une partie de la ville. Les sommes colossales qui y sont investies ont un impact majeur sur le développement économique de la grande région de Montréal. Développez vos affaires : Découvrez de nouveaux projets qui viendront changer le visage de la métropole; Évaluez l’état d’avancement des projets majeurs; Déchiffrez et intégrez l’effet structurant de certains projets sur leur quartier et leur environnement immédiat; Réseautez avec les acteurs clés, institutionnels et privés, derrière les grands projets métropolitains. Participez à un événement d’envergure pour tout savoir des plus grands projets de construction dans la métropole! Programmation : 7 h 30 à 12 h 15 : Conférences 12 h 15 à 15 h : Buffet réseautage et salon commercial Le salon commercial sera ouvert pendant le petit déjeuner, les pauses et le buffet réseautage. Veuillez noter que vous devez vous inscrire aux conférences pour prendre part gratuitement au salon commercial en tant que visiteur. Si vous désirez être exposant, veuillez communiquer directement avec nous. LA MÉTROPOLE ET SES GRANDS PROJETS Mot de bienvenue Allocution du maire Michel Leblanc Président et chef de la direction Chambre de commerce du Montréal métropolitain Michael Applebaum Maire de Montréal Président de la Communauté métropolitaine de Montréal BLOC D’INTRODUCTION : Le développement immobilier de la métropole et ses défis Tirer parti de la consultation publique Benoit Egan Associé, Conseil immobilier Raymond Chabot Grant Thornton Louise Roy Présidente Office de consultation publique de Montréal I. LA REVITALISATION DU SECTEUR DU PARC OLYMPIQUE Espace pour la vie dévoile le Planétarium Rio Tinto Alcan L’an deux de la relance du Parc olympique : réalisations et projets d'avenir Charles-Mathieu Brunelle Directeur général Espace pour la vie David Heurtel Président-directeur général Parc olympique II. DES INSTALLATIONS À LA FINE POINTE POUR LA RECHERCHE ET L’ÉDUCATION Le Quartier de l’innovation Yves Beauchamp Directeur général École de technologie supérieure Rose Goldstein Vice-principale à la recherche et aux relations internationales Université McGill Cameron Charlebois Vice-président, Immobilier, Québec Société immobilière du Canada Technoparc Montréal : joueur clé au service du développement technologique de la métropole Site Outremont : l’Université de Montréal redonne un quartier à la ville Paul St-Jacques Président du conseil d'administration Technoparc Montréal Dr Guy Breton Recteur Université de Montréal III. DES INVESTISSEMENTS MAJEURS QUI CHANGERONT LE VISAGE DE MONTRÉAL Le projet de redéveloppement du site de la Maison de Radio-Canada Le projet Fonds immobilier de solidarité FTQ et Canderel – Quartier des spectacles Marc Y. Lapierre Directeur général, Services immobiliers CBC/Radio-Canada Daniel Peritz Vice-président principal, Montréal et Ottawa Canderel Le projet L’Avenue Cadillac Fairview dévoile son plan de développement pour le centre-ville de Montréal Michael Broccolini Gestionnaire immobilier Construction Broccolini inc. Salvatore Iacono Vice-président, développement et gestion immobilière, Portefeuille de l'Est du Canada La Corporation Cadillac Fairview Limitée En collaboration avec :
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