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  1. Les affaires rene vezina sur 98.5fm http://www.985fm.ca/chmp/audio/audioplayer.php?url=http://mediacorus.corusquebec.com/webcorus/audio/content_Audio/289213.mp3
  2. pedepy

    rues mixtes

    depuis quelques temps j'ai une idee en tete de rue 'mixte', mais je me demande si ca se fait ailleurs alors je vous demande votre avis. les derniers rendu du 2-22 donnent une idee de ce que ca pourrait etre: la rue n'est pas delimitee de l'espace pieton par une difference de 'hauteur' entre trottoir et l'asphalte, mais par une difference au niveau du pave et des obstacles (comme les poteau). je me demandais juste si une configuration semblable ne pourrait pas existe ou ces barrieres seraient amovibles: de chaque cote, l'espace pieton reserve, au centre l'espace automobile et entre les deux un espace tampon, l'ete reserve aux pietons et l'hiver reserve au stationement. comme ca on pourrait transformer des rues comme mont-royal, st-laurent ou ste-catherine en rue pietonnes (ou semi pietonnes) en saison estivale et redonner l'espace au stationement en hiver ou la rue pietonne n'est plus si importante mais le stationement l'est doublement. edit: voici un dessin qui aide a illustrer mon idee: l'espace en vert est celui qui pourrait etre utilise selon les besoin. les fleches blanches montre les 'bornes' qui pourraint etre deplacer. on pourrait utiliser d'autre elements comme des bacs a fleurs, etc .. un peu comme ici: en ete, il pourrait aider a aleger la circulation des pietons et/ou (surtout sur des rues comme mont-royal) permettre aux commercant d'installer des terraces qui ont plus d'allure, avoir de l'animation de rue, ou des commerces ambulants. puis l'hiver, on redonne la portion de rue a la circulation automobile, pour du stationement par example.
  3. Avec toutes ces discussions sur l'anglais et le français, ça pourrait être interessant de créer un petit sondage...
  4. Quelle bonne idée! Voyons voir.. comment commencer ça? Étape 1 : déterminer (par vote peut-être?) les paramètres de ces dinstinctions. J'invite tout le monde à partager leur opinion! --------------------------------------- 1. Quelle nom? What name? Les "Academy Awards" ont leurs "Oscars". Quel nom devrait on donner à notre prix Mtlurb? 2. Quelles catégories? Quelques idées : Meilleur projet complété durant l'année courante, pire projet complété durant l'année courante, meilleure proposition, meilleur développeur, etc. 3. Comment déterminer les gagnants? Par un simple vote des membres du forum? Devrait-on faire des nominations en premier lieu? 4. Quelle devrait être la durée des votes? Est-ce que le vote est cachée pour ajouter du suspense au dévoilement des résultas? 5. Est-ce que ça devrait être un prix annuel? Aux 2 ans? Aux 6 mois? Etc. Allez! Discussion! Je me porte volontaire pour créer le fil officiel et mettre tout plein de jolis graphiques et rendre ça cool une fois que l'étape de planification est terminée!
  5. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  6. J'aimerais avoir votre avis sur une lettre que je m'apprête à faire parvenir à Guy Laliberté par l'intermédiaire d'une personne qui le connaît. Certains d'entre vous se souviendront peut-être d'une idée que j'avais lancée il y a quelques mois, à savoir la construction d'un Musée du Cirque du Soleil sur la place vacante de l'îlot Balmoral. J'ai même créé un groupe Facebook pour supporter l'idée, et le groupe a aujourd'hui près de 200 membres. Je retranscris ici la lettre qui s'adresse à monsieur Laliberté. Vos commentaires/suggestions seraient grandement appréciés. Aussi, j'aimerais pouvoir faire parvenir avec cette lettre un aperçu de ce que pourrait avoir l'air un tel édifice (que je conçois comme ayant la forme d'un chapiteau de cirque). Je sais que certains d'entre vous ont du talent pour créer des rendus de la sorte. Est-ce que l'un d'entre vous accepterait de mettre sa vision sur papier pour que je puisse l'expédier à monsieur Laliberté (qui sait: cela pourrait l'influencer!)? Merci. ----- Bonjour monsieur Laliberté, Je tiens d’abord à vous remercier de prendre le temps de lire une lettre d’un pur inconnu, un geste qui est tout à votre honneur! Pour me présenter très rapidement, je suis un étudiant de maîtrise en philosophie morale à l’Université de Montréal, et surtout, un passionné de développement urbain et du Cirque du Soleil. Je vous écrit dans l’espoir d’obtenir votre appui pour un projet des plus intéressants concernant la brillante institution dont vous êtes le fondateur, un projet qui n’en est qu’au stade de rêve pour le moment, mais qui pourrait très facilement devenir réalité s’il bénéficiait d’un appui aussi important que le vôtre. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il se développe présentement à Montréal un ambitieux projet visant à offrir au secteur entourant la Place des Arts une identité forte et “spectaculaire” : le Quartier des Spectacles. Ce secteur est appelé à devenir un haut lieu touristique et une véritable signature internationale pour notre ville. La plupart des grandes institutions culturelles montréalaises y ont déjà pignon sur rue, et plusieurs autres songent à y aménager. Mais une institution en particulier brille par son absence dans ce secteur, je parle bien sûr du Cirque du Soleil ; il apparaît fort regrettable, à moi comme à bien d’autres, que ce joyau culturel bien de chez nous n’ait pas encore fait son nid sans le coeur névralgique de la culture québécoise. Sans doute ce qui explique un tel état de fait est tout simplement l’absence de projet concret présenté au Cirque, et c’est précisément ce que vise la présente lettre : présenter l’esquisse d’un projet séduisant, qui permettra au Cirque d’effectuer une entrée remarquée dans le Quartier des Spectacles. Deux éléments centraux caractérisent le projet : d’abord, sa vocation. Un quart de siècle après sa fondation, le Cirque du Soleil est plus que jamais tourné vers l’avenir, ce qui ne doit cependant pas faire oublier un certain devoir de commémoration. Or, quoi de mieux que la création d’un Musée pour célébrer l‘ampleur des réalisations du Cirque depuis sa fondation ? Le musée serait bien sûr à l’image du Cirque du Soleil : dynamique, vibrant de créativité et d’originalité. L’architecture pourrait être audacieuse, prenant la forme d’un chapiteau de cirque par exemple, et l’intérieur pourrait présenter un espace consacré à chacun des spectacles réalisés par le Cirque depuis 1984. On pourrait même envisager la présentation d’un spectacle (modeste) pour les visiteurs. Bref, les possibilités créatives sont quasi-infinies! Seconde caractéristique du projet : sa localisation. Aucun endroit à Montréal - pour ne pas dire aucun endroit au monde - ne semble plus approprié pour accueillir un Musée du Cirque du Soleil que l’îlot Balmoral, ce terrain donnant sur la nouvelle Place des Festivals, coeur du Quartier des Spectacles. Des artistes du Cirque pourraient d’ailleurs animer la Place publique tout au long de l’année. Le Festival de Jazz y a présentement sa Maison, et les Grands Ballets Canadiens sont sur le point d’aménager dans l’édifice voisin. Un seul terrain demeure donc disponible - mais qui sait pour combien de temps encore ? Il me semble que le Cirque devrait rapidement sécuriser cet emplacement exceptionnel avant que d’autres ne le fassent. D’autres lieux à Montréal pourraient bien sûr abriter le projet, mais aucun n’aurait tout le pouvoir symbolique, ni toute la visibilité qu’offre la Place des Festivals. Je n’en dis guère davantage pour le moment, afin de ne pas abuser de votre temps. Je tiens à dire que je songeais au départ à vous faire parvenir une lettre beaucoup plus “formelle”, signée d’acteurs importants du milieu de la culture montréalaise (notamment le Partenariat du Quartier des Spectacles), mais j’ai fini par préférer un contact plus personnel, qui assume pleinement l’essence de la présente requête : une bouteille lancée à la mer. Or, malgré des probabilités qui jouent sans doute en ma défaveur, j’ai espoir que cette lettre arrivera à bon port, car je sais que, comme moi, vous êtes un rêveur, et je crois sincèrement que cela vous rendra plus sympathique à ma démarche. Je vous laisse mes coordonnées, dans l’hypothèse où vous souhaiteriez me contacter (pour discuter du projet ou pour m’inclure dans sa réalisation). Je vous invite également à visiter le groupe Facebook « Pour la Création d’un Musée du Cirque du Soleil sur la Place des Festivals », qui a rapidement atteint près de 200 membres. Enfin, je joins à cette lettre un article de Marc Cassivi de La Presse (le ton est par moment beaucoup trop fort, mais c’est néanmoins ce qui m’a inspiré le projet que je vous ai décrit). Bien à vous, J*****
  7. Petite révolution touristique [La Chine approuve la promotion du Canada comme destination touristique] Malorie Beauchemin, envoyée spéciale La Presse Publié le 04 décembre 2009 à 05h45 | Mis à jour le 04 décembre 2009 à 07h28 Le premier ministre Stephen Harper a fait ses premiers pas jeudi sur la Grande Muraille de Chine. Photo: PC (Pékin) À la Grande Muraille de Chine, les touristes sont nombreux, à Badaling, même par un petit matin glacial du mois de décembre. Il y a même quelques Canadiens, de Colombie-Britannique, rencontrés par hasard, et qui arborent fièrement les mitaines rouges des Jeux olympiques de Vancouver 2010. Le premier ministre Stephen Harper est, quant à lui, venu faire quelques pas, avec son épouse Laureen, sur l'imposante structure qui s'étend sur près de 6700 km dans le nord de la Chine. Sa réaction devant l'immensité de la construction humaine tient en un mot : «Incroyable !» Si les Canadiens sont nombreux à visiter l'empire du Milieu chaque année, le flux inverse de touristes pourrait augmenter de façon exponentielle prochainement. En marge de la visite du premier ministre Stephen Harper en sol chinois, le gouvernement de Pékin a annoncé, jeudi, qu'il accordait au Canada le statut de destination approuvée par les autorités chinoises, facilitant et encourageant ainsi des dizaines de milliers de touristes éventuels à voyager de l'autre côté du Pacifique. La mesure pourrait donc représenter une mine d'or pour l'industrie touristique canadienne ; des revenus potentiels de 100 millions de dollars par année, estime Ottawa. L'imposante population chinoise - 1,3 milliard d'habitants - et l'accession, pour de plus en plus d'entre eux, à des conditions de vie qui permettent ce genre de voyage à l'étranger feront très certainement saliver les agences de tourisme. Le Canada compte aussi 1,3 million de citoyens d'origine chinoise, dont la plupart ont encore de la famille dans l'empire du Milieu. Ainsi, la nouvelle mesure pourrait attirer de 40 000 à 50 000 touristes chinois supplémentaires au Canada chaque année, évalue le gouvernement fédéral. «Cela pourrait faire augmenter le tourisme chinois de 50 %», s'est réjoui Stephen Harper, à l'issue de rencontres bilatérales avec le président Hu Jintao et le premier ministre chinois Wen Jiabao. «Ça va grandement profiter au Canada et ça arrive au moment opportun, surtout à l'approche des Jeux olympiques», a-t-il ajouté à la fin de la deuxième journée de son voyage en sol chinois, son premier depuis qu'il est entré en poste, il y a presque quatre ans. Le gouvernement fédéral avait fait la demande aux autorités chinoises en 2005. Depuis cette date, des dizaines de pays ont été ajoutés à la prestigieuse liste des destinations approuvées, dont les États-Unis, en 2008. «Ça aurait dû se faire il y a quatre ans, mais ça n'a pas été le cas à cause de l'attitude du gouvernement Harper envers la Chine. Les États-Unis et la plupart des pays européens ont déjà obtenu le même statut. Quand la Chine a signé (jeudi matin), elle a montré de la bonne volonté», a critiqué Loïc Tassé, politologue spécialiste de la Chine qui enseigne à l'Université de Montréal. Cinq protocoles d'entente La Chine et le Canada ont aussi annoncé, à l'issue des rencontres diplomatiques, la conclusion de cinq protocoles d'entente ; sur les changements climatiques, sur la coopération culturelle, sur la recherche et la formation dans le domaine agricole, sur les ressources minérales et sur le transport maritime. En matière d'environnement, notamment, les deux gouvernements ont convenu de collaborer dans leurs efforts pour «atténuer les changements climatiques et s'y adapter». L'accord survient à quelques jours de l'ouverture de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques, à laquelle les premiers ministres canadiens et chinois participeront. Dans une déclaration commune, les deux pays ont convenu d'accroître le commerce bilatéral, qui se chiffrait en 2008 à plus de 53 milliards. Le Canada importe toutefois quatre fois plus qu'il exporte en Chine et doit donc convaincre les autorités chinoises d'acheter davantage de produits et services canadiens. Les deux pays ont par ailleurs aussi fait l'annonce de l'ouverture prochaine d'un nouveau consulat de la Chine à Montréal. Le premier ministre Harper a souligné qu'une «nouvelle ère» s'ouvrait entre les deux pays. La déclaration commune des deux gouvernements va plus loin, en ajoutant que les nouvelles mesures prises sont «des nouvelles façons d'accroître l'interaction entre les populations» et qu'elles favoriseront «une circulation accrue de touristes, d'élèves et de gens d'affaires entre les deux pays». Après une journée très politique, le premier ministre Harper visitera aujourd'hui la Cité interdite, au coeur de Pékin, avant de se rendre en soirée à Shanghai prononcer un important discours économique. Puis, son voyage en Asie se poursuivra à Hong-Kong avant de se terminer à Séoul, en Corée du Sud. - Avec la collaboration de Vincent Brousseau-Pouliot http://www.cyberpresse.ca/dossiers/harper-en-chine/200912/03/01-927425-petite-revolution-touristique.php Une très grosse nouvelle pour le Canada (mais surtout pour Toronto-Vancouver, qui sont bien plus connues que Montréal dans ce coin-là)
  8. Bon, Montréal pourrait tomber sous tutelle de Québec... Qu'en pensez-vous? Je crois qu'il était temps, trop de niaisage à la ville... ceci pourrait finalement permettre de débloquer quelques dossiers commem Turcot et Notre-Dame.
  9. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/200909/30/01-907012-pratt-whitney-va-fermer-une-usine-a-longueuil.php je crois que ce serait une belle occasion de revitaliser ce secteur. Je verrais bien un beau quartier dense avec services de proximités, qui s'étendrait jusqu'à Roland-Therrien. Ces services pourraient servir aussi aux gens des bureaux sur Roland-Therrien. Ce quartier serait à proximité d'une éventuelle station de métro au CEGEP. Cataclaw pourrait nous faire une vision de ça!
  10. Bonjour, J'espère que vous me permettrez cette petite "plogue" (Malek, ne te gêne pas pour m'aviser si ce n'est pas approprié), mais j'ai récemment commencé à écrire un blogue portant sur l'actualité urbanistique et municipale et sur la mobilité des personnes dans l'agglomération montréalise. En fait, il s'agit surtout d'une revue de presse quotidienne sur ces sujets, avec de temps en temps mes opinions ou montées de lait. Le lien: Montréalités urbaines La plupart des nouvelles mentionnées ne devraient pas vous être inconnues, mais pour vous tenir à jour, je crois que ça pourrait intéresser quelques uns d'entre vous. Il ne s'agit pas d'un forum de discussion (celui que vous lisez présentement rempli cette mission avec brio), mais plus d'une source d'information sur l'actualité. Au plaisir de vous y voir, et n'hésitez pas à me faire parvenir vos commentaires et suggestions
  11. Metro pourrait-elle acheter Jean Coutu? Permalink 10/07/09 01:32 am, François Pouliot / Général, 967 mots Il serait intéressant de poser la question à Éric Laflèche et François Jean Coutu lors de leur prochaine sortie publique. Dans l’intérim, l’analyste Perry Caicco avance que c’est une possibilité bien réelle et parle même d’un mariage parfait. L’analyste de CIBC Marchés mondiaux ne détaille pas beaucoup sa proposition. Elle survient néanmoins à un moment où les deux sociétés approchent de la maturité et se cherchent des avenues de croissance. Surtout, elle survient à un moment où, si elles ne se courtisent pas relativement rapidement, il pourrait bientôt être trop tard. La situation de Jean Coutu Jean Coutu est enclavée. Après avoir réussi une première sortie du Québec dans les années 90, avec l’acquisition de Brooks, elle vient de mordre la poussière avec Eckerd. Sa participation de 32% dans Rite Aid (désormais propriétaire des Eckerd) l’empêche de songer à un retour aux États-Unis, et même si elle s’en défaisait, l’ampleur de l’échec a probablement fermé pour longtemps la porte à tout plan d’acquisition à l’extérieur du pays. Chat échaudé craint l’eau froide. Au Canada pendant ce temps, rien ne semble disponible. Le plan de match actuel repose donc sur quelques axes intérieurs. Le principal consiste à ajouter des pharmacies Jean Coutu dans le paysage québécois. Le groupe veut faire passer son réseau de 300 à 400 établissements d’ici 5 à 7 ans, tout en intégrant dans la plupart de ses surfaces des boutiques Passion Beauté (les produits de beauté génèrent de fortes marges). La stratégie est intéressante à moyen terme et génère d’assez bons rendements, mais les analystes notent que la création de valeur devient de plus en plus difficile, alors qu’en grandissant, Jean Coutu vole certes des parts de marché à ses concurrents, mais s’en vole aussi à elle-même, ce qui vient diminuer ses marges. L’acquisition du fabricant de produits génériques Pro Doc, il y a un an et demi, est une initiative qui pourrait donner plus de fruit qu’initialement escompté, mais tôt ou tard, l’état des résultats devra faire face à la situation géographique. La situation de Metro Plus de trois ans après avoir acquis A&P Canada, l’épicier est dans un vaste programme de rénovation de 200 M$. Actuellement 89 des 159 Loeb et A&P ont été rénovés et convertis à la bannière Metro. L’opération devrait être complétée à la fin de l’année. Metro continue de livrer d’impressionnants résultats. Au dernier trimestre, les ventes des magasins comparables ont progressé de 7,3% et son bénéfice a pulvérisé le consensus. Les analystes estiment cependant que la croissance est difficilement soutenable alors qu’une bonne partie de celle-ci provient de l’inflation. Après avoir extirpé toutes les synergies qu’elle pouvait tirer de A&P, tout comme Jean Coutu, et plus vite même, Metro se rapproche à nouveau d’une situation de maturité. Les avantages d’une fusion Par le biais de son grossiste McMahon, Metro exploite au Québec la bannière franchisée Brunet, qui compte 122 établissements. Elle exploite aussi la bannière Clini Plus, dont les 68 établissements de moindre taille sont souvent installés en périphérie de cliniques médicales. En Ontario, le détaillant compte 51 établissement Pharmacy (dans ses Metro et A&P) et 27 Drug Basics (dans ses Food Basics). À l’évidence, une acquisition de Jean Coutu par Metro permettrait de créer des synergies significatives et un certain effet de levier. -Le pouvoir d’achat des deux entités serait décuplé. -Les coûts de distribution seraient abaissés. -Les coûts administratifs tomberaient. -Les infrastructures de Metro en Ontario pourraient éventuellement un peu plus tard supporter une expansion de Jean Coutu dans la province. Metro a-t-elle les moyens? Oui. Ses ratios d’endettement sont bas (dette/BAIIA à 1,4). En 2005, elle avait payé 1,7 G $ pour A&P Canada et valait à l’époque elle-même 3 G$. Jean Coutu vaut aujourd’hui 2,4 G$, et Metro en vaut 4 G$. Avec les succès d’intégration de l’épicier québécois, il ne devrait pas y avoir trop de réticence des banquiers à financer. D’autant que l’acheteur pourrait en partie offrir de ses actions pour permettre aux actionnaires de la cible de participer à la récolte projetée de plus value et à la famille Coutu de conserver une position d’influence. Et le Bureau de la concurrence? C’est ici un peu moins évident. Selon sa dernière présentation aux investisseurs, Jean Coutu détient 32% de parts de marché au Québec en termes de ventes pharmaceutiques. Les parts de marché des Brunet et Clini Plus ne sont pas divulguées. Il se trouverait sans doute un certain nombre de concurrents pour agiter le spectre de la domination outrancière et ses conséquences néfastes à long terme (élimination de la concurrence et hausse des prix). En contrepartie, le paysage concurrentiel demeurerait tout de même encore assez bien peuplé (Pharmaprix, Familiprix, Uniprix, Proxim, Wal Mart, etc.) La question est intéressante parce qu’elle veut aussi dire que plus Jean Coutu continuera de grandir, plus sa part de marché devrait continuer de grimper (même si sa marge s’effritera). S’il a des hésitations à 300 établissements, le Bureau de la concurrence ne pourra qu’en avoir davantage à 400. C’est pourquoi si elles ne veulent pas rater un mariage catalyseur de valeur pour chacune, Metro et Jean Coutu auraient avantage à bientôt se parler.
  12. Le délai pour déposer un recours contre le plan de restructuration du constructeur ayant expiré, GM pourrait émerger de la faillite et repartir sur de nouvelles bases dès vendredi. Pour en lire plus...
  13. Voila un site qui pourrait vous intéresser. Il a été créer par la fédération des chambres de commerce du Québec et il a pour but de contrer le climat de morosité qui plane sur notre province... http://www.quebecenavant.ca/index.html
  14. Le géant américain de l'automobile en processus de restructuration conclut une entente de principe visant la vente de sa division Saturn au groupe Penske. Pour en lire plus...
  15. Terre-Neuve pourrait poursuivre Québec et Ottawa concernant un projet au Labrador Il y a 35 minutes SAINT-JEAN, T.N.-L. — Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador pourrait poursuivre en justice les gouvernements du Canada et du Québec relativement au projet hyrdoélectrique Upper Churchill Falls, au Labrador. La ministre provinciale des Ressources naturelles, Kathy Dunderdale, estime que Terre-Neuve-et-Labrador n'a peut-être pas reçu sa juste part des retombées depuis que le projet a commencé à produire de l'électricité il y a 35 ans. Elle a déclaré en entrevue que le projet, depuis le début, a essentiellement profité au "peuple du Québec". Le gouvernement terre-neuvien affirme avoir empoché environ 1 milliard $ pendant cette période, pendant que les coffres du Québec se seraient plutôt engraissés de 19 milliards $. L'entente vient à échéance en 2041. Mme Dunderdale est d'avis qu'Ottawa aurait pu intervenir dans le dossier pour s'assurer que Terre-Neuve recevrait une part équitable des retombées. Elle explique que l'éventualité d'une poursuite judiciaire est plus pertinente que jamais, maintenant que les Innus du Labrador réclament eux-mêmes une compensation relativement à ce projet. Les Innus affirment ne pas avoir été consultés avant le lancement du projet, qui leur aurait fait perdre 6000 kilomètres carrés de territoire.
  16. Il faut plus qu'une affirmation pour faire de Montréal une authentique ville de design. Les mots ne veulent rien dire s'il ne se traduisent pas par une réelle intervention sur le terrain. Afin de passer du rêve à la réalité il faut nécessairement créer officiellement une politique du design qui encouragera et favorisera cet aspect si important dans tout projet proposé à la ville. Nous avons déjà une politique d'intégration des arts dans les constructions publiques qui a enrichi le contenu des projets en assimilant l'art au quotidien. Il faut maintenant s'intéresser de plus près au contenant parce qu'il se construit encore trop d'immeubles et de projets sans intérêts qui risquent d'appauvrir l'aspect visuel de la ville pour de nombreuses années. Qui voudrait du projet des Tours Lafontaine construit sur la rive sud, au centre de la ville? Sommes-nous immuniser contre d'autres laideurs comme l'ancien Forum? Avons-nous un pouvoir réel d'intervention qui pourrait, à défaut de forcer, du moins fortement encourager la qualité du design de toutes nouvelles constructions, petites et grandes? Le quartier international, au centre-ville, est un bel exemple de réussite dont il faut s'inspirer pour appliquer le même principe aux autres quartiers de la ville. Il y a aussi une véritable volonté d'agir dans le même sens pour le quartier des spectacles et j'ai bien hâte d'en voir le résultat final. Mais ces politiques sont ponctuelles et limitées, ce qu'il faut c'est une formule claire qui pourra définir les grandes lignes des interventions souhaitées afin d'améliorer l'esthétisme et la qualité de tous projets à venir et ce à la grandeur de la ville. Cela va de la qualité et du choix des matériaux, aux couleurs choisies, jusqu'au design proprement dit qui offrira une facture originale s'intégrant harmonieusement dans l'environnement. Je pense à un comité d'experts indépendant et reconnu qui aurait pour rôle d'évaluer la qualité des propositions, de suggérer des améliorations et qui pourrait aussi récompenser les projets les mieux réussis. A cela il faudrait plus que la présentation de prix citrons ou oranges puisqu'à ce stade il est déjà trop tard pour intervenir. Il ne s'agit pas non plus d'ajouter un autre niveau de bureaucratie qui pourrait ralentir le développement mais plutôt d'intervenir à la présentation d'un projet et des demandes de permis afin d'obtenir le meilleur résultat possible sur un site donné. Il faut que le message soit compris, on ne peut se glorifier d'un titre sans fondement véritable et pour le moment Montréal a encore des preuves à donner pour mériter cette réputation enviable que plusieurs autres villes ont gagné par des efforts soutenus et bien réussis. On aime comparer Montréal à Barcelone notamment et on sait que là bas on soigne tout autant les petits projets que les gros. Tout dans une ville doit contribuer à cet esprit d'esthétisme et de qualité, de belles places publiques, de beaux éclairages, du mobilier urbain confortable et au design original, des rues agréables bordées d'immeubles audacieux qui rivalisent de beauté architecturale. Le design est porteur de richesse et attire l'oeil, il est hautement rentable économiquement et contribue largement à l'attrait touristique d'une ville tout en favorisant le bien-être de ses résidents. Cette proposition est une idée parmi tant d'autres et je n'ai pas le monopole des bonnes idées, mais je voudrais vraiment arriver à croire un jour que Montréal mérite le titre de ville de design. Mais pour le moment ce n'est encore qu'un rêve.
  17. Pratt Whitney: 500 postes à supprimer à Longueuil (Source: Radio-Canada) La moitié des postes dont veut se départir l'entreprise seront éliminés dans son usine du Québec. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. 2009-04-10 18:11:44 L'entreprise Pratt & Whitney Canada éliminera 500 emplois à son usine de Longueuil. Ces suppressions d'emplois font partie des compressions de 1000 postes annoncées en février dernier. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. « C'est important de dire qu'il s'agit d'un chiffre approximatif, car des employés pourront se prévaloir d'un programme de retraite anticipée volontaire. Quand on saura exactement combien d'employés souhaitent se prévaloir du programme, ça réduira d'autant le nombre de mises à pied à faire. Ça pourrait donc être beaucoup moins », a précisé Pierre Boisseau, porte-parole de Pratt et Whitney. Une centaine de travailleurs pourraient souscrire au programme de retraite anticipée volontaire, mais M. Boisseau n'a pas donné de chiffre exact. Ce sont les employés de la production qui seront surtout touchés par les congédiements, de même que des employés de bureau. Un marché qui bat de l'aile L'entreprise, qui fabrique principalement des moteurs d'avion, emploie 10 000 personnes dans le monde, dont 5500 au Québec. Pratt & Whitney explique ces mises à pied par la morosité du marché de l'aviation d'affaires. Elle mise sur la stabilité du marché des hélicoptères et de l'aviation régionale pour éviter d'autres compressions, mais elle ne les exclut pas. Mise à part l'aviation d'affaires, les autres secteurs pour lesquels Pratt & Withney Canada produit des moteurs (aviation commerciale régionale, hélicoptères et petits appareils) se portent encore relativement bien. Au pays, la compagnie compte des installations à Longueuil, à Lethbridge, en Alberta, à Mississauga, en Ontario, et à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
  18. Compressions à Montréal: Maciocia propose un traitement de choc Éric Clément La Presse Le maire de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Cosmo Maciocia, ne cache pas son impuissance face aux compressions de 20 millions que le maire demande aux arrondissements. Les compressions annoncées par Gérald Tremblay la semaine dernière suscitent une étonnante proposition de la part de Cosmo Maciocia, conseiller municipal, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal et maire de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Selon lui, par souci d'économie et d'efficacité, il faut revoir la structure actuelle de la Ville en réduisant de moitié le nombre d'arrondissements et d'élus municipaux. Cette idée surprend quand on sait qu'elle provient d'un fidèle partenaire du maire Tremblay. Cosmo Maciocia n'est pas né de la dernière pluie. Il fait de la politique municipale depuis 30 ans. Et depuis l'arrivée de Gérald Tremblay à la mairie, en 2001, il est son meilleur allié. Mais en entrevue avec La Presse, M. Maciocia ne s'est pas gêné pour exprimer son impuissance face aux compressions de 20 millions que le maire impose aux arrondissements. Selon lui, elles sont douloureuses pour les 19 administrations montréalaises. Surtout après trois années de RASOP (Révision des activités, services, opérations et programmes) qui ont obligé les arrondissements à abolir des postes. «Dans mon arrondissement, on a un déficit à cause de la neige, on n'a pas d'argent et, en plus, la Ville nous a prêté 2,5 millions en 2008, à rembourser en trois ans. Et je prévois encore un déficit en 2009. J'ai déjà aboli 32 postes avec la RASOP. On a un gros problème. Je crois qu'il faut revoir la structure de Montréal au complet. Des arrondissements de moins de 20 000 personnes et d'autres six fois plus peuplés avec le même nombre de cadres et de directeurs, sérieusement, peut-on continuer à laisser les choses comme ça?» M. Maciocia suggère donc de faire passer le nombre d'arrondissements de 19 à 10 et le nombre d'élus montréalais de 105 à 51. Cette proposition aurait pour conséquence de réduire sensiblement la masse salariale totale des arrondissements. Il y aurait moins de cols blancs et de cols bleus. M. Maciocia dit que, en fin de compte, les citoyens seront gagnants. «Non seulement on aura des gains de productivité, mais en plus les gens auront de meilleurs services de proximité.» Cosmo Maciocia croit que de diminuer le nombre d'arrondissements n'annulera pas la décentralisation et les avantages qu'elle a apportés. «C'est la délimitation qu'il faut refaire, car 19 directeurs des sports et loisirs, 19 directeurs des travaux publics, 19 directeurs administratifs, 19 directeurs des ressources humaines, etc., ça n'a pas de sens.» Mais comment fera-t-on les regroupements pour former les 10 nouveaux arrondissements? Il y aura assurément des tiraillements, mais M. Maciocia dit que ce n'est pas une mission impossible. «Regardez mon arrondissement, la fusion de Rivière-des-Prairies avec Pointe-aux-Trembles n'a rien de logique, tant du point de vue démographique que du point de vue géographique. Pointe-aux-Trembles pourrait très bien être rattaché à Mercier-Hochelaga-Maisonneuve.» Rivière-des-Prairies pourrait être rattaché à Montréal-Nord-Saint-Léonard-Anjou pour former un seul arrondissement. Dans le même ordre d'idée, L'Île-Bizard-Sainte-Geneviève pourrait se joindre à Pierrefonds-Roxboro et à Saint-Laurent, ce qui constituerait une structure de 170 000 habitants. Et Verdun pourrait former une seule entité avec le Sud-Ouest. La proposition Maciocia vise à créer 10 regroupements de 150 000 habitants en moyenne, afin de ne plus avoir un arrondissement de 17 500 résidants comme L'Île-Bizard-Sainte-Geneviève et un autre de 130 000 comme Rosemont-La Petite-Patrie. Réduire le nombre d'élus M. Maciocia croit qu'on devrait également en profiter pour réduire le nombre de conseillers. On ferait disparaître la notion de conseiller d'arrondissement pour ne conserver que les conseillers municipaux. Cela permettrait à la métropole de se retrouver avec 50 élus (10 par arrondissement, en comptant le maire), plus le maire de Montréal, soit 51 au lieu des 105 conseillers et maires actuels. La restructuration entraînerait des coûts, mais le maire de RDP-PAT estime que son idée mérite d'être étudiée par Gérald Tremblay, son équipe et le parti Union Montréal. Mais c'est le gouvernement du Québec qui a le pouvoir de changer la structure actuelle, née des fusions municipales. «Je pense que Québec a tout intérêt à partager ce point de vue car, avec moins d'arrondissements, il est évident que ça coûtera moins cher», dit M. Maciocia.
  19. Un urgent besoin de liquidités pourrait inciter AbitibiBowater à vendre ses actions dans la centrale McCormick de Baie-Comeau au géant de l'aluminium Alcoa. Pour en lire plus...
  20. La «troisième vague» de la crise économique mondiale devrait atteindre plus d'une vingtaine de pays pauvres, où le Fonds monétaire international craint l'émergence d'une crise humanitaire. Pour en lire plus...
  21. La Caisse de dépôt et placement du Québec pourrait dévoiler les pires résultats financiers de son histoire ce matin. Les chiffres seront publiés à 10h30. Pour en lire plus...
  22. trouvé sur Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200901/13/01-817367-un-nouvel-hippodrome-a-montreal.php Publié le 14 janvier 2009 Un nouvel hippodrome à Montréal? La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets. André Noël La Presse Un nouveau projet se dessine à Montréal: vendre les vastes terrains de l'hippodrome et, avec les profits de la vente, aménager une piste de chevaux de course sur les terrains contaminés et peu constructibles que la Ville possède sur les rives du fleuve, entre les ponts Victoria et Champlain. Le projet est porté par Marcel Lacaille, principal propriétaire de chevaux de course au Québec, et soutenu par Serge Savard, ancien joueur étoile du Canadien et vice-président d'une société immobilière. Une partie importante du milieu des courses y est favorable. M. Lacaille, membre actif de la Société des propriétaires et éleveurs de chevaux Standardbred, a fait valoir son projet à Claude Dauphin, président du comité exécutif de la Ville, lors d'une rencontre, cet automne. Il en a parlé aussi au sous-ministre des Finances, Jean Houde. «M. Lacaille a dit que les courses pourraient se tenir pendant la saison estivale, a indiqué Bernard Larin, porte-parole du comité exécutif, au cours d'un entretien, hier. Il s'agit des terrains de l'ancien Adacport. M. Dauphin a posé des questions. La Ville n'est pas fermée à l'idée. On aimerait voir le projet dans son ensemble.» La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine, a souligné M. Larin. L'accès en sera amélioré par le prolongement du boulevard Cavendish. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets. En 2006, le gouvernement a privatisé les courses de chevaux au profit de la compagnie Attractions Hippiques, du sénateur Paul Massicotte. Le printemps dernier, cette société s'est placée sous la protection de la loi sur les arrangements avec les créanciers. Aucune course ne s'est déroulée à l'hippodrome de Montréal cet été et quelques-unes seulement ont eu lieu pendant l'automne. Aucune autre n'est prévue avant mai prochain. Marcel Lacaille, propriétaire de la ferme Canaco à Saint-Bernard-de-Lacolle, ne croit pas qu'Attractions Hippiques puisse sauver l'industrie des chevaux de course. Selon une évaluation, le terrain de Blue Bonnets, qui appartient au gouvernement du Québec, pourrait être vendu pour 80 millions, dit-il. Une partie de ce profit pourrait servir à l'aménagement d'un nouvel hippodrome sur les terrains de l'ancien Adacport. «Il suffirait de 50 millions pour aménager une piste de 7/8e de mille, des gradins pouvant recevoir de 8000 à 10 000 spectateurs et un club-house, assure-t-il. Une partie de l'espace pourrait être loué à Loto-Québec. Il n'y aurait pas d'écuries sur place. Mais ça assurerait du travail à bien des gens. L'hippodrome serait dirigé par un Jockey Club.» M. Savard, lui-même propriétaire de quelques chevaux, a confirmé qu'il voulait donner un coup de pouce pour relancer les courses hippiques à Montréal. «Dans les années 70, j'avais plusieurs chevaux, dit-il. Les courses, c'était le fun. Le samedi matin, on allait faire jogger les chevaux avec les enfants. Il faut que le fun revienne à Montréal. Et en cette période économique difficile, ça peut assurer de l'emploi. Mais il faut d'abord régler le litige avec Attractions Hippiques.» «Le gouvernement est toujours lié par contrat à Attractions Hippiques, a souligné Jacques Delorme, porte-parole du ministère des Finances, qui a refusé de commenter la rencontre entre M. Lacaille et le sous-ministre Jean Houde. La destinée des courses se trouve entre les mains du syndic, a ajouté M. Delorme. C'est lui qui va formuler des recommandations. Le ministère les attend. Quand il les aura, il pourra les étudier. D'ici là, aucune décision ne sera prise.» Je crois que ce serait une excellente idée. Le Blue Bonnets est prèsque inutilisé depuis plusieurs années. Au lieu de laisser ces terrains IMMENSES et qui pourraient être développer autrement, pourquoi ne pas prendre cette opportunité pour redevelopper une partie du "technoparc" le long de l'autoroute Bonaventure (des terrains fortement contaminés qui ne se développeront vraisemblablement pas)? You'd kill 2 birds with one stone. Et comme mentionne M Savard, pourquoi ne pas ramener un peu de "fun" à Montréal.
  23. Des experts s'interrogent sur l'avenir de la papetière au moment où elle s'apprête à dévoiler ses résultats du dernier trimestre 2008. La vente de ses actifs québécois pourrait être une solution à son manque de liquidités. Pour en lire plus...
  24. Le plan Obama menace 2000 emplois au Québec Publié le 02 février 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Martin Croteau La Presse Le plan de relance économique de Barack Obama menace 2000 emplois au Québec, selon une coalition d'entreprises qui transforment l'acier. Le nouveau président américain a beau promettre de réviser la clause qui interdira l'importation de ce métal pour des travaux d'infrastructure, des dizaines d'entrepreneurs québécois craignent d'être frappés de plein fouet par cet élan protectionniste. Les exportations canadiennes d'acier vers les États-Unis valaient 11 milliards en 2007. Il n'y a pas d'aciérie au Québec, mais une soixantaine d'entreprises fabriquent des matériaux d'acier destinés à la construction, comme des poutres et des charpentes. Ces compagnies, qui emploient 6000 personnes, exportent chaque année pour environ 500 millions au sud de la frontière. Or, le plan de sauvetage avalisé mercredi par le Congrès menace directement l'industrie québécoise de l'acier. Les entreprises pourront continuer de vendre leurs produits à des clients privés, par exemple à un promoteur qui construit un hôtel à New York. Mais elles seront exclues des appels d'offres pour tous les projets d'infrastructures financés par le gouvernement, comme la construction d'hôpitaux ou la réfection d'aéroports. Les deux tiers des investissements de 820 milliards seront consacrés à ces travaux. Et en période de récession, peu d'entreprises privées ont les moyens de se lancer dans de vastes projets de construction. C'est pourquoi les sociétés québécoises dépendent des investissements publics comme jamais. «Ça va nous empêcher de soumissionner certains projets, ceux dans lesquels il y aura des fonds fédéraux», s'inquiète Jean-François Blouin, directeur général de Supermétal Structures. Cette entreprise, qui exploite des usines à Lévis et à Sherbrooke, a construit les charpentes métalliques de plusieurs bâtiments publics au Canada et aux États-Unis. Il y a trois ans, avant le boom pétrolier en Alberta, 80% de ses produits étaient vendus au sud de la frontière. Si le marché américain ferme ses portes, plusieurs des 500 travailleurs de Supermétal Structures pourraient se retrouver au chômage. «Ça pourrait signifier des pertes d'emplois, c'est bien évident», indique M. Blouin. Ottawa sollicité L'entreprise est loin d'être la seule à s'inquiéter, affirme Sylvie Boulanger, directrice de la section québécoise de l'Institut canadien de la construction en acier. Ce groupe presse le ministre du Commerce international, Stockwell Day, d'accentuer les efforts diplomatiques pour freiner l'élan protectionniste de l'administration Obama. «C'est sûr que le plan nous tue», dénonce Mme Boulanger. Elle estime que le tiers des 6000 travailleurs de l'acier québécois, peut-être davantage, perdront leur emploi si le plan est adopté dans sa mouture actuelle. L'une des seules entreprises québécoises qui pourrait profiter du plan de relance américain est le Groupe Canam. Près de la moitié des 12 usines de l'entreprise beauceronne sont situées aux États-Unis et pourraient donc éviter d'être pénalisées. Mais Canam exploite aussi deux établissements au Québec, dont les 850 emplois dépendent en grande partie des exportations vers la Nouvelle-Angleterre. «Si les Américains veulent mettent une barrière là-dessus, nos usines de Saint-Gédéon et de Boucherville vont devoir repenser leurs affaires», a indiqué à La Presse le président du Groupe Canam, Marc Dutil. Il promet toutefois de ne pas «fermer les lumières» de ses usines québécoises. «Ceux qui vont avoir un bras de levier sont ceux qui ont des usines des deux côtés de la frontière, reconnaît Sylvie Boulanger. C'est clair que, en tant que compagnies, elles vont devoir se réorganiser pour passer à travers. Mais qui va être pénalisé? Toute la partie canadienne.» Ballet diplomatique Le Sénat américain doit encore approuver le plan de relance avant qu'il soit mis en oeuvre. La Maison-Blanche a promis vendredi de revoir le projet pour s'assurer qu'il ne viole pas les ententes commerciales des États-Unis. Le premier ministre Stephen Harper avait exprimé son inquiétude, la veille, et affirmé que la montée du protectionnisme pourrait compromettre la reprise économique. Malgré tout, le soutien politique au plan reste fort, si l'on en croit l'entrevue qu'a accordée le vice-président Joe Biden au réseau CNBC, jeudi, dans laquelle il a déclaré: «Je pense qu'il est légitime qu'il y ait des clauses Buy American.»
  25. Le prix des maisons risque de baisser * Hugo Joncas, Les affaires * 10:10 Banque Laurentienne prévoit une baisse de 5 % du prix des habitations sur une période de deux ans. Ça y est : les économistes n'écartent plus une baisse du prix des maisons au Québec. L'automne dernier, ils avaient prévu une stagnation des prix, mais la récession américaine est plus grave que prévu, la situation pourrait donc se corser. "Si les pertes d'emplois se poursuivent, que la confiance des ménages reste faible et que la morosité économique continue d'inciter à la prudence, ça pourrait baisser", dit Hélène Bégin, économiste au Mouvement Desjardins. Mme Bégin, qui vient de publier une mise à jour sur le marché immobilier, pense que le prix des maisons au Québec pourrait baisser d'au plus 5 % si la situation économique ne s'améliore pas en cours d'année. Le scénario principal de Mme Bégin mise cependant sur une stabilisation des prix, sans baisse. Valeurs mobilières Banque Laurentienne est plus pessimiste. Dans une note publiée le 16 janvier, Sébastien Lavoie prévoit une baisse de 5 % du prix des habitations sur une période de deux ans. "Quand il y a une récession au Québec, il y a une baisse du prix des maisons", écrit l'économiste. Consolez-vous, il y a pire ailleurs dans le monde. En Irlande, Morgan Kelly, un économiste du University College Dublin, craint que la chute des prix de l'immobilier dans l'île atteigne 80 %
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