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  1. Publié le 22 septembre 2010 à 17h36 | Mis à jour à 17h40 Le Port de Montréal accueille le plus gros navire de son histoire Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne Montréal Le Port de Montréal accueillera ce jeudi le plus gros navire de son histoire, une opération qui aura nécessité deux années de préparatifs. Le Aida Luna, un navire de croisière allemand appartenant au voyagiste Aida Cruise, mesure 252 mètres de long et peut accueillir jusqu'à 2500 passagers. Il s'agit, en l'occurrence, principalement d'Européens, explique Ross Baldwin, directeur général de McLean Kennedy, l'agent maritime qui est à l'origine de la venue du mastodonte: «Les passagers sont surtout des Allemands mais aussi des Italiens, des Autrichiens et des Espagnols qui viennent voir les couleurs de l'automne sur le fleuve Saint-Laurent et sur le Saguenay. Pour plusieurs, c'est la première fois qu'ils voient une chose semblable.» La problématique de la venue du navire à Montréal réside moins dans sa longueur ou son tirant d'eau, qui n'est que de sept mètres, que dans sa hauteur. Le mastodonte se présente en effet à une hauteur de 47,9 mètres (157 pieds) au-dessus de la ligne de flottaison. «Nous avons commencé il y a deux ans par un dialogue avec les pilotes du Saint-Laurent pour voir si l'on pouvait amener ce navire à Montréal, a indiqué M. Baldwin, parce qu'il y a beaucoup d'obstacles: la hauteur du Pont de Québec, des lignes d'Hydro-Québec. Il y a aussi les manoeuvres d'accostage au Port de Montréal. C'est difficile mais les pilotes ont déterminé que c'était possible.» Le cas du vieux pont de Québec est en effet assez problématique, précise-t-il: «Le passage sous le Pont de Québec nécessite un ajustement du trajet à l'heure de la marée. On ne peut passer que si la marée est basse. À 48 mètres de hauteur, il passe pas à marée haute.» Bien que le dégagement soit suffisant sous les lignes d'Hydro-Québec à Trois-Rivières, on a prévu là aussi de les franchir à marée basse pour ne prendre aucun risque. Pour le dernier droit, les deux pilotes qui seront à la barre du navire entre Trois-Rivières et Montréal seront en terrain familier, indique M. Baldwin. «Ces deux pilotes sont allés en Allemagne l'an dernier pour faire une simulation sur un simulateur et confirmer que c'était vraiment possible. La décision était déjà prise mais il était utile d'offrir cette expérience aux pilotes et d'ajouter au simulateur leur expérience et les données sur les courants, les profondeurs du chenal et ainsi de suite.» Il a également fallu déterminer, entre autres, quelles manoeuvres seraient requises et quel type de remorqueurs pourraient les accomplir afin de permettre d'accoster le navire au quai Alexandra. Après avoir traversé l'Atlantique, l'Aida Luna a d'abord fait escale à New York et dans les ports des provinces maritimes avant de se rendre à Québec. Il est attendu dans le Port de Montréal à 7h00 du matin, ce jeudi. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201009/22/01-4320642-le-port-de-montreal-accueille-le-plus-gros-navire-de-son-histoire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3
  2. http://www.thestar.com/travel/northamerica/article/805447--echoes-of-montreal-in-louisville
  3. Rien à voir avec l'urbanisme, l'architecture, les gratte-ciels, mais je suis tout de même curieux de connaitre votre opinion. On a souvent des discussions très intelligentes et constructives ici et les dérapages sont de plus en plus rares, voilà pourquoi j'ouvre le fil. De mon côté, je suis partagé. Si on interdit le burqa et le niqab en public, on sait très bien que les femmes vont être cloîtrées à vie chez elle (par leur mari). En revanche, de leur laisser plusieurs passes-droits qu'on appelle accommodements raisonnables (trop souvent DÉraisonnables, selon moi) fait d'eux une classe de citoyen avec plus de droits (droit de choisir une femme médecin, droit de choisir une femme douanière, droit de voter à visage couvert, etc.) qu'une femme québécoise qui forme la moyenne des gens. *********************************** Port de la burqa Faut-il imiter la France? Mise à jour : 27/01/2010 12h45 Le Congrès musulman canadien demande au gouvernement conservateur de s'inspirer de la proposition de la France de bannir la burqa dans certains espaces publics. Selon la vice-présidente de l'organisme, Salma Siddiqui, le voile intégral est un objet de contrôle qui est identifié aux frères musulmans: «C'est un outil servile». Mme Siddiqui estime que la rectitude politique empêche les politiciens de s'attaquer à cette question sensible: son groupe a néanmoins l'intention de faire pression sur les politiciens de tous les partis politiques dès le mois de mai. En vertu de la Charte canadienne des droits et libertés, la Cour suprême a toujours refusé d'imposer des restrictions du genre. La controverse survient après la publication en France d’un rapport proposant une interdiction partielle de la burqa et du niqab. Le rapport indique que le port du voile intégral représente tout «ce que la France rejette» comme un symbole de l'asservissement des femmes et du fondamentalisme extrémiste. L’avocate générale de l’Association canadienne des libertés civiles, Nathalie Des Rosiers, pense que le Canada doit envoyer des messages forts sur l'égalité des femmes, mais qu’il ne doit pas suivre l’exemple de la France. «Il va sans dire qu'elles ne doivent pas être sujettes à des pressions exercées par leur communauté, non plus que par leur gouvernement. Ce n’est pas le rôle du gouvernement de dire comment les femmes devraient s’habiller.»
  4. Le port de Montréal a enregistré une baisse de son volume Publié le 12 août 2009 à 14h02 | Mis à jour à 14h04 La Presse Canadienne Montréal Le port de Montréal a enregistré une baisse de 18,4 pour cent de son volume de marchandises conteneurisées au cours des six premiers mois de l'année, par rapport à la période correspondante de l'an dernier. De janvier à juin inclusivement, le volume de marchandises conteneurisées s'est ainsi établi à un peu plus de 5,4 millions de tonnes, a indiqué, mercredi, l'Administration portuaire de Montréal. En nombre de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) pleins et vides, pour le premier semestre, la baisse a atteint 14,6 pour cent par rapport à la même période en 2008, pour totaliser 619 721 EVP. L'administration du port montréalais a souligné, en publiant ses résultats, mercredi, que, bien qu'ils soient baissiers, ils sont cependant meilleurs que ceux des principaux ports concurrents sur la côte Est. Les chiffres négatifs du premier semestre ont, en outre, été en partie compensés par des résultats très positifs dans le secteur du trafic maritime céréalier où le port de Montréal a connu une hausse de 31,1 pour cent par rapport à l'an dernier. L'achalandage total du terminal céréalier totalise plus de 1,2 million de tonnes pour les six premiers mois de l'année. La diversification des marchés du port a également eu un effet favorable, a souligné l'administration portuaire. Le trafic de conteneurs avec la Méditerranée a notamment connu une augmentation de 22,2 pour cent en nombre d'EVP pleins. Tous trafics confondus, la baisse de volume manutentionné au port de Montréal est de 15,4 pour cent par rapport à l'an dernier, pour atteindre près de 10,9 millions de tonnes.
  5. Salut les filles!! Je suis de retour. Je viens juste d'emménager dans mon nouveau condo dans le vieux LaPrairie. Beaucoup plus grand que mon dernier condo et j'ai une vue superbe(je suis au 3ième étage) sur le Fleuve ainsi qu'une partie du Centre-Ville (Je vois très bien le Port Royal, les CCE 1 et 2 ainsi que le 1250 R-L).
  6. Les promoteurs du projet Rabaska pour l'établissement d'un port méthanier à Lévis ont finalement conclu un accord avec Gazprom pour un approvisionnement en gaz naturel à partir de 2014. Pour en lire plus...
  7. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31.
  8. Old Port 9000 SQ.ft (livable space) 4 Bedroom 5 Bathroom 2 Partial Bathroom For sale: $7.5 Million Westmount 2504 SQ.ft (livable space) 2 Bedroom 2 Bathroom 1 Partial Bathroom For sale: $1,375,000 Senneville unknown SQ.ft (liveable space) [comes with a guesthouse and servants house, which is on 40 ACRES] 4 Bedroom 5 Bathroom 1 Partial Bathroom For sale: $8,800,000 Ile Bizard 30,000+ SQ.ft (livable space) 5 Bedroom 5 Bathroom 1 Partial Bathroom For sale: $7,250,000
  9. Saint John, New-Brunswick | Port City Saint John is the second largest city in the province of New-Brunswick and one the most interesting urban gem in atlantic Canada. The city also is the oldest incorporated city in country. The population of the Census Metropolitan Area is 123,389. The city is situated along the north shore of the Bay of Fundy at the mouth of the Saint John River. :: Saint John Skyline :: :: Uptown Area ::
  10. City Slicker: Winter in Montreal They're used to long, hard winters in Montreal. In fact, the locals even celebrate the season with a special festival. It's just one reason to visit now, says Sarah Barrell Sunday, 15 February 2009 Get your skates on: Montreal's Old Port is given over to ice skating during the long, hard winter months Quays of the Old Port of Montréal, Paul Labelle Photographes Get your skates on: Montreal's Old Port is given over to ice skating during the long, hard winter months Why visit? Montrealers, having made it to midwinter, congratulate themselves with the High Lights Festival (montrealenlumiere.com) an 11-day arts and culture event that this year celebrates its 10th anniversary with a gala line-up. The city is famed for high-profile summer festivals – such as the Jazz Festival and Just for Laughs – but sub-zero temperatures and banks of snow don't bring life, cultural or otherwise, to a halt, unlike in the UK. From Thursday until 1 March exhibitions, shows, street parades, and concerts take place across the city, including an "all-nighter" on 28 February when cultural venues stay open for 24 hours. If the thought of such blistering winter weather gives you cold feet, take comfort in Montreal's "underground city" a comprehensive 20-mile labyrinth of well-heated tunnels, malls and subway stations. And there are some truly great restaurants; a diverse and ever-changing ethnic population shapes Montreal's vibrant dining scene. The gourmet element of this month's festival will see more than 30 top chefs flown in from Paris and paired up with local restaurateurs to provide warming eats and winter treats. Don't miss ... Mont Royal (lemontroyal.qc.ca), the mountain around which the city is centred, doubles as an outdoor playground, come sun or snow. In the winter its lakes become skating rinks, its slopes toboggan runs and its wooded summit offers sparkling white panoramic views. Notre Dame Basilica (basiliquenddm.org). In a city founded by the church, visitors are not short of historic places of worship to visit, but Montreal's most impressive holy site is this vast masterpiece of Gothic Revival architecture which looms over the lovely cobbled streets of Old Montreal; just one of the stellar sights of the pretty old town. The Museum of Archaeology and History (pacmusee.qc.ca). In the old town, on the site where Montreal was founded by the French in 1642, it traces the city's past with hi-tech exhibits and excavations. The Musée Beaux Arts (mbam.qc.ca), with its encyclopaedic collection of North American and international fine arts. Expansion work has begun on a new pavilion dedicated to French colonial art, and to convert the beautiful Romanesque Revival church next door into a concert hall. Atwater Market, a fabulous 1930s covered market (marchespublics-mtl.com), selling local farmers' produce, meats and baked goods, just a stone's throw from the new foodie hub of Little Burgundy (see below). What's new Little Burgundy Little Burgundy, whose colourful terraced houses were once home to Irish dockworkers, has been undergoing gentrification for some years now. Converted warehouses and new-builds have become the norm in this neighbourhood on the Lachine Canal. But alongside the shops that give its hub, rue Notre-Dame, the nickname Antique Alley, new design boutiques, delis and restaurants are popping up. Try McKiernan (001 514 759 6677; joebeef.ca), the latest offering from Montreal chef and restaurant impresario Fred Morin. This teeny, playfully rustic wine bar and luncheonette is a great place to come for cosy evening drinks bolstered by small but hearty bites. DNA A flash new dining spot called DNA has opened in Old Montreal headed by Derek Dammann, the original head chef at Jamie Oliver's Fifteen restaurant in London. This innovative west-coast Canadian serves up his own handmade charcuterie, cheeses and refined rustic Italian cuisine; experimental but very tasty and lots of fun. Can't get a table? Kill time in the buzzy lounge bar. The decor may be a tad too retro 1980s but, like the food, the creative cocktails are most definitely 'du jour'. Details: DNA, 355, rue Marguerite D'Youville (001 514 287 3362; dnarestaurant.com). Angus Shops Montreal's Angus Shops were opened by the Canadian Pacific Railways in 1902 to serve its locomotives, and by the Second World War some 12,000 people worked the yards, with residential neighbourhoods growing up around the site. It closed in the 1970s and was something of a wasteland until recent redevelopment brought new housing, shops, smart offices and, now, an architecturally stunning gym, Studio Locomotion, slotted into the original shell of this vast building. Come here for yoga, pilates or a state-of-the-art workout and don't miss the little exhibitions by local artists and photographs of the rail yard buildings through the ages. Details: Studio Locomotion, 2600 William-Tremblay 133 (studiolocomotion.com). Jenx & Cie Run by an expat Scot, this shop in the hipster enclave of Mile End sells stylish T-shirts printed with icons and expressions unique to Montreal, such as the neon Five Roses Flour sign that tops the Ogilvie flour mill in the Old Port, or an abstract of the Cubist-looking housing complex designed by architect Moshe Safdie, for the 1967 Expo. My favourite is a shirt that reads "tabarnac", an incomparable Montreal expletive derived from the religious word "tabernacle". Details: Jenx & Cie, 51 Rue Bernard Ouest (montrealite-tshirts.com). Quartier des Spectacles This downtown district, where most of Montreal's festivals take place, is being regenerated to the tune of C$120m (£67m). Some may bemoan the loss of certain red-light destinations, but by 2012 lights of all colours will shine under a project to illuminate the façades of some 30 arts venues. A new Westin hotel (westinmontreal.com) is due to open in May in an old newspaper press building. Details: quartierdesspectacles.com. Insider's secret: François Perre François Perre is a television news director for the Canadian Broadcasting Corporation. "Atwater might be the Montreal market icon but, for me, the Jean-Talon Market is the best place in town for food shopping. And it's so much more than that. Deer burger, fresh calamari, foie gras or maple syrup cakes – the endless food stalls are the perfect place for a quick bite. This place is also my favourite Sunday destination; a hot spot for Montrealers seeking an easy lunch and a chance to bump into friends." Compact facts How to get there Sarah Barrell travelled to Montreal with British Airways (0844 493 0758; ba.com), which offers return flights from £388. Lofts du Vieux Ports (001 514 876 0081; loftsduvieux port.com), a new annex of the lovely old Auberge du Vieux in old Montreal, offers lofts ranging in size from studios to two bedrooms, all with kitchens and dining areas, from C$195 (£109) per night. Further information Montreal tourism (tourismemontreal.org). http://www.independent.co.uk/travel/americas/city-slicker-winter-in-montreal-1622138.html
  11. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200901/25/01-820797-des-contraventions-pour-les-insultes.php «Cochon», «poulet», «mangeux d'beignes»... Les Montréalais pourraient devoir y penser à deux fois avant d'insulter un policier. La Ville étudie la possibilité de sanctionner les injures adressées à ses agents de la paix. Comme il l'a annoncé à la mi-janvier, le conseil municipal doit aussi entériner demain soir une décision pour interdire le port d'un masque pendant les manifestations. De plus, La Presse a appris que la police de Montréal caresse l'idée de remettre des contraventions aux citoyens qui les insultent. Le contentieux de la Ville vérifie actuellement si ce règlement, en vigueur dans d'autres villes du Québec, serait applicable dans la métropole. «Le comité exécutif et nos avocats ont eu une première rencontre à ce sujet en novembre et doivent se rencontrer de nouveau en mars pour faire le point», a indiqué l'inspecteur-chef Paul Chablo, chef de la division des communications au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Au terme de l'analyse juridique, l'administration municipale décidera si elle souhaite modifier le Règlement sur la prévention des troubles de la paix, de la sécurité et de l'ordre publics. Le responsable de la sécurité publique au comité exécutif de Montréal, Claude Dauphin, se dit «sensible» à la question des insultes, mais n'a pas souhaité commenter davantage. «Nous en discuterons sous peu à la Commission de la sécurité publique, a-t-il dit. Il faut suivre toutes les étapes.» «Une notion de respect» La Fraternité des policiers et policières de Montréal a été la première à proposer à la Ville de sanctionner les insultes et injures à l'égard des policiers, selon son président, Yves Francoeur. Le syndicat en fait la demande depuis 2003. «Le but est d'inculquer la notion de respect envers les policiers, une notion qui se perd à Montréal», a affirmé M. Francoeur, en entrevue avec La Presse. Un règlement similaire est déjà en vigueur à Québec, à Sherbrooke et à Trois-Rivières. À Montréal, cela faciliterait le travail des policiers à la sortie des bars, estime le président du syndicat. «Le service de police est obligé d'envoyer des effectifs très importants boulevard Saint-Laurent. Or, si les policiers pouvaient remettre des contraventions à ceux qui les insultent, ça calmerait les ardeurs et ça empêcherait la situation de dégénérer.» Selon M. Francoeur, «il n'y a jamais eu autant de policiers intimidés, victimes de voies de fait et encerclés que depuis deux ans.» Manifestants masqués La Fraternité est également l'instigatrice d'un règlement qui doit être entériné demain soir au conseil municipal. La Ville veut interdire le port de cagoules et le recours à tout autre moyen de se masquer le visage dans les manifestations publiques. Le règlement serait adopté fin février. Le syndicat a formulé sa première demande au tournant des années 2000 après une violente manifestation dans les rues de Montréal. Un policier avait perdu l'usage d'un oeil après avoir reçu un projectile lancé par un manifestant cagoulé. «Logique et bon sens» «À ce moment-là, on n'avait aucun règlement pour intervenir avant que ça dégénère», a indiqué Yves Francoeur, qui souligne que les policiers de Québec bénéficiaient d'un tel pouvoir. En effet, le Règlement pour le bon ordre et la paix dans la Cité de Québec, adopté en 1865, interdit le port d'un masque sur la place publique. La direction du SPVM assure que, si le conseil municipal entérine la décision, les policiers appliqueront leur nouveau pouvoir «avec logique et bon sens». «Les manifestants qui se couvrent le visage d'un foulard en hiver ou qui revêtent un masque de politicien ne représentent aucun risque, a précisé Paul Chablo. À l'opposé, les gens qui portent un masque à gaz sont susceptibles de recevoir une contravention.»
  12. WTC in NYC : Recession could change the timeline By Julie Shapiro and Josh Rogers January 16-22, 2009 The Port Authority may try to delay the opening of some World Trade Center offices if the economy takes too long to bounce back, the agency’s leader said this week. The best way to ensure that Towers 2 and 3 are successful may be to phase them in over time, said Chris Ward, the Port’s executive director. “It would be naïve to think real estate can respond in the same way it was expected to respond in 2006,” Ward said in an hour-long interview with Downtown Express Tuesday. “It’s a different, different world.” If Towers 2 and 3 do not rise over the next several years, as was expected, Ward promised that something temporary would go in their place. One possibility is to build a retail-filled podium of several stories, then add the skyscrapers when the economy improves. Another possibility is to build a platform at grade. No matter what, the sites will not remain fenced off behind barriers indefinitely. “This will not be left a construction site,” said Ward, who took over the Port last May. “The last thing that’s good economically and the last thing for the community is to…have it feel like some pit.” The two towers are being developed by Silverstein Properties, which signed a 99-year lease with the Port for the World Trade Center two months before 9/11. Larry Silverstein, the firm’s head, has maintained that tough economic times are the ideal time to build offices. “By building now, even if demand for offices either Downtown or anywhere else in the city softens temporarily, we will be ready when the New York and U.S. economies rebound,” Silverstein wrote in a Downtown Express column two months ago. “And have no doubt — they will. They always do.” Silverstein Properties declined to comment Wednesday on Ward’s remarks. Ward said Tower 4 will be the easiest for Silverstein to build on time (2012) because it is the most economically viable — the city and the Port have already agreed to lease two-thirds of the office space from Silverstein. Ward said he was optimistic the incoming Obama administration, which is emphasizing economic stimulus, will back extending the deadline for the tax-free Liberty Bonds beyond the end of the year. Silverstein plans to use the bonds for three W.T.C. office towers and the Port will use them for the Freedom Tower, which is under construction. The bonds will be difficult to sell if they are put on the market long before the buildings’ openings. Ward also spoke Tuesday about the newly released quarterly milestones for the W.T.C. site. The Port met eight of its nine goals for the fourth quarter of 2008 and set nine more goals for this quarter. The one goal the Port did not meet was to turn over the excavated sites for Towers 2, 3 and 4 to Silverstein so he can build the towers. The Port initially said in October that the sites for Towers 2 and 4 were ready, but Silverstein disputed that, and an arbitration panel ruled last month that the Port had more work to do. The largest problem was a 200-foot wall the Port left standing right where a column for Tower 4 needed to go. Ward told Downtown Express that he knew the wall needed to come down, but he thought Silverstein had enough space to work around it and build other parts of the tower’s foundation first. He acknowledged Tuesday that the Port may have overstated its case. “If we were overly aggressive in that assertion, it was in the sense that we were paying a lot of money in the failure to deliver [the site],” Ward said. The Port is paying Silverstein $300,000 a day until the sites are cleared and ready for construction under an agreement renegotiated in 2006. The Port also missed another deadline at the end of the year for work on the sites for Towers 2 and 3 and has racked up $60 million worth of fines to date for missing the June and December 2008 deadlines. As a result of the arbitration, the Port and Silverstein have agreed on more detailed guidelines to determine when the sites are done. Ward said the No. 1 lesson he learned from the arbitration was that communication is essential. “If we’d been there earlier, better and more often, I don’t think we’d have come to this problem,” Ward said. It’s the same lesson he’s learned with the community and the public as a whole, whether it’s about street closures or the site’s schedule and budget: The more upfront the Port can be, the better. But no matter how candid Ward is, many New Yorkers won’t believe in progress at the site until they see it with their own eyes. “There’s such a cynicism that’s in society right now about building,” Ward said, referring to other major construction projects as well. “That’s just bad for the city, to have the feeling we’re not really building.” Ward expects the perception to change between the middle and end of the year, as steel for the memorial rises above street level and the Freedom Tower continues to grow. This is a critical year for the project, as work shifts from excavating behind construction barriers to pushing steel skyward, Ward said. The quarterly milestones are part of Ward’s effort to gain the public’s trust that he will meet the revised schedule for the site, announced last fall. He hopes to add more detail to the milestones and release the goals further in advance, providing a detailed map the public can trace toward completion. Looking ahead, Ward does not foresee any engineering or planning crises, but he said meeting the deadlines will come down to teamwork and timing — along with good weather. “There’s no leisure to it,” Ward said. “You can’t take a week off. You can’t think about, ‘I’ll make that up later….’ Those days for this project are literally over.” One potential source of delay is 130 Liberty St., the contaminated former Deutsche Bank building that stands right where the Vehicle Security Center will go. The Lower Manhattan Development Corp. recently announced another delay of six weeks to three months on the building’s demolition, and that in turn will delay the Vehicle Security Center by the same amount of time. “Unfortunately, there’s not a lot that can be done without having it completely down,” Ward said. As construction of the Trade Center progresses, the many projects crammed onto the 16-acre site will continue coming into conflict over the limited space and resources. Ward described his priorities for the site whenever those conflicts arise, and for him, it all goes back to getting the memorial plaza open by the 10-year anniversary of 9/11. Opening the memorial leads to the priority of finishing the PATH Hub and Vehicle Security Center, which will both open after the 10-year anniversary but will be important to getting people on the site. The 10-year anniversary also made the Port prioritize Greenwich St., the site’s north-south spine, which people will use to access the memorial. After that comes the office towers: the Port’s Freedom Tower and Silverstein’s Towers 2, 3 and 4. Finally, Ward listed the site’s other projects, like Liberty Park and the performing arts center, which are not as integral to the plan. One conflict the Port has already resolved required the redesign of the Santiago Calatrava’s PATH hub. To open the memorial on time, the Port added some columns to Calatrava’s belowground mezzanine, enabling workers to build the roof of the mezzanine first, which gives the memorial a floor. Silverstein, the city and the memorial foundation all lobbied the Port to scale back the $3.2 billion station further, but Ward said that was much more difficult than it seemed because everything is interconnected. “You couldn’t simply say, ‘Make it smaller,’” Ward said, “because then it would have an implication for how much mechanical equipment could you put below-grade, which affected whether or not you could pump the amount of water that you need to pump to make the fountains work…. Probably a fair number of people think we didn’t do enough, but I think we struck the right balance.” Ward is also trying to balance the community’s concerns with his goal of keeping the project on schedule. Nowhere is that clearer than Vesey St., which the Port had said might have to close between Church St. and W. Broadway for utility work. “At some point, for hopefully a limited amount of time, it will have to close, and that’s just a fact of life,” Ward said Tuesday. He expects the closure to last less than a year. More than 15,000 pedestrians use Vesey St. during the morning rush hour, pouring out of the temporary PATH station at Greenwich St., and Ward said he would try to minimize the impact of the closure by keeping the Vesey St. pedestrian bridge open. The community is particularly concerned about Vesey’s closure because the Port is definitely closing Liberty St. on the south side of the site at the end of this year. Liberty St. will be closed for much longer than Vesey St., but the two closures will likely overlap.
  13. Le port de Sept-Îles a connu une hausse de 6 % des transbordements au cours de la dernière année. Toutefois, les perspectives de croissance s'annoncent moins bonnes en 2009. Pour en lire plus...
  14. Le port de mer de Gros-Cacouna a enregistré en 2008 une baisse de l'ordre de 30% du volume de marchandises transbordées. Pour en lire plus...
  15. Année record pour le port de Montréal 5 janvier 2009 - 13h05 Qui réclame l'appui du fédéral - Année record pour le port de Montréal Le trafic total du port de Montréal devrait totaliser plus de 26,6 millions de tonnes, en hausse d'environ 2,5 pour cent en comparaison de 2007. La Presse Canadienne MONTRÉAL _ La direction du port de Montréal, qui affiche une année record en 2008, réclame du gouvernement fédéral qu'il investisse rapidement dans les projets des portes d'entrée continentale et sur l'Atlantique. Le président-directeur général de l'Administration portuaire de Montréal (APM), Patrice M. Pelletier, dit espérer que le gouvernement ira bientôt de l'avant avec son projet d'investir 2,1 milliards $ dans les portes de commerce et, principalement, dans les corridors du Saint-Laurent et des Grands-Lacs, question de contribuer à combattre la récession. Par ailleurs, selon les chiffres préliminaires, l'année 2008 a été une année record pour le port de Montréal qui a connu une croissance supérieure aux 10 principaux ports à conteneurs de l'Amérique du Nord. Le trafic de conteneurs devrait atteindre 1 460 500 conteneurs EVP (équivalent vingt pieds) soit une croissance de 7,2 pour cent en 2008, un résultat qualifié d'exceptionnel par la direction du port. Le trafic total du port de Montréal devrait totaliser plus de 26,6 millions de tonnes, en hausse d'environ 2,5 pour cent en comparaison de 2007 qui avait déjà été une année historique pour le port. M. Pelletier inaugurait officiellement lundi le début d'une nouvelle année d'activités au port de Montréal en remettant la Canne à pommeau d'or au capitaine Rossiter, du Royaume-Uni, commandant du Maersk Patras, premier navire océanique entré au port de Montréal sans escale en 2009. Le Maersk Patras avait quitté le port de Rotterdam, aux Pays-Bas, le 23 décembre dernier à 10h00, sous pavillon du Royaume-Uni.
  16. La direction du port de Montréal, qui affiche une année record en 2008, réclame du gouvernement fédéral qu'il investisse rapidement dans les projets des portes d'entrée. Pour en lire plus...
  17. Le port de Vancouver écope 29 novembre 2008 - 12h06 La Presse Philippe Mercure Si Montréal semble bien se sortir de la crise pour l'instant, la situation est différente à Vancouver. En milieu d'année, le Port de Vancouver avait déjà vu le volume total des marchandises manutentionnées reculer de 5% par rapport à un an auparavant. Directement branché sur la Chine, le plus important port au pays écope. Et doublement. «En temps normal, les matières premières vont en Chine, sont transformées et reviennent ici sous forme de biens de consommation, explique le capitaine Gordon Houston, président et chef de la direction du Port de Vancouver. Quand les Nord-Américains ne consomment plus, on voit donc l'impact des deux côtés. Si on cesse d'envoyer, on cesse de recevoir.» «La situation des lettres de crédit en Chine cause des problèmes au cours des dernières semaines. Plusieurs de nos produits - la pulpe de bois en particulier - ont subi un impact», dit aussi M. Houston. Sans compter la chute du prix des matières premières, qui ralentit temporairement les échanges. «On dirait que du côté des céréales, les acheteurs ont mis un frein aux achats parce qu'ils attendent de voir jusqu'où les prix vont descendre, croit le capitaine. C'est une question de spéculation - ils vont devoir acheter les céréales à un moment ou à un autre.» Dans la boule de cristal? «Les premiers trimestres de l'année prochaine vont certainement être difficiles, répond M. Houston. Et si j'étais capable de vous dire ce qui va se passer au-delà de ça, je serais probablement assis dans un autre bureau... Honnêtement, je ne le sais pas.»
  18. Le Port de Montréal garde le cap 29 novembre 2008 - 11h52 La Presse Philippe Mercure «Quand on regarde le Baltic Dry Index.... C'est hallucinant.» Les turbulences que traverse le monde maritime, Patrice Pelletier les connaît bien. C'est pourtant avec sérénité que le PDG du Port de Montréal a accepté de faire le point sur la situation avec La Presse Affaires. Il faut dire qu'alors que plusieurs de ses concurrents de la côte Est affichent des décroissances, le Port de Montréal se maintient encore - de peine et de misère il est vrai - en territoire positif. La quantité de marchandise manutentionnée a augmenté de 0,3% au dernier trimestre par rapport à l'an dernier. En septembre, le Port était encore en avance de 4,5% sur l'an dernier. Le secret de la résilience? Patrice Pelletier l'attribue à la compétitivité de ses installations. «Quand il y a des difficultés, il faut que les lignes maritimes fassent passer leur marchandise par le chemin le plus compétitif. Et quand on veut accéder à l'Europe du Nord ou à la Méditerranée, Montréal est plus rapide par un nombre de jours importants.» Reste que le grand patron du Port de Montréal ne se raconte pas d'histoires. «On n'est pas aveugles, dit-il. C'est évident qu'il va y avoir des impacts. On ne peut pas nier qu'il y a une crise et qu'elle va continuer.» Un coup d'oeil plus minutieux aux chiffres du Port montre d'ailleurs que c'est son produit-vedette, le conteneur, qui sauve la mise avec une croissance de 10,9% au dernier trimestre par rapport à la même période l'an dernier. Le vrac liquide (pétrole, asphalte, produits chimiques), qui représente environ un tiers des marchandises manutentionnées à Montréal, a dégringolé de 18% au troisième trimestre; le vrac sec (acier, minerai, gypse, sel, sucre et autres) a stagné (+0,6%). Le Port avertit aussi que les difficultés du secteur de l'automobile risquent d'aggraver la situation du vrac sec en ralentissant les importations de minerai de fer. «Pour le vrac sec, ça va être une année en baisse, prédit M. Pelletier. Et nous, des baisses, on ne connaît pas ça.» Bref, l'heure n'est pas à la fanfaronnade. Le Port de Montréal a réduit ses prévisions de croissance de 7% à 5% pour l'année 2009. «On a des plans de contingence si on n'atteint pas ces chiffres-là. Si ça arrive, il va falloir regarder les dépenses, être plus productif pour avoir quand même un rendement intéressant malgré cette crise», dit M. Pelletier, qui écarte toutefois l'idée d'abolir des emplois si la situation se dégrade. Entre-temps, M. Pelletier compte sur le dollar canadien qui vient de baisser pour aider les exportateurs du pays à lui fournir des marchandises à expédier. Et surtout, pas question de revoir l'ambitieux projet de 2,1 milliards qui vise à tripler la capacité de manutention de conteneurs d'ici 2020. «On a comparé la durée des crises passées à celle de notre projet d'investissement. Et on a conclu qu'on continuait la marche vers l'avant. On doit s'assurer qu'en 2011 et 2012, on ait la capacité suffisante. Parce que la crise, elle ne va pas durer éternellement. Les chiffres vont revenir.»
  19. mtlurb

    Vancouver écope

    Si Montréal semble bien se sortir de la crise pour l'instant, la situation est différente à Vancouver. En milieu d'année, le Port de Vancouver avait déjà vu le volume total des marchandises manutentionnées reculer de 5% par rapport à un an auparavant. Pour en lire plus...
  20. S'il fallait un autre signe que l'économie mondiale entre en hibernation, le voici: les mers du globe sont devenues bien tranquilles. Moins de navires chargés de matières premières voguent vers les économies émergentes, moins de conteneurs remplis de jouets et de gadgets électroniques sont chargés en direction de l'Occident. Pour l'instant, le Port de Montréal réussit à garder la tête hors de l'eau malgré la crise. Et maintient le cap sur ses projets d'expansion. Pour en lire plus...
  21. «Quand on regarde le Baltic Dry Index.... C'est hallucinant.» Pour en lire plus...
  22. La décision devrait entraîner «moins d'une centaine» de mises à pied, a précisé le producteur d'uranium. Pour en lire plus...
  23. Des milliers d'autos dont personne ne veut 24 novembre 2008 - 06h00 La Presse Nicolas Bérubé Les Mercedes et les Toyota neuves brillent à perte de vue dans le port de Long Beach. Ces modèles 2009 viennent d'arriver d'Asie et semblent attendre d'être chargés à bord des camions qui les livreront chez les concessionnaires partout aux États-Unis. Or, rien ne bouge. Personne n'est preneur. «C'est une situation incroyable, explique Art Wong, porte-parole du port. Le port est un endroit où la marchandise est en transit. Ce n'est pas un entrepôt.» Il y a quelques mois, les consommateurs américains n'avaient plus les moyens de faire le plein d'essence. Aujourd'hui, ils n'ont plus les moyens de changer de voiture. Chute des ventes Les ventes de véhicules neufs ont chuté de 15% cette année, un record pour l'industrie. Les derniers mois ont été les pires: la déroute des banques a paralysé le marché du crédit, composante essentielle de la vente de voitures neuves. Dans le port de Long Beach, le deuxième en importance en Amérique du Nord après celui de Los Angeles, cette équation est visible à l'oeil nu. Les milliers de voitures, dont plusieurs sont toujours recouvertes du film protecteur apposé à l'usine, sont alignées au soleil - une vision surréelle. Sur plusieurs voitures, un autocollant indique la date limite à laquelle le film de plastique doit être enlevé. Bien souvent, la date est passée depuis plusieurs mois. Le phénomène a commencé à la fin de l'été. «Toyota nous a appelés. Puis Mercedes, et Nissan, explique M. Wong. Les compagnies voulaient louer de l'espace dans le port pour entreposer les voitures. C'est une demande inhabituelle, mais nous avons essayé de leur rendre service.» 120 hectares Le port a mis 120 hectares (1,2 kilomètre carré) à leur disposition. Depuis, les voitures arrivent chaque semaine et sont méticuleusement garées les unes près des autres. Les terrains doivent servir aux projets d'expansion du port l'an prochain. D'ici là, ils ont été transformés en stationnement à ciel ouvert. «Les constructeurs d'automobiles ont été pris de court par la vitesse de la détérioration de l'économie américaine, dit M. Wong. Je pense qu'ils vont s'ajuster. Ça va prendre quelques mois.» Les vendeurs d'automobiles neuves ont aujourd'hui des stocks pour trois ou quatre mois, comparativement à deux mois en moyenne l'an dernier. Tout semble indiquer que la tendance est appelée à se poursuivre. Vendredi, les économistes de l'Université du Michigan à Detroit ont prédit que les ventes d'automobiles seraient de 13,3 millions cette année, et de 12,2 millions l'an prochain, la pire prédiction depuis 25 ans. Des tonnes de carton Les voitures ne sont pas les seules marchandises entreposées au port de Long Beach. Près des quais d'embarquement, des centaines de tonnes de carton sont empilées. Le carton est normalement envoyé en Chine, où il est recyclé et sert ensuite à emballer des produits électroniques. Le ralentissement de la production a fait chuter la demande de carton de recyclage. D'où l'accumulation de la matière, qui gît depuis des mois sous le soleil de la Californie. «Nous sommes au carrefour de la mondialisation, explique M. Wong. Quand les choses changent, nous sommes souvent les premiers à le constater. Pour le moment, c'est assez impressionnant à voir. Et ce n'est pas très rassurant.»
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