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  1. Wow, disons que la norvège a de grande ambition pour son réseau autoroutier. 47 milliards pour une population de 5.3 millions d'habitant, disons que c'est tout un défi ! Pendant ce temps on se demande si on devrais doté Montréal d'une ligne rose.. Disons que les ingénieurs norvégiens ne semble pas appeurer des défi collossaux que le projet a.
  2. Le réseau routier croule plus vite qu'on ne peut le réparer Pont fermé sur l'autoroute 20, à Saint-Hyacinthe. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE BRUNO BISSON La Presse Le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports (MTMDET) ne parviendra pas à freiner la détérioration des ponts, des structures et des chaussées de son réseau routier dans les prochaines années, même s'il réalise tous les chantiers prévus jusqu'en 2020, qui totalisent près de 5 milliards. Dans un avis transmis au sous-ministre des Transports Marc Lacroix, au début de cette année, un comité formé de trois experts indépendants brosse un portrait préoccupant de la capacité financière et opérationnelle du Ministère à atteindre les cibles fixées pour améliorer l'état de ses ponts et de ses chaussées. Ces trois experts étaient appelés à fournir un avis sur la programmation 2018-2020 des travaux routiers du MTMDET, annoncée en mars dernier. Cette programmation prévoit des investissements de 4,8 milliards pour financer la construction ou la réfection de 674 ponts sur le réseau routier supérieur, 263 ponts sur les réseaux municipaux (un total de plus de 2000 chantiers). Se réjouissant de l'augmentation prévue du niveau d'activité par rapport à l'exercice précédent, le comité conclut toutefois que «même si tous les travaux programmés étaient pleinement réalisés, le résultat ne permettrait pas d'atteindre les cibles du plan stratégique 2017-2020 à l'égard du pourcentage des structures et des chaussées en bon état. En fait, il y aura une détérioration au cours des prochaines années, selon les prévisions du Ministère». Des progrès compromis Ce comité est formé par Jean Bédard, professeur de comptabilité et gouvernance des sociétés à l'Université Laval, Jacques Girard, ingénieur et expert en travaux routiers et en normalisation, et Louis Lévesque, ancien sous-ministre de Transport et Infrastructure Canada. C'est la deuxième fois que ces experts sont appelés à se pencher sur les travaux du MTMDET. «Le volume des travaux réalisés dans les deux dernières années est insuffisant pour maintenir les progrès observés au cours de la dernière décennie au chapitre de l'état des structures et du réseau routier.» - Extrait de l'avis sur la programmation 2018-2020 des travaux routiers du MTMDET Ces progrès ont été permis par l'injection de dizaines de milliards de dollars dans un vaste plan de redressement du réseau routier lancé il y a 10 ans «en réponse à l'effondrement du viaduc de la Concorde» à Laval en 2006. L'effondrement avait fait cinq morts et six blessés graves et avait mis en lumière la vulnérabilité d'un réseau routier ayant souffert d'un manque d'entretien flagrant durant des années. Les améliorations obtenues au terme de ces investissements colossaux sont toutefois fragiles, disent les experts, comme en témoignent les difficultés rencontrées par le Ministère l'an dernier. Les inondations du printemps 2017 et le conflit de travail dans l'industrie de la construction ont ralenti les chantiers du MTMDET. Ces problèmes étaient largement hors de son contrôle, mais le ralentissement qu'ils ont provoqué ne peut pas être rattrapé. «Cette réduction des travaux réalisés en 2017 aura un impact négatif permanent sur l'état du réseau, expliquent-ils, puisque les travaux effectués en 2018, qui auraient dû être effectués en 2017, retarderont d'autres travaux à 2019, et ainsi de suite.» Manque de compétence et de main-d'oeuvre Pour assurer la réalisation d'un volume de travaux suffisant pour améliorer l'état des ponts et chaussées du Québec, les experts plaident pour «une augmentation de la capacité opérationnelle et des ressources financières du Ministère», tout en identifiant une de ses principales faiblesses : «des carences au niveau des ressources humaines, en nombre ou en compétence, ont un impact important sur la capacité à préparer des projets». Le Ministère a de la difficulté à recruter et à retenir sa main-d'oeuvre, particulièrement en région, affirment-ils. Et lorsqu'il arrive à convaincre des professionnels compétents d'y travailler, ceux-ci «se voient convoiter par plusieurs employeurs, dont de grandes sociétés privées offrant des conditions très avantageuses». Appelé à commenter cet avis du comité d'experts indépendants, le Ministère, qui est actuellement sans ministre à la suite des élections de lundi dernier, n'a pas répondu hier à l'invitation de La Presse. https://www.lapresse.ca/actualites/201810/04/01-5199139-le-reseau-routier-croule-plus-vite-quon-ne-peut-le-reparer.php
  3. La Russie à officiellement ouvert le pont entre la Crimée et la Russie hier. Le pont le plus long de l'Europe, avec ses 19km. Construit en seulement 2 ans. Wow https://www.rt.com/news/426774-crimea-bridge-opening-ceremony/
  4. Pont du Château Champlain Réfection du pont du Château Champlain
  5. Denis Coderre ouvert à l'instauration de péages sur les autoroutes <time datetime="2016-11-25T01:12:26Z" data-datetimelastpublished="2016-11-25T01:12:26Z">Publié le jeudi 24 novembre 2016 à 20 h 12</time> <figure class="bunker-component image-from-url-with-caption" data-component-name="ImageFromUrlWithCaption"> <figcaption> Des voitures avancent à pas de tortue sur une autoroute. Photo : iStock / iStock </figcaption> </figure> Alors que la Ville de Toronto plaide pour le péage, le maire de Montréal Denis Coderre ne ferme pas la porte à cette idée pour financer le transport collectif dans la métropole. Son homologue de Toronto, John Tory, a annoncé jeudi son intention de faire payer les automobilistes pour circuler sur deux autoroutes de la ville. Selon lui, c'est le seul moyen de financer l'amélioration des routes et du système de transport en commun. Le maire de Montréal dit avoir d'ailleurs discuté de cette question avec John Tory lors de leur mission économique en Israël et en Cisjordanie plus tôt ce mois-ci. Il affirme toujours être contre un péage pour le pont Champlain, mais il en va autrement lorsqu'il s'agit de financer le transport collectif. Il soutient que la Commission métropolitaine de Montréal (CMM) et la future Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) devront avoir une réflexion sur tous les moyens de financer le transport collectif. « Pourquoi j’étais contre le péage sur le pont Champlain? Parce qu’on voulait financer un pont, pas le transport collectif. Mais quand vous avez eu le pont de l’autoroute 30 ou de l’autoroute 25, ça les gens peuvent embarquer. Comme président de la CMM, je veux qu’on ait une réflexion à ce sujet. » Les tenants du transport collectif se réjouissent des propos du maire. « Le financement du transport collectif, c’est la clé pour offrir un service nettement amélioré dans la grande région métropolitaine. On en a besoin. Il faut avoir les moyens de ses ambitions. Toronto le prouve, il faut que Montréal fasse la même chose », affirme la porte-parole d'Alliance Transit, Coralie Deny. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1002105/denis-coderre-ouvert-instauration-peages-routes
  6. Publié le 18 novembre 2016 à 20h52 | Mis à jour le 18 novembre 2016 à 20h52 Tunnel La Fontaine: pas de PPP, martèle le Parti québécois Le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine est un axe majeur de la région métropolitaine. Il s'agit du seul lien entre l'île de Montréal et la Rive-Sud dans l'est de l'île. Plus de 130 000 automobilistes et camionneurs empruntent le tunnel chaque jour. Photo archives La Presse Louis-Samuel Perron La Presse Le ministère des Transports devrait écarter complètement la possibilité de réparer le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine en partenariat public-privé (PPP), puis d'imposer un péage, selon le Parti québécois. «C'est incompréhensible ! Qu'ils réfléchissent à ça, c'est un non-sens ! Ils ne devraient même pas penser à ça. Non, il n'y en aura pas! C'est ça qu'il faut dire!», fulmine le député péquiste Alain Therrien. La Presse a dévoilé vendredi que le MTQ envisageait d'effectuer en mode PPP la réfection majeure du tunnel, un projet de plusieurs centaines de millions de dollars. Dans un appel d'intérêt publié lundi et destiné aux entrepreneurs et firmes de génie-conseil, le MTQ met sur un pied d'égalité trois modes de réalisation du projet, soit le mode traditionnel, le mode conception-construction et le mode conception-construction-entretien-financement. Le second mode s'apparente à celui choisi dans le projet Turcot, alors que le troisième est un PPP. Les entreprises sont appelées à répondre à ce sondage de marché pour vérifier leur intérêt pour ces trois modes de réalisation. Ils devront remettre des montages financiers pour chaque mode au MTQ. Ainsi, toutes les options sont sur la table, même celle d'effectuer la réfection majeure du tunnel en PPP. La question du péage n'est pas abordée dans cet appel d'offres. Au cabinet du ministre des Transports Laurent Lessard, on maintient qu'une décision n'est pas encore prise, sans exclure toutefois la possibilité de faire le projet en PPP. «On ne se positionne pas. C'est une étude d'opportunité dans le fond. On veut analyser l'ensemble des situations. Est-ce qu'il y a des choses qu'on ne veut pas ? On veut laisser les chiffres parler. On veut regarder l'ensemble des scénarios. Une fois que ces scénarios seront documentés de façon rationnelle et cartésienne, le conseil des ministres prendra une décision», a indiqué Mathieu Gaudreault, attaché de presse du ministre Lessard. Le porte-parole de l'opposition officielle en matière d'économie Alain Therrien dénonce vivement cette décision du ministre Lessard. «On s'est battu pour qu'il n'y ait pas de péage sur le pont Champlain, et là on sort d'un chapeau la possibilité d'un péage sur un pont de la Rive-Sud? L'expérience des PPP a été très très mauvaise dans l'ensemble de l'oeuvre, autant au CHUM que les autres fois. Ça n'a pas donné le résultat escompté. Ça fait juste monter la facture. Il faut verser des profits à ces entreprises. Que ce soit les usagers ou les contribuables, il faut que le profit soit versé. Ça fait en sorte que le projet est plus cher», dénonce le député de Sanguinet. Le président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) Christian Daigle dénonce également l'option du PPP. «Ça nous inquiète au plus haut point. Pour nous, il n'y a aucune logique à aller en PPP, ou donner ça à une compagnie privée pour l'ensemble de la gestion. On l'a vu avec le pont de la 25, avec la 30, c'est des scandales, des hausses rapides de coûts avec la 25. Qu'est-ce qui va se passer avec le tunnel ?», s'inquiète le dirigeant syndical. Le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine est un axe majeur de la région métropolitaine. Il s'agit du seul lien entre l'île de Montréal et la Rive-Sud dans l'est de l'île. Plus de 130 000 automobilistes et camionneurs empruntent le tunnel chaque jour. Selon le MTQ, il faut refaire rapidement le tunnel de «fond en comble». Résultat : les travaux pourraient durer jusqu'à quatre ans, rendant le tunnel «relativement inaccessible» pendant une période de temps indéterminée. Les travaux débuteront au plus tôt en 2019, puisque le MTQ s'est engagé à ne pas commencer les travaux tant que le nouveau pont Champlain ne sera pas inauguré, en décembre 2018. Tunnel La Fontaine: pas de PPP, martele le Parti quebecois | Louis-Samuel Perron | Montreal
  7. http://journalmetro.com/local/ile-des-soeurs/actualites/1008609/du-surf-sur-le-fleuve-grace-au-pont-champlain/ 15/08/2016 Mise à jour : 15 août 2016 | 16:40 Du surf sur le fleuve grâce au pont Champlain? Par Colin Côté-Paulette Montréal pourrait devenir la capitale mondiale du surf de rivière s’il n’en tenait qu’à Hugo Lavictoire, le propriétaire de Kayak sans Frontières (KSF). L’entrepreneur aimerait profiter des travaux de construction du nouveau pont Champlain pour aménager des vagues artificielles et ainsi attirer des touristes sur les berges de la métropole. «On pourrait prendre un pont de 5 G$ destinés aux automobilistes et l’adapter pour en faire une infrastructure qui inclurait un plus grand nombre de citoyens, dont les milliers de gens qui font du surf sur le fleuve», indique M. Lavictoire. Le président de KSF estime que la machinerie déjà en place pour les travaux sous-marins pourrait aussi être utilisée pour installer une structure en forme d’entonnoir au fond du fleuve. Cette pièce créerait de nouvelles vagues éternelles pour les surfeurs et kayakistes, comme celles bien populaires à Habitat 67 et la célèbre «vague à Guy» à LaSalle. À ce sujet: Pour M. Lavictoire, les piles du nouveau pont Champlain pourraient aussi servir d’aires de repos, puisque les structures créent un contre-courant et permettent de remonter facilement le fleuve, de manière sécuritaire, selon lui. «Ça serait quoi d’ajouter 1 M$ au projet pour que Montréal devienne la capitale du surf de rivière. Les retombées économiques seraient plus grandes que celles du Grand Prix, on peut faire du surf neuf mois par année ici, pas seulement une fin de semaine», soutient-il. Olivier Barrette, un membre influent de la communauté de surfeurs montréalais qui parcourt les vagues du monde, voit le projet d’un bon oeil. «Ça fait longtemps qu’on parle d’ajouter des vagues dans le fleuve. Ce n’est pas exagéré, je pense qu’après Munich, on est le 2e pôle de surf de rivière dans le monde. On a plus de surfeurs en tout cas», souligne-t-il dans une entrevue en plein tournage d’une publicité de surf à Burlington. Il prend en exemple certaines villes américaines et allemandes qui ont réussi l’implantation de vagues artificielles dans leurs rivières. Un sport en «implosion» «En ce moment, on est victime de notre succès, le sport implose par sa popularité. Les vagues statiques peuvent être surfées plus longtemps que les vagues dans les océans, alors c’est très populaire», précise Hugo Lavictoire. Il estime que KSF a accueilli entre 200 et 300 touristes cet été, dont plusieurs durant le weekend chaud et ensoleillé du festival de musique Osheaga au début du mois d’août. «On aurait avantage à bonifier l’offre touristique pour s’adresser à une clientèle jeune», croit la gestionnaire des relations publiques à Tourisme Montréal, Andrée-Anne Pelletier. Selon les données Cities, les milléniaux (18-34 ans) représentent 42% des touristes venus à Montréal en 2014. M. Barrette raconte qu’il a même croisé plusieurs hommes d’affaires qui choisissent de faire leurs réunions à Montréal au lieu de Toronto, pour aller profiter des vagues en passant. Impacts: des environnementalistes se prononcent L’achalandage qui découle de la popularité de la vague à Guy joue présentement un rôle dans l’effritement des berges du site, en raison des nombreux adeptes du surf. Toutefois, l’implantation de nouvelles vagues pourrait avoir des effets positifs, selon le directeur de l’organisme Héritage Laurentien, Jason Di Fiore. «Une nouvelle vague viendrait réduire la pression sur les deux sites, mais ça doit être bien fait. Il doit y avoir une étude d’impact adéquate au préalable», explique-t-il. Un changement de courant dans le fleuve, mal dirigé, pourrait troubler les zones de fraie de certaines espèces de poissons. L’accès à l’eau des sites devrait également être amélioré d’après M. Di Fiore. Pour le coordonnateur du Mouvement ceinture verte, Sylvain Perron, l’important est d’avoir une cohérence entre les groupes sportifs et environnementalistes. «Si on officialise le statut de Montréal comme ville de surf, on peut réglementer pour limiter les impacts. Les groupes sportifs pourraient contribuer au nettoyage des berges par exemple», avance-t-il. Le site de la «vague à Guy» sera réaménagé par la Ville de Montréal quelque part entre 2017 et 2019, à la suite de consultations publiques qui ont eu lieu en janvier dernier. Le Réseau des grands parcs de Montréal prévoit, entre autres, l’aménagement d’un escalier de pierres pour freiner l’érosion des berges, la déviation de la voie cyclable et l’ajout de services publics comme une aire de repos et des toilettes. Comme le projet de M. Lavictoire n’est pas encore présenté concrètement, aucun représentant de la Ville ou d’Infrastructure Canada n’a voulu se prononcer.
  8. Une vaste aire de stationnement située entre les rues Saint-Antoine, Saint-Jacques, Mansfiled et les voies ferrées du CN, au centre-ville, sera transformée en terminus d’autobus temporaire. Les travaux d’aménagement du site de 5500 mètres carrés par l’Agence métropolitaine de transport (AMT), qui doivent coûter 2,7 M$ au ministère des Transports du Québec, ont débuté lundi et doivent être terminés en novembre. La création du terminus Mansfield a pour objectif de favoriser le transport collectif et d’alléger la congestion routière dans le contexte des grands chantiers routiers en cours dans la région de Montréal, comme ceux du pont Champlain et de l’échangeur Turcot. Ainsi, les chauffeurs de plusieurs lignes d’autobus à destination de la Rive-Sud et de la Montérégie prendront des passagers à six quais d’embarquement et attendront leur heure de départ à quatre postes de régulation. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985820/nouveau-terminus-dautobus-au-centre-ville/
  9. Une nouvelle qui a passée sous le radar. Montréal dépensera 100 M $ pour un nouveau pont à l’île Bizard La Ville de Montréal consacrera 100 millions $ pour remplacer le pont Jacques-Bizard, de l’arrondissement de L’Île-Bizard-Sainte-Geneviève, qui date de 1966. L’adoption du règlement d’emprunt, mercredi, «permettra de rénover le pont actuel et d’en construire un nouveau pour éviter toute interruption du lien routier», a dit le responsable des infrastructures au comité exécutif de la Ville de Montréal, Lionel Perez, par communiqué. Le pont actuel compte trois voies de circulation, une voie cyclable et un trottoir et est emprunté par 30 000 véhicules par jour. Le nouveau pont aura quatre voies, pour permettra de réduire les périodes de congestion. Les travaux ne débuteront pas avant 2018, pour prendre fin en 2020. http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/10/montreal-depensera-100-m--pour-un-nouveau-pont-a-lile-bizard
  10. La passerelle se concrétise au-dessus du canal de l’aqueduc Deux grues géantes ont envahi ce weekend les trois voies du boulevard De La Vérendrye, pour la construction de la passerelle permettant de relier la piste cyclable de la rue Lapierre à celle longeant le boulevard Champlain. Cette passerelle constitue un des projets prévus par la Ville de Montréal pour accroître l’étendue du réseau cyclable sur l’île. De nombreux piétons et cyclistes ont hâte de pratiquer leurs sports favoris en franchissant le cours d’eau par la passerelle, au lieu d’un pont avec une circulation très dense de véhicules. Actuellement, cyclistes et piétons ne peuvent traverser le canal de l’aqueduc autrement que par le pont Knox, qui divise l’arrondissement et qui est situé plus loin à l’ouest de la rue Lapierre. «Ce sera bénéfique pour nos étudiants qui viennent de l’autre côté du canal et qui doivent faire un grand détour pour accéder au cégep. Des employés voient d’un bon œil la passerelle pour se rendre aux courts de tennis et notre club de marche veut l’utiliser», explique Claude Roy, directeur du cégep André-Laurendeau. Ces travaux sont réalisés par la firme Les Entreprises Michaudville, pour un montant totalisant 2 893 262$. Il y a installation de quatre lampadaires sur la structure et d’un autre à l’approche sud de la passerelle. «Il n’y aura pas de pilier au milieu. C’est un pont préfabriqué et la dalle se dépose sur les assises, de part et d’autre de l’aqueduc», explique la mairesse Manon Barbe. Détours et maintien de circulation Après une pause hivernale, la Ville de Montréal a repris les travaux amorcés l’an dernier afin de relier le Village des rapides au Cégep André-Laurendeau, à l’Aquadôme et au Théâtre Desjardins. Jusqu’à l’été 2016, il y a mise en place d’une structure d’acier et aménagement d’une piste cyclable dans le parc longeant le boulevard Champlain. Malgré le froid et les forts vents du weekend dernier, plusieurs travailleurs s’affairaient à l’assemblage d’immenses poutres, à la hauteur de la 1ère Avenue. L’entrepreneur doit procéder à différentes entraves à la circulation, selon l’évolution du chantier. Certaines nécessitent des travaux de fin de semaine et durant la nuit. «Des mesures sont prises pour en atténuer les inconvénients auprès des résidents riverains», explique Philippe Sabourin, relationniste de la Ville de Montréal. Parmi ces entraves, il y a fermeture de la voie de droite sur le boulevard De La Vérendrye en direction est et fermeture complète du boulevard Champlain, entre la 1ère et la 2 eAvenue, pour environ un mois. Un chemin de détour est aménagé sur la rue Broadway. La piste cyclable est légèrement déviée sur le côté sud du boulevard Champlain. Les riverains ont accès à leur propriété en tout temps. http://journalmetro.com/local/lasalle/actualites/942618/la-passerelle-se-concretise-au-dessus-du-canal-de-laqueduc/
  11. Une collaboration avait été formé avec acpnc et moi-méme, puis une 3e personne et nous avons soumis ce projet, un ascenseur écolo pour le pont Jacques-Cartier, dans le cadre du Concours d’idées en aménagement Moroh.o.polis. Le thème de l’édition 2016 était : *** Reconvertir Montréal Les équipes devront produire une proposition de reconversion d’un ensemble existant Montréalais sous forme de projet, système, stratégie constructive ou d’aménagement du territoire. Trouvez des solutions innovantes, repensez la façon dont on peut convertir les bâtiments existants, les infrastructures et le paysage. Et aussi réfléchir à des systèmes techniques et esthétiques qui font un usage responsable des énergies renouvelables. *** Voici le texte de notre manifeste et les croquis de notre proposition Manifeste Reconvertir le pont Jacques-Cartier Contexte • Construction débutée en 1925 pour relier la Rive-Sud à Montréal • Alimentation par les artères majeures telles que Papineau, De Lorimier et Notre-Dame • 35,8 millions de véhicules empruntent le pont chaque année • Icône et porte d’entrée importante de Montréal Problématique • Circulation véhiculaire bruyante, souvent congestionnée, engendrant beaucoup d’émanations de gaz carbonique • Îlots de chaleur nombreux à proximité • Intersections autour du pont sont peu sécuritaires et peu invitantes pour les piétons et cyclistes • L’accès actuel de la piste multifonctionnelle (piétonne et cycliste) est périlleux et du métro Papineau il faut se diriger vers le nord sur la rue Dorion, puis revenir vers le sud sur le pont (total de 1 km) • Barrière physique et psychologique, allant jusqu’à nuire à l’essor économique du secteur Solution Un ascenseur avec un observatoire adjacent au pont Une infrastructure au service des citoyens et adaptée à son milieu urbain • Ascenseur autoportant relié au pont, donnant un accès universel sécuritaire • Observatoire avec vue sur le centre-ville • Escalier avec une vue panoramique de 360 degrés à son sommet • Café-terrasse et toilettes publiques au pied de l'escalier • Panneaux solaires intégrés aux sommets des tourelles • Mur végétalisé sur l’observatoire • Parc linéaire aménagé avec plantations sous le pont • Écran interactif pour des annonces (nombre de véhicules sur le pont en temps réel avec équivalent en gaz carbonique…) • Pôle de loisirs : sportifs et culturels Avantages • Permettrait un accès direct, universel et attrayant au tronçon de la piste multifonctionnelle • Ajouterait une sortie supplémentaire en cas d’urgence • Encouragerait plus de gens à traverser le fleuve par la piste multifonctionnelle comme moyen de transport écologique et aiderait conséquemment à diminuer le nombre de véhicules • Favoriserait de meilleures habitudes de santé • Permettrait une plus grande fréquentation du parc Jean-Drapeau • Serait un attrait récréotouristique et un catalyseur de développement pour le quartier Image clée
  12. Dans le quartier Sainte-Marie À la sortie du pont Jacques-Cartier, face au parc des Faubourgs. Ce terrain est juste au nord de Church of Latter Day Saints. sent via Tapatalk
  13. Après le tunnel, la plus haute tour à condos en Amérique et le stade de baseball... un pont levant pour traverser le Saint-Laurent! http://www.les2riveslavoix.ca/actualites/economie/2015/12/8/l_entrepreneur-luc-poirier-finance-une-etude-pour-un-pont-entre-.html
  14. Aujourd'hui 24 Septembre on a inauguré un nouveau pont a Cadix en Espagne dans la province de l'Andalousie. Ce pont nommé Puente de la Constitution 1812 a couter 511 millions de Euro (environ 750 millions de $ canadiens.) Et a nécessité 8 ans de travaux beaucoup de modification au projet original mais quand meme c'est pas tellement cher payer pour un tel ouvrage. Ce pont a été construit par la firme de construction et d'ingénierie Dragados. Beaucoup critiqué ce pont mais quand meme un très bon résultat pour un pont de 5 kilometres de long et haut de 185 metres de hauteur. Le plus haut d'Europe pour la hauteur entre le niveau de l'eau et la travée (65 metres) et le deuxième plus haut du monde pour la hauteur permettant le passage des navires apres le pont Verazzano a New York. http://www.rtve.es/alacarta/videos/programa/24h-puente-cadiz-240915/3297800/
  15. Financer la venue d'événements sportifs internationaux à Montréal, renoncer au péage sur le pont Champlain, des centaines de millions pour le transport en commun, les routes et le logement social: le maire Denis Coderre a présenté sa liste d'épicerie aux partis fédéraux dans le cadre de la campagne électorale. La liste de la Ville de Montréal compte pas moins de 26 demandes, dont plusieurs requièrent des millions d'Ottawa. Le maire a présenté cette liste alors que les chefs des principaux partis commenceront à défiler à l'hôtel de ville. «On a besoin d'entendre les partis, on ne veut pas juste des consultations plates. On veut vraiment que les chefs se prononcent s'ils croient vraiment en Montréal», a déclaré le maire Coderre ce matin lors d'une réunion du comité exécutif. Le chef du Parti libéral du Canada Justin Trudeau rendra ainsi visite à Denis Coderre, avec qui il s'entretiendra des demandes de Montréal en matière fédérale. Une rencontre avec le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe est prévue le 14 septembre et ce n'est qu'une question de temps avant que des dates soient fixées avec le chef du NPD Thomas Mulcair et la chef du Parti vert Elizabeth May. Le cabinet du maire dit n'avoir toujours pas reçu de réponse de l'entourage du premier ministre sortant et chef du Parti conservateur, Stephen Harper. «Le message a toujours été passé avec Stephen Harper, s'il ne vient pas, il manque quelque chose», a déclaré le maire Coderre lors de sa rubrique hebdomadaire du mercredi. «Peu importe, on est en contact continuellement avec Denis Lebel (le lieutenant politique de Harper au Québec) et si le chef du Parti conservateur croit en Montréal, ça va nous faire plaisir de l'accueillir.» Demandes de Montréal Transport en commun 200 millions récurrents pour Montréal -Financement pour les projets de SLR sur le pont Champlain et le Train de l'Ouest Infrastructures 342,5 millions pour Montréal sur 10 ans Postes Canada Rétablissement de la livraison du courrier à domicile Logement social Tripler les montants alloués à Montréal, pour les faire passer de 8 à 24 millions 185 millions annuellement pour la construction, l'entretien et la rénovation de logements sociaux Sécurité Rétablir un Fonds de financement des services policiers de 10 millions par an Financement annuel de 1 million pour le Centre montréalais de prévention de la radicalisation Femmes autochtones Mettre en place une commission d'enquête sur la disparition de femmes au Canada Développement économique Maintien de l'aide au secteur aérospatial de Montréal Davantage de soutien aux grappes industrielles de Montréal 375e anniversaire de Montréal Contribution directe aux festivités du 375e, Ottawa ayant mit 110 millions dans les festivités du 400e de Québec Pont Champlain Abandon du péage sur le futur pont Champlain Port de Montréal Transférer la responsabilité du Vieux-Port à la Ville Soutien du projet de restauration de la Gare maritime Iberville et de la jetée Alexandra Métropole internationale Financement d'événements sportifs internationaux Radio-Canada Réinvestir dans Radio-Canada Sites d'injection supervisée Respect de la décision de la Cour suprême http://www.lapresse.ca/actualites/elections-federales/201509/02/01-4897254-denis-coderre-presente-sa-liste-de-demandes-aux-partis.php
  16. Une passerelle «grandiose» à l’entrée du pont Jacques-Cartier? Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans. Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances. Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont. «Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro. C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours. «Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers». Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons. «La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante. Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère. La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle. «C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère. L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années. «Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière. «Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante. Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo). Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion. Une structure «grandiose» Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet. «Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière. «Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/#
  17. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  18. http://www.ledevoir.com/culture/television/438093/un-fleuve-une-ile-une-ville?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+fluxdudevoir+(Le+fil+de+presse+du+Devoir Un fleuve, une île, une ville 25 avril 2015 |Paul Cauchon | Télévision Photo: Le fleuve et son île Télévision Le fleuve et son île (dans le cadre de 1001 vies) Radio-Canada, samedi, 21 h Voilà, en accéléré, un excellent cours sur l’histoire de Montréal qui montre comment la ville s’est structurée autour du fleuve Saint-Laurent. Quand les premiers colons sont arrivés sur ce territoire occupé par les Amérindiens, il n’y avait pas de route : la route, c’était le fleuve. Et cette grande route était bloquée par les rapides de Lachine. La bourgade qui allait devenir Montréal était alors un lieu de transbordement pour les marchands, qui ne pouvaient franchir les rapides. Le documentaire s’attarde à quelques figures historiques, dont celle de Jeanne Mance dont on ne se rappelle jamais assez l’importance, figure de proue des premiers temps de la colonie. On survole quelques moments-clés : la Grande Paix de Montréal, la conquête britannique, la construction du pont Victoria, premier pont à franchir le fleuve, considéré à l’époque comme la 8e merveille du monde, le rôle joué par John Molson et ses bateaux, la construction du canal de Lachine, et un arrêt fort éclairant aux studios de Norman Notman, dont les clichés représentent aujourd’hui un témoignage fabuleux sur l’histoire de la métropole sent via Tapatalk
  19. J'ai trouvé cette photo dans les archives de Montréal. La note indiquait: Autoroute des Cantons-de-l'Est Sauf que je suis pas mal sûr qu'il y a erreur... Il n'y a pas de pont en pleine zone urbaine sauf Champlain... Quelqu'un reconnait l'endroit? http://depot.ville.montreal.qc.ca/vues-aeriennes-obliques-1960-1969/VM94-B001-001.tif
  20. Un petit oiseau nous a transmis les plans détaillés et finaux du tronçon de l'autoroute 15 entre Turcot et le nouveau pont Champlain. Comme toujours, nous vous encourageons à envoyer vos scoops ici: scoop @ mtlurb.com :shhh: P.S.: Toutes les images font 2000 pixels de large, n'hésitez pas à les ouvrir dans un autre onglet pour voir tous les détails.
  21. Projet résidentiel Dans le quartier Sainte-Marie, à côté de la piste cyclable sur René-Lévesque, prés du pont Jacques-Cartier
  22. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/francois-cardinal/201407/07/01-4781621-montreal-lanti-bilbao.php Montréal, l'anti-Bilbao Agrandir Trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent dans la Petite Italie, la place Shamrock a été inaugurée samedi. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE =author%3AFran%C3%A7ois+Cardinal&sort=recent"]FRANÇOIS CARDINAL La Presse On aurait dû profiter du remplacement du pont Champlain pour doter Montréal d'une oeuvre architecturale spectaculaire qui aurait fait «boum» et attiré les foules du monde entier... C'est le commentaire qui s'est retrouvé le plus souvent dans ma boîte de courriels, ces derniers jours, avec une foule d'images de ponts à couper le souffle conçus par des starchitectes comme Santiago Calatrava et Norman Foster. Plusieurs évoquent le Viaduc de Millau, parfois l'impressionnant pont à haubans Trinity River Bridge, puis citent l'exemple de Bilbao, cette ville espagnole peu connue et peu visitée, qui est devenue un épicentre touristique grâce à la construction d'un musée hors de l'ordinaire, signé Frank Gehry. Pourquoi pas Montréal? Parce qu'on ne copie pas ce qui se fait ailleurs pour se distinguer, d'abord. Parce que Montréal n'est pas Bilbao, ensuite. En fait, j'oserais même dire que Montréal est l'anti-Bilbao par excellence. Je comprends l'attrait pour les grandes vedettes de l'architecture. Je ne cracherais pas sur une oeuvre signée Renzo Piano, Zaha Hadid ou Rem Koolhaas, si tant est qu'une seule de ces vedettes se présentât ici. Mais c'est loin d'être une nécessité pour Montréal, dont la marque de commerce est tout sauf éclatante, tapageuse, spectaculaire. La métropole québécoise ne possède pas de grands boulevards haussmanniens, mais de jolies rues vibrantes comme Mont-Royal, de la Commune et de la Gauchetière dans le Quartier chinois. Elle n'a pas de belles artères comme l'Embarcadero de San Francisco ou les Ramblas de Barcelone, mais des avenues aux portions électrisantes, comme Saint-Denis, Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Elle n'a pas un musée Guggenheim qui fait la une des revues d'architecture, mais elle compte bon nombre de musées d'envergure et de festivals qui font sa renommée pour leur vigueur. Ne nous faisons pas des «à-croire», Montréal n'est pas une vibrante mégalopole qui attire les stars de la planète, ce n'est pas le haut lieu de la finance du continent, ce n'est pas une ville riche qui attire le gratin mondial ou son portefeuille, et donc il est normal que ce ne soit pas le lieu des constructions les plus audacieuses. Pourquoi, de toute façon, Montréal irait-il se battre sur ce terrain en se sachant entouré de plus prospères comme Toronto et Calgary, qui attirent justement les Foster, Gehry, Calatrava? Oui, on retrouve ici quelques oeuvres architecturales impressionnantes, comme Habitat 67 et le Stade olympique, mais ces emblèmes font partie du passé. Comme le statut de métropole du pays fait partie du passé. La force de Montréal, aujourd'hui, n'est pas dans le grandiose, mais dans ses plus petites et plus simples composantes: la qualité de vie, l'hétérogénéité de ses quartiers, le dynamisme de ses artères commerciales, le soin apporté au design de ses commerces, la place faite aux vélos, la qualité de sa bouffe bon marché, la vitalité de ses marchés publics, le vivre ensemble, l'impressionnante créativité de ses résidants, la vigueur de sa scène culturelle, l'énergie de ses festivals, etc. Autant de choses que l'on voit certes dans d'autres villes, mais qui atteignent à Montréal un niveau de concentration impressionnant pour une ville de cette taille. On l'a vu ce week-end encore, avec l'inauguration samedi de la place Shamrock dans la Petite Italie, un trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent inspiré par l'urbaniste danois Jan Gehl. L'exécution n'est peut-être pas à la hauteur des ambitions, mais l'intention d'animer l'espace public y est avec ce carrousel à vélos gratuit. Voilà qui fait très «Montréal», comme ces murales qui ont vu le jour sur la «Main» ces dernières semaines, les sculptures de Mosaïcultures que l'on recycle aux quatre coins du centre-ville depuis une semaine, les camions de bouffe bariolés, la place des Festivals et ses terrasses, les Piknic Electronik, les pianos publics du Plateau, etc. Il est d'ailleurs intéressant de noter qu'après avoir passé deux mois ici pour capter l'essence de Montréal, l'équipe du magazine allemand Flaneur n'a pas retenu le caractère «bling-bling» d'une grande artère commerciale dans sa dernière édition, dévoilée vendredi dernier, mais bien la beauté de la rue Bernard, l'intérêt de ses commerces et commerçants, la singularité de ses ruelles que David Homel qualifie d'«allées sournoises». Il n'y a absolument rien de misérabiliste à le souligner et le reconnaître, bien au contraire: la force de Montréal est d'être une ville à échelle humaine qui ne se prend pas pour une autre, simple, belle et réservée à la fois, une ville qui se découvre dans ses menus détails plus que dans ses artifices, une ville qu'il faut regarder sous toutes ses coutures pour en cerner les mérites et qualités. Comme le futur pont Champlain signé Poul Ove Jensen...
  23. Nom du projet : Esprit Description : Projet de construction de condos à Duvernay. Près du nouveau pont de la 25 et du pont Pie IX. Au 2935 Avenue des Aristocrates, Laval, Qc H7E 0E3 Site : http://condosesprit.com/ Image : http://www.presti.ca/img/condos-gallery-1.jpg
  24. Pas un concours, plutôt un appel à contribution pour bonifier une exposition de photographie qui va avoir lieu au parc Bellerive dans le quartier Sainte-Marie intitulée ''Le fleuve, le pont et l'Homme'' Voici les détails:
  25. http://www.havremontreal.qc.ca/fr/ Accueil La Société Historique et mission Statut et organisation Membres de la SHM Conseil d'administration Liste des administrateurs Règles de gouvernance [*]Le Havre de Montréal Territoire Histoire [*]Les partenaires [*]Les projets Projet Bonaventure - phase 2 et 3 Projet Bonaventure - phase 1 [*]Salle de presse Communiqués Documents de référence Rapport de fin d’activités Second mémoire de la Société – Nouveau pont pour le Saint-Laurent Le Havre de Montréal - Communiqué Mémoire de la Société - Nouveau pont pour le Saint-Laurent Rapport d’activités 2011 Le Havre de Montréal - «L’état des lieux » Le Havre de Montréal - Vision 2025 Le Havre de Montréal - “Rapport final et recommandations” [*]Banque d'images Pour nous joindre Info-Travaux La Société La Société du Havre de Montréal (SHM) est un organisme à but non lucratif créé par la volonté partagée des gouvernements fédéral et provincial, et de la Ville de Montréal de remettre en valeur le secteur du Havre, et de ramener la ville vers son fleuve. Pour ce projet économique, social et culturel d’envergure dans une zone urbaine stratégique pour l’avenir de Montréal, la SHM a élaboré la Vision 2025 dans laquelle des acteurs publics et privés ont inscrit leurs projets d’investissement. Ainsi, outre la concertation avec les entreprises, les institutions, les sociétés publiques et les arrondissements sur ce territoire de dix kilomètres carrés, la Société du Havre de Montréal s’est vue notamment confier par la Ville la planification du Projet Bonaventure. Ce projet comprend l’abattement de l’autoroute Bonaventure essentiel à ce grand retissage urbain du faubourg des Récollets et de Griffintown. Les nouvelles de la Société du Havre de Montréal - Voir toutes les nouvelles » La formation d’un conseil des partenaires La Société du Havre de Montréal est fière d’annoncer la formation d’un conseil des partenaires du Havre. Ce conseil permettra d’assurer la participation de tous à la révision et à la réalisation… En savoir plus » Démarrage des travaux ! La première phase du réaménagement de l’autoroute Bonaventure préconisée dans la Vision 2025 de la Société du Havre de Montréal passe à l’étape de réalisation! En savoir plus » Les actualités dans le Havre - Voir toutes les actualités » Le Hangar 16: un port des arts au bord du fleuve "À Montréal, il existe une forte demande de grands espaces pour organiser des activités extérieures ou intérieures." — Claude Benoit, présidente de la Société du Vieux- Port de Montréal Outre… En savoir plus » Vision Société du Vieux-Port de Montréal Un projet de plage dans le Havre de Montréal, la Société du Vieux-Port dévoile son site récréotouristique qui sera le plus achalandé au Québec En savoir plus »
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