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  1. 19/09/2016 : 19 septembre 2016 | 10:55 Les trois orchestres symphoniques reunis pour le 375e de Montreal | Metro <header id="page-header"> 19/09/2016 Mise à jour : 19 septembre 2016 | 10:55 Ajuster la taille du texte Les trois orchestres symphoniques réunis pour le 375e de Montréal Par Jessica Émond-Ferrat Métro </header> <figure> <figcaption> Denis-Carl Robidoux Le concert Montréal Symphonique se tiendra au pied du Mont-Royal le 19 août 2017 </figcaption> </figure> Dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal, l’Orchestre Symphonique de Montréal, l’Orchestre Métropolitain et l’Orchestre symphonique de McGill seront réunis sur une même scène pour le concert Montréal Symphonique, ont annoncé hier les organisateurs des festivités. Le chef d’orchestre Simon Leclerc (qui est à la barre des concerts de la série OSM Pop) dirigera les quelque 300 musiciens, chanteurs populaires et choristes qui feront partie du spectacle gratuit. Celui-ci se tiendra au pied du Mont-Royal, le 19 août 2017. Le concert sera composé de «chansons qui font écho à notre métropole», «sous le thème des saisons».
  2. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  3. Description Le Quartier M est un nouveau projet de 28 condos dans Mercier Hochelaga-Maisonneuve de 1, 2 ou 3 chambres allant de 689 à 1147 pi2. Le développement vous propose des unités familiales, le stationnement intérieur ou extérieur et une cour intérieure avec de grands espaces verts. Le Quartier M est situé près du Marché Maisonneuve, de la Promenade Ontario et du métro Pie-IX. Vous profiterez d'une vie de quartier grâce aux nombreux parcs et services accessibles à pied. Les condos sont en vente à partir de 156 400$ et presque toutes les unités sont admissibles à des subventions de la ville de Montréal (4500 à 10 000$). Les familles sont également admissibles au remboursement intégral de la taxe de bienvenue. Livraison à partir de Juillet 2014. Plus d'information à la page: http://www.mondev.ca
  4. Microcondos Une tendance qui prend de la place à Montréal Agence QMI Emmanuel Delacour 10/01/2012 17h28 - Mise à jour 13/02/2012 09h04 MONTRÉAL - Les microcondos, ces logements de 500 pieds carrés et moins, font leur apparition au centre-ville de Montréal et il faut s'attendre à les voir se multiplier d'ici les prochaines années. La hausse du prix des terrains au cœur de la métropole et le désir de se rapprocher des grands centres en amènent certains à faire un compromis quant à l'espace. Ils deviennent ainsi propriétaires d'un appartement dont la pièce principale sert à la fois de salon, de cuisine et de chambre à coucher. Et cette tendance est là pour rester selon Jacques Saint-Pierre, professeur de développement immobilier à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM. «Comparativement au reste du marché canadien, le prix des logements à Montréal reste en dessous de la moyenne. Ces dernières années un rattrapage s'est enclenché sur le marché immobilier montréalais et il va perdurer», a expliqué M. Saint-Pierre. Selon lui, la densification du centre-ville de Montréal ne ralentira pas et la demande pour des logements plus abordables va mener à de plus en plus de subdivision des immeubles existants, ainsi qu'à la création de plus petites propriétés. Cette demande provient en premier lieu des jeunes professionnels, souvent célibataires et sans enfants, qui veulent profiter de ce qu'offre un logement en plein milieu de Montréal. Cependant, il n'y a pas que des jeunes achètent ces microcondos. «Il y a quelques couples, souvent proches de la retraite, qui veulent s'offrir un pied à terre à Montréal. Ces gens peuvent avoir une résidence principale à la campagne et ils viennent en ville quelques jours par semaine», a expliqué Patrice Groleau, propriétaire de l'agence immobilière McGill immobilier. Le courtier immobilier est d'ailleurs l'un des premiers à mettre en vente un bâtiment offrant des microcondos à Montréal. Un des ses projets, le M9, est situé en plein Ville-Marie et a déjà vendu des dizaines de ces condominiums dont la taille se limite parfois à 350 p2. La valeur réelle? Bien que les microcondos coûtent moins cher aux acheteurs que le modèle traditionnel, il faut savoir que sa valeur au pied carré n'est pas amoindrie. Selon M. Groleau la valeur d'un logement de 350 pieds carrés peut être arrondie à 175 000 $, alors qu'un condo de 1000 pieds carrés tournera autour de 350 000 $. Ainsi, dans le microcondo, le pied carré se vend à 500 $, alors qu'il se vend 350 $ le pied carré dans un plus grand logement. Cependant, M. Saint-Pierre assure «la compétition est si grande sur le marché immobilier montréalais, que cette augmentation du prix au pied carré ne rapporte pas beaucoup plus aux promoteurs. Ceux-ci doivent investir dans un design intelligent afin de rendre ces petits espaces habitables.»
  5. La Presse Canadienne Publié le 31 mai 2011 Toronto Intact Financial (TSX:IFC) fait l'acquisition des activités canadiennes de la société d'assurance établie à Paris Groupe Axa pour 2,6 milliards $. Intact a affirmé mardi que l'acquisition d'Axa Canada - la sixième plus importante société d'assurance automobile, résidentielle et commerciale au Canada - accentuerait la valeur de ses primes perçues au Canada de 2 milliards $, à plus de 6,5 milliards $. Intact Financial, connue sous ING Canada avant son entrée en bourse en 2009, a dit avoir accepté de verser jusqu'à 100 millions $ de plus si Axa atteint ses objectifs de rentabilité sur cinq ans. L'entente doit augmenter les bénéfices d'exploitation par action de l'assureur canadien de 15 pour cent à moyen terme et la synergie après-taxe doit ajouter jusqu'à 100 millions $ par année. Charles Brindamour, président et chef de la direction d'Intact, a affirmé que l'acquisition accélérerait les efforts de la compagnie pour construire «un assureur canadien risques divers et propriétés de classe mondiale avec la capacité de réussir dans un environnement de concurrence accrue». Jean-François Blais, président et chef de la direction d'AXA Canada, a fait valoir que la transaction représente une «excellente occasion pour le groupe de joindre un leader canadien avec un passé de performance remarquable et des valeurs similaires». Intact, société installée à Toronto, a dit qu'elle complèterait l'acquisition avec 500 millions $ de ses propres capitaux, l'émission d'actions de 800 millions $ et le financement par le crédit de 1,3 milliard $. L'entente requiert l'approbation réglementaire et devrait être finalisée plus tard cette année. Groupe Axa, établie à Paris, compte 214 000 employés desservant 95 millions de clients à travers le monde. Axa Canada a 2300 employés et vend des assurances de maisons, d'automobiles et de commerces de même que des assurances-vie. Les actions d'Intact valaient 49,77 $, mardi, en baisse de 40 cents, ou moins d'un pour cent, par rapport à leur précédent cours de clôture. ----- Très mauvaise nouvelle pour Montréal. Nous perdons un autre siège social - une fois l'intégration complet, je m'attend à 300 mis à pied a Montréal avec l'exode des service comptable, légal, paie, ressource humaine etc.. De plus, les bureaux de Intact sont sur Crémazie et à St-Hyacinthe, donc le personnel non courtier qui reste seront probablement transféré hors du centre-ville. Présentement AXA occupe ~ 150,000 pied carrée dans la Tour AXA qui reprendra probablement le nom 2020 University bientôt.
  6. Nom: District Griffin Hauteur: 18 étages (tour bureaux/hôtel) et 20 étages (tour résidentielle) Coût du projet: Promoteur: DEVIMCO et Groupe Cholette Architecte: Emplacement: Young/Wellington/Peel/Smith* Début de construction: Printemps 2011 Fin de construction: Été 2013 Site internet: http://www.districtgriffin.com Lien webcam: Autres informations: *La portion bureaux est loué à 97.7% (septembre 2013) *La tour résidentielle aura front sur Smith *La tour bureaux/hôtel aura front sur Wellington *188 condos, *Hôtel Alt 154 chambres *100 000 pied carré d’éspace de bureau *50 000 pied carré d’espace commerciale *6 Restaurants *1 garderie Ancienne version :
  7. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201008/26/01-4309871-immobilier-industriel-flottement-post-recession-a-montreal.php
  8. Au Pied de Cochon 536 Duluth Est Montréal (Québec) H2L 1A9 Tél: 514.281.1114 A must try is the PDC Melting Pot, which has a lot of different types of meat from the pig. It is really filling thats for sure. The most well known dish is the duck in a can! I really need to try that out next time. I find it is reasonably priced for something quite unique. Also if you do go, please make a reservation. I will be posting other interesting restaurants later on Also if you like you can post some here also.
  9. Malek

    Malek vs Yara

    Encore plus évident: la famille idéale habite encore à Montréal??? :silly: :stirthepot:
  10. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  11. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  12. Terrains à vendre au pied de l'Oratoire Hugo Joncas, Les affaires Les terrains excédentaires de l'Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal attirent les promoteurs immobiliers. L'institution vient de vendre trois lots au constructeur de maisons de luxe Jean Houde et à la famille Elman, actionnaire majoritaire du fonds d'investissement en santé Persistence Capital Partners. Elle a obtenu près de 2,6 millions de dollars pour les trois terrains. L'Oratoire compte vendre sept autres terrains autour de Surrey Gardens, mais préserver le reste de la ceinture verte entre l'institution et les résidences de Westmount. Les terrains mis en vente sont tous situés dans un boisé à l'extérieur de l'arrondissement historique et naturel du mont Royal protégé par Québec. Le zonage de ces lots, situés dans la Ville de Westmount, prévoit uniquement la construction de maisons unifamiliales détachées. Pour l'instant, la Ville n'a discuté qu'avec Construction Jean Houde, selon Joanne Poirier, directrice de l'urbanisme. " Ils nous ont soumis des plans préliminaires pour un terrain à l'est de la rue Surrey Gardens ", dit-elle. Le produit de la vente de ces lots sera investi dans l'entretien des installations de l'Oratoire. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-22/493716/terrains-etagrave-vendre-au-pied-de-loratoire.fr.html (22/5/2009 11H27)
  13. Mises à pied chez Dassault Mise à jour le lundi 11 mai 2009 à 8 h 36 L'avionneur français Dassault, qui fabrique les jets d'affaires Falcon, licenciera quelques centaines d'employés aux États-Unis et forcera quelque 2000 travailleurs du personnel de production à se placer au chômage pour quelques jours entre fin septembre et fin décembre. C'est ce qu'a annoncé lundi le président-directeur général de la firme, Charles Edelstenne, lors du Salon de l'aviation d'affaires EBACE, qui se tient à Genève, en Suisse. Selon lui, les mesures de chômage partiel, toujours en négociation, réduiront le travail des employés de production de trois jours et demi par mois. M. Edelstenne n'a guère donné de détails sur les pertes d'emplois aux États-Unis, où Dassault Aviation embauche plus de 2500 personnes, surtout en Arkansas, mais aussi au Delaware au New Jersey et en Floride. « Ce sera progressif », s'est-il contenté d'ajouter. Tout comme Bombardier au Canada, Dassault est victime du ralentissement économique, qui se traduit notamment par une baisse des dépenses des entreprises. Bombardier a annoncé le mois dernier la suppression de 3000 emplois, dont 800 à Montréal, d'ici la fin de l'année. Dassault n'exclut pas de procéder à d'autres mises à pied au cours des prochains mois. Selon M. Edelstenne, l'entreprise se penchera sur d'éventuels licenciements supplémentaires en décembre. « On verra si on est obligé de faire comme les autres », a-t-il laissé tomber. Selon l'AFP, c'est la première fois que Dassault effectue des mises à pied depuis la dernière grande crise qui a secoué l'industrie du transport aérien, au début des années 90.
  14. Ça aide pas pour le moral du forum, mais ça demeure de l'actualité... ------------------ À Montréal et à Toronto Les Éditions Rogers procédent à environ 40 mises à pied 22 avril 2009 - 19h38 LA PRESSE CANADIENNE TORONTO -- La division d'édition de Rogers Communications (RCI.B) a supprimé environ 40 emplois à Montréal et à Toronto en raison d'une baisse des revenus publicitaires de ses magazines, a indiqué mercredi une source familière avec la situation. Le porte-parole de l'entreprise a confirmé mercredi que les employés des bureaux de Montréal et de Toronto avaient été informés de la nouvelle, mais a refusé de préciser le nombre exact d'emplois supprimés ou les publications touchées. Les Éditions Rogers est l'éditeur de magazines et de périodiques le plus important au Canada. Il publie entre autres L'actualité, Maclean's et Châtelaine, en plus d'une douzaine d'autres magazines spécialisés.
  15. CBC/SRC : 800 mises à pied Paul Journet La Presse Les employés de Radio-Canada/CBC s'attendaient à une mauvaise nouvelle, et ils l'ont reçue. Quelque 805 postes seront coupés. Il s'agit de près de 10% des quelque 9900 employés à temps plein de la société d'État. Les premières mises à pied se feront au début de l'été. Elles se termineront en septembre. Même si des compressions «particulièrement douloureuses» sont à prévoir dans les stations régionales, aucune d'entre elle ne fermera. C'est ce qu'a annoncé le PDG Hubert T. Lacroix ce midi dans une conférence interne avec le personnel. Radio-Canada/CBC espère aussi générer des liquidités d'environ 150 millions $ en vendant des actifs. Elle doit toutefois obtenir au préalable l'aval du gouvernement.
  16. Afin de soutenir le marché, les banques canadiennes comptent proposer à leurs clients des arrangements hypothécaires avant même que ceux-ci n'éprouvent des difficultés à remplir leurs obligations. Pour en lire plus...
  17. Essar Steel met à pied une centaine d'employés supplémentaires à son aciérie de Sault-Sainte-Marie, en Ontario. Pour en lire plus...
  18. À la fin juin, Chrysler mettra à pied 1200 employés pour une durée indéterminée à son usine d'assemblage de Windsor en raison de la baisse de demande pour ses produits. Pour en lire plus...
  19. Le géant minier annonce 900 mises à pied dans le monde et la réduction de ses activités à Sudbury, en Ontario. Pour en lire plus...
  20. L'entreprise met à pied près de 80 de ses 100employés pour deux semaines pour réduire ses stocks. Pour en lire plus...
  21. Avec la crise économique, les travailleurs licenciés deviennent des proies faciles pour les fraudeurs. L'Autorité des marchés financiers lance donc un appel à la prudence. Pour en lire plus...
  22. Le constructeur brésilien annonce une réduction de 20% de ses effectifs, soit la mise à pied de quelque 4000 employés. Pour en lire plus...
  23. La papetière Tembec annonce la suppression d'une centaine de postes de personnel cadre en raison du ralentissement économique. Pour en lire plus...
  24. Dans la foulée des autres géants japonais de l'électronique qui ont mis à pied des dizaines de milliers de personnes, Pioneer élimiera 10 000 emplois en abandonnant le marché des téléviseurs. Pour en lire plus...
  25. Le vertige Publié le 06 février 2009 à 06h54 | Mis à jour le 06 février 2009 à 06h55 Sous la torture d'un dentiste sadique, Jean Charest ne l'avouerait pas. Mais en son for intérieur, le premier ministre doit pousser un immense soupir de contentement. Même si tout le monde râlait contre une deuxième campagne électorale à l'automne, qu'est-ce qu'on a bien fait de déclencher les élections! Aucun élu ne voudrait subir le jugement de l'électorat après la semaine que la région de Montréal vient de connaître, comme l'avaient calculé avec justesse les stratèges libéraux. Pour paraphraser un certain député français, la métropole a le moral à terre. Ici comme ailleurs, les licenciements se succèdent avec la régularité d'un métronome. Le Canada aurait perdu près de 40 000 emplois depuis le début de l'année, estiment les économistes. On le saura avec précision ce matin, lorsque Statistique Canada dévoilera les données de janvier. Mais certaines mises à pied font plus mal que d'autres. Les pertes d'emplois en aéronautique sont de celles-là. Même si son économie est diversifiée, le Québec compte sur son industrie vedette pour passer au travers de cette crise qui frappe durement le secteur manufacturier. À l'automne, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain prévoyait que les exportations du secteur aérospatial progresseraient de 7,1% cette année contre 5,8% en 2008. Et aussi récemment que cette semaine, le directeur de l'analyse économique à la Banque TD, Derek Burleton, affirmait que les constructeurs en aéronautique permettraient au Québec de s'en tirer à moindre mal. Que deux des grands donneurs d'ordre mettent à pied, à trois jours d'intervalle, plus de 1300 salariés dans la grande région de Montréal témoigne de la dégradation rapide de l'économie. Aussi, les prévisions d'hier prennent-elles maintenant l'allure de voeux pieux. Pour autant, les mauvaises nouvelles chez Bell Helicopter Textron et Bombardier Aéronautique ne constituent pas des surprises. Même si les avions d'affaires sont des outils de travail qui permettent de gagner un temps précieux, ils représentent une dépense éminemment vulnérable en récession. Surtout quand le jet d'entreprise est devenu, à Washington, un symbole des excès des grands patrons de Detroit et de Wall Street. Après avoir été renflouée, Citigroup ne vient-elle pas d'annuler l'achat d'un jet de Dassault? Après avoir condamné 900 cafés, la chaîne Starbucks ne vient-elle pas de mettre en vente son jet Gulfstream? Etc. Plutôt que d'acheter un jet privé, les entreprises peuvent toujours louer un avion ou le partager. Les reports de livraison et annulations se multiplient. Ainsi, aucun constructeur de jet d'affaires n'a été épargné. Par exemple, le constructeur Cessna a déjà licencié 4600 salariés, le tiers de son personnel. Ce n'était donc qu'une question de temps avant que Bombardier ne ralentisse la cadence de production de ses jets d'affaires pour étirer son carnet de commandes. Il n'y a aucune surprise non plus du côté de Bell Helicopter. Les sociétés d'exploration pétrolières comptent parmi les plus grands acheteurs d'hélicoptères. Leur fortune est intimement liée au prix du baril de pétrole, qui s'est affaissé à près de 40 dollars. Aux problèmes de l'industrie s'ajoutent les ennuis particuliers de Bell Helicopter. Ce constructeur qui a longtemps prétendu au titre de plus grand fabricant d'hélicoptères civils au monde ne cesse de perdre du terrain. Tandis qu'il abandonnait des modèles, ses concurrents élargissaient leur gamme d'appareils. Triste. Les 500 mises à pied annoncées lundi par Bell Helicopter, d'une durée de trois mois, sont censément temporaires. Mais à moins d'une flambée du prix du carburant, à la faveur d'une improbable étincelle comme une guerre en Iran, on voit mal comment l'entreprise rappellera ces travailleurs le printemps venu. Bombardier a aussi cherché à se montrer rassurante hier. Elle a annoncé une hausse de sa production d'avions régionaux turbopropulsés (à hélices). Mais ces avions de la série Q400 sont assemblés à Toronto, ce qui fait une belle jambe à Montréal. L'avionneur montréalais a aussi révélé qu'elle avait plus de 730 postes à combler, liés au développement d'avions et à son centre de finition. Ainsi, ces offres d'emploi feraient plus que contrebalancer les mises à pied. (Toutefois, il est douteux que les employés mis à pied puissent postuler sur ces emplois. Bombardier remercie des machinistes, alors qu'elle recherche des ingénieurs, des rembourreurs et des ébénistes pour finir les meubles.) Mais cette équation repose sur un grand si, soit le décollage de la nouvelle famille d'avions commerciaux CSeries, qui semble de plus en plus incertain. Bombardier développe trois appareils de front: le Learjet 85, un jet d'affaires, le CRJ10 000, son plus grand jet régional, et la CSeries. Les coûts de développement de ces avions se sont élevés à 138 millions au troisième trimestre. Mais il est clair que c'est la CSeries qui accapare actuellement le plus de ressources Or, les commandes sont encore indétectables au radar, plus de sept mois après le lancement officiel du projet. Bombardier avait pourtant affirmé qu'elle ne se lancerait pas dans cette aventure nécessitant un investissement de 3,3 milliards US avant d'avoir en poche des commandes fermes portant sur un minimum d'une cinquantaine d'appareils venant d'au moins trois transporteurs différents. La fameuse lettre d'intérêt de Lufthansa n'engage en rien ce transporteur allemand, le client de départ pressenti, même si les dirigeants de Bombardier répètent depuis des mois que la signature d'un contrat définitif est imminente. Dans l'attente de commandes fermes, journalistes et analystes en sont ainsi venus à épier les moindres faits et gestes d'Eznis Airways, un transporteur mongol qui s'intéresse à la CSeries, selon la rumeur. Cela ressemble pas mal à du désespoir. Le problème, c'est que Bombardier n'est pas seule dans le bateau. Elle a aussi entraîné Pratt & Whitney, qui fabriquera le moteur de la CSeries dans son usine en construction à Mirabel. Ainsi, le Québec a beaucoup d'oeufs dans le même panier. On ne claquerait pas autant d'argent si on n'était pas sûr de notre coup, font valoir en substance les dirigeants de Bombardier. Mais en attendant que les commandes de la CSeries se matérialisent, le Québec tout entier est pris de vertige.
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