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  1. Sur le site de Minicucci architecte. Aucun détail. Un fil peut quand même permettre de faire un suivi. EDIT : Pourquoi étage s'écrit "étages"?
  2. De mars 2014 à juillet 2016 J'espérais pouvoir la fin de l'Avenue mais ça n'a pas été possible Les tours que l'on peut voir monter: - Tour Deloitte - Lowney sur Ville - Roccabella - Tour des Canadiens - L'Avenue - District Griffin - Icône (brièvement @ 0:52) Allez-y plein écran HD, l'image s'améliore après une trentaine de secondes...
  3. Phases 1 et 2 terminées en 2009 et 2010. Aucune information sur la phase 3... Sur Google Maps, on peut voir que la dalle de béton est coulée et ne semble qu'attendre l'érection que la troisième phase.
  4. Salut! Pour les intéressés, C-GWSZ fera quelques rotations sur YUL demain. Voici l'horaire prévu : WS580 (YYZ-YUL) Arrivée prévu à 09h15 WS2820 (YUL-CUN) Départ prévu à 11h45 WS2821 (CUN-YUL) Arrivée prévu à 21h54 Et bien sûr, on peut s'attendre à un dernier départ en fin de soirée (sûrement sur YYZ encore une fois). Bon spotting! Envoyé de mon SGH-I337M en utilisant Tapatalk
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/899241/la-segregation-a-montreal-de-ghettos-a-condos/ Sur une carte produite par la Ville de Montréal dans les années 1930 et retrouvée dans les archives, on indique sans broncher où vivent les «riches», les «bien nantis», les «travailleurs qualifiés» et les «travailleurs journaliers». Est-ce qu’on pourrait dresser ce genre de portrait aujourd’hui? Incursion avec deux experts dans l’univers de la ségrégation à Montréal. Pour Annick Germain, professeure en sociologie urbaine et immigration à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), on ne peut pas diviser la ville en secteurs pauvres et riches comme on le faisait à l’époque. Se basant sur des études qu’elle a menées à partir des années 1990 sur la pauvreté dans les écoles montréalaises, elle affirme que le portrait géographique de la pauvreté ressemble désormais à «une peau de léopard». «En observant ce qui se passait d’un recensement à l’autre, on pouvait clairement voir que les espaces de la pauvreté devenaient de plus en plus discontinus, illustre-t-elle. Il reste encore des quartiers pauvres ou riches, mais ça n’a rien à voir avec des territoires homogènes. Des poches de pauvreté ponctuent le territoire.» Le coût de la vie relativement abordable à Montréal permet à des habitants de divers types – familles, jeunes couples, personnes seules, nouveaux arrivants, aînés, étudiants – d’y habiter, ce qui serait impensable pour plusieurs d’entre eux à Toronto ou à Vancouver, explique Mme Germain. «Je ne suis pas en train de dire qu’on a un tissu social très mélangé sur le plan socio*économique et ethnique mais, certainement, il est beaucoup moins ségrégué que dans d’autres métropoles, juge-t-elle. Quand on regarde plus attentivement les arrondissements, on voit qu’ils sont très diversifiés.» La carte ci-dessous a été réalisée dans les années 1930 par la commission d’urbanisme, qui mènerait en 1941 à la création du Service d’urbanisme de la Ville de Montréal, selon Mario Robert, chef de la section des Archives. Le directeur du Centre d’histoire de Montréal, Jean-François Leclerc, fait remarquer que plusieurs des quartiers où habitaient les Montréalais les plus pauvres ont disparu dans les années 1950 à 1970, dont le Goose Village, le Faubourg à M’lasse et le Red Light. Une carte de la ville de Montréal dans les années 1930 où on peut voir les quartiers où habitaient à l’époque les «riches» (rich), les «bien nantis» (well-to-do), les «travailleurs qualifiés» (higher labour) et les «travailleurs journaliers» (lower labour). Une question d’échelle Selon la géographe historique de l’Université McGill Sherry Olson, tout est une question d’échelle. «Les statistiques qu’on va obtenir dépendent vraiment de la façon dont on les mesure, avance-t-elle. À Laval, par exemple, il y a des endroits presque tout grecs, ou tout juifs ou tout francophones. Si on prend Laval dans son entier, on dira que c’est très mixte, mais quand on regarde en détail, on voit beaucoup de poches.» D’après elle, les gigantesques développements immobiliers, qui sont souvent prévus pour une seule tranche socioéconomique ayant les moyens de se procurer un logement, créent une sorte de ségrégation à petite échelle, où il y a peu de mixité sociale et où les gens issus d’autres tranches sociales ne sont généralement pas les bienvenus. «Il y a aussi les courtiers immobiliers, qui créent un certain degré de ségrégation parce qu’ils perçoivent des tendances de marché et essaient d’y convenir. Ils encouragent souvent un certain type de personne à acheter un certain type de propriété dans un certain secteur», ajoute-t-elle. Annick Germain croit que la politique de logement de la Ville, qui demande aux promoteurs d’intégrer 20 % de logements sociaux et abordables à leurs projets, aide à diversifier le paysage socio*économique. «Je pense que la Ville a pas si mal réussi que ça étant donné qu’il s’agit d’un programme essentiellement volontaire», juge-t-elle. Elle note par contre que l’explosion de condos, surtout dans les quartiers centraux, offre peu d’options abordables aux familles. Certains développements, comme Griffintown, les attirent peu, faute de services qui leur conviennent. «Il y a beaucoup de familles qui sont prêtes à habiter dans des appartements pas nécessairement gigantesques, mais elles veulent pouvoir sortir facilement avec leurs enfants, faire des trucs abordables, intéressants, fréquenter des parcs et ainsi de suite», explique-t-elle. L’effet transport Mme Olson indique que l’émergence de l’automobile comme mode de transport de choix a fondamentalement changé la composition sociale des secteurs commerciaux. Au 19e siècle, par exemple, les propriétaires de commerces habitaient généralement très près de leur lieu de travail, tout comme les employés, d’ailleurs, qui ne pouvaient pas se déplacer très loin. «Il y avait un magasin au rez-de-chaussée, le propriétaire vivait au premier étage, et son apprenti, au deuxième. Donc, des gens de plusieurs groupes socioéconomiques occupaient le même espace», note-t-elle. Selon elle, les grandes artères attiraient aussi à l’époque une plus grande variété de commerces – cabinets de médecin ou d’avocats, par exemple – pour répondre à la demande des clients, qui passaient par ces grands axes, faute de moyens de transport. C’est moins le cas aujourd’hui, ajoute-t-elle. Fini, les ghettos? Mme Olson et Mme Germain s’entendent pour dire que Montréal est beaucoup moins ségréguée qu’autrefois selon la religion, l’origine ethnique ou la langue. Dans presque tous les cas, les ghettos traditionnels s’effritent. D’après Annick Germain, Mont*réal accueille une plus grande diversité d’immigrants que toute autre métropole canadienne. L’immigration maghrébine, en particulier, n’a pas de fief précis et s’établit un peu partout en ville. «On parle tout le temps du petit Maghreb, mais c’est un petit bout d’artère commerciale qui n’est pas 100 % maghrébine. On a l’impression que les Maghrébins sont tous concentrés autour, mais ce n’est pas vrai, affirme-t-elle. Il y a un peu de branding là-dedans. Sur la carte ci-dessous, on peut voir où se situent les quartiers où la majorité des gens sont d’origine française (F), anglaise (E), juive (J), chinoise © ou s’il s’agit d’un quartier mixte (M). Une autre carte montre les zones où il y a une prépondérance de taudis (zones noires) et celles où les conditions de vie sont moins bonnes (zones hachurées). Une dernière carte donne des informations statistiques sur les conditions de vie dans les quartiers. On peut voir le taux de mortalité par 1000 personnes (D), le taux moyen de décès dû à la tuberculose par 10 000 personnes sur les 5 dernières années (T), le taux de délinquance juvénile (JD) et la population du quartier (P).
  6. L’économie du Québec se porte bien. La démonstration du prof Fortin. Pour bien commencer l’année économique, rien de mieux que de refaire la démonstration que les pessimistes, ceux qui sont toujours prompts à proclamer que l’économie du Québec va mal, se trompent royalement. Tout peut et doit s’améliorer, bien sûr. Les défis ne manquent pas : la démographie, l’environnement, la santé, la persévérance scolaire, les inégalités, la corruption. Mais l’économie québécoise a énormément progressé depuis 50 ans, et elle est loin d’aller mal depuis 20 ans. À l’époque, nous formions un peuple pauvre, illettré, dépendant et en mauvaise santé. La pire performance de l’Amérique du Nord.     Le salaire moyen des francophones au Québec équivalait à 52 % de celui des anglophones. Aujourd’hui, à niveaux d’éducation et d’expérience identiques, le salaire horaire moyen des francophones ne le cède en rien à celui des anglophones. En 1960, le niveau de vie du Québec accusait un retard de 18 % sur celui de l’Ontario. Maintenant, le retard a fondu à 5 %. Et ce qui en reste s’explique entièrement par le fait que les Québécois choisissent librement de travailler moins d’heures par année que les Ontariens. Le mieux-vivre, c’est ici. L’économie du Québec est à présent plus productive que celle de l’Ontario. Les Québécois produisent plus de biens et de services par heure travaillée que les Ontariens. Il nous reste les États-Unis à rattraper. Economie: La pauvreté absolue, c’est quand on peut se payer un peu plus (mais à peine) que le nécessaire. Une situation moins fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada. La pauvreté absolue, c’est quand on peut se payer un peu plus (mais à peine) que le nécessaire. Une situation moins fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada. En 1960, les deux tiers des Québécois de 30 ans ne possédaient aucun diplôme. Seulement 5 % avaient un diplôme universitaire. Aujourd’hui, 90 % ont un diplôme secondaire ou professionnel, et 32 % un diplôme universitaire. On peut et on doit encore progresser, mais il n’y a pas de quoi se flageller ! Au tournant de la Révolution tranquille, la majorité des ados québécois savaient à peine lire, écrire et compter. Aujourd’hui, nos jeunes de 15 ans se classent au septième rang mondial en mathématiques, à égalité avec les jeunes Japonais, et au premier rang de toutes les provinces canadiennes. Il faut maintenant s’améliorer en lecture. Il y a 55 ans, les entreprises francophones ne contrôlaient que 47 % de l’emploi au Québec. Aux dernières nouvelles, ce chiffre avait grimpé à 67 %. Il y a 60 ans, la population du Québec était la plus pauvre du Canada, avec celle de Terre-Neuve. En 2015, le taux de pauvreté absolue (lorsqu’on peut s’offrir à peine plus que le niveau de subsistance) est plus faible au Québec que partout ailleurs au Canada, sauf dans les provinces riches en pétrole des Prairies. De plus, l’inégalité du revenu au Québec est la moins prononcée en Amérique du Nord. Cumulativement, depuis 15 ans, la production de richesse par habitant d’âge actif (de 15 à 64 ans) a progressé davantage au Québec qu’aux États-Unis et en Ontario. C’est + 19 % au Québec, + 15 % aux États-Unis et + 11 % en Ontario. Depuis la récession de 2008-2009, le poids de la dette publique du Québec dans l’économie a augmenté quatre fois moins qu’en Ontario et huit fois moins qu’aux États-Unis. Les finances de l’État québécois se sont sans cesse améliorées depuis 20 ans. Le poids des intérêts à payer sur sa dette a diminué de 40 %. Toutes les agences internationales de notation de crédit ont maintenu ou haussé sa cote financière. Des rassemblements économiques régionaux riches en vision, en solutions et en projets, comme Je vois Montréal,on en a encore grand besoin. Mais on aurait aussi grand besoin d’imposer un moratoire au larmoiement sur l’état de notre économie. Rien ne justifie le discours pessimiste. tableau et source: Tableau:http://www.msn.com/fr-ca/finances/economie/l%e2%80%99%c3%a9conomie-du-qu%c3%a9bec-se-porte-bien-la-d%c3%a9monstration-du-prof-fortin/ar-CCs4Rn?ocid=spartanntp ----- Analyse très intéressante!
  7. http://www.lapresse.ca/maison/immobilier/conseils/201511/12/01-4920081-achat-sur-plan-au-dela-des-apparences.php Publié le 12 novembre 2015 à 11h23 | Mis à jour le 12 novembre 2015 à 11h23 Achat sur plan: au-delà des apparences Les bureaux des ventes des promoteurs font rêver, avec leurs affiches léchées... Danielle Bonneau La Presse Les bureaux des ventes des promoteurs font rêver, avec leurs affiches léchées et leurs projets plus beaux les uns que les autres. Or, ceux qui achètent un condo sur plan devraient bien se renseigner et prendre certaines précautions. Huit conseils pour éviter les mauvaises surprises. CONNAÎTRE LE PROMOTEUR Mieux vaut vérifier si le promoteur est en règle avec la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). On peut consulter le Registre des détenteurs de licence sur le site internet de l'organisme ou téléphoner à la Direction des relations avec la clientèle (1-800-361-0761) pour vérifier si l'entrepreneur fait l'objet de plaintes. Le site de la Société québécoise d'information juridique (SOQUIJ) permet aussi de savoir s'il est un habitué des tribunaux. « Plus on achète d'un promoteur sérieux, plus on a de chances que l'ensemble du projet soit satisfaisant », estime Jan Towarnicki, président du Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec (RGCQ). PROFITER D'UN PLAN DE GARANTIE Le plan de garantie administré par l'organisme Garantie de construction résidentielle (GCR) s'applique à tous les bâtiments résidentiels neufs d'un maximum de quatre logements superposés. L'acompte est garanti jusqu'à 50 000 $. Il en est autrement pour les tours d'habitation. Les plans de garantie pour les édifices de plus de quatre logements superposés sont facultatifs. « Lorsque les projets sont accrédités, des vérifications sont faites sur la solvabilité des constructeurs, souligne Me François Forget, président de ScriptaLegal et du regroupement de notaires Jurisconseil. Cela a une certaine valeur. » ÉVALUER LA SUPERFICIE RÉELLE La superficie vendue est approximative, préviennent les promoteurs. Elle est souvent brute, incluant les colonnes et les murs de gypse, précise Me Ludovic Le Draoullec, avocat spécialisé en copropriété. « Des gens qui pensent acheter un condo de 1000 pi2 se retrouvent avec 900 pi2, dit-il. Il y a beaucoup de recours devant les tribunaux pour obtenir une baisse de prix. Selon la jurisprudence, une réduction de superficie d'environ 10 % doit être absorbée par le consommateur. Si les acheteurs tiennent à un minimum de pieds carrés, ils doivent clairement l'indiquer dans le contrat préliminaire. » LIRE ATTENTIVEMENT LA NOTE D'INFORMATION Dès qu'un immeuble en copropriété comprend au moins 10 condos, le promoteur doit fournir une note d'information à la signature du contrat préliminaire, avec les noms de l'architecte, de l'ingénieur, du constructeur et du promoteur. La note d'information renferme aussi la description des parties communes ainsi qu'une copie ou un résumé de la déclaration de copropriété, même à l'état d'ébauche. « On peut y voir si les animaux sont interdits et si la location à court terme est permise, précise Me Le Draoullec. Il faut le savoir si on a un chien et qu'on recherche un environnement stable et paisible. » AVOIR LES MOYENS D'ACHETER Le budget prévisionnel, détaillé dans la note d'information, prévoit les sommes requises pour la bonne marche de la copropriété. Le promoteur s'en sert pour évaluer les charges mensuelles de copropriété. Or, celles-ci sont souvent trop basses, constate Me Le Draoullec. « Une fois l'immeuble construit, le budget devra être indexé, dit-il. Aucune soumission, par ailleurs, n'a été effectuée. Il arrive souvent que le budget ait doublé lorsque le promoteur effectue le transfert de l'administration provisoire au nouveau conseil d'administration. Il faut être en mesure de payer plus que ce que le budget initial prévoit. » BIEN CHOISIR LE CONDO La vue n'est pas le seul critère à considérer pour choisir un condo. Il faut regarder ce qui se trouve au-dessus et en dessous, ainsi que sur le même étage, fait remarquer Jan Towarnicki, du RGCQ. « Si on achète au-dessus de la porte d'entrée, on risque d'être dérangé par les livreurs, dit-il. Si on est au-dessus de la porte de garage ou près d'équipement mécanique important, comme l'ascenseur, on risque d'entendre du bruit. En regardant la dernière version des plans d'architecture, on peut être fixé. » La proximité des espaces communs (piscine, salon, etc.) peut être un autre élément à garder à l'oeil. NE PAS SE GÊNER Quand ils s'engagent à acquérir un condo qui n'est pas encore construit, les acheteurs signent un contrat préliminaire. Ce dernier s'avère souvent un modèle, que les consommateurs n'osent pas amender, constate Ludovic Le Draoullec, avocat spécialisé en copropriété au sein du cabinet De Grandpré Joli-Coeur. Or, des modifications peuvent être apportées pour refléter la volonté des deux parties. « Si l'acheteur considère que certains éléments promis sont essentiels, comme l'acceptation des gros chiens, la présence d'un ascenseur ou d'une piscine sur le toit, ça devrait transparaître dans le contrat signé. Ça peut aller jusqu'à l'ajout d'une annexe pour préciser les incontournables, qui ont influencé la décision d'acheter. » PRÉVOIR UN RETARD Les imprévus sont fréquents. Plus l'immeuble est de grande envergure, plus le nombre minimum de ventes requis avant d'entamer la construction est important, et plus il y a de chances d'avoir un délai, indique Jason Lemire, de l'agence immobilière Majordome, qui se consacre aux acheteurs de constructions neuves. Mieux vaut ne pas s'empresser de vendre sa maison et d'entreposer ses effets, renchérit Me Le Draoullec. « Avant d'engager des frais de relocalisation, il faut toujours être en contact avec le promoteur pour voir si la date fixée est réaliste. » DE NOMBREUSES CHOSES À SAVOIR Il faut surtout éviter d'acheter un condo sur plan sous le coup de l'émotion. Afin de prendre une décision éclairée, de nombreux outils sont offerts. Comme le livre Achat et vente d'un condo, tout ce qu'il faut savoir, de Me Yves Joli-Coeur (éditions Wilson & Lafleur). Très facile à lire, il invite les lecteurs à la prudence. Le site ScriptaLegal a par ailleurs mis en ligne le mois dernier son Guide pour un achat immobilier. En répondant à des questions pertinentes, celui-ci veut aider les futurs acheteurs à se familiariser avec chacune des étapes de l'achat sur plan. Ils seront ainsi mieux préparés. 5000 Nombre estimé de condos vendus majoritairement sur plan en 2015 dans la grande région de Montréal. Ceux-ci auront été achetés à l'étape de la prévente (avant le début de la construction) ou quand les travaux viennent de débuter, indique Mathieu Collette, directeur des études de marché du condo au sein du Groupe Altus. Ce chiffre inclut aussi une certaine quantité d'appartements neufs dans des immeubles récemment construits. 50 à 65 % Proportion de condos qui doivent habituellement être vendus avant que le promoteur puisse obtenir son financement et entreprendre la construction. Les prix fluctuent. Ceux qui s'inscrivent sur une liste et réservent un appartement avant que le projet soit officiellement mis en marché bénéficient d'un rabais. Puis, les prix tendent à augmenter lorsque la construction commence. De bonnes occasions peuvent aussi se présenter à la fin, lorsque l'immeuble est terminé et que le promoteur détient des unités depuis un certain temps. Il veut passer à autre chose.
  8. Bonjour! Premier message de ma part ici! Je viens de faire la réservation d'une unité de condo au Spark (MonDev sur Ste-Cath coin Parthenais). On m'offre un taux fixe à 2.59% ou un taux variable à 2.05%. Je me questionne à savoir ce que je devrais choisir comme option. Je sais qu'on ne peut pas prédire l'avenir, mais au vu de l'économie des marchés ces temps-ci, je me demande si je ne devrais pas opter directement pour le taux variable. Avez-vous une opinion sur les variations de taux dans la prochaine année? Merci!!
  9. KOOL

    MTLURB mal perçu ?

    Bien que je trouve ton qualificatif beaucoup trop fort, le «dédain» n'est pas supposé, il est bien réel de la part de plusieurs forumistes (pour ne pas dire la majorité visible) si on prend les exemples de l'architecture de l'AC Hotel, du nouveau look du 444 De Maisonneuve Ouest (la première mouture avait pourtant fait l'unanimité... dans le sens inverse) ou de la pertinence du béton à nu (jusqu'à nouvel ordre) de la colonne Rocco de l'Icône alors que tout le reste de la tour est louangé. Je trouve ce comentaire très réducteur car ils sont loin d'être les seuls à décrier le look de certains projets. Et si le journaliste se réfère au forum c'est peut être parce que lui aussi en a un peu marre du silence et de la complaisance qui règne au sein du milieu concernant les nouveaux projets architecturaux de Montréal ? La majorité silencieuse ? Qu'est-ce qui te faire croire qu'elle ne pense pas elle aussi que la TDC 1 est la plus ordinaire de toutes les nouvelles tours entourant le Centre Bell ? Et ne te méprends pas, même un posteur aussi caustique que Rocco est ravi de voir toute cette effervescence. Ce qui serait vraiment dommageable pour le forum c'est que, comme toi, tout le monde ici s'extasie de voir tous ces nouveaux projets... nonobstant la qualité de leurs architectures respectives. Désolé mais personnellement je préfère de très loin une seule tour Avenue plutôt qu'une douzaine d'AC Hotel. Heu, c'est parce que c'est un peu beaucoup la fonction et le but d'un forum de discussion sur Internet.
  10. http://auto.lapresse.ca/technologies/201507/29/01-4888911-la-route-de-demain-prefabriquee-en-plastique-recycle.php Publié le 29 juillet 2015 à 09h46 | Mis à jour à 09h46 La route de demain: préfabriquée en plastique recyclé? Denis Arcand La Presse La route de demain sera faite de plastique recyclé et l'âge d'or de l'asphalte achève, prédit la société néerlandaise VolkerWessels, qui vient de rendre publique sa technologie PlasticRoad. VolkerWessels affirme que ses routes de plastique recyclé se construiraient et s'entretiendraient bien plus rapidement que les routes d'aujourd'hui. Les travaux routiers seraient plus courts: ils se mesureraient en semaines, pas en mois. Et ils seraient moins fréquents. La clef? La préfabrication en usine de segments modulaires et leur installation sur un simple lit de sable. Les routes de plastique dureront trois fois plus longtemps que nos voies asphaltées d'aujourd'hui, et ce, avec un entretien minime, affirme la compagnie. Comme une piste Scalextrix «L'idée est de mouler les segments pour qu'ils s'imbriquent les uns dans les autres. La largeur idéale est d'environ 3,5 m, soit la largeur d'une voie routière», a indiqué à La Presse Simon Jorritsma, conseiller développements nouveaux et techniques spéciales chez InfraLinq, la filiale asphalte de VolkerWessels. «On pourrait aussi faire des pistes cyclables», ajoute-t-il. Autre avantage, le concept PlasticRoad prévoit un espace creux toujours accessible où on pourrait faire passer le câble, les fils électriques alimentant les lampadaires et les feux de circulation, l'aqueduc, les tuyaux d'égout et d'eau de pluie et, un jour, l'infrastructure électronique permettant la conduite autonome des voitures de demain. L'asphalte est un excellent revêtement routier, mais les problèmes liés au pétrole et les besoins nouveaux auxquels font face les entrepreneurs exigent de nouvelles solutions, estime Simon Jorritsma. «Le plastique est une alternative durable très supérieure et ouvre la porte à toutes sortes d'autres innovations, comme la production d'électricité, le chauffage des routes, des surfaces de roulement moins bruyantes et la construction modulaire», écrit-il. Plastique recyclé à 100% «Notre intention est d'utiliser seulement du plastique recyclé», sans adjuvant d'hydrocarbures, a indiqué à La Presse M. Jorritsma, qui fait remarquer que 55% du plastique produit dans le monde est brûlé dans des incinérateurs. «C'est du gaspillage d'incinérer le plastique si on peut le réutiliser et lui donner un usage nouveau de haute qualité [...] pour faire des routes.» Dans une région comme le Québec, avec ses températures extrêmes, une route de plastique tiendrait-elle le coup? «La structure routière PlasticRoad n'est pas affectée par la température ni la corrosion; elle résiste facilement à des températures allant de -40 à 80 degrés Celsius», écrit M. Jorritsma. Épandage de sel Pour ce qui est du sel et du gel, VolkerWessels n'a pas encore de certitude: «Nous voulons développer un prototype avec les bons partenaires et faire des expériences et des tests», a-t-il indiqué à La Presse. Il ajoute que la société travaille sur un système de tuyaux permettant de stocker la chaleur solaire absorbée par la route, et de chauffer la route assez pour éviter le gel (et le sel) aux températures modérées. La PlasticRoad a un autre argument intéressant, compte tenu des scandales récents dans la construction au Québec: ce sera «beaucoup plus facile de vérifier la qualité de la route (rigidité, écoulement des eaux, etc.)». La question de l'adhérence, surtout au froid, est un élément majeur: «Premièrement, on va voir si on peut rendre antidérapant le plastique lui-même. Si ça ne marche pas, on pourrait intégrer du sable ou du gravier dans la surface de roulement», a indiqué M. Jorritsma. Et combien coûterait la Plastic Road? «À ce stade-ci, on ne peut pas encore parler du coût par kilomètre», a répondu M. Jorritsma. La ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a déjà signalé son intérêt à faire un projet-pilote sur ses rues urbaines. M. Jorritsma ajoute que plusieurs villes sont intéressées à participer à des projets-pilotes, dans plusieurs pays du monde.
  11. Ca fait longtemps que je pense la meme chose. L'état ne peut pas remplacer les familles. On a un devoir de responsabilité envers nos proches. http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201506/25/01-4880721-gilles-julien-letat-na-pas-a-nourrir-nos-enfants.php
  12. Je viens de me procurer l'ouvre porte de garage Chamberlain qui peut à distance ouvrir et fermer la porte de garage (càd n'importe où dans le monde). De plus il peut m'indiquer si la porte s'est ouverte ou fermée (selon des règles et un horaire). J'avais un problème, des fois je revenais à la maison et je constatais la porte de garage ouverte, l'ayant sûrement laissée ouverte... toue la journée ou nuit:rolleyes:... j'espère que ce gadget va m'aider à réduire ce genre d'incident. De plus il se connecte à la plateforme Wink qui permet avec une seul app contrôler pleins de bidules domotique (lumières, nest, caméras, chauffage etc...) Installation pas évidente au début, mais assez facile. (faut pas que votre iphone soit connecté à un réseau wifi 5Ghz).
  13. Moins d’un million de dollars par mine par Michel Pepin publié le 1 mai 2015 à 17 h 24 Il y a parfois des chiffres qui parlent plus que les mots et plus que toutes les promesses. Par exemple, il y a CE chiffre, 23 650 000, qui en dit plus long que tous les Plan Nord de ce monde. Ce chiffre représente le nombre de dollars que les propriétaires des 24 mines en exploitation au Québec ont versés en redevances en 2013-2014 selon les comptes publics du Québec. C’est moins d’un million de dollars par mine, en moyenne. Oui, c’était une mauvaise année, les prix des minerais étaient bas et les minières ont donc réalisé très peu de profits. Néanmoins, cela n’a pas empêché ces entreprises de retirer pour au moins 7 milliards de dollars en minerais du sous-sol québécois. De ces 23 millions de dollars, il pourrait être déduit les coûts d’administration au ministère pour le secteur des mines (plus de 15 millions de dollars). Il pourrait être aussi pris en compte le coût des 723 sites miniers abandonnés qui devront être réhabilités par l’État. Une facture de 800 millions de dollars est évoquée sur le site du ministère. Les crédits d’impôt relatifs aux ressources et les avantages fiscaux reliés aux actions accréditives ne sont pas pris en compte dans ce calcul. Dans son rapport de 2009, le vérificateur général révélait que ces dépenses fiscales représentaient une somme plus importante que l’ensemble des redevances minières. Rien n’indique, au contraire, que la situation était différente en 2013-2014. En revanche, il est vrai qu’il y a eu une année (2011) où 300 millions de dollars ont été recueillis en redevances minières, alors que la pelletée de minerai de fer valait trois fois celle d’aujourd’hui. Toutes ces données n’ont pas refroidi l’enthousiasme du premier ministre Couillard qui a évoqué, sans la moindre gêne, la priorité que représente le développement durable dans le cadre du dévoilement de sa version du Plan Nord. Il n’est pas facile d’imaginer le caractère durable du développement minier, une activité qui consiste à extraire une ressource qui ne peut se renouveler. Tout cela confirme que la vision de Québec pour le développement des ressources minières repose surtout sur la création d’emplois et l’activité économique que cela peut générer en région. Toutefois, la Caisse de dépôt et placement et Investissement Québec possèdent des participations dans certains projets (la mine d’or Osisko à Malartic et le projet de mine de diamants Renard de Stornoway) qui pourraient se révéler profitables. Car, si en apparence, Québec a reçu moins d’un million de dollars par mine, en réalité, il n’a même pas reçu « une cenne la tonne », comme on disait du temps de Duplessis. En fait, en 2013-2014, le gouvernement du Québec a payé les compagnies minières pour exploiter son sous-sol, qui elles, malgré la baisse des prix par rapport à 2011, ont accéléré la cadence de production et ont extrait davantage de fer, de nickel, de cuivre et d’or en 2013-2014. Si tout va bien, ce sont 65 millions de dollars que les Québécois recevront en 2014-2015 en redevances minières. En échange de 7 milliards de dollars de ressources. Si tout va bien. http://blogues.radio-canada.ca/politique/2015/05/01/moins-dun-million-de-dollars-par-mine/
  14. Un magnifique ouvrage, élégance, design... Peut être un jour a Montreal...
  15. http://affaires.lapresse.ca/economie/201501/30/01-4839820-la-croissance-un-modele-qui-arrive-a-ses-limites.php Publié le 30 janvier 2015 à 08h49 | Mis à jour à 10h06 La croissance, un modèle qui arrive à ses limites Hélène BarilHÉLÈNE BARIL La Presse La croissance économique vigoureuse est chose du passé dans les pays industrialisés. Les sociétés devront apprendre à vivre avec des taux de croissance anémiques qui les forceront à faire des choix. La croissance du PIB à tout prix a-t-elle fait son temps? Et si la décroissance était une voie d'avenir? C'est fou tout ce qu'on peut faire pour soutenir la croissance économique! On l'encourage à coups de subventions et de baisses d'impôt. On la stimule par le marketing et la publicité. Et on la dope avec le crédit facile et l'endettement. Avec bien peu de résultats, est-on forcés de constater depuis 30 ans. Dans les pays industrialisés, la croissance économique ralentit lentement et inexorablement depuis 30 ans. «Ce modèle de croissance à tout prix arrive à ses limites, affirme Yves-Marie Abraham, professeur au département de management de HEC Montréal. Il n'arrive plus à générer de croissance et il n'est pas réformable. Il faut rompre avec ce modèle.» Yves-Marie Abraham est un oiseau rare. Prôner la décroissance au sein de la très orthodoxe HEC Montréal n'est certainement pas une position aisée, mais le fait que ce discours puisse s'exprimer maintenant dans nos universités est un signe qu'il n'est plus réservé aux granos et aux écolos. Penser autrement La décroissance comme voie d'avenir n'a rien à voir avec la baisse du produit intérieur brut (PIB) ou une récession qu'on subit comme une maladie. «C'est une décroissance volontaire et décidée, qui suppose un vrai virage», explique Yves-Marie Abraham. Cela repose sur l'idée que malgré tous ses bienfaits, la croissance économique fait maintenant plus de tort que de bien à l'homme et à la planète. La surproduction et la surconsommation épuisent les ressources et mènent directement vers un mur. La solution de rechange? Penser autrement. «On arrête de croire que quand le PIB va, tout va, dit le professeur Abraham. On arrête de se préoccuper de la croissance pour se donner d'autres objectifs.» L'augmentation du revenu générée par la croissance économique est un élément important du bien-être d'une société, reconnaît Yves-Marie Abraham. «Mais à partir d'un certain niveau du PIB, il n'y a plus de corrélation entre le bien-être et la croissance économique», souligne-t-il. L'argent, on le sait bien, ne fait pas le bonheur. Le Québec illustre bien cet adage. Alors que son PIB par habitant n'est pas parmi les plus élevés du monde, la province se hisse dans le peloton de tête des sociétés les plus heureuses dans les classements internationaux comme Vivre mieux, publié par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Selon Yves-Marie Abraham, les sociétés occidentales ont dépassé depuis longtemps un niveau de revenu qui assure la satisfaction de leurs besoins. Elles peuvent se donner d'autres objectifs, comme s'assurer que tous aient de quoi manger et une vie agréable. «Il faut arrêter de courir après des choses sans intérêt», résume-t-il. Utopique? «Penser qu'on peut continuer à croître indéfiniment, c'est encore plus utopique.» Développement durable La machine économique a réagi aux signaux d'alerte que donne la planète en mettant de l'avant le développement durable, plus soucieux des dommages collatéraux de la croissance, comme la pollution de l'air et de l'eau. Quand des signaux de pénurie apparaissent, comme ç'a été le cas avec le pétrole, des solutions apparaissent, comme la voiture électrique qui pourrait permettre de s'en passer un jour. «Je suis totalement contre l'automobile. L'auto électrique peut être une solution transitoire, mais ce n'est pas un vrai virage. La solution, c'est moins de transport. Il faut relocaliser nos modes de vie pour ne plus avoir besoin de déplacer des humains et des marchandises sur des milliers de kilomètres.» Le discours du développement durable n'a rien donné du tout, estime Yves-Marie Abraham. «C'est polluer moins pour pouvoir polluer plus longtemps et repousser le problème à plus tard», tranche-t-il. Éric Pineault, économiste et professeur à l'UQAM, n'est pas loin de penser la même chose. «Le développement durable envoie un faux signal, celui que la croissance infinie dans notre monde fini est possible», avance-t-il. La décroissance, selon lui, est un signal d'alarme qui veut nous conduire à une prise de conscience, chacun individuellement. «Les surconsommateurs que nous sommes devenus trouvent normal que les biens qu'ils achètent ne durent pas et ne soient pas réparables. Ils valorisent la nouveauté et le changement, et donc le gaspillage. Ils acceptent que des machines remplacent le travail humain partout, y compris pour se nourrir avec des surgelés.» Il faut se poser des questions. Se demander, par exemple, si on doit continuer à manger des oranges transportées sur des milliers de kilomètres et qui, une fois rendues à destination, ne goûtent plus rien. S'interroger sur la nécessité de mettre du marbre venu d'Italie dans notre salle de bains. Bref, faire «un reset» pour se remettre sur une trajectoire plus viable, estime Éric Pineault. «C'est un travail personnel, poursuit-il. Ça ne se légifère pas.» Les gouvernements auront ensuite un rôle à jouer pour réorienter l'économie vers de nouveaux objectifs. Ce pourrait être de sortir le Québec du pétrole sur une période de 50 ans, illustre-t-il. L'action des gouvernements est essentielle et comme leurs moyens dépendent des taxes et impôts qu'ils prélèvent, la croissance économique est une nécessité. C'est vrai, dit Éric Pineault. «C'est ce que je dis toujours. Il faut de la croissance pour faire de la décroissance. Appelons ça le paradoxe de Pineault.» Des impacts négatifs en croissance Dans nos sociétés accros à la croissance de leur produit intérieur brut (¨PIB), remettre en cause l'expansion économique est un sacrilège. N'est-ce pas grâce à la croissance économique mondiale que nous vivons mieux, plus vieux et en meilleure santé? Sans remettre en question ces acquis, les tenants de la décroissance estiment que les impacts négatifs de la croissance économique surpassent maintenant les bienfaits qui peuvent y être associés. Les bienfaits de la croissance 1) Augmentation de l'espérance de vie On vit de plus en plus vieux. Entre 1990 et 2012, l'espérance de vie a augmenté de six ans dans le monde, selon l'Organisation mondiale de la santé. Au Canada, pendant la même période, l'espérance de vie est passée de 81 ans à 84 ans pour les femmes et de 74 ans à 80 ans pour les hommes. 2) Amélioration de la santé La plus grande longévité des populations est le résultat des progrès considérables dans le traitement de plusieurs maladies autrefois mortelles, comme la pneumonie. 3) Augmentation du niveau d'éducation De plus en plus de gens ont accès à l'éducation. Au Canada, la part de la population sans aucun diplôme était de 37,8% en 1990 et de 19,2% en 2012. La part de la population titulaire d'un diplôme universitaire a augmenté de 10,9% à 22,2% pendant la même période. 4) L'émancipation des femmes Dans la plupart des pays industrialisés, les femmes ne sont plus confinées à leur rôle traditionnel de mère. Le taux d'activité des femmes est maintenant de 75% au Québec, comparativement à 81% pour les hommes. Les écarts salariaux entre les hommes et les femmes se sont réduits. 5) La liberté politique Avec la fin des empires coloniaux et la disparition de plusieurs régimes totalitaires, la démocratie a fait des progrès dans le monde. On estime que 50% des pays du monde sont maintenant gouvernés de façon démocratique, un record de tous les temps. 6) Réduction des inégalités Pendant plusieurs décennies, la croissance économique a permis de diminuer les inégalités de revenus et entre les pays et à l'intérieur des pays. Depuis le début des années 80, par contre, les écarts de revenus se sont accrus. Les dérives de la croissance effrénée 1) L'obsolescence programmée Mieux vaut jeter que réparer. Nous sommes tous à même de constater que la durée de vie utile des biens est de plus en plus courte. Les effets de la mode et du marketing, les coûts élevés de réparation ou l'impossibilité de réparer, dans le cas de certains produits électroniques, encouragent la consommation. 2) La surconsommation Dans la plupart des pays industrialisés, la croissance économique repose sur la consommation des ménages. Aux États-Unis, par exemple, c'est 70% de l'économie qui est tributaire des consommateurs. 3) L'endettement Pour alimenter la croissance économique, le crédit s'est répandu et les ménages ont été encouragés à s'endetter pour s'acheter une maison, une voiture et des biens de consommation courante. Aujourd'hui, le taux d'endettement des ménages au Canada atteint plus de 160% de leurs revenus après impôt et paiements d'intérêts. 4) La congestion routière En plus de son impact sur la qualité de l'air, la congestion routière causée par les citoyens qui se rendent au travail tous les jours cause des pertes de temps et de productivité qui sont en augmentation exponentielle. À Montréal, ces coûts ont été estimés à 3 milliards par année. 5) La pollution de l'air et de l'eau Même s'ils sont indispensables à la vie, l'eau et l'air sont des ressources accessibles gratuitement ou à peu de frais dans la plupart des sociétés industrielles. Leur qualité se dégrade partout dans le monde et menace la planète. 6) Les maladies comme le stress et l'épuisement Des maladies nouvelles se sont déclarées avec les modes de vie modernes axés sur la croissance de la productivité. C'est le cas du stress et du burnout, et de certains types de cancers associés à l'utilisation de produits chimiques. Un moyen, pas une fin Souhaitée ou pas, la faible croissance économique est installée pour rester dans les pays industrialisés. Bonne nouvelle ou calamité? L'économiste Marcelin Joanis, professeur et Fellow du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations, répond à nos questions. Est-ce que la décroissance peut être une bonne chose pour les économies modernes? La croissance peut avoir des conséquences négatives, notamment sur l'environnement. De là à dire qu'on doit viser la décroissance, je ne crois pas. Je pense qu'on peut viser la croissance économique en prenant les bonnes décisions. Je constate que la croissance ralentit et je ne vois pas ça d'un mauvais oeil. Ça peut être salutaire. Ça nous force à investir dans les technologies vertes, à faire des choix plus intelligents que par le passé. La croissance à tout prix a-t-elle atteint ses limites? La croissance économique n'est pas un objectif en soi, mais un moyen de satisfaire les besoins de la population. L'important est de trouver les meilleurs moyens de satisfaire ces besoins. À partir d'un certain niveau de revenu, toute augmentation supplémentaire ne produit pas une amélioration du bien-être des populations. Pourquoi continuer à courir après la croissance? Il y a encore de la pauvreté et pour beaucoup de gens, on est encore loin d'un niveau de vie acceptable. Par ailleurs, les sociétés les plus heureuses ne sont pas les plus riches en termes de PIB (produit intérieur brut) par habitant, mais ce sont celles où l'État joue un rôle important pour redistribuer la recherche et atténuer les inégalités. Ça prend de la croissance pour faire ça. Les gouvernements ont besoin de la croissance, qui leur donne des revenus et des moyens d'agir.
  16. Un riche milliardaire australien a eu l'idée de créer une réplique du Titanic. Puisqu'il a assez d'argent pour concrétiser son rêve, le projet est en bonne voie de se réaliser. Il est présentement en construction en Chine. Son inauguration est prévue en 2016. -Pareil à son prédécesseur: cabines, salons, grand escalier, ponts promenades, etc. -Pas pareil: Puisque nul ne peut prétendre aujourd'hui qu'un navire peut être insubmersible, le Titanic 2 bénéficiera de toutes les technologies de pointe pour la navigation et la sécurité. Pour en savoir plus: http://fr.wikipedia.org/wiki/Titanic_II_%28paquebot%29 http://www.rtl.fr/actu/le-titanic-2-sera-pret-en-2016-7761699602 http://bluestarline.com.au/ https://www.facebook.com/BlueStarLine
  17. Du développement commercial et industriel, le parfait complément à la densification démographique de l'île de Montréal. Je proposerais incidemment un nouveau slogan: des emplois là où habitent les gens, en sonnant le glas à l'expansion des villes-dortoirs. Dans le but de faire échec à l'étalement urbain, un programme incitatif devrait encourager prioritairement la création d'emplois et de logements sur l'île, avec effet décroissant selon l'éloignement vers les couronnes. J'irais même jusqu'à charger une taxe spéciale sur toute nouvelle construction en dehors des zones déjà urbanisées ou dans de nouveaux lotissements, sur tout le territoire de la banlieue. Je ferais cependant exception de Laval qui est déjà en phase de densification. Une ville plus dense diminue les besoins en déplacements automobiles et rentabilise davantage le développement des transport en commun, avec effet durable sur le plan environnemental. Il faut changer les mentalités et briser la dichotomie de la banlieue qui veut que ce soit l'endroit idéal pour élever une famille. Il reste d'ailleurs suffisamment d'espace disponible sur les deux îles (Laval et Montréal) pour facilement doubler la population, tout en renforçant les pôles économiques centraux. On économiserait au passage les meilleures terres cultivables qui restent encore dans le voisinage de la ville, tout en préservant une précieuse ceinture verte, indispensable à l'équilibre écologique et sociologique du grand Montréal. Si on veut véritablement améliorer notre bilan carbone et réduire la pression des villes sur l'environnement, nous n'avons pas le choix que de penser globalement. Ce n'est qu'avec des efforts concertés et simultanés dans tous les domaines d'activités humaines que nous y arriverons. Pour cela il est nécessaire que la volonté vienne du gouvernement provincial lui-même, car c'est le seul qui a les moyens législatifs pour véritablement changer les choses. On n'a plus le choix si on veut léguer aux générations futures, un monde meilleur et en plus grande harmonie avec la nature. L'occupation du territoire est déjà une agression en soi, mais on peut diminuer notre empreinte par toutes sortes de mesures de naturalisation qui réconcilieraient la ville avec le milieu naturel. Une prise de conscience est déjà en voie de se faire, mais il y a encore beaucoup de résistance et d'opposition. Et tant que le message ne viendra pas de la plus haute instance, avec des moyens concrets pour y arriver, on sera limité à des interventions ponctuelles et trop localisées pour faire une différence appréciable. Comme le discours économique est à la mode aujourd'hui, on peut ajouter à cette vision écologique, l'effet positif sur le développement de Montréal en premier lieu, et aussi bien sûr les villes déjà établies, mais dans une moindre mesure. Un Montréal plus populeux et plus dense est un gage d'enrichissement collectif, avec des revenus plus importants et de plus grands moyens pour assurer son développement futur. J'en conclue que la prospérité soutenue de la ville passe nécessairement par l'arrêt de l'étalement urbain, et la fin de la dispersion de nos forces et de nos énergies, dans un territoire devenu démesuré par rapport à sa densité.
  18. via LaPresse : Publié le 19 juin 2014 à 10h42 | Mis à jour à 12h05 Coderre présente ses 11 «chantiers» pour rendre la Ville plus performante KARIM BENESSAIEH La Presse Une Ville plus efficace, où les lourdeurs administratives et les dédoublements seraient éliminés, tout cela en 11 «chantiers» qui permettraient de générer des millions de dollars en économie. C'est en substance le plan qu'a proposé ce matin le maire Denis Coderre devant une audience conquise de quelque 600 personnes d'affaires, réunies dans une salle du Vieux-Montréal. De la diminution des accidents de travail à la revue du déneigement et passant par la simplification des soumissions et un meilleur taux de réalisation des travaux, ses 11 chantiers ratissent large. «Vous devriez vous réjouir : on vient de vous dire qu'on va s'assurer que les choses sont efficaces, et qu'on est capables de sauver des coûts sans avoir à augmenter les revenus, c'est-à-dire les taxes, a résumé en point de presse le maire Coderre. Il y a un exercice qui va se faire, toutes les grandes métropoles l'ont fait, et elles sauvent de l'argent. Nous, on va sauver le maximum.» 750 indices de performance Même si les termes semblent quelque peu abstraits, le maire assure qu'il s'agit d'une initiative bien concrète. «C'est tellement concret qu'ils l'ont fait à Toronto, où on sauve jusqu'à 400 millions par année. Si on organise toute la question de l'absentéisme, d'accidents de travail, à Québec, ils ont sauvé jusqu'à 12 millions.» L'administration Coderre mise beaucoup sur son chantier numéro un, l'adhésion à l'Ontario Municipal Benchmarking Initiative (OMBI) qui permettra à Montréal de se comparer avec 16 autres villes canadiennes. «Ce sont des mesures de gestion, des mesures d'efficience. Comment on peut mesurer l'efficacité, comment on est capables de s'assurer qu'il y a une meilleure coordination. Il y a à peu près 750 indices de performance qu'on peut appliquer, des indicateurs précis qui nous permettent en fin de compte de voir s'il y a des dédoublements, si c'est performant, si c'est nécessaire.» Il a rappelé que son administration s'était déjà engagée à réduire 10% des effectifs au cours des cinq prochaines années, soit 2200 emplois, ce qui permettra d'économiser deux milliards en dix ans. Ces économies seraient réinjectées dans les infrastructures de la métropole. Les 11 chantiers Harmonisation et simplification des devis de soumissions Augmentation du nombre et de la qualité des projets d'immobilisations réalisés Optimisation de la gestion des revenus et des paiements Simplification du processus décisionnel Implantation de la gestion par activités Réduction des maladies professionnelles et des accidents du travail Augmentation de la productivité du Service du matériel roulant et des ateliers Amélioration des processus d'acquisition et d'entretien des immeubles Accroissement de l'efficience des activités liées aux matières résiduelles Rationalisation des inventaires Optimisation des activités de déneigement.
  19. Et si vous aviez à élire la plus belle piste cyclable du monde ? Et si Montréal faisait partie des options ? Pour fêter son 200 millionième trajet, Vélib, l’équivalent du Bixi à Paris, invite les Parisiens à sélectionner la piste de leur rêve. Et elle qui longe le canal de Lachine à Montréal compte parmi les choix proposés, aux côtés de Copenhague, Amsterdam, Tokyo, Rio, Londres, Los Angeles, Rome, New York, Dublin, Berlin. On y vante le fait que le parcours de 14,5 km reliant le Vieux-Port et les gratte-ciel de la ville au parc René-Lévesque est isolé de la circulation automobile et ponctué d’espaces verts. Et qu’on peut y admirer ses écluses et anciennes usines du XIXe siècle. Bien sûr, notre Bixi est mis en vedette, malgré ses déboires financiers et la sombre perspective qu’il n’y survive pas au-delà de la saison 2014… http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/405511/le-canal-de-lachine-parmi-les-plus-belles-pistes-cyclables-du-monde
  20. Le Québec exprime depuis plusieurs décennies son insatisfaction dans l'accord constitutionnel, que l'on pourrait comparer par analogie à un contrat de mariage. Pire en fait, car ce fut un mariage arrangé et non d'amour mutuel. Donc les liens qui relient les deux partenaires n'ont jamais vraiment eu le côté émotionnel nécessaire pour en faire une véritable union heureuse et consommée, cela à aucun moment de son histoire. On pourrait au mieux parler de tolérance. Dans la vie de tous les jours le divorce est devenu monnaie courante. Il ne fait plus vraiment peur et représente le plus souvent la décision la plus raisonnable, pour le bien-être et la sérénité des deux protagonistes. On peut aussi développer d'autres types d'ententes qui peuvent favoriser un meilleur partage des droits et responsabilités, tout en reconnaissant le mérite de conserver des liens plus proches et mutuellement profitables. Dans aucun cas cependant il est justifié de préserver le statu quo, car l'insatisfaction si elle n'est pas répondue de manière adéquate, risque de conduire à des actions unilatérales qui pourraient être dommageables à tout le monde. Alors je pose la question puisqu'on est dans un fil de sondage: Si un des deux partenaires n'est plus satisfait de son union avec son conjoint, que doit faire ce dernier? 1 -Ignorer la partie demanderesse et faire comme si rien n'était, en espérant que ça passe. 2- Reconnaitre l'insatisfaction de l'autre mais exprimer son incapacité à y répondre convenablement. 3- Tenter de négocier des accommodements afin de préserver l'union. 4- Soumettre la partie demanderesse à sa volonté et lui imposer sa solution ou sa vision, quitte a conduire à un divorce déchirant. La situation du Québec et du Canada est exactement face ce genre de dilemme. On n'en fera jamais une histoire d'amour, car le désir pour l'autre n'est basé que sur du matériel et son partage plus ou moins équitable, selon les versions de chacun. Une chose est cependant indéniable: le désir d'autonomie et d'émancipation ne peut pas être refoulé de la part de la partie qui se sent étouffée par le poids du couple. Néanmoins cette dernière pourrait, comme dans les bons vieux couples d'habitudes, reprendre une partie de sa liberté tout en respectant un contrat moins exigeant et dans lequel chacun pourra y trouver son compte. On est ici dans une simple logique qui ne demande qu'une part de sensibilité et d'ouverture. Seuls les noms changent, mais la ressemblance avec la réalité est voulue et intentionnelle. D'autres couples sont passés par les mêmes difficultés, certaines unions ont eu un dénouement difficile, d'autres plus heureux, mais l'issue dans tous les cas a nécessité des actions courageuses et appropriées. Saurons-nous faire partie des chanceux qui auront compris à temps, que les problèmes doivent être réglés avant qu'il ne deviennent pratiquement ingérables? Qu'aucune situation n'est permanente, que tout est mouvement, change et se transforme dans une dynamique qui va du plus petit au plus grand dans l'univers. Lorsque certaines parties refusent cette loi implacable de l'évolution du monde, elles disparaissent ou sont brisées par leur propre inertie. Le Canada vit des problèmes internes parce qu'il refuse de s'adapter aux changements qui se présentent naturellement à lui. Aura-t-il la sagesse de sortir de sa sclérose, ou sera-t-il amputé d'un membre qui ne peut s'empêcher de bouger? La question est posée, j'attends vos réponses.
  21. http://www.lapresse.ca/actualites/elections-provinciales/enjeux/201403/08/01-4745768-plq-un-traversier-pour-la-rive-sud.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_elections-quebec-2014_1965459_accueil_POS4 Publié le 08 mars 2014 à 09h35 | Mis à jour à 09h35 PLQ: un traversier pour la Rive-Sud Pour décongestionner le réseau routier, Philippe Couillard promet d'instaurer un service de traversier entre Montréal et la Rive-Sud, même si l'Agence métropolitaine des transports (AMT) a rejeté cette idée en 2012. Cet engagement fait partie de la «stratégie maritime» que le chef libéral a dévoilée hier et qui fait concurrence au Projet Saint-Laurent du chef caquiste François Legault (pour plus de détails, lisez le texte «Fleuve: Couillard dans les plates-bandes de Legault»). Le document de 48 pages donne peu de détails sur ce projet de traversier. On peut seulement y lire qu'il s'agit d'une solution pour «décongestionner les accès à Montréal», qui «vivra prochainement les conséquences de vastes chantiers» comme la construction du nouveau pont Champlain. Le coût serait de 10 millions par année. On ne précise pas l'emplacement des quais, la fréquence des départs, combien de personnes pourraient être transportées - des automobiles pourraient l'être aussi, comme pour le traversier reliant Lévis à Québec. La promesse repose sur des «études privées» que le PLQ a refusé de divulguer. Les libéraux disent s'inspirer des navettes fluviales qui existent à Boston. Ils rappellent que le député sortant Pierre Moreau avait lancé l'idée de telles navettes entre Montréal et la Rive-Sud au printemps 2012, à l'époque où il était ministre des Transports. L'AMT avait été chargée d'analyser cette option. Et elle l'avait rejetée. «Chaque fois qu'on a étudié cette mesure, on l'a écartée parce que le rapport coût-bénéfice n'est pas bon, a expliqué à La Presse une porte-parole, Claudia Martin. C'est une mesure qui coûte cher pour le nombre de personnes qu'on peut transporter. Et c'est difficile de mettre en place une mesure comme ça.»
  22. Voici un excellent outil mis de l'avant par Google pour calculer le gain et perte de la couverture forestière dans le monde. En plus, on peut sélectionner des zones précises et laisser le logiciel faire le calcul. C'est très très précis, en zoomant sur Montréal, on peut tout de suite voir où il y a eu du développement ces 12 dernières années... http://www.globalforestwatch.org/map/5/52.89/-70.93/ALL
  23. Quelqu'un peut m'expliquer à quoi ça sera la voie réservée de la 15 nord entre la 40 et la 440?? Aucune ligne d'autobus ne roule là, à peine quelques taxis et des covoitureurs, mais surtout pleins de gens tout seuls sur la voie mûres à recevoir une contravention!! Deux autres exemples, évidents depuis l'ouverture du métro à Laval: 1) Pont Lachapelle, en 15 minutes, je n'ai vu qu'un autobus et ce en temps de pointe du matin. Complètement ridicule. 2) Pont Viau, la voie est pratiquement désertée depuis que les autobus arrêtent à Laval. Soit on ajoute du service d'autobus pour que ces voies soit vraiment utilisées, où bien qu'on les abolissent... c'est vraiment du gaspillage d'infrastructure et de la frustration qu'on créé en masse.
  24. Je reproduit dans ce nouveau fil, une chronique du Devoir d'aujourd'hui, parce que je crois qu'il y a ici matière à réflexion, et probablement urgence d'agir. Nous qui tentons par tous les moyens de rentabiliser et augmenter la fréquentation des espaces gigantesques du Parc Olympique. Voici une importante collection qui demande beaucoup d'espace pour être convenablement exposée, et un site prestigieux qui lui offrirait toute la prestance et la visibilité qu'elle mérite. Il y a encore d'énormes espaces sous les gradins et le stationnement souterrain du stade Olympique, pour accommoder un nouveau musée permanent qui ajouterait certainement une précieuse nouvelle clientèle, aux déjà nombreux visiteurs. Je pense aux stationnements, mais ce pourrait peut-être aussi bien être la tour elle-même? Une chose demeure, nous devons rentabiliser au maximum ce site au potentiel qui demeure encore sous-exploité, en dépit de la richesse de ces attractions actuelles, dont le planétarium est la dernière acquisition. Il faut poursuivre sur cette lancée et sauter sur l'occasion unique d'ouvrir un musée de l'automobile comme nulle autre pareil en Amérique(?) Si je me fie au texte du Devoir qui suit, nous avons un filon extraordinaire que nous devons exploiter à sa juste valeur. On ne parle pas ici d'une collection bidon, mais d'un joyau méconnu et fragile qui pourrait nous échapper. Le Parc Olympique peut et doit être rentable. Le remplacement du toit a besoin de trouver du financement idéalement provenant de fonds générés sur place, par les multiples expositions et attractions diverses. Voilà alors une occasion rêvée d'ajouter un fleuron de qualité supérieure, aux attraits de classe mondiale déjà présents sur le site. J'ai pris connaissance de cet article qui m'a immédiatement interpelé, et je n'ai pu m'empêcher de l'associer au Parc Olympique qui cherche par tous les moyens a reconquérir le coeur des montréalais et des visiteurs. Pour une collection unique il faut un site unique et de premier ordre, nous avons tout ce qu'il faut, ne reste plus qu'à agir et relier les deux dans une situation gagnant-gagnant. "Et si c’étaient des Picasso? http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/396596/et-si-c-etaient-des-picasso Et si c’étaient des Picasso? La collection de voitures d’exception des frères Demers représente une richesse sous-estimée et mal connue. La perdre serait une erreur sans précédent. 7 janvier 2014 | Collectif d'auteurs | Actualités en société La collection du designer Ralph Lauren a été exposée en 2011 au Musée des arts décoratifs de Paris, en France. Pourtant, cette collection comporterait «seulement» une soixantaine de voitures, alors que celle de la famille Demers en compte plus de 500. Laisser partir les voitures des Demers, c’est ignorer le moteur économique extraordinaire que peut constituer le marché des voitures exotiques, que ce soit pour les expositions, les encans, les investissements ou autres. Photo : Agence France-Presse Mehdi Fedouach La collection du designer Ralph Lauren a été exposée en 2011 au Musée des arts décoratifs de Paris, en France. Pourtant, cette collection comporterait «seulement» une soixantaine de voitures, alors que celle de la famille Demers en compte plus de 500. Laisser partir les voitures des Demers, c’est ignorer le moteur économique extraordinaire que peut constituer le marché des voitures exotiques, que ce soit pour les expositions, les encans, les investissements ou autres. Imaginez un instant qu’un collectionneur, issu d’une famille discrète, décide après près d’un siècle d’anonymat de révéler au grand public qu’il possède une des plus belles, sinon la plus belle, collections d’oeuvres d’art au monde. Une collection si belle, si unique, qu’elle amène chez lui des rois, artistes, hommes d’affaires, politiciens, sportifs de haut niveau et autres sommités. Imaginez un instant que cette collection contienne des Picasso, Riopelle, Michel-Ange, de Vinci, Gauguin, Matisse, Rembrandt, etc. Imaginez ensuite que le coeur de cette collection n’ait jamais été montré publiquement et recèle des pièces d’une valeur inestimable par leur histoire inédite, leur rareté impensable et leur état de conservation exceptionnel. Imaginez ensuite que ce collectionneur offre de rendre cette collection disponible dans le but d’en faire profiter la population tout entière, de stimuler l’économie, de promouvoir l’entrepreneuriat, de donner aux Québécois une fierté collective, de démontrer aux jeunes que les rêves les plus fous sont accessibles, et finalement, de prouver au monde entier et à nous-mêmes notre valeur collective. Il est clair que toute la classe politique, culturelle et économique se mobiliserait pour faire en sorte que la collection reste québécoise et qu’elle puisse être exposée dans un édifice à la mesure de sa valeur. Oeuvres d’art Ici, cependant, nous ne parlons pas de tableaux célèbres, de sculptures, de gravures, de marbres, mais plutôt de voitures… Et c’est ici que réside l’écueil. De toute évidence, le domaine de l’automobile ne revêt pas, au Québec, tout le prestige qu’il mérite et dont il bénéficie d’ailleurs à l’échelle de la planète. Quel exemple plus éloquent que le peu de reconnaissance collective dont jouit Gilles Villeneuve, dont l’absence est plus ressentie en Europe qu’au Québec ? Et que dire de Jacques Villeneuve, champion du monde de F1 en 1997 ? Mais encore, qui connaît vraiment le coauteur de ces lignes, premier vainqueur du Grand Prix de Trois-Rivières, gagnant en GT des 24 heures de Daytona en 1971 ? Or, depuis la sortie publique de Roger Demers il y a quelques semaines, force est de constater que l’affaire ne suscite pas, notamment au niveau de la classe politique, l’attention et le respect auxquels elle a droit. Certes, les photographies publiées dans les médias font rêver, même si, en toute honnêteté, elles ne rendent nullement hommage à la beauté des oeuvres d’art de la famille Demers ; car il s’agit bien d’oeuvres d’art et c’est dans cette optique que nous devons aborder ce dossier pour lequel des fonds publics devraient être engagés. Ainsi, laisser partir la collection Demers, c’est accepter qu’elle soit éventuellement démantelée et vendue à l’encan, ce qui est trop souvent le sort de ce genre de collections. Mais aussi, laisser partir la collection Demers, c’est aussi refuser de reconnaître le génie de designers tels que Pininfarina, collaborateur d’Enzo Ferrari, dont les plus belles créations sont exposées à Thetford Mines. C’est aussi, dans une certaine mesure, renier Jean-Paul Riopelle, grand collectionneur de voitures, dont l’une des plus belles, une Bugatti, figure au palmarès de la famille Demers. Mais c’est aussi voir partir la Vector de Michael Jackson, la Jaguar XJ220 de Elton John, et tant d’autres. Plus de 500 voitures C’est aussi refuser de faire ce que d’autres ont fait déjà ; n’y a-t-il pas une Jaguar type E, la plus belle automobile de tous les temps aux dires de Enzo Ferrari, dans la collection permanente du Musée des beaux-arts de New York ? Eh bien, les Demers en ont quelques-unes. La collection de Ralph Lauren n’a-t-elle pas été exposée en 2011 au Musée des arts décoratifs de Paris ? Et pourtant, cette collection comporterait « seulement » une soixantaine de voitures ; celle des Demers en contient plus de cinq cents ! Finalement, laisser partir les voitures des Demers, c’est ignorer le moteur économique extraordinaire que peut constituer le marché des voitures exotiques, que ce soit pour les expositions, les encans, les investissements ou autres. La collection de voitures des frères Demers représente une richesse sous-estimée et mal connue. La perdre serait une erreur sans précédent. Il nous appartient donc de tout faire pour la conserver au Québec et faire en sorte qu’elle soit mise en valeur dans un environnement qui soit à sa hauteur. Jacques Duval - Membre du Temple de la renommée du sport automobile canadien Jean-Pierre Gagné - Organisateur de la «Virée voitures de rêves»"
  25. A L'approche du 375e anniversaire de Montréal et du 50e anniversaire de l'expo67, auquel on pourrait ajouter le 150e anniversaire du Canada, histoire de plaire a tout le monde et de se procurer tout le financement possible, pourquoi ne pourrions nous pas: construire sur l'une des iles, puisque cela ne peut se construire sur l'ile de Montréal meme, ce que l'on voudrait la plus belle tour au monde (cela pourrait donner lieu a un concours international d'architecture) et peut-être meme, pourquoi pas, la plus haute tour de la planete, ce qui pourrait peut etre en faire un symbole architectural emblematique de MONTREAL. Deuxièmement puisque l'on ne sait pas encore quoi faire du silo #5 serait-il possible d'en faire un carrefour, offrant des salles d'expositions pour les evenements speciaux, mais aussi, une place destinee a nos grands musees montrealais,ou ils pourraient se côtoyer, mais aussi ou ils pourraient exposer le trop plein de leurs collections, en plus de representer une invitation a visiter leur adresse en ville, ca pourrait etre une tres grande attraction pour les touristes et peut-être une invitation de prolonger leur sejour. Quelqu'un pourrait-t-il me dire si quoi que ce soit a été fait sur la suggestion d'Alain Simard de créer sur le site de l'expo et avec la participation des pays et (compagnies) ayant participe a EXPO67 d'un grand symposium de sculptures monumentales et architecturales, si rien n'a été fait, pourquoi M, Simard ne prendrait-t-il pas le baton du pelerin.
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