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  1. Lundi 16 Juillet 2007 Au début du printemps les autorités municipales, avec roulement de tambour, avaient annoncé que le 40e anniversaire de l'Expo 67 sera dignement célébré. Que les fêtes seraient hautes en couleur, voire même inoubliables. Certes, les festivités vont bon train...mais les rares vestiges qui restent de l'exposition universelle de 1967 sont laissés dans un état lamentable. La Place des Nations représente un danger pour ceux qui osent s'y aventurer. Aux dires de plusieurs personnes qui se sont rendues sur l'île Ste-Hélène au cours des derniers jours, la passerelle menace même de s'écrouler. À l'été 67, cette place était le théâtre de manifestations populaires et culturelles lors des Journées nationales des pays participants. Liée par un réseau de passerelles, la Place des Nations pouvait accueillir plus de 7000 personnes. Ceux qui se rendent sur l'île pour se remémorer des souvenirs de l'Expo 67 vont avoir un pincement au cœur en marchant jusqu'à la Place des Nations. L'endroit est laissé à l'abandon." La végétation a même envahi le pourtour à un point qu'à plusieurs endroits, il est impossible de distinguer les structures de béton à leur base. De plus, la plaque commémorative de cuivre n'a jamais été remplacée depuis son vol" a constaté Robert Tremblay. Aux dires de M.Tremblay, les structures de bois sont pourries et les traverses métalliques qui supportent les escaliers de bois et les passerelles sont aussi rongées par la rouille. " J'ai avisé la Ville lundi dernier du danger que représentait une passerelle. Un responsable aux urgences m'a répondu qu'une équipe serait envoyée pour rendre les lieux sécuritaires et bloquer l'accès. Pourtant, j'y suis retourné jeudi et rien n'a été fait," déplore M.Tremblay qui a pris plusieurs photos de ces scènes de désolation. "Bruxelles, qui a accueilli l'exposition universelle de 1958, a injecté 25 millions d'euros pour rafraîchir les installations en vue des célébrations du 50e anniversaire. L'Atomium a été restauré au complet. Les travaux ont presque duré deux ans afin que tout soit prêt pour 2008 et le tout a été livré deux ans plus tôt," conclut M.Tremblay. La passerelle de la Place des Nations à l’île Ste-Hélène constitue un danger. (photo Collaboration spéciale, Robert Tremblay)
  2. Ericsson embauche 200 personnes à Montréal 15:18 | Denis Lalonde, LesAffaires.com La direction d’Ericsson Canada souhaite embaucher près de 200 nouveaux employés à ses bureaux de Montréal au cours des 4 à 6 prochains mois. Pour en savoir plus Ericsson Article connexe Ericsson est notamment à la recherche de développeurs de logiciels, de concepteurs et d’intégrateurs de systèmes, d’Intégrateurs de systèmes client, d’analystes de soutien des systèmes et de gestionnaires de projets. Le recrutement commence immédiatement pour 95 postes, dont 68 sont permanents, alors que les autres sont contractuels. Selon l’entreprise, le centre de recherche et développement et de services de Montréal est l'un des plus importants d’Ericsson à l'extérieur de la Suède, avec 1600 employés. La société y a d'ailleurs réalisé des investissements de 152M$ en 2006. Le centre a pour mission de développer, tester et supporter les systèmes pour plusieurs standards sans fil, de même que pour la technologie de la prochaine génération de solutions en télécommunications. C’est donc un revirement de situation pour le centre d’Ericsson à Montréal, qui avait perdu 300 emplois il y a deux ans parce que la société n’était pas parvenue à percer le marché américain avec sa technologie CDMA, une norme en téléphonie sans-fil. Les suppressions d’alors avaient surtout touché des ingénieurs et des informaticiens.
  3. mercredi 20 juin 2007 La croissance de l'emploi à temps partiel est plus rapide que celle du temps plein Au Québec, en 2006, tout comme durant la période 1998-2006, la croissance de l'emploi à temps partiel a été plus rapide que celle de l'emploi à temps plein, à l'inverse de ce qui s'est passé ailleurs au Canada, révèle la récente édition de l'Annuaire québécois des statistiques du travail.Dans l'ensemble canadien, l'emploi à temps plein a crû plus fortement (de 18,5 %) que celui à temps partiel (de 12,6 %). Dans l'emploi total, le poids de l'emploi à temps partiel y a diminué de 0,8 % entre 1998 et 2006 pour s'établir à 18 % en 2006. Il en va autrement au Québec, où la croissance de l'emploi à temps partiel a été plus rapide que celle de l'emploi à temps plein. La proportion d'emplois à temps partiel est passée de 17,5 % en 1998 à 18,2 % en 2006. Toujours au Québec, en 2006, alors que l'emploi à temps partiel a augmenté de 1,8 %, celui de l'emploi à temps plein n'a crû que de 1,2 %. Sur la période 1998-2006, l'emploi à temps partiel a connu une plus forte augmentation que celui à temps plein, respectivement de 20,2 % contre 14,6 %. L'Institut de la statistique du Québec signale dans l'annuaire rendu public hier que les Québécois qui travaillent à temps partiel le font de plus en plus sur une base volontaire. En 1998, les deux tiers des travailleurs (66,9 %) étaient dans cette situation. En 2006, cette part monte à près des trois quarts (74,2 %). On y apprend aussi que le travailleur à temps partiel est une femme dans deux cas sur trois et que le groupe chez qui la proportion d'emplois à temps partiel est le plus élevée est celui des personnes qui n'ont pas de diplôme d'études secondaires. Pour ce qui est des travailleurs autonomes, leur nombre est plutôt stable. Par rapport à 1998, le travail autonome représente une faible part de l'emploi en 2006, passant de 15,3 % à 13,3 %. Il se trouve des Québécois qui cumulent des emplois. En 2006, ils étaient 148 600 à le faire, ce qui correspond à 3,9 % de tous les travailleurs. Les personnes en situation de cumul d'emplois se concentrent dans l'industrie des services, qui rassemble 87 % d'entre elles. La plupart des personnes qui cumulent des emplois (72,6 %) travaillent moins de 40 heures par semaine à leur emploi principal. Tout compte fait, l'Institut de la statistique évalue que la population active au Québec est la plus scolarisée parmi les cinq régions canadiennes étudiées. Les personnes ayant fait des études postsecondaires et les diplômés universitaires constituent ensemble 68,2 % de la population active du Québec alors que cette part est inférieure dans les autres régions, oscillant entre 60,2 % et 65,6 %.
  4. Des parcomètres d’un vert vif ont fait leur entrée dans l’arrondissement Ville-Marie. C’est que l’organisme L’Itinéraire et le maire de l’arrondissement, Benoît Labonté, ont décidé de s’associer pour recueillir des fonds pour venir en aide aux sans-abri. Des parcomètres mécaniques rendus désuets par l’arrivée des parcomètres électroniques ont été transformés en tirelires où les passants pourront déposer des dons au profit de L'Itinéraire. L’Itinéraire est un groupe communautaire qui s’occupe de la réinsertion sociale des personnes itinérantes. Cette mission se réalise notamment à travers la production d’un magazine, L’Itinéraire, et un service de cafétéria pour personnes démunies.
  5. Le lundi 30 avril 2007 Changement de vocation pour le collège Rachel. Après avoir servi comme institution d'enseignement pendant plus d'un siècle, l'ancienne école du Plateau-Mont-Royal est actuellement reconvertie en résidence pour personnes âgées. L'ouverture de l'établissement, baptisé Les Résidences de l'académie Rachel, est prévue pour le mois de mai. En 2002, l'éviction des élèves du collège Rachel - alors une école secondaire privée - par le propriétaire des lieux, Jean-Christophe Chevreuil, avait fait couler beaucoup d'encre. Après la fin des classes, la direction de l'école n'avait eu que quelques jours pour quitter les locaux qu'elle occupait. M. Chevreuil voulait transformer le plus rapidement possible cette magnifique bâtisse de style néoclassique en condominiums de luxe. Avec tout le brouhaha que cela a provoqué, M. Chevreuil a échoué dans son entreprise. Il n'a même jamais demandé une autorisation à l'arrondissement pour réaliser cette transformation. Par la suite, l'histoire du promoteur a viré au cauchemar. En 2005, il a été condamné pour avoir agressé sexuellement deux toxicomanes, ayant même commis un de ses crimes dans le gymnase de l'école. Les lieux sont restés vacants jusqu'à ce que le Groupe Canvar, important promoteur immobilier montréalais (Profil-O, 801 Signature), acquiert le bâtiment en 2004. Le nouveau propriétaire a relancé le projet de condos de luxe en proposant d'ajouter deux étages à une aile du bâtiment, une modification nécessaire afin de rentabiliser cet investissement. Mais puisque le collège Rachel se trouve au coeur du site du patrimoine Saint-Jean-Baptiste, secteur protégé en vertu de la Loi sur les biens culturels, le Comité consultatif d'urbanisme a rejeté cette modification volumétrique. Si bien que le président de Canvar, Pierre Varadi, a changé son fusil d'épaule et fait appel à Ghislain Boulay, expérimenté dans la gestion de résidence pour personnes âgées, pour concevoir un projet de maison de retraite. «Cette nouvelle vocation permet de préserver la mission de l'édifice, qui est celle de servir la population locale», explique M. Boulay, propriétaire de plusieurs résidences de ce type, dont la Résidence des boulevards, au coin de Saint-Joseph et Saint-Laurent, sur le Plateau. 123 unités L'édifice en forme de U, dont la construction s'est échelonnée de 1875 à 1927, est actuellement transformé en 123 unités (studios, suites et 21/2) pour accueillir des personnes âgées autonomes ou en perte d'autonomie. Tous les services de l'établissement seront regroupés au rez-de-chaussée, comme l'administration, la salle de cinéma, le salon de coiffure et la salle à manger, qui donne sur une cour intérieure aménagée. «Les résidants ayant besoin de soins, comme les personnes à mobilité réduite ou souffrant de troubles cognitifs, logeront au premier étage, tandis que les étages supérieurs ainsi qu'une partie du rez-de-chaussée seront réservés à des personnes autonomes», explique Lisbeth Lavoie, directrice générale de l'établissement. Les promoteurs ont réussi à préserver quelques vestiges historiques du bâtiment, comme les murs de pierre au rez-de-chaussée. Cependant, les exigences de la vie moderne et du code du bâtiment ont effacé toutes les traces du passé aux étages. Dommage. «Par contre, on va restaurer la magnifique façade de l'édifice», indique M. Boulay. Le prix de location des appartements varie de 1450 à 2900 $ par mois (après les crédits d'impôt), ce qui inclut une multitude de services, comme les repas, le câble, l'entretien ménager, le téléphone, le personnel infirmier, etc. «Au bureau de location, plusieurs visiteurs sont des anciens élèves de l'école», précise Mme Lavoie. En y habitant, ils pourront se remémorer plusieurs beaux souvenirs de leur jeunesse.
  6. Presse Canadienne 18 avril 2007 Les inquiétudes relatives à un recul du marché immobilier en raison d'un déclin démographique auraient été nettement exagérées. Un rapport de Marchés mondiaux CIBC (CM) prédit que le prix des maisons au Canada doublera au cours des 20 prochaines années. Dans ce rapport, on estime que le marché canadien de l'habitation enregistrera une offre supplémentaire de quelque 250 000 maisons. Cela représente 12 500 maisons offertes de plus par année pendant cette période. Pour Benjamin Tal, économiste pour les Marchés mondiaux CIBC, même si l'activité sur le marché de l'habitation fluctuera au cours des 20 prochaines années, le prix réel moyen des maisons reflétera le rendement des deux dernières décennies. Dans l'hypothèse d'un taux d'inflation annuel de 2%, il affirme que le prix des maisons au Canada devrait doubler d'ici 2026. Il précise que cette hausse ne sera pas symétrique, ajoutant que dans les grandes villes, l'évaluation des maisons augmentera encore davantage. Selon lui, les inquiétudes relatives à une baisse des prix attribuable à l'aménagement de plus petites maisons et à l'accroissement des liquidations de maisons par les personnes âgées, ainsi que le recul du nombre d'acheteurs d'une première maison, sont largement exagérées. Le rapport de la Banque CIBC compare la croissance de la population entre deux cycles de prix du logement, soit de 1987 à 2006 et de 2007 à 2026, en se fondant sur les perspectives de croissance et d'immigration moyennes de Statistique Canada. Entre 2007 et 2026, la baisse nette prévue de 167 000 acheteurs d'une première maison (Canadiens âgés de 25 à 44 ans) est marginale, sans plus, a déclaré Tal. Puisque ce groupe de consommateurs est celui qui contribue le plus à la demande globale en matière de logements, représentant près de 68% de toutes les ventes de maisons, ce ralentissement relativement modeste ne devrait pas avoir d'incidence appréciable sur la demande de logements. Le recul le plus important (2,5 millions) est prévu pour le groupe des personnes âgées de 45 à 54 ans, de nombreux membres de la génération du baby-boom passant au groupe d'âge suivant. L'incidence de ce changement devrait aussi être limitée, étant donné que le groupe des personnes âgées de 45 à 54 ans ne représente que 12% de la demande totale de logements. En fait, ce recul modéré sera contrebalancé en partie par la solide augmentation dans le groupe des consommateurs de 55 à 74 ans et par son activité intense sur le marché de l'habitation, en grande partie attribuable à des achats de propriétés de vacances et à des placements immobiliers.
  7. La Presse Le mercredi 18 avril 2007 À l'échelle internationale, le nombre de personnes de plus de 60 ans surpasse le nombre d'enfants de cinq ans et moins. Et selon le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, la société devra changer quelques-unes de ses habitudes de même que le design de plusieurs structures afin de les rendre plus accessibles aux aînés. M. Labonté était présent hier lors de l'annonce de la neuvième Conférence mondiale sur le vieillissement qui aura lieu à Montréal en septembre 2008. «Nous devons revoir le design des transports en commun, des intersections et de certaines résidences», précise Benoit Labonté. Président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe cite le domaine du tourisme comme un de ceux devant porter une attention particulière à l'accessibilité des personnes âgées. «Quand je vais dans un hôtel, je fais toujours la même remarque : les chiffres et les lettres du cadran du téléphone devraient être plus gros, de même que les caractères des fiches d'inscription. Le tourisme a encore du chemin à faire pour ce qui est de l'accessibilité des aînés», a-t-il mentionné hier, au Centre des sciences de Montréal. En 2006, au Québec, 14 % de la population était âgée de plus de 65 ans et on estime qu'en 2020, ce nombre atteindra les 21 %. «La population au Québec vieillit. Elle est en santé, mais elle vieillit et c'est une réalité à laquelle nous devons faire face», précise Benoit Labonté, également membre du comité exécutif responsable de la Culture, du Patrimoine, du Centre-Ville et du Design. C'est sur le thème de la santé, de la participation et de la sécurité à travers un environnement propice aux personnes âgées que se déroulera la Conférence mondiale sur le vieillissement au Palais de congrès de Montréal. «Le but recherché est d'améliorer la qualité de vie des aînés dans le monde, a expliqué la présidente de la Fédération internationale du vieillissement (FIV), Irène Hoskins. La majorité des personnes âgées vivent dans des pays en voie de développement. Et dans les pays industriels, l'espérance de vie est de 80 ans.» En plus de la Conférence mondiale sur le vieillissement qui accueillera près de 2000 conférenciers selon les organisateurs, il y aura une conférence et une exposition portant sur le design adéquat permettant l'adaptation au nombre grandissant de personnes âgées. Benoit Labonté soutient que la complémentarité des deux conférences avec l'exposition sur l'aménagement et le vieillissement de la population québécoise ont joué en faveur de la sélection de la ville de Montréal pour être l'hôte de l'événement. «Et l'exposition Design pour une population qui vieillit ne se tiendra pas uniquement en septembre 2008 : elle va revenir tous les trois ans, car ce domaine va évoluer très rapidement», souligne-t-il. Il s'agit de la deuxième Conférence mondiale sur le vieillissement à avoir lieu à Montréal, l'événement s'y étant aussi tenu en 1999.
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