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  1. L'usine qui emploie 450 personnes dans l'arrondissement Lachine vient d'être vendue à un groupe austro-finlandais qui se dit prêt à maintenir les activités. Pour en lire plus...
  2. Plus de 300 filiales françaises recensées au Québec LE MONDE | 01.07.08 | 16h19 • Mis à jour le 01.07.08 | 16h20 a France est le deuxième investisseur étranger au Québec (derrière les Etats-Unis et devant le Royaume-Uni), avec 330 filiales recensées, qui génèrent un chiffre d'affaires supérieur à 13 milliards d'euros et emploient 20 000 personnes dans la province. Principaux secteurs concernés : l'aéronautique et les technologies de l'information et des communications (TIC). Le Québec demeure le point d'ancrage des entreprises françaises au Canada : plus des deux tiers des filiales de sociétés françaises y sont implantées. Environ 160 sociétés québécoises se sont installées en France pour conquérir le marché européen. Elles emploient 26 500 personnes, dont la moitié dans le groupe Alcan, qui a racheté Pechiney. Article paru dans l'édition du 02.07.08
  3. Des entreprises espagnoles commandent à une compagnie de Québec des bracelets pour faciliter la mobilité des personnes atteintes d'une maladie dégénérative. Pour en lire plus...
  4. Le marché du travail tient bon 7 juin 2008 - 06h00 La Presse En mai, 8400 Canadiens de plus qu'en avril détenaient un emploi, ce qui a permis de garder le taux de chômage à 6,1% seulement, révèlent les données de l'Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada. Cette faible création, qui se situe à l'intérieur de la marge d'erreur de l'EPA (8400 emplois sur 17,14 millions), est interprétée comme si le marché du travail était «demeuré inchangé» par les analystes de l'agence fédérale. Cela témoigne néanmoins d'une résistance certaine du marché du travail, si on regarde ce qui se passe au sud de la frontière. Aux États-Unis, l'économie a détruit 49 000 emplois en mai, ce qui a propulsé le taux de chômage de 5,0% à 5,5%. Il s'agit du plus grand bond en 22 ans. En fait, si on calcule le taux de chômage canadien selon la méthodologie américaine qui fixe à 16 ans au lieu de 15 l'âge d'entrée dans la population active, on mesure mieux la détérioration du marché du travail américain. «Il s'agit de la première fois depuis 1982 que le taux de chômage au Canada calculé selon les concepts américains baisse au-dessous du taux américain», fait remarquer Philip Cross, analyste en chef à Statistique Canada qui a réalisé la comparaison. Cela dit, le marché canadien n'est pas exempt de ratés. Seuls le Québec et l'Ontario ont affiché des gains significatifs en mai. D'un océan à l'autre, 32 200 emplois à temps plein disparus ont été remplacés par 40 600 à temps partiel, tous dans le secteur privé cependant. Si le taux de chômage est resté stable, 13 400 personnes de plus qu'en avril étaient à la recherche active d'un emploi, ce qui porte le nombre de chômeurs à 1,12 million de Canadiens. Au Québec, le portrait de mai a davantage de lustre: 17 900 personnes de plus détenaient un emploi (dont 11 800 à temps plein). Plus de personnes étaient sur le marché du travail que durant le mois précédent, mais le nombre de chômeurs a diminué de 2700 à 313 200. Le taux de chômage a donc fléchi de 7,6% à 7,5%. En usine Fait à relever, le secteur manufacturier prend du mieux. Il a créé 13 700 emplois le mois dernier de sorte que 2400 Québécois de plus qu'il y a 12 mois travaillaient en usine, le mois dernier. Selon l'agence fédérale, le dynamisme des secteurs aéronautique et du matériel roulant compenserait la léthargie du textile et du vêtement. Il y a plus, semble-t-il. «On fait des gains de productivité, on n'est pas en train de fermer boutique», juge Joëlle Noreau, économiste principale au Mouvement Desjardins. Le secteur a connu une bonne expansion (2%) en 2005, s'est contracté un brin (0,6%) en 2006 et a repris le terrain perdu (0,8%) l'an dernier. L'Ontario, dont le marché du travail se porte bien jusqu'ici en 2008 (80 700 emplois), n'est pas au bout de ses peines avec les déboires du secteur automobile, qui promet de nouveaux licenciements d'ici à 2010. «Ce qui était sa pierre d'assise est en train de devenir son talon d'Achille», résume Mme Noreau dans une jolie métaphore. Reste que la société distincte n'est qu'une province sur dix. À l'échelle pancanadienne, des signes d'essoufflement sur le marché du travail en font sourciller quelques-uns. «Le secteur crucial des services n'a créé que 10 000 postes au cours des trois derniers mois, note Stéfane Marion, économiste en chef adjoint à la Financière Banque Nationale. Le nombre total d'heures travaillées a déjà diminué de 1,4% en chiffres annualisés alors qu'il ne reste qu'un mois, ce trimestre.» «Les employeurs préfèrent réduire les heures de travail plutôt que de licencier des employés qu'ils ont eu de la difficulté à embaucher ces dernières années», résume Ted Carmichael, économiste principal chez JP Morgan. Moins d'heures travaillées présagent d'une expansion anémique, à moins d'improbables gains de productivité. Cela devrait aussi infléchir les pressions salariales, mais ce n'est pas encore le cas. Le salaire horaire moyen était en hausse annuelle de 4,8% en mai. Cela représente une accélération par rapport à avril et demeure plus du double du taux d'inflation (1,7%). Les variations provinciales sont marquées: 2% seulement en Nouvelle-Écosse, mais 7,8% dans la bouillante Saskatchewan. Au Québec, la hausse s'élève à 3,2%, soit deux fois plus que le taux d'inflation. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080607/LAINFORMER/806071068/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  5. La fermeture sera effective plus tard cette année. La décision touchera quelque 120 personnes. Pour en lire plus...
  6. Comment l'État garnit ses coffres 10 mai 2008 - 07h21 La Presse Michel Girard Pour l'année 2008, la ponction fiscale des gouvernements de Québec et d'Ottawa devrait coûter aux Québécois un peu plus de 80 milliards de dollars. Tel est le montant évalué par La Presse Affaires en se basant sur les documents budgétaires et les statistiques fiscales des deux gouvernements. De toutes les sources de revenus de nos gouvernements de Québec et d'Ottawa, laquelle arrive au deuxième rang? Après le «chef de file» de l'impôt sur le revenu des particuliers avec quelque 37 milliards, c'est la panoplie de taxes qui occupe la seconde place. Pour l'année 2008, La Presse Affaires a évalué à quelque 26 milliards de dollars le montant total des taxes (droits, permis compris) que les Québécois verseront aux deux ordres de gouvernement. À elles seules, les deux taxes de vente sur les biens et services, soit la TPS et la TVQ, coûteront près de 18 milliards aux consommateurs québécois. Les autres taxes (essence, divertissement, droits d'accise, etc.) exerceront une ponction de 8 milliards dans notre portefeuille. De toutes les taxes, environ 60% va dans les coffres du gouvernement du Québec et 40% dans ceux du fédéral. Suit ensuite au troisième rang des principales sources de revenu de nos gouvernements l'impôt sur le revenu des sociétés. Les entreprises québécoises devraient payer cette année près de 19 milliards en impôts fédéral et provincial. Une particularité québécoise: l'impôt sur le revenu des sociétés qui est versé au gouvernement du Québec comprend l'impôt sur les profits, la taxe sur le capital, la taxe sur les services publics et la taxe sur la rémunération. Cette dernière est communément appelée cotisation au Fonds des services de santé. Que feront les gouvernements de Québec et d'Ottawa avec la fabuleuse manne fiscale qu'on leur versera cette année? Les tableaux Où les gouvernements dépenseront-ils notre argent de notre dossier révèlent les grandes lignes sur la façon dont cette manne et les autres revenus de nos gouvernements sont dépensés. Bien entendu, vous constaterez que Québec et Ottawa utilisent différemment leurs recettes. Au chapitre de l'aide directe aux personnes, le Fédéral redistribuera cette année 25,3 cents par dollar dépensé. Cette redistribution d'argent est destinée aux aînés (sécurité de la vieillesse, supplément de revenu garanti), aux prestataires d'assurance emploi et aux prestations fiscales pour enfants. Du côté provincial, le gouvernement du Québec évalue à 9,7 cents par dollar dépensé la somme qu'il versera à titre d'aide directe aux personnes, par l'entremise de ses programmes d'aide financière à la famille, à l'emploi et aux gens à faibles revenus. Fait à noter: cette aide directe aux personnes que verse le gouvernement du Québec est inférieure à ce que Québec doit payer en frais d'intérêt sur sa dette, lequel service de la dette coûte 10,8 cents par dollar encaissé. Au fédéral, le service de la dette gruge davantage, soit 13,1 cents par dollar dépensé. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080510/LAINFORMER/805101136/5939/LAINFORMER/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_QUEBEC
  7. Le Symbiose Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidences pour personnes retraitées Emplacement: Rosemont ? mètres - 6 étages Site internet: http://www.lesymbiose.com/ Description: - Complexe résidentiel multiservices pour personnes retraitées situé à l'angle du boulevard Sherbrooke et de l'autoroute 25 à Montréal.
  8. Légère hausse du taux de chômage 9 février 2007 - 07h20 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Le taux de chômage s’est établi à 6,2% en janvier au Canada, en hausse de 0,1 point par rapport à décembre, une augmentation qui s’explique par un nombre plus élevé de personnes cherchant un emploi. La proportion de la population en âge de travailler qui occupait un emploi au Canada a atteint un niveau record de 63,4 %. 89 000 nouveaux emplois ont été créés, surtout dans les deux provinces de l’Ouest, en Alberta et en Colombie-Britannique. Au Québec, le taux de chômage, de 7,5% qu’il était en décembre, est monté à 7,7%, cependant que le taux d’emploi gagnait 0,2 points et atteignait 60,5%. ---------------------------- En janvier, 15 000 Québécois de plus travaillaient, et la progression de l'emploi s'est répartie dans un certain nombre d'industries. Les plus fortes hausses ont été indiquées dans les services d'enseignement ainsi que dans le secteur de l'information, de la culture et des loisirs. Parallèlement, le taux de chômage a légèrement monté au cours du mois pour s'établir à 7,7 %, sous l'effet de l'augmentation du nombre de personnes à la recherche d'un emploi.
  9. Réinventer le Vieux-Montréal" - La Ville de Montréal présente son plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal MONTREAL, le 14 mars /CNW Telbec/ - M. André Lavallée, responsable de l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif de la Ville de Montréal, a présenté aujourd'hui un projet de plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal. Ce plan propose de prioriser le transport actif, de consolider l'offre de transport collectif tout en repensant l'accessibilité des voitures pour limiter la circulation de transit de ce secteur de la métropole. "La Ville prend des mesures concrètes pour redonner le Vieux-Montréal aux Montréalais, et plus particulièrement aux résidants et commerçants qui l'animent. La Ville souhaite aussi que les visiteurs puissent se balader à pied dans ce quartier historique, découvrir son histoire et son architecture tout en profitant pleinement des attraits touristiques et de l'ambiance qui s'y dégagent", de déclarer M. Lavallée. Le Vieux-Montréal et le Vieux-Port occupent une place importante dans la vie économique, touristique et culturelle de notre métropole. Au cours des dix dernières années, la population a doublé atteignant 4 500 personnes, le nombre de chambres d'hôtel a quadruplé à près de 1 600, le nombre de travailleurs a progressé du tiers à environ 35 000 et le nombre de visiteurs oscille annuellement entre 13 à 15 millions. Piétons et véhicules se partagent avec difficulté des voies publiques qui, pour bon nombre, ont été conçues dans les années qui ont suivies la fondation de Montréal pour un achalandage nettement plus réduit et des véhicules fort différents. Conformément aux orientations du Plan de transport, soit, choisir le transport collectif comme mode privilégié de déplacement des personnes et favoriser les modes de transport actifs; la stratégie présentée aujourd'hui s'articule autour de cinq interventions : << - piétonniser progressivement la rue Saint-Paul en débutant par le tronçon entre le marché Bonsecours et le boulevard Saint-Laurent et un tronçon de la rue Notre-Dame devant la Place d'Armes et la Basilique Notre-Dame du 15 juin au 15 septembre de 11h à 6h; - mettre en place un nouveau circuit d'autobus de la STM reliant le pôle Vieux-Montréal/Vieux-Port au centre-ville via la rue Peel, le boulevard René-Lévesque et la station de métro Berri-UQAM; - inciter à l'utilisation des stationnements hors rue par l'implantation d'un système de signalisation dynamique pour guider les automobilistes vers les parcs de stationnement situés à proximité et comprenant plus de 8 000 places; - limiter la circulation des autobus touristiques dans le Vieux-Montréal en leur assignant des zones de débarcadères en périphérie et en leur offrant du stationnement hors rue; - apaiser le coeur du Vieux-Montréal, en incitant les conducteurs à utiliser les rues Viger et St-Antoine pour les déplacements entre l'ouest et l'est dans le Vieux-Montréal et en mettant à double sens la rue Saint-Laurent, entre les rues Notre-Dame et Viger. Mentionnons que la Société de Transport de Montréal, la Société du Vieux-Port, le Ministère de la Culture et des communications du Québec et Stationnement de Montréal ont été étroitement liés à l'élaboration des mesures proposées dans le Plan de transport du Vieux-Montréal. Le comité exécutif a mandaté le Bureau du patrimoine, de la toponymie et de l'expertise pour obtenir rapidement les avis de l'arrondissement Ville-Marie et des principaux partenaires que sont Tourisme Montréal, la Société de développement du Vieux-Montréal, l'Association des résidants du Vieux-Montréal et la Table de concertation du Vieux-Montréal. Monsieur Lavallée est confiant que les premières mesures pourront être mises en place d'ici le début de l'été 2008. >> Renseignements: Lucie-Anne Fabien, ARP, Service des Communications et des relations avec les citoyens, (514) 872-6063; Source: Maxime Chagnon, Cabinet du maire et du comité exécutif, (514) 872-6412
  10. Montréal, ville verte par excellence La Presse canadienne Édition du mercredi 05 mars 2008 Mots clés : Automobile, environnement, recensement, Canada (Pays) Ottawa -- La voiture est toujours reine lorsqu'il s'agit de se déplacer entre le domicile et le travail dans la région de Montréal puisque trois fois plus de personnes utilisent un véhicule pour aller travailler plutôt que les transports en commun. Mais si l'on se fie aux nouvelles données du recensement, la métropole mérite cette fois-ci le titre de ville la plus verte du pays en matière de transport. Statistique Canada a publié hier d'autres informations à partir du recensement de 2006, entre autres sur l'endroit où travaillent les Canadiens, la façon dont ils s'y rendent et la longueur du trajet qu'ils effectuent. Le recensement indique que, dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, 1,7 million de personnes se déplacent pour se rendre au travail. Parmi elles, 70,4 % le font en voiture, comme conducteur ou comme passager, 21,4 % utilisent les transports en commun, 5,7 % marchent et 1,6 % utilisent leur vélo. Le recensement démontre toutefois que les gens qui se déplacent dans la région de Montréal ont réduit leur dépendance envers la voiture pour se rendre au travail depuis le dernier recensement de 2001. Il y a cinq ans, Statistique Canada rapportait que 70,6 % des personnes qui se rendent au travail utilisaient la voiture, soit comme conducteur, soit comme passager. La distance médiane de déplacement en 2006 était de 8,1 kilomètres. Il y a cinq ans, elle était de 8,0 kilomètres. La région métropolitaine au Canada ayant la plus longue distance médiane de déplacement est Oshawa, en Ontario, avec 11,0 kilomètres, tandis que la plus courte est Regina, avec moins de 4,6 kilomètres. La région ayant la plus forte dépendance envers la voiture était Abbotsford, en Colombie-Britannique, où 93,2 % des gens utilisaient un véhicule pour se rendre au travail, comme conducteur ou comme passager. Montréal peut prétendre être la ville où vivent les personnes les plus conscientes de la protection de l'environnement dans leur déplacement pour se rendre au travail: la région comprend la plus forte proportion de personnes (28,8 %) utilisant les transports en commun, le vélo ou leurs jambes pour aller travailler. http://www.ledevoir.com/2008/03/05/178982.html (05/03/2008 8H10)
  11. La Banque Nationale acquiert Aquilon Capital 6 février 2008 - 12h10 Presse Canadienne Agrandir La Financière Banque Nationale acquiert la torontoise Aquilon Capital. La Financière Banque Nationale, une filiale de la Banque Nationale du Canada (NA), a conclu une entente définitive d'acquisition de la firme de gestion de placements torontoise Aquilon Capital. La Financière n'a pas précisé le montant de la transaction proposée, mais a indiqué que cette acquisition lui procure un montant additionnel de 500 M$ en actifs pour ses clients bien nantis. Aquilon se spécialise dans la gestion de portefeuilles privés de clients fortunés. L'entreprise, fondée en 1990, gère 1500 comptes. La transaction est sujette à l'approbation réglementaire. La Financière Banque Nationale a souligné qu'elle confirme sa stratégie de faire de la gestion de patrimoine de particuliers un domaine de croissance clé au sein des marchés canadiens. En vertu de cette transaction, environ 15 personnes se joindront à la Financière Banque Nationale dont huit conseillers qui se spécialisent dans la gestion de patrimoine personnel de clients bien nantis. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080206/LAINFORMER/80206127/5891/LAINFORMER01
  12. Les Montréalais utilisent moins leur auto que les citoyens de Calgary Il y a 18 heures OTTAWA - Les Montréalais sont moins dépendants de l'automobile que la plupart des résidants des grandes régions métropolitaines du pays. Une étude de Statistique Canada publiée mardi nous apprend que les citoyens de Calgary et d'Edmonton dépendent davantage de leur voiture que les autres habitants des grandes agglomérations. Cette étude réalisée en 2005 examinait l'utilisation des véhicules automobiles dans les déplacements quotidiens, notamment pour le navettage ou pour faire des courses. Les résultats révèlent que 77 pour cent des résidants de Calgary et 75 pour cent des résidants d'Edmonton utilisaient leur voiture pour effectuer tous leurs déplacements lors de la journée de référence de l'enquête. En comparaison, les citoyens les moins enclins à l'avoir fait étaient ceux de Montréal, dans une proportion de 65 pour cent, et de Toronto, à 66 pour cent. Les différences entre les personnes qui vivaient dans les quartiers centraux de Montréal et ceux qui vivaient dans les quartiers centraux ailleurs étaient frappantes. Seulement 29 pour cent des Montréalais qui habitent dans un rayon de cinq kilomètres du centre-ville utilisaient leur voiture pour tous leurs déplacements, comparativement à 43 pour cent à Toronto, à 56 pour cent à Vancouver et à 66 pour cent à Calgary. L'article révèle une relation claire entre la dépendance aux voitures et la densité des logements dans les quartiers. Ainsi, plus de 80 pour cent des résidants des quartiers à très faible densité avaient effectué au moins un déplacement en voiture en tant que conducteur pendant la journée. En comparaison, moins de la moitié des personnes vivant dans les quartiers à très forte densité l'avaient fait. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5gjtCemmIWhG2OPM0lm6PKPO6-Q3A
  13. Chômage: sous les 5% en novembre Les Lavallois en emploi en hausse de 9,1% par rapport à novembre 2006 par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 27 décembre 2007 à 7:49 source: http://www.courrierlaval.com/article-170009-Chomage-sous-les-5-en-novembre.html Chômage: sous les 5% en novembre Les Lavallois en emploi en hausse de 9,1% par rapport à novembre 2006 En baisse de 1,3% par rapport à la situation qui prévalait au mois de novembre 2006, Laval affichait, le mois dernier, le deuxième taux de chômage le plus bas des 16 régions du Québec, avec un score de 4,8%. Seule la région de la Capitale-Nationale a fait mieux que Laval en novembre, avec un taux de chômage de 4,4%. La seule autre région administrative dont le taux est inférieur à 5% est Chaudières-Appalaches, à 4,9%. Si l’île de Montréal a connu un autre mois difficile, comme l’illustre un taux de chômage de 8,2%, la région métropolitaine de recensement présente, elle, un taux de 6,7%, un dixième de point supérieur à la moyenne de 6,6% établie à l’échelle de la province. Même si le niveau de chômage des Lavallois enregistré en novembre est le plus élevé des sept derniers mois, la région poursuit sur son irrésistible lancée, qui pourrait lui permettre de boucler l’année 2007 avec un taux de chômage record inférieur à 5%. Bond de 9,1% Considérant que l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada ne tienne compte que de données non désaisonnalisées, la seule comparaison possible est celle avec la même période au fil des années antérieures. Quand on y regarde de près, la performance lavalloise tient pratiquement du prodige, et ce, à plusieurs égards. Selon la dernière enquête, il y avait le mois dernier 208 900 Lavallois en emploi, soit une hausse de 9,1% par rapport aux 191 400 au travail 12 mois plus tôt. D’après la même étude, les Lavallois représenteraient tout près de 60% des quelque 30 500 travailleurs additionnels recensés dans la grande région métropolitaine. Et près de 20% des 95 600 nouveaux travailleurs répertoriés à l’échelle du Québec! Encore plus spectaculaires sont les variations des personnes occupées le mois dernier en comparaison au mois de novembre 2006: Laval affiche une hausse de 9,1% contre 1,6% pour la région métropolitaine et 2,5% pour l’ensemble de la province. Population active en forte hausse Autre mesure qui en dit long sur le potentiel économique de la province et du pays: la population active. Le niveau de vie de ses habitants, tout comme la productivité de ses entreprises, progressent à la mesure qu’augmente le pourcentage de sa population active. Le mois dernier, on figurait à 219 400 le nombre de Lavallois de 15 ans et plus en emploi ou en recherche active d’un emploi, une hausse de 15 500 personnes pour une variation de 7,6%. Par contre, à l’échelle du grand Montréal, l’Enquête sur la population active (EPA) note une augmentation d’à peine 12 800 personnes dites actives pour une hausse marginale de 0,6%, ce qui implique que les Lavallois auraient largement amélioré leur situation par rapport aux citoyens des régions limitrophes. Dans tout le Québec, la population active serait passée de 4 100 400 à 4 166 200 personnes, une hausse de 1,6%. Mine de rien, les Lavallois représentent 24% de ces 65 800 Québécois venus grossir les rangs de la population active. Échantillonnage Rappelons que les données mensuelles de l'EPA tiennent compte de la moyenne mobile des trois derniers mois, a déjà souligné l'économiste à la direction régionale d'Emploi Québec, Jacques Chapdelaine. Une façon de compenser le faible échantillonnage des 278 ménages lavallois recensés chaque mois.
  14. Siège social à Montréal Imperial Tobacco Canada célèbre son centenaire cette année Mise en ligne 11/01/2008 08h33 Siège social à Montréal - Imperial Tobacco Canada célèbre son centenaire cette année La PRESSE CANADIENNE Imperial Tobacco Canada amorce des célébrations pour souligner son centenaire. Fondée le 11 juin 1908, cette entreprise demeure encore un chef de file de l'industrie canadienne du tabac. L'entreprise, dont le siège social est situé à Montréal, est détenue par la British American Tobacco (BTI) depuis l'année 2000. Elle emploie directement 793 personnes. Au cours de ses cent ans d'existence, l'entreprise est restée implantée dans son quartier d'origine, Saint-Henri. Elle y a bâti sa première usine et y a établi son nouveau siège social en 2002 à proximité de l'usine originale, qui a fermé ses portes il y a près de quatre ans. Imperial Tobacco Canada estime qu'au fil des ans, elle a été déterminante dans l'évolution du patrimoine artistique, culturel, sportif, de la mode et des services communautaires. Sa fondation se consacre aujourd'hui aux arts et à la culture, aux soins des aînés et à l'éducation. Dans un communiqué, le pdg d'Imperial Tobacco Canada, Benjamin Kemball, a souligné l'esprit novateur des employés qui ont contribué à en renforcer les assises. Après 100 ans, Imperial Tobacco Canada entend continuer à reconnaître et identifier les besoins des fumeurs adultes canadiens et répondre à leurs attentes. Alors que l'entreprise lance les festivités de cet anniversaire, des groupes de santé manifestent leur réprobation. Pour Louis Gauvin, porte-parole de la Coalition québécoise pour le contrôle du tabac, ces 100 ans de souffrances humaines inutiles et évitables ne peuvent pas être passées sous silence. Différents représentants de groupes de santé ont décidé de rendre hommage ce vendredi à la mémoire des centaines de milliers de personnes qui sont décédées à cause des produits d'Imperial Tobacco. Ils manifesteront en après-midi, à 14h30, à deux pas du siège social du cigarettier.
  15. Journal de Montréal 08/12/2007 Il y aura référendum, demain à Mont-Royal, pour la vente du parc municipal Fleming à une entreprise privée en vue de la construction d'une résidence de huit étages pour personnes âgées. Le terrain fait environ 44 000 pieds carrés entre le chemin de la Côte-de-Liesse et la rue Brittany. Le sujet a soulevé beaucoup de passion depuis plusieurs semaines dans la ville de banlieue défusionnée, surtout à la suite de la victoire de 101 personnes qui ont bloqué un changement de zonage lors du registre tenu le 4 octobre. Plus de 700 personnes habitant des zones limitrophes auront droit de vote demain pour décider de l'avenir du parc. Le changement de zonage, qui a été renversé une première fois, est au coeur du projet puisque la Ville veut le faire passer de «vert» à commercial pour permettre la construction d'une résidence privée de huit étages pour personnes âgées. Les cinq citoyens membres du comité consultatif de la ville sur l'environnement ont déclaré publiquement leur opposition au projet, même si un parc public à peu près quatre fois plus grand se trouve à proximité du parce que la ville veut vendre. 19 arbres à protéger Les citoyens qui dénoncent le projet veulent protéger les 19 arbres matures du parc, qu'ils considèrent comme un filtre à côté de l'autoroute Métropolitaine, Plusieurs citoyens ne comprennent pas non plus pourquoi loger sur ce site des personnes âgées à la santé fragile. Pour sa part, la mairesse Vera Danyluk encourage la construction de l'immeuble parce qu'il y a une seule résidence du genre à Mont- Royal et que 20% de la population, environ 4 000 personnes, ont plus de 60 ans..
  16. mtlurb

    Le 1313 Chomedey

    Résidence pour personnes agées présentement en construction de 13-14 étages sur le Boulevard Chomedey à Laval.
  17. Le Journal de Montréal 28/10/2007 Les Montréalais sont les plus pauvres de la province, selon les derniers chiffres de l'Institut de la statistique du Québec. Une personne sur cinq vivrait à peine au-dessus du seuil de pauvreté. Selon le dernier rapport 2007 de l'institut de la statistique du Québec (ISQ) paru mercredi dernier, la région de Montréal affiche le taux de faible revenu le plus élevé des 17 régions administratives du Québec, soit 21,5%. «Bien sûr que la pauvreté s'est étendue à Montréal, dit François Saillant, coordonnateur au Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). On peut s'en rendre compte juste en constatant la crise qui touche le logement.» Ce sont principalement les familles sans enfants et les familles monoparentales qui sont le plus touchées. Pas de surprises M. Saillant explique que ces chiffres ne le surprennent pas et que les raisons sont évidentes. «On sait depuis 2001 que certains locataires dépensent jusqu'à 80% de leur salaire pour leur loyer, dit-il. Ce qui m'inquiète aussi, c'est que même si les gens ont de plus en plus accès au marché du travail, les conditions sont déplorables et le salaire minimum trop bas.» M. Saillant évoque également les personnes qui viennent à Montréal pour y trouver plus de ressources et d'aide, le nombre sans cesse croissant de familles en attente de logements sociaux et ce qu'il appelle la «colocation forcée». La situation a explosé «C'est pas deux personnes qui partagent un appartement, mais des familles entières! s'exclame-t-il. La situation a explosé et on n'a pas vu ça depuis les années 50-60.» La Mauricie présente le deuxième taux de faible revenu le plus élevé (16,7%) et à l'inverse, les régions périphériques de Montréal affichent les taux les plus faibles, comme la Montérégie (12 %) et Laval (12,1 %).
  18. Le chauffage au bois complice du smog à Montréal Canoë Virginie Roy 31/10/2007 14h22 L’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal (ASSS) offre maintenant un dépliant informatif concernant le chauffage au bois. Selon elle, le chauffage au bois résidentiel représenterait une des principales sources d’émission de particules fines qui contribuent à la formation du smog hivernal du Québec. «Sur l’île de Montréal, près de 100 000 ménages utilisent un système de combustion du bois pour chauffer leur résidence», déclare-t-elle. Rappelons qu’en 2005, Montréal a connu un épisode de smog hivernal d’une durée record de neuf jours lié, entre autre, au bois de chauffage. «Lorsqu’on brûle du bois, plus d’une centaine de composés toxiques sont libérés dans l’atmosphère et s’ajoutent à ceux émis lors de la combustion de l’essence, du diesel ou de l’huile à chauffage ainsi que ceux émis par de nombreuses industries», explique l’ASSS. Les principaux polluants qu’on y retrouve sont les particules fines, le monoxyde de carbone, des composés organiques volatils, des hydrocarbures aromatiques polycycliques, des oxyde d’azote et de nombreux produits irritants. Smog et maladies L’ASSS va encore plus loin en faisant un lien directe entre ce problème environnemental et certaine maladies. «Parmi les substances émises par la combustion du bois, certaines sont reconnus cancérigènes, et d’autres peuvent provoquer différents malaises comme l’irritation des yeux et des voies respiratoires, ainsi qu’aggraver l’état des personnes souffrant de maladies cardiaques ou respiratoires chroniques», explique Norman King, épidémiologiste à la Direction de santé publique. L’ASSS ajoute que plus de 95 % des particules émises par le chauffage au bois sont respirables, car leur petit diamètre leur permet de pénétrer profondément dans les poumons. Les personnes les plus sensibles à la pollution de l’air par les particules respirables seraient les très jeunes enfants, les personnes âgées et celles qui souffrent d’asthme, d’emphysème ou de problèmes cardiaques. L’ASSS recommande de se procurer un appareil certifié par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) si le chauffage au bois est nécessaire. Il est aussi demandé de ne pas utiliser son appareil de chauffage lorsqu’un avertissement de smog est émis. De plus amples renseignements sur le chauffage au bois sont disponibles sur le site Internet de la Ville de Montréal.
  19. Les Terrasses Versailles Architectes: ? Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidences pour personnes âgées Emplacement: Anjou, Montréal ? mètres - 15 étages Description: - Le projet comporte 450 appartements pour personnes âgées.
  20. Les Jardins d'Italie Architectes: ? Fin de la construction: décembre 2007 Utilisation: Résidence pour personnes âgées Emplacement: St-Léonard, Montréal ? mètres - 8 étages Descriptions: - 195 appartements
  21. Vidéotron va recruter 200 nouveaux employés 15 octobre 2007 - 14h20 LaPresseAffaires.com Grossir caractèreImprimerEnvoyer Le câblodistributeur Vidéotron, filiale de Quebecor, lance une campagne de recrutement visant à combler 200 postes d’ici à la fin de l’année. Les embauches concernent les métiers du service à la clientèle pour des postes de conseiller et de gestionnaire, ainsi que des vendeurs. Des ingénieurs en télécommunications et des analystes de réseau sont également recherchés. Enfin, des emplois sont à pourvoir dans le domaine de l’installation technique, de l’informatique et de la gestion de projets. Les recrutements répondent à la croissance du nombre d’abonnés à ses services de câblodistribution et à l’ajout de nouveaux produits, explique l’entreprise. Vidéotron dit avoir déjà recruté près de 600 personnes depuis le début de l’année. «Avec cette campagne qui s’amorce, Vidéotron souhaite combler une série de postes nouvellement créés. La croissance que nous vivons présentement est digne des plus belles histoires à succès en affaires. C’est pourquoi nous invitons les personnes compétentes provenant de diverses sphères d’activités à entrer en contact avec nous pour, ultimement, faire partie de notre équipe et ainsi, contribuer à ce succès», explique le v-p Ressources humaines de Vidéotron, Normand Vachon.
  22. (Courtesy of Statscan (English) / Statscan (Francais)) This is part of what they posted on their website.
  23. Le Québec, terre de travail accueillante Travail. Un programme incite les PME à embaucher et à former des immigrés qualifiés. Par Emmanuelle LANGLOIS QUOTIDIEN : lundi 24 septembre 2007 Québec (Canada) de notre correspondante loadNbReaction('NbReactions',curDocId); Terre d’immigration, le Québec accueille chaque année près de 45 000 immigrants dont la venue est censée mettre un frein au vieillissement de la population, à la pénurie de main d’œuvre et à la dénatalité. Plus de la moitié d’entre eux sont sélectionnés en raison de leur niveau d’études, de leur expérience professionnelle et de leur connaissance des langues officielles : le français et l’anglais. Dès leur arrivé sur le sol québécois, ces nouveaux arrivants doivent partir à la recherche d’un emploi. Un processus qui se révèle souvent long et délicat : le taux de non-emploi des immigrants atteint 12,7 %, contre 7,4 % pour les personnes nées au Canada. Pour contrecarrer cette réalité, le ministère de l’Immigration et des communautés culturelles et celui de l’Emploi et de la solidarité sociale développent des programmes destinés à faciliter l’intégration : cours de langue, programmes d’accueil et d’insertion professionnelle… Adaptation. L’arme la plus efficace est le Programme d’intégration professionnelle des personnes immigrantes, baptisé Priime. «Les immigrants sont confrontés à la non-reconnaissance de leurs acquis et de leurs compétences, confie Serge Durand, d’Emploi-Québec. Ce qui mène à une déqualification de cette population. Avec le Priime nous favorisons l’obtention d’une première expérience professionnelle au Québec, clé de voûte d’un début de carrière.» Lancé en 2005, le Priime s’adresse aux PME. En prenant en charge 50 % du salaire d’un immigrant pendant six mois, il favorise le recrutement de personnes qui vivent leur première expérience de travail dans leur domaine de compétences. Le Priime paye également pendant trois mois le salaire d’un employé «accompagnateur», chargé d’aider à l’intégration, et subventionne les formations destinées à faciliter l’adaptation du nouvel engagé au contexte de travail nord-américain. Financé grâce aux intérêts générés par le Programme des immigrants investisseurs - lors de leur arrivée sur le sol québécois, ils effectuent un dépôt de garantie d’au moins 250 000 dollars canadiens (177 000 euros) destiné à prouver leur capacité à créer des emplois -, le Priime a reçu une subvention de 5 millions de dollars (3,5 millions d’euros) entre 2006 et 2007, laquelle a permis l’embauche de 900 immigrants. «Il ne faut pas se leurrer, sans cette politique incitative, ces PME n’auraient pas opté pour l’embauche d’immigrés», soutient Babakar-Pierre Touré, directeur général du Service d’orientation et d’intégration des immigrants au travail (Soiit). Reste que près de 100 % des participants obtiennent un emploi fixe une fois le temps du Priime écoulé. Michel Ganache, directeur général de Momentum Technologies, firme de consultants en informatique de la région de Québec, en sait quelque chose. Depuis sa création en 2003, son entreprise a embauché 21 immigrants. «Nous avons tenté l’expérience du Priime en 2005 avec deux Mexicains et elle s’est révélée très concluante, tant auprès de notre clientèle qu’au sein de l’entreprise», explique-t-il. Les 7 000 dollars (4 900 euros) qu’il reçoit lorsqu’il offre un poste de six mois à un nouvel arrivant sont à ses yeux l’équivalent d’une prime de risque. «Je prends le risque d’accueillir une personne dont il est difficile de valider la réalité du curriculum vitæ alors le gouvernement me donne un coup de pouce, analyse-t-il. Et, au final, je suis gagnant puisque ce sont des personnes qui ont plusieurs années d’expérience dans leur pays et qui ne nécessitent qu’une mise à niveau et une familiarisation avec le marché québécois.» «Diversité.» Désormais, 11 communautés - Brésiliens, Péruviens, Béninois, Ghanéens, Algériens, etc. - se côtoient dans les locaux de Momentum à la grande satisfaction du directeur. «Il y a aussi des investissements et une adaptation de notre part puisqu’il faut réussir la cohabitation. Il faut tenir compte de cette diversité lorsque nous organisons des activités sociales ou des sorties familiales et cela amène un défi supplémentaire positif.» Directeurs des ventes, comptables, ingénieurs, analystes et programmeurs informatiques, personnel administratif sont autant de postes qui ont été pourvus au cours de la dernière année. Il n’existe a priori pas de limite au Priime : tous les immigrants sont éligibles. «Le marché du travail fluctue et il est certain que les postes dans les secteurs en pénurie sont plus faciles à trouver, précise toutefois Babakar-Pierre Touré. Actuellement, plus que d’ingénieurs, le Québec est à la recherche de techniciens, de plombiers et de bouchers.»
  24. Un bureau du Québec à Sao Paulo Monique Gagnon-Tremblay (archives) Une délégation de 30 personnes composée de représentants des milieux universitaires et des affaires québécois termine lundi une mission au Brésil, premier partenaire commercial du Québec en Amérique du Sud. La ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay, a profité de cette visite pour annoncer l'ouverture prochaine d'un bureau du Québec à Sao Paulo. En entrevue au Réseau de l'information, elle a affirmé que la mission avait dépassé ses objectifs. « J'ai découvert un pays non pas émergent, mais un pays qui a émergé », a-t-elle dit, soulignant la curiosité des Brésiliens à l'égard du Québec. Des rencontres d'information sur le Québec tenues à Sao Paulo et à Brasilia ont d'ailleurs attiré quelque 500 et 300 personnes, respectivement. Le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles a aussi profité de la mission pour signer une entente de francisation pour les candidats brésiliens à l'immigration avec le Service national d'apprentissage du commerce. La Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec (CREPUQ), Cégep international, l'Université du Québec à Montréal (UQAM), l'Université Concordia et le Collège François-Xavier-Garneau représentaient le volet éducatif de la mission. Onze entreprises de recherche et d'innovation, des affaires et de l'économie sociale faisaient partie du volet économique. La communauté d'affaires souhaitait attirer des entreprises brésiliennes en vue du Forum des Amériques d'octobre prochain, à Saint-Hyacinthe. L'objectif de participation de l'Amérique latine à cette rencontre est de 70 entreprises. Les exportations québécoises vers le Brésil ont atteint une valeur de 364 millions de dollars en 2005, en hausse de 52 % par rapport à l'année précédente. Le Brésil compte quelque 190 millions d'habitants.
  25. Le soccer international reviendra à Montréal Photo Reuters Jean-François Bégin La Presse Toronto Le succès populaire de la Coupe du monde U-20 à Montréal laisse présager des visites plus fréquentes des équipes nationales dans la métropole. C'est ce qu'a indiqué le président de l'Association canadienne de soccer, Colin Linford, en marge de la conférence de presse bilan du tournoi. Au total, 2 413 171 spectateurs ont assisté aux rencontres disputées à Montréal, pour une moyenne de plus de 39 000 personnes par jour de match. Le duel entre le Chili et le Nigeria, dimanche dernier, a attiré à lui seul 46 252 spectateurs, le troisième total de l'histoire de la Coupe du monde U-20 pour un match de quart de finale. Quant au programme inaugural, qui mettait notamment en vedette les États-Unis et le Brésil, il a fait salle comble: 55 800 personnes. «Compte tenu du succès que nous avons connu au Stade olympique, j'ai envoyé un courriel aux membres du comité organisateur local pour leur dire que le soccer international reviendrait à Montréal, a dit M. Linford. Nous croyons maintenant qu'il y a un besoin et un amour pour notre sport à Montréal.» Dans le passé, les équipes nationales, et en particulier l'équipe nationale masculine, ne sont venues que rarement à Montréal. Mais ça risque de changer. «Avec ce qui vient de se passer, il n'y a pas de raison qui empêcherait qu'il y ait des matchs dans le futur», a ajouté le président de l'ACS. Reste à voir si ce sera au Stade olympique, où l'on n'est toujours pas certain de pouvoir compter sur une surface synthétique. Les deux surfaces achetées pour le tournoi, l'une par l'ACS, l'autre par la Fédération de soccer du Québec, risquent en effet d'être revendues, comme La Presse l'expliquait la semaine dernière. Montréal a contribué largement à la réussite du tournoi, qui a attiré une foule record de 1 195 239 spectateurs. C'est environ 40 000 de plus qu'au Mexique en 1983 (le tournoi comptait toutefois moins de matchs à l'époque). Trente et une des 52 rencontres ont été disputées à guichets fermés et 73% des billets disponibles dans les six villes hôtes ont été vendus. «Sur tous les plans, l'Association canadienne de soccer a surpassé nos attentes les plus folles», a dit hier le vice-président de la FIFA, Jack Warner. «Le Canada n'est pas reconnu comme une nation de soccer, mais le comité organisateur a défié les probabilités pour faire de cette compétition le succès qu'elle a été.»
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