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  1. Intempéries sur le marché du travail 8 août 2008 - 20h45 La Presse Rudy LeCours Aux averses qui grisaillent notre été s’ajoute un déluge de licenciements et de mises à pied qui assombrissent le marché du travail au Canada dans son ensemble, et au Québec en particulier. En juillet, c’est comme si la foudre était tombée : 55 200 emplois ont été pulvérisés d’un océan à l’autre, dont 29 700 dans la société distincte, selon les données de l’Enquête sur la population active de Statistique Canada. C’est le deuxième mois d’affilée où l’emploi diminue à l’échelle du pays, mais les dégâts de juillet sont beaucoup plus imposants et les pires depuis février 1991. Ils ont ahuri les experts qui pariaient sur des conditions plus clémentes. Le gâchis de juillet limite la création d’emplois à 71 700 cette année. Il s’agit de la croissance la plus faible depuis 1992. La destruction d’emplois afflige en outre le moral des personnes qui cherchent activement du travail. Voilà pourquoi 74 100 personnes ont quitté les rangs de la population active le mois dernier, faisant baisser d’un dixième le taux de chômage, ou plutôt de demandeurs d’emploi, à 6,1 %. Au Québec, ce courant n’a pas suffi le mois dernier à endiguer la montée du taux de chômage qui est passé de 7,2 % à 7,4 %. Il serait déjà plus élevé si le nombre de découragés n’augmentait pas aussi rapidement. Le mois dernier, le Québec comptait 10 300 personnes de moins qu’en décembre sur le marché du travail alors que sa population en âge de travailler (15 ans et plus) a pourtant augmenté de 34 100 durant les sept premiers mois de l’année. La morosité des travailleurs est compréhensible : la Belle Province comptait le mois dernier 5300 emplois de moins qu’il y a un an. L’Ontario, l’autre province qui subit de plein fouet les vents adverses de l’économie américaine, a perdu 18 100 emplois en juillet, tous à temps plein. Comme pour l’ensemble du Canada, son taux de chômage a cependant diminué de 6,7 % à 6,4 % en raison d’une diminution de 41 500 personnes de sa population active. En 2008, l’Ontario a ajouté jusqu’ici 37 900 emplois, tous à temps partiel cependant. «Le marché du travail québécois s’en tire quand même mieux depuis le début de l’année parce que la plupart de ses emplois perdus sont à temps partiel», fait remarquer Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne. Autre différence marquante en ces temps chagrins, le travail en usine est à la hausse au Québec depuis le début de l’année : les fabricants ont gonflé leurs effectifs de 18 200 depuis janvier, dont 3700 le mois dernier. Ceux d’Ontario les ont réduits de 40 700. Les déboires de l’industrie automobile sont au cœur de cette différence. Les ventes de voitures sont en baisse de 8,3 % depuis un an chez l’Oncle Sam, principal débouché de la production ontarienne. Au Québec tout comme au Canada dans son ensemble, ce qui inquiète avant tout, ce sont les pertes d’emploi dans le secteur des services: 19 900 au Québec, 37 300 au Canada, le mois dernier. «L’emploi dans les services a reculé pour un troisième mois consécutif, note Benoit P. Durocher, économiste senior au Mouvement Desjardins. Est-ce à dire que la demande intérieure n’est plus assez vigoureuse?» Chose certaine, elle aura été affaiblie par les prix à la pompe qui ont culminé en juillet. Seule touche ensoleillée dans ce morne tableau, la rémunération horaire reste plus élevée que le taux d’inflation. Ceux qui travaillent augmentent leur pouvoir d’achat, mais ce n’est pas le cas aux États-Unis. Les administrations publiques ont gonflé leur personnel encore un peu plus, mais le secteur privé a décrété l’état d’urgence : il a sacrifié 95 300 emplois le mois dernier. Il faut remonter 23 ans en arrière pour retrouver pareil carnage. «Si le secteur public tend à offrir des emplois avec des revenus décents, c’est le secteur privé qui signale les points tournants de l’économie», fait remarquer Avery Shenfeld, économiste chez CIBC Marchés mondiaux.
  2. Le plus gros recul de l'emploi en 17 ans 8 août 2008 - 07h21 LaPresseAffaires.com Michel Munger Selon les secteurs, la fabrication, les services aux entreprises, les services liés aux bâtiments et autres services de soutien font partie de ceux qui essuient le plus de pertes. La situation de l'emploi s'aggrave au pays avec le recul le plus important en 17 ans. Statistique Canada rapporte ce matin la perte de 55 200 postes en juillet, contre seulement 5000 le mois précédent. Ce sont surtout des postes à temps partiel qui se sont volatilisés. Le recul est le plus important depuis février 1991 alors que les analystes prévoyaient un gain de 5000 emplois. Selon les secteurs, la fabrication, les services aux entreprises, les services liés aux bâtiments et autres services de soutien font partie de ceux qui essuient le plus de pertes. Les grands gagnants sont l'hébergement et la restauration. Le secteur privé a perdu 95 000 emplois alors que le secteur public en a gagné 29 500. Pourtant, le taux de chômage a fléchi de 0,1 point à 6,1% au pays, ce que l'agence fédérale attribue à un grand nombre de personnes qui ont quitté la population active. Au Québec, l'emploi a reculé de 30 000 postes en juillet, alors que le taux de chômage a monté de 0,2 point à 7,4%. Statistique Canada estime que ce sont surtout les jeunes qui sont moins présents au sein de la population active. En Ontario, le taux a diminué de 0,3 point pour s'établir à 6,4%, alors que 42 000 personnes, principalement des jeunes de 15 à 24 ans, se sont retirées du marché du travail.
  3. Le nombre de chômeurs a légèrement diminué au Canada en juillet parce qu'un grand nombre de personnes, surtout des jeunes, ont quitté la population active. Pour en lire plus...
  4. Onze individus sont accusés de s'être emparés de 40millions de numéros de cartes de crédit et de débit, un vol d'identité d'une ampleur sans précédent. Pour en lire plus...
  5. 25 avril 2007 C’est avec une satisfaction bien évidente que le maire Claude Trudel et plusieurs de ses collègues du conseil ont procédé, mardi dernier, à la présentation officielle du complexe Le Sommet de la Rive. Cette résidence pour personnes retraitées fera partie de la famille d’habitations Le groupe Résidences Prestige, géré par Maxera. Le maire de l’arrondissement a tenu à rappeler que ce projet concrétise un engagement pris lors de la dernière campagne électorale et répond aux demandes maintes fois répétées de résidants de Verdun. Lors de la construction du boulevard Gaétan-Laberge, inauguré en septembre 2005, une aire de développement résidentiel avait été dégagée à proximité de cette artère urbaine. C’est donc un emplacement de 6918 mètres carrés qui a été réservé aux fins de cette construction et, après étude des propositions reçues, l’arrondissement a cédé cette propriété au groupe Maxera/Vinac pour la somme de 1 100 000$. En contrepartie, le promoteur s’est engagé à y ériger une résidence répondant aux normes de l’arrondissement et aux besoins des aînés de cette communauté. Dans les précisions qu’il a apportées, le directeur de l’Aménagement urbain, Dany Tremblay a indiqué que ce projet s’inscrivait dans le plan de développement de ce secteur. Dans ce secteur, on retrouvera, au terme des projets, une mixité de logements à prix abordables, de condos et d’appartements pour personnes retraitées. C’est au 3501, boulevard Gaétan-Laberge que cet imposant édifice de dix étages sera construit. L’emplacement de ce complexe de 180 unités est particulièrement bien adapté aux attentes des personnes du troisième âge. Situé à deux pas de l’hôpital de Verdun, il offrira à ses résidants la proximité du fleuve, d’un vaste parc, des pistes cyclables et pédestres et d’une station de métro. Les occupants de ces appartements auront le choix entre une vue sur le fleuve ou une vue sur le centre-ville de Montréal. L’édifice de 10 étages offrira une insonorisation supérieure et un accès contrôlé avec surveillance vidéo. Destiné aux personnes autonomes et semi-autonomes, on pourra y bénéficier d’un service d’infirmière disponible 24 heures sur 24 et d’espaces dédiés, comme une piscine intérieure, un spa et bain tourbillon, une terrasse sur le toit avec vue panoramique, etc. Les résidants du complexe pourront bénéficier d’un ou plusieurs repas par jour inclus dans le forfait qu’ils choisiront. Les appartements de 1-1/2 à 4-1/2 pièces seront pourvus d’une cuisinière et d’un réfrigérateur et les tarifs incluent le chauffage, l’éclairage et la climatisation. Lors de la conférence de presse, M. Armando Pertugia, directeur du projet, a expliqué que cette nouvelle construction porterait à près de 900, le nombre des appartements gérés par le Groupe. La qualité de ses résidences lui a mérité le prix Rose d’Or 2001 et le Cœur d’or 2001 et 2004 de la Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ). Les travaux de construction doivent débuter au début du mois d’août 2007 et les locataires du complexe pourront occuper leurs appartements en 2008. Le bureau de location est présentement situé au 3550, rue Wellington et un appartement-témoin sera bientôt aménagé dans le nouvel édifice, au 3501, boulevard Gaétan-Laberge. Cette maquette permet de bien visualiser l’apparence du complexe Le Sommet de la Rive.
  6. Buzz Hargrove a affirmé que plusieurs personnes vont pousser un soupir de soulagement lorsqu'elles connaîtront les détails de l'entente intervenue avec l'employeur. Pour en lire plus...
  7. Le constructeur américain reporte l'ajout d'un quart dans une usine d'assemblage ontarienne, fermant une perspective d'emploi pour 350 personnes. Pour en lire plus...
  8. Des personnes accusées le mois dernier d'avoir fixé les prix à la pompe en Estrie et au Centre-du-Québec discutaient aussi des prix dans d'autres marchés, dont Montréal et Trois-Rivières. Pour en lire plus...
  9. L'usine qui emploie 450 personnes dans l'arrondissement Lachine vient d'être vendue à un groupe austro-finlandais qui se dit prêt à maintenir les activités. Pour en lire plus...
  10. Des entreprises espagnoles commandent à une compagnie de Québec des bracelets pour faciliter la mobilité des personnes atteintes d'une maladie dégénérative. Pour en lire plus...
  11. Le marché du travail tient bon 7 juin 2008 - 06h00 La Presse En mai, 8400 Canadiens de plus qu'en avril détenaient un emploi, ce qui a permis de garder le taux de chômage à 6,1% seulement, révèlent les données de l'Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada. Cette faible création, qui se situe à l'intérieur de la marge d'erreur de l'EPA (8400 emplois sur 17,14 millions), est interprétée comme si le marché du travail était «demeuré inchangé» par les analystes de l'agence fédérale. Cela témoigne néanmoins d'une résistance certaine du marché du travail, si on regarde ce qui se passe au sud de la frontière. Aux États-Unis, l'économie a détruit 49 000 emplois en mai, ce qui a propulsé le taux de chômage de 5,0% à 5,5%. Il s'agit du plus grand bond en 22 ans. En fait, si on calcule le taux de chômage canadien selon la méthodologie américaine qui fixe à 16 ans au lieu de 15 l'âge d'entrée dans la population active, on mesure mieux la détérioration du marché du travail américain. «Il s'agit de la première fois depuis 1982 que le taux de chômage au Canada calculé selon les concepts américains baisse au-dessous du taux américain», fait remarquer Philip Cross, analyste en chef à Statistique Canada qui a réalisé la comparaison. Cela dit, le marché canadien n'est pas exempt de ratés. Seuls le Québec et l'Ontario ont affiché des gains significatifs en mai. D'un océan à l'autre, 32 200 emplois à temps plein disparus ont été remplacés par 40 600 à temps partiel, tous dans le secteur privé cependant. Si le taux de chômage est resté stable, 13 400 personnes de plus qu'en avril étaient à la recherche active d'un emploi, ce qui porte le nombre de chômeurs à 1,12 million de Canadiens. Au Québec, le portrait de mai a davantage de lustre: 17 900 personnes de plus détenaient un emploi (dont 11 800 à temps plein). Plus de personnes étaient sur le marché du travail que durant le mois précédent, mais le nombre de chômeurs a diminué de 2700 à 313 200. Le taux de chômage a donc fléchi de 7,6% à 7,5%. En usine Fait à relever, le secteur manufacturier prend du mieux. Il a créé 13 700 emplois le mois dernier de sorte que 2400 Québécois de plus qu'il y a 12 mois travaillaient en usine, le mois dernier. Selon l'agence fédérale, le dynamisme des secteurs aéronautique et du matériel roulant compenserait la léthargie du textile et du vêtement. Il y a plus, semble-t-il. «On fait des gains de productivité, on n'est pas en train de fermer boutique», juge Joëlle Noreau, économiste principale au Mouvement Desjardins. Le secteur a connu une bonne expansion (2%) en 2005, s'est contracté un brin (0,6%) en 2006 et a repris le terrain perdu (0,8%) l'an dernier. L'Ontario, dont le marché du travail se porte bien jusqu'ici en 2008 (80 700 emplois), n'est pas au bout de ses peines avec les déboires du secteur automobile, qui promet de nouveaux licenciements d'ici à 2010. «Ce qui était sa pierre d'assise est en train de devenir son talon d'Achille», résume Mme Noreau dans une jolie métaphore. Reste que la société distincte n'est qu'une province sur dix. À l'échelle pancanadienne, des signes d'essoufflement sur le marché du travail en font sourciller quelques-uns. «Le secteur crucial des services n'a créé que 10 000 postes au cours des trois derniers mois, note Stéfane Marion, économiste en chef adjoint à la Financière Banque Nationale. Le nombre total d'heures travaillées a déjà diminué de 1,4% en chiffres annualisés alors qu'il ne reste qu'un mois, ce trimestre.» «Les employeurs préfèrent réduire les heures de travail plutôt que de licencier des employés qu'ils ont eu de la difficulté à embaucher ces dernières années», résume Ted Carmichael, économiste principal chez JP Morgan. Moins d'heures travaillées présagent d'une expansion anémique, à moins d'improbables gains de productivité. Cela devrait aussi infléchir les pressions salariales, mais ce n'est pas encore le cas. Le salaire horaire moyen était en hausse annuelle de 4,8% en mai. Cela représente une accélération par rapport à avril et demeure plus du double du taux d'inflation (1,7%). Les variations provinciales sont marquées: 2% seulement en Nouvelle-Écosse, mais 7,8% dans la bouillante Saskatchewan. Au Québec, la hausse s'élève à 3,2%, soit deux fois plus que le taux d'inflation. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080607/LAINFORMER/806071068/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  12. La fermeture sera effective plus tard cette année. La décision touchera quelque 120 personnes. Pour en lire plus...
  13. Le Symbiose Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidences pour personnes retraitées Emplacement: Rosemont ? mètres - 6 étages Site internet: http://www.lesymbiose.com/ Description: - Complexe résidentiel multiservices pour personnes retraitées situé à l'angle du boulevard Sherbrooke et de l'autoroute 25 à Montréal.
  14. Réinventer le Vieux-Montréal" - La Ville de Montréal présente son plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal MONTREAL, le 14 mars /CNW Telbec/ - M. André Lavallée, responsable de l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif de la Ville de Montréal, a présenté aujourd'hui un projet de plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal. Ce plan propose de prioriser le transport actif, de consolider l'offre de transport collectif tout en repensant l'accessibilité des voitures pour limiter la circulation de transit de ce secteur de la métropole. "La Ville prend des mesures concrètes pour redonner le Vieux-Montréal aux Montréalais, et plus particulièrement aux résidants et commerçants qui l'animent. La Ville souhaite aussi que les visiteurs puissent se balader à pied dans ce quartier historique, découvrir son histoire et son architecture tout en profitant pleinement des attraits touristiques et de l'ambiance qui s'y dégagent", de déclarer M. Lavallée. Le Vieux-Montréal et le Vieux-Port occupent une place importante dans la vie économique, touristique et culturelle de notre métropole. Au cours des dix dernières années, la population a doublé atteignant 4 500 personnes, le nombre de chambres d'hôtel a quadruplé à près de 1 600, le nombre de travailleurs a progressé du tiers à environ 35 000 et le nombre de visiteurs oscille annuellement entre 13 à 15 millions. Piétons et véhicules se partagent avec difficulté des voies publiques qui, pour bon nombre, ont été conçues dans les années qui ont suivies la fondation de Montréal pour un achalandage nettement plus réduit et des véhicules fort différents. Conformément aux orientations du Plan de transport, soit, choisir le transport collectif comme mode privilégié de déplacement des personnes et favoriser les modes de transport actifs; la stratégie présentée aujourd'hui s'articule autour de cinq interventions : << - piétonniser progressivement la rue Saint-Paul en débutant par le tronçon entre le marché Bonsecours et le boulevard Saint-Laurent et un tronçon de la rue Notre-Dame devant la Place d'Armes et la Basilique Notre-Dame du 15 juin au 15 septembre de 11h à 6h; - mettre en place un nouveau circuit d'autobus de la STM reliant le pôle Vieux-Montréal/Vieux-Port au centre-ville via la rue Peel, le boulevard René-Lévesque et la station de métro Berri-UQAM; - inciter à l'utilisation des stationnements hors rue par l'implantation d'un système de signalisation dynamique pour guider les automobilistes vers les parcs de stationnement situés à proximité et comprenant plus de 8 000 places; - limiter la circulation des autobus touristiques dans le Vieux-Montréal en leur assignant des zones de débarcadères en périphérie et en leur offrant du stationnement hors rue; - apaiser le coeur du Vieux-Montréal, en incitant les conducteurs à utiliser les rues Viger et St-Antoine pour les déplacements entre l'ouest et l'est dans le Vieux-Montréal et en mettant à double sens la rue Saint-Laurent, entre les rues Notre-Dame et Viger. Mentionnons que la Société de Transport de Montréal, la Société du Vieux-Port, le Ministère de la Culture et des communications du Québec et Stationnement de Montréal ont été étroitement liés à l'élaboration des mesures proposées dans le Plan de transport du Vieux-Montréal. Le comité exécutif a mandaté le Bureau du patrimoine, de la toponymie et de l'expertise pour obtenir rapidement les avis de l'arrondissement Ville-Marie et des principaux partenaires que sont Tourisme Montréal, la Société de développement du Vieux-Montréal, l'Association des résidants du Vieux-Montréal et la Table de concertation du Vieux-Montréal. Monsieur Lavallée est confiant que les premières mesures pourront être mises en place d'ici le début de l'été 2008. >> Renseignements: Lucie-Anne Fabien, ARP, Service des Communications et des relations avec les citoyens, (514) 872-6063; Source: Maxime Chagnon, Cabinet du maire et du comité exécutif, (514) 872-6412
  15. Montréal, ville verte par excellence La Presse canadienne Édition du mercredi 05 mars 2008 Mots clés : Automobile, environnement, recensement, Canada (Pays) Ottawa -- La voiture est toujours reine lorsqu'il s'agit de se déplacer entre le domicile et le travail dans la région de Montréal puisque trois fois plus de personnes utilisent un véhicule pour aller travailler plutôt que les transports en commun. Mais si l'on se fie aux nouvelles données du recensement, la métropole mérite cette fois-ci le titre de ville la plus verte du pays en matière de transport. Statistique Canada a publié hier d'autres informations à partir du recensement de 2006, entre autres sur l'endroit où travaillent les Canadiens, la façon dont ils s'y rendent et la longueur du trajet qu'ils effectuent. Le recensement indique que, dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, 1,7 million de personnes se déplacent pour se rendre au travail. Parmi elles, 70,4 % le font en voiture, comme conducteur ou comme passager, 21,4 % utilisent les transports en commun, 5,7 % marchent et 1,6 % utilisent leur vélo. Le recensement démontre toutefois que les gens qui se déplacent dans la région de Montréal ont réduit leur dépendance envers la voiture pour se rendre au travail depuis le dernier recensement de 2001. Il y a cinq ans, Statistique Canada rapportait que 70,6 % des personnes qui se rendent au travail utilisaient la voiture, soit comme conducteur, soit comme passager. La distance médiane de déplacement en 2006 était de 8,1 kilomètres. Il y a cinq ans, elle était de 8,0 kilomètres. La région métropolitaine au Canada ayant la plus longue distance médiane de déplacement est Oshawa, en Ontario, avec 11,0 kilomètres, tandis que la plus courte est Regina, avec moins de 4,6 kilomètres. La région ayant la plus forte dépendance envers la voiture était Abbotsford, en Colombie-Britannique, où 93,2 % des gens utilisaient un véhicule pour se rendre au travail, comme conducteur ou comme passager. Montréal peut prétendre être la ville où vivent les personnes les plus conscientes de la protection de l'environnement dans leur déplacement pour se rendre au travail: la région comprend la plus forte proportion de personnes (28,8 %) utilisant les transports en commun, le vélo ou leurs jambes pour aller travailler. http://www.ledevoir.com/2008/03/05/178982.html (05/03/2008 8H10)
  16. La Banque Nationale acquiert Aquilon Capital 6 février 2008 - 12h10 Presse Canadienne Agrandir La Financière Banque Nationale acquiert la torontoise Aquilon Capital. La Financière Banque Nationale, une filiale de la Banque Nationale du Canada (NA), a conclu une entente définitive d'acquisition de la firme de gestion de placements torontoise Aquilon Capital. La Financière n'a pas précisé le montant de la transaction proposée, mais a indiqué que cette acquisition lui procure un montant additionnel de 500 M$ en actifs pour ses clients bien nantis. Aquilon se spécialise dans la gestion de portefeuilles privés de clients fortunés. L'entreprise, fondée en 1990, gère 1500 comptes. La transaction est sujette à l'approbation réglementaire. La Financière Banque Nationale a souligné qu'elle confirme sa stratégie de faire de la gestion de patrimoine de particuliers un domaine de croissance clé au sein des marchés canadiens. En vertu de cette transaction, environ 15 personnes se joindront à la Financière Banque Nationale dont huit conseillers qui se spécialisent dans la gestion de patrimoine personnel de clients bien nantis. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080206/LAINFORMER/80206127/5891/LAINFORMER01
  17. Siège social à Montréal Imperial Tobacco Canada célèbre son centenaire cette année Mise en ligne 11/01/2008 08h33 Siège social à Montréal - Imperial Tobacco Canada célèbre son centenaire cette année La PRESSE CANADIENNE Imperial Tobacco Canada amorce des célébrations pour souligner son centenaire. Fondée le 11 juin 1908, cette entreprise demeure encore un chef de file de l'industrie canadienne du tabac. L'entreprise, dont le siège social est situé à Montréal, est détenue par la British American Tobacco (BTI) depuis l'année 2000. Elle emploie directement 793 personnes. Au cours de ses cent ans d'existence, l'entreprise est restée implantée dans son quartier d'origine, Saint-Henri. Elle y a bâti sa première usine et y a établi son nouveau siège social en 2002 à proximité de l'usine originale, qui a fermé ses portes il y a près de quatre ans. Imperial Tobacco Canada estime qu'au fil des ans, elle a été déterminante dans l'évolution du patrimoine artistique, culturel, sportif, de la mode et des services communautaires. Sa fondation se consacre aujourd'hui aux arts et à la culture, aux soins des aînés et à l'éducation. Dans un communiqué, le pdg d'Imperial Tobacco Canada, Benjamin Kemball, a souligné l'esprit novateur des employés qui ont contribué à en renforcer les assises. Après 100 ans, Imperial Tobacco Canada entend continuer à reconnaître et identifier les besoins des fumeurs adultes canadiens et répondre à leurs attentes. Alors que l'entreprise lance les festivités de cet anniversaire, des groupes de santé manifestent leur réprobation. Pour Louis Gauvin, porte-parole de la Coalition québécoise pour le contrôle du tabac, ces 100 ans de souffrances humaines inutiles et évitables ne peuvent pas être passées sous silence. Différents représentants de groupes de santé ont décidé de rendre hommage ce vendredi à la mémoire des centaines de milliers de personnes qui sont décédées à cause des produits d'Imperial Tobacco. Ils manifesteront en après-midi, à 14h30, à deux pas du siège social du cigarettier.
  18. Journal de Montréal 08/12/2007 Il y aura référendum, demain à Mont-Royal, pour la vente du parc municipal Fleming à une entreprise privée en vue de la construction d'une résidence de huit étages pour personnes âgées. Le terrain fait environ 44 000 pieds carrés entre le chemin de la Côte-de-Liesse et la rue Brittany. Le sujet a soulevé beaucoup de passion depuis plusieurs semaines dans la ville de banlieue défusionnée, surtout à la suite de la victoire de 101 personnes qui ont bloqué un changement de zonage lors du registre tenu le 4 octobre. Plus de 700 personnes habitant des zones limitrophes auront droit de vote demain pour décider de l'avenir du parc. Le changement de zonage, qui a été renversé une première fois, est au coeur du projet puisque la Ville veut le faire passer de «vert» à commercial pour permettre la construction d'une résidence privée de huit étages pour personnes âgées. Les cinq citoyens membres du comité consultatif de la ville sur l'environnement ont déclaré publiquement leur opposition au projet, même si un parc public à peu près quatre fois plus grand se trouve à proximité du parce que la ville veut vendre. 19 arbres à protéger Les citoyens qui dénoncent le projet veulent protéger les 19 arbres matures du parc, qu'ils considèrent comme un filtre à côté de l'autoroute Métropolitaine, Plusieurs citoyens ne comprennent pas non plus pourquoi loger sur ce site des personnes âgées à la santé fragile. Pour sa part, la mairesse Vera Danyluk encourage la construction de l'immeuble parce qu'il y a une seule résidence du genre à Mont- Royal et que 20% de la population, environ 4 000 personnes, ont plus de 60 ans..
  19. mtlurb

    Le 1313 Chomedey

    Résidence pour personnes agées présentement en construction de 13-14 étages sur le Boulevard Chomedey à Laval.
  20. Le chauffage au bois complice du smog à Montréal Canoë Virginie Roy 31/10/2007 14h22 L’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal (ASSS) offre maintenant un dépliant informatif concernant le chauffage au bois. Selon elle, le chauffage au bois résidentiel représenterait une des principales sources d’émission de particules fines qui contribuent à la formation du smog hivernal du Québec. «Sur l’île de Montréal, près de 100 000 ménages utilisent un système de combustion du bois pour chauffer leur résidence», déclare-t-elle. Rappelons qu’en 2005, Montréal a connu un épisode de smog hivernal d’une durée record de neuf jours lié, entre autre, au bois de chauffage. «Lorsqu’on brûle du bois, plus d’une centaine de composés toxiques sont libérés dans l’atmosphère et s’ajoutent à ceux émis lors de la combustion de l’essence, du diesel ou de l’huile à chauffage ainsi que ceux émis par de nombreuses industries», explique l’ASSS. Les principaux polluants qu’on y retrouve sont les particules fines, le monoxyde de carbone, des composés organiques volatils, des hydrocarbures aromatiques polycycliques, des oxyde d’azote et de nombreux produits irritants. Smog et maladies L’ASSS va encore plus loin en faisant un lien directe entre ce problème environnemental et certaine maladies. «Parmi les substances émises par la combustion du bois, certaines sont reconnus cancérigènes, et d’autres peuvent provoquer différents malaises comme l’irritation des yeux et des voies respiratoires, ainsi qu’aggraver l’état des personnes souffrant de maladies cardiaques ou respiratoires chroniques», explique Norman King, épidémiologiste à la Direction de santé publique. L’ASSS ajoute que plus de 95 % des particules émises par le chauffage au bois sont respirables, car leur petit diamètre leur permet de pénétrer profondément dans les poumons. Les personnes les plus sensibles à la pollution de l’air par les particules respirables seraient les très jeunes enfants, les personnes âgées et celles qui souffrent d’asthme, d’emphysème ou de problèmes cardiaques. L’ASSS recommande de se procurer un appareil certifié par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) si le chauffage au bois est nécessaire. Il est aussi demandé de ne pas utiliser son appareil de chauffage lorsqu’un avertissement de smog est émis. De plus amples renseignements sur le chauffage au bois sont disponibles sur le site Internet de la Ville de Montréal.
  21. Les Terrasses Versailles Architectes: ? Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidences pour personnes âgées Emplacement: Anjou, Montréal ? mètres - 15 étages Description: - Le projet comporte 450 appartements pour personnes âgées.
  22. Les Jardins d'Italie Architectes: ? Fin de la construction: décembre 2007 Utilisation: Résidence pour personnes âgées Emplacement: St-Léonard, Montréal ? mètres - 8 étages Descriptions: - 195 appartements
  23. Vidéotron va recruter 200 nouveaux employés 15 octobre 2007 - 14h20 LaPresseAffaires.com Grossir caractèreImprimerEnvoyer Le câblodistributeur Vidéotron, filiale de Quebecor, lance une campagne de recrutement visant à combler 200 postes d’ici à la fin de l’année. Les embauches concernent les métiers du service à la clientèle pour des postes de conseiller et de gestionnaire, ainsi que des vendeurs. Des ingénieurs en télécommunications et des analystes de réseau sont également recherchés. Enfin, des emplois sont à pourvoir dans le domaine de l’installation technique, de l’informatique et de la gestion de projets. Les recrutements répondent à la croissance du nombre d’abonnés à ses services de câblodistribution et à l’ajout de nouveaux produits, explique l’entreprise. Vidéotron dit avoir déjà recruté près de 600 personnes depuis le début de l’année. «Avec cette campagne qui s’amorce, Vidéotron souhaite combler une série de postes nouvellement créés. La croissance que nous vivons présentement est digne des plus belles histoires à succès en affaires. C’est pourquoi nous invitons les personnes compétentes provenant de diverses sphères d’activités à entrer en contact avec nous pour, ultimement, faire partie de notre équipe et ainsi, contribuer à ce succès», explique le v-p Ressources humaines de Vidéotron, Normand Vachon.
  24. Le Québec, terre de travail accueillante Travail. Un programme incite les PME à embaucher et à former des immigrés qualifiés. Par Emmanuelle LANGLOIS QUOTIDIEN : lundi 24 septembre 2007 Québec (Canada) de notre correspondante loadNbReaction('NbReactions',curDocId); Terre d’immigration, le Québec accueille chaque année près de 45 000 immigrants dont la venue est censée mettre un frein au vieillissement de la population, à la pénurie de main d’œuvre et à la dénatalité. Plus de la moitié d’entre eux sont sélectionnés en raison de leur niveau d’études, de leur expérience professionnelle et de leur connaissance des langues officielles : le français et l’anglais. Dès leur arrivé sur le sol québécois, ces nouveaux arrivants doivent partir à la recherche d’un emploi. Un processus qui se révèle souvent long et délicat : le taux de non-emploi des immigrants atteint 12,7 %, contre 7,4 % pour les personnes nées au Canada. Pour contrecarrer cette réalité, le ministère de l’Immigration et des communautés culturelles et celui de l’Emploi et de la solidarité sociale développent des programmes destinés à faciliter l’intégration : cours de langue, programmes d’accueil et d’insertion professionnelle… Adaptation. L’arme la plus efficace est le Programme d’intégration professionnelle des personnes immigrantes, baptisé Priime. «Les immigrants sont confrontés à la non-reconnaissance de leurs acquis et de leurs compétences, confie Serge Durand, d’Emploi-Québec. Ce qui mène à une déqualification de cette population. Avec le Priime nous favorisons l’obtention d’une première expérience professionnelle au Québec, clé de voûte d’un début de carrière.» Lancé en 2005, le Priime s’adresse aux PME. En prenant en charge 50 % du salaire d’un immigrant pendant six mois, il favorise le recrutement de personnes qui vivent leur première expérience de travail dans leur domaine de compétences. Le Priime paye également pendant trois mois le salaire d’un employé «accompagnateur», chargé d’aider à l’intégration, et subventionne les formations destinées à faciliter l’adaptation du nouvel engagé au contexte de travail nord-américain. Financé grâce aux intérêts générés par le Programme des immigrants investisseurs - lors de leur arrivée sur le sol québécois, ils effectuent un dépôt de garantie d’au moins 250 000 dollars canadiens (177 000 euros) destiné à prouver leur capacité à créer des emplois -, le Priime a reçu une subvention de 5 millions de dollars (3,5 millions d’euros) entre 2006 et 2007, laquelle a permis l’embauche de 900 immigrants. «Il ne faut pas se leurrer, sans cette politique incitative, ces PME n’auraient pas opté pour l’embauche d’immigrés», soutient Babakar-Pierre Touré, directeur général du Service d’orientation et d’intégration des immigrants au travail (Soiit). Reste que près de 100 % des participants obtiennent un emploi fixe une fois le temps du Priime écoulé. Michel Ganache, directeur général de Momentum Technologies, firme de consultants en informatique de la région de Québec, en sait quelque chose. Depuis sa création en 2003, son entreprise a embauché 21 immigrants. «Nous avons tenté l’expérience du Priime en 2005 avec deux Mexicains et elle s’est révélée très concluante, tant auprès de notre clientèle qu’au sein de l’entreprise», explique-t-il. Les 7 000 dollars (4 900 euros) qu’il reçoit lorsqu’il offre un poste de six mois à un nouvel arrivant sont à ses yeux l’équivalent d’une prime de risque. «Je prends le risque d’accueillir une personne dont il est difficile de valider la réalité du curriculum vitæ alors le gouvernement me donne un coup de pouce, analyse-t-il. Et, au final, je suis gagnant puisque ce sont des personnes qui ont plusieurs années d’expérience dans leur pays et qui ne nécessitent qu’une mise à niveau et une familiarisation avec le marché québécois.» «Diversité.» Désormais, 11 communautés - Brésiliens, Péruviens, Béninois, Ghanéens, Algériens, etc. - se côtoient dans les locaux de Momentum à la grande satisfaction du directeur. «Il y a aussi des investissements et une adaptation de notre part puisqu’il faut réussir la cohabitation. Il faut tenir compte de cette diversité lorsque nous organisons des activités sociales ou des sorties familiales et cela amène un défi supplémentaire positif.» Directeurs des ventes, comptables, ingénieurs, analystes et programmeurs informatiques, personnel administratif sont autant de postes qui ont été pourvus au cours de la dernière année. Il n’existe a priori pas de limite au Priime : tous les immigrants sont éligibles. «Le marché du travail fluctue et il est certain que les postes dans les secteurs en pénurie sont plus faciles à trouver, précise toutefois Babakar-Pierre Touré. Actuellement, plus que d’ingénieurs, le Québec est à la recherche de techniciens, de plombiers et de bouchers.»
  25. Un bureau du Québec à Sao Paulo Monique Gagnon-Tremblay (archives) Une délégation de 30 personnes composée de représentants des milieux universitaires et des affaires québécois termine lundi une mission au Brésil, premier partenaire commercial du Québec en Amérique du Sud. La ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay, a profité de cette visite pour annoncer l'ouverture prochaine d'un bureau du Québec à Sao Paulo. En entrevue au Réseau de l'information, elle a affirmé que la mission avait dépassé ses objectifs. « J'ai découvert un pays non pas émergent, mais un pays qui a émergé », a-t-elle dit, soulignant la curiosité des Brésiliens à l'égard du Québec. Des rencontres d'information sur le Québec tenues à Sao Paulo et à Brasilia ont d'ailleurs attiré quelque 500 et 300 personnes, respectivement. Le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles a aussi profité de la mission pour signer une entente de francisation pour les candidats brésiliens à l'immigration avec le Service national d'apprentissage du commerce. La Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec (CREPUQ), Cégep international, l'Université du Québec à Montréal (UQAM), l'Université Concordia et le Collège François-Xavier-Garneau représentaient le volet éducatif de la mission. Onze entreprises de recherche et d'innovation, des affaires et de l'économie sociale faisaient partie du volet économique. La communauté d'affaires souhaitait attirer des entreprises brésiliennes en vue du Forum des Amériques d'octobre prochain, à Saint-Hyacinthe. L'objectif de participation de l'Amérique latine à cette rencontre est de 70 entreprises. Les exportations québécoises vers le Brésil ont atteint une valeur de 364 millions de dollars en 2005, en hausse de 52 % par rapport à l'année précédente. Le Brésil compte quelque 190 millions d'habitants.
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