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  1. Les Résidences Soleil s’implantent à Brossard Un projet évalué à 120 M$ Alexandre Lampron Le Courrier du Sud - Publié le 21 septembre 2011 à 09:00 EXCLUSIF. D’ici la fin du mois d’octobre, les Résidences Soleil, l’entreprise privée qui gère et construit des résidences pour personnes âgées, propriété du Groupe Savoie, entamera la construction de son 14e complexe résidentiel de la chaîne sur un terrain du boul. Saint-Laurent, a appris le Brossard Éclair. Un projet d’envergure évalué à 120 M$. Le nouveau complexe comptera deux édifices de 15 étages, contenant près de 400 unités chacun, et une passerelle les reliant. En amorçant les travaux dès cet automne, le Groupe Savoie souhaite avoir terminé le premier bâtiment au printemps 2013. Le deuxième édifice suivra ensuite l’évolution de la demande, mais, pour son fondateur, Eddy Savoie, l’entreprise envisage aussi de construire les deux bâtiments simultanément si la demande le justifie. Pourquoi Brossard? Rencontré à son bureau de Boucherville, M. Savoie a dévoilé la perspective du bâtiment et expliqué les raisons qui ont poussé l’entreprise à prendre de l’expansion du côté de Brossard. Selon lui, l’opportunité s’est présentée pour construire une résidence pour personnes âgées «sur un site hors commun». «Brossard représente pour nous une ville qui possède une excellente réputation, a enchaîné Eddy Savoie. De plus, nos analyses de marché nous ont démontré qu’il y avait un besoin pour le genre de construction que font le Groupe Savoie et les Résidences Soleil. Nous sommes d’ailleurs déjà en soumission et on devrait commencer la construction au milieu du mois d’octobre.» De plus, sa population se fait vieillissante. En effet, les chiffres avancés soutiennent que «c’est au niveau des personnes de 65 ans et plus que la croissance est la plus significative (82,7%) pour la période entre 1996 à 2006. Ce même groupe d’âge représentait, en 2006, 13,1% de la population totale de Brossard». «Une petite ville» Eddy Savoie a aussi confirmé que le concept demeure le même pour répondre à la demande des gens qui ne possèdent pas de gros bas de laine pour leur fonds de pension. Selon lui, près d’un résident des Résidences Soleil sur trois (30%) a un revenu annuel inférieur à 16 480$. «Les coûts seront certainement abordables et les gens y retrouveront des services qui sont hors du commun, comme un mini-golf (18 trous), deux allées de quilles, un simulateur de golf, une piscine, un sauna thérapeutique, une grande salle de cinéma et une salle à manger qui sera située au 15e étage avec vue sur le fleuve. Ce sera une petite ville dans une grande ville», ajoute M. Savoie. Il ajoute aussi que les différentes salles à manger offertes dans les Résidences Soleil sont souvent de dimension supérieure. «Nous voulons que, n'importe quand, sans avoir besoin de réserver, les enfants puissent venir voir leurs parents et manger ensemble. Il faut faire comme si la personne demeurait chez elle», précise-t-il. Pour le fondateur du Groupe Savoie, l'esprit familial qui règne dans les résidences explique entre autres le succès de son entreprise.
  2. Triste nouvelle ce matin! L'avion d'une équipe de hockey russe s'écrase: 44 morts http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/201109/07/01-4432195-lavion-dune-equipe-de-hockey-russe-secrase-44-morts.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1 Agence France-Presse et Associated Press Moscou L'avion transportant l'équipe de hockey de la KHL Lokomotiv, de Yaroslavl, s'est écrasé au moment du décollage mercredi, dans l'ouest de la Russie, faisant 44 morts parmi les 45 occupants, selon les agences russes Interfax et Ria Novosti. «Selon des données précisées, 45 personnes étaient à bord, 37 passagers et huit membres d'équipage. Lors de l'écrasement, 44 personnes sont mortes, une a survécu», a indiqué à Ria Novosti une source policière, alors qu'un précédent bilan faisait état de 36 morts. L'agence Interfax a de son côté rapporté le même bilan, citant une source aéroportuaire. L'appareil, un Yak-42, venait de quitter l'aéroport de Yaroslavl, sur les rives de la Volga, à environ 240 kilomètres au nord-est de Moscou. L'équipe comptait quelques anciens joueurs bien connus de la Ligue nationale de hockey, dont Pavol Demitra, Ruslan Salei, Josef Vasicek et Karlis Skrastins. Le Lokomotiv était dirigé par un autre ancien joueur de la Ligue nationale, le Canadien Brad McCrimmon, 52 ans, originaire de la Saskatchewan, qui venait tout juste d'être nommé entraîneur-chef après avoir été assistant-entraîneur chez les Red Wings de Détroit la saison dernière. Par ailleurs, deux anciens joueurs de la Ligue de hockey junior majeur du Québec s'alignaient également avec l'équipe, soit Gennady Churilov, qui a porté les couleurs des Remparts de Québec et Sergei Ostapchuk, un ancien des Huskies de Rouyn-Noranda. L'équipe se dirigeait vers Minsk, la capitale du Bélarus, où elle devait affronter le Dynamo de Minsk jeudi à l'occasion de l'ouverture de la saison de la Ligue continentale. Le premier ministre russe, Vladimir Poutine, a aussitôt dépêché le ministre des Transports sur les lieux de l'écrasement, qui est survenu à 15 kilomètres à l'est de Yaroslavl. Le président, Dimitri Medvedev, a déjà annoncé l'intention du gouvernement russe de retirer de la circulation les avions vieillissants de l'ère soviétique à compter de l'an prochain. Le Yak-42, un court et moyen courrier, est en service depuis 1980 et des dizaines d'entre eux sont encore utilisés par des lignes aériennes de Russie et d'ailleurs. En juin, un autre appareil s'est écrasé près de la ville de Petrozavodsk, dans le nord-ouest du pays, tuant 47 personnes. Cet accident, impliquant un Tupolev 134, a été imputé à une erreur de pilotage.
  3. Bonjour, Je suis en deuxième année de cégep et j'hésite entre poursuivre mes études à Polytechnique ou HEC Montréal. Le génie civil semble bien mais le monde des affaires semble tout aussi intéressant, et c'est moins difficile que le génie pour un salaire comparable. De plus, les emplois en génie sont très reliés à l'économie et il semble en avoir trop aujourd'hui. Au HEC, je pense me démarquer en faisant un bac trilingue en finance. Bref, je suis à la recherche de conseils de personnes sur le marché du travail sur quel diplôme je devrais aller chercher. Qu'est-ce que vous me conseillez? Pour tous ceux qui fréquentent le forum, n'hésiter pas à présenter votre profession et ses bons et mauvais côtés; j'ai encore quelques mois pour trouver un domaine qui pourrait m'intéresser! Merci bien!
  4. Triste événement, mais c'est pour fermer la gueule à ceux qui aiment nous rappeler qu'il y a juste au Québec que ces incidents arrivent. Source: La Presse Les autorités ont confirmé dimanche qu'au moins deux personnes sont coincées sous les débris d'un centre commercial d'Elliot Lake, en Ontario, après l'effondrement partiel du toit, la veille. Selon un porte-parole de la Police provinciale de l'Ontario, des images de la scène permettent de voir une main et un pied parmi les débris, mais les équipes de secours ne peuvent accéder à l'endroit en question parce que les lieux ne sont pas suffisamment sécuritaires. Des responsables du Service de protection des incendies ont par ailleurs dit avoir entendu de petits coups provenant de derrière des blocs de béton et de métal qui se sont écroulés et qui jonchaient le sol. En fin d'après-midi dimanche, des membres d'une équipe spéciale d'urgence s'affairaient à stabiliser la scène de la tragédie au Centre commercial Algo, une besogne qui, selon les autorités, pourrait prendre une douzaine d'heures. L'opération est encore considérée comme une mission de secours et les responsables espéraient toujours, dimanche, retrouver des gens sains et saufs. Les autorités policières détenaient une liste de neuf personnes manquant à l'appel, mais elles ont précisé que ce chiffre varie selon que des résidants confirment avoir retracé des proches ou que d'autres signalent ne pas avoir de nouvelles de membres de leur famille. Les équipes de secours ont continué à fouiller dans les débris afin de retrouver des personnes manquant à l'appel, dimanche, après le drame, qui a fait au moins 22 blessés. Une section du toit, qui sert aussi de stationnement aux clients et employés du Centre commercial Algo, s'est affaissée vers 14 h 30, samedi, pour atterrir deux étages plus bas. L'effondrement a laissé un trou de 12 m par 24 m et provoqué des pannes de courant ainsi qu'une fuite de gaz. Deux stands vendant des billets de loterie, des cigarettes et des magazines étaient situés dans la zone où le plafond s'est effondré et étaient ouverts juste avant l'incident, ont raconté des témoins. Une équipe de recherche et de sauvetage en milieu urbain de Toronto a été envoyée à Elliot Lake, une ville de 11 000 habitants qui se trouve à quelque 160 km à l'ouest de Sudbury dans le nord de l'Ontario. Une porte-parole du centre commercial, qui est géré par Eastwood Mall Incorporated, a déclaré que l'entreprise référait toutes les questions sur l'incident ou l'état du bâtiment à son avocat, qui n'était pas disponible dimanche pour commenter.
  5. J'aime vraiment les balcons de ce projet ! Pour le nom par contre, on repassera. ********************************************** Exit Harvey's: une ressource intermédiaire bientôt construite sur Lacordaire par Guillaume Picard Article mis en ligne le 18 novembre 2009 à 9:34 Une ressource intermédiaire sera bientôt construite sur le site du restaurant Harvey's, boulevard Lacordaire. (Photo: Philippe Serafino) Le Progrès Saint-Léonard a appris que le projet de ressource intermédiaire pour les personnes en perte d'autonomie dont le journal révélait l'existence, dans sa livraison du 13 octobre dernier, sera construit sur le site du restaurant Harvey's, au coin du boulevard Lacordaire et de la rue Le Mans. Le Groupe immobilier Global, présidé par Anthony Falvo, pilote ce projet dont la réalisation demeure conditionnelle à l'approbation de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. La bâtisse et le terrain du Harvey's appartiennent d'ores et déjà au promoteur. Neuf soumissionnaires ont présenté un dossier à la suite d'un appel d'offres dans le cadre du Plan d'action 2010 de l'Agence, mais c'est le Groupe immobilier Global qui a obtenu la meilleure cote en fonction des critères de la grille d'évaluation. « Nous croyons avoir une réponse sous peu, indique M. Falvo en entrevue. L'édifice de sept étages que nous espérons inaugurer au printemps 2011 comprendra 162 unités, dont 103 seront réservées à la ressource intermédiaire (90 lits pour les personnes en perte d'autonomie liée au vieillissement et 13 places pour les personnes âgées de moins 65 ans ayant une déficience physique). Les 59 unités restantes seront privées. Nous voulons créer un milieu de vie épanouissant, c'est très important pour nous. » Les 103 places de la ressource intermédiaire seront en partie financées par le ministère de la Santé et des Services sociaux selon le niveau de soins dont a besoin chaque bénéficiaire, qui, lui, devra contribuer en fonction de ses revenus. M. Falvo, dont l'entreprise a récemment construit une résidence face au parc Jarry, sur le boulevard Saint-Laurent, dit avoir présenté d'autres demandes pour créer des ressources intermédiaires ailleurs à Montréal.
  6. L'agence de publicité Bos vendue à des Japonais Marie-Eve Fournier . les affaires.com . 01-06-2012 (modifié le 01-06-2012 à 10:50) L’agence de publicité Bos, l’une des plus réputées de Montréal, est acquise par la japonaise Dentsu, a appris lesaffaires.com. Cette agence, qui possède des bureaux sur les 5 continents, est la plus importante agence unique au monde avec des revenus annuels de 23,3 G$ CA (1,89 milliards de yen). Les employés de Bos ont été convoqués à 10 heures ce matin. Les plus gros clients ont appris la nouvelle au cours de la semaine. Le cofondateur et président de Bos, Michel Ostiguy, présidera les activités canadiennes de la nouvelle entité qui sera appelée DentsuBos et qui comptera deux bureaux au pays. Regroupant une centaine de personnes, l’actuel bureau de Bos à Montréal, dans le quartier Saint-Henri, ne doit pas subir de changement significatif. Mais à Toronto, la vingtaine d’employés de Bos déménageront leurs affaires dans ceux de Dentsu. Cette nouvelle équipe d’une centaine de personnes sera gérée par l’associé de Michel Ostiguy, Claude Carrier. Le chef de la création pour tout le Canada sera aussi un Québécois, Roger Gariépy (actionnaire et vice-président création de Bos). « Ils ont acheté le management », résume Michel Ostiguy, en entrevue téléphonique. Le publicitaire explique avoir accepté de vendre son agence parce qu’il voulait « avoir une plus grande présence pancanadienne et renforcer la qualité des services offerts – tant d’un point de vue publicitaire que numérique – à ses trois principaux clients » que sont Fido, la Banque Nationale et Aliments Ultima (fabricant des yogourts Yoplait). « Je veux mourir au bureau » Michel Ostiguy n’a pas voulu révéler le montant obtenu pour son agence fondée en 1988 avec deux autres ex-cadres de Cossette (André Beauchesne et Yves Simard). « Ce n’est même pas possible d’établir le prix de vente à ce stade-ci parce que la transaction va se faire sur une période de quatre ans et que le prix va changer au fil du temps. » Chose certaine, ce n’est pas pour prendre sa retraite que l’homme de 62 ans a accepté l’offre de Dentsu, après avoir été courtisé « au moins une dizaine de fois » depuis la création de Bos en 1988. « Je m’imagine mourir au bureau dans un avenir aussi lointain que possible. Si je suis aussi heureux chez Bos-Dentsu, je ne changerai pas mes plans. » Pourquoi avoir accepté l’offre de Dentsu alors que toutes les autres ont été refusées auparavant ? « Dentsu n’a pas une mentalité d’envahisseur. Ils me laissent une pleine autonomie d’opération. Ils ont une culture très entrepreneuriale et nous aussi, chez Bos, nous sommes issus de cette culture. J’ai demandé à qui j’allais me rapporter et on m’a dit de me regarder dans le miroir et de me parler à moi-même !» répond Michel Ostiguy. Dentsu, dont les actions se négocient à la Bourse de Tokyo depuis 2001, emploie 20 000 personnes dans une centaine de villes dans le monde. http://www.lesaffaires.com/techno/medias-et-communications/l-agence-de-publicite-bos-vendue-a-des-japonais/545087
  7. Voilà des bonnes nouvelles !!! *** Dix investissements étrangers à surveiller Publié le 17 mai 2012 à 14h04 | Mis à jour le 17 mai 2012 à 14h04 André Dubuc La Presse Dans les dernières semaines, Messier-Dowty, Valeant, CryoCath et Ethanol Grenfield ont annoncé des investissements de 226 millions de dollars dans la région de Montréal. D'autres annonces d'une valeur totale d'environ 300 millions suivront sous peu. La Presse Affaires a eu vent de 10 investissements étrangers en cours ou susceptibles d'être annoncés au cours des prochaines semaines. De quoi tonifier l'économie québécoise qui en a grand besoin. Pfizer: 32 millions Pfizer licencie, Pfizer investit? Il y a toujours de l'action avec l'inventeur du Viagra. En février 2011, la pharma supprimait 150 emplois en R-D à l'ancienne Wyeth, à Saint-Laurent. En juin 2011,Pfizer a inauguré son siège social rénové au coût de 22 millions à Kirkland. Cette fois-ci, il s'agit d'un nouvel investissement de 31,7 millions, dont 2,67 millions d'Investissement Québec. Peu de détails ont filtré jusqu'à présent. Hier, dans nos pages, le nouveau président pour le Canada, John Helou, a dit ne pas vouloir s'engager à faire de nouveaux investissements ou à créer des emplois en échange à un meilleur accès à ses médicaments. Jointe en fin de journée, la porte-parole de Pfizer Canada a refusé de confirmer quoi que ce soit. Nouveau studio pour Speedshape Montréal est peut-être à la veille d'accueillir le studio d'une firme spécialisée dans la conversion de films conventionnel en films de 3D. La firme est aussi connue pour ses animations par ordinateur dans les publicités d'autos. Selon nos informations, SpeedShape, de Detroit, prévoit s'implanter sous peu dans la métropole québécoise avec un investissement de 18 millions. Dans une communication officielle, la firme qui a fait la conversion 3D du film Spy Kids: All the Time in the World évoquait l'ouverture de son bureau montréalais dès juillet 2011. Notre appel laissé au siège social de Detroit est resté sans suite. Selenis Canada: phase 2 Les gens de l'est de Montréal ont bien présente à la mémoire la fermeture de la raffinerie Shell. Le secteur pétrochimique à Montréal est considéré par plusieurs comme moribond. Rare bonne nouvelle, la firme Selenis a ouvert la seule usine de polyéthylène téréphtalate (PET) au pays l'an dernier. Quelque 60 personnes y travaillent. Selenis envisage maintenant la phase 2 de son implantation avec un investissement additionnel de 40 millions. IQ se dit prêt à subventionner le projet à hauteur de 1,65 million. Selenis appartient à Control PET SGPS SA, une filiale du Groupe portugais Imastos Gil. Par courriel, La Presse a tenté sans succès de joindre le chef de la direction Giovanni Iadeluca, actuellement au Portugal. Nouvel agrandissement chez Gameloft Leader mondial dans l'édition de jeux vidéo et sociaux, Gameloft conçoit des jeux pour toutes les plateformes numériques incluant les téléphones mobiles, intelligents et tablettes. Installée au 5800, rue Saint-Denis, à Montréal, Gameloft (environ 400 employés) a dans ses cartons un projet d'investissement de 7,2 millions. Le montant comprend les dépenses en immobilisations et les frais de R-D, mais pas la masse salariale, a-t-on compris. La direction montréalaise n'a pas rappelé. Lors du premier trimestre 2012, les ventes sur téléphones intelligents et tablettes ont progressé de 59% et ont représenté 40% du chiffre d'affaires de la société. SCA à Drummondville, 38 millions à l'étude Ex-usine de la société Cascades, filiale d'une multinationale suédoise, les 200 employés de SCA fabriquent des culottes d'aisance pour adultes, un marché en expansion avec le vieillissement de la population dans les pays occidentaux. SCA mijote un investissement de 38 millions auquel IQ participerait à hauteur de 7,1 millions, dont une subvention de 1,5 million et un prêt sans intérêt de 5,6 millions. L'usine de Drummondville, dans le Centre-du-Québec, nous a référé à sa direction nord-américaine de SCA, à Philadelphie. La porte-parole, Amy Belcourt, a confirmé avoir soumis un projet au gouvernement, mais n'a pas voulu dévoiler les détails. Bonduelle Canada: 13 millions Le français Bonduelle qui a acheté Aliments Carrière (Artic Gardens) en 2007 continue de prendre les bouchées doubles. Il a acheté en mars quatre usines de la société américaine Allens. La société a encore de l'appétit pour le Québec. Selon le quotidien d'information financière Les Échos, de Paris, «ses unités canadiennes ont atteint un niveau de saturation qui ne lui permet pas de profiter de l'essor de la demande». La Presse Affaires a appris que Bonduelle va injecter prochainement 13 millions dans ses installations québécoises. Un tel investissement s'accompagne généralement de nouveaux emplois. IQ versera 900 000$ dans le cadre de l'enveloppe Essor. Ce programme vise à appuyer les projets dans une perspective d'accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d'emplois et de développement durable, notamment en accélérant la concrétisation de projets d'investissement dans le contexte de l'implantation, de l'expansion ou de la modernisation d'entreprises. Emballages Lacroix Situé dans la région d'Argenteuil au nord-ouest de Montréal, Emballages Lacroix, qui fabrique l'emballage design des yogourts Yoplait, injecte 24 millions en équipements neufs en trois ans dans ses usines de Saint-Placide et de Saint-Eustache. Québec donne un coup de pouce de 500 000$. Une cinquantaine d'emplois seront créés. Groupe Lacroix, près de Genève, dans le Jura, emploie 200 personnes au Québec. L'usine de Saint Placide augmente sa superficie de 50%, à 320 000 pieds carrés, précise Nicolas Bouvret, responsable nord-américain des opérations, au téléphone. Lacroix vient par ailleurs de lancer cette semaine une machine en Arizona, pour couvrir l'Ouest américain. Emballages Winpack de Vaudreuil-Dorion Winpak, de Winnipeg, produit des matériaux d'emballage pour les produits alimentaires périssables. Dans son rapport annuel 2011, la société confirme un agrandissement en 2012 à son usine du chemin Dumberry à Vaudreuil-Dorion. Une chaîne d'extrusion/couchage/laminage y sera notamment installée. Selon nos informations, Winpack, cotée en Bourse, investira près de 36 millions dans ses installations du Grand Montréal où elle emploie 350 personnes. Investissement Québec y va d'une subvention de 4,1 millions. JTI-Macdonald Corp. On entend plus souvent parler des cigarettiers dans les palais de justice que dans les pages économiques des journaux par les temps qui courent. La vénérable usine de la rue Ontario, dans le quartier Centre-Sud, à Montréal, a pourtant modernisé sa chaîne de production au coût de 17,5 millions dans les derniers mois. Il s'agit du plus important investissement des 10 dernières années. Cette année, la société a refait une beauté à sa tour de l'horloge. «On a une demande plus accrue sur nos produits depuis quatre ans, explique Michel Poirier, président régional, Amériques. On augmente notre part de marché. On a eu besoin d'un équipement encore meilleur capable de produire de meilleurs produits.» Environ 230 personnes travaillent dans la seule usine canadienne du cigarettier Japan Tobacco International. Construite en 1874, l'usine roule les cigarettes Macdonald Special, au sommet des ventes au Québec. Kronos: 44 millions Varennes rêvait d'une usine de titane éponge de 800 millions en 2007. Son actionnaire en a décidé autrement. À défaut du gros lot espéré, Kronos, qui produit du bioxyde de titane, va actuellement de l'avant avec un investissement en trois phases d'un maximum de 44 millions en 3 ans pour lequel Investissement Québec fournit 8,1 millions. «Le but est réduire nos coûts fixes pour rester concurrentiel», explique le directeur de l'usine Serge Payette. Le gros des investissements sert à l'automatisation de l'ensachage, selon ses dires. L'usine emploie 420 personnes.
  8. L'angoisse, la peur, la précarité: chaque jour, à Montréal, plusieurs dizaines de milliers d'immigrés organisent leur vie autour d'une donnée majeure: leur situation illégale. Ils sont demandeurs d'asile déboutés, parents d'enfants canadiens, touristes venus ici non pour voyager mais pour travailler, ou encore entrés ici illégalement. Les chemins qui les ont menés à la clandestinité sont nombreux. Ils n'ont pourtant qu'une seule destination: la vie sans statut, le cul-de-sac juridique. Pendant des mois, voire des années, ils survivent dans l'anonymat le plus complet. De petits boulots payés au noir, dans des conditions qui dérogent aux normes québécoises, leur permettent de subsister. Ils n'ont pas accès à l'aide sociale ni à l'assurance maladie. Ils rasent les murs, hésitent à sortir de l'anonymat, de peur d'être dénoncés aux autorités canadiennes, arrêtés, renvoyés vers leurs pays. Ils sont prisonniers d'une vie quotidienne, privés des libertés les plus simples. On estime à plus de 250 000 personnes le nombre de clandestins au Canada, dont près de 40 000 à Montréal, qui vivent et travaillent à nos côtés. La Presse a rencontré certains d'entre eux, qui ont accepté, non sans réticence, de nous raconter leur existence sans statut au Canada et leur rêve d'une vie normale. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/06/01-4522453-40-000-clandestins-se-terrent-a-montreal.php nb:donc en fait la population réelle de la ville et du MTL Métro est supérieure de 40.000 habitants de facto.
  9. Ancienne laiterie La Ferme coin Garnier / St-Zotique Résidence pour personnes agées ??? http://www.flickr.com/photos/urbexplo/4662415044/ http://www.flickr.com/photos/urbexplo/4662415712/
  10. La destruction de l'ancienne usine de la Singer Croydon de Saint-Jean sur Richelieu est maintenant chose faite !!! Une nouvelle pas du tout régouissante pour le Haut-Richelieu qui devra faire une croix sur une partie de son histoire industrielle. C'est un geste politique indigne de la part des personnes qui ont décidé et autorisé sa démolition.
  11. J'ai trouvé cet article sur Cyberpresse.ca Ça vaut la peine! http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/05/01-4357438-le-quebec-doit-accentuer-ses-echanges-avec-la-nouvelle-angleterre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS4 Pierre Harvey L'auteur est président de Harvey International inc., à Sherbrooke. Le Québec doit accentuer ses échanges avec la Nouvelle-Angleterre Le développement économique du Québec est en train de reprendre vie tranquillement. Malheureusement, certains secteurs souffrent toujours de l'après-crise, notamment l'industrie du bois, le secteur manufacturier de l'usinage des métaux (fabrication mécanique et mécano soudée) et le tourisme. Le 16 septembre 2009, le ministère des Relations internationales du Québec écrivait dans un communiqué de presse: «En 2007, la valeur totale des échanges de biens entre le Québec et (la Nouvelle-Angleterre) s'est élevée à 11,45 milliards de dollars. Le Québec y a exporté pour 7,7 milliards de biens, représentant 11,1% des exportations totales de marchandises du Québec et 14,8% de ses exportations vers les États-Unis.» Dans cet esprit, il serait souhaitable que le Québec se dote d'une vraie politique de développement économique intégrée englobant la Nouvelle-Angleterre comme principale priorité en matière de déploiement des efforts marketing et des relations politiques et économiques du Québec. En ce sens, l'État québécois devrait accentuer sa présence dans cette région et prioriser une politique de développement accélérée des relations commerciales et politiques avec cette région de plus de 15 millions de personnes. Le Québec vend plus en Nouvelle-Angleterre (14,1%) que dans tous les pays européens réunis (9,7%). Le tourisme provenant de la Nouvelle-Angleterre représente aussi une importante part de notre industrie touristique. Doit-on rappeler que plus de 30% des touristes qui viennent au Québec proviennent de la Nouvelle-Angleterre et que 90% d'entre eux utilisent les infrastructures routières? Ce marché est donc trop important pour le Québec pour qu'il ne soit considéré simplement que comme une région de développement parmi tant d'autres. L'effort collectif nécessaire pour peaufiner l'image de l'hydroélectricité du Québec dans cette région est prioritaire tout comme la multiplication des efforts des villes québécoises pour créer des réseaux forts avec les acteurs économiques de la Nouvelle-Angleterre. Il serait aussi souhaitable qu'une priorité d'actions soir entreprise aussi avec les acteurs franco-américains de la Nouvelle-Angleterre qui comptent encore aujourd'hui plus de 1,6 million de personnes. Cet effort, orchestré par le Québec, soutenu par Ottawa et déployé par les acteurs économiques locaux, pourrait grandement servir les intérêts des entrepreneurs québécois tout en favorisant aussi les entrepreneurs de la Nouvelle-Angleterre. Même si la crise économique des derniers mois a fait baisser quelque peu les chiffres mentionnés ci-haut, il n'en demeure pas moins que l'importance économique et touristique primordiale de cette région mériterait que l'État québécois révise complètement le mandat de la délégation du Québec à Boston. En effet, la délégation du Québec à Boston devrait être autant, sinon plus imposante que celle de New York, car elle est seule capable de consacrer la relation de proximité qui existe entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre. La délégation du Québec à Boston devrait aussi pouvoir supporter politiquement le travail d'une nouvelle corporation privée de type OSBL strictement orientée sur des intérêts économiques privés, qui serait composée d'entreprises et de représentants d'Hydro-Québec, entre autres, qui aurait pour mandat de prendre en charge l'ensemble des efforts économiques du Québec plutôt que de dépendre des simples gestes de quelques fonctionnaires du ministère des Relations internationales. Dans les faits, c'est bien simple: le délégué général du Québec à Boston doit être l'ouvreur politique de porte et les privés font le reste pour sceller la relation commerciale. Dans cet esprit, une corporation privée de type OSBL pourrait être chargée des mandats suivants en y incluant des pouvoirs décisionnels dévolus à ce bureau: promotion économique et touristique du Québec en Nouvelle-Angleterre; centralisation des efforts de développement des relations commerciales, focus group, missions d'affaires et activités de «match-making»; relations et partenariats institutionnels avec collèges, universités, instituts de recherches, associations professionnelles; relations culturelles et sociales (Association canado-américaine, clubs Rotary, Richelieu, etc.); coordination des efforts de toutes les régions du Québec vers ce marché. New York, Pennsylvanie et New Jersey Dans le même esprit de rapprochement accéléré avec la Nouvelle-Angleterre, il va de soi que la stratégie globale englobe aussi ces trois États limitrophes et qui composent le grand nord-est des États-Unis. D'ailleurs et en fonction des moyens limités dont nous disposons au Québec, le type d'approche proposée avec la Nouvelle-Angleterre devient une priorité qui va forcément déteindre vers ces trois États tous aussi importants pour le Québec. Avec plus de 42 millions d'habitants, cette région, appelée le Tri-State, est l'extension naturelle pour le Québec dans son axe de développement nord-sud. Au final donc, le Québec se positionnerait comme leader incontesté du nord-est de l'Amérique du Nord, car c'est par le Québec, de par notre historique de relations avec la Nouvelle-Angleterre que tout cela devrait s'orchestrer. Imaginons seulement le retour sur investissement si nous pouvions contrôler efficacement le transport des marchandises, des personnes et surtout contrôler les besoins énergétiques de plus de 60 millions de personnes. Comme stratégie de commerce de proximité, il n'y aura jamais rien de plus pertinent ni de plus rentable que de profiter d'une manne à moins de quelques heures de route.
  12. Un « pôle de santé » sera créé sur la Rive-Sud Alexandre Lampron Actualités - Publié le 28 novembre 2010 à 09:00 RIVE-SUD. Parce que la demande pour des soins de santé sera accrue par le vieillissement de la population de la Rive-Sud au cours des prochaines années, l’Hôpital Charles LeMoyne (HCLM), les CSSS Champlain et Pierre-Boucher et le campus de Longueuil de l’Université de Sherbrooke travaillent à mettre en place un projet de «pôle de santé», la Cité Santé Universitaire (CSU). La vice-rectrice du campus de Longueuil de l’Université de Sherbrooke, Lyne Bouchard, et le directeur général de l’HCLM, Yvan Gendron, ont présenté les grandes lignes de ce projet, le 17 novembre denier, au cours d’un dîner-conférence organisé par la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS). Les données de l’Institut de la Statistique du Québec (ISQ) démontrent entre autres que, de toutes les régions, c’est la Montérégie qui devrait connaître la plus forte augmentation de sa population en nombres absolus (+ 297 000 personnes), une croissance de 22% entre 2006 et 2031. Les personnes âgées de 65 ans et plus passeront pour leur part de 175 300 à 418 900 au cours de la même période, soit une augmentation de 238%. Consolider un secteur L’objectif du CSU consiste d’abord à faire de Longueuil l’un des pôles majeurs de formation, d’enseignement et de recherche de santé au Québec. «La Cité Santé Universitaire n’a pas d’adresse puisque c’est un concept qui a pignon sur rue sur l’ensemble de la Rive-Sud, a déclaré Yvan Gendron. Parce que sa création entraînera un mouvement de population et de main-d’œuvre imposant sur notre territoire, il était devenu essentiel de mobiliser les acteurs régionaux autour d’une stratégie commune afin d’accentuer davantage les coopérations avec les institutions scolaires, mais également avec les partenaires gouvernementaux.» «Nous avons collectivement une formidable opportunité qui découle du partenariat étroit entre nos organisateurs de la Rive-Sud, a pour sa part affirmé Lyne Bouchard. Nous espérons donc que la communauté des gens d’affaires soit aussi enthousiaste que nous et qu’elle tire profit de notre présence et de nos activités pour se développer davantage.» Longueuil adhère au projet La Ville de Longueuil, par la voie de sa mairesse, Caroline St-Hilaire, a signifié son adhésion à ce vaste projet. La municipalité réalisera de nouvelles études de circulation et d’urbanisme pour le développement du pôle Santé-Université, le long du boul. Taschereau, entre la route 116 et le boul. Auguste, qui se traduiront, à moyen terme, sous la forme d’un programme particulier d’urbanisme (PPU). «On observe actuellement un plus grand roulement au niveau des commerces, des demandes de la part de divers propriétaires afin de revoir la vocation du boulevard Taschereau et une polarisation des activités qui gravitent autour du monde médical», peut-on lire le sommaire exécutif rendu public par la Ville de Longueuil, le 16 novembre dernier. Les études seront réalisées entre les mois de février et mai 2011.
  13. Le français en progression dans le monde Mise à jour le mardi 12 octobre 2010 à 11 h 58 Le nombre de francophones est en constante augmentation dans le monde, selon une vaste étude de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette enquête internationale révèle que c'est en Afrique que le français affiche ses progrès les plus importants. Selon le rapport intitulé La Langue française dans le monde 2010, on estime actuellement à 220 millions le nombre de personnes capables de lire et d'écrire en français dans le monde. Ces données ne tiennent cependant pas compte des millions de personnes capables de parler et de comprendre le français sans toutefois savoir le lire et l'écrire. Selon le rapport de l'OIF, au moins 70 millions des 220 millions de francophones répertoriés dans le monde vivent en Afrique subsaharienne. Si on ajoute à ce chiffre tous les francophones du Maghreb (nord de l'Afrique), c'est plus de la moitié des francophones qui vivent actuellement en Afrique. Un demi-milliard de francophones africains La croissance des populations francophones africaines est telle que selon les experts consultés, en 2050, neuf francophones sur dix proviendront du continent africain. Bref, dans 40 ans, l'Afrique comptera plus d'un demi-milliard de francophones. Cette croissance du français en Afrique est directement liée aux progrès de la scolarisation dans cette partie du monde, ont constaté les chercheurs. Le rapport donne l'exemple du Burkina Faso et du Mali où, en 25 ans, le nombre de personnes capables de lire et d'écrire le français en Afrique a été multiplié par cinq. En Afrique subsaharienne, l'enseignement du français a bondi de 19 %, et en Afrique du Nord de 13 % entre 2007 et 2010, rapporte l'étude de l'OIF. Compte tenu de la situation, des efforts importants de scolarisation doivent être entrepris en Afrique pour conserver et faire fructifier ces acquis. Et pour ce faire, la compétence des maîtres est cruciale, souligne l'OIF. Selon Clément Duhaime, administrateur de l'OIF, à Paris, il faudra plus de 2 millions de nouveaux professeurs en Afrique subsaharienne seulement au cours des 5 à 10 prochaines années pour répondre à la demande. Outre l'Afrique, l'enseignement du français a également progressé au Moyen-Orient (+13 %) ainsi qu'en Asie et en Océanie (+6 %) au cours des trois dernières années. Recul du français en Europe et en Amérique Alors qu'il explose en Afrique, le français perd du terrain en Europe et en Amérique. Sur le continent américain, l'enseignement du français comme langue étrangère a accusé un faible recul de 1 % au cours des trois dernières années. En Europe, toutefois, il a reculé de 17 % au cours de la même période. Recul et concentration des francophones au Canada Au Canada, le rapport de l'OIF a aussi noté un recul du français. Selon le rapport, le nombre de personnes dont la langue maternelle est le français est passé de 27 % à 22 % au Canada, de 1971 à 2006. Les chercheurs ont également noté une concentration des populations de langue française au Québec et près de ses frontières. Le rapport souligne aussi la faible proportion de Canadiens hors Québec qui ont le français comme seconde langue, soit 7 % en 2006. Le français en bonne position sur le web Sur Internet, le français fait bonne figure en dépit de la nette domination de l'anglais (45 % des pages). Selon le rapport de l'OIF, le français arrive au troisième rang, derrière l'Allemand, au chapitre de la création de nouvelles pages Internet. Le français fait partie des 15 langues parlées dans le monde qui ont plus de 100 millions d'usagers. Le français a un statut officiel dans 29 pays et trois gouvernements. Les données recueillies dans cette étude ont été compilées par 40 chercheurs d'une quinzaine de pays en collaboration avec plusieurs organismes internationaux et universités. L'Université Laval, à Québec, l'Institut statistique de l'UNESCO, l'Agence universitaire de la francophonie et l'Agence américaine pour le développement international (USAID) ont notamment collaboré à cette vaste enquête commandée en 2008 par l'Organisation internationale de la francophonie. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/10/12/001-francophonie-stat-monde.shtml
  14. (Voir le pdf à la fin pour les tableaux et cartes). Une analyse décortiquée de la mobilité à Montréal par Jean-François Lachance L’ISQ produit annuellement des données sur la migration interne1 à l’échelle des MRC. Ces publications permettent l’analyse des tendances migratoires infrarégionales et leur évolution dans le temps. Ce but n’est toutefois pas atteint à Montréal, qui regroupe en un seul territoire équivalant à une MRC près du quart de la population du Québec, soit 1,9 million de personnes. Une analyse poussée de la migration interne à Montréal requiert donc un découpage plus fin du territoire. Pour ce faire, nous utiliserons les territoires de CLSC (ou districts) de l’île de Montréal, au nombre de 352. La taille moyenne de ces territoires (approximativement 53 000 personnes) est similaire à celle des MRC hors Montréal, qui est d’environ 57 500. En plus d’identifier avec plus de précision le point de départ des personnes qui quittent Montréal et le point d’arrivée de ceux qui y entrent, l’exploitation de ce découpage permet également d’identifier les principaux flux migratoires intra-Montréal. Les moyennes annuelles calculées à partir des statistiques des années 2004-2005 à 2008-2009 seront présentées ici. Les impacts différenciés de la migration interrégionale sur Montréal Pour l’ensemble de la période mentionnée, les pertes nettes de Montréal reliées à la migration interrégionale sont de 22 500 personnes par année, les 42 200 entrants annuels étant largement inférieurs aux 64 700 sortants. La majorité des territoires de CLSC perdent également plus de personnes qu’elles n’en attirent (voir tableau)3, les déficits nets les plus importants étant ceux de Côte-des-Neiges (– 2 284), Montréal-Nord (– 2 143) et Saint-Michel (– 1 771). Quatre territoires comptent cependant un nombre légèrement plus élevé d’entrants que de sortants : Saint-Henri (+ 284), Lac-Saint-Louis (+ 256), Montréal–Centre-Ville (+ 188), et Pierrefonds (+ 105). Il est à noter que trois de ces districts auraient un solde migratoire interrégional négatif si la migration intra-Montréal n’avait pas été prise en compte; seul Montréal–Centre-Ville serait demeuré du côté positif. Inversement, le solde migratoire interrégional du Plateau-Mont-Royal devient négatif lorsque la migration intra-muros est ajoutée. Prise dans son ensemble, Montréal montre un profil résolument urbain dans la structure de ses échanges migratoires, avec des gains chez les 15-24 ans et des soldes négatifs pour tous les autres grands groupes d’âge, particulièrement les 25-44 ans (Lachance, 2007 et 2010). Pour la période 2004-2009, la situation au niveau des territoires de CLSC n’est pas aussi homogène. Par exemple, chez les 25-44 ans, la majorité des districts montrent effectivement des taux négatifs, particulièrement à Côte-des-Neiges, Snowdon et Montréal-Nord, mais il se trouve aussi quatre districts (Montréal–Centre-Ville, Saint-Henri, Lac-Saint-Louis et Pierrefonds) avec un taux net positif pour ce même groupe d’âge. Les 25-44 ans sont prépondérants dans l’analyse des mouvements migratoires montréalais, car ils comptent pour 41 % des arrivants en provenance des autres régions et 47 % des personnes ayant changé de territoire de CLSC à Montréal. De même, sur les 35 territoires de CLSC, on en compte cinq où les taux nets des 0-14 ans sont positifs (Lac-Saint-Louis, Dollard-des-Ormeaux, Pierrefonds, Mont-Royal et Rivière-des-Prairies). Pour les 45 ans et plus, sept districts sont du côté positif, notamment Montréal–Centre-Ville, Saint-Henri, Côte-Saint-Luc et Lac-St-Louis. Quant aux 15 à 24 ans, il s’agit de la tranche d’âge pour lequel le taux net de migration annuel varie le plus selon le territoire. Il culmine à + 12,0 % au Plateau-Mont-Royal et atteint + 9,8 % dans Montréal–Centre-Sud. À l’inverse, ce taux est de – 2,5 % dans Parc-Extension et – 2,4 % à Saint-Michel. À l’exception de ces deux derniers territoires, les taux de migration des 15-24 ans les plus élevés se concentrent au centre de Montréal et les moins élevés sont plus courants aux extrémités est et ouest de l’île. Une dimension inexplorée : la mobilité intra-muros à Montréal Entre 2004 et 2009, on estime à 115 000 par année le nombre de personnes qui ont changé de district de résidence dans la région de Montréal, alors que le nombre d’entrants annuel en provenance des autres régions du Québec était de 42 200. La majorité des nouveaux arrivants dans un quartier donné proviennent donc des autres parties de l’île. C’est le cas de 64 % des entrants à Pointe-aux-Trembles (la plus faible proportion) et de 88 % à Côte-Saint-Luc (la plus forte). Par conséquent, les échanges migratoires intra-muros influent davantage sur l’attractivité d’un quartier donné que les gains ou pertes par rapport au reste du Québec. Les banlieues extérieures à l’île de Montréal ne sont pas les seules à attirer en masse les 25-44 ans. Les territoires de CLSC situées aux extrémités est et ouest de l’île attirent également des centaines de personnes aux dépens des districts centraux (voir figure). Pointe-aux-Trembles montre les plus forts gains relatifs chez les 25-44 ans; suivent Pierrefonds, Rivière-des-Prairies et Saint-Henri. Les trois districts accusant les pertes les plus marquées sont adjacents : il s’agit de Côte-des-Neiges, Snowdon et Métro. Rappelons que pour ce groupe d’âge, en tenant compte des migrations intra-muros et extra-muros, il n’y a que quatre territoires de CLSC qui affichent un solde positif. Dans les districts des extrémités est et ouest, l’arrivée d’une quantité non négligeable de 25-44 ans en provenance du centre de l’île vient donc atténuer, et dans certainscas contrebalancer entièrement l’impact des nombreux départs de personnes de ce groupe d’âge vers les banlieues situées hors Montréal. On peut généralement en dire autant pour les 45 ans et plus, quoique à des niveaux plus restreints puisque la propension à migrer n’est pas aussi forte pour ces catégories d’âge (voir tableau). À peu de choses près, la migration des 0-14 ans intra-muros suit les mêmes tendances que les 25-44 ans. Les plus forts gains relatifs dans cette catégorie d’âge sont enregistrés à Rivière-des-Prairies, Pointe-aux-Trembles et Pierrefonds; Côte-des-Neiges et Snowdon connaissent quant à eux les plus fortes pertes relatives. Quelques différences à noter quant aux 15-24 ans : par rapport à la population totale de cet âge, les taux nets les plus élevés se trouvent dans les districts du Plateau-Mont-Royal, de Saint-Paul, de Montréal–Centre-Ville et de Hochelaga-Maisonneuve; au contraire, les territoires de Côte-des-Neiges, Snowdon, Mont-Royal et Parc-Extension qui subissent les pertes relatives les plus fortes. Dis-moi d’où tu pars, je te dirai où tu iras Règle générale, la personne qui quitte un quartier donné de Montréal aura tendance à choisir les territoires adjacents à celui qu’elle occupe déjà. C’est ce qui explique que certains districts centraux ne voient qu’une part limitée de leurs sortants quitter l’île de Montréal, comme Snowdon (17 %), Métro (19 %) et Côte-Saint-Luc (20 %), alors qu’au contraire ceux situés aux extrémités est et ouest ou près des ponts sont plus enclins à sortir de Montréal, comme on le voit à Pointe-aux-Trembles (59 %), Lasalle (48 %), Rivière-des-Prairies et Montréal-Nord (tous deux 46 %). Et pour les cas où le point de destination se situe hors Montréal, les secteurs les plus populaires sont généralement assez rapprochés du point de départ. Les flux les plus importants des sortants de Montréal sont ceux allant de l’ouest de l’île vers Vaudreuil-Soulanges, du nord de l’île vers Laval; de l’est de l’île vers Les Moulins (Terrebonne) et L’Assomption (Repentigny); enfin du sud de l’île vers Châteauguay-Mercier, Saint-Constant–La Prairie et Brossard–Saint-Lambert. Conclusion L’analyse des profils migratoires de l’île de Montréal décortiquée en 35 territoires de CLSC remplit plusieurs objectifs. Elle démontre que les impacts de la migration extra-muros ne se répercutent pas de manière homogène sur l’ensemble du territoire montréalais. Cette approche nous a également permis de quantifier les mouvements de population internes de Montréal et, corollairement, d’entrevoir le rôle plutôt méconnu que jouent les migrations intra-muros dans la dynamique de mobilité montréalaise. Au point de vue de l’attractivité, chaque secteur, chaque quartier se doit ainsi de se démarquer non seulement vis-à-vis des banlieues situées hors de l’île, mais aussi par rapport à ses voisins immédiats. Bibliographie Lachance, Jean-François (2007). « Les profils migratoires des MRC, 2001-2006 », Données sociodémographiques en bref, vol. 12, no 1, octobre. Lachance, Jean-François (2010). « Faits saillants de la migration interrégionale en 2008-2009 », Coup d’oeil sociodémographique, no 1, janvier. http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf2010/sociodemoenbref_oct10.pdf
  15. Bonjour, Vous êtes cordialement invité(e) à parrainer Alexandre Vaillant à l’occasion de ÇA MARCHE 2010 au profit de la Fondation Farha. Vous pouvez faire un don en ligne, en toute sécurité, à l’aide d’une carte de crédit. Un reçu fiscal vous sera envoyé par courriel pour les donations de 20 $ et plus. Vous pouvez faire un don en ligne dès maintenant : Le lien de sollicitation va ici Au Québec… - Il y aurait 20 000 personnes séropositives. - Plus de 6 000 d'entre elles sont atteintes du sida. - 33,5 % de ces diagnostics étaient associés aux contacts hétérosexuels. - Plus du quart des nouveaux cas d’infections en 2007 touchaient des femmes et un autre quart touchaient des jeunes de 15 à 29 ans. - Des personnes testées depuis avril 2002, 25% sont des femmes et 50% sont homosexuelles. - Le taux d’infection des personnes âgées est passé de 7% avant 1998 à près de 14% en 2007. La Fondation Farha est le chef de file québécois en collecte de fonds pour venir en aide aux hommes, femmes et enfants vivant avec le VIH/sida. Pour en savoir plus sur ÇA MARCHE 2010 ou pour vous joindre à nous, rendez-vous à l’adresse http://www.farha.qc.ca. Nous tenons à vous remercier de votre générosité! Ensemble, ÇA MARCHE. Evelyn Farha Présidente honoraire Fondation Farha ( J'ai appris moi même que je souffre du VIH le 13juillet dernier alors svp aider moi en appyant sur le lien suivant les dons seront offert au McGill Aids centre) http://my.e2rm.com/personalPage.aspx?registrationID=935861
  16. Ariane Krol Si vous n’avez pas encore lu la lettre du maire de Vaudreuil-Dorion publiée dans nos pages, je vous incite vivement à le faire. Elle apporte un souffle d’air frais dans un débat de plus en plus vicié. Comme lui, j’ai été choqué par la réaction des citoyens d’un quartier de Beaconsfield, qui veulent bloquer la construction d’une résidence pour personnes âgées de deux étages. Deux étages! Des personnes âgées! Et que dire des arguments évoqués? «Le prix de nos maisons va chuter.» «Il y a déjà beaucoup trop de voitures qui circulent et beaucoup trop de problèmes de stationnement.» Le prix des maisons va chuter? Un centre d’injection supervisée ou une éolienne, je ne dis pas. Mais une résidence pour personnes âgées? C’est pousser très loin les limites du «pas dans ma cour». Et il y a pire. «Des citoyens viennent de s’opposer à la construction d’une école primaire dans leur quartier avec parc, jeux d’eau et mini-terrains de soccer. (…) Ils craignent la circulation automobile et la dévaluation de leur maison!», rapporte le maire de Vaudreuil-Dorion. Une école primaire? Un parc? N’est-ce pas le genre de services dont la proximité fait augmenter la valeur d’une maison? Les municipalités devraient peut-être revoir leurs critères de développement et miser sur les quartiers à accès contrôlé (gated communities)… Comme la plupart des gens qui ont acheté à Montréal au cours des dernières années, j’ai payé trop cher pour ma maison, et je détesterais la voir dévaluée. Mais je trouve qu’on est bien prompt à agiter cet épouvantail. C’est devenu un prétexte commode pour exclure l’autre, qu’il soit trop vieux, trop jeune ou Inuit, comme dans le quartier Villeray. Cela dit, les Villes ont leur part de responsabilité dans ces réactions extrêmes. Si les citoyens veulent bloquer un projet par crainte du trafic excessif, c’est qu’ils ne font pas confiance à leurs élus pour prévenir ou corriger la situation. Si la résidence pour personnes âgées ne compte pas assez de places de stationnement, si tous les parents amènent leurs enfants à l’école en auto en conduisant comme des débiles dans les rues adjacentes, c’est un réel problème. Sauf que les municipalités, obnubilées par la perspective de nouveaux revenus de taxation, se montrent souvent insensibles à ce genre de préoccupations. Elles en paient aujourd’hui le prix. http://blogues.cyberpresse.ca/edito/2010/08/16/pas-dans-ma-cour-de-quoi-a-t-on-si-peur/?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_bloguesaccueilcp_BO3_accueil_ECRAN1POS5
  17. Il y a un erreur dans mon titre, elle date de 1914. En 1993-1995, à la suite de la cessation du service de la ligne Montréal-Deux-montagnes, la ville de Mont Royal hérita de la locomotive GE boxcab #6712, dans le but de la restaurer. Elle fait partie des première locomotives à avoir traverser le tunnel du Mont-Royal.Plusieurs musée obtenu des locomotives du même modèle dont ville de Deux Montagnes qui restaura la sienne en 1998 et l'installa à coté de sa nouvelle gare. Ville Mont-Royal, entreposa la sienne sur le terrain de son garage municipal. Depuis 1995 quelle est là, à attendre... Selon quelques personnes, ce sont des citoyens de VMR qui s'oppose à sa restauration et son installation à côté de la gare de VMR, soit diant que c'est laid. Cet hiver, la bâche qui la couvrait à cédé. Photos: Le PAB, http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=12471&postdays=0&postorder=asc&start=20 En avril: http://www.flickr.com/photos/kellergraham/4516805870/ La voici en 2005 sous la bâche http://www.flickr.com/photos/kellergraham/347312676 Et en 2009 Quelle honte !
  18. "Montréal a un objectif ambitieux : amener 75 000 personnes d'ici 20 ans à vivre dans le grand centre-ville. Ce sera l'un des axes forts du prochain plan d'urbanisme dont les principauxs axes seront dévoilés prochainement. «Notre stratégie s'inspirera de la stratégie de vancouveroise Living First, tout en l'adaptant à la réalité montréalaise» déclare le responsable de l'urbanisme et chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. L'objectif est d'y créer un pôle de vie en réduisant le trafic auto, en développant le transport en commun et actif (marche et vélo) et en offrant plus de services pour pousser les Montréalais à s'y installer. Pas de projets pharaoniques «À Vancouver, on insiste énormément sur la mixité sociale et démographique, explique Brent Todorian, responsable de la planification urbaine à la Ville de Vancouver. Par exemple, on autorisera un promoteur à construire plus haut si son édifice incorpore une garderie.» Là-bas, pas de projets pharaoniques à la Turcot, mais plutôt d'imposants gratte-ciels au design encadré qui font la part belle aux toits verts et l'envie de M. Bergeron. «À Montréal, entre le secteur Griffintown à l'Ouest et le secteur de Radio-Canada à l'Est, on a de la place pour réaliser de belles choses, mais faudra se réconcilier avec les hauteurs», s'exclame-t-il. Le futur plan d'urbanisme prendra deux ans de cogitations avant d'être adopté. Cela devrait aider à augmenter la population de 500 000 personnes d'ici 2031 au lieu des 194 000 prévus, estime M. Bergeron. " Journal Métro http://www.journalmetro.com/linfo/article/493587--centre-ville-un-objectif-de-75-000-nouveaux-residants
  19. Montréal, place financière, c'est... Publié le 15 mars 2010 à 06h00 | Mis à jour le 15 mars 2010 à 06h00 Stéphanie Grammond La Presse (Montréal) 3000 entreprises qui emploient 100 000 personnes (autant qu'en technologie de l'information, trois fois plus qu'en aérospatiale). C'est aussi 25 000 emplois indirects chez les avocats, comptables, fiscalistes, actuaires et autres consultants. > La Banque Nationale et le Mouvement Desjardins, qui est le plus grand employeur du secteur à Montréal (12 000 employés), même si son siège social est à Lévis. > Plusieurs autres grands sièges sociaux, comme ceux de la Corporation Power et de la Banque Laurentienne. > Les cinq autres banques canadiennes qui desservent la clientèle québécoise et emploient plus de 13 000 personnes, dont certains dans des créneaux spécialisés. > La tête de pont nord-américaine des géants européens de l'assurance Standard Life et AXA. > La Bourse de Montréal, qui mise toujours sur les produits dérivés et la Bourse du carbone depuis la prise de contrôle par sa rivale torontoise. > La Caisse de dépôt et placement du Québec, l'un des plus grands investisseurs institutionnels au Canada. Mais aussi les Investissements PSP, qui gèrent l'épargne-retraite de la fonction publique fédérale, et dont l'arrivée à Montréal, en 1999, est l'une des bonnes nouvelles des 20 dernières années. > Une foule d'entreprises à succès... qui n'accordent jamais d'entrevue aux médias. À preuve, qui connaît Letko Brosseau? La firme de gestion fondée en 1987 gère pourtant 20 milliards de dollars. Et qui connaît Casgrain et compagnie? Le spécialiste des obligations, à Montréal depuis 60 ans, est pourtant la plus importante maison de courtage canadienne indépendante. > Une pépinière de talents, avec quatre grandes écoles de gestion dans des universités reconnues. C'est un large bassin de main-d'oeuvre spécialisée et bilingue, notamment 2000 des gestionnaires et analystes détenant le titre de CFA (Chartered Financial Analysts).
  20. Les Québécois veulent à tout prix que leur gouvernement fasse du ménage dans sa propre maison avant de fouiller dans leurs poches. C'est ce qui ressort clairement d'un sondage Léger Marketing réalisé au début janvier pour le compte du réseau TVA et du Journal de Montréal. Pas moins de 57 % des Québécois se disent prêts à couper dans les services publics pour ne pas voir leur fardeau fiscal augmenter de nouveau, un taux sans précédent en 20 ans de sondages menés par Léger Marketing. Le message ne peut pas être plus clair alors que s'amorce aujourd'hui le forum économique présidé par le premier ministre Jean Charest, à Lévis «Les gens nous disent : c'est fini, on en a assez. C'est l'heure des choix», résume Jean-Marc Léger. Ce taux serait encore plus élevé, analyse Christian Bourque, vice-président de la recherche chez Léger Marketing, si le sondage n'incluait pas obligatoirement une juste proportion de personnes âgées et d'autres personnes qui ne travaillent pas ou ne paient pas d'impôts. Ces personnes-là, bien évidemment, ne veulent pas couper dans des services qui ne leur coûtent rien de toute façon. Trop de gaspillage Les Québécois estiment que le gouvernement est mal administré, qu'il y a trop de gaspillage (84 %) pour qu'il se permette de venir fouiller impunément dans leurs poches pour régler ses problèmes. Autrement dit, les Québécois pensent que le gouvernement a suffisamment d'argent, mais qu'il est caché un peu partout dans son fouillis et que, pour le retrouver, les politiciens doivent faire du ménage. Les gens sont inquiets Les Québécois ne connaissent peut-être pas les chiffres par coeur, comme notre quiz publié hier a pu le démontrer (à peine 12 % des gens sondés ont obtenu la note de passage à ce test de 10 questions sur les finances publiques), mais cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas le portrait d'en-semble. Selon 54 % des personnes sondées, les finances publiques sont dans un état précaire et de plus, 20 % pensent que nous courons à la catastrophe. C'est donc 74 % des Québécois qui sont inquiets. Des coupures intelligentes Les Québécois ne veulent pas pour autant couper partout et n'importe comment. Ils veulent que le gouver nement se concentre sur ses vraies fonctions de base : l'éducation et la santé, par exemple. Ils souhaitent plutôt qu'il se retire des secteurs où il s'est lentement immiscé, qu'il laisse tomber des structures qu'ils jugent inutiles. Dans la même veine, ils veulent qu'on valorise les employés de l'État qui jouent un rôle concret. En fait, 76 % des Québécois estiment que le gouvernement est trouvé trop gros et qu'il faut réduire significativement la taille de l'État. DEMAIN : 10 SOLUTIONS - Si le gouvernement cherche des milliards pour équilibrer son budget, ce n'est pas parce que les Québécois ne sont pas d'accord pour remettre en question les pseudo vaches sacrées. Demain, les Québécois proposent au moins dix solutions à leurs élus. * * * Personnellement, êtes-vous prêt(e) à faire des sacrifices financiers afin d'aider à améliorer l'état des finances publiques du Québec? En vous basant sur vos propres perceptions, comment qualifieriezvous l'état des finances publiques du Québec ? 11 % : Ne sait pas / Refus 47 % : Non, ce n'est pas à moi de payer pour ça 43 % : Oui, nous devons tous faire des efforts et se serrer la ceinture 54 %: Elles sont dans un état précaire 20 %: Nous courons à la catastrophe 1%: Elles sont excellentes 21%: Elles sont bonnes malgré quelques difficultés passagères liées à la crise Les experts prévoient qu'il sera impossible de maintenir les services publics avec les revenus actuels de l'État. En conséquence, préférez-vous : 28 %: PAYER DAVANTAGE pour les services publics et CONSERVER le niveau de service actuel 42 % : PAYER LE MÊME MONTANT, mais subir une DIMINUTION des services publics 15 % : PAYER MOINS que maintenant et subir une DIMINUTION MAJEURE des services publics 15 % : Ne sait pas / Refus
  21. Air France-Delta: 280 emplois quittent Montréal Publié le 26 novembre 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h41 Marie Tison La Presse La coentreprise transatlantique créée par Air France-KLM et Delta Air Lines fait ses premières victimes à Montréal. Les deux transporteurs fermeront leurs centres d'appels respectifs dans la métropole québécoise le 31 août prochain, ce qui entraînera la perte de 280 emplois. Les emplois seront transférés dans les centres d'appels de Delta aux États-Unis. Le centre d'appels de Delta à Atlanta devrait notamment se doter d'une équipe d'une trentaine de personnes pour répondre aux appels de la clientèle francophone des deux transporteurs. «Le client ne verra pas la différence, a affirmé la vice-présidente et directrice générale d'Air France-KLM au Canada, Benedicte Duval, en entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. On lui parlera en français.» En mai dernier, Air France-KLM et Delta ont établi une coentreprise pour exploiter en commun les liaisons entre l'Europe et l'Amérique du Nord. Les sociétés ont entrepris une étude pour identifier des services qui pouvaient être mis en commun. C'est ainsi que Delta sera responsable des activités de réservation et du service à la clientèle d'Air France-KLM en Amérique du Nord, alors qu'Air France-KLM sera responsable des mêmes services en Europe. Mme Duval a souligné que 85% des appels reçus par le centre d'Air France-KLM à Montréal provenaient des États-Unis. Seulement 15% proviennent du Canada et d'autres marchés, notamment des Antilles, lorsque les centres d'appels responsables sont débordés. Elle a indiqué qu'il n'avait pas été question de conserver une équipe francophone à Montréal parce qu'un centre d'appels trop petit n'était pas efficace. «Déjà, notre centre d'appels de 140 personnes est moins efficace que les centres d'appels plus gros», a-t-elle affirmé. Elle a rappelé qu'il y a une dizaine d'années, Air France avait rapatrié à Montréal toutes ses activités nord-américaines de réservation pour, justement, améliorer leur efficacité. Ces emplois reprennent maintenant le chemin du sud. Mme Duval a souligné que les partenaires avaient choisi d'annoncer la fermeture des centres d'appels de Montréal dès maintenant pour donner aux employés un bon neuf mois pour trouver de nouveaux emplois. Ceux qui le voudront, surtout ceux qui parlent français, seront les bienvenus chez Delta à Atlanta. Air France-KLM fermera également la petite agence qu'elle conservait au centre-ville, dans les mêmes locaux que le centre d'appels, et transférera ses activités à l'aéroport Montréal-Trudeau. Comme celui d'Air-France-KLM, le centre d'appels de Delta à Montréal compte 140 personnes. «Les personnes touchées par la fermeture auront la possibilité d'obtenir d'autres postes à l'intérieur de Delta, ou elles recevront des indemnités de départ et de l'assistance pour la recherche d'emplois», a déclaré Susan Elliott, responsable des relations avec les médias au siège social de Delta, à Atlanta. Jointe par courriel, Mme Elliott s'est révélée un peu moins affirmative que Mme Duval au sujet des services dédiés à la clientèle francophone. Elle n'a pas répondu directement lorsque La Presse Affaires lui a demandé si Delta mettra une équipe francophone en place et comment elle recrutera ce personnel. «Nous sommes présentement à identifier les besoins en personnel dans nos centres d'appels américains», a-t-elle simplement répondu. Toujours en raison de l'entente conclue avec Air-France-KLM, Delta fermera son centre de réservation de Londres au dernier trimestre de 2010.
  22. Nakheel, le plus important promoteur immobilier sur la planète, construira un théâtre de 1800 places spécialement à l'intention du Cirque du Soleil sur The Palm Jumereirah, un site exceptionnel situé à Dubaï dans les Émirats Arabes. Le Cirque du Soleil et Nakheel ont signé hier une entente de 15 ans qui prévoit que ce spectacle, le premier spectacle permanent du Cirque présenté à l'extérieur des États-Unis, du Japon et de la Chine, prendra l'affiche à l'automne 2010. Soulignons que ce partenariat s'inscrit dans la foulée du succès remporté par Quidam, un spectacle de tournée du Cirque du Soleil qui a été présenté au début 2007 devant plus de 100 000 personnes sous l'immense chapiteau installé au Ibn Batuta Mall. " Dubaï est l'une des villes qui se développent le plus rapidement au monde. Comme toute ville connaissant un tel essor et se voulant une destination internationale du 21e siècle, Dubaï a besoin d'installations culturelles et municipales. Avec plus de 30 hôtels cinq étoiles (plus de 14 000 chambres), The Palm Jumeirah était l'endroit tout indiqué pour accueillir le Cirque du Soleil ", a indiqué le sultan Ahmed Bin Sulayem, président exécutif de Nakheel. Le président et chef de la direction du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre, se réjouit de la signature de cette entente qui permettra à l'entreprise de développer un nouveau marché. " Nous sommes constamment à l'affût de nouveaux marchés pour des spectacles permanents, mais ce n'est pas facile de trouver un endroit où le taux d'achalandage est suffisant " a expliqué M.Lamarre qui se dit confiant que cette nouvelle production saura captiver l'imagination de millions de spectateurs comme c'est le cas avec O, un spectacle permanent présenté à Las Vegas qui a été vu par plus de six millions de personnes en huit ans.
  23. Quebec universities report steep rise in regisration MONTREAL, Oct. 8 /CNW Telbec/ - For the fall semester 2009, 268,167 students registered at Quebec universities. Of this number, 181,316 registered full time and 86,851 registered part time. After a rise of at least 1% a year for the last three years, the total number of registrations rose steeply by 3.8% this year. The last increase of this scale goes back to 2003 and a rise of 4.2% Full time student registration saw a significant increase (6.2 %) at all levels of study (5.3 % at the undergraduate level, 10.6 % at the graduate level and 6.9 % at the postgraduate level). The number of new full time undergraduate registrants also rose by 7.3%, which will have a favourable impact on total registration in the common years. Part time registration saw a small decrease in numbers by 0.8%. Bishop's 6.5% -3.3% s.o. 6.3% A number of factors explain these increases. For example, the current economic recession has led to significant numbers of lost jobs, new programs have been implemented and international student recruitment has been stepped up. Another significant observation already noted in recent years is the presence of women at university. This year, women account for 57.6% of undergraduates, 55.5% of graduate students and 48.1% of postgraduate students. 57.7% of new full time undergraduates registered are women. We observe that a majority of undergraduate and graduate students are women and that that percentage at these levels has been relatively stable in recent years. However, we also note a steady increase at the postgraduate level. These findings come from the universities' preliminary registration statistics, excluding data from Télé-université which does not participate in data collection because its registration is a continuous process. Note that the situation varies greatly from one university to another. For this reason, the statistics for individual universities must be consulted to identify the exact causes of these variations in student registrations. All the data by institution as well as the concept identification used in the data collection methodology are available on the CREPUQ Web site: http://www.crepuq.qc.ca/spip.php?article102&lang=en CREPUQ includes all 18 Quebec universities. The organization acts as their voice in relations with government and sectors related to higher education. It also fosters coordination and collaboration between universities, is a research centre for university administrations, acts as a centre for coordination and joint service delivery, and is a resource centre and think tank for its members. CREPUQ Inscriptions aux trimestres d'automne 2008 et 2009 : variation en %, au 24 septembre de chaque année, du nombre de personnes inscrites selon le niveau d'études, du nombre de nouvelles personnes inscrites au 1er cycle à temps plein et de la masse de crédits au 1er cycle ------------------------------------------------------------------------- Variation Variation en % du nombre en % Variation de personnes - inscriptions Nouvelles en % temps plein et temps partiel personnes Masse -------------------------------------------- 1er cycle de Établissements 1er 2e 3e - temps crédits cycle cycle cycle Total plein 1er cycle ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Bishop's 6.5% -3.3% s.o. 6.3% 10.7% 6.1% Concordia 3.5% 11.0% 12.7% 4.6% 7.5% 2.6% Laval 2.2% 1.7% -2.3% 1.8% 5.9% 3.6% McGill 2.5% 1.8% 5.2% 2.6% 5.9% 0.6% Montréal +HEC+Poly 4.6% 5.6% 5.8% 4.8% 8.4% 5.4% Montréal 4.9% 4.6% 4.2% 4.8% 9.6% 5.8% HEC Montréal 0.7% 7.1% 2.1% 2.1% -3.6% -0.3% Polytechnique 10.6% 9.3% 16.0% 10.8% 18.0% 12.5% Sherbrooke 2.0% 26.8% 4.4% 9.2% 7.5% -0.5% Université du Québec * 2.5% 4.0% 5.2% 2.8% 7.6% 3.1% UQAC 5.7% -0.1% -5.3% 4.5% 13.4% 7.6% UQAM -0.5% -2.6% 1.4% -0.7% 3.9% 0.9% UQAR 6.1% 4.3% 7.4% 5.9% -0.6% 3.5% UQAT 1.9% 23.1% 31.4% 5.1% 3.0% -1.4% UQO 2.5% 17.2% 80.9% 5.9% 17.9% 4.4% UQTR 7.7% 9.6% 3.6% 7.8% 12.2% 5.6% ENAP s.o. 2.1% 31.1% 2.7% s.o. s.o. ÉTS 6.3% 34.9% 22.4% 10.0% 16.2% 8.4% INRS s.o. -5.0% 2.1% -1.3% s.o. s.o. ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Ensemble des univer- sités * 3.1% 7.0% 4.5% 3.8% 7.3% 3.0% -------------------------------------------------------------------------
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