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  1. http://www.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php <!-- .excerpt --> Le Métropolis subira une cure de rajeunissement l'an prochain. Son propriétaire, l'Équipe Spectra, cherche actuellement un partenaire-commanditaire pour mener à bien des travaux qui doivent commencer au printemps et se terminer à temps pour la saison des festivals. Il n'est pas question de fermer la salle de spectacle pendant ce réaménagement, qui ne touchera pas à sa structure. «C'est le 20e anniversaire de l'acquisition du Métropolis par Spectra, le 375e de Montréal, et le Quartier des spectacles est vraiment en ébullition. On veut y participer, et c'est un bon moment pour faire ces investissements-là», affirme Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra. À 132 ans bien sonnés, le Métropolis n'a pas subi de baisse de fréquentation récemment et sa réputation est bien établie. Le magazine spécialisé Pollstar le classe bon premier au Canada et 13e au monde dans sa catégorie de salle. «Mais comment fait-on pour passer de la 13e à la 4e place au monde et pour que les artistes et le public qui nous adorent nous adorent encore plus?» demande Jacques-André Dupont. «Il faut garder cet actif-là en parfait état et, tant qu'à investir, on va essayer d'aller plus loin et de créer un lieu qui va nous mener vers les 20 prochaines années.» Agrandir Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra, qui est propriétaire du Métropolis. Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse S'ouvrir sur la rue L'Équipe Spectra veut surtout investir dans l'aspect technologique du Métropolis pour être à la fine pointe de ce qui se fait ailleurs dans le monde. Son président tient également à ce qu'il soit plus accueillant pour les spectateurs et qu'il prenne un peu plus de place au coeur du Quartier des spectacles. «On pourrait ouvrir davantage sur la rue Sainte-Catherine, dit M. Dupont. Notre façade pourrait être plus large que présentement. C'est un petit sas pour entrer dans le Métropolis, et j'aimerais que ce soit plus accueillant. Il y aurait même la possibilité d'ouvrir une terrasse sur la [rue] Sainte-Catherine si on voulait. J'aimerais bien également avoir un accès direct au Savoy. Présentement, pour accéder à cette boîte, il faut entrer par le Métropolis.» Il est également question de changer les systèmes de son de la salle, de rénover les loges des artistes, les toilettes, les guichets, les bars ainsi que, peut-être, les loges au balcon et les corbeilles de chaque côté de la scène. «On a trois objectifs: on veut que le public voie la différence et que son expérience soit améliorée, que les artistes soient mieux accueillis et que les techniciens trouvent ça encore plus facile de travailler chez nous.» Changement de nom? M. Dupont parle d'un investissement «dans les sept chiffres» dont la hauteur dépendra de l'implication du partenaire à dénicher. Ce commanditaire éventuel pourrait provenir du monde médiatique ou encore du milieu technologique, plus présent que jamais dans les arts de la scène. Des pourparlers ont déjà été entrepris, et M. Dupont espère que le partenariat sera scellé d'ici la fin de l'année. Le Métropolis pourrait-il changer de nom et devenir la vitrine d'un commanditaire, comme son grand cousin du Groupe CH, le Centre Bell? «Il est tôt pour parler de cela, mais nous serions ouverts à explorer cette option avec le bon partenaire - un partenaire qui, au-delà d'une contribution financière, partagera nos valeurs et notre attachement au Métropolis et à la métropole», répond Jacques-André Dupont. Le Métropolis au fil des ans 1884: Ouverture du Théâtre français. 1923: Après un incendie qui le détruit complètement à la fin du XIXe siècle, il est reconstruit et sera converti en salle de cinéma. 1930: Au début de la décennie, il est encore la proie des flammes. Il sera rénové et décoré par Emmanuel Briffa, qui a également décoré le Théâtre Outremont. 1960: Le théâtre devient une salle de cinéma érotique. 1987: Le Métropolis rouvre ses portes après une fermeture qui aura duré sept ans. Il a une double vocation de discothèque et de salle de spectacle. 1997: L'Équipe Spectra achète le Métropolis et le réaménage quelques années plus tard pour qu'il soit consacré uniquement au spectacle. w.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php
  2. Publié le 10 septembre 2016 à 11h31 | Mis à jour le 10 septembre 2016 à 11h31 Un centre d'expertise en économie sociale à Montréal Le Forum mondial de l'économie sociale, qui s'est terminé hier, aura des répercussions à long terme à Montréal : la ville accueillera une nouvelle organisation internationale vouée au partage de l'expertise en matière d'économie sociale et solidaire. Les villes de Séoul, Bilbao, Mondragón (Pays basque) et Barcelone sont les partenaires de Montréal dans la création du Centre international de transfert d'innovations et de connaissances en économie sociale et solidaire (C.I.T.I.E.S.). « Cinq personnes y travailleront pour commencer, mais ça pourrait rapidement augmenter à 10 ou 12, puisque d'autres villes sont intéressées à participer », a indiqué le maire de Montréal, Denis Coderre, en entrevue à la suite de cette annonce. «Il y a un momentum autour de l'économie sociale, et le fait que Montréal accueille le siège d'une nouvelle organisation internationale consolide notre rôle de leader dans ce domaine.» Denis Coderre Les entreprises de ce secteur se développent plus rapidement et plus efficacement quand elles peuvent échanger leurs connaissances, souligne Nancy Neamtan, conseillère au Chantier de l'économie sociale, qu'elle a contribué à fonder. « Tout notre mouvement s'est construit en empruntant les meilleures idées ailleurs », dit-elle. Le Forum mondial de l'économie sociale, qui a réuni pendant trois jours à Montréal 1500 personnes provenant d'une soixantaine de pays, s'est conclu hier par une déclaration incitant les participants à faire la promotion de ce modèle économique, qui vise le bien-être des communautés plutôt que la maximisation des profits, notamment par la construction de partenariats public-privé-collectif. Un centre d'expertise en economie sociale a Montreal | Isabelle Ducas | Quebec
  3. Bonjour, Je me présente, je suis Monsieur GUY VIVIAN ACHARD , Homme d'affaire et financier. Je voudrais faire des prêts entre particuliers et financement de 5000 euros a 7.852.000 euros pour tous les interdits bancaires, les personnes en difficulté et toutes personnes n'ayant pas la faveur des banques. Merci de joindre sur mon adresse email personnel: http://www.guyachard1@gmail.com,'>http://www.guyachard1@gmail.com, http://www.guyachard1@gmail.com J’étudie toute proposition. Je ne prends ni frais de dossier ni frais de notaire. Les pays africains s’abstenir. Cordiales salutations.
  4. Source : Radio Canada Seize personnes ont été blessées, dont 14 légèrement, lors d'un spectaculaire incendie d'un hôtel de luxe du centre de Dubaï, aux Émirats arabes unis, a annoncé le gouvernement. Une personne a été victime d'une crise cardiaque, mais elle n'est pas morte, et aucun enfant n'a été blessé. Un médecin présent sur les lieux a comptabilisé quant à lui plus de 60 personnes incommodées par les fumées ou blessées lors de bousculades pendant l'évacuation de l'Address Hôtel. L'immeuble de 63 étages se trouve près de la Burj Khalifa, la plus haute tour du monde, et devant laquelle des centaines de personnes étaient rassemblées pour assister au feu d'artifice marquant le passage au Nouvel An. Tous les résidents de l'immeuble ont pu être évacués et l'incendie a été rapidement maîtrisé. L'origine de l'incendie reste inconnue. Selon les premières informations, il se serait déclenché au 20e étage du gratte-ciel, mais uniquement à l'extérieur de la tour. Les systèmes anti-incendie ont été déclenchés pour empêcher les flammes de pénétrer dans l'hôtel. Malgré l'incendie, les célébrations du Nouvel An ont eu lieu comme prévu et un feu d'artifice a été lancé de la Burj Khalifa. La police a toutefois évacué une zone proche de la base de la tour. Selon le site Skyscraper Center, qui recense les gratte-ciels du monde, l'Address Hôtel a une hauteur de 302 mètres, et abrite 626 appartements luxueux et 196 chambres d'hôtel. La tour Burj Khalifa fait de son côté 828 mètres de haut.
  5. 2015-11-18 L'égali-Terre (coopérative d'habitation) 5360, 5370 et 5380, rue Rivard Année d'occupation avril 2016 24 unités Utopie-Créatrice (OSBL en habitation) 5350, rue Rivard 8 lgoements Projet pour personnes ayant une déficience intellectuelle http://www.atelierhabitationmontreal.org/projets_en_cours rue St-Denis
  6. Finalement, la construction commence seulement maintenance pour la phase 3. via LinkedIn - Denis G. Tremblay Co-Propriétaire de TLA Architectes C'est un départ pour la construction du LUX phase 3, une résidence prestigieuse pour personnes aînées. 12 étages bétonnees, 20 lits pour soins assistés et 2 penthouses avec vue incroyable sur Montréal. La construction est confiée à EBC
  7. (C'est un vieil article, mais ça résume bien le projet) Un nouveau projet de logements abordables à Laval-des-Rapides Par Claude-André Mayrand Mardi 29 octobre 2013 15:46:30 HAE LAVAL - La Société d’habitation du Québec (SHQ) a dévoilé lundi après-midi les grandes lignes d’un important projet d’habitation de coopérative qui comptera 166 logements et qui sera érigé à proximité du métro de la Concorde, dans le secteur Laval-des-Rapides. Le projet de la Coopérative de solidarité du Bois Ellen, dont les coûts de construction sont évalués à environ 23 M $, sera financé à moitié par la SHQ. La Ville de Laval fournit de son côté 3.5 M $ ainsi que des rabais de taxes pour cinq ans et des ristournes sur les droits de mutation. «Nous prévoyons lancer l’appel d’offres après les vacances Noël et ouvrir le chantier dès avril 2014, affirme Aziz Dennoune, chargé de projet pour le groupe de ressources techniques Réseau 2000+, qui copilote le projet avec la Coopérative de solidarité. On aimerait compléter le projet entre juillet et septembre 2015.» M. Dennoune a parlé du projet comme un besoin pour la communauté. «Si on se fie au bilan de développement de Laval pour la période 2006-2011, il y a un accroissement flagrant au niveau des personnes de 65 ans et plus, des femmes monoparentales et des familles issues de l’immigration, illustre-t-il. Les objectifs de la coopérative sont la solidarité, l’intégration et l’apprentissage par l’implication.» Deux édifices de 13 et six étages seront construits en forme de «L», annexés à un édifice d’un étage qui comptera une cuisine, une salle à manger et une salle communautaire. Des 166 unités, 56 seront destinées aux personnes autonomes et 110 aux personnes en légère perte d’autonomie. Le terrain, une cour à bois de vocation résidentielle depuis peu, propriété de Mandy Ellen, a été acquis en décembre 2011 au montant de 2.2 M $. Volonté de mixité sociale Le député Léo Bureau-Blouin parle d’un projet qui a été construit avec des objectifs de mixité sociale pour ses résidents. «La mixité sociale contribuera à la création d’une richesse où les forces de chacun pourront être utilisées pour le bien-être de tous et cette solidarité intergénérationnelle est une valeur très importante pour notre gouvernement, explique le jeune député de Laval-des-Rapides, qui représentait le ministre responsable de la SHQ, Sylvain Gaudreault, lors de l’annonce. Le futur complexe permettra à des familles et à des aînés d’évoluer dans un environnement de qualité et adapté aux besoins de chacun.» Francine Néméh, directrice générale de la Fédération des coopératives d’habitation intermunicipale du Montréal métropolitain, a profité de l’annonce de lundi pour rappeler l’importance des logements sociaux. «Chaque dollar investi dans le logement social, il y a 2,30 $ injectés dans l’économie, en plus du surplus de flexibilité financière de 152 M $ par année réalisées par le logement social pour les personnes à faibles revenus, sans compter les économies sur l’aide à itinérance, aux handicapés et les services de santé mentale. Nous voulons voir ce genre d’investissement de multiplier», précise-t-elle. Le projet inclut des mesures d’efficacité énergétique novatrices telles qu’un système de récupération de chaleur et un système de préchauffage d’air par l’énergie solaire. http://www.hebdosregionaux.ca/laval/2013/10/29/un-nouveau-projet-de-logements-abordables-a-laval-des-rapides ------- Source : http://fechimm.coop/fr/cooperatives/bois-ellen Il s'agit de la grue qui se trouve à côté du Logix depuis quelques mois déjà. Selon l'article, le projet sera complété cet été. On peut mal juger le design parce que l'image ci-haut est le seul "rendu" disponible. En tout cas, c'est un projet bien situé et doté d'une mission claire.
  8. Incroyable. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/commerce-de-detail/parasuco-ferme-7-boutiques-au-pays/576040 Le détaillant de vêtements Parasuco a décidé de fermer les sept boutiques qu'il détient et exploite en raison de ses difficultés à s'adapter à un secteur de la mode en pleine transformation. La société établie à Montréal, qui n'a pas voulu accorder d'entrevue, a ainsi annoncé vendredi s'être placée sous la Loi sur la faillite et l'insolvabilité au Canada. C'est la firme KPMG qui a été nommée syndic dans ce dossier. Quelque 80 personnes qui travaillent dans ces sept boutiques devraient ainsi perdre leur emploi. L'entreprise exploite six établissements au Québec ainsi qu'une boutique à Mississauga, en Ontario. Toutefois, la plateforme de vente en ligne des Jeans Parasuco, qui emploie plus de 70 personnes et qui compte 40 ans d'existence, sera maintenue. Après Boutique Jacob, les magasins Smart Set et Mexx Canada, entre autres, il s'agit d'une autre bannière qui disparaît dans le secteur de la mode. Sans évoquer la fermeture de ses boutiques, Parasuco faisait déjà état d'importants rabais sur de la marchandise déjà réduite.
  9. C'est vraiment triste! Dans le journal Métro : R.I.P. Prince-Arthur Selon Eco-compteur, plus de 40 000 personnes déambulent quotidiennement sur la rue Prince-Arthur malgré son déclin. Marc-André Carignan La rue Prince-Arthur était «aux soins palliatifs» depuis déjà plusieurs années, et sa santé économique se dégradait à vue d’œil. Mais là, c’est vrai: elle a rendu l’âme ces derniers mois dans un silence presque absolu. Sur la portion piétonnisée entre Saint-Laurent et le carré Saint-Louis, le paysage est plus morose que jamais dans cette rue qui a jadis fait la réputation de Montréal, avec ses terrasses, ses artistes et ses formules Apportez votre vin. Les restaurateurs, principaux piliers de l’activité économique du secteur depuis les années 1980, n’auront malheureusement jamais réussi à se renouveler face à la compétition de plus en plus féroce sur l’île. Si on ajoute à cela des hausses marquées des coûts d’exploitation et des taxes foncières sur le Plateau, l’inévitable devait arriver un jour ou l’autre. Les locaux commerciaux vacants se succèdent désormais dans cette rue (le taux d’inoccupation dépasse les 30%), tout comme les graffitis qui pullulent sur les édifices désertés. La neige est à peine déblayée, et plusieurs portes et fenêtres sont placardées. Le coût mensuel de certains locaux délaissés aurait même diminué de 50% à 60% au cours des cinq dernières années, selon des commerçants que j’ai questionnés à ce sujet. Ironiquement, Prince-Arthur possède toujours un certain charme malgré sa déconfiture. Sa configuration à l’échelle humaine s’avère très attractive, et sa localisation entre le métro Sherbrooke et la Main rend ce lien pédestre quasi indispensable pour les piétons et les cyclistes. Plus de 40 000 personnes y circulent quotidiennement, un chiffre plutôt impressionnant pour une artère «cliniquement morte». Son potentiel de réaménagement est donc énorme, et les élus de l’arrondissement le savent très bien. «Vous m’auriez parlé de Prince-Arthur il y a huit mois, j’aurais été très découragée, me confiait récemment la conseillère du district Jeanne-Mance, Christine Gosselin. Mais là, on voit un renouveau. Une association marchande volontaire a été créée, de nouveaux bâtiments sont en chantier ou le seront bientôt. Et puis quelques commerces ont ouvert leurs portes. Ça devrait amener un second souffle.» L’arrondissement planche également sur divers scénarios pour dynamiser les environs, notamment durant la période estivale. «On tente de développer un projet de danse à ciel ouvert, de guinguette où les citoyens pourraient socialiser, poursuit-elle. L’idée d’un marché de fruits et légumes ou d’antiquités a également été évoquée.» Propositions intéressantes, certes, mais on devra aller beaucoup plus loin. Ce qu’il faut avant tout pour Prince-Arthur (et plusieurs autres artères sur l’île), c’est un véritable plan de match pour le développement commercial. Un plan qui forcerait l’administration Coderre à réévaluer le fardeau fiscal imposé aux commerçants, à épurer les couches bureaucratiques qui nuisent à l’épanouissement des artères (pour installer de simples lumières de Noël, par exemple!) et à élaborer des stratégies pour limiter la spéculation immobilière. Un remède de cheval, quoi. Plus d’un local commercial sur trois est vacant sur la rue Prince-Arthur Les graffitis pullulent plus que jamais sur la rue piétonne
  10. http://techno.lapresse.ca/nouvelles/mobilite/201411/14/01-4818909-gare-au-mobile-pianoter-ou-marcher-il-faut-choisir.php Publié le 14 novembre 2014 à 09h41 | Mis à jour le 14 novembre 2014 à 09h41 Gare au mobile: pianoter ou marcher, il faut choisir! Selon les secouristes, entre 2009 et 2013, 122 blessés ont dû être pris en charge par une ambulance à la suite d'accidents causés par des piétons accros à leurs téléphones portables au gigantesque carrefour tokyoïte de Shibuya, l'un des plus fréquentés du monde. Ma Presse ALASTAIR HIMMER Agence France-Presse TOKYO Quand les voitures s'arrêtent au gigantesque carrefour tokyoïte de Shibuya, l'un des plus fréquentés du monde, des centaines de personnes foncent tête baissée pour traverser... les yeux rivés sur leur téléphone intelligent, à leurs risques et périls. Ce spectacle étonnant mais désolant inquiète les autorités japonaises, car si tout le monde se met à agir ainsi, c'en est fini de la sécurité piétonnière. Une simulation réalisée par NTT Docomo, premier opérateur nippon de services cellulaires, l'a prouvé: si 1500 individus restaient regard plongé dans leur écran en franchissant ce croisement multiple, il en résulterait 446 collisions et 103 chutes. Un tiers seulement des piétons arriveraient de l'autre côté sans encombre. Conclusion: «si les gens continuent d'arpenter les rues en regardant leur téléphone, le nombre d'accidents va augmenter», avertit Tetsuya Yamamoto, un haut fonctionnaire chargé de la prévention des risques chez les pompiers de Tokyo. Déjà, selon lui, «41 % des accidents liés au téléphone mobile sont le fait de personnes qui l'utilisent en marchant ou se déplaçant à vélo». Les automobilistes qui papotent ou surfent ne sont donc pas les seuls dangers publics. Et nous ne parlons pas ici de quelques désagréments anodins entre deux personnes qui se bousculent et s'excusent vaguement, mais d'individus qui finissent à l'hôpital. Selon les secouristes, entre 2009 et 2013, 122 blessés ont dû être pris en charge par une ambulance à la suite d'accidents causés par des piétons accros à leurs téléphones portables. Un fléau urbain international Tous les adultes japonais ont un mobile - la moitié de type téléphone intelligent - et la proportion d'enfants également équipés tend à croître. Selon des recherches effectuées par NTT Docomo, le champ de vision d'une personne qui concentre son regard vers le bas, sur l'écran de son mobile, est réduit à 5 % de ce qu'il est en temps normal. «C'est dangereux, particulièrement pour les enfants, et il est de notre devoir de faire en sorte que ce type de comportement n'existe pas», explique Hiroshi Suzuki, directeur de la responsabilité sociale de Docomo. Dont acte: M. Suzuki fait la tournée des écoles pour apprendre aux petits l'art et la manière de faire un usage responsable de leur «sumaho». «Nous nous appuyons sur l'histoire du lièvre et de la tortue», explique-t-il. «Le lièvre avance en utilisant son téléphone intelligent et tombe dans un trou. Nous voulons que les enfants sachent qu'ils pourraient être le lièvre». Faut-il dès lors obliger les piétons à porter un casque ? «Je ne pense pas que cela devienne nécessaire dans un proche avenir, mais notre message est que cela pourrait arriver. Nous sommes tous des victimes potentielles», prévient M. Suzuki. Des affiches sur les quais de gare, des coups de sifflet des agents de police et autres initiatives sont également prises pour lutter contre ce fléau des temps modernes, dont Tokyo n'a cependant pas l'apanage: Londres, New York, Paris ou Hong Kong déplorent aussi la présence massive de toxicomanes du mobile. En Chine, un parc d'attractions situé dans la mégalopole de Chongqing (sud-ouest) a trouvé la parade: il a divisé les trottoirs en deux voies, pour les piétons sans ou avec mobile. Ceux qui choisissent d'emprunter la seconde le font en connaissance de cause: ils sont responsables des conséquences de leur attitude. Une ville de l'État de New York a quant à elle songé à une loi réglementant l'usage des appareils mobiles sur la chaussée.
  11. [h=1]Découvrir et vivre Montréal - La Ville dévoile un guide d'accueil à l'intention des personnes nouvellement arrivées à Montréal[/h][h=3]31 octobre 2014[/h]Montréal, le 31 octobre 2014 - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et M. Dimitrios (Jim) Beis, responsable de l'approvisionnement, des sports et loisirs et des communautés d'origines diverses au comité exécutif de la Ville de Montréal, en présence de la ministre de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion, Mme Kathleen Weil, ont lancé aujourd'hui un guide à l'intention des personnes immigrantes qui ont choisi de s'installer dans la métropole. Intitulé Découvrir et vivre Montréal, ce nouvel outil présente les ressources et les services qu'offre la Ville de Montréal et vise à faciliter l'intégration des nouveaux arrivants dans la métropole. « Montréal est reconnue à l'échelle internationale pour être une ville accueillante, une ville qui fait une place à l'ensemble de ses citoyens. Les nouveaux arrivants jouent un rôle essentiel dans le développement de notre ville et ce guide sera très certainement un outil pratique pour les personnes nouvellement arrivées à Montréal ou pour ceux et celles qui projettent s'y établir. Notre ville accueille annuellement 70 % des personnes qui choisissent le Québec comme terre d'adoption et il est de notre devoir de leur fournir les outils nécessaires afin qu'elles puissent contribuer pleinement au développement et au rayonnement de notre ville », a déclaré le maire. Une publication du Service de la diversité sociale et des sports de la Ville de Montréal, réalisée dans le cadre de l'Entente entre la Ville de Montréal et le ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion, le guide Découvrir et vivre Montréal aborde divers aspects de la vie montréalaise. Ainsi, de l'information et des conseils pratiques permettent au lecteur de se familiariser sur une foule de sujets tels que l'histoire et la géographie de la ville, le logement, le transport, le marché du travail, l'offre culturelle, les loisirs, la sécurité et l'environnement. En outre, des renseignements relatifs à la vie démocratique, aux instances politiques et aux principes de démocratie de la ville permettent aux nouveaux arrivants de se familiariser avec les valeurs communes de leurs concitoyens. « Nous partageons un objectif commun avec la Ville de Montréal, celui d'offrir à la population de Montréal des actions et des moyens qui favorisent le vivre-ensemble et l'établissement de relations interculturelles harmonieuses. Les personnes immigrantes viennent enrichir le Québec de leurs talents et de leurs compétences. Elles ont besoin de notre appui pour pouvoir contribuer pleinement à la prospérité de Montréal et du Québec », a souligné la ministre Kathleen Weil. À l'instar du ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion du gouvernement du Québec, qui a publié un guide pour l'intégration des nouveaux citoyens dans la province, Découvrir et vivre Montréal a été conçu comme un outil de référence pour accompagner ces derniers à leur arrivée dans la métropole et tout au long de leur intégration à la vie montréalaise. « À ceux et celles qui ont choisi Montréal comme ville d'adoption, je vous souhaite la plus sincère des bienvenues. Vous trouverez ici une métropole dynamique, où l'ouverture et la convivialité sont des valeurs que partagent les gens qui y habitent. Montréal s'enrichit de l'apport de ses nouveaux citoyens qui viennent des quatre coins de la planète et je vous invite à contribuer, à votre manière, à l'édification d'une ville où l'harmonie et le respect mutuel sont des valeurs qui se vivent au quotidien », a conclu le maire. Le guide Découvrir et vivre Montréal sera distribué aux organismes qui œuvrent à l'intégration des personnes immigrantes à Montréal et peut être téléchargé sur le site Web de la Ville de Montréal à l'adresse suivante : www.ville.montreal.qc.ca/diversite.
  12. Radio-Canada fait une série de reportages sur les stéréotypes de différents quartiers de Montréal Le premier parle des bobos du Plateau : Les bobos du Plateau existent, en voici la preuve Mise à jour le mercredi 29 octobre 2014 à 16 h 13 HAE Montréal traîne son lot de clichés, mais sont-ils tous vrais? Dans ce premier article d'une série sur les stéréotypes revus et corrigés de la métropole, nous décortiquons l'un des plus souvent cités : les bobos du Plateau. (voir les cartes interactives sur le site) Une chronique de Pasquale Harrison-Julien Bobo : nom et adj. « Personne d'un milieu aisé, jeune et cultivée, qui recherche des valeurs authentiques, la créativité. Acronyme : bourgeois bohème. » C'est ainsi que Le Petit Robert définit le bobo. À Télé-Québec, ils étaient incarnés par le couple fictif formé par Anne Dorval et Marc Labrèche. Et si l'on plonge dans les données statistiques sur l'éducation, l'emploi, l'état civil, la religion et l'âge, on constate que dans la réalité, ils habitent majoritairement sur le Plateau-Mont-Royal. 1. Un quartier jeune? L'âge médian du résident du Plateau est de 34,1 ans. C'est le plus bas sur l'île de Montréal. C'est aussi l'arrondissement avec le plus fort pourcentage de personnes âgées de 25 à 29 ans, ainsi que de 30 à 34 ans. L'endroit où l'âge médian est le plus élevé sur l'île? Senneville (47,4 ans). 2. Un quartier d'artistes? C'est sur le Plateau-Mont-Royal qu'on retrouve le plus de personnes qui travaillent dans le milieu des arts, de la culture, des sports et des loisirs, soit 9015 personnes - comme l'indique la carte. Cela représente environ un résident sur sept. C'est plus que son plus proche concurrent, son voisin, Rosemont-La Petite-Patrie, où habitent 6590 travailleurs de ce secteur. Pour cette série, nous avons utilisé l'Annuaire statistique de l'agglomération de Montréal, publié par l'équipe de Montréal en statistiques, de la Ville de Montréal. Ce document analyse des données tirées du recensement de 2011 et de l'enquête nationale auprès des ménages de 2011. 3. Un quartier d'universitaires? Plus d'un résident sur deux du Plateau possède un diplôme universitaire, soit 44 085 personnes. Seul l'arrondissement de Côte-des-Neige-Notre-Dame-de-Grâce a un nombre plus élevé de diplômés : presque 10 000 personnes de plus, à 55 155 personnes, mais dans une proportion moindre (40,7 %). En termes de pourcentage, Westmount, Mont-Royal et Outremont ont les plus grandes proportions de diplômés universitaires sur l'île. 4. Un quartier de cyclistes et de piétons? Le stéréotype du résident du Plateau qui se rend à vélo ou à pied pour travailler semble se confirmer : cela représente 33,7 % des gens de cet arrondissement. Le Plateau éclipse tous les autres arrondissements pour l'utilisation du vélo : 6125 personnes, soit 11,6 % de l'arrondissement. C'est deux fois plus qu'Outremont, le second dans cette catégorie. Ils sont aussi les plus nombreux à Montréal à marcher : 11 710 personnes. En pourcentage toutefois, Ville-Marie est proportionnellement plus adepte de la marche pour se rendre au boulot (27,8 % comparativement à 22,1 % pour le Plateau). Toutes proportions gardées, les résidents de Pierrefonds-Roxboro sont ceux qui utilisent le moins la marche et le vélo pour aller au travail. 5. Un quartier de célibataires? Le mariage n'a pas la cote sur le plateau : l'arrondissement compte 50,1 % de célibataires et 21 % de personnes en union libre. En nombre, c'est toutefois dans Rosemont-La Petite-Patrie que les célibataires sont les plus nombreux. Dans le coin opposé : Côte-Saint-Luc, où moins du quart de ses résidents sont célibataires et à peine 3,3 % vivent en union libre. On peut aussi observer sur la carte une profonde différence entre l'Est ou l'Ouest. 6. Un quartier peu religieux? Côté foi, 38 980 résidents du Plateau disent n'avoir aucune religion, soit 39,7 % des résidents de l'arrondissement. En proportion suivent Ville-Marie (30,3 %) et Rosemont-La Petite-Patrie (25,9 %). L'arrondissement le moins athée? Saint-Léonard (7,1 %). Bobo pour toujours? Le Plateau n'a pas toujours été un quartier bobo, comme le rappelle l'urbaniste Daniel Gill. Et à l'avenir, son visage pourrait continuer d'évoluer. « Il y a un désir de partager des lieux communs avec des gens qui ont le même mode de vie. Historiquement, la création de l'UQAM a attiré des universitaires sur le Plateau. Les petits appartements d'ouvriers correspondaient aussi aux besoins des gens célibataires. »— Daniel Gill, professeur à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal. Les changements de population dans les quartiers prennent du temps à se produire. Ce qui ne veut pas dire que le Plateau sera le fief des bobos pour toujours. « Certains le trouvent déjà ringard. De nouvelles générations, plus jeunes, pourraient décider de s'installer ailleurs comme dans Villeray, Rosemont ou Griffintown », remarque Daniel Gill. Demain : L'Ouest riche, l'Est pauvre? Nous décortiquons les chiffres.
  13. Les baby-boomers ne repeupleront pas les villes, selon une nouvelle étude de l'Université Concordia. La proportion des déménagements de personnes âgées dont la destination est un quartier très urbanisé de Montréal a baissé de plus de 30%, à moins de 20%, depuis 20 ans, selon l'étude. C'est une baisse plus rapide que chez les autres groupes d'âge, et la plus haute parmi les grandes villes au Canada. «Dans les médias, on entend parler de baby-boomers qui rentrent en ville à leur retraite, parce qu'ils veulent profiter de la proximité des commerces et des divertissements et n'ont plus besoin de leur grande maison en banlieue, explique Zachary Patterson, géographe à Concordia, qui est l'auteur principal de l'étude publiée dans le Journal of Transport Geography. Des études américaines ont montré que ça ne semble pas être le cas. Nous voyons avec nos données que ça ne se produit pas non plus au Canada.» L'étude se penchait sur les déménagements vers les «quartiers urbains» (urban core) de six grandes villes canadiennes. À Montréal, cela correspond grosso modo aux quartiers sous le boulevard Métropolitaine, entre Hochelaga-Maisonneuve et Lachine et ceux qui bordent le boulevard Saint-Laurent jusqu'à la rivière des Prairies. Alors que Montréal est la seule grande ville où la proportion de jeunes qui déménagent vers un tel quartier urbain augmente depuis 1991, avec un léger plateau depuis 2001, elle connaît une baisse légèrement plus rapide de cette proportion chez les personnes âgées. À noter, Edmonton est une anomalie: la proportion de personnes très âgées (plus de 75 ans) déménageant vers un quartier urbain était supérieure à celle des jeunes de moins de 25 ans en 1991, et est toujours supérieure à celle de toutes les autres catégories d'âge. Qu'est-ce qui explique cette tendance? «Les terrains coûtent moins cher en banlieue, les gens choisissent de s'y établir, et probablement les résidences pour personnes âgées aussi», explique M. Patterson. Est-ce à dire que le stéréotype du baby-boomer qui veut s'installer près des théâtres, des restos et des petites épiceries de quartier pour y faire ses courses à pied est une invention médiatique? «Je ne peux pas m'avancer, mais il reste qu'on a vu ça seulement dans les médias, pas dans les données», dit le chercheur de Concordia. M. Patterson veut maintenant adapter les données de Statistique Canada de 2011, qui ont été faites selon un nouveau questionnaire très controversé (il n'est notamment plus obligatoire de le remplir), pour voir si la tendance se poursuit au-delà de 2006. http://www.lapresse.ca/actualites/201410/15/01-4809266-les-baby-boomers-ne-reviennent-pas-en-ville.php **** pas pour vous écoeurer, mais "I told you so".
  14. Après Porto Alegre, Montréal. La métropole québécoise sera le rendez-vous de dizaines de milliers d'altermondialistes en août 2016, pour le Forum social mondial. Ainsi en a décidé le Conseil international de cette instance, qui s'est tenu à la mi-décembre à Casablanca, au Maroc. Selon le communiqué publié ce matin, Montréal a été choisi pour «son ouverture au monde, sa richesse interculturelle, le dynamisme de sa jeunesse, son caractère bilingue, son accessibilité aux personnes à mobilité réduite et ses infrastructures de communication et d'accueil». C'est la première fois, précise-t-on, que ce forum se tiendra dans l'hémisphère nord. Depuis 2001, le Forum social s'est tenu à Porto Alegre à quatre occasions, à Mumbai, à Nairobi, à Belem, à Dakar et à Tunis. La première édition avait attiré quelque 20 000 militants. Au fil des ans, la participation a atteint quelque 150 000 personnes. Certains observateurs rapportent cependant un certain essoufflement du mouvement. L'objectif de cette messe annuelle du mouvement altermondialiste, née en réaction au Forum économique mondial qui se tient à Davos, est «de créer des espaces qui renforcent la participation citoyenne, la démocratie et vise la construction d'un monde plus juste, durable et solidaire». Les participants y jouent un rôle plus actif que dans des congrès plus classiques : on y préfère la tenue d'ateliers à la présentation de conférences. «Qualité» et «originalité» D'autres événements altermondialistes sont prévus en août 2014, notamment le Forum social des peuples qui se tiendra du 21 au 24 août à Ottawa. La décision de confier à Montréal l'accueil de l'édition 2016 du Forum social mondial est attribuée au «Collectif Vers un Forum Social Mondial (FSM) au Québec, constitué de personnes oeuvrant au sein de différentes organisations québécoises, de professionnels de l'organisation d'évènements, d'artistes, d'universitaires et de citoyens engagés», qui en a fait la promotion depuis mai dernier. «La qualité et l'originalité de la candidature défendue par une délégation composée de trois membres auront permis de convaincre le Conseil international de sa pertinence», indique-t-on dans le communiqué. Aucun porte-parole de l'organisme n'était disponible aujourd'hui pour commenter la nouvelle. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201312/19/01-4722517-montreal-sur-les-traces-de-porto-alegre.php
  15. 8850, avenue Dubuisson (parc Clément-Jetté Nord) Actuellement en construction, la piscine offrira bientôt aux résidents de Mercier-Est une infrastructure moderne et accessible aux personnes à mobilité réduite. Ce projet de 12,9 M $ est entièrement financé par l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. L’ouverture au public est prévue en avril 2014. Descriptif de la piscine Bassin intérieur de 25 m x 15,4 m sans plongeoir : 6 couloirs de natation de 2,2 m de largeur chacun Accès à l’eau en pente (rampe) pour personne à mobilité réduite avec fauteuil roulant Profondeur variant de 1,097 m à 2,5 m (8’) Capacité d’accueil : 205 personnes Glissade d’eau dans la partie profonde Bassin récréatif (pataugeoire) ± 175 m2 Jeux d’eau Plage d’accès progressive Profondeur variant de 0 m à 0,6 m (2’) Capacité d’accueil : 119 personnes Salles (vestiaires) avec accès pour personne à mobilité réduite Hommes Femmes Familiale avec salon d’allaitement Bâtiment à critères de construction « LEED OR » (développement durable) avec récupération d’énergie. Localisation : Parc Clément-Jetté Nord, dans le district de Tétreaultville. Accès par le stationnement de l’aréna Clément-Jetté et la rue Joffre. Stationnement de la piscine : 36 places. Professionnels : Consortium Thibodeau/Poirier Fontaine Architectes/cima+/s.e.n.c/nacev consultants inc.
  16. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/06/18/003-quebec-projets-aeronautique-bourget.shtml
  17. Bonjour à tous, Je voulais vous aviser qu'une des entreprises pour lesquelles je travaille offre une promotion jusqu'à la fin du mois d'avril sur les tours d'hélicoptère du centre-ville de Montréal. J'ai cru lire à quelques reprises que certains membres du forum s'interessait à la possibilité de faire une telle activité. Il serait encore plus avantageux d'y aller en groupe. Voici quelques détails de l'offre: - Un vol privé de 20 minutes au-dessus de Montréal en hélicoptère. Choisissez parmi deux offres: -Offre #1: 99$ pour un vol privé pour 1 personne (valeur 313$) -Offre #2: 249$ pour un vol privé pour 3 personnes (valeur 940$) -Vues à couper le souffle sur le Mont-Royal, la Ronde, le Parc Olympique et le Centre-Ville. -Pilotes accueillants et expérimentés de l'entreprise Helicraft. (Saint-Hubert) -10% de la valeur d'achat versé en don à la SPCA. Pour plus de détails vous pouvez voir l'offre complète ici. Merci ! Si vous avez de questions je suis là.
  18. Bonjour, Je suis en deuxième année de cégep et j'hésite entre poursuivre mes études à Polytechnique ou HEC Montréal. Le génie civil semble bien mais le monde des affaires semble tout aussi intéressant, et c'est moins difficile que le génie pour un salaire comparable. De plus, les emplois en génie sont très reliés à l'économie et il semble en avoir trop aujourd'hui. Au HEC, je pense me démarquer en faisant un bac trilingue en finance. Bref, je suis à la recherche de conseils de personnes sur le marché du travail sur quel diplôme je devrais aller chercher. Qu'est-ce que vous me conseillez? Pour tous ceux qui fréquentent le forum, n'hésiter pas à présenter votre profession et ses bons et mauvais côtés; j'ai encore quelques mois pour trouver un domaine qui pourrait m'intéresser! Merci bien!
  19. Conversion de résidences pour personnes âgées en condos situé sur Thimens. Il s'agit d'une première phase, il y a trois bâtiments donc probablement 3 phases. Prix à partir de 139900$. http://www.monacocondos.ca/ https://maps.google.ca/?ll=45.508532,-73.698364&spn=0.003305,0.008256&t=m&z=18&layer=c&cbll=45.508532,-73.698364&panoid=NYAae3vyQWhS63u3TZB84g&cbp=12,141.22,,0,-25.56
  20. Triste événement, mais c'est pour fermer la gueule à ceux qui aiment nous rappeler qu'il y a juste au Québec que ces incidents arrivent. Source: La Presse Les autorités ont confirmé dimanche qu'au moins deux personnes sont coincées sous les débris d'un centre commercial d'Elliot Lake, en Ontario, après l'effondrement partiel du toit, la veille. Selon un porte-parole de la Police provinciale de l'Ontario, des images de la scène permettent de voir une main et un pied parmi les débris, mais les équipes de secours ne peuvent accéder à l'endroit en question parce que les lieux ne sont pas suffisamment sécuritaires. Des responsables du Service de protection des incendies ont par ailleurs dit avoir entendu de petits coups provenant de derrière des blocs de béton et de métal qui se sont écroulés et qui jonchaient le sol. En fin d'après-midi dimanche, des membres d'une équipe spéciale d'urgence s'affairaient à stabiliser la scène de la tragédie au Centre commercial Algo, une besogne qui, selon les autorités, pourrait prendre une douzaine d'heures. L'opération est encore considérée comme une mission de secours et les responsables espéraient toujours, dimanche, retrouver des gens sains et saufs. Les autorités policières détenaient une liste de neuf personnes manquant à l'appel, mais elles ont précisé que ce chiffre varie selon que des résidants confirment avoir retracé des proches ou que d'autres signalent ne pas avoir de nouvelles de membres de leur famille. Les équipes de secours ont continué à fouiller dans les débris afin de retrouver des personnes manquant à l'appel, dimanche, après le drame, qui a fait au moins 22 blessés. Une section du toit, qui sert aussi de stationnement aux clients et employés du Centre commercial Algo, s'est affaissée vers 14 h 30, samedi, pour atterrir deux étages plus bas. L'effondrement a laissé un trou de 12 m par 24 m et provoqué des pannes de courant ainsi qu'une fuite de gaz. Deux stands vendant des billets de loterie, des cigarettes et des magazines étaient situés dans la zone où le plafond s'est effondré et étaient ouverts juste avant l'incident, ont raconté des témoins. Une équipe de recherche et de sauvetage en milieu urbain de Toronto a été envoyée à Elliot Lake, une ville de 11 000 habitants qui se trouve à quelque 160 km à l'ouest de Sudbury dans le nord de l'Ontario. Une porte-parole du centre commercial, qui est géré par Eastwood Mall Incorporated, a déclaré que l'entreprise référait toutes les questions sur l'incident ou l'état du bâtiment à son avocat, qui n'était pas disponible dimanche pour commenter.
  21. L'agence de publicité Bos vendue à des Japonais Marie-Eve Fournier . les affaires.com . 01-06-2012 (modifié le 01-06-2012 à 10:50) L’agence de publicité Bos, l’une des plus réputées de Montréal, est acquise par la japonaise Dentsu, a appris lesaffaires.com. Cette agence, qui possède des bureaux sur les 5 continents, est la plus importante agence unique au monde avec des revenus annuels de 23,3 G$ CA (1,89 milliards de yen). Les employés de Bos ont été convoqués à 10 heures ce matin. Les plus gros clients ont appris la nouvelle au cours de la semaine. Le cofondateur et président de Bos, Michel Ostiguy, présidera les activités canadiennes de la nouvelle entité qui sera appelée DentsuBos et qui comptera deux bureaux au pays. Regroupant une centaine de personnes, l’actuel bureau de Bos à Montréal, dans le quartier Saint-Henri, ne doit pas subir de changement significatif. Mais à Toronto, la vingtaine d’employés de Bos déménageront leurs affaires dans ceux de Dentsu. Cette nouvelle équipe d’une centaine de personnes sera gérée par l’associé de Michel Ostiguy, Claude Carrier. Le chef de la création pour tout le Canada sera aussi un Québécois, Roger Gariépy (actionnaire et vice-président création de Bos). « Ils ont acheté le management », résume Michel Ostiguy, en entrevue téléphonique. Le publicitaire explique avoir accepté de vendre son agence parce qu’il voulait « avoir une plus grande présence pancanadienne et renforcer la qualité des services offerts – tant d’un point de vue publicitaire que numérique – à ses trois principaux clients » que sont Fido, la Banque Nationale et Aliments Ultima (fabricant des yogourts Yoplait). « Je veux mourir au bureau » Michel Ostiguy n’a pas voulu révéler le montant obtenu pour son agence fondée en 1988 avec deux autres ex-cadres de Cossette (André Beauchesne et Yves Simard). « Ce n’est même pas possible d’établir le prix de vente à ce stade-ci parce que la transaction va se faire sur une période de quatre ans et que le prix va changer au fil du temps. » Chose certaine, ce n’est pas pour prendre sa retraite que l’homme de 62 ans a accepté l’offre de Dentsu, après avoir été courtisé « au moins une dizaine de fois » depuis la création de Bos en 1988. « Je m’imagine mourir au bureau dans un avenir aussi lointain que possible. Si je suis aussi heureux chez Bos-Dentsu, je ne changerai pas mes plans. » Pourquoi avoir accepté l’offre de Dentsu alors que toutes les autres ont été refusées auparavant ? « Dentsu n’a pas une mentalité d’envahisseur. Ils me laissent une pleine autonomie d’opération. Ils ont une culture très entrepreneuriale et nous aussi, chez Bos, nous sommes issus de cette culture. J’ai demandé à qui j’allais me rapporter et on m’a dit de me regarder dans le miroir et de me parler à moi-même !» répond Michel Ostiguy. Dentsu, dont les actions se négocient à la Bourse de Tokyo depuis 2001, emploie 20 000 personnes dans une centaine de villes dans le monde. http://www.lesaffaires.com/techno/medias-et-communications/l-agence-de-publicite-bos-vendue-a-des-japonais/545087
  22. Voilà des bonnes nouvelles !!! *** Dix investissements étrangers à surveiller Publié le 17 mai 2012 à 14h04 | Mis à jour le 17 mai 2012 à 14h04 André Dubuc La Presse Dans les dernières semaines, Messier-Dowty, Valeant, CryoCath et Ethanol Grenfield ont annoncé des investissements de 226 millions de dollars dans la région de Montréal. D'autres annonces d'une valeur totale d'environ 300 millions suivront sous peu. La Presse Affaires a eu vent de 10 investissements étrangers en cours ou susceptibles d'être annoncés au cours des prochaines semaines. De quoi tonifier l'économie québécoise qui en a grand besoin. Pfizer: 32 millions Pfizer licencie, Pfizer investit? Il y a toujours de l'action avec l'inventeur du Viagra. En février 2011, la pharma supprimait 150 emplois en R-D à l'ancienne Wyeth, à Saint-Laurent. En juin 2011,Pfizer a inauguré son siège social rénové au coût de 22 millions à Kirkland. Cette fois-ci, il s'agit d'un nouvel investissement de 31,7 millions, dont 2,67 millions d'Investissement Québec. Peu de détails ont filtré jusqu'à présent. Hier, dans nos pages, le nouveau président pour le Canada, John Helou, a dit ne pas vouloir s'engager à faire de nouveaux investissements ou à créer des emplois en échange à un meilleur accès à ses médicaments. Jointe en fin de journée, la porte-parole de Pfizer Canada a refusé de confirmer quoi que ce soit. Nouveau studio pour Speedshape Montréal est peut-être à la veille d'accueillir le studio d'une firme spécialisée dans la conversion de films conventionnel en films de 3D. La firme est aussi connue pour ses animations par ordinateur dans les publicités d'autos. Selon nos informations, SpeedShape, de Detroit, prévoit s'implanter sous peu dans la métropole québécoise avec un investissement de 18 millions. Dans une communication officielle, la firme qui a fait la conversion 3D du film Spy Kids: All the Time in the World évoquait l'ouverture de son bureau montréalais dès juillet 2011. Notre appel laissé au siège social de Detroit est resté sans suite. Selenis Canada: phase 2 Les gens de l'est de Montréal ont bien présente à la mémoire la fermeture de la raffinerie Shell. Le secteur pétrochimique à Montréal est considéré par plusieurs comme moribond. Rare bonne nouvelle, la firme Selenis a ouvert la seule usine de polyéthylène téréphtalate (PET) au pays l'an dernier. Quelque 60 personnes y travaillent. Selenis envisage maintenant la phase 2 de son implantation avec un investissement additionnel de 40 millions. IQ se dit prêt à subventionner le projet à hauteur de 1,65 million. Selenis appartient à Control PET SGPS SA, une filiale du Groupe portugais Imastos Gil. Par courriel, La Presse a tenté sans succès de joindre le chef de la direction Giovanni Iadeluca, actuellement au Portugal. Nouvel agrandissement chez Gameloft Leader mondial dans l'édition de jeux vidéo et sociaux, Gameloft conçoit des jeux pour toutes les plateformes numériques incluant les téléphones mobiles, intelligents et tablettes. Installée au 5800, rue Saint-Denis, à Montréal, Gameloft (environ 400 employés) a dans ses cartons un projet d'investissement de 7,2 millions. Le montant comprend les dépenses en immobilisations et les frais de R-D, mais pas la masse salariale, a-t-on compris. La direction montréalaise n'a pas rappelé. Lors du premier trimestre 2012, les ventes sur téléphones intelligents et tablettes ont progressé de 59% et ont représenté 40% du chiffre d'affaires de la société. SCA à Drummondville, 38 millions à l'étude Ex-usine de la société Cascades, filiale d'une multinationale suédoise, les 200 employés de SCA fabriquent des culottes d'aisance pour adultes, un marché en expansion avec le vieillissement de la population dans les pays occidentaux. SCA mijote un investissement de 38 millions auquel IQ participerait à hauteur de 7,1 millions, dont une subvention de 1,5 million et un prêt sans intérêt de 5,6 millions. L'usine de Drummondville, dans le Centre-du-Québec, nous a référé à sa direction nord-américaine de SCA, à Philadelphie. La porte-parole, Amy Belcourt, a confirmé avoir soumis un projet au gouvernement, mais n'a pas voulu dévoiler les détails. Bonduelle Canada: 13 millions Le français Bonduelle qui a acheté Aliments Carrière (Artic Gardens) en 2007 continue de prendre les bouchées doubles. Il a acheté en mars quatre usines de la société américaine Allens. La société a encore de l'appétit pour le Québec. Selon le quotidien d'information financière Les Échos, de Paris, «ses unités canadiennes ont atteint un niveau de saturation qui ne lui permet pas de profiter de l'essor de la demande». La Presse Affaires a appris que Bonduelle va injecter prochainement 13 millions dans ses installations québécoises. Un tel investissement s'accompagne généralement de nouveaux emplois. IQ versera 900 000$ dans le cadre de l'enveloppe Essor. Ce programme vise à appuyer les projets dans une perspective d'accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d'emplois et de développement durable, notamment en accélérant la concrétisation de projets d'investissement dans le contexte de l'implantation, de l'expansion ou de la modernisation d'entreprises. Emballages Lacroix Situé dans la région d'Argenteuil au nord-ouest de Montréal, Emballages Lacroix, qui fabrique l'emballage design des yogourts Yoplait, injecte 24 millions en équipements neufs en trois ans dans ses usines de Saint-Placide et de Saint-Eustache. Québec donne un coup de pouce de 500 000$. Une cinquantaine d'emplois seront créés. Groupe Lacroix, près de Genève, dans le Jura, emploie 200 personnes au Québec. L'usine de Saint Placide augmente sa superficie de 50%, à 320 000 pieds carrés, précise Nicolas Bouvret, responsable nord-américain des opérations, au téléphone. Lacroix vient par ailleurs de lancer cette semaine une machine en Arizona, pour couvrir l'Ouest américain. Emballages Winpack de Vaudreuil-Dorion Winpak, de Winnipeg, produit des matériaux d'emballage pour les produits alimentaires périssables. Dans son rapport annuel 2011, la société confirme un agrandissement en 2012 à son usine du chemin Dumberry à Vaudreuil-Dorion. Une chaîne d'extrusion/couchage/laminage y sera notamment installée. Selon nos informations, Winpack, cotée en Bourse, investira près de 36 millions dans ses installations du Grand Montréal où elle emploie 350 personnes. Investissement Québec y va d'une subvention de 4,1 millions. JTI-Macdonald Corp. On entend plus souvent parler des cigarettiers dans les palais de justice que dans les pages économiques des journaux par les temps qui courent. La vénérable usine de la rue Ontario, dans le quartier Centre-Sud, à Montréal, a pourtant modernisé sa chaîne de production au coût de 17,5 millions dans les derniers mois. Il s'agit du plus important investissement des 10 dernières années. Cette année, la société a refait une beauté à sa tour de l'horloge. «On a une demande plus accrue sur nos produits depuis quatre ans, explique Michel Poirier, président régional, Amériques. On augmente notre part de marché. On a eu besoin d'un équipement encore meilleur capable de produire de meilleurs produits.» Environ 230 personnes travaillent dans la seule usine canadienne du cigarettier Japan Tobacco International. Construite en 1874, l'usine roule les cigarettes Macdonald Special, au sommet des ventes au Québec. Kronos: 44 millions Varennes rêvait d'une usine de titane éponge de 800 millions en 2007. Son actionnaire en a décidé autrement. À défaut du gros lot espéré, Kronos, qui produit du bioxyde de titane, va actuellement de l'avant avec un investissement en trois phases d'un maximum de 44 millions en 3 ans pour lequel Investissement Québec fournit 8,1 millions. «Le but est réduire nos coûts fixes pour rester concurrentiel», explique le directeur de l'usine Serge Payette. Le gros des investissements sert à l'automatisation de l'ensachage, selon ses dires. L'usine emploie 420 personnes.
  23. L'angoisse, la peur, la précarité: chaque jour, à Montréal, plusieurs dizaines de milliers d'immigrés organisent leur vie autour d'une donnée majeure: leur situation illégale. Ils sont demandeurs d'asile déboutés, parents d'enfants canadiens, touristes venus ici non pour voyager mais pour travailler, ou encore entrés ici illégalement. Les chemins qui les ont menés à la clandestinité sont nombreux. Ils n'ont pourtant qu'une seule destination: la vie sans statut, le cul-de-sac juridique. Pendant des mois, voire des années, ils survivent dans l'anonymat le plus complet. De petits boulots payés au noir, dans des conditions qui dérogent aux normes québécoises, leur permettent de subsister. Ils n'ont pas accès à l'aide sociale ni à l'assurance maladie. Ils rasent les murs, hésitent à sortir de l'anonymat, de peur d'être dénoncés aux autorités canadiennes, arrêtés, renvoyés vers leurs pays. Ils sont prisonniers d'une vie quotidienne, privés des libertés les plus simples. On estime à plus de 250 000 personnes le nombre de clandestins au Canada, dont près de 40 000 à Montréal, qui vivent et travaillent à nos côtés. La Presse a rencontré certains d'entre eux, qui ont accepté, non sans réticence, de nous raconter leur existence sans statut au Canada et leur rêve d'une vie normale. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/06/01-4522453-40-000-clandestins-se-terrent-a-montreal.php nb:donc en fait la population réelle de la ville et du MTL Métro est supérieure de 40.000 habitants de facto.
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