Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'ottawa'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Ottawa annonce un gel des tarifs, jusqu'en 2011, dans les parcs nationaux et lieux historiques du pays afin d'inciter les Canadiens à les fréquenter. Pour en lire plus...
  2. Terre-Neuve pourrait poursuivre Québec et Ottawa concernant un projet au Labrador Il y a 35 minutes SAINT-JEAN, T.N.-L. — Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador pourrait poursuivre en justice les gouvernements du Canada et du Québec relativement au projet hyrdoélectrique Upper Churchill Falls, au Labrador. La ministre provinciale des Ressources naturelles, Kathy Dunderdale, estime que Terre-Neuve-et-Labrador n'a peut-être pas reçu sa juste part des retombées depuis que le projet a commencé à produire de l'électricité il y a 35 ans. Elle a déclaré en entrevue que le projet, depuis le début, a essentiellement profité au "peuple du Québec". Le gouvernement terre-neuvien affirme avoir empoché environ 1 milliard $ pendant cette période, pendant que les coffres du Québec se seraient plutôt engraissés de 19 milliards $. L'entente vient à échéance en 2041. Mme Dunderdale est d'avis qu'Ottawa aurait pu intervenir dans le dossier pour s'assurer que Terre-Neuve recevrait une part équitable des retombées. Elle explique que l'éventualité d'une poursuite judiciaire est plus pertinente que jamais, maintenant que les Innus du Labrador réclament eux-mêmes une compensation relativement à ce projet. Les Innus affirment ne pas avoir été consultés avant le lancement du projet, qui leur aurait fait perdre 6000 kilomètres carrés de territoire.
  3. Ottawa 4,2 M$ octroyés à 12 organismes artistiques montréalais La Presse Canadienne Lia Lévesque 24/04/2009 12h56 Le gouvernement fédéral, qui avait fait des compressions de 45 millions $ dans divers programmes culturels, juste avant l'élection, vient d'annoncer l'octroi de 4,2 millions $ à 12 organismes artistiques de la région de Montréal. Le ministre du Patrimoine canadien James Moore s'est déplacé à Montréal, aujourd'hui, pour en faire l'annonce, devant plusieurs représentants des groupes visés. Cette somme est versée par Ottawa en proportion des dons reçus de la part des entreprises privées par ces mêmes organismes. Ainsi, pour chaque dollar recueilli de la part des entreprises privées par ces organismes, Ottawa verse 72 cents, a précisé le ministre Moore. Au cours d'une rencontre avec la presse, le ministre Moore a précisé qu'il s'agissait-là d'une amélioration par rapport à l'an dernier, alors que son ministère avait attribué 52 cents pour chaque dollar recueilli du privé. Parmi les 12 organismes ainsi soutenus, on note les Grands Ballets canadiens, l'Orchestre symphonique de Montréal, l'Ecole nationale de théâtre, l'Ecole nationale du cirque, le Festival international de Lanaudière, l'Orchestre de chambre I Musici, la Compagnie Jean Duceppe et les Jeunesses musicales du Canada. Interrogé à savoir si cet appui financier devait permettre de compenser en partie les compressions de 45 millions $ dans les programmes culturels, notamment ceux comme Routes commerciales qui soutiennent les tournées à l'étranger, le ministre Moore a nié que son gouvernement ait réduit les sommes affectées à la culture. «C'est vrai qu'il y avait des programmes inefficaces, par exemple Routes commerciales, qui a coûté 5 millions $ pour livrer 2 millions $ de bénéfices. Alors c'était un programme qui était franchement irresponsable de continuer. Alors on n'a pas continué le programme, mais on a continué avec nos investissements sans précédent pour aider nos artistes, ici au Canada et à l'étranger», a commenté le ministre Moore. Des organismes présents à la conférence du ministre se sont toutefois montrés plus critiques.
  4. LA PRESSE CANADIENNE OTTAWA -- L'excédent budgétaire du gouvernement fédéral s'érode considérablement, ayant été évalué à 37 millions $ pour le seul mois de janvier, comparativement à 1,2 milliard $ pour le même mois l'an dernier. http://argent.canoe.com/lca/infos/canada/archives/2009/03/20090327-172804.html
  5. La droite religieuse s'active contre la polygamie Hélène Buzzetti Édition du mardi 03 mars 2009 Ottawa -- Inquiets que la loi interdisant la polygamie au Canada soit invalidée dans les prochains mois, des représentants de la droite chrétienne et de la communauté musulmane du pays viendront à Ottawa demain pour convaincre les parlementaires d'utiliser tous les moyens à leur disposition pour maintenir l'interdiction. Le président de l'Institut des valeurs canadiennes, Charles McVety, est connu pour avoir milité avec force contre les mariages entre personnes de même sexe. Il a perdu cette bataille, croit-il, parce qu'il l'a commencée trop tard. On ne l'y reprendra pas deux fois, jure-t-il. «Nous avions tenu la plus grosse manifestation de l'histoire du Canada avec un million de participants pour s'opposer à cette légalisation, explique-t-il en entrevue avec Le Devoir. Mais les juges avaient déjà commencé à rendre leurs décisions à travers le pays et, une fois que les juges se prononcent, il est très difficile d'aller dans le sens contraire. Alors, nous devons agir cette fois-ci avant qu'ils ne rendent leur verdict.» M. McVety est la figure de proue de la droite religieuse au Canada. Il viendra à Ottawa demain en compagnie de Farzane Hassan, présidente du Congrès musulman canadien, pour dire leur opposition à la polygamie. En Colombie-Britannique, après plus de 20 ans de tolérance de la communauté polygame de Bountiful, les autorités ont porté le 7 janvier dernier des accusations contre ses deux leaders, Winston Blackmore et James Oler. Les deux hommes n'ont pas encore répondu à l'accusation, mais plusieurs prédisent qu'ils contesteront la constitutionnalité de l'article 293 du Code criminel, qui prévoit une peine de cinq ans de prison pour les polygames, sous prétexte qu'il brime leur liberté de religion. Contrairement aux autres mormons qui y ont renoncé il y a un siècle, ceux appartenant à l'église fondamentaliste de Jésus-Christ des Saints des derniers jours considèrent encore la polygamie comme une obligation religieuse. Plusieurs observateurs de la scène judiciaire pensent que MM. Blackmore et Oler pourraient bien gagner leur cause, plus tard cette année. C'est en prévision d'un tel scénario que Charles McVety veut faire pression sur les élus fédéraux. Des conservateurs que de nom «C'est sa loi qui est contestée et, pourtant, Ottawa n'a pas demandé le statut d'intervenant dans cette cause», se désole M. McVety, qui y voit le signe d'une timidité à défendre la loi fédérale. «Ce gouvernement n'a jamais rien dit sur la polygamie depuis qu'il est au pouvoir, il y a trois ans.» Ne se sent-il pas entre de bonnes mains avec des conservateurs en poste? «Non, réplique-t-il. Ce gouvernement n'a pas mis en application les normes conservatrices.» Farzane Hassan viendra dire à quel point elle craint qu'une victoire des deux leaders religieux ne se traduise par une recrudescence de la polygamie forcée dans les cercles musulmans les plus conservateurs de Toronto et Montréal en particulier. «Cette idée que les femmes consentent à la polygamie est totalement farfelue, explique-t-elle au Devoir. Le consentement n'est pas véritable: ces femmes ont subi un lavage de cerveau, elles viennent de loin, ont été endoctrinées et n'ont reçu aucune éducation.» Le groupe aura entre les mains demain un sondage Compas Research démontrant que les citoyens canadiens sont viscéralement opposés à la polygamie, dans une proportion d'environ 80 %. Le sondage indiquera aussi que les Canadiens sont d'accord pour qu'Ottawa invoque la clause dérogatoire, lui permettant de suspendre l'application de la Charte des droits et libertés, si jamais le juge de Colombie-Britannique invalide la loi. M. McVety note que la clause dérogatoire de la Charte des droits et libertés (dite clause nonobstant) n'a jamais été utilisée par un gouvernement fédéral et a mauvaise presse. (Paul Martin avait même promis de l'abolir pendant la campagne électorale de 2005-06.) Il craint donc qu'Ottawa ait peur de l'invoquer. Joint hier, l'avocat d'un des accusés, Blair Suffredine, lui a donné raison. Le Parlement n'est pas susceptible de se mettre d'accord sur cette question, estime cet ancien député libéral provincial de Colombie-Britannique. «Je doute que cet enjeu ait la magnitude nécessaire pour générer un appui qui transcenderait les lignes de parti», écrit-il dans un courriel. Charles McVety, qui est engagé dans une multitude d'organisations et a ses entrées auprès de membres influents du Parti conservateur, invitera les citoyens à faire pression sur leur député fédéral, en écrivant ou en appelant à son bureau. «En règle générale, un élu multiplie par 1000 pour évaluer approximativement le nombre de commettants préoccupés par un enjeu. Alors, 100 appels pourraient être perçus comme 100 000 électeurs», conclut M. McVety.
  6. Devant la nouvelle baisse des mises en chantier enregistrée en début d'année, l'Association canadienne des constructeurs d'habitations estime qu'Ottawa doit intervenir de manière préventive. Pour en lire plus...
  7. Le gouvernement fédéral commande à la montréalaise CAE des simulateurs de vol pour un nouvel appareil de transport des Forces canadiennes. Pour en lire plus...
  8. Une clause du plan de relance économique du nouveau président américain, Barack Obama, prévoit de n'employer que des métaux fabriqués aux États-Unis. acier Pour en lire plus...
  9. Le dévoilement progressif des principaux éléments du budget fédéral auquel les Canadiens ont assisté au cours des derniers jours est une première dans un pays où la tradition du secret budgétaire a toujours été scrupuleusement respectée, par Ottawa et par les provinces. Pour en lire plus...
  10. Le budget fédéral donnera à Ottawa le pouvoir d'intervenir lorsque des sociétés émettrices de cartes de crédit imposeront des augmentations de taux à leur clientèle. Pour en lire plus...
  11. Relancer l'économie avec les infrastructures ? 22 janvier 2009 - 06h33 La Presse Stéphane Paquet Après avoir abaissé son taux directeur à 1% mardi, la Banque du Canada a prévenu que l'économie canadienne se contracterait de 1,2% cette année. Face à ces prévisions moroses, les yeux se tournent vers le ministre des Finances, Jim Flaherty, qui a promis d'appuyer sur l'accélérateur mardi prochain, avec la présentation d'un budget expansionniste. Son discours doit notamment contenir des dépenses en infrastructures et des baisses d'impôts. Laquelle de ces options peut le plus relancer une économie qui s'enlise? Automne 2007. Le gouvernement fédéral s'apprête à faire un cadeau aux consommateurs canadiens, en baissant la TPS de 6% à 5%. Le maire de Maniwaki Robert Coulombe, qui est par la suite devenu président de l'Union des municipalités du Québec, saute dans sa voiture et se rend à Québec. Il veut convaincre les trois partis à l'Assemblée nationale de mettre la main sur ce pactole d'un peu plus d'un milliard de dollars et de créer un fonds qui permettra de réparer les infrastructures municipales. L'UMQ n'a pas réussi à convaincre Québec. Les Québécois ont eu droit à leur baisse de TPS. Les routes, les ponts, les aqueducs et les égouts vieillissants ont dû attendre, l'aide supplémentaire n'est pas venue. Mardi, quand le ministre Flaherty présentera son budget, à Maniwaki comme dans les autres villes du pays, les maires devraient être plus chanceux que ne le fut la délégation de l'UMQ à l'automne 2007. Dans ses quelques déclarations claires sur le contenu de son budget, le ministre n'a pas caché qu'il y aurait de l'argent pour les infrastructures. «C'est la meilleure façon de mettre les gens à l'emploi et de créer de l'activité économique», souligne M. Coulombe, du cellulaire de sa voiture. Il n'est pas le seul à attendre avec espoir les milliards d'Ottawa. Une majorité d'économistes pensent aussi que c'est le meilleur moyen de relancer l'économie canadienne qui s'enlise. Yves St-Maurice, économiste en chef adjoint chez Desjardins, est de ceux-là. «Ce qui est important, c'est qu'on injecte de l'argent rapidement, de façon efficace dans l'économie et de le faire directement.» Pour lui, c'est aux gouvernements à agir, pas aux consommateurs par l'entremise d'une baisse d'impôt. De plus, comme Barack Obama l'a fait en mettant l'accent sur l'environnement et l'énergie, les investissements gouvernementaux permettent aux autorités de donner une direction à l'économie, de les insérer dans "une vision à moyen terme de ce que va être l'économie dans trois ou cinq ans". Compte tenu de l'état actuel de l'économie, tout le monde s'entend sur le fait qu'Ottawa doit prendre des mesures qui auront un effet rapidement. Depuis la semaine dernière, le ministre fédéral des infrastructures, John Baird, répète même qu'il est prêt à revoir des lois sur la protection de l'environnement pour s'assurer que les projets décolleront rapidement. Aussi, il espère s'entendre avec les provinces pour éviter que les impacts environnementaux ne soient étudiés deux fois, une première par les provinces, une seconde par le fédéral. Selon les calculs de M. St-Maurice, il faut environ 15 milliards d'investissements annuels pour augmenter le PIB de 1%. D'autres plus optimistes, qui attribuent un plus grand impact aux dépenses d'infrastructures, parlent plutôt de 12 milliards. Les pessimistes font état de 20 milliards. Pas tout dans le même panier L'économiste en chef de Valeurs mobilières Laurentienne, Carlos Leitao, classé deuxième meilleur économiste au monde par Bloomberg l'automne dernier, était aussi grandement favorable aux dépenses d'infrastructures pour relancer l'économie. Notez bien le temps du verbe ici: était, à l'imparfait. «Oui aux infrastructures, mais je ne mettrais pas tous mes oeufs là-dedans», dit-il. Ce qui l'a récemment fait changer d'avis, en partie du moins, c'est l'ampleur du déficit anticipé à Ottawa, autour de 40 milliards. M. Leitao craint qu'Ottawa ne se mette à trop dépenser, qu'il y ait du gaspillage. «Il y a un risque qu'on fasse des routes vers nulle part», dit-il, en référence au "pont vers nulle part" rendu célèbre par Sarah Palin en Alaska. Une autre crainte, c'est qu'Ottawa arrive avec un gros projet. «Les études nous démontrent, dit-il, que ce qui est vraiment efficace pour stimuler l'économie, c'est une multitude de petits projets. Plus qu'un gros.» Il y a aussi un autre risque qui vient à l'esprit quand on écoute M. Coulombe, de l'UMQ: l'inflation. Si tous les gouvernements - fédéral, provincial, municipal - veulent des bétonnières dans leur cour arrière, les coûts risquent d'augmenter. Déjà, avec le programme québécois d'infrastructure lancé à la suite de l'écroulement du viaduc de la Concorde en 2006, les villes remarquent que les travaux coûtent «de 5% à 10% plus cher», selon le président de l'UMQ. «C'est une préoccupation... C'est l'ensemble des membres qui nous disent que les coûts des travaux sont plus importants.» Bémol de l'économiste de Desjardins: le secteur de la construction ayant ralenti ces derniers mois avec une perte de 44 000 emplois pour le seul mois de décembre, il y a une marge de manoeuvre. En plus de remettre du monde au travail, les travaux d'infrastructures ont d'autres avantages. D'abord, on peut arrêter de dépenser quand l'économie est relancée. Aussi, les gouvernements peuvent récupérer 35% de leurs dépenses en économies et en retombées fiscales, selon les chiffres des municipalités. Enfin, les dépenses laissent un héritage concret. Le maire de Maniwaki en rêve, de cet héritage, lui qui est prêt à rénover son aqueduc, mais n'a pas les 2,5 millions nécessaires pour le faire. Et à voir les tuyaux qui pètent au grand froid à Montréal et d'autres villes du Québec cet hiver, on comprend que bien d'autres maires en rêvent aussi. OTTAWA A D'AUTRES OUTILS DANS SON SAC Faciliter le crédit Les banques ont peur de prêter de l'argent? Il faut en injecter par un autre canal pour que les entreprises puissent emprunter et investir. C'est ce qui s'est produit en novembre quand Ottawa a annoncé un investissement de 350 millions de dollars dans la Banque de développement du Canada. Lundi, Ottawa a confirmé avoir versé 250 millions à la BDC, les 100 autres millions le seront plus tard. Avec cette première tranche, la BDC estime qu'elle pourra offrir 1,5 milliard de financement aux PME canadiennes. «Ça demeure une estimation», explique Michel Bergeron, vice-président aux relations d'entreprise de la BDC, qui précise que la somme totale qui sera consentie dépendra du niveau de risque des prêts. Ottawa pourrait mardi prochain revenir à la charge avec de l'argent supplémentaire pour aider les entreprises à se financer. La BDC compte 28 000 clients. Recycler les travailleurs L'idée, toute simple en apparence, c'est de prendre des travailleurs d'une industrie en déclin et les former pour qu'ils aillent combler les postes de secteurs en croissance. Le travail d'Ottawa et des provinces, c'est de s'assurer que les chômeurs trouvent des cours et puissent retourner vite sur le marché du travail. En pratique, de tels programmes ont parfois donné des résultats mitigés dans un passé pas si lointain. Des travailleurs de l'industrie forestière de Lebel-sur-Quévillon, qu'on a formés pour devenir mineurs, se sont retrouvés le bec à l'eau quand la mine n'a plus eu besoin d'eux, les prix des matières premières ayant plongé comme celui du bois et du papier. Bonifier l'assurance emploi Pour que les personnes qui ont perdu leur emploi continuent à dépenser, donc à faire rouler l'économie, Ottawa pourrait augmenter les chèques d'assurance emploi. En plus, le gouvernement fédéral pourrait réduire le nombre d'heures de travail nécessaire avant d'être couvert par l'assurance. Le montant assurable pourrait aussi être plus élevé. Bref, en donner plus aux chômeurs. Comme le souligne Carlos Leitao, de Valeurs mobilières Laurentienne, «ce sont des dépenses qui se font tout de suite». Et à peu près tout le monde s'entend sur la nécessité d'agir maintenant. Ottawa a toutefois des réticences: il sera politiquement difficile de réduire les prestations une fois la crise passée. Les cinq règles d'or pour relancer l'économie 1 Les mesures du gouvernement doivent être mises en place rapidement. 2 Il doit s'agir d'investissements plutôt que de dépenses. 3 Pour maximiser l'impact sur l'économie locale, les investissements doivent avoir une partie importée limitée (contre-exemple: investissement dans des machineries importées des États-Unis ou du Japon). 4 Les sommes injectées ne doivent pas être récurrentes, question d'éviter les déficits structurels. 5 Les investissements doivent être diversifiés afin d'éviter les pénuries de main-d'oeuvre, par exemple dans la construction.
  12. Le gouvernement Harper déposera un budget déficitaire de 34 G$ pour la prochaine année financière, 2009-2010, selon un haut responsable du gouvernement. Pour en lire plus...
  13. Ottawa tentera de démontrer au nouveau président des États-Unis, Barack Obama, que la solution aux préoccupations énergétiques des Américains se trouve au Canada. Pour en lire plus...
  14. La Banque de développement du Canada recevra cette somme afin d'assurer un financement de plus aux petites et moyennes entreprises. Pour en lire plus...
  15. Le ministre canadien de l'Industrie, Tony Clement, réclame un plan contenant d'importantes réductions des coûts de main d'oeuvre. Pour en lire plus...
  16. Montréal soumet pour 1,2G$ de projets à Ottawa 15 janvier 2009 - 06h59 Noée Murchison et Mathieu Bélanger Le Journal de Montréal Piscines, bibliothèques, pistes cyclables et logement social, le maire de Montréal proposera aujourd'hui à Ottawa de nouveaux chantiers d'une valeur de 1,2 milliard de dollars pour affronter la crise économique. «Ce sont des nouveaux projets qu'on ne peut pas faire parce qu'on n'a pas assez d'argent», a dit Gérald Tremblay, en entrevue avec Le Journal de Montréal. À la demande du gouvernement fédéral, Montréal a dressé une liste de travaux prêts à débuter en 2009 et 2010 afin de créer environ 16 000 emplois dans la région métropolitaine. Si Ottawa accepte de les financer, ces travaux s'ajouteraient aux investissements déjà prévus au budget de la Ville et aux 3,64G$ consacrés aux infrastructures dans le Programme triennal d'immobilisations pour 2009-2011. Le parc Jean-Drapeau, les musées Nature et Pointe-à-Callière pourraient notamment recevoir un tiers de milliard de dollars. Les rues, les boulevards et les pistes cyclables exigeraient des investissements de 172M$. Hier La liste d'épicerie de Montréal a déjà été présentée à plusieurs ministres conservateurs et aux partis d'opposition. Le maire espère toucher l'aide fédérale au plus tôt, «hier» si possible. «Si le gouvernement veut réellement créer de l'emploi, accélérer le développement économique et améliorer la qualité de vie, c'est une occasion unique de le faire», lance Gérald Tremblay. Montréal participera aujourd'hui à une rencontre avec les maires des grandes villes à Ottawa pour en discuter. À la grandeur du pays, la Fédération canadienne des municipalités (FCM) propose plus de 1000 projets prêts à être mis en chantier dès le printemps pour créer 150 000 emplois. C'est la recette de la FCM pour permettre au Canada de traverser la crise économique actuelle. «Il n'y a pas de temps à perdre», a indiqué le président de la FCM et maire de Sherbrooke, Jean Perrault. «Le gouvernement fédéral doit inclure le financement des infrastructures à son budget de relance. Il doit aussi prévoir des mécanismes pour que les fonds soient distribués à temps pour le début de la saison de construction en 2009», a-t-il plaidé.
  17. Alors qu'Ottawa prépare son plan de stimulation économique en vue du budget fédéral du 27 février, presque toutes les industries canadiennes tendent leur chapeau vers le ministre des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  18. Les employés de Nortel Networks, à Ottawa, se sont faits discrets à la suite des derniers déboires financiers de leur employeur. Pour en lire plus...
  19. Exportation et développement Canada fournirait à Nortel jusqu'à 30 millions de dollars en garantie de cautionnement à court terme. Pour en lire plus...
  20. Le ministre du Commerce international, Stockwell Day, a un remède en tête pour atténuer les effets de la crise économique mondiale: le libre-échange. Pour en lire plus...
  21. Le président et chef de la direction de l'AIAC presse Ottawa d'en faire plus pour s'assurer que les entreprises canadiennes obtiennent leur juste part des retombées qui doivent découler des contrats militaires. Pour en lire plus...
  22. Aux prises avec des difficultés financières, les dirigeants de l'entreprise pourraient décider de demander la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies. Pour en lire plus...
  23. Ottawa devrait adopter un plan de 33 milliards $ 6 janvier 2009 - 13h20 La Presse Canadienne Pour créer 400 000 nouveaux emplois - Ottawa devrait adopter un plan de 33 milliards $ Le Centre canadien des politiques alternatives souhaite qu'environ la moitié des dépenses soit investie dans des projets d'infrastructures. Le Centre canadien des politiques alternatives a pressé mardi le gouvernement fédéral d'adopter dans son prochain budget un plan d'aide de 33 milliards $ qui favoriserait la création de 400 000 nouveaux emplois. L'organisme a exhorté le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, à ne pas se fier uniquement sur les réductions d'impôts pour relancer l'économie. Selon l'organisme, la réduction d'impôts, en plus d'être une «voie politique facile», représente aussi la façon la moins efficace de stimuler l'économie. Le Centre canadien des politiques alternatives souhaite qu'environ la moitié des dépenses soit investie dans des projets d'infrastructures, et qu'un autre important montant soit réservé pour des mesures sociales comme l'assurance emploi pour les travailleurs mis à pied. De passage à Montréal mardi, le ministre Flaherty a répété que les réductions d'impôts feraient partie des mesures visant à stimuler l'économie dans son budget du 27 janvier.
  24. Ils se sont entendus pour former un groupe ayant pour mandat d'assurer la disponibilité du crédit et du financement. Pour en lire plus...
  25. Les réductions d'impôts envisagées par le président désigné risquent d'accentuer la pression sur le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, pour qu'il annonce aussi des baisses d'impôts dans son budget le 27 janvier. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...