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  1. Le jeu s'appelle Megapolis et il y a déjà depuis quelques mois des édifices montréalais -essentiellement des pavillons d'Expo 67 et le Stade Olympique. Le pavillon de l'Ontario pastiché : Habitat 67 presque méconnaissable : Le pavillon de la France/Casino de Montréal pastiché : Le Stade Olympique : Le 1000 qui existe depuis plus de deux ans : Le 2-22 : Et voici toute une collection mise en ligne aujourd'hui : Dans mes environnements : en premier lieu le Château Champlain qui dans le jeu s'appelle "L'hôtel de Montréal" Le 1250 qui prend le nom de Tour Marathon Puis les tours "Bureau de l'entreprise de télécommunications" (Aon), la tour "Bureau du boulevard de Maisonneuve" et finalement la "Tour McGill".
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/988621/un-skatepark-sur-lesplanade-du-parc-olympique/ 04/07/2016 Mise à jour : 4 juillet 2016 | 2:00 Un skatepark sur l’Esplanade du Parc olympique en 2017 Par Roxane Léouzon Métro Collaboration spéciale Un schéma du futur skatepark Un nouveau skatepark permanent sur l’Esplanade du Parc olympique sera ouvert au public à l’été 2017 et accueillera des championnats canadiens. La Régie des installations olympique (RIO) doit en faire l’annonce lundi. Le parc à planche à roulettes occupera 10 000 m2 au coin des rues Pie-IX et Sherbrooke, et comptera une vingtaine de modules en béton. L’accès y sera gratuit. «Il y aura de gros obstacles de niveau professionnel, mais aussi des plus faciles, comme des bancs et des rampes droites. Ça combine tous les styles de skate», souligne le skater Charles Deschamps, qui a contribué au design du parc. «Il y a beaucoup de rampes d’escalier, ce qui est parfait pour pratiquer le style street», a pour sa part commenté le skater Jean-Sébastien Lapierre, qui a été mis au courant du projet. C’est la World Skateboarding Federation (WSF) qui a approché la RIO afin que cette dernière construise un parc pouvant accueillir la première édition des championnats canadiens de skateboard, de même que les éditions annuelles suivantes. «Montréal est en train de devenir la Mecque du skate au Canada. La communauté canadienne de skateboard est de plus en plus forte, et il est temps d’y tenir une grosse compétition ouverte à tous», juge Tim McFerran, président de la WSF. En effet, contrairement à ce qui se fait dans plusieurs concours de skateboard importants, les participants n’auront pas besoin d’invitation pour tenter leur chance. Le gagnant se qualifiera pour les championnats mondiaux, aussi organisés par la WSF. La RIO considère ce futur parc, dont le budget prévu est de 750 000 $, comme un legs des festivités du 40e anniversaire des installations olympiques. Par ailleurs, la WSF compte engager tous les étés un coach pour assister ceux qui fréquenteront le parc. C’est une bonne nouvelle pour les amateurs de planche, qui souhaitent depuis des années l’aménagement d’installations de calibre mondial dans la métropole. «C’est fou qu’on n’ait toujours pas de skatepark convenant à la demande de l’industrie», commente M. Lapierre.
  3. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/969377/champ-de-tournesols-au-parc-olympique/ 25/05/2016 Mise à jour : 25 mai 2016 | 20:02 Champ de tournesols au Parc olympique Par Marc-André Carignan Pépinière & Collaborateurs Le béton fleurira cet été au Parc olympique avec un champ de tournesols, au milieu duquel s’intégreront un lounge urbain, une scène, un potager et un café-bistro. Mes visites au Parc olympique se sont longtemps limitées à l’exploration du Biodôme et à quelques matchs de baseball avec mon paternel lorsque j’étais haut comme trois pommes. Je me souviens également d’avoir visité la tour du Stade avec son fameux funiculaire, encore là durant ma tendre enfance, mais c’est pas mal tout. Par la suite, pendant une bonne quinzaine d’années, je n’y ai remis les pieds que très rarement, même si j’ai longtemps résidé dans un appartement situé à quelques coins de rue à peine. L’offre récréotouristique ne me rejoignait pas du tout. L’esplanade bétonnée, quant à elle, n’avait rien de très intéressant à mes yeux, n’étant pas un adepte de planche à roulettes. Disons simplement que mon intérêt pour cet héritage olympique mal-aimé était très limité. Je le réservais, comme bien des Montréalais, aux touristes. Mais depuis l’ère Labrecque, qui poursuit avec enthousiasme le plan de relance de son prédécesseur à la tête du parc, le libéral David Heurtel, je me surprends à développer à son égard un véritable attachement. Non seulement je me tanne difficilement d’observer l’œuvre monumentale de béton blanc qui surplombe le site, mais l’esplanade, de son côté, se transforme progressivement en un lieu de rendez-vous dans le quartier Hochelaga. Festival de sports extrêmes, terrains de tennis, patinoire à ciel ouvert, hébertisme, camions de bouffe de rue… Je réapprivoise avec bonheur le quadrilatère olympique, qui me paraît de moins en moins austère à travers ses activités. Ce sera probablement d’autant plus vrai cet été avec l’aménagement des Jardineries, un village à caractère ludique qui se dressera derrière l’édicule de métro de la station Pie-IX à partir de la mi-juin. «La première phase de relance du Parc olympique misait beaucoup sur l’événementiel pour attirer les gens à des moments très précis de l’année, m’explique Jérôme Glad, chargé de projet et cofondateur de Pépinière & Collaborateurs. L’idée, maintenant, c’est de créer un point de rendez-vous citoyen pour activer le parc sur une base quotidienne.» Son équipe fera ainsi fleurir le béton avec un champ de tournesols, au milieu duquel un généreux carré de sable pour les enfants, un lounge extérieur avec chaises longues, un jardin de plantes médicinales, une scène et un potager qui servira à alimenter un petit café-restaurant. Les profits de ce dernier serviront à la gestion et à l’entretien du village, qui accueillera également les activités de divers organismes locaux, notamment liés à l’agriculture urbaine. Financée par le Parc olympique, la Ville et le Fonds d’initiative et de rayonnement de la métropole (géré par Québec), l’initiative se présente comme un projet-pilote qui servira à tester divers aménagements et stratégies pour relancer le site à long terme. «On pourrait éventuellement bonifier l’offre avec, par exemple, une offre d’hébergement alternatif, indique M. Glad. C’est un projet évolutif.» Personnellement, je suis déjà conquis par les images du projet. J’y vois une belle dose de créativité et une pertinence sociale pour stimuler la dynamique sociale du quartier. Sans compter que le tout sera, en plus, autogéré par des entrepreneurs de la relève. Ayant été témoin des succès des autres projets entrepris ces dernières années par Pépinière & Collaborateurs, comme les Jardins Gamelin et le Village Au-Pied-du-Courant (deux projets qui ont fait rayonner Montréal à l’étranger), tous les ingrédients semblent réunis pour faire lever le gâteau. Il ne reste plus qu’à espérer que le beau temps soit au rendez-vous.
  4. http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/960945/lesplanade-du-parc-olympique-attire-un-million-de-personnes/ 09/05/2016 Mise à jour : 9 mai 2016 | 11:06 L’Esplanade du Parc Olympique attire un million de personnes Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale/Jean-Francois Hamelin L'esplanade Financière Sun Life Depuis 2012, le Parc olympique anime et fait vivre l’Esplanade Financière Sun Life avec des festivals, des concerts et des rendez-vous citoyens. En quatre ans, un million de visiteurs ont pris part aux activités offertes à l’ombre du mât du stade. L’esplanade, dont la superficie est de 300 000 pieds carrés, a été au cœur des efforts de relance du Parc olympique. Ce dernier a d’ailleurs souligné la semaine dernière son millionième visiteur sur l’Esplanade Financière Sun Life. «On voulait que les gens renouent avec le Stade olympique, que ça démocratise l’endroit et que ça le décloisonne. Les gens ne se sentaient pas bienvenus donc on a choisi d’y mettre des événements pour qu’on se l’approprie», explique Cédric Essiminy, conseiller en relations publiques pour le Parc Olympique. Depuis, les événements se sont multipliés à l’Esplanade Financière Sun Life, un lieu autrefois presque inutilisé. Les Montréalais ont notamment assisté à des concerts de l’Orchestre Symphonique de Montréal (OSM), pris part au festival de sports d’action Jackalope, suivi des sessions de yoga vêtus de blanc et patiné en famille. «Au début ce qu’on avait c’était seulement les vendredis, c’était tout petit, quelques camions avec des DJs. Puis, les promoteurs se sont ajoutés. Ce qu’on voulait faire c’est tout ce qui ne se faisait pas ailleurs en événementiel à Montréal», ajoute M. Essiminy. Pour la suite des choses, le Parc olympique espère faire de l’endroit un lieu encore plus tourné vers sa clientèle du quartier Hochelaga-Maisonneuve. Des designers et urbanistes travaillent actuellement à bonifier le lieu pour le rendre «plus accueillant et plus vivant». De nouvelles animations et des ateliers sur l’écologie et l’agriculture pourraient s’y dérouler dès l’été.
  5. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/19/01-4972713-jeux-de-2026-les-e-u-ferment-la-porte-a-une-candidature-quebec-lake-placid.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2&utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_Autres%20contenus%20populaires_article_ECRAN1POS2 Publié le 19 avril 2016 à 06h49 | Mis à jour à 06h49 Jeux de 2026: les É.-U. ferment la porte à une candidature Québec-Lake Placid En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important... (PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE) En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important à l'est des Rocheuses, la montagne de Whiteface, située à quelques kilomètres de Lake Placid, dans le nord de l'État de New York, compte plusieurs infrastructures pouvant accueillir les Jeux d'hiver, notamment des tremplins de saut à ski. Jean-François Bégin La Presse Le Comité olympique américain (USOC) dit non à une participation de Lake Placid à une éventuelle candidature de Québec pour les Jeux olympiques d'hiver de 2026, écartant ainsi d'emblée l'un des scénarios envisagés publiquement par le maire Régis Labeaume. Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains... (Photo Shaun Best, Archives Reuters) - image 1.0 Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains après avoir été l’hôte des Jeux d’hiver à deux reprises (1932 et 1980), Lake Placid détient plusieurs atouts qui font défaut à la candidature de Québec comme le site potentiel des Jeux d’hiver. On retrouve notamment dans la région une piste de luge-bobsleigh-skeleton (notre photo). « Le Comité olympique américain est concentré à 100 % sur notre candidature pour attirer les Jeux [d'été] à Los Angeles en 2024 et nous n'envisageons pas de candidature pour 2026 », a écrit le porte-parole du USOC, Patrick Sandusky, dans un courriel envoyé à La Presse. Relancé, M. Sandusky a précisé qu'aucune ville américaine ne peut être partie à une candidature d'une ville étrangère sans l'assentiment du USOC - et que cela constituait une fin de non-recevoir à la participation de Lake Placid aux projets de Québec, qui restent d'ailleurs à confirmer. Plus de 20 ans après l'échec de la tentative de Québec d'obtenir les Jeux de 2002, la Capitale nationale a de nouveau attrapé la fièvre olympique, le mois dernier, quand le maire Labeaume a fait savoir que le président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach, l'avait invité à Lausanne. M. Labeaume s'est rendu en Suisse la semaine dernière. Au terme d'une rencontre de cinq heures, il s'est dit convaincu du sérieux de la volonté du CIO de réformer les Jeux pour les rendre plus « modestes » et moins coûteux. Selon l'Agenda 2020, que le CIO a adopté en décembre 2014, il est désormais possible pour deux villes de présenter une candidature conjointe. «Ce n'est plus une hypothèse, c'est acquis. Il n'y a aucun problème pour qu'on tienne ça dans deux villes, même deux pays différents. C'est majeur.» Régis Labeaume Maire de Québec, discutant avec les médias qui l'avaient accompagné lors de sa visite en terre helvétique la semaine dernière Le maire avait évoqué la possibilité que Québec, s'il décide de plonger, fasse cause commune avec Calgary ou Vancouver, qui ont organisé les Jeux en 1988 et 2010 respectivement, ou encore avec Lake Placid. La petite localité du nord de l'État de New York, située à 400 kilomètres de Québec, a été l'hôte des Jeux d'hiver à deux reprises, en 1932 et en 1980. Le mois dernier, le maire Craig Randall avait confirmé au Soleil avoir eu des « discussions très préliminaires » avec Régis Labeaume au sujet d'une participation de sa ville à une possible candidature. Le maire de Québec a indiqué la semaine dernière qu'il comptait rencontrer M. Randall à son retour d'Europe. Il n'a pas été possible de parler à M. Labeaume au terme de la séance du conseil municipal, hier soir. Joint au téléphone, son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a réitéré le message répété récemment par son patron : « On n'est pas en mode olympique, on est en mode exploratoire. On regarde les possibilités. » Dans ce contexte, « il n'est pas question de déception » malgré le veto exprimé par le USOC - d'autant plus, a-t-il ajouté, que c'est le maire de Lake Placid qui avait relancé l'idée d'une collaboration lors d'une entrevue avec Le Journal de Québec, l'hiver dernier. DES ATOUTS Toujours utilisée comme base d'entraînement par les athlètes américains, Lake Placid détient plusieurs atouts qui, dans l'hypothèse d'une candidature conjointe, auraient permis à Québec de ne pas avoir à construire des éléphants blancs potentiels comme une piste de luge-bobsleigh-skeleton et des tremplins de saut à ski. La région compte aussi sur la montagne de Whiteface, dont le dénivelé skiable de 1045 mètres est le plus important à l'est des Rocheuses. L'absence dans les environs de Québec d'une montagne suffisamment haute pour tenir la descente masculine était jusqu'ici considérée comme un handicap fatal pour les chances de Québec de devenir ville olympique. Le maire de Calgary, Naheed Nenshi, n'a pas commenté jusqu'à présent la possibilité d'une candidature conjointe avec Québec. Son homologue de Whistler, Nancy Wilhelm-Morden, s'est pour sa part dite « très intéressée ». Il reste qu'avant même que le USOC ne signifie hier son refus, certains observateurs doutaient du réalisme d'un partenariat entre Québec et d'autres villes nord-américaines. Pour Robert Livingstone, éditeur du site spécialisé gamesbids.com, qui se consacre aux candidatures olympiques, le concept « est plus approprié sur le continent européen, où les distances sont plus courtes et les frontières à l'intérieur de [l'espace Schengen] sont ouvertes ». « Les vastes distances proposées en Amérique du Nord et une frontière surveillée si ce sont des Jeux Canada-États-Unis auraient un impact sur la qualité de l'expérience des Jeux et réduiraient de manière significative les chances de succès de Québec », a-t-il écrit sur son blogue la semaine dernière. Tant le maire Randall que les dirigeants de la New York State Olympic Regional Development Authority (ORDA), qui gère les installations olympiques de Lake Placid, ont refusé d'accorder une entrevue à La Presse, hier. Jeux olympiques de 2026: pas de référendum à 6 millions Si Québec se lance dans une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, pas question de faire un référendum évalué 6 millions, dit Régis Labeaume. Le maire de Québec assure du même souffle que la population sera consultée « en bonne et due forme ». Dans un monde idéal, les citoyens pourraient voter sur une candidature olympique en même temps que le scrutin municipal de novembre 2017, estime M. Labeaume. Or, la loi québécoise ne le permet pas. « Je ne dépenserai pas 6 millions pour un référendum, oubliez ça. C'est-tu clair ? Ce que j'aimerais est qu'on puisse consulter le monde en même temps que les élections. Ce serait bien moins compliqué et ça ne coûterait pas une cenne de plus », a-t-il lancé, hier, en mêlée de presse avant le conseil municipal. L'autre option pourrait être la signature de registres, qu'avait privilégiée l'ancien maire Jean-Paul L'Allier pour la candidature de 2002. « Mais ce que la population doit savoir est qu'elle sera consultée », a tranché le maire. - Le Soleil
  6. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/17/01-4972297-la-ministre-des-sports-favorable-a-des-jeux-a-quebec.php Publié le 18 avril 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 La ministre des Sports favorable à des Jeux à Québec Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, pour établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux. La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, estime que le Canada «doit accueillir» les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth d'ici 2030. Et elle se demande à voix haute si ce n'est pas le tour d'une ville québécoise, par exemple Québec pour les Jeux d'hiver de 2026. «Ça aurait du sens», a-t-elle dit en entrevue avec La Presse. «Je suis plutôt favorable à l'idée d'avoir différentes régions du pays [qui accueillent les Jeux], a indiqué la ministre Qualtrough. Je ne sais pas si c'est le tour de Québec, c'est au COC de décider, mais ce serait agréable d'avoir les Jeux à Québec, ça aurait du sens. Nous avons accueilli des Jeux olympiques à Vancouver et à Calgary, nous avons accueilli des Jeux à Montréal, mais c'était il y a quelque temps. Maintenant, si Edmonton disait qu'elle voulait des Jeux, je dirais qu'Edmonton serait aussi une bonne ville hôtesse.» La ministre Qualtrough a de bons mots pour le maire de Québec Régis Labeaume, qui a rencontré le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach en Suisse la semaine dernière. Au cours de la prochaine année, la ministre des Sports et des Personnes handicapées a l'intention de réunir les décideurs du milieu olympique canadien, incluant le Comité olympique canadien (COC), qui a le dernier mot sur les candidatures olympiques. L'objectif: établir une stratégie nationale pour l'accueil des grands événements sportifs internationaux, afin d'avoir des efforts mieux concertés. «Nous ne pouvons pas accueillir tous les événements, dit-elle. Il faut s'asseoir avec tous les décideurs et faire un plan. Ils [COC, Commonwealth Games Canada, CONCACAF] ont le droit de déposer une candidature, j'ai les dollars fédéraux. Nous manquons des occasions quand nous le faisons seuls. Je ne veux pas avoir une situation où nous avons une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, les Jeux d'été de 2028 et les Jeux du Commonwealth en 2030. Nous ne pouvons pas financer ni remporter tous ces événements. Nous devons être stratégiques: voulons-nous des Jeux dans une ville qui a besoin d'infrastructures ou dans une ville qui a déjà les infrastructures? Nous devons avoir ces discussions difficiles», a précisé la ministre Qualtrough, avocate et ancienne nageuse paralympique qui a gagné trois médailles aux Jeux de Séoul (1988) et de Barcelone (1992). Il n'y a pas qu'à Québec qu'on démontre de l'intérêt pour une candidature olympique. Toronto a évalué la possibilité de présenter une candidature pour les Jeux d'été de 2024, mais le maire John Tory en a finalement décidé autrement, notamment en raison des réticences du gouvernement provincial et des délais serrés. Toronto, qui a accueilli les Jeux panaméricains l'été dernier, pourrait être tenté à nouveau pour les Jeux d'été de 2028. Accueillir les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth représente un investissement de plusieurs milliards de dollars pour le gouvernement fédéral, en grande partie en raison des infrastructures et de la sécurité. Pour l'instant, le gouvernement Trudeau n'a pas statué à savoir s'il appuierait une éventuelle candidature canadienne. «Je serai le plus grand défenseur d'une candidature [au cabinet], mais c'est un grand investissement et c'est une décision du cabinet», a dit la ministre Qualtrough, qui croit que l'obtention de tels événements est «une bonne chose» sur le plan économique. La ministre Qualtrough rappelle que les premiers Jeux du Commonwealth ont eu lieu à Hamilton, au Canada, en 1930 et que les Jeux du Commonwealth auront 100 ans en 2030. Patience avec le COC jusqu'aux Jeux de Rio Six mois après la démission de Marcel Aubut en raison d'allégations de harcèlement sexuel, le Comité olympique canadien (COC) a engagé des spécialistes et commence à changer ses politiques internes, mais l'organisme en fait-il assez pour contrer le harcèlement sexuel et assurer un climat de travail sain? La ministre fédérale des Sports, Carla Qualtrough, veut «donner du temps» à la nouvelle présidente du COC, Tricia Smith. «À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après [les Jeux de] Rio», dit-elle. Résumé en trois déclarations. «Nous devons donner à Tricia [smith] le temps de travailler sur ce processus. Ils ont engagé un spécialiste de la gouvernance, un spécialiste des ressources humaines. Certaines de ces choses prennent du temps. Elle a choisi d'être discrète, je suis prête à attendre et voir quel type de changements il y aura.» [Le COC a dévoilé hier sa politique contre le harcèlement sexuel. L'entrevue avec la ministre Qualtrough a eu lieu la semaine dernière, avant cette annonce] «Vous devez vous rappeler qu'il ne reste que six mois avant les Jeux de Rio. Je n'ai pas de problème avec le délai, c'est raisonnable dans leur situation. À un moment donné, je penserai différemment, peut-être après Rio.» «Jean-Luc Brassard est un héros sportif canadien. Il est extrêmement respecté, par moi et par tous les gens que je connais. Il a fait un choix personnel, le COC traverse des moments difficiles, je comprends pourquoi il a démissionné [comme chef de mission des Jeux de Rio]. Je suis ravi que Curt [Harnett] puisse prendre la relève et qu'il n'y ait pas de dérangement pour les athlètes. Je partage le point de vue de Jean-Luc et de Curt voulant que nous ayons besoin d'un changement de culture au COC, mais aussi leur point de vue que Tricia Smith [la présidente ayant succédé à Marcel Aubut] sera capable de le faire, et beaucoup d'athlètes de haut niveau pensent la même chose.»
  7. Ça va pas ben pour Aubut... http://journalmetro.com/sports/851393/le-coc-elargit-lenquete-sur-marcel-aubut/ Le COC élargit l’enquête sur Marcel Aubut MONTRÉAL – L’enquête sur les allégations de harcèlement sexuel visant Marcel Aubut sera étendue à «toute plainte, formelle ou non», qui sera portée à l’attention du Comité olympique canadien. Le Comité a diffusé un communiqué, vendredi, dans lequel il dit trouver «extrêmement troublantes» les nouvelles allégations de même nature visant son président qui ont fait surface dans les médias au cours des derniers jours. L’organisme a donc décidé de mettre sur pied un deuxième mécanisme dont le travail sera dirigé par un tiers indépendant qui reste à identifier et qui procédera à un «examen détaillé» de toute plainte additionnelle. Le Comité olympique encourage toute personne qui aurait des informations à cet effet à lui faire part de ses préoccupations et affirme qu’il est régi par des politiques claires en matière de harcèlement. Il s’engage à prendre toutes les mesures requises à la suite de ces enquêtes. Le nouveau mécanisme d’enquête s’ajoute à celui mis sur pied sous l’égide de l’ancien juge en chef de la Cour supérieure du Québec François Rolland, qui se penche sur la seule plainte formelle déposée jusqu’ici dont l’auteur et la nature demeurent confidentiels. Marcel Aubut s’est temporairement retiré de ses fonctions, mercredi, en attendant la conclusion de cette enquête. Dans un communiqué qu’il a publié lui-même mercredi soir, M. Aubut décrit les allégations comme étant «une remarque qu’il aurait faite à une collègue». Il dit offrir son soutien «inconditionnel» aux enquêteurs. Ce communiqué ne visait toutefois que la première plaignante, les autres incidents n’ayant pas encore été rapportés au moment où il a été diffusé. Depuis, d’autres femmes ont publiquement partagé des allégations contre le président du Comité olympique canadien et de la Fondation olympique canadienne. Vendredi, le quotidien La Presse révélait que le Comité olympique canadien était au courant de certains comportements déplacés de son président depuis plusieurs années. En 2011, le secrétaire général et chef de la direction du COC à l’époque, Jean R. Dupré, avait écrit une lettre à son président — dont La Presse a obtenu copie — dans laquelle il demandait à ce dernier de cesser une série de comportements spécifiques auprès des femmes et acceptait de ne pas porter plainte contre lui parce qu’il avait donné l’assurance que de tels comportements cesseraient sur le champ. L’avocate montréalaise Amélia Salehabadi-Fouques a accordé plusieurs entrevues aux médias, jeudi, dans lesquelles elle a détaillé ses interactions avec M. Aubut. Le réseau TVA et la station de radio 98,5 FM ont également diffusé des entrevues avec une femme qui dit avoir travaillé avec Marcel Aubut et avoir subi du harcèlement sexuel. Amélia Salehabadi-Fouques, une avocate spécialisée dans le droit du sport et membre de l’Association canadienne de soccer depuis 2013, a dit avoir été victime de harcèlement de la part du président du COC à trois reprises dans les quatre dernières années. Mme Salehabadi-Fouques a notamment soutenu que M. Aubut l’a embrassée de force et lui a fait des commentaires sexuels. Ses allégations n’ont pas été prouvées devant un tribunal. Dans les entrevues accordées à des journaux et des stations de radio, Mme Salehabadi-Fouques raconte être entrée en contact avec Marcel Aubut il y a quatre ans, pour s’impliquer dans le COC. Il lui aurait donné rendez-vous dans un chic restaurant de Montréal, mais à son arrivée, elle a été surprise de voir qu’il était assis au bar. En discutant, il est devenu clair pour elle qu’il était davantage intéressé par son physique que par son expérience professionnelle. Il lui aurait posé des questions de nature privée et aurait fait des commentaires personnels. Plus tard dans la soirée, il l’aurait embrassée «avec la langue». Elle dit avoir pris un taxi seule pour rentrer chez elle. Dans diverses entrevues, elle se remémore aussi un incident survenu l’an dernier, à Québec. Il l’aurait invitée à assister à une rencontre d’affaires avec une foule d’autres personnes, mais une fois à l’hôtel, elle était seule. Il n’y avait qu’une seule chambre d’hôtel réservée au nom de M. Aubut, aucune pour elle, a-t-elle affirmé. «Il me dit: « quand est-ce que je vais venir dans ta chambre? J’ai demandé des clés pour ta chambre »», a-t-elle confié à La Presse. Encore l’an dernier, lors d’un match de la Coupe du monde de soccer féminin U-20, devant son fils de 15 ans, il l’aurait interpellée dans un couloir et lui aurait demandé: «Quand est-ce qu’on couche ensemble?» En entrevue au 98,5 FM, l’avocate a affirmé ne pas savoir si elle porterait plainte formellement. Lorsqu’elle a appris qu’une autre personne avait porté plainte, cette mère de trois enfants s’est sentie concernée et a décidé de ne plus rester silencieuse. «En tant que mère, je vais toujours me lever pour les jeunes femmes harcelées», a-t-elle écrit sur Twitter mercredi. Plus tard jeudi, TVA a diffusé une entrevue avec une femme soutenant avoir été victime de plusieurs gestes de M. Aubut en 2011, lorsqu’elle travaillait dans un bureau d’avocats de Montréal. La femme n’a pas été identifiée, mais TVA a indiqué qu’elle était une de ses anciennes adjointes exécutives. Selon ce qu’elle raconte au réseau d’information, Marcel Aubut mettait ses mains autour de sa taille, et elles étaient un peu plus basses chaque nouvelle fois. Elle a également soutenu qu’il plaçait ses mains sur ses épaules et touchait sa poitrine. Elle l’aurait également vu en caleçons à une occasion, lorsqu’il l’a appelée dans sa salle de conférence. Après ces incidents, a-t-elle raconté, elle a dû quitter pour des raisons de santé. Selon TVA, elle n’a pas porté plainte car le cabinet lui a proposé une entente lui donnant l’équivalent de 10 000 $ contre son renoncement à tout recours. Âgé de 67 ans, Marcel Aubut est membre du COC depuis 2000, et président depuis avril 2010. Par le passé, il a occupé le poste de président des Nordiques de Québec, jusqu’au déménagement de l’équipe au Colorado en 1995. Il a notamment aidé à faire venir au Canada les frères Stastny, en 1980, pour jouer pour les Nordiques. Il a été nommé officier de l’Ordre du Canada en 1993, officier de l’Ordre national du Québec en 2006, et avocat émérite du Barreau du Québec en 2008. Il a été intronisé au Panthéon des sports canadiens en 1999. Il exerce le droit et est partenaire, avocat et vice-président du conseil d’administration de la firme montréalaise BCF. Mercredi, BCF a fait savoir qu’elle ne commenterait pas l’enquête et a ajouté que le rôle de M. Aubut dans la firme n’était pas à risque puisque les allégations ne concernaient pas directement ses activités professionnelles.
  8. Source: Le Devoir La Ville octroie 250 000 $ pour du ski sur le mât du Stade olympique 4 juin 2015 |Jeanne Corriveau | Montréal Une piste de ski extrême sur le mât du Stade olympique ? L’idée paraît peut-être saugrenue, mais elle risque bien de se concrétiser en 2017. L’événement baptisé « Skying Montréal Big Air » vient de recevoir un coup de pouce financier de la Ville de Montréal et du gouvernement du Québec. Le projet prévoit l’aménagement d’une piste de ski le long de la tour du Stade sur une longueur d’environ 120 mètres jusqu’à un tremplin d’où 25 skieurs s’élanceront pour effectuer des sauts acrobatiques. La rampe d’atterrissage aura une hauteur de six à huit étages. Mais attention, l’événement est réservé à des skieurs d’élite. Des tests techniques seront effectués en 2016 pour préparer la première édition de l’événement qui se déroulera en 2017, année du 375e anniversaire de Montréal. Le maire Denis Coderre et le ministre responsable de la Métropole, Robert Poëti, ont confirmé mercredi l’octroi d’une aide financière de 250 000 $ à la Corporation Skying Montréal. Cet organisme est chapeauté par l’entreprise de production d’événements Inbox, créée il y a environ un an. Les dirigeants du Parc olympique auraient été séduits par le concept proposé par l’entreprise. Une inclinaison parfaite Tom Czerniecki, associé chez Inbox, explique que l’idée d’aménager une piste de ski acrobatique sur la tour du Stade est venue lorsqu’il a remarqué que la structure penchée avait une inclinaison parfaite pour le ski. « Les vraies rampes de ski extrême ont la courbe du Stade, dit M. Czerniecki. On a fait venir des experts et des designers qui nous ont dit que c’était un heureux hasard, mais que oui, le projet était possible. » Tom Czerniecki précise que certaines ficelles restaient à attacher pour ce projet et que la recherche de commanditaires était toujours en cours. Cet événement contribuera à raffermir l’image de Montréal comme « ville sportive, festive et innovante », croit Denis Coderre.Un village hivernal qui accueillera des activités sportives et culturelles sera aussi aménagé sur l’esplanade du Parc olympique. La subvention de 250 000 $ provient du programme PRAM-EST visant à soutenir les projets de développement dans l’est de Montréal.
  9. http://www.cvp2.org/ HYDRO-AÉROPORT MONTRÉAL CENTRE-VILLE Montréal découverte - Durée 20 min* Montréal intimiste Pont Jacques-Cartier Parc Olympique Centre-Ville - Circuit intérieur Vieux-Port Parc Jean-Drapeau TARIF : 139$/adulte - 99$/enfant Montréal panoramique - Durée 25 min* Montréal - Circuit préféré des passagers ! Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Vieux-Port Centre-Ville - circuit intérieur + circuit extérieur Parc Jean-Drapeau Mont-Royal - Oratoire Saint-Joseph ​ TARIF : 179$/adulte - 139$/enfant Montréal romantique - Durée 25 min* Montréal au coucher du soleil Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Centre-Ville - circuit intérieur + circuit extérieur Parc Jean-Drapeau Biosphère Mont-Royal - Oratoire Saint-Joseph ​ TARIF : 199$/adulte - 2 couples à bord Entre ciel et fleuve - Durée 45 min* Le Saint-Laurent Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Iles de Boucherville Ile Ronde Centre-Ville - Circuit intérieur Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 299$/adulte - 219$/enfant Laurentides côté nature - Durée 90 min* Laurentides - Mont-Tremblant - Lacs et forêts Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Laval - Rivière des Mille-Iles Saint-Sauveur - Sainte-Agathe-des-Monts Mont-Tremblant Centre-Ville - Circuit intérieur - Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 499$/adulte - 399$/enfant * Conditions particulières Opérations tous les jours du 1er mai au 31 octobre, de 9h à 17h Frais aéroportuaires en sus : 10$ / personne Surcharge carburant en sus : 5$ / personne Supplément journée Feux d'artifices : 15$ / personne - Supplément Grand Prix de Formule 1 : 25$ / personne Frais de réservation : 7$ / dossier La durée du vol est donnée approximativement et peut varier en fonction des conditions météorologiques et/ou du trafic aérien Prix par personne taxes gouvernementales incluses Le tarif enfant s'applique aux enfants de 11 ans et moins Minimum 4 passagers - maximum 6 passagers à bord par vol - Privatisation sur demande Les tarifs et la programmation des vols sont sujets à changement sans préavis Se présenter 30 mn avant pour les formalités Conditions de vente Cap sur la Mauricie - Durée 90 min* Mauricie - Sacacomie - Lacs et forêts Pont Jacques-Cartier -Parc Olympique Rivière des Mille-Iles Saint-Alexis-des-Monts Lac Saint-Pierre Centre-Ville - Circuit intérieur - Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 499$/adulte - 399$/enfant Montérégie historique - Durée 45 min* Montérégie - Vignobles - Citadelle et fort Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Mont Saint-Bruno Rivière Richelieu Bassin de Chambly - Chambly - Lac Saint-Louis Centre-Ville - Circuit intérieur - Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 299$/adulte - 219$/enfant Vols panoramiques Services Aériens
  10. Une Maison olympique pour Montréal 5 fév. 2014 - par Alec Castonguay Photo : © Mathieu Rivard Dès le mois d’avril, Montréal aura une Maison olympique en plein centre-ville. Un projet de plusieurs millions de dollars qui donnera une vitrine permanente au célèbre mouvement aux cinq anneaux. L’actualité a obtenu les détails avant l’ouverture officielle, ce printemps, dans le cadre d’un grand portrait de Marcel Aubut, publié dans le numéro en kiosque (et Ipad) à partir du vendredi 7 février. Les voici. * * * Marcel Aubut, président du Comité olympique canadien, s’arrête devant le gratte-ciel de 26 étages, au coin du boulevard René-Lévesque et de la côte du Beaver Hall, à Montréal, et ouvre grand les bras, comme pour bien montrer le gigantisme de son nouveau chantier. « On a réussi à avoir le rez-de-chaussée et le premier étage, en plein centre-ville. Ce qu’on pourra faire ici est sans limites », dit-il, excité. La Maison olympique de Montréal, au 500 René-Lévesque Ouest, sera l’un des legs de la présidence de Marcel Aubut au Comité olympique canadien (COC). Et une pièce importante dans la stratégie de mise en valeur de l’organisme et des athlètes amateurs d’élite, que le COC veut imposer dans la culture sportive canadienne. Elle devrait être inaugurée en grande pompe à la fin d’avril. Marcel Aubut négocie avec le CIO, en Suisse, pour obtenir le droit d’installer les anneaux olympiques aux quatre coins du toit, bien visibles. « Je pense être capable de les convaincre, je m’entends bien avec le nouveau président, Thomas Bach », dit-il, avant de sortir une feuille de papier sur laquelle sa vision est dessinée. On y aperçoit les anneaux, de nuit, avec les couleurs olympiques qui illuminent le bâtiment. « On va les voir de tous les ponts en entrant à Montréal ! » lance-t-il. Lors du passage de L’actualité sur le chantier, fin novembre, la moitié des travaux étaient complétés. Dehors, les ouvriers s’affairaient à aménager la grande terrasse, qui longe le devant et le côté de l’immeuble, et qui pourra accueillir des réceptions de plus de 1 000 personnes. Une cuisine pour les traiteurs a été installée. Sur la façade, à une dizaine de mètres au-dessus du trottoir, une bande défilante électronique diffusera des résultats de sports amateurs et des messages aux passants. Des télévisions retransmettront des épreuves et des championnats du monde. À l’intérieur, un mur complet — 3 m 65 sur 3 m — a été transformé en écran géant. « Les gens pourront venir écouter des compétitions. L’ambiance sera incroyable », affirme Marcel Aubut, à la tête du COC depuis 2009 — avocat, Aubut a également été président des Nordiques de Québec, dans la Ligue nationale de Hockey. Un musée interactif sur le sport amateur sera éventuellement déployé dans le hall, et une boutique aux couleurs du COC permettra aux touristes et visiteurs d’acheter des souvenirs toute l’année. La gestion du magasin a été confiée à Kevin Gilmore, chef de l’exploitation des Canadiens de Montréal, que Marcel Aubut a attiré au conseil d’administration du COC. Plus loin, au fond, des salles de réunion avec ordinateurs ont été aménagées pour les fédérations sportives et les athlètes. « Si l’un de nos sportifs cherche un endroit pour étudier, nos portes lui seront ouvertes », dit Aubut en montrant ces locaux vitrés aux murs blancs et au design raffiné. La Maison olympique abrite aussi les dizaines d’employés du COC, qui s’affairaient encore à ouvrir des boîtes au premier étage lors de notre passage. Une petite salle d’entraînement et un vestiaire avec douche ont été aménagés. De grandes peintures colorées ornent les murs. « On est loin de notre trou dans le sous-sol du Stade olympique ! » me dit un employé, visiblement ravi. « C’est important de travailler dans un bel endroit. Ça aide à la productivité », dit Aubut. Le bureau du COC à Montréal compte maintenant plus de 50 employés — ils étaient à peine 6 il y a trois ans. Les activités du bureau d’Ottawa, récemment fermé, ont été transférées à Montréal, où l’on s’occupe de la préparation de la délégation canadienne pour les Jeux olympiques, de l’aide aux fédérations sportives et des communications en français. La Maison olympique de Montréal est une réalisation de plusieurs millions de dollars, au cœur de la ville des Jeux de 1976. Marcel Aubut refuse de dévoiler à combien s’élève la facture. « Mais le plus beau, c’est qu’on ne paie pas un sou ! » lance-t-il avec le sourire. Ordinateurs, téléphones, téléviseurs, tables, chaises… tout provient de commandites. La facture de transformation de l’immeuble et de la grande terrasse est quant à elle en grande partie absorbée par les propriétaires du bâtiment, une société en commandite que contrôlent deux hommes d’affaires montréalais, Simon Margel et George Gantcheff, qui ont flairé le prestige (et la valeur) d’accueillir le mouvement olympique. « Pour leur montrer l’importance de l’olympisme, j’ai invité les propriétaires aux Jeux de Vancouver. Ils n’ont pas été difficiles à convaincre ! » dit Marcel Aubut. Une Maison olympique pour Montreal - L'actualite
  11. C'est du 5 au 24 août 2014 que la Coupe du monde U-20 de soccer féminin aura cours dans quatre villes canadiennes, à savoir Edmonton, Toronto, Moncton et… Montréal! En effet, plusieurs matchs, y compris la finale et le match pour la troisième place, seront disputés au Stade olympique dans le cadre de cette rencontre internationale qui, on l'espère, saura créer le même engouement que sa version masculine de 2007. À suivre! http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/coupe-du-monde-u-20-de-soccer-feminin-au-jeu
  12. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/philippe-cantin/201308/05/01-4677016-trois-influents-philanthropes-se-mobilisent-pour-le-parc-olympique.php
  13. Voici l'appel d'offres affichée sur le site de la Société du Parc Jean-Drapeau en date du 27 février 2013 : Services professionnels pour projets de remise aux normes des installations sportives du bassin Olympique La Société du parc Jean-Drapeau désire obtenir des soumissions pour la prestation de services professionnels en architecture, en architecture de paysage et en ingénierie dans le cadre de son projet de remise aux normes des installations sportives du bassin Olympique de l’île Notre-Dame. La mission comprend, de manière non exhaustive : - Le relevé des espaces; - Les études préparatoires; - La production des plans et devis; - La préparation des échéanciers et des estimations; - La coordination et la surveillance du chantier. Plus de détails à venir!
  14. http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-forums_strategiques_grands_projets_0313/ LA MÉTROPOLE ET SES GRANDS PROJETS Immobilier et revitalisation urbaine Vendredi 15 mars 2013 de 7 h 30 à midi PRIX Membres Non membres Billet(s) 350 $* 450 $* Table(s) de 10 3150 $* 4050 $* * Taxes en sus. DEVENIR MEMBRE Par téléphone : 514 871-4001 Politique d'annulation > Pour plus d'information Kevin Alouini Responsable, Forums stratégique 514 871-4000 , poste 4048 kalouini@ccmm.qc.ca Lieu Palais des congrès de Montréal 1001, place Jean-Paul-Riopelle Montréal Programme LES GRANDS PROJETS redéfinissent le visage de la métropole. Chacun d’entre eux redynamise toute une partie de la ville. Les sommes colossales qui y sont investies ont un impact majeur sur le développement économique de la grande région de Montréal. Développez vos affaires : Découvrez de nouveaux projets qui viendront changer le visage de la métropole; Évaluez l’état d’avancement des projets majeurs; Déchiffrez et intégrez l’effet structurant de certains projets sur leur quartier et leur environnement immédiat; Réseautez avec les acteurs clés, institutionnels et privés, derrière les grands projets métropolitains. Participez à un événement d’envergure pour tout savoir des plus grands projets de construction dans la métropole! Programmation : 7 h 30 à 12 h 15 : Conférences 12 h 15 à 15 h : Buffet réseautage et salon commercial Le salon commercial sera ouvert pendant le petit déjeuner, les pauses et le buffet réseautage. Veuillez noter que vous devez vous inscrire aux conférences pour prendre part gratuitement au salon commercial en tant que visiteur. Si vous désirez être exposant, veuillez communiquer directement avec nous. LA MÉTROPOLE ET SES GRANDS PROJETS Mot de bienvenue Allocution du maire Michel Leblanc Président et chef de la direction Chambre de commerce du Montréal métropolitain Michael Applebaum Maire de Montréal Président de la Communauté métropolitaine de Montréal BLOC D’INTRODUCTION : Le développement immobilier de la métropole et ses défis Tirer parti de la consultation publique Benoit Egan Associé, Conseil immobilier Raymond Chabot Grant Thornton Louise Roy Présidente Office de consultation publique de Montréal I. LA REVITALISATION DU SECTEUR DU PARC OLYMPIQUE Espace pour la vie dévoile le Planétarium Rio Tinto Alcan L’an deux de la relance du Parc olympique : réalisations et projets d'avenir Charles-Mathieu Brunelle Directeur général Espace pour la vie David Heurtel Président-directeur général Parc olympique II. DES INSTALLATIONS À LA FINE POINTE POUR LA RECHERCHE ET L’ÉDUCATION Le Quartier de l’innovation Yves Beauchamp Directeur général École de technologie supérieure Rose Goldstein Vice-principale à la recherche et aux relations internationales Université McGill Cameron Charlebois Vice-président, Immobilier, Québec Société immobilière du Canada Technoparc Montréal : joueur clé au service du développement technologique de la métropole Site Outremont : l’Université de Montréal redonne un quartier à la ville Paul St-Jacques Président du conseil d'administration Technoparc Montréal Dr Guy Breton Recteur Université de Montréal III. DES INVESTISSEMENTS MAJEURS QUI CHANGERONT LE VISAGE DE MONTRÉAL Le projet de redéveloppement du site de la Maison de Radio-Canada Le projet Fonds immobilier de solidarité FTQ et Canderel – Quartier des spectacles Marc Y. Lapierre Directeur général, Services immobiliers CBC/Radio-Canada Daniel Peritz Vice-président principal, Montréal et Ottawa Canderel Le projet L’Avenue Cadillac Fairview dévoile son plan de développement pour le centre-ville de Montréal Michael Broccolini Gestionnaire immobilier Construction Broccolini inc. Salvatore Iacono Vice-président, développement et gestion immobilière, Portefeuille de l'Est du Canada La Corporation Cadillac Fairview Limitée En collaboration avec :
  15. Bonjour à tous! Lundi dernier, Aimer Montréal a déposé, dans le cadre des consultations publiques sur l'avenir du Parc Olympique, son tout premier mémoire. Notre vision y est particulièrement bien expliqué. Nous nous sommes attardés à la partie Sud et Est du Parc seulement. Si jamais vous êtes intéressés à voir la version PDF, faites moi signe et je la mettrai sur ce fil! Voici donc deux graphiques qui ont été créés spécialement pour le mémoire : Aujourd'hui Notre vision Aujourd'hui Notre vision
  16. Quel héritage pour l'économie de Vancouver? Publié le 27 février 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Des touristes, des routes, un centre de congrès, une ligne de métro. Pour la ville hôtesse des Jeux de Vancouver, l'héritage olympique ne se calculera pas en médailles mais en milliards de dollars. Comme si la Colombie-Britannique ne manquait pas de médailles d'or, la province hôtesse des Jeux olympiques vient d'en recevoir une supplémentaire la semaine dernière. Celle du Conference Board du Canada. Selon le Conference Board, la Colombie-Britannique connaîtra la plus grande croissance économique parmi les provinces canadiennes cette année. Les Jeux olympiques et leurs 250 000 visiteurs y sont pour quelque chose. Pour 770 millions de dollars, calcule l'économiste Marie-Christine Bernard. «La Colombie-Britannique aurait très bien fait quand même, mais les Jeux sont le dernier coup de pouce qui lui donne la première place », dit Marie-Christine Bernard, qui parle de la «reprise en or» de la Colombie-Britannique dans son étude du Conference Board publiée la semaine dernière. Sitôt les compétitions terminées, une autre discipline olympique commencera chez les économistes du pays : le calcul des retombées des Jeux de Vancouver. Jusqu'ici, l'aventure olympique a coûté cher ? jusqu'à 7,3 milliards selon nos calculs, incluant les onéreuses dépenses infrastructures. La Colombie-Britannique estime les retombées économiques à 4 milliards de dollars. « Les Jeux ont aidé la province à moins souffrir de la récession, dit l'économiste québécois Thomas Lemieux, professeur à l'Université de la Colombie-Britannique (UBC). En ce sens, le timing des Jeux était assez bon. » Une fois les Jeux terminés et les factures payées, Vancouver s'attend maintenant à rentabiliser son investissement en accueillant une horde de touristes attirés par son nouveau charme olympique. Depuis la mi-janvier, Tourism BC décline sa campagne de pub télé destinée au marché nord-américain. Le joueur de basket Steve Nash, la chanteuse Sarah McLachlan et les comédiens Ryan Reynolds et Michael J. Fox, tous des vedettes au pays de l'Oncle Sam, vantent les mérites de leur province natale. «La visibilité olympique sera importante, mais l'effet sera mitigé parce que Vancouver est déjà une destination touristique connue », croit Jimmy Jean, économiste pour Moody's Economy.com à Philadelphie. Son collègue Thomas Lemieux doute aussi du charme olympique de Vancouver. «Je n'ai pas l'impression qu'il y aura un gros impact au plan touristique après les Jeux, dit le professeur d'économie à UBC. Les touristes américains qui viennent pour les Jeux connaissent déjà bien Vancouver. En plus, je ne suis pas sûr que les Jeux aient été excellents pour la réputation de Vancouver comme destination touristique hivernale. Probablement que les effets touristiques seront plus importants à Whistler...» Durant les Jeux, les visiteurs olympiques provenaient à 70% du Canada et à 10% des États-Unis. L'Europe et l'Asie se partageaient les 20% restants, selon les chiffres de Tourism BC. L'immobilier resterait stable Outre le nombre de touristes, il faudra surveiller l'état du marché immobilier post-olympique à Vancouver. Selon une étude de l'École de gestion de UBC, le marché immobilier post-olympique des villes hôtesses n'est ni euphorique, ni catastrophique. En clair, les Jeux ne changent rien au prix des logements dans sa ville hôtesse. Normalement, il s'agit d'une bonne nouvelle pour les contribuables des villes hôtesses, qui paient leurs taxes foncières en fonction de la valeur de leur propriété. Mais la réalité pourrait être plus complexe dans le cas de Vancouver. En raison du resserrement du marché du crédit, la Ville de Vancouver a dû se porter garante du financement du village olympique. Le coût du projet est évalué à 1,1 milliard, et la Ville est exposée à hauteur d'environ 700 millions. Elle récupérera tout son argent si le promoteur Millenium Development parvient à vendre les condos restants ? 472 des 737 condos ? à un prix suffisamment élevé. « Le marché immobilier a repris, surtout depuis six mois. La Ville de Vancouver pourrait s'en sortir », dit Thomas Lemieux. Si la catastrophe financière du village olympique peut être évitée, le principal héritage des Jeux de Vancouver pourrait bien être les infrastructures construites en prévision des Jeux. La ligne de métro Canada Line, qui relie le centre-ville à l'aéroport. Le centre des congrès, qui attirera davantage de visiteurs internationaux. La nouvelle route Vancouver-Whistler, qui rendra le transport plus facile vers cette montagne très prisée des skieurs. Les nouvelles infrastructures auront un impact direct sur la qualité de vie des Vancouvérois. Elles règleront même plusieurs problèmes au département d'économie de l'Université de la Colombie-Britannique, qui sera dirigé par l'économiste québécois Thomas Lemieux en 2014. «Les horaires des professeurs sont très compliqués à gérer à cause des bouchons de circulation à Vancouver, dit-il. Plusieurs collègues qui vivent à Richmond ne veulent pas prendre des cours tôt le matin ou tard l'après-midi à cause de la circulation. Mais avec la construction du Canada Line, on peut se rendre facilement de Richmond au centre-ville. C'est un peu comme si on venait tout juste de relier la rive sud de Montréal au métro... »
  17. Les Jeux de Vancouver critiqués à New York et Londres Wayne Gretzky défile sous la pluie dans les rues de Vancouver, à l'ouverture des Jeux d'hiver. La Presse Canadienne - 13/02/2010 20h50 VANCOUVER - La météo inclémente, les allégations voulant que le Canada ait violé les idéaux olympiques et les coûts sociaux et économiques des Jeux d'hiver au détriment des citoyens les plus nécessiteux de la Colombie-Britannique ont volé la vedette au sport sur certains sites internet réputés à travers le monde, samedi. Celui du New York Times par exemple se demandait ouvertement si le Comité international olympique ne s'était pas carrément trompé de choix. «Vancouver est la ville la plus chaude de l'histoire à accueillir les Jeux d'hiver, basé sur la température moyenne en février, de sorte qu'on aurait peut-être pu anticiper les problèmes», est-il écrit. «Ou est-ce l'organisation locale qui doit être blâmée pour avoir prévu des événements sur Cypress Mountain, qui n'est qu'à 30 minutes de Vancouver et ses températures douces?» «Vancouver est une ville attrayante, y dit pour sa part le professeur d'économie américain Victor Matheson. Mais la chaude température et les complications de dernière minute avec la neige pourraient nuire à sa réputation comme ville de sports d'hiver. Ce serait une honte, mais ce ne serait pas la première fois qu'un événement majeur a un effet négatif sur l'image d'une ville.» «Je ne crois pas que ce fut une erreur de présenter les Olympiques à Vancouver», a plutôt déclaré Hannah Hardaway, qui a participé aux épreuves de bosses aux Jeux de 2002. «La Colombie-Britannique est une destination d'hiver remarquable et on aurait pu tout aussi bien tomber sur un hiver plein de neige et des conditions idéales. En autant que les parcours soient sécuritaires et remplissent les normes, pourquoi se plaindre? Il ne semble pas que ce soit le cas des compétiteurs.» Sur le site du Guardian de Londres, on se concentrait sur l'action des activistes anti-olympiques. «Les Olympiques sont un autre malheureux exemple d'un partenariat public-privé qui a mal tourné, peut-on y lire. Les contribuables ont été taxés sournoisement par des promoteurs privés qui ont entraîné la ville dans un budget de faillite( ...) Les besoins fondamentaux d'une population sont sacrifiés sur l'autel de la gloire olympique alors que près de la moitié des Canadiens, selon un récent sondage, jugent que la situation économique actuelle est «pauvre» ou «très pauvre». Sur le site du London Times, le principal reporter sportif Owen Slot s'en prend à la stratégie du programme «À nous le podium», affirmant qu'une partie de celui-ci consistait à interdire les sites de Vancouver et Whistler aux athlètes étrangers afin de procurer le maximum d'avantages aux canadiens. «Il y a des règles et même si les Canadiens les ont suivies, admet-il, leur interprétation a été de limiter au minimum les entraînements des non-Canadiens.» L'auteur faisait évidemment référence à l'accident mortel survenu au lugeur géorgien Nodar Kumaritashvili.
  18. a la vieille des jeux de vancouver, j'ai pense vous faire part d'une idee qui me trotte dans la tete depuis quelques temps et qui a un lien avec notre propre heritage olympique. en fait, ce n'est pas vraiment la vision d'un element concret que je voudrais proposer ici, mais bien simplement un concept, un 'branding' si vous voulez, que la ville pourrait utiliser pour designer le quadrilatere abritant toutes les installations a caractere sportif & scientifique sur notre site olympique. du jardin botanique au centre de medecine sportive, en passant par le biodome , la piscine olympique, le stade saputo et l'eventuel planetarium, ce branding servirait a la fois de trait d'union entre ces differents lieux, tout en aidant a augmenter la visibilite certaine d'entre elles qui en aurait peut-etre besoin (comme euh euh un stade fucking olympique de 70 000 places?). elle officialiserait aussi l'endroit comme etant designe a ces spheres d'activites, encourageant donc d'y concentrer de futures installations connexes comme un musee d'histoire sportive, d'histoire naturelle, ou de nouveaux centres d'entrainements pour notre equipe de la NBA, mettons .. quand on regarde de terrible etat de certains racoins du site, on a pas vraiment l'impression qu'on se souvient qu'on y a tenu des jeux olympique - la seule indication restante etant quelques drapeaux ici et la et une enorme tour en beton un peu penchee. fournir aux lieux une vocation propre aiderais peut-etre a renverser cette tendance..
  19. Red Bull Racing célèbre le retour de la Formule 1 à Montréal avec une démonstration sur glace exclusive - Les fans sont invités à venir voir le pilote de l'écurie Scuderia Toro Rosso, Sébastien Buemi, conduire la voiture de F1 de Red Bull Racing sur les eaux glacées du bassin olympique - MONTRÉAL, le 8 janv. /CNW/ - Attention : chaussée glissante, circulez rapidement. Le 17 janvier prochain, les Montréalais vont avoir des frissons - dans tous les sens du terme - en voyant pour la première fois une Formule 1 évoluer sur la glace. Au volant d'une voiture spécialement équipée pour l'occasion, Sébastien Buemi, pilote de l'écurie Scuderia Toro Rosso, fera la démonstration de ses incroyables talents de pilote au bassin olympique du Parc Jean-Drapeau, à proximité du Circuit Gilles Villeneuve. Pour célébrer le retour de la F1 à Montréal, une piste glacée d'une longueur de 4 kilomètres sera aménagée, dotée de virages, de lignes droites et de zones ouvertes. Sébastien Buemi, coureur sur glace Sébastien Buemi était le seul pilote recrue de la saison 2009 de F1 qui nous a tous surpris en récoltant deux points dès sa première course. Plus jeune, il a récolté de nombreux titres de go-kart en Suisse, devenant Champion Européen Junior en 2002. Il a par la suite connu beaucoup de succès en Formule BMW en Allemagne, puis en Formule 3 Euroseries et GP2, comme membre de l'équipe junior Red Bull. En GP2, il a récolté de nombreux podiums et trois victoires, avant de graduer en Formule 1. À la fin de la saison de F1 2008, il pilotait la voiture médicale afin de se familiariser avec les circuits. Avec une saison complète de F1 à son actif, Sébastien misera sur son expérience en 2010 et à titre de francophone, il a particulièrement hâte au Grand Prix du Canada à Montréal. Regarderez-vous la démonstration la plus spectaculaire de l'histoire de la Formule 1 à Montréal? QUOI : La voiture de F1 de Red Bull Racing courser sur la glace QUAND : Le dimanche 17 janvier 2010 de 13h à 14h OÙ : Bassin olympique du Parc Jean-Drapeau Station de métro Jean-Drapeau Stationnement Zone P-4 http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/January2010/08/c7248.html
  20. Pour les intéressés, la flamme olympique est dans la région de Montréal cette semaine : http://www.vancouver2010.com/fr/plus-information-2010/relais-de-la-flamme-olympique/carte-interactive-du-parcours-du-relais-de-la-flamme-olympique/ Lundi 7 décembre ... Sorel-Tracy Varennes Ste-Julie Mont-St-Hilaire Beloeil McMasterville St-Basile-le-Grand St-Bruno-de-Montarville Boucherville Longueuil Mardi 8 décembre St-Lambert Greenfield Park Longueuil Brossard Chambly Iberville St-Jean-sur-Richelieu La Prairie Candiac St-Constant Kahnawake Châteauguay Mercier Beauharnois Salaberry-de-Valleyfield St-Lazarre Hudson Vaudreuil-Dorion Pincourt St-Anne-de-Bellevue Baie-d'Urfé Beaconsfield (Mercredi 9 décembre Mont-Tremblant) Jeudi 10 décembre Montréal-Est Mascouche Terrebonne Bois-des-Filion Lorraine Rosemère Blainville Ste-Thérèse Boisbriand Ste-Marthe-sur-le-Lac Deux-Montagnes St-Eustache Laval Dollard-des-Ormeaux Kirkland Pointe-Claire Dorval Montréal-Ouest Côte-St-Luc Hampstead Westmount Mont-Royal MONTRÉAL Vendredi 11 décembre Repentigny L'Assomption Joliette Crabtree St-Jacques St-Lin-Laurentides St-Anne-des-Plaines Mirabel St-Jérôme Lachute ...
  21. En 2022, 2026 ou 2030... La Presse Canadienne 09/11/2009 16h30 Plus d'une décennie après le revers pour l'obtention des Jeux de 2002, la ville de Québec continue d'entretenir le rêve olympique. Mais la marche est longue et pourrait durer encore 20 ans. Le premier ministre Jean Charest a annoncé lundi la nomination de l'homme d'affaires Claude Rousseau à la tête d'un comité chargé de paver la voie à la tenue de championnats du monde, en prélude à une éventuelle candidature olympique. Président des Remparts de Québec de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), M. Rousseau et son groupe de travail identifieront les infrastructures requises à la tenue de grands événements sportifs et proposeront des modes de financement. À terme, le comité espère démontrer le savoir-faire de la ville de Québec en prévision d'une nouvelle candidature olympique pour les Jeux de 2022, de 2026 ou encore de 2030. Le comité est doté d'un budget de 1 million $ provenant des surplus générés par les activités des fêtes du 400e de la ville de Québec en 2008. En 1995, la candidature de la ville de Québec pour les Jeux d'hiver de 2002 avait été rejetée par le Comité international olympique (CIO) au profit de celle de Salt Lake City, en Utah, aux Etats-Unis.
  22. Des Jeux «in English»? Pierre Jury Le Droit À Vancouver, le concept des deux langues officielles, l'anglais et le français, n'est trop souvent que cela: un concept, une idée désincarnée du quotidien, un voeu pieux que plusieurs croient avoir été imposé au reste du pays par des Québécois militants et adopté par des politiciens mal avisés. Il est bien évident qu'avec à peine 24000 francophones sur 2,1 millions d'habitants dans la région, le français passe loin derrière plusieurs autres langues comme le cantonais (125000 locuteurs), le chinois (120000), le punjabi (116000) et plusieurs autres. Mais en devenant ville olympique, Vancouver doit réconcilier sa géographie avec son pays officiellement bilingue... qui a obtenu un mandat d'une Comité international olympique, bilingue lui aussi. Cette tâche est difficile, a évalué Graham Fraser, le commissaire aux langues officielles, qui témoignait mardi devant le comité parlementaire sur les langues officielles. Il a estimé la place du français comme «minimale». Les lacunes sont cruciales au plan de «la traduction, de l'affichage, des services d'interprétation simultanée et de la télédiffusion». De façon plus importante, le commissaire a rappelé que le bilinguisme n'était pas qu'un «symbole». «C'est un service à la population. Il y aura des francophones unilingues qui seront là pour encourager leurs enfants dans les stades.» Le Canada est leur pays aussi, et ils se sentiront comme des citoyens de seconde zone. Air connu pour les Franco-Ontariens et tous ceux qui vivent en situation minoritaire, mais il n'empêche que ce n'est pas normal. C'est pourquoi Graham Fraser a livré ce rappel important, moins d'un an avant Jeux olympiques. Il est encore temps de sauver les meubles. Encore là, il est frustrant de parler de sauver les meubles dans un pays officiellement bilingue depuis 1867, et de façon encore plus affirmée depuis la promulgation de la Loi sur les langues officielles, en 1969. Comme l'a rappelé un militant franco-ontarien récemment, la lutte pour le respect du français restera avec nous encore longtemps. De la même manière que les femmes luttent encore pour leur égalité. Bref, les francophones ne sont pas les seuls minoritaires à se battre pour leurs droits. Le message du commissaire Fraser sera entendu haut et fort, faut-il espérer. Mais il ne doit pas être le seul à réclamer un traitement équitable pour le français. D'autres individus ou organisations ont des attentes face au Comité organisateur des Jeux de Vancouver (COVAN). Dans le lot, il y a au premier chef le Comité olympique canadien et son nouveau président, Marcel Aubut, premier francophone à ce poste. Sans le ministère du Patrimoine canadien et sa division Sport Canada, la Fédération des communautés francophones et acadienne, la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique, les télédiffuseurs de langue française TQS et RDS, le gouvernement du Québec,etc. Le COVAN réalise, un peu tardivement cependant, l'ampleur de la tâche et vient de créer un comité conseil sur les langues officielles où siège entre autres l'ex-premier ministre de la France, Jean-Pierre Raffarin. Ce comité tiendra sa première réunion demain. Cela n'évitera pas des accrocs. Il y en aura. D'abord parce que l'on part de loin, parce que la démographie joue contre la réalité francophone et des raisons historiques: le Comité olympique canadien, par exemple, travaille fort pour éviter de trébucher mais la culture interne reprend le dessus à un moment ou un autre. Ça fait un petit scandale dans les médias de langue française, puis la vie poursuit son cours... dans la langue de Shakespeare. M.Aubut pourra y voir. Des sources rapportent que dans ses plus hautes sphères, le COVAN est ouvert à ses responsabilités dans le domaine des langues officielles. Ça se complique lorsque le message filtre au sein des dizaines de comités, divisions et équipes sur le plancher qui sont peuplés d'anglophones, démographie oblige. À 295 jours de la cérémonie d'ouverture, le message sera-t-il compris par tous?
  23. Bonjour à tous, je me permets de mettre quelque photos de Sydney ou j'ai habité l'année passée pendant 4mois. Bondi Beach Jardin Botanique City Pendant une manifestation contre l'église de Scientologie Tour d'habitation Stade Olympique
  24. Fièvre olympique à la Bourse Publié le 07 mars 2009 à 11h45 | Mis à jour le 07 mars 2009 à 11h58 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Dans un an, le monde entier aura les yeux tournés vers Vancouver, qui accueillera les Jeux olympiques d'hiver. La communauté financière, elle, est déjà en mode olympique. En décembre dernier, le Dow Jones a mis à jour son indice boursier olympique en prévision des Jeux de Vancouver. Créé en décembre 2006 en prévision des Jeux de Pékin, l'indice boursier olympique Dow Jones est le véhicule d'investissement fait sur mesure pour ceux qui veulent bénéficier de la manne olympique. Il regroupe les sociétés inscrites en Bourse associées à l'organisation des Jeux. «Notre raisonnement, c'est que les entreprises qui ont des liens avec les Jeux olympiques tendent à faire de meilleures affaires durant leur cycle olympique, dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Les profits de ces entreprises ont tendance à être plus élevés. Leur rendement boursier aussi.» L'indice est composé essentiellement de trois sortes de titres?: les multinationales qui commanditent le mouvement olympique d'année en année (ex?: Coca-Cola, McDonald's, VISA, Samsung), les commanditaires canadiens des Jeux de Vancouver (ex?: RONA, la Banque Royale, GM, Bombardier, le Canadien Pacifique) et les fournisseurs officiels de Vancouver 2010 (ex?: 3 M, George Weston, Saputo, TransCanada Corp). L'indice regroupe actuellement 32 titres provenant de sept pays. Pays hôte des Jeux de 2010, le Canada compte le plus de titres au sein de l'indice (15), devant les États-Unis (12), le Japon (2), la Corée du Sud (1), la Suisse (1), la France (1) et le Royaume-Uni (1). Chaque titre ne peut toutefois constituer plus de 10% de la valeur de l'indice. C'est ainsi que les grandes sociétés américaines Coca-Cola et McDonald's, qui occupent les deux premiers rangs de l'indice, voient leur participation maximisée à 10%. «C'est notamment pour augmenter le rendement de l'indice, dit John Prestbo. L'impact des Jeux olympiques sur l'ensemble de leurs activités est moins important en raison de leur statut de multinationale. Les entreprises de construction canadiennes, par exemple, seront davantage touchées par les Jeux de Vancouver qu'une entreprise comme McDonald's.» Rendement supérieur à la moyenne Depuis sa création en décembre 2006, l'indice olympique Dow Jones a perdu 30% de sa valeur. Malgré tout, il a battu presque tous les indices de référence nord-américains et mondiaux. Durant la même période, l'indice américain S?&?P 500 a perdu 53?%, la Bourse de Toronto 41?% et l'indice mondial Morgan Stanley 53%. Seul l'indice de la Bourse de Shanghai a fait mieux que l'indice olympique Dow Jones, perdant 17% de sa valeur depuis décembre 2006. «L'indice olympique n'est pas immunisé contre les tendances générales du marché, dit John Prestbo. Quand ça va mal en Bourse, le facteur olympique n'est pas nécessairement une protection (contre des pertes).» Les investisseurs qui ont misé sur l'indice olympique Dow Jones à un an des Jeux de Pékin ont toutefois gagné leur pari. Entre août 2007 et août 2008, l'indice olympique a gagné 5,4% alors que la Bourse de Shanghai encaissait des pertes de 38?%. Retirer ses billets à la veille des Jeux permet-il de maximiser son investissement dans l'indice olympique?? Après une seule olympiade, il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives, mais l'inventeur de l'indice est optimiste. «Comme l'indice a obtenu d'excellents résultats avant les Jeux, c'est toutefois une hypothèse valide», dit John Prestbo. Points d'interrogation Même si l'indice olympique Dow Jones a battu la plupart des indices de référence, l'analyste boursier Jean-René Ouellet met les investisseurs en garde contre certaines de ses particularités. «La dynamique de l'indice olympique Dow Jones est intéressante, mais l'indice est très mal diversifié», dit l'analyste du groupe conseil en portefeuilles de Valeurs mobilières Desjardins. Jean-René Ouellet s'inquiète de la surpondération de l'indice olympique Dow Jones dans plusieurs secteurs, notamment la consommation discrétionnaire (21% contre 5% au TSX et 8% au S?&?P 500), la consommation durable (19% contre 4% au TSX et 14% au S?&?P 500) et le secteur industriel (23% contre 6% au TSX et 10?% au S?&?P 500). L'indice olympique ne contient aussi aucun titre dans le secteur de la santé et des télécommunications. «?En temps de récession, les gens réduisent considérablement leur consommation discrétionnaire, un secteur où l'indice olympique est très surpondéré, dit-il. Les gens changent leur comportement durant une récession. Ils ne commenceront pas à rénover leur maison parce que Rona remet des médailles olympiques.?» L'analyste boursier note aussi quelques titres en difficulté au sein de l'indice olympique?: GM, Samsung, CanWest Global Communications et Teck Cominco, pour ne nommer que ceux-là. Bref, s'il trouve l'exercice olympique de Dow Jones intéressant, Jean-René Ouellet demeure sceptique. «Intuitivement, ça semble bon, mais il y a quelques points d'interrogation quand on gratte un peu, dit-il. Et il ne faut pas oublier que créer des indices, c'est une industrie pour Dow Jones.» Le créateur de l'indice olympique Dow Jones, John Prestbo, incite aussi à la prudence les investisseurs canadiens atteints de fièvre olympique. Aussi amusant soit-il, son indice n'a pas été conçu afin d'y faire fructifier tout son portefeuille boursier. «Ça demeure un véhicule d'investissement secondaire, dit-il. C'est une bonne façon d'avoir un peu plaisir en investissant tout en bénéficiant d'un phénomène économique réel, dit-il. On peut investir dans l'indice olympique pour essayer de majorer ses rendements, mais on ne doit pas y investir tout son argent.» * * * Pas disponible au Canada Les Canadiens s'apprêtent à accueillir les prochains Jeux olympiques, mais l'indice olympique Dow Jones n'est pas disponible au pays, faute d'intérêt de la part des institutions financières. Pour l'instant, l'indice olympique n'est offert que dans certaines institutions financières de Londres, la ville hôtesse des Jeux d'été en 2012. «Nous discutons actuellement avec des institutions financières canadiennes pour rendre l'indice olympique disponible au Canada», dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Le Mouvement Desjardins, qui ne connaissait pas l'existence de l'indice olympique Dow Jones avant le coup de fil de La Presse Affaires, n'a pas l'intention de l'offrir à ses clients d'ici le début des Jeux olympiques de Vancouver le 12 février 2010. «Ce n'est pas sur notre radar», dit le porte-parole André Chapleau. Même son de cloche du côté de la Banque Royale, pourtant commanditaire de Vancouver 2010. «Ça ne fait pas partie de nos projets en 2009», précise le porte-parole Raymond Chouinard. John Prestbo suggère tout de même aux investisseurs canadiens de jeter un coup d'oeil à son indice olympique. «L'indice donne une idée des entreprises qui pourraient mieux faire cette année en raison des Jeux olympiques de Vancouver en 2010, dit-il. Les investisseurs peuvent sélectionner quelques titres sans nécessairement acheter l'indice au complet, ce qui est impossible de toute façon à l'heure actuelle au Canada.»
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