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  1. Industrie québécoise de l'aluminium Une stratégie à revoir? Mise à jour le mercredi 30 juillet 2008, 14 h 12 . L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi Marc-Urbain Proulx estime que le temps est venu pour le Québec de redéfinir un nouveau rapport de force avec les grandes alumineries. Dans son texte publié dans le journal Le Devoir l'universitaire avance que le contexte mondial permettrait au Québec d'obtenir une meilleure part des retombées du développement de cette industrie. Le professeur de l'UQAC souligne que les alumineries bénéficient d'avantages énergétiques importants au Québec. Il rappelle que Rio Tinto Alcan détient les droits de production hydroélectrique pour ses usines et que la valeur de cet avantage augmente à mesure que le coût de l'énergie monte en flèche en raison de la flambée des prix du baril de pétrole. Le gouvernement a donc les moyens, juge Marc-Urbain Proulx, de demander à détenir une partie de la propriété des usines. Il signale qu'en Chine et en Russie, l'État est propriétaire des installations. C'est le cas aussi, note-t-il, dans les Émirats arables qui possèdent 100 % des installations de Dubaï et sont propriétaires de 50 % et même de 75 % d'autres unités. « Partout actuellement où Rio Tinto négocie, où Alcan négocie ou d'autres compagnies comme Norsk Hydro, les États cherchent à prendre des parts et réussissent à en prendre souvent à plus de 50 % - L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx » Outre la disponibilité de l'énergie, les infrastructures de transport, la qualité de la main-d'oeuvre et la stabilité politique sont aussi des éléments qui jouent en faveur de la consolidation de cette industrie au Québec, selon le spécialiste. Il est d'autant plus important que Québec reconsidère sa stratégie, croit le professeur, que les retombées de l'industrie de l'aluminium ne sont plus ce qu'elles étaient. Les emplois sont moins nombreux en raison des avancées technologiques et les profits comme les postes de haut niveau sont désormais concentrés dans de grandes capitales comme Londres, Moscou, Sydney ou New York. L'universitaire estime que le Québec pourrait accueillir quatre ou cinq nouvelles alumineries d'ici 2025. Marc-Urbain Proulx croit que ces nouvelles unités produiront environ 2 millions de tonnes supplémentaires d'aluminium, ce qui permettrait au Québec de se maintenir à 8 % de la production mondiale. En croissance, la consommation mondiale d'aluminium devrait atteindre 70 millions de tonnes en 2025, soit deux fois plus qu'en 2005.
  2. Le professeur d'économie de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx, estime que le contexte mondial permettrait au Québec de renégocier de nouvelles ententes avec les alumineries. Pour en lire plus...
  3. Le producteur de piles à combustible a fait part de son intention de se concentrer sur ses partenariats plutôt que sur de nouvelles acquisitions. Pour en lire plus...
  4. À l'instar d'autres banques canadiennes, la Laurentienne se conforme aux règles qui entrent en vigueur le 15 octobre. Pour en lire plus...
  5. Ottawa annoncerait dans les prochains jours ce qu'il entend faire des milliards de dollars empochés dans la vente de nouvelles fréquences réservées à la téléphonie sans fil. Pour en lire plus...
  6. Le groupe américain de refinancement hypothécaire dit avoir assez de liquidités pour tenir jusqu'en 2010, mais il serait en position d'émettre de nouvelles actions. Pour en lire plus...
  7. La Commission a ajouté trois nouvelles accusations contre Intel, et averti que l'entreprise devait changer ses pratiques sous peine de se voir infliger une amende salée. Pour en lire plus...
  8. Les bonnes nouvelles en provenance des États-Unis et le maintien de prix plus modérés du pétrole mettaient en joie la Bourse de Londres jeudi matin. Pour en lire plus...
  9. La banque a indiqué que la période d'amortissement maximale de ses prêts hypothécaires était dorénavant de 35 ans. Pour en lire plus...
  10. De nouvelles discussions entre la direction de Quebecor et les représentants des 252 travailleurs en lock-out ont tourné court. Les deux parties s'accusent mutuellement. Pour en lire plus...
  11. La Bourse de New York a terminé en forte baisse jeudi, plombée par une pluie de mauvaises nouvelles: le Dow Jones a perdu 3,01%, et le Nasdaq 3,33%. Pour en lire plus...
  12. Une société médiatiquement distincte Le lundi 23 juin 2008 Violaine Ballivy La Presse La personne qui a fait le plus parler d'elle depuis le mois de janvier était il y a quelques mois encore complètement inconnue du grand public. Les Québécois ont eu droit à deux fois plus de nouvelles sur l'ex-amie de coeur de l'ancien ministre conservateur Maxime Bernier, Julie Couillard, que sur tout autre sujet d'actualité internationale. La personne qui a fait le plus parler d'elle depuis le mois de janvier était il y a quelques mois encore complètement inconnue du grand public. Les Québécois ont eu droit à deux fois plus de nouvelles sur l'ex-amie de coeur de l'ancien ministre conservateur Maxime Bernier, Julie Couillard, que sur tout autre sujet d'actualité internationale. Beaucoup, beaucoup, beaucoup de hockey, de détails sur l'affaire Julie Couillard et de bulletins météo. Et très peu de nouvelles internationales. Les Québécois vivent dans une société... médiatiquement distincte. Au cours des six derniers mois, révèle une enquête menée par la firme Influence communication, les Québécois n'en ont eu que pour la rondelle et le bâton. Six des 10 nouvelles qui ont le plus retenu l'attention des médias l'avaient pour sujet. Du coup, le quart de toutes les nouvelles diffusées à la radio, à la télévision et dans les quotidiens relevaient du domaine des sports. L'entraîneur du Canadien, Guy Carbonneau, a même réussi à se glisser au sixième rang des personnalités les plus médiatisées - devant le premier ministre du Canada, Stephen Harper (9e) et Céline Dion (10e)! Et ce, même si son équipe n'a pas remporté la fameuse Coupe Stanley et qu'elle a été exclue des séries éliminatoires en deuxième ronde. En fait, depuis le 1er janvier, le sport, les faits divers, les arts et spectacles, Dame Nature et une certaine Julie Couillard ont accaparé la moitié de toutes les nouvelles diffusées au Québec. Une situation exceptionnelle. «C'est énorme, si on compare à ce qui se fait ailleurs dans le monde, où ces thèmes retiennent presque deux fois moins l'attention (30% contre 47%, sans compter l'affaire Bernier-Couillard, peu médiatisée hors du Canada)», dit Jean-François Dumas, président d'Influence communication. Le Québec est très centré sur lui-même, observe M. Dumas, qui a aussi étudié la situation médiatique d'une centaine de pays. «Nous ne vivons pas dans un village global mais dans un village local. Nous sommes la région du monde qui traite le moins d'actualité internationale. Le Canada anglais en parle de trois à quatre fois plus que nous.» Julie éclipse Céline et Stephen Paradoxalement, la personne qui a fait le plus parler d'elle depuis le mois de janvier était il y a quelques mois encore complètement inconnue du grand public. Les Québécois ont eu droit à deux fois plus de nouvelles sur l'ex-amie de coeur de l'ancien ministre conservateur Maxime Bernier, Julie Couillard, que sur tout autre sujet d'actualité internationale. En fait, en plus des guerres, des conflits et autres drames qui agitent chaque jour le reste du globe, Julie Couillard a fait couler plus d'encre que les questions de santé ou d'environnement, ou que toutes les nouvelles en provenance du Canada anglais réunies. Elle a éclipsé les premiers ministres Jean Charest et Stephen Harper, et même la célébrissime Céline Dion. Fait rare, les chefs des premiers partis de l'opposition à Ottawa et à Québec, Mario Dumont et Gilles Duceppe, semblent connaître un passage à vide dans l'espace médiatique. Ils ne font pas partie des 10 personnalités les plus citées. Barack Obama reçoit même plus d'attention que le chef du Bloc québécois. Autre constat: la page semble bel et bien tournée en ce qui a trait aux accommodements raisonnables. La publication du rapport Bouchard-Taylor a suscité beaucoup moins d'intérêt que les événements qui ont mené au début des travaux de la commission. Tout comme la plupart des questions d'ordre social - les aînés, les Autochtones, la pauvreté, l'éducation, etc. - qui accaparent moins d'une nouvelle sur 15. http://www.cyberpresse.ca/article/20080623/CPACTUALITES/806230607/6488/CPACTUALITES
  13. La station 940 AM sabre dans l'information 6 juin 2008 - 13h57 LaPresseAffaires.com La station de radio anglophone de Montréal 940 AM se restructure et va changer sa vocation. Lors d'une rencontre avec les employés, vendredi, la direction de la station a annoncé qu'elle fermait sa salle de nouvelles. Du même coup, ce sont une vingtaine d’employés qui perdent leur emploi. C’est ce que LaPresseAffaires.com a appris d'une source fiable. Ce changement sera effectif vendredi de la semaine prochaine. Selon nos informations, le 940 AM deviendra une station musicale avec des bulletins de nouvelles et de circulation. La nouvelle a ébranlé les employés de la station. La décision viendrait de la direction de Corus qui est propriétaire du 940 AM. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080606/LAINFORMER/80606157/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  14. Le CRTC demande aux futurs acquéreurs de TQS de présenter un plan incluant des nouvelles régionales. Pour en lire plus...
  15. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes entame des consultations sur le renouvellement de la licence de la chaîne privée, qui compte se départir de ses salles de nouvelles d'ici l'automne prochain. Pour en lire plus...
  16. Exposition des Finissants de la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal regroupant Architecture, Architecture de paysage, Design industriel, Design d’intérieur et Urbanisme. L’exposition aura lieu les 2 et 3 mai prochains de 12h00 à 19h00. Vernissage le 1er mai à 18h00 au Pavillon de la Faculté de l’aménagement (2940, chemin de la Côte-Sainte-Catherine). Je vous invite à aller faire un tour, et peut-être prendre quelque photos de maquettes et rendus pour de nouvelles discussions.
  17. La Presse Le lundi 12 novembre 2007 Bonne nouvelle pour les amateurs de lecture: 30 millions de dollars seront investis en trois ans dans les bibliothèques municipales de Montréal. La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec fourniront chacun la moitié de cette somme, à laquelle s'ajouteront 7,5 millions venant des arrondissements. Le plan: enrichir les collections, embaucher du personnel, rénover les bibliothèques et en construire cinq nouvelles. «Ces investissements mettent fin à une triste réalité», a déclaré hier le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui était accompagné de la ministre de la Culture, Christine St-Pierre. Le réseau des bibliothèques municipales de Montréal accuse en effet un retard sur la moyenne des grandes villes canadiennes, selon le Diagnostic des bibliothèques municipales publié en 2005 (voir tableau). Montréal compte deux fois moins de bibliothécaires par habitant que Toronto et dépense 25% de moins. Après avoir constaté ces lacunes, la Ville avait établi un plan de redressement de 125 millions en 10 ans pour rejoindre la moyenne canadienne. La nouvelle enveloppe permettra donc d'entamer la première phase de ce programme. «Dans 10 ans, il y aura 16 bibliothèques de plus dans l'île de Montréal et 1,5 million de nouveaux documents», a annoncé Gérald Tremblay. Si les sommes sont récurrentes, bien sûr. La ville compte actuellement 44 bibliothèques et 3,2 millions de livres Compétence d'arrondissement Le maire n'était pas en mesure hier de dire comment les sommes seront réparties et surtout où les nouvelles bibliothèques seront construites. «On est en train de faire la planification, a répondu M. Tremblay. Aujourd'hui, on a l'annonce de la vision.» Deux nouveaux bâtiments seront érigés dès l'an prochain. Or, certains arrondissements de la ville sont moins choyés que d'autres sur le plan des ressources humaines et de la superficie de leurs bibliothèques. Selon le Diagnostic des bibliothèques municipales, Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce et Rosemont-La Petite Patrie sont loin derrière les bibliothèques de l'ouest de l'île. De plus, la gestion des bibliothèques relève des arrondissements depuis cinq ans, ce qui a parfois causé problème. Le conseil d'arrondissement d'Hochelaga-Maisonneuve a décidé en 2005 de supprimer deux postes de bibliothécaires... mais la pression des citoyens a fait reculer le conseil. Devrait-on s'inquiéter de la gestion des nouveaux fonds? Pas du tout, a répondu Louise Guillemette-Labory, directrice associée des bibliothèques de Montréal. «On doit rendre un rapport financier chaque année au gouvernement du Québec. Et la qualité des bibliothèques est devenue un enjeu très important pour tous les arrondissements.»
  18. Le mardi 23 octobre 2007 Plateau-Mont-Royal: pas de taxe et plus de poubelles Éric Clément La Presse Le Plateau-Mont-Royal adoptera ce soir un budget 2008 équilibré sans taxe avec plus d'argent investi dans la propreté, notamment l'achat de poubelles quatre saisons. Taille du texte Taille du texte Imprimer Imprimer Envoyer Envoyer À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Macro-économie (100%) Budget (98%) Helen Fotopulos (75%) Autres nouvelles À consulter aussi Malgré l'exigence de la ville-centre de réduire les dépenses, la mairesse Helen Fotopulos se réjouit de n'avoir pas pigé dans les réserves de l'arrondissement pour fournir la même qualité de services à ses 100 000 citoyens avec un budget de 54,6 millions au lieu de 53,3 millions pour 2007 (dont 1,8 million provenait des réserves). «On a coupé 1,7 million par attrition et en regroupant des services.» L'arrondissement a défini plusieurs priorités. D'abord, rendre la vie plus agréable en réduisant la vitesse des automobiles. Le Plan de déplacement urbain sera «la priorité des priorités». Dans le programme triennal d'immobilisation, 221 000$ y seront consacrés. Il y aura aussi plus de stationnements pour vélos, notamment près des écoles, garderies et bâtiments municipaux. La propreté sera une préoccupation constante: 190 000$ seront investis dans du mobilier urbain, bancs, bacs à fleurs et poubelles. De nouvelles poubelles quatre saisons seront installées sur les poteaux électriques pour ne pas nuire au déneigement. «Il existe actuellement quelques poubelles quatre saisons mais nous allons en installer partout, dit Mme Fotopulos. Les premières le seront sur l'avenue du Parc, au nord de l'avenue du Mont-Royal Ouest.» Par ailleurs, la démarche de budget participatif sera intégrée au budget de fonctionnement au lieu de puiser dans les surplus libres pour l'organiser. Et l'arrondissement va continuer à verdir ses rues en plantant 300 arbres par année.
  19. 07/07/2007 Trois monuments d'Amérique du Sud font partie des sept nouvelles merveilles du monde dont l'identité à été dévoilée aujourd'hui. Il s'agit du Christ du Corcovado au Brésil, du site du Machu Picchu au Pérou et de la pyramide de Chichen Itza au Mexique. Quatre autres monuments figurent au sein de ce glorieux palmarès, soit la Grande Muraille de Chine, le Colisée de Rome, le Taj Mahal en Inde et le site de Pétra en Jordanie. Ces nouvelles merveilles du monde ont été dévoilées à Lisbonne, au Portugal. Elles ont été choisies par près de 100 millions d'internautes dans le cadre d'un concours. Les sept merveilles du monde antique étaient toutes situées au Moyen-Orient et dans le bassin méditerranéen; elles ont toutes disparu, sauf les pyramides de Gizeh. Les six autres merveilles du monde antique étaient le temple d'Artémis à Ephèse, les jardins suspendus de Babylone, le tombeau du roi Mausole à Halicarnasse, le phare d'Alexandrie, le colosse de Rhodes et la statue de Zeus à Olympie.
  20. Eidos et Ubisof ont annoncé l'hiver dernier la création de quelques 1 500 emplois, Est-ce qu'on sait où seront loger tous ces nouveaux employés? Est-ce de bonnes nouvelles pour la réalisation de nouvelles constructions? Merci!
  21. Une découverte qui vaut de l'or Plus d'info Nouvelles Osisko roule sur l'or Nouvelle du 5 juillet 2007 Audio et Vidéo Les explications de Francis Labbé Dernières nouvelles [ Politique ] – Parti conservateur du CanadaUn diplomate dans Outremont [ Science et santé ] – VIH/sidaUne nouvelle voie de recherche s'ouvre [ International ] – Inondations au Royaume-UniVaste opération d'urgence (archives) La petite ville de Malartic en Abitibi-Témiscamingue est assise sur un véritable gisement d'or. Une découverte tellement importante que la compagnie minière Osisko souhaite y exploiter la plus importante mine à ciel ouvert au Canada. Pour réaliser cet ambitieux projet, il faudra toutefois déménager tout un quartier, soit près de 180 maisons et cinq institutions. Même si le projet n'est pas officiel, plus de 40 millions de dollars ont déjà été investis par Osisko. La compagnie minière a dernièrement annoncé que les réserves d'or estimées sont plus importantes que prévu. Plusieurs étapes restent toutefois à franchir, dont la réalisation d'une étude de faisabilité, d'une étude des impacts d'environnementaux et un échantillonnage intensif. D'ici le début de l'exploitation, les citoyens touchés par le projet auront le choix de déménager leur résidence dans un tout nouveau quartier situé plus au nord ou encore d'accepter un dédommagement financier pour la destruction de leur propriété. Certains résidents de l'endroit croient cependant que le projet se fait au détriment des citoyens. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, se réjouit de cette importante découverte. « Ça va être le plus gros payeur de taxes de la municipalité. Ça pourrait jouer entre 250 000 $ et 400 0000 $ par année », affirme-t-il. Cette mine, qui serait un projet d'envergure mondiale aux dires d'Osisko, pourrait être exploitée durant 13 années. Si les procédures en vue de l'exploitation avancent comme prévu, la production débuterait en 2010.
  22. 18 juin 2007 Les super poubelles, ce n'est pas le nom d'une nouvelle bande de super héros, mais bien celui de cinq nouvelles poubelles à grande capacité qui ont été installées au cours de la semaine dernière à divers endroits de Saint-Léonard. Robert L. Zambito, conseiller d'arrondissement, et Marcel Tremblay, membre du comité exécutif responsable de la propreté, ont d'ailleurs procédé au dévoilement de ces nouvelles installations le 14 juin dernier. Elles ont huit pieds de profondeur, elles sont robustes, faites à 50 % de matières recyclées et sont également protégées contre la rouille et à l'épreuve du feu. Achetées au coût de 1272 $ l'unité, ces poubelles ont été acquises grâce aux fonds supplémentaires d'Opération Montréal.Net. Selon Robert L. Zambito, elles permettront à l'arrondissement de réaliser des économies en temps et en argent, puisqu'elles seront vidées beaucoup moins souvent. « Elles sont tellement profondes qu'on ne devrait pas avoir à les vider plus d'une fois tous les deux ou trois mois. Elles sont ancrées à cinq pieds dans le sol et les déchets s'y entassent facilement et sans débordement. En plus, aucune odeur ne s'en échappe grâce à un couvercle muni d'une petite ouverture », mentionne-t-il. Une première L'installation de super poubelles dans Saint-Léonard est le premier projet de ce genre sur l'île de Montréal et Marcel Tremblay espère qu'il fera des petits dans les arrondissements voisins, voire même sur toute « notre grande île »! « J'espère que ce sera un argument de poids afin de convaincre les autres d'en installer aussi sur leur territoire », souligne-t-il. Pour le moment, tous les Léonardois sont invités à utiliser les nouvelles poubelles dont deux se trouvent près du centre Leonardo da Vinci, une près de l'école Laurier-Macdonald, une dans le parc Grandbois et la dernière, près de l'aréna Martin Brodeur.Les cinqs poubelles à grande capacité, installées au cours de la semaine dernière, sont une première sur l'île de Montréal.
  23. Gérald Tremblay prédit le déclin de Montréal Presse Canadienne Montréal Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, demande à Québec d'ouvrir de nouvelles sources de financement pour la ville, sans quoi celle-ci se dirige droit vers le déclin. M. Tremblay a présenté mercredi des projections budgétaires sombres pour les six prochaines années, qui font état de déficits passant progressivement de 137 millions $ en 2008 à 311 millions $ en 2013, si le statu quo est maintenu du côté des revenus. Le maire Tremblay réclame donc à Québec un partage des retombées fiscales provenant des investissements réalisés par la ville et un pouvoir fiscal lui permettant de taxer les utilisateurs de la ville. M. Tremblay s'est défendu d'avoir l'intention d'imposer un péage aux automobilistes qui viennent de l'extérieur, indiquant qu'il n'en était pas là, mais il a admis que cette hypothèse faisait partie de l'analyse. Il a répété à plusieurs reprises qu'il n'était pas normal que les Montréalais assument seuls les coûts de la métropole alors que des centaines de milliers d'usagers de la périphérie bénéficient de ses services à tous les jours. Sans de nouvelles sources de revenus, M. Tremblay affirme que Montréal sera condamnée à la stagnation et, éventuellement, au déclin. L'hypothèse d'une augmentation de l'impôt foncier correspondante à un taux d'inflation de 2 pour cent permettrait éventuellement à la ville de ne plus faire de déficit, mais ne laisserait plus de marge de manoeuvre pour la mise à niveau des infrastructures, les investissements dans le transport en commun ou le développement de la ville. Pour réaliser ces investissements, le maire Tremblay affirme qu'à défaut de nouvelles sources de revenus, il lui faudra soit quémander l'argent à Québec à chaque année, soit alourdir de 5, 10 ou même 15 pour cent l'impôt foncier, ce qui chasserait les citoyens et entreprises.
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