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  1. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  2. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  3. Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour demander, mais y a-t-il un moyen pour ne pas voir les posts que font un certain membre du forum? Merci.
  4. Un excellent article du Devoir paru la semaine dernière et que je voulais publier ici dans la section Économie pour plus de pertinence, mais cette section n'existe pas. Du moins pas encore. On a plutôt tendance à tout mettre dans la section politique et ainsi on en limite involontairement l'accès et les interventions. J'ai donc décidé tout de même de le mettre ici, en espérant qu'il ne se perdra pas dans les centaines de fils qui encombrent déjà cette section. Pour ceux qui souhaitent sauter tout de suite aux conclusions, allez à la fin dans la partie Déséquilibres grandissants , du matériel qui nous porte à réfléchir et se poser de sérieuses questions. Comme on peut le constater, ce n'est pas le système qui ne marche pas, mais le mauvais usage qu'on en fait. Le capitalisme quand on l'utilise correctement et avec discipline, est un excellent moyen pour créer de la richesse et la distribuer. Mais quand un groupe s'en empare et fausse les règles à son seul profit, rien ne va plus et on est condamné à aller de crise en crises. Il faut que ça change... parce qu'il est de plus en plus difficile, complexe et couteux d'intervenir, et la bête en grossissant, risque un jour de dévorer ses maîtres. ____________________ Vos finances - Humeur maussade et déprime du CPG 21 décembre 2013 | Gérard Bérubé | Finances personnelles Entre cynisme politique et résignation financière, les Québécois en particulier, les Canadiens en général affichent une humeur plutôt maussade en cette fin de 2013. Plus endettés, ils se disent également en moins bonne situation financière qu’il y a un an et ils craignent une nouvelle correction boursière. Vivement 2014 ! Cette longue stagnation économique joue sur le moral et l’année 2013 marque un pas tournant dans la résignation des Canadiens concernant leur situation financière. Selon les résultats d’un sondage Financière Sun Life/Ipsos Reid publiés lundi, 57 % des Canadiens disent ne pas être en meilleure situation financière qu’il y a un an. Ce sentiment d’appauvrissement se vérifie davantage chez les femmes et les personnes de 55 ans ou plus, où la proportion de répondants se disant en moins bonne santé financière atteint 61 %. Et c’est pire encore chez les Québécois, 63 % ne pouvant indiquer qu’ils sont en meilleure situation financière qu’il y a un an. On connaît déjà la situation de l’endettement des Canadiens, qui évolue de record en record année après année. Il faut aussi rappeler qu’à ce portrait présenté par la Financière Sun Life, les dettes ont continué de s’accumuler plus rapidement dans le segment des 65 ans et plus. Depuis la crise de 2008, l’endettement dans ce groupe d’âge augmente au rythme annuel moyen frôlant les 9 %. C’est dans ce segment que la dette moyenne affiche la plus forte croissance, et ce, année après année, selon les statistiques de l’agence Equifax. Avec des revenus réduits, souvent associés à des dépenses accrues, ces personnes accumulent plus de dettes pour hausser leurs revenus par le truchement du crédit afin de pouvoir continuer de jouir du style de vie préretraite qu’elles ne pourront peut-être plus se permettre. S’ajoute, parfois, la nécessité de venir en aide à leurs propres enfants adultes ou leurs propres parents qui ont des problèmes financiers. Question d’alourdir encore le paysage financier des Canadiens, seulement 36 % des répondants au sondage disent cotiser à leur REER. Mais à l’inverse, chez les 38 % de répondants déclarant être en meilleure situation financière que l’an dernier, 65 % ont souligné qu’ils ont remboursé les dettes de leur ménage cette année et 50 % versent des cotisations occasionnelles ou périodiques à leur REER. Quant aux perspectives d’avenir, elles ne sont guère reluisantes dans la tête des épargnants canadiens. Selon les résultats d’un autre sondage, publiés également lundi par BMO Banque de Montréal, 63 % des répondants s’attendent à ce que les marchés boursiers subissent une correction au cours de la prochaine décennie. Et 51 % prévoient rechercher des options de placement plus sûres en 2014. CPG: rendement chétif Évidemment, l’institution profite de cet engouement accru pour la protection du capital pour promouvoir son certificat de placement garanti. Dans ce sondage, 27 % des répondants déclarent détenir un CPG, alors que 32 % prévoient en acheter un au cours de la prochaine année, et que 44 % envisagent d’acheter des CPG supplémentaires dans les cinq prochaines années. Plus précisément, il appert qu’à un rendement de 2 % par année, 14 % des Canadiens souhaitent acheter un CPG. Si le taux de rendement montait à 4 %, 57 % jetteraient leur dévolu sur ce véhicule de placement. Il faut cependant retenir que selon le type de CPG, le montant investi et l’échéance, le taux annuel offert est plutôt chétif. Il peut varier entre 0,25 % et 1,35 %. Il peut dépasser les 2 % par année sur une échéance de dix ans. Une fois l’inflation prise en compte… Surtout que, pour reprendre les projections de BMO, « nous estimons que la Réserve fédérale américaine commencera à hausser ses taux au premier trimestre de 2016 et que la Banque du Canada se montre plus conciliatrice; nous prévoyons que celle-ci commencera à augmenter ses propres taux à partir du troisième trimestre de 2015. Nous croyons que la Banque avancera avec prudence, afin d’éviter une trop forte hausse du dollar canadien. Elle ne procédera probablement pas à plus d’une hausse des taux par trimestre, jusqu’à ce que la Réserve fédérale entre dans la danse ». Donc rien pour réjouir ou encourager l’épargnant ! Déséquilibres grandissants Le moral n’y est donc pas et cette longue période de stagnation économique y est pour quelque chose. D’ailleurs, l’Economic Policy Institute de Washington a présenté vendredi ses 13 graphiques les plus révélateurs de 2013. On peut y lire notamment que : L’économie américaine affichait, en novembre, un manque à gagner de quelque 8 millions d’emplois pour combler le trou creusé lors de la Grande Récession ; La faiblesse de la croissance écarte du marché du travail près de 6 millions de travailleurs potentiels ; Un des ratios baromètres de l’état de santé du marché du travail, soit le taux d’emploi des personnes âgées de 25 à 54 ans par rapport à la population, demeure aujourd’hui le même que celui ayant prévalu à la fin de la récession ; L’actuelle austérité budgétaire est la plus lourde de toutes les sorties de récession précédentes ; La part des profits des entreprises accaparée par les actionnaires plutôt que redistribuée aux employés atteignait un sommet historique à la fin du troisième trimestre ; L’écart de la rémunération du chef de la direction par rapport à l’employé moyen atteint 273 pour 1. L’écart était de 20 pour 1 en 1965, et de 100 pour 1 en 1992. Il a atteint son sommet de 383 pour 1 au plus fort de la bulle des valeurs technologiques, en 2000 ; Le déséquilibre se veut plus grand encore entre la rémunération des hauts dirigeants et celle du travailleur moyen. Ainsi, 70 % des travailleurs américains ont vu leur salaire réel stagner ou baisser depuis 2002 ; Le déséquilibre est toujours plus grand. Productivité et gains salariaux évoluaient de manière synchronisée au cours des trois décennies suivant la Deuxième Guerre mondiale. Mais depuis 1972, l’écart entre les gains de productivité et la rémunération horaire réelle n’a cessé de se creuser, pour atteindre à la fin de 2012 un décalage historique. L’indice cumulé des gains de productivité depuis 1948 atteignait 240,9 % à la fin de 2012 et celui du gain horaire réel, de 107,8 %. Le salaire réel fait, en définitive, du surplace depuis la cassure de 1972, les entreprises et les actionnaires s’appropriant l’essentiel des gains de productivité.
  5. 2013: Une bonne année pour le tourisme Les touristes ont été nombreux à déambuler dans la métropole en 2013. La preuve: le taux d'occupation dans les hôtels de Montréal ainsi que le trafic aux frontières terrestres et à l'aéroport Montréal Trudeau ont connu une hausse par rapport à 2012. La bonne performance du tourisme d'affaires avec la tenue de 17 congrès expliquerait en partie ces augmentations. Le nombre de touristes s'est établi à 8 430 000 en 2013 contre 8 320 000 en 2012. Les hôteliers ont donc eu de quoi se réjouir. Le taux d'occupation moyen a été de 67,92%, soit 2,05% de plus que l'a dernier, révèlent les données compilées par l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM). Le tarif moyen des chambres a lui aussi augmenté, passant de 137,06$ en 2012 à 141,48$ en 2013. Le nombre de voyageurs atterrissant en terre montréalaise a pour sa part connu une hausse de 1,9%. Il y a également eu plus de trafic aux frontières terrestres du Québec avec une augmentation de 1,1% de touristes internationaux. «Après une période plus difficile en 2012, nous constatons avec optimisme que le tourisme a repris de la vigueur, a souligné Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal, par voie de communiqué. La métropole se démarque dans plusieurs marchés tels le tourisme d'affaires, le tourisme culturel et la gastronomie. Les perspectives de croissance sont en hausse du côté des croisières internationales et des événements sportifs et c'est sur ces secteurs que nous miserons pour générer encore davantage d'occasions d'affaires pour Montréal.» http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201402/07/01-4736649-2013-une-bonne-annee-pour-le-tourisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  6. Un bel été pour les hôtels montréalais Publié le 19 septembre 2013 à 15h14 La saison estivale a visiblement été fructueuse pour les hôtels de la métropole. Selon l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM), ceux-ci ont enregistré un taux d'occupation de 79,3% pour les mois de juin, juillet août, un niveau comparable à celui de 2011, qui s'élevait à 79,8%. Le prix moyen des chambres a également connu une hausse, passant de 146, 77$ pour l'été 2011, à 151,05$ pour la saison estivale 2013. «Notons que la comparaison avec les données 2012 est difficile en raison du contexte particulier en lien avec la crise étudiante», peut-on lire dans le communiqué de l'AHGM publié jeudi. Rappelons que, avant le début des vacances, Tourisme Montréal avait tenu à rappeler que la bonne santé de l'industrie touristique de la métropole dépendait notamment de l'augmentation du prix moyen des chambres. «Quand on parle aux grands investisseurs hôteliers, ils nous disent que le Canada est l'endroit où leur taux de rentabilité est le plus faible», avait affirmé lors d'un point de presse, l'ancien président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe. Il estimait également que la ville avait une petite «faiblesse» du côté de l'hébergement de luxe. Seuls le Ritz et le Saint-James occupent ce créneau, affirmait-il. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201309/19/01-4691123-un-bel-ete-pour-les-hotels-montrealais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  7. Le jeudi 03 mai 2007 La Presse Jean habite près du centre-ville de Montréal. Il va travailler à vélo et fait ses courses à pied. Quant à Paul, il vit dans le nouveau quartier 10-30, à Brossard. Pour aller au boulot ou au supermarché, il prend sa voiture. Deux modes de vie distincts. Pour la première fois, une étude lie l'étalement urbain des grandes villes canadiennes au surplus de poids. «Le fait d'habiter dans une région métropolitaine très étendue a une incidence supplémentaire sur la masse corporelle», surtout chez les hommes, a-t-on appris hier. D'autres études avaient auparavant démontré que vivre à la campagne augmente le risque d'embonpoint. «La littérature indique que l'utilisation de la voiture est associée à une baisse de l'exercice physique. En banlieue, les gens ont moins à marcher par nécessité», explique Nancy Ross, qui figure parmi les auteurs de l'étude publiée récemment dans l'American Journal of Public Health. Les chercheurs ont analysé les données des 27 régions métropolitaines de recensement (RMR) les plus importantes du Canada, à partir du Recensement de 2001 et de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes. Entre 1981 et 1996, la prévalence au Canada de l'obésité et de l'embonpoint combinés est passée de 48 % à 57 % chez les hommes et de 30 % à 35 % chez les femmes. Les taux ont augmenté dans toutes les provinces. Chez les hommes, l'indice de masse corporelle (IMC) moyen est de 26,1, franchissant le niveau d'«excès de poids». Chez la femme, l'IMC moyen est de 24,7. L'IMC moyen est plus bas dans sept régions métropolitaines au pays, dont quatre au Québec : Montréal, Québec, Sherbrooke, Chicoutimi, Toronto, Vancouver et Victoria. L'étalement urbain demeure un facteur d'embonpoint parmi d'autres. Plusieurs études ont démontré que le revenu, la scolarité, le stress, les connaissances culinaires et le statut d'immigrant influencent les habitudes alimentaires. Par exemple, «les femmes à plus faible revenu ont un IMC plus important. Mais au Canada, c'est renversé chez les hommes», souligne Nancy Ross. Dans les quartiers où on trouve beaucoup d'immigrants, l'IMC est moins élevé que la moyenne. Mais il est plus élevé là où les gens sont moins scolarisés. «C'est peut-être lié à des questions de sécurité. Est-ce que les gens peuvent marcher tranquillement sur des trottoirs ? Est-ce qu'ils ont des parcs ?» Les Québécoises plus minces L'étude révèle par ailleurs que les femmes vivant dans les régions métropolitaines du Québec sont plus minces que dans les autres provinces. Une des hypothèses des chercheurs ? La prédisposition génétique des francophones. " La culture a peut-être aussi un rôle à jouer ", ajoute Nancy Ross. De plus, Montréal est la grande ville canadienne où l'indice d'étalement urbain est le plus faible. La géographe avance deux raisons : l'urbanisme de Montréal et le fait qu'elle soit bâtie dans une île. Claude Marois, de l'Université de Montréal, souligne que la croissance démographique est plus faible à Montréal. " Mais il y a quand même de l'étalement urbain. " Selon lui, ce n'est pas tant la banlieue qui influe sur le poids des gens, mais " la façon dont est aménagé l'espace ". " C'est ce qui oblige une personne à prendre sa voiture pour aller chercher un litre de lait. Dans les banlieues traditionnelles, la vie sociale est basée sur le terrain à l'arrière de la maison, avec la piscine et les jouets pour les enfants. Des rues sont aménagées sans trottoir. Les gens n'ont pas l'idée spontanée de faire une promenade. " Toutefois, la tendance s'inverse. Désireuses d'attirer les familles, les municipalités créent des espaces de convivialité, selon M. Marois.
  8. Bonjour Un rappel: à tous les membres et modérateurs, aucune discussion politique ne sera toléré dans les sections projets de ce forum. Les modérateurs n'auront pas a justifier la suppression de messages contrevenantes. N'hésitez pas a porter a l'attention des modérateurs ou moi-même tout relâchement. S'il y avait un moyen automatique de supprimer les messages, je l'aurais déjà mis en place, malheureusement un tel outil n'existe pas. Merci Malek Sent from my iPhone using Tapatalk
  9. Portrait des cinq arrondissements [comparés par Mon Toit en fin de semaine] La Presse Le 21 septembre 2009 http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/200909/21/01-903828-portrait-des-cinq-arrondissements.php 1- Rosemont- La Petite-Patrie Population 133 618 Hausse de la population de 2001 à 2006 +1,8% Ménages comptant une seule personne 47,7% des ménages Loyer brut mensuel moyen 601$ Parcs et espaces verts 55 Prix médian des copropriétés au 31 août 2009 230 000$ Copropriétés 52% des transactions Prix médian des duplex au 31 août 2009 345 000$ Sources: Statistique Canada, recensement de 2006, Chambre immobilière du Grand Montréal 2- Le Plateau-Mont-Royal Population 101 054 Baisse de la population de 2001 à 2006 -0,3% Ménages comptant une seule personne 52,3% des ménages Loyer brut mensuel moyen 709$ Parcs et espaces verts 63 Prix médian des copropriétés au 31 août 2009 260 000$ Copropriétés 78% des transactions Prix médian des duplex au 31 août 2009 395 000$ Sources: Statistique Canada, recensement de 2006, Chambre immobilière du Grand Montréal 3- Ville-Marie Population 78 876 Hausse de la population de 2001 à 2006 +5,4% Ménages comptant une seule personne 53,6% des ménages Loyer brut mensuel moyen 735$ Parcs et espaces verts 129 Prix médian des copropriétés au 31 août 2009 260 000$ Copropriétés 85% des transactions Prix médian des duplex au 31 août 2009 255 000$ Sources: Statistique Canada, recensement de 2006, Chambre immobilière du Grand Montréal 4- Le Sud-Ouest Population 69 860 Hausse de la population de 2001 à 2006 +5,1% Ménages comptant une seule personne 41,6% des ménages Loyer brut mensuel moyen 569$ Nombre de parcs 85 Prix médian des copropriétés au 31 août 2009 216 500$ Copropriétés 57% des transactions Prix médian des duplex au 31 août 2009 257 500$ Sources: Statistique Canada, recensement de 2006, Chambre immobilière du Grand Montréal 5- Mercier-Hochelaga-Maisonneuve Population 129 110 Hausse de la population de 2001 à 2006 +0,5% Ménages comptant une seule personne 42,3% des ménages Loyer brut mensuel moyen 588$ Nombre de parcs 73 Prix médian des copropriétés au 31 août 2009 182 500$ Copropriétés 47% des transactions Prix médian des duplex au 31 août 2009 300 000$ Sources: Statistique Canada, recensement de 2006, Chambre Immobilière du Grand Montréal
  10. trouvé sur Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/vivre/societe-et-sexualite/200907/15/01-884359-une-croissance-demographique-prevue-au-quebec.php Excellentes nouvelles. Maintenant que nous avons commencé à renverser la tendance, il faut continuer dans la même direction. Il faut aussi continuer avec l'immigration car c'est le seul moyen de faire "rajeunir" la poluation du Québec. Avec 28% de la population qui aura plus de 65ans, ça va nous couter cher en osti pour les soins de santé!
  11. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  12. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  13. La valeur de l’immobilier américain a enregistré un plongeon record de 19% au 1er trimestre de 2009 par rapport à la période correspondante il y a un an, selon l’indice S&P/Case Shiller U.S. National Home Price. L’indice S&P/Case Shiller publie chaque mois un indice brossant un portrait de l’immobilier dans 10 et 20 agglomérations urbaines aux États-Unis, en plus de dévoiler un indice national à la fin de chaque trimestre. C’est la pire performance de l’indice en 21 ans d’existence. À la fin du mois de mars, l’indice révèle que les prix de l’immobilier étaient revenus à leur niveau de 2002. Depuis le sommet du 2e trimestre de 2006, le prix moyen des résidences est en chute de 32,2%. Pénible mois de mars Pour le seul mois de mars, les indices des 10 et 20 villes à l’étude ont enregistré des déclins respectifs de 18,6% et de 18,7% comparativement au même mois en 2008. «Les 20 agglomérations urbaines à l’étude, incluant notamment celles de New York, Los Angeles, Chicago, Phoenix, Las Vegas et San Francisco, ont toutes vu le prix moyen des résidences baisser sur une base annuelle, alors que neuf d’entre elles ont connu des déclins record», a affirmé le président du conseil de l’indice, David Blitzer, dans un communiqué. Sur une note plus positive, c’est la 2e fois depuis octobre 2007 que le plongeon des deux indices mensuels ne fracasse pas de record. Toutefois, M. Blitzer soutient que les données de mars démontrent que les prix de l’immobilier ne montrent aucun signe de stabilisation. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-26/493911/eteacutetatsunis--les-prix-de-limmobilier-seffondrent.fr.html
  14. March 17, 2009 by Deyanira Bautista Filed under Marche Immobilier (ces chers journalistes qui mettent encore une fois le Québec dans le même panier que le reste du Canada !) Le prix de vente moyen a chuté de 9,2 % au pays en février, à 281 972 $. Ottawa — Les prix et les ventes de résidences ont continué de chuter au Canada le mois dernier, comparativement à la même période il y a un an, mais l’activité du secteur était en hausse pour la première fois depuis septembre, a rapporté hier l’Association canadienne de l’immeuble (ACI). Le prix de vente moyen a chuté de 9,2 % au pays en février, à 281 972 $, a indiqué l’ACI. Les ventes ont diminué de 31 % et atteint 25 373 unités le mois dernier, soit le recul le moins important, d’une année à l’autre, à avoir été constaté depuis octobre 2008. Les ventes désaisonnalisées ont diminué de 26,8 %. Le nombre de propriétés vendues par le biais des systèmes MLS des chambres immobilières canadiennes a par ailleurs été de 8,6 % supérieur aux niveaux de ventes désaisonnalisées en janvier, a indiqué l’association. Selon l’ACI, le prix moyen des résidences a diminué en février en grande partie à cause de la baisse des ventes observée en Colombie-Britannique, en Alberta et en Ontario, «où les résidences sont plus chères et la demande s’est affaiblie le plus». Les ventes de février ont baissé le plus en Colombie-Britannique par rapport à l’an dernier, ayant chuté de 46,5 %, à 3653 unités, devant celles enregistrées en Saskatchewan, 32,1 %, à 628 unités, et celles rapportées en Alberta, qui ont reculé de 29,8 % pour s’établir à 3231 unités. Les ventes en Ontario, province qui constitue le plus important marché immobilier au pays, ont diminué de 29,2 % en février, par rapport au même mois il y a un an, et ont atteint 9861 unités. Au Québec, le recul a été de 24,7 %, pour un total de 6042 unités. Les prix ont également chuté le plus en Colombie-Britannique, ayant atteint une moyenne de 421 023 $, en baisse de 12 %. Au Québec, les prix ont grimpé de 1,6 % en moyenne en février par rapport au même mois l’an dernier, pour atteindre 207 927 $. Source: La Presse canadienne | Édition du mardi 17 mars 2009 Courtesy of: McGill Immobilier Team http://montrealrealestateblog.com/les-prix-et-les-ventes-de-residences-continuent-de-chuter-au-pays-mais-au-quebec/
  15. Un nombre grandissant de consommateurs est d'avis que la situation économique canadienne s'améliorera à moyen terme. Pour en lire plus...
  16. J'ai une demande spéciale et je ne sais pas si quelqu'un pourra m'aider ici. Une des représentantes des ventes chez Bravo Location passe au Canal Argent demain en fin d'après midi pour environ 5 minutes. Malgré que j'aille un terminal Illico, je n'ai pas de moyen pour le capturer et de l'apporter sur mon PC. Est-ce que quelqu'un ici a les moyens de le faire ?
  17. Les Québécois s'appauvrissent de jour en jour * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 09:44 Un Québécois gagne chaque semaine 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Le Québec est la seule province canadienne où le salaire moyen a baissé entre octobre et novembre derniers. Ainsi, les salariés québécois gagnaient en moyenne 746,68 dollars par semaine en novembre, soit 1% de moins qu’en octobre. Toutes les autres provinces et territoires canadiens ont vu les salaires moyens stagner ou augmenter, à l’image de l’Alberta où la hausse a été de 1,7% d’un mois sur l’autre, selon Statistique Canada. Si l’on regarde l’évolution des salaires sur une année, le Québec, là encore, enregistre l’une des plus faibles progressions, avec un +1,4% de novembre 2007 à novembre 2008. Les plus fortes hausses concernent l’Alberta (+5,8%), les Territoires du Nord-Ouest (+5,8%), la Saskatchewan (+4,2%) et Terre-Neuve-et-Labrador (+4%). Les salaires chutent dans l’immobilier À l’échelle du Canada, les salaires ont augmenté en moyenne de 0,4% entre octobre et novembre, et de 2,7% en un an. Le salaire canadien moyen est maintenant de 804,58 dollars. Un Québécois gagne donc chaque semaine quelque 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Les secteurs économiques canadiens qui ont vu les salaires moyens le plus baisser d’un mois à l’autre sont ceux de l’immobilier (-4,7%, à 677,71 dollars), de l’hébergement et de la restauration (-3,2%, à 334,35 dollars), de la foresterie (-1,7% en un mois, à 978,31 dollars) et du commerce de gros (-1,1%, à 936,52 dollars). De moins en moins de salariés En terme de nombre de salariés, presque toutes les provinces et territoires canadiens ont enregistré des baisses entre octobre et novembre. De son côté, le Québec a enregistré une perte de 0,3% de salariés, à 3 310 400. Ceux qui s’en sortent le mieux sont les Territoires du Nord-Ouest (+4,5%) et la Saskatchewan (+0,5%). Les secteurs économiques canadiens les plus touchés par la diminution du nombre de salariés sont la foresterie (-4%), la fabrication (-1,6%) et la construction (-1,5%).
  18. Les prix des maisons ont dégringolé au Canada 26 janvier 2009 - 13h17 La Presse Canadienne La morosité économique et la perte de confiance des consommateurs ont fait dégringoler le prix des maisons au quatrième trimestre au Canada, selon les dernières statistiques de la firme Royal Lepage. Selon la firme immobilière, les ventes ont également chuté au Canada au cours du quatrième trimestre. Royal Lepage a indiqué que le prix moyen des maisons uni-familiales a chuté de 4,8 % au pays à 319 640 $. Le prix moyen d'un condominium a dévissé de 5,2 % à 233 230 $ et le prix d'un duplex de 6,3 % à 376 140 $. Certains villes, comme Regina et Saint-Jean de Terre-Neuve, ont vu le prix des maisons se majorer d'au moins 10 % mais dans les villes plus importantes comme Edmonton, Toronto, Calgary et Vancouver, les prix ont baissé. A Montréal, le prix des maisons uni-familiales a gagné 1,2 % à 261 372 $, celui des duplex a baissé de 2,2 % à 334 850 $ et celui des condos a cédé 1,3 % à 200 284 $. A Ottawa, la tendance est à la hausse pour toutes les catégories de résidences. Le prix des maisons uni-famiales s'est majoré de 4,1 % à 321 333 $, les condos de 5,2 % à 207 167 $ et les duplex de 3,5 % à 317 083 $. Royal Lepage soutient que la situation devrait s'améliorer pour les vendeurs en 2009 en raison des faibles taux d'hypothèque et des efforts des divers ordres de gouvernement pour relancer l'économie vacillante.
  19. Le ratio de solvabilité du régime de retraite moyen a reculé de 27% en 2008, passant de 96% en début d'année à 69% vers la fin. Pour en lire plus...
  20. Immobilier: Royal LePage ne prévoit pas d'effondrement 6 janvier 2009 - 09h39 Presse Canadienne
  21. Le crime organisé investit les marchés financiers au moyen de facilitateurs, selon un rapport de la Gendarmerie royale du Canada. Pour en lire plus...
  22. Lundi dernier, le président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, a entrouvert la porte à un nouveau moyen pour stimuler l'économie : acheter des obligations à long terme du Trésor américain pour redonner des liquidités au marché. Pour en lire plus...
  23. Après un automne de crise financière et de craintes récessionnistes, voici qu'arrive le Temps des Fêtes. Plusieurs anticipent une baisse de la consommation en raison de l'inquiétude généralisée. Une inquiétude que des entreprises n'hésitent pas à utiliser pour promouvoir leurs produits, ou même en créer de nouveaux. Au bout du compte, malgré le sérieux de la situation, il y aura moyen de sourire un peu pendant ce temps des fêtes teinté de rouge. Pour en lire plus...
  24. La Banque du Canada estime qu'elle devra «probablement» réduire encore son taux directeur pour ramener l'inflation à sa cible de 2% à moyen terme, indique son Premier sous-gouverneur, Paul Jenkins. Pour en lire plus...
  25. Le prêt, qui sera versé dans les jours prochains, a une durée de 48 mois, porte intérêt au taux de 9% par année et est garanti au moyen de certaines créances et de certains comptes à recevoir de Davie. Pour en lire plus...
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