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  1. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  2. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  3. 2013: Une bonne année pour le tourisme Les touristes ont été nombreux à déambuler dans la métropole en 2013. La preuve: le taux d'occupation dans les hôtels de Montréal ainsi que le trafic aux frontières terrestres et à l'aéroport Montréal Trudeau ont connu une hausse par rapport à 2012. La bonne performance du tourisme d'affaires avec la tenue de 17 congrès expliquerait en partie ces augmentations. Le nombre de touristes s'est établi à 8 430 000 en 2013 contre 8 320 000 en 2012. Les hôteliers ont donc eu de quoi se réjouir. Le taux d'occupation moyen a été de 67,92%, soit 2,05% de plus que l'a dernier, révèlent les données compilées par l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM). Le tarif moyen des chambres a lui aussi augmenté, passant de 137,06$ en 2012 à 141,48$ en 2013. Le nombre de voyageurs atterrissant en terre montréalaise a pour sa part connu une hausse de 1,9%. Il y a également eu plus de trafic aux frontières terrestres du Québec avec une augmentation de 1,1% de touristes internationaux. «Après une période plus difficile en 2012, nous constatons avec optimisme que le tourisme a repris de la vigueur, a souligné Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal, par voie de communiqué. La métropole se démarque dans plusieurs marchés tels le tourisme d'affaires, le tourisme culturel et la gastronomie. Les perspectives de croissance sont en hausse du côté des croisières internationales et des événements sportifs et c'est sur ces secteurs que nous miserons pour générer encore davantage d'occasions d'affaires pour Montréal.» http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201402/07/01-4736649-2013-une-bonne-annee-pour-le-tourisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  4. Un bel été pour les hôtels montréalais Publié le 19 septembre 2013 à 15h14 La saison estivale a visiblement été fructueuse pour les hôtels de la métropole. Selon l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM), ceux-ci ont enregistré un taux d'occupation de 79,3% pour les mois de juin, juillet août, un niveau comparable à celui de 2011, qui s'élevait à 79,8%. Le prix moyen des chambres a également connu une hausse, passant de 146, 77$ pour l'été 2011, à 151,05$ pour la saison estivale 2013. «Notons que la comparaison avec les données 2012 est difficile en raison du contexte particulier en lien avec la crise étudiante», peut-on lire dans le communiqué de l'AHGM publié jeudi. Rappelons que, avant le début des vacances, Tourisme Montréal avait tenu à rappeler que la bonne santé de l'industrie touristique de la métropole dépendait notamment de l'augmentation du prix moyen des chambres. «Quand on parle aux grands investisseurs hôteliers, ils nous disent que le Canada est l'endroit où leur taux de rentabilité est le plus faible», avait affirmé lors d'un point de presse, l'ancien président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe. Il estimait également que la ville avait une petite «faiblesse» du côté de l'hébergement de luxe. Seuls le Ritz et le Saint-James occupent ce créneau, affirmait-il. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201309/19/01-4691123-un-bel-ete-pour-les-hotels-montrealais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  5. trouvé sur Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/vivre/societe-et-sexualite/200907/15/01-884359-une-croissance-demographique-prevue-au-quebec.php Excellentes nouvelles. Maintenant que nous avons commencé à renverser la tendance, il faut continuer dans la même direction. Il faut aussi continuer avec l'immigration car c'est le seul moyen de faire "rajeunir" la poluation du Québec. Avec 28% de la population qui aura plus de 65ans, ça va nous couter cher en osti pour les soins de santé!
  6. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  7. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  8. La valeur de l’immobilier américain a enregistré un plongeon record de 19% au 1er trimestre de 2009 par rapport à la période correspondante il y a un an, selon l’indice S&P/Case Shiller U.S. National Home Price. L’indice S&P/Case Shiller publie chaque mois un indice brossant un portrait de l’immobilier dans 10 et 20 agglomérations urbaines aux États-Unis, en plus de dévoiler un indice national à la fin de chaque trimestre. C’est la pire performance de l’indice en 21 ans d’existence. À la fin du mois de mars, l’indice révèle que les prix de l’immobilier étaient revenus à leur niveau de 2002. Depuis le sommet du 2e trimestre de 2006, le prix moyen des résidences est en chute de 32,2%. Pénible mois de mars Pour le seul mois de mars, les indices des 10 et 20 villes à l’étude ont enregistré des déclins respectifs de 18,6% et de 18,7% comparativement au même mois en 2008. «Les 20 agglomérations urbaines à l’étude, incluant notamment celles de New York, Los Angeles, Chicago, Phoenix, Las Vegas et San Francisco, ont toutes vu le prix moyen des résidences baisser sur une base annuelle, alors que neuf d’entre elles ont connu des déclins record», a affirmé le président du conseil de l’indice, David Blitzer, dans un communiqué. Sur une note plus positive, c’est la 2e fois depuis octobre 2007 que le plongeon des deux indices mensuels ne fracasse pas de record. Toutefois, M. Blitzer soutient que les données de mars démontrent que les prix de l’immobilier ne montrent aucun signe de stabilisation. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-26/493911/eteacutetatsunis--les-prix-de-limmobilier-seffondrent.fr.html
  9. Un nombre grandissant de consommateurs est d'avis que la situation économique canadienne s'améliorera à moyen terme. Pour en lire plus...
  10. Les Québécois s'appauvrissent de jour en jour * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 09:44 Un Québécois gagne chaque semaine 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Le Québec est la seule province canadienne où le salaire moyen a baissé entre octobre et novembre derniers. Ainsi, les salariés québécois gagnaient en moyenne 746,68 dollars par semaine en novembre, soit 1% de moins qu’en octobre. Toutes les autres provinces et territoires canadiens ont vu les salaires moyens stagner ou augmenter, à l’image de l’Alberta où la hausse a été de 1,7% d’un mois sur l’autre, selon Statistique Canada. Si l’on regarde l’évolution des salaires sur une année, le Québec, là encore, enregistre l’une des plus faibles progressions, avec un +1,4% de novembre 2007 à novembre 2008. Les plus fortes hausses concernent l’Alberta (+5,8%), les Territoires du Nord-Ouest (+5,8%), la Saskatchewan (+4,2%) et Terre-Neuve-et-Labrador (+4%). Les salaires chutent dans l’immobilier À l’échelle du Canada, les salaires ont augmenté en moyenne de 0,4% entre octobre et novembre, et de 2,7% en un an. Le salaire canadien moyen est maintenant de 804,58 dollars. Un Québécois gagne donc chaque semaine quelque 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Les secteurs économiques canadiens qui ont vu les salaires moyens le plus baisser d’un mois à l’autre sont ceux de l’immobilier (-4,7%, à 677,71 dollars), de l’hébergement et de la restauration (-3,2%, à 334,35 dollars), de la foresterie (-1,7% en un mois, à 978,31 dollars) et du commerce de gros (-1,1%, à 936,52 dollars). De moins en moins de salariés En terme de nombre de salariés, presque toutes les provinces et territoires canadiens ont enregistré des baisses entre octobre et novembre. De son côté, le Québec a enregistré une perte de 0,3% de salariés, à 3 310 400. Ceux qui s’en sortent le mieux sont les Territoires du Nord-Ouest (+4,5%) et la Saskatchewan (+0,5%). Les secteurs économiques canadiens les plus touchés par la diminution du nombre de salariés sont la foresterie (-4%), la fabrication (-1,6%) et la construction (-1,5%).
  11. Les prix des maisons ont dégringolé au Canada 26 janvier 2009 - 13h17 La Presse Canadienne La morosité économique et la perte de confiance des consommateurs ont fait dégringoler le prix des maisons au quatrième trimestre au Canada, selon les dernières statistiques de la firme Royal Lepage. Selon la firme immobilière, les ventes ont également chuté au Canada au cours du quatrième trimestre. Royal Lepage a indiqué que le prix moyen des maisons uni-familiales a chuté de 4,8 % au pays à 319 640 $. Le prix moyen d'un condominium a dévissé de 5,2 % à 233 230 $ et le prix d'un duplex de 6,3 % à 376 140 $. Certains villes, comme Regina et Saint-Jean de Terre-Neuve, ont vu le prix des maisons se majorer d'au moins 10 % mais dans les villes plus importantes comme Edmonton, Toronto, Calgary et Vancouver, les prix ont baissé. A Montréal, le prix des maisons uni-familiales a gagné 1,2 % à 261 372 $, celui des duplex a baissé de 2,2 % à 334 850 $ et celui des condos a cédé 1,3 % à 200 284 $. A Ottawa, la tendance est à la hausse pour toutes les catégories de résidences. Le prix des maisons uni-famiales s'est majoré de 4,1 % à 321 333 $, les condos de 5,2 % à 207 167 $ et les duplex de 3,5 % à 317 083 $. Royal Lepage soutient que la situation devrait s'améliorer pour les vendeurs en 2009 en raison des faibles taux d'hypothèque et des efforts des divers ordres de gouvernement pour relancer l'économie vacillante.
  12. Le ratio de solvabilité du régime de retraite moyen a reculé de 27% en 2008, passant de 96% en début d'année à 69% vers la fin. Pour en lire plus...
  13. Immobilier: Royal LePage ne prévoit pas d'effondrement 6 janvier 2009 - 09h39 Presse Canadienne
  14. Le crime organisé investit les marchés financiers au moyen de facilitateurs, selon un rapport de la Gendarmerie royale du Canada. Pour en lire plus...
  15. Lundi dernier, le président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, a entrouvert la porte à un nouveau moyen pour stimuler l'économie : acheter des obligations à long terme du Trésor américain pour redonner des liquidités au marché. Pour en lire plus...
  16. Après un automne de crise financière et de craintes récessionnistes, voici qu'arrive le Temps des Fêtes. Plusieurs anticipent une baisse de la consommation en raison de l'inquiétude généralisée. Une inquiétude que des entreprises n'hésitent pas à utiliser pour promouvoir leurs produits, ou même en créer de nouveaux. Au bout du compte, malgré le sérieux de la situation, il y aura moyen de sourire un peu pendant ce temps des fêtes teinté de rouge. Pour en lire plus...
  17. La Banque du Canada estime qu'elle devra «probablement» réduire encore son taux directeur pour ramener l'inflation à sa cible de 2% à moyen terme, indique son Premier sous-gouverneur, Paul Jenkins. Pour en lire plus...
  18. Le prêt, qui sera versé dans les jours prochains, a une durée de 48 mois, porte intérêt au taux de 9% par année et est garanti au moyen de certaines créances et de certains comptes à recevoir de Davie. Pour en lire plus...
  19. Le groupe boursier transatlantique a vu les échanges augmenter de 61,8% pour atteindre un volume moyen historique de 2,1 millions de transactions quotidiennes. Pour en lire plus...
  20. En examinant l'histoire récente des crises boursières, difficile pour l'investisseur moyen de ne pas se décourager. Pour en lire plus...
  21. Le numéro un mondial des téléphones portables est sous l'effet d'un recul de ses ventes et du prix moyen de ses téléphones. Pour en lire plus...
  22. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Le prix moyen devrait continuer à descendre, selon l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  23. La bulle immobilière est-elle sur le point d'éclater? 30 septembre 2008 - 17h24 Collaboration spéciale Maurice Marchon De janvier 2002 à août 2008, le prix moyen des maisons existantes s’est accru de 71 % au Canada, de 106 % à Calgary, de 102 % à Montréal, de 100 % à Vancouver et de 36 % à Toronto. Après six ans d’augmentation du prix des maisons, les gens continuent d’acheter en croyant à tort que la tendance à la hausse se poursuivra ou du moins se stabilisera. Une façon de déterminer s’il y a une surévaluation ou encore une sous-évaluation du prix des maisons existantes consiste à vérifier la relation à long terme entre le prix moyen de revente des maisons existantes et le revenu personnel disponible par habitant. À très long terme, l’augmentation du prix des maisons ne peut pas s’éloigner systématiquement de celui du revenu personnel disponible par habitant. Cette relation est de même nature que la relation entre les dépenses de consommation et le revenu personnel disponible. Toute déviation exagérée des dépenses de consommation financées par l’emprunt devra tôt ou tard s’ajuster à cette contrainte de long terme. On ne peut pas dépenser systématiquement plus que l’on gagne! C’est pourtant exactement ce qui s’est passé au Canada au cours des dernières années: le prix moyen des maisons existantes s’est accru beaucoup plus rapidement que le revenu personnel disponible par habitant. De plus le gouvernement, via la SCHL, a mis de l’huile sur le feu en accordant des programmes sans mise de fonds et en permettant aux consommateurs d’amortir leurs prêts hypothécaires sur 40 ans. Ces nouveaux programmes ont stimulé le marché immobilier permettant à des gens qui n’avaient pas nécessairement les moyens de devenir propriétaire. Du premier trimestre de 2002 au deuxième trimestre de 2008, le revenu personnel disponible par habitant s’est accru de 29,5 % comparativement à 73,3 % pour le prix moyen des maisons existantes (graphique 1). On notera également, que cette déviation a été moins marquée aux États-Unis puisque au cours des six ans qui ont précédé le sommet du prix des maisons de juin 2000 à juin 2006, le revenu personnel disponible a bondi de 26,5 % comparativement à 49,3 % pour le prix moyen des maisons existantes. Cela veut dire que les ménages canadiens ont emprunté encore plus massivement pour investir dans l’immobilier. En effet, au deuxième trimestre de 2008, l’endettement (passif) des ménages canadiens en pourcentage du revenu personnel disponible a atteint un sommet de 137,6 % et dépasse maintenant celui des ménages américains qui est tombé à 133,9 % après avoir atteint un record de 139,1 % au 4e trimestre de 2007. Certains propriétaires pourraient avoir une surprise lorsque viendra le temps d’effectuer un refinancement pour consolider leurs dettes alors que le prix des résidences serait à la baisse. On se retrouvera dans la même situation que les américains avec un prêt garanti par une hypothèque immobilière supérieure à la valeur de cette résidence fournie en garantie. Tout semble correct aussi longtemps que les prix des maisons montent, tout comme ce fut le cas aux États-Unis, en Espagne, en Irlande et en Grande-Bretagne. Cependant, lorsque les prix baissent, ceux qui ont acheté au sommet du marché et ceux qui ont refinancé leur hypothèque pour accroître leurs dépenses de consommation se trouveront en difficultés financières. Par ailleurs, le nombre de maisons offertes sur le marché augmente au moment même ou le comportement pro-cyclique des banques les incite à resserrer leurs critères de financement. C’est ce qui s’est passé aux États-Unis comme le montre l’évolution du prix moyen de revente des maisons existantes aux États-Unis comparativement au Canada. Le graphique 2 présente l’évolution des indices de prix moyen des maisons existantes normalisé à 1,0 en janvier 1980. Cette normalisation à 1,0 n’entraîne pas de distorsion puisqu’en janvier 1980 le prix moyen des maisons était très semblable dans les deux pays (62 200 $CAN au Canada comparativement à 68 200 $US aux États-Unis). Le prix des maisons existantes (graphique 3) a commencé à diminuer dans la région métropolitaine de Calgary (-8,2 % en août 2008 par rapport à l’année précédente), à Vancouver (-5,2 %) et dans l’ensemble du Canada (-4,1 %), alors que les prix continuent d’augmenter dans la région métropolitaine de Montréal (+6,8 %) Lorsque les prix baissent, le potentiel de déclin est aussi accentué par le fait qu’au cours des dernières années les promoteurs immobiliers ont augmenté l’offre de maisons neuves à des niveaux supérieurs aux besoins à long terme. Les graphiques 4 et 5 présentent l’évolution des mises en chantier au Canada et aux États-Unis par rapport à leur tendance à long terme. On voit très bien qu’au cours des dernières années les nouvelles constructions ont été bien supérieures aux besoins à long terme. Lorsque les prix baissent, les mises en chantier et la construction résidentielle s’effondrent contribuant ainsi au ralentissement de l’activité économique et aux pertes d’emplois. Le processus est déjà bien avancé aux États-Unis alors qu’il est à peine commencé au Canada. Avec le temps, la situation se rétablit puisque chaque trimestre de mises en chantier en-dessous de la demande à long terme contribuent à éponger l’excédent de maisons neuves et existantes sur le marché. Cela prépare aussi la voie à une reprise éventuelle de la construction résidentielle et du prix des maisons. C’est un processus douloureux pour ceux qui n’ont pas été assez prudents, mais il n’est jamais trop tard pour prendre les mesures nécessaires pour assainir sa situation financière. On peut éviter le pire en réduisant ses dépenses de consommation et en remboursant plus rapidement ses dettes, notamment sa marge de crédit personnel et ses cartes de crédit. Graphique http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/bulle_speculative_oct_2008.pdf
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