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  1. Cinq usines de biométhanisation seront construites d’ici 2014 dans le grand Montréal MARIE-EVE SHAFFER MÉTRO 01 février 2010 20:36 La collecte des matières organiques, ce n’est pas pour demain, mais c’est pour bientôt. Lundi, Québec et Ottawa ont annoncé qu’ils accordaient une aide financière à Montréal, à Laval, à Longueuil et à la couronne sud pour que cinq usines de biométhanisation soient construites d’ici 2014. Les investissements totaliseront 559 M$. «C’est fini le gaspillage, a lancé lundi la ministre de l’Environnement Line Beauchamp. On va arrêter de gaspiller et d’envoyer des matières organiques qui ont une valeur dans des sites d’enfouissement. (…) On va prendre ces matières organiques et on va en faire des biocarburants et un compost utilisable.» Le biocarburant pourra servir à chauffer un bâtiment ou à faire rouler un véhicule automobile. Sinon, il pourra être vendu à Gaz Métro. Québec espère ainsi bannir totalement l’enfouissement des matières organiques d’ici 2020. «C’est un objectif extrêmement ambitieux mais largement endossé», a précisé Line Beauchamp. Pour le moment, seulement 6 % des matières organiques sont traitées. «Le défi, ce sera de convaincre les gens d’utiliser un bac brun, a dit le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Ce n’est pas évident, [mais] nous n’avons pas le choix […] si nous voulons améliorer notre qualité de vie.» Les bacs bruns devraient être remis aux citoyens d’ici 2014 ou 2015, selon les villes. Seulement pour l’île de Montréal, près de 230 000 ton*nes de déchets seront détournées de l’enfouissement grâce aux nouvelles usines vertes. Deux sites de compostage à Montréal En plus de deux usines de biométhanisation, Montréal aménagera deux sites de compostage, de même qu’un centre pilote de prétraitement. Celui-ci recevra les sacs de déchets traditionnels et s’assurera qu’ils ne contiennent pas de matières organiques ou recyclables. Le cas échéant, ces ma*tières seront envoyées à l’usine de biométhanisation ou au site de compostage afin de réduire l’enfouissement des déchets. Des choix s’imposent Les emplacements de ces installations vertes à Montréal seront connus d’ici le mois de juin. «Les élus des arrondissements et des villes liées doivent s’entendre sur les meilleurs lieux pour accueillir ces usines, a indiqué Gérald Tremblay. Le pas-dans-ma-cour ne doit plus exister.» À Longueuil et dans la couronne sud, la localisation des usines de biométhanisation n’a pas été décidée. À Laval, l’usine de biométhanisation se trouvera à côté de l’usine d’épuration, dans le quartier Saint-François.
  2. http://plus.lapresse.ca/screens/de710767-b7a8-47f7-82c6-c3626525bd30%7C_0.html sent via Tapatalk
  3. Fil de discussion sur les travaux du tunnel Mont-Royal dans le cadre du REM.
  4. Le Journal de Montréal 10/07/2007 Montréal n'aurait pas sa place dans le calendrier des courses de NASCAR. C'est du moins ce qu'il faut croire si l'on se fie aux commentaires de Jerry Long, un ancien dirigeant chez J.R. Reynolds, la compagnie propriétaire de Winston, qui a longtemps commandité la principale série de NASCAR avant qu'elle ne soit remplacée par Nextel. En entrevue au Winston-Salem Journal où il est question des décisions de marketing prises par NASCAR, Long écorche Montréal, qui doit accueillir une course de la série Busch, au circuit Gilles- Villeneuve, le 4 août. Le principal intéressé est d'accord que la série prenne de l'expansion au-delà des frontières américaines, mais il croit que ses dirigeants font erreur en venant à Montréal. «Je ne vois pas du tout Montréal comme une ville de NASCAR», a-t-il affirmé au quotidien de la Caroline du Nord. «Reynolds était la compagnie de tabac numéro un là-bas et nous avions un bureau à Montréal, a-t-il poursuivi. J'étais au Québec il y a quelques semaines et j'ai constaté que les gens làbas pensent encore différemment. «En 1983 ou en 1985, nous avions tout fermé là-bas; nous ne pouvions vivre avec ces gens», a ajouté celui qui a joué un gros rôle dans l'expansion phénoménale de la série. Les New-Yorkais ne viendront pas Selon lui, la série aurait mieux fait de tenter sa chance à Toronto. «Nous avions tout déménagé à Toronto à l'époque et c'est l'endroit où aller; il y a tout là-bas», a dit celui qui ne comprend pas pourquoi la série s'acharne à diffuser ses courses sur plusieurs réseaux de télévision. «Personne ne veut aller à Montréal, a-t-il ajouté. Si les dirigeants de NASCAR pensent que les gens vont conduire à partir de New York pour aller à Montréal, c'est ridicule. Mais si la course a lieu à Toronto, tu peux faire la route de Chicago ou de Detroit. «Ils devraient oublier Montréal», a conclu celui qui ne porte vraisemblablement pas la métropole dans son coeur.
  5. Une collaboration avait été formé avec acpnc et moi-méme, puis une 3e personne et nous avons soumis ce projet, un ascenseur écolo pour le pont Jacques-Cartier, dans le cadre du Concours d’idées en aménagement Moroh.o.polis. Le thème de l’édition 2016 était : *** Reconvertir Montréal Les équipes devront produire une proposition de reconversion d’un ensemble existant Montréalais sous forme de projet, système, stratégie constructive ou d’aménagement du territoire. Trouvez des solutions innovantes, repensez la façon dont on peut convertir les bâtiments existants, les infrastructures et le paysage. Et aussi réfléchir à des systèmes techniques et esthétiques qui font un usage responsable des énergies renouvelables. *** Voici le texte de notre manifeste et les croquis de notre proposition Manifeste Reconvertir le pont Jacques-Cartier Contexte • Construction débutée en 1925 pour relier la Rive-Sud à Montréal • Alimentation par les artères majeures telles que Papineau, De Lorimier et Notre-Dame • 35,8 millions de véhicules empruntent le pont chaque année • Icône et porte d’entrée importante de Montréal Problématique • Circulation véhiculaire bruyante, souvent congestionnée, engendrant beaucoup d’émanations de gaz carbonique • Îlots de chaleur nombreux à proximité • Intersections autour du pont sont peu sécuritaires et peu invitantes pour les piétons et cyclistes • L’accès actuel de la piste multifonctionnelle (piétonne et cycliste) est périlleux et du métro Papineau il faut se diriger vers le nord sur la rue Dorion, puis revenir vers le sud sur le pont (total de 1 km) • Barrière physique et psychologique, allant jusqu’à nuire à l’essor économique du secteur Solution Un ascenseur avec un observatoire adjacent au pont Une infrastructure au service des citoyens et adaptée à son milieu urbain • Ascenseur autoportant relié au pont, donnant un accès universel sécuritaire • Observatoire avec vue sur le centre-ville • Escalier avec une vue panoramique de 360 degrés à son sommet • Café-terrasse et toilettes publiques au pied de l'escalier • Panneaux solaires intégrés aux sommets des tourelles • Mur végétalisé sur l’observatoire • Parc linéaire aménagé avec plantations sous le pont • Écran interactif pour des annonces (nombre de véhicules sur le pont en temps réel avec équivalent en gaz carbonique…) • Pôle de loisirs : sportifs et culturels Avantages • Permettrait un accès direct, universel et attrayant au tronçon de la piste multifonctionnelle • Ajouterait une sortie supplémentaire en cas d’urgence • Encouragerait plus de gens à traverser le fleuve par la piste multifonctionnelle comme moyen de transport écologique et aiderait conséquemment à diminuer le nombre de véhicules • Favoriserait de meilleures habitudes de santé • Permettrait une plus grande fréquentation du parc Jean-Drapeau • Serait un attrait récréotouristique et un catalyseur de développement pour le quartier Image clée
  6. http://radio-canada.ca/arts-spectacl...osm-salle3.asp Une nouvelle salle pour l'OSM L'orchestre symphonique de Montréal aura finalement sa salle de concert, rapporte Le Devoir dans son édition de samedi. Le gouvernement Charest a conclu un partenariat public-privé pour la construction du nouvel édifice, qui, toujours selon le quotidien, occupera une partie de l'esplanade de la Place des Arts. La ministre de la Culture du Québec, Line Beauchamp, devrait en faire l'annonce officielle mardi lors d'une conférence de presse qui réunira le premier ministre Jean Charest, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, et le chef Kent Nagano. Le coût du projet dépasserait quelque peu les 100 millions de dollars. La nouvelle salle devrait accueillir entre 1800 et 2200 personnes. OSM.pdf
  7. Nom: 30 St-Jacques Hauteur (étages): 11 étages Hauteur (mètres): TBD Coût du projet: TBD Promoteur: Dev McGill Emplacement Début de construction: TBD Site internet: http://www.devmcgill.com/fr/30-st-jacques-place-d-armes Infos:Cette magnifique image panoramique de la Place d’Armes n’est pas un montage, c’est la réalité et vous pourriez un jour habiter tout juste à côté… Nous sommes fiers de vous annoncer que le promoteur DevMcGill et ses partenaires ont remporté un concours public de la Ville de Montréal leur permettant de donner vie à un nouveau projet de condominiums très attendu, le 30 St-Jacques. Situé sur l’un des très rares terrains vacants et développables du Vieux-Montréal, le 30 St-Jacques est voisin de la Place d’Armes, un secteur qui figure parmi les plus remarquables en Amérique du Nord grâce à son architecture. Environ 150 nouvelles résidences, dotées de commodités enviables, sont prévues sur ce site convoité depuis des années par de nombreux promoteurs. À un coin de rue de la station de Métro Place d’Armes et d’un accès à la ville souterraine de Montréal (RÉSO), les futurs résidents de cette copropriété pourront se rendre sans voiture et à l’abri des intempéries, à des milliers de commerces, services et entreprises. Il s’agit là d’un des rares développements de condominiums de Montréal à s’être vu accorder une note parfaite, soit de 100 %, sur le site Web indépendant « WalkScore.com ». Ce dernier compare l’arrondissement à un réel paradis pour le piéton.
  8. Données de Stats Can de 2015 Population des regions metropolitaines de recensement [TABLE=class: cst-tbl-data, width: 100%] <tbody>[TR] [TH=class: cst-tbl-header2, bgcolor: #E6ECEE, align: left][/TH] [TH=class: cst-tbl-header1, bgcolor: #E6ECEE, align: right]2012[/TH] [TH=class: cst-tbl-header1, bgcolor: #E6ECEE, align: right]2013[/TH] [TH=class: cst-tbl-header1, bgcolor: #E6ECEE, align: right]2014[/TH] [TH=class: cst-tbl-header1, bgcolor: #E6ECEE, align: right]2015[/TH] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-unit2, bgcolor: #E6ECEE, align: left][/TH] [TH=class: cst-tbl-unit, bgcolor: #E6ECEE, colspan: 4, align: center]nombre de personnes (en milliers)[/TH] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]St. John's (T.-N.-L.)[/TH] [TD=align: right]205,9[/TD] [TD=align: right]209,1[/TD] [TD=align: right]212,3[/TD] [TD=align: right]214,3[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Halifax (N.-É.)[/TH] [TD=align: right]406,7[/TD] [TD=align: right]410,0[/TD] [TD=align: right]413,6[/TD] [TD=align: right]417,8[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Moncton (N.-B.)1[/TH] [TD=align: right]142,8[/TD] [TD=align: right]144,4[/TD] [TD=align: right]146,1[/TD] [TD=align: right]148,0[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Saint John (N.-B.)[/TH] [TD=align: right]128,5[/TD] [TD=align: right]128,0[/TD] [TD=align: right]127,5[/TD] [TD=align: right]126,9[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Saguenay (Qc)[/TH] [TD=align: right]160,0[/TD] [TD=align: right]160,3[/TD] [TD=align: right]160,4[/TD] [TD=align: right]160,0[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Québec (Qc)[/TH] [TD=align: right]785,2[/TD] [TD=align: right]793,6[/TD] [TD=align: right]800,9[/TD] [TD=align: right]806,4[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Sherbrooke (Qc)[/TH] [TD=align: right]207,5[/TD] [TD=align: right]210,1[/TD] [TD=align: right]212,6[/TD] [TD=align: right]214,5[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Trois-Rivières (Qc)[/TH] [TD=align: right]154,4[/TD] [TD=align: right]155,1[/TD] [TD=align: right]156,0[/TD] [TD=align: right]156,4[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Montréal (Qc)[/TH] [TD=align: right]3 937,4[/TD] [TD=align: right]3 985,1[/TD] [TD=align: right]4 028,0[/TD] [TD=align: right]4 060,7[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Ottawa-Gatineau (Ont.-Qc)[/TH] [TD=align: right]1 288,5[/TD] [TD=align: right]1 302,9[/TD] [TD=align: right]1 316,5[/TD] [TD=align: right]1 332,0[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Kingston (Ont.)[/TH] [TD=align: right]165,9[/TD] [TD=align: right]167,1[/TD] [TD=align: right]168,5[/TD] [TD=align: right]169,9[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Peterborough (Ont.)1[/TH] [TD=align: right]122,7[/TD] [TD=align: right]123,1[/TD] [TD=align: right]122,8[/TD] [TD=align: right]122,6[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Oshawa (Ont.)[/TH] [TD=align: right]373,8[/TD] [TD=align: right]379,1[/TD] [TD=align: right]384,0[/TD] [TD=align: right]389,0[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Toronto (Ont.)[/TH] [TD=align: right]5 868,7[/TD] [TD=align: right]5 966,4[/TD] [TD=align: right]6 053,4[/TD] [TD=align: right]6 129,9[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Hamilton (Ont.)[/TH] [TD=align: right]750,7[/TD] [TD=align: right]758,3[/TD] [TD=align: right]765,2[/TD] [TD=align: right]771,7[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]St. Catharines-Niagara (Ont.)[/TH] [TD=align: right]404,0[/TD] [TD=align: right]405,2[/TD] [TD=align: right]406,8[/TD] [TD=align: right]408,2[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Kitchener-Cambridge-Waterloo (Ont.)[/TH] [TD=align: right]498,8[/TD] [TD=align: right]503,1[/TD] [TD=align: right]507,3[/TD] [TD=align: right]511,3[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Brantford (Ont.)1[/TH] [TD=align: right]140,4[/TD] [TD=align: right]141,8[/TD] [TD=align: right]142,8[/TD] [TD=align: right]143,9[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Guelph (Ont.)1[/TH] [TD=align: right]148,0[/TD] [TD=align: right]149,5[/TD] [TD=align: right]151,3[/TD] [TD=align: right]153,0[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]London (Ont.)[/TH] [TD=align: right]494,4[/TD] [TD=align: right]498,7[/TD] [TD=align: right]502,7[/TD] [TD=align: right]506,4[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Windsor (Ont.)[/TH] [TD=align: right]330,8[/TD] [TD=align: right]332,5[/TD] [TD=align: right]334,3[/TD] [TD=align: right]335,8[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Barrie (Ont.)1[/TH] [TD=align: right]195,4[/TD] [TD=align: right]198,0[/TD] [TD=align: right]200,3[/TD] [TD=align: right]202,7[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Grand Sudbury (Ont.)[/TH] [TD=align: right]165,5[/TD] [TD=align: right]165,7[/TD] [TD=align: right]165,3[/TD] [TD=align: right]164,8[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Thunder Bay (Ont.)[/TH] [TD=align: right]125,1[/TD] [TD=align: right]125,2[/TD] [TD=align: right]124,9[/TD] [TD=align: right]124,7[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Winnipeg (Man.)[/TH] [TD=align: right]759,6[/TD] [TD=align: right]770,3[/TD] [TD=align: right]782,6[/TD] [TD=align: right]793,4[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Regina (Sask.)[/TH] [TD=align: right]225,0[/TD] [TD=align: right]231,3[/TD] [TD=align: right]237,0[/TD] [TD=align: right]241,4[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Saskatoon (Sask.)[/TH] [TD=align: right]281,4[/TD] [TD=align: right]291,0[/TD] [TD=align: right]298,9[/TD] [TD=align: right]305,0[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Calgary (Alb.)[/TH] [TD=align: right]1 307,5[/TD] [TD=align: right]1 357,8[/TD] [TD=align: right]1 406,0[/TD] [TD=align: right]1 439,8[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Edmonton (Alb.)[/TH] [TD=align: right]1 241,8[/TD] [TD=align: right]1 286,0[/TD] [TD=align: right]1 331,6[/TD] [TD=align: right]1 363,3[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Kelowna (C.-B.)1[/TH] [TD=align: right]185,6[/TD] [TD=align: right]187,8[/TD] [TD=align: right]191,2[/TD] [TD=align: right]197,3[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Abbotsford-Mission (C.-B.)[/TH] [TD=align: right]176,7[/TD] [TD=align: right]178,5[/TD] [TD=align: right]181,0[/TD] [TD=align: right]183,5[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Vancouver (C.-B.)[/TH] [TD=align: right]2 408,1[/TD] [TD=align: right]2 438,7[/TD] [TD=align: right]2 475,7[/TD] [TD=align: right]2 504,3[/TD] [/TR] [TR] [TH=class: cst-tbl-r1, align: left]Victoria (C.-B.)[/TH] [TD=align: right]355,2[/TD] [TD=align: right]357,6[/TD] [TD=align: right]361,4[/TD] [TD=align: right]365,3[/TD] [/TR] [TR=bgcolor: #EEEEEE] [TD=class: cst-tbl-footer, bgcolor: #FFFFFF, colspan: 5]Notes : Ces estimations de population sont en date du 1er juillet. Elles sont fondées sur les comptes du Recensement de 2011, rajustés pour le sous-dénombrement net du recensement et les réserves indiennes partiellement dénombrées. Elles sont basées sur la Classification géographique type de 2011. Source : Statistique Canada, CANSIM, tableau 051-0056. Dernières modifications apportées : 2016-02-10.[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  9. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201312/07/01-4718642-quatre-bonnes-annees-attendent-les-hoteliers-de-montreal.php Quatre bonnes années attendent les hôteliers de Montréal Publié le 07 décembre 2013 à 08h58 | Mis à jour à 08h58 Agrandir Photo tirée de Google Maps Mercredi dernier, on apprenait que l'hôtel Gouverneur de l'île Charron (125 chambres) allait abandonner sa vocation hôtelière. =author%3AAndr%C3%A9+Dubuc&sort=recent"]ANDRÉ DUBUC La Presse Les hôtels seront occupés dans les prochaines années comme on ne les a pas vus depuis fort longtemps, prévoit la firme de consultants Horwath HTL qui a publié hier son rapport annuel sur l'industrie hôtelière au Québec. Le sommet du présent cycle devra être atteint en 2017, année où Montréal fêtera ses 375 ans et la Confédération canadienne, ses 150 ans. Le taux d'occupation des chambres est estimé à 67% pour 2013, en hausse par rapport au taux de 66% enregistré en 2012. Le creux a été atteint en 2009 avec un taux de 58,4%, pendant la récession. La performance hôtelière en 2014 devrait même surpasser les sommets antérieurs des années 1998 à 2000 (69%), annonce la firme de consultants. Certes, l'embellie observée ces dernières années s'explique en bonne partie par la diminution du stock de chambres à la suite de la fermeture ou de la conversion d'une demi-douzaine d'établissements. De 2009 à 2014, le nombre de chambres va avoir été réduit de 1400. Le parc hôtelier de la région de Montréal compte environ 21 600 chambres. Mercredi dernier, on apprenait que l'hôtel Gouverneur de l'île Charron (125 chambres) allait abandonner sa vocation hôtelière. En juillet dernier, le troisième hôtel en importance, l'hôtel Delta centre-ville (711 chambres), a annoncé sa fermeture. On a su par la suite qu'il serait transformé en une résidence universitaire privée. Si l'offre est à la baisse, la demande connaît de son côté une certaine croissante, souligne Horwath, « [...] grâce aux multiples attraits touristiques de la région, une demande, en nombre de participants, plus ou moins soutenue au Palais des congrès et un investissement de 10 millions de dollars par Tourisme Montréal sur les marchés du Québec et de l'Ontario en 2013», lit-on dans le document de 16 pages envoyé aux médias. Gilles Larivière, associé principal d'Horwath HTL, voit les beaux jours se poursuivre pour au moins quatre ans, ce qui pourrait attirer les investisseurs étrangers sur le marché montréalais. «Le niveau des réservations est bon en 2014 et 2015 au chapitre des congrès à Montréal et dans les grandes villes canadiennes», a-t-il dit dans un entretien. Viendront ensuite les festivités en 2017.
  10. http://www.montrealmirror.com/wp/2010/09/16/news/tacofying-city-hall/ YESSSSSSSS PLEEEEEEEEAAAAAASE!
  11. http://news.bbc.co.uk/2/hi/programmes/world_news_america/8681796.stm
  12. Le plus beau projet de Laval depuis longtemps ! C'est un bel immeuble. Beau design. 300 Multiple Choices 150 Condominiums situés sur les magnifiques berges de la Rivière Des Prairies à Laval à l'embouchure du Pont Viau et à deux pas de la station de Métro Cartier. • 20 minutes du centre ville de Montréal. • Vue à couper le souffle. • Grande fenestration pleine hauteur. • Système de domotique. • Toit vert écologique. • Piscine intérieure chauffée. • Gymnase ultramoderne. • Terrasses et immenses balcons.
  13. Je propose une discussion sur le prochain grand projet d'infrastructure qui aura lieu à Montréal. Après les échangeurs Turcot, Dorval, Décarie et le pont Champlain, un énorme défi se pointe à l'horizon: reconstruire la colonne vertébrale du réseau autoroutier de notre métropole. Je dois préciser que mon propos vise essentiellement la partie surélevée de la Métropolitaine, située entre l'échangeur avec l'autoroute de la Côté-de-Liesse (km 65) et le boulevard Viau (km 77), inaugurée en 1960. Ce segment névralgique est caractérisé par un débit journalier moyen variant de 160 000 à 200 000 véhicules, dont 25 000 camions. Le temps a fait son œuvre et, à 55 ans, cet ouvrage fortement sollicité est en fin de vie. Une reconstruction complète s'avère inévitable et devra être réalisée en tenant compte d'une conception originale problématique avec l'absence d'accotement, une géométrie déficiente des courbes et des entrées et sorties trop courtes. De nombreux autres enjeux, comme l'augmentation de la capacité et la cohabitation avec le milieu, devront être tranchés. Ce projet, qui pourrait coûter plus de 5 milliards de dollars, sera immense et complexe. Proposons des scénarios pour sa réalisation.
  14. Conseil d'arrondissement, Assemblées du conseil, Autres conseils et comités, Bureau d'arrondissement Ordres du jour , Procès-verbaux 2010 - Calendrier des prochaines séances : Les séances ordinaires du Conseil d’arrondissement ont lieu à 19 heures, le deuxième lundi de chaque mois, excepté en juin, octobre et décembre. Depuis 2006, afin de se rapprocher des citoyennes et des citoyens de Ville-Marie, les élus ont décidé que les séances ordinaires du Conseil d’arrondissement se tiennent dans différents lieux. Cette décision se perpétue en 2010. Vous trouverez ci-dessous les dates ainsi que les adresses où les Conseils se dérouleront : Endroits où se dérouleront les conseils d'arrondissements 2010 Lundi 8 février, Maison de la culture Frontenac, 2550, rue Ontario Est District Sainte-Marie Lundi 8 mars, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques Lundi 12 avril, Collège de Montréal, salle L’Ermitage, 3510, ch. de la Côte-des-Neiges District Peter McGill Lundi 10 mai, Maison de la culture Frontenac, 2550, rue Ontario Est District Sainte-Marie Mercredi 16 juin, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques Lundi 12 juillet, Collège de Montréal, salle L’Ermitage, 3510, ch. de la Côte-des-Neiges District Peter McGill Lundi 13 septembre, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques Mardi 12 octobre, Maison de la culture Frontenac, 2550, rue Ontario Est District Sainte-Marie Lundi 8 novembre, Collège de Montréal, salle L’Ermitage, 3510, ch. de la Côte-des-Neiges District Peter McGill Mercredi 15 décembre, Salle du conseil, 888, boul. De Maisonneuve Est, 5e étage District Saint-Jacques 2550, rue Ontario Est Page d'erreur
  15. http://www.ecologieurbaine.net/promenades'>http://www.ecologieurbaine.net/promenades 50 visités de quartiers (gratuites) le 5 et 6 mai 2012 50 marches pour redécouvrir Montréal Date de parution: 05 avril 2012 Les 5 et 6 mai, la Promenade de Jane offre 50 visites de quartier guidées gratuites. C’est la 4e édition de la Promenade de Jane organisée à Montréal à l’initiative du Centre d’écologie urbaine de Montréal (CEUM). « Nous avons une quarantaine de guides qui animeront ces visites dans 12 arrondissements ou villes sur l’île de Montréal. Les parcours de deux heures permettront d’explorer des thèmes liés à l’histoire des quartiers, à la nature en ville et au développement urbain, et il y a aussi plusieurs visites de places publiques à découvrir », explique Tristan Bougie, coordonnateur de l’événement au CEUM. Explorer l’île de Montréal Plus de trente marches sont organisées dans l’axe nord-sud de l’île, de Montréal-Nord jusqu’à Ville-Marie, en passant par Villeray—Saint-Michel—Parc-Extension, Rosemont–La Petite-Patrie, le Plateau-Mont-Royal et Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Au centre de l’île, les visites sont concentrées dans les arrondissements Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce, Outremont, Sud-Ouest et Verdun. Enfin, dans l’ouest de l’île, des guides organisent des visites dans les villes de Pointe-Claire et Côte Saint-Luc. Pour s’inscrire aux visites et pour consulter le programme complet, visitez le site http://www.ecologieurbaine.net/promenade Événement international Cette année la Promenade de Jane est présentée dans 17 pays et dans plus d’une centaine de villes dont Barcelone, New York, Mumbai, Paris, Toronto, Saint-Pétersbourg et Sao-Paulo. En 2011, l’événement avait été organisé dans 75 villes et plus de 12 000 marcheurs avaient participé à l’un des 500 parcours urbains autour de la planète. Jane Jacobs La Promenade de Jane souligne l'héritage de Jane Jacobs. Auteure du livre The Death and Life of Great American Cities, Jane Jacobs a introduit des idées novatrices sur le fonctionnement, l’évolution et le déclin des villes. Des décennies plus tard, son œuvre inspire encore des générations d'architectes, d’urbanistes, de politiciens et de militants. - 30 - Avis aux médias : Trois organisateurs de marches sont disponibles pour entrevues en français ou en anglais : M. Jonhatan Cha, urbanologue et architecte paysagiste. Organisateur de la marche « À l'origine des squares-jardins victoriens de Montréal. Parcours historique de la vieille ville à la New Town » Mme Megan Hanna, guide de la marche « Our dynamic urban environment: Changes in NDG’s landscape » organisée en partenariat avec Prévention CDN-NDG M. Sasha Dyck, guide de la marche « Eating in Park Extension » organisée par la Société d’histoire de Parc-Extension Source : Centre d'écologie urbaine de Montréal
  16. Hôtel 1000-1006 de la Montagne et Appartements 947 Lucien-L'Allier - 26, 41 étages Condos Laurent & Clark - 20 étages Condos Babylone - 26 - 37 étages Condominium Maritime Montréal - 39 étages Quad Windsor - Tour Peel - 20 étages Tour des Canadiens 3 - 37 ou 49 étages Tour Bleury - 25 étages
  17. http://journalmetro.com/local/ile-des-soeurs/actualites/1008609/du-surf-sur-le-fleuve-grace-au-pont-champlain/ 15/08/2016 Mise à jour : 15 août 2016 | 16:40 Du surf sur le fleuve grâce au pont Champlain? Par Colin Côté-Paulette Montréal pourrait devenir la capitale mondiale du surf de rivière s’il n’en tenait qu’à Hugo Lavictoire, le propriétaire de Kayak sans Frontières (KSF). L’entrepreneur aimerait profiter des travaux de construction du nouveau pont Champlain pour aménager des vagues artificielles et ainsi attirer des touristes sur les berges de la métropole. «On pourrait prendre un pont de 5 G$ destinés aux automobilistes et l’adapter pour en faire une infrastructure qui inclurait un plus grand nombre de citoyens, dont les milliers de gens qui font du surf sur le fleuve», indique M. Lavictoire. Le président de KSF estime que la machinerie déjà en place pour les travaux sous-marins pourrait aussi être utilisée pour installer une structure en forme d’entonnoir au fond du fleuve. Cette pièce créerait de nouvelles vagues éternelles pour les surfeurs et kayakistes, comme celles bien populaires à Habitat 67 et la célèbre «vague à Guy» à LaSalle. À ce sujet: Pour M. Lavictoire, les piles du nouveau pont Champlain pourraient aussi servir d’aires de repos, puisque les structures créent un contre-courant et permettent de remonter facilement le fleuve, de manière sécuritaire, selon lui. «Ça serait quoi d’ajouter 1 M$ au projet pour que Montréal devienne la capitale du surf de rivière. Les retombées économiques seraient plus grandes que celles du Grand Prix, on peut faire du surf neuf mois par année ici, pas seulement une fin de semaine», soutient-il. Olivier Barrette, un membre influent de la communauté de surfeurs montréalais qui parcourt les vagues du monde, voit le projet d’un bon oeil. «Ça fait longtemps qu’on parle d’ajouter des vagues dans le fleuve. Ce n’est pas exagéré, je pense qu’après Munich, on est le 2e pôle de surf de rivière dans le monde. On a plus de surfeurs en tout cas», souligne-t-il dans une entrevue en plein tournage d’une publicité de surf à Burlington. Il prend en exemple certaines villes américaines et allemandes qui ont réussi l’implantation de vagues artificielles dans leurs rivières. Un sport en «implosion» «En ce moment, on est victime de notre succès, le sport implose par sa popularité. Les vagues statiques peuvent être surfées plus longtemps que les vagues dans les océans, alors c’est très populaire», précise Hugo Lavictoire. Il estime que KSF a accueilli entre 200 et 300 touristes cet été, dont plusieurs durant le weekend chaud et ensoleillé du festival de musique Osheaga au début du mois d’août. «On aurait avantage à bonifier l’offre touristique pour s’adresser à une clientèle jeune», croit la gestionnaire des relations publiques à Tourisme Montréal, Andrée-Anne Pelletier. Selon les données Cities, les milléniaux (18-34 ans) représentent 42% des touristes venus à Montréal en 2014. M. Barrette raconte qu’il a même croisé plusieurs hommes d’affaires qui choisissent de faire leurs réunions à Montréal au lieu de Toronto, pour aller profiter des vagues en passant. Impacts: des environnementalistes se prononcent L’achalandage qui découle de la popularité de la vague à Guy joue présentement un rôle dans l’effritement des berges du site, en raison des nombreux adeptes du surf. Toutefois, l’implantation de nouvelles vagues pourrait avoir des effets positifs, selon le directeur de l’organisme Héritage Laurentien, Jason Di Fiore. «Une nouvelle vague viendrait réduire la pression sur les deux sites, mais ça doit être bien fait. Il doit y avoir une étude d’impact adéquate au préalable», explique-t-il. Un changement de courant dans le fleuve, mal dirigé, pourrait troubler les zones de fraie de certaines espèces de poissons. L’accès à l’eau des sites devrait également être amélioré d’après M. Di Fiore. Pour le coordonnateur du Mouvement ceinture verte, Sylvain Perron, l’important est d’avoir une cohérence entre les groupes sportifs et environnementalistes. «Si on officialise le statut de Montréal comme ville de surf, on peut réglementer pour limiter les impacts. Les groupes sportifs pourraient contribuer au nettoyage des berges par exemple», avance-t-il. Le site de la «vague à Guy» sera réaménagé par la Ville de Montréal quelque part entre 2017 et 2019, à la suite de consultations publiques qui ont eu lieu en janvier dernier. Le Réseau des grands parcs de Montréal prévoit, entre autres, l’aménagement d’un escalier de pierres pour freiner l’érosion des berges, la déviation de la voie cyclable et l’ajout de services publics comme une aire de repos et des toilettes. Comme le projet de M. Lavictoire n’est pas encore présenté concrètement, aucun représentant de la Ville ou d’Infrastructure Canada n’a voulu se prononcer.
  18. Le Musée de cire Grévin de Paris (genre Mme Tussaud de Londres et NY) va ouvrir une "succursale" à Montréal, en haut du Centre Eaton. Je viens d'entendre ceci aux nouvelles régionales sur Radio-Can. Je ne trouve aucune référence sur le net (yet), mais aussitôt que je l'ai je l'ajouterai (à moins que l'un d'entre vous soit plus rapide!) Un projet de 13 millions dit-on, entièrement financé par des intérêts privés. On ajoute que le musée a demandé à des Québécois de revamper la formule avec une technologie de pointe multimédia. À suivre.....
  19. For a while now I have been thinking about how Canada would be like, if we actually had a decent size population. I found an article from the Globe and Mail from a few years ago, saying we should really consider increasing the number of immigrants coming to this country. How do we get 1.9 million new people to move to Canada and live here, each and every year? Yes, the current major cities like Toronto and Montreal will continue to grow, but we should find ways to get other cities to grow also. If we did manage to get to 100,000,000 people living in Canada by 2050, we would have a density of 10 people per sq.km. That would be almost similar to present day Russia (excl. the annexation of Crimea). The US has 35 people per sq.km. With that we would see Canada explode to well over 300 million people. Yes it would be a lot of more mouths to feed. Plus we would need a rapid expansion in new urban centers across the provinces and especially the territories. We would also need to develop/revitalize current industries and create new industries. I know the energy (petrol) and mining sectors are in the toilet, but if we managed to increase the population, we would probably bring those industries back to life. We may be able to finally fly Montreal to Vancouver or within this country for cheaper or drive through the Prairies and be bored out of our minds or even driving all the way to Iqaluit and not worry about the gas tank, seeing there may be a station close by and not 1000's of km away. Also we can finally see many of the national parks and provincial/territorial parks, that are inaccessible and costs 10s of thousands of to visit. The reason I bring up the territories, they are grossly under populated. If there are more people there and more towns/cities connecting them to the south, the cost of living there will decrease. Plus by 2050-2100, more people will be moving north because of climate change. I found one agency formulate by 2050, we would see Canada's population grow to well under 50 million, we would be one of the wealthiest per capita, but our GDP would be lower. If we could increase the population to 100 million and also find a way to still have a similar GDP per capita as the one forecast for 2050 with 50 million, we would be the 4th wealthiest instead of the 17th. It is a long shot and I know Canada has a lot to do before that time, but we should really think about the future of this country.
  20. Montréal change de stratégie pour la réfection de ses rues L'administration de Valérie Plante compte maintenir le rythme de mises en chantier dans les rues de Montréal, et non plus l'accélérer, afin d'investir davantage dans leur aménagement et de les rendre plus durables, plus belles et plus sécuritaires. Les Montréalais sont déjà habitués de circuler parmi des milliers de cônes orange, mais la situation aurait pu empirer si la Ville n’avait pas changé de stratégie, soutient le responsable de l'urbanisme et du transport au comité exécutif, Éric Alan Caldwell. Alors que l’administration de Denis Coderre prévoyait effectivement augmenter la cadence des travaux d’entretien et de reconstruction à quelque 500 kilomètres de chaussée par an, celle de Valérie Plante souhaite limiter cette croissance à 300 kilomètres par an. La Ville entend donc consacrer à la reconstruction et à l'aménagement – plantation d'arbres et saillies de trottoir, par exemple – des sommes consacrées jusqu’ici à simplement prolonger de 15 ans la durée de vie utile des rues avec un nouveau pavage. Alors que 71 % du budget au Programme triennal d'immobilisations était auparavant consacré au maintien des actifs de la voirie et que 17 % étaient dédiés aux projets et programmes d’aménagement, c’est dorénavant 46 % des investissements qui seront consacrés au maintien et 40 % à l’aménagement, précise la Ville. Pour illustrer son propos, M. Caldwell compare les rues à des murs qu’on va dorénavant dénuder complètement et reconstruire plutôt que simplement repeindre. De son côté, l’opposition estime que c’est une erreur de remettre en état moins de kilomètres de chaussée par année. L’administration Plante bloque l’« élan » qu’avait pris la Ville, alors qu’elle était sur le point d’atteindre sa « vitesse de croisière », regrette le chef de l'opposition officielle, Lionel Perez. « Tout le monde a malheureusement eu des problèmes avec leursamortisseurs sur les voitures pendant l'hiver et pendant le printemps avec les nids-de-poule », fait-il valoir. Un réseau à améliorer Presque la moitié du réseau routier de la ville était en mauvais état en 2015. Dans la moyenne des grandes villes canadiennes, c’est le quart des rues qui sont en mauvais état. Montréal ne devrait plus atteindre cette moyenne qu’en 2028 plutôt que dès 2022, comme l’avait prévu l’administration Coderre. La Ville reconnaît toutefois que les efforts de l’équipe de Denis Coderre ont porté fruit. Il n'est donc pas question de ralentir la cadence. « Après quatre ans et des centaines de millions de dollars d’investissement, on perçoit une amélioration de la qualité de la chaussée et nous devons maintenir cette cadence acquise afin de résorber le déficit d’entretien qui gruge notre réseau », souligne Éric Alan Caldwell. Avec des informations de Benoît Chapdelaine et de Julie Marceau https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136138/montreal-refection-amenagement-rues-strategie
  21. http://journalmetro.com/actualites/national/419174/ces-eglises-qui-changent-de-vocation/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">Ces églises qui changent de vocation Par Marie-Eve Shaffer Métro </header><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; color: rgb(86, 86, 86); font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif; font-size: 15px; line-height: 27px; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Archives MétroL’église Sainte-Germaine-Cousin, à Montréal, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance.</figcaption></figure> Depuis une décennie, pas moins de 285 églises du Québec ont changé de vocation, sinon elles sont sur le point de le faire. La majorité de ces églises ont été converties. Elles ont été mutées en centres communau*taires, en bibliothèques, en salles de spectacle ou même en im*meubles à logements abordables, d’après une compilation scrupuleuse du Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ), un organisme à but non lucratif qui veille à la mise en valeur des biens et des immeubles de l’Église. Parfois, les nouvelles fonctions de ces églises sont multiples. Par exemple, l’église Sainte-Germaine-Cousin, dans l’arrondissement de Rivière-des-Pariries–Pointe-aux-Trembles, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance. À la place de l’ancien presbytère, un immeuble à logements pour des personnes âgées sera construit. <aside class="related-articles" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 25px 0px;">À ce sujet: Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir </aside>Les activités de culte ne sont pas nécessairement écartées des projets. Plusieurs communautés religieuses ont d’ailleurs racheté ces églises. Dans d’autres cas, un espace plus restreint a été accordé aux religieux. À La Durantaye, dans Chaudières-Appalaches, l’église Saint-Gabriel a été trans**formée en centre multifonctionnel. Les bancs ont été retirés. Le chœur y est toujours, mais il est dissimulé derrière un rideau lors des activités laïques. Dans moins de 1% des cas, les églises ont été modifiées pour abriter des condos. «Des projets de condos, ce n’est pas l’avenir, a indiqué le chargé de projet du CPRQ, Denis Boucher. Il y a toutes sortes de modifications qui doivent être faites et leur coût est énorme.» D’après la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal, Solange Lefebvre, le Québec est en avance sur plusieurs pays, notamment européens, lorsqu’il est question de trouver un nouvel usage aux églises. «On est plus avancé dans la mesure où on en a déjà converti, a-t-elle dit. On a assumé déjà le fait qu’il fallait [convertir ces églises]». Mme Lefebvre a notamment souligné la création de la Fondation du patrimoine religieux du Québec, en 1995, qui est devenue en 2007 le CPRQ, ainsi que le rapport de la Commission de la culture déposé en 2006, Croire au patrimoine religieux du Québec. La deuxième vie des églises du Québec Infographie: Steve Proulx/37e avenue Le gouvernement du Québec a en plus consacré près de 275 M$ dans la restauration du patrimoine religieux depuis 1995. Bien que le Québec ait fait un pas de plus, il est encore trop souvent en mode réaction, a déploré l’architecte Ron Rayside. «Il faudrait que l’archevêché, les églises, la Ville et peut-être même le gouvernement du Québec s’assoient ensemble pour voir quel sera le plan pour les 20 prochaines années. Il faut qu’on ait une grande réflexion et surtout le temps de la faire», a-t-il fait savoir. En 2006, la Commission de la culture a demandé en vain au gouvernement du Québec de décréter un moratoire «sur l’aliénation et la modification des bâtiments religieux». Ron Rayside regrette que trop souvent, les communautés cherchent à la va-vite un nouvel usage à leurs églises. Lorsque celles-ci sont fermées, elles se détériorent rapidement, faute d’entretien. Et le temps que les communautés, sinon les promoteurs, trouvent un projet réalisable et le financement nécessaire, la dégradation s’accélère. «Quand on trouve un acquéreur, il y a une facture de mise à niveau qui est énorme, a rapporté M. Boucher. Et je ne parle pas de mise aux normes et de tout ce que le bâtiment peut exiger selon l’usage qu’on veut en faire.» Près de 100 ans de changement Depuis près d’un siècle, des églises du Québec sont vendues, transformées sinon démolies. Elles ont laissé leur place dans un premier temps à des développements immobiliers ou même autoroutiers. Sinon, elles sont devenues inutiles en raison de la fusion de deux communautés religieuses. À partir des années 1990, la désertion des églises, le vieillissement de la communauté religieuse et la baisse des vocations religieuses ont poussé les diocèses et les fabriques à commencer à se départir de leurs bâtiments, dont l’entretien est onéreux. Une poignée d’églises changeaient alors de main à chaque année. De 1900 à 2003, près de 250 églises ont été converties, selon l’évaluation de la Chaire de recherche en patrimoine urbain de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, la cadence s’est accélérée. Tellement qu’aujourd’hui, près d’une église par semaine est fermée, vendue ou transformée. Au moins 50 églises délaissent annuellement en tout ou en partie leur fonction religieuse. Des travaux sont actuellement réalisés dans 13 d’entre elles. *** Le financement, le nerf de la guerre Le ministère de la Culture dispose d’une enveloppe budgétaire, dont une partie est gérée par le CPRQ, pour protéger le patrimoine religieux. Le CPRQ accorde son aide financière à hauteur de 70% des coûts des projets. Il évalue ceux-ci selon la valeur patrimoniale de l’église – un classement des églises cons*truites avant 1945 a été fait –, la teneur des travaux et la participation de la communauté. Du côté du ministère de la Culture, il finance en partie les projets situés sur des sites patrimoniaux, désignés par lui-même ou les municipalités. «Dans le cas de la basilique Notre-Dame, dans le Vieux-Montréal, il n’y a pas de problème, c’est une église reconnue qui est bien classée par le [CPQR]. Quand l’église n’est pas bien classée, elle n’est pas dans les “winners” qui ont accès à l’argent», a expliqué la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal et la titulaire de la Chaire religion, culture et société, Solange Lefebvre. Par région Nombre d’églises fermées, transformées ou en cours de transformation par région du Québec Bas-Saint-Laurent: 15 Saguenay–Lac-Saint-Jean: 14 Capitale-Nationale: 18 Mauricie: 14 Estrie: 30 Montréal: 58 Outaouais: 8 Abitibi-Témiscamingue: 15 Côte-Nord: 4 Nord-du-Québec: 0 Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine: 4 Chaudière-Appalaches: 17 Laval: 1 Lanaudière: 5 Laurentides: 21 Montérégie: 47 Centre-du-Québec: 14 TOTAL: 285 Source: Le Conseil du patrimoine religieux du Québec. Les chiffres sont basés sur un inventaire des lieux de culte réalisé en 2003 et mise à jour régulièrement par le CPRQ. Série Métro propose cette semaine une série sur le patrimoine religieux au Québec Aujourd’hui. Ces églises qui trouvent une nouvelle vocation et Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir Demain. Ces églises qui ne sont plus Mercredi. Une conversion unique: un spa Jeudi. Très-Saint-Nom-de-Jésus en attente Vendredi. Le cas de l’Oratoire Saint-Joseph
  22. Google s'installe à Montréal 25 janvier 2007 - 13h48 La compagnie Google a entrepris de faire de la recherche et du développement à partir de locaux situés à Montréal, révèle le journal Les Affaires dans sa plus récente parution. Les bureaux loués par Google se trouvent dans l'immeuble du 1000 de la rue Gauchetière, en plein cœur du centre-ville montréalais. Une petite équipe de sept ingénieurs et développeurs de logiciels aurait déjà été embauchée, selon ce qu'a appris Les Affaires. Les responsables contactés chez Google, parmi lesquels Lars Hansen, porte-parole de Google au Canada, auraient toutefois refusé de donner davantage de précisions. Le géant Internet a également annoncé, sur ses pages d'offres d'emploi, être à la recherche de développeurs et programmeurs spécialistes du système d'exploitation Windows pour sa filiale montréalaise. Selon Les Affaires, les employés d'une entreprise islandaise, récemment achetée par Google, avaient déjà l'habitude de se réunir de temps à autres à Montréal, ce qui pourrait expliquer l'ouverture de bureaux dans la métropole. Il n'est d'ailleurs pas impossible que cette initiative annonce d'autres investissements de Google au Québec, puisque la compagnie serait aussi à la recherche de locaux commerciaux supplémentaires susceptibles d'accueillir entre 200 et 300 employés.
  23. Communiqué de la Ville http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=31903 Accélérer Montréal: La Ville de Montréal se penche sur la problématique des locaux commerciaux vacants 19 août 2019 Montréal, le 19 août 2019 - La Ville de Montréal mandate la Commission sur le développement économique et urbain et l'habitation afin de mener des consultations publiques sur les locaux vacants sur les artères commerciales. « Les artères commerciales jouent un rôle fondamental dans la vitalité des quartiers et dans le développement économique de la métropole. Elles sont au coeur des préoccupations de notre administration. Montréal, comme plusieurs autres métropoles, doit toutefois faire face à un enjeu des locaux vacants. La consultation que mènera la Commission sur le développement économique et urbain et l'habitation permettra d'entendre les parties prenantes du monde du commerce et la population sur les principaux enjeux reliés au taux de vacance sur les artères commerciales. Elle mènera à une série de recommandations et de solutions innovantes qui nous permettront de redynamiser ce secteur névralgique de l'économie de Montréal », a affirmé la mairesse de Montréal, Valérie Plante. Malgré une conjoncture économique favorable, de nombreuses artères commerciales montréalaises présentent des taux de vacances qui se situent entre 10 % et 15 %. Plusieurs éléments peuvent expliquer ce phénomène, notamment la hausse des loyers, la spéculation immobilière, l'adéquation entre l'offre et la demande commerciale et l'essor du commerce électronique. Ces espaces vacants ont un impact sur la vitalité des artères, sur l'image de Montréal comme destination commerciale régionale et sur la qualité de vie dans les quartiers. « Les artères commerciales et le commerce sont au cœur des préoccupations de la Ville de Montréal. C'est pour cela que nous avons dévoilé un plan d'action dédié au commerce en juin 2018. Au cours de la dernière année, nous avons mis en place plusieurs mesures pour soutenir le commerce, dont un programme d'aide financière dédié aux commerces sur des artères en chantier, qui constitue une première au Canada. Nous nous attaquons maintenant avec force à la problématique des locaux vacants », a souligné Robert Beaudry, responsable du développement économique et commercial et de l'habitation au comité exécutif. La consultation de la Commission du développement économique sur les locaux vacants se déroulera comme suit : Septembre à novembre 2019 : Diagnostic de la situation actuelle et analyse des meilleures pratiques pour répondre à l'enjeu des locaux vacants; Décembre 2019: Présentation du document de consultation en séance de consultation publique; Janvier 2020 : Déroulement des consultations publiques. « Les membres de la Commission se pencheront avec sérieux sur cette problématique et travailleront afin d'obtenir un portrait clair de la situation, d'identifier des pistes de solutions efficaces pour préserver la mixité et d'assurer le dynamisme de nos commerces locaux », a conclu Richard Ryan, président de la la Commission sur le développement économique et urbain et l'habitation et conseiller de ville du Mile-End, dans l'arrondissement du Plateau Mont-Royal. Montréal agit pour soutenir le commerce Rappelons qu'au cours de la dernière année, la Ville de Montréal, par le biais de sa stratégie de développement économique 2018-2022, a adopté une série de mesures fortes pour soutenir le commerce: Dévoilement du plan commerce, « Vivre Montréal » en juin 2018; Mise en place d'un comité consultatif sur l'élaboration du Plan d'action en commerce, dont le rapport a été déposé en juin 2018 https://blogues.desjardins.com/communiques-de-presse/VilleMtl_RapportCom_PlanCommerce_vFinal.pdf; Diminution du fardeau fiscal des commerçants par la réduction de la taxe foncière pour la première tranche de 500 000 $ d'évaluation foncière; Programme d'aide financière aux établissements situés dans un secteur affecté par des travaux majeurs, premier programme du genre au Canada. Investissement de 25 M$ d'ici 2021; Programme Artère en transformation, visant à contribuer au maintien et au développement des affaires ainsi qu'à la mise en valeur et à la dynamisation de l'offre commerciale des artères sélectionnées pendant des travaux majeurs d'infrastructure et une fois que ceux-ci seront réalisés. Investissement de 16,8 M$ jusqu'en 2028. Consultez Accélérer Montréal, la stratégie de développement économique 2018-2022 : https://ville.montreal.qc.ca/affaires/
  24. J'ai créé ce groupe sur flick :Flickr: Page Not Found Plusieurs membres ont posté des photos récentes des années 80 et 90 représentant des endroits disparus maintenant. De plus, j'ai créé cette collection de photos de Montréal avant-après : Flickr: Page Not Found
  25. Salut, Je suis encore nouveau sur le forum, mais je tenais à partager un lieu que j'ai découvert récemment. Étant donné que ce lieu est méconnu, j'ai voulu en faire un jeu. Mouhahaha. Alors devinez où se trouve ce lieu! Indice: ce n'est pas un parc ou un parc-nature reconnu et ça se situe dans la ville de Montréal.
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