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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/983950/hippodrome-les-citoyens-veulent-y-construire-un-village/ 22/06/2016 Mise à jour : 22 juin 2016 | 18:21 Hippodrome: les citoyens veulent y construire un village Par Laurence Houde-Roy Métro Les citoyens ont parlé: ils souhaitent que l’ancien site de l’hippodrome de Montréal devienne un véritable petit village au coeur de Montréal. La Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges (CDC), qui regroupe plusieurs citoyens et organismes communautaires de Côte-des-Neiges, a dévoilé mercredi ce qu’ils aimeraient avoir comme aménagement de l’ancien site de l’hippodrome de Montréal, à l’angle de l’autoroute 15 et 40, non loin du site du futur centre commercial Royalmount. Les citoyens veulent littéralement un petit village, le plus vert possible, sans tour à condos, mais plutôt des logements de 3 à 6 étages avec une diversité d’habitants et d’habitations. Cette idée émane d’un forum citoyen tenu en 2014, en collaboration avec la firme d’architecture et design urbain Rayside Labossière. Il faut surtout que tout le projet soit bien pensé en amont, disent-ils, et que chaque aspect de la construction respecte tous les citoyens, peu importe leur âge, sexe, origine ou condition physique. «Il ne faut pas morceler le projet, commencer à construire sans avoir pensé au plan général avant», fait valoir Jennifer Auchinleck, organisatrice communautaire à la CDC. Bien sûr, ils gardent le même message qu’ils ont depuis plus de 10 ans: le site doit accueillir au moins 2500 logements sociaux pour répondre aux besoins des gens du quartier. Ils font valoir que 5060 ménages de Côte-des-Neiges dépensent plus de 80% de leur revenu pour se loger. Alors que la Ville promet que 15% des logements qui seront construits sur l’ancien site de l’hippodrome seront des logements sociaux, la CDC maintient que ce n’est pas assez pour répondre aux besoins de la population. Mais au-delà de cette demande, les citoyens souhaitent que ce terrain réponde à l’ensemble des besoins des citoyens, et que tout soit accessible facilement et rapidement. Selon la première ébauche élaborée par Rayside Labossière (voir photo), une artère principale traverserait le quartier en partant de la station de métro Namur sur laquelle on retrouverait tous les services comme les écoles, les épiceries, les restaurants (abordables et sains, demandent-ils), la bibliothèque, etc…«Une artère qui donne une âme au quartier», résume Ron Rayside, de Rayside Labossière. Deux «pôles communautaires» (points mauves sur la photo), où les habitants pourront se rassembler et fraterniser, pourraient être aménagés à deux endroits sur cette artère. Les différents parcs seraient reliés entre eux par des corridors verts. Tant qu’à rêver, pourquoi ne pas également y imposer des exigences de développement durable, comme utiliser la géothermie dans les logements, encourager les initiatives d’économie sociale, réguler les prix des baux commerciaux, limiter la place de l’auto, aménager de rues de moins de deux voies et adopter une politique d’embauche locale, se disent-ils. «C’est un terrain public, et il est vide, on peut en profiter pour faire les choses autrement, on peut faire tout ce qu’on veut», ajoute Mme Auchinleck. Pour répondre aux besoins d’un maximum d’habitants de Côte-des-Neiges, la CDC souhaite accueillir le plus de personnes possible dans ce petit village. Ainsi, les maisons avec une cour seraient à proscrire, croient-ils, pour maximiser l’espace. La CDC souhaite au moins 7500 unités de logement, dont 2500 logements sociaux. Ceci correspond à la densité de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. M. Rayside croit que le site peut facilement accueillir 4000 ou 5000 logements. Puisque la voie ferrée se trouve non loin du site, la question de la densité pourrait poser problème, reconnaissent-ils, considérant les nouvelles normes de sécurité imposées à la suite des événements de Lac-Mégantic. Le site, qui appartient au gouvernement du Québec, doit être cédé à la Ville de Montréal avant que les constructions débutent. La condition, avant la signature, est que le bâtiment de l’ancien hippodrome soit démoli. Le gouvernement vient d’obtenir le certificat de démolition.
  2. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/982657/legs-pour-le-375e-de-montreal-six-ponts-illumines-sur-le-canal/ 20/06/2016 Mise à jour : 20 juin 2016 | 16:09 Legs pour le 375e de Montréal: six ponts illuminés sur le canal Par André Desroches TC Media Photo Gracieuseté Six ponts et passerelles qui jalonnent sur 4,5 km le canal de Lachine, dont le pont Côte-Saint-Paul, seront illuminés. Le paysage du Sud-Ouest sera appelé à changer dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’arrondissement prévoit l’iIllumination de six ponts enjambant le canal de Lachine ainsi que la création d’un tableau du circuit Cité Mémoire avec deux artistes de renom, Michel Lemieux et Victor Pilon. «Le canal est un symbole très fort de notre arrondissement. À la tombée du jour, il va carrément changer de visage», annonce le maire Benoit Dorais. La réalisation du projet «Lumières sur le canal de Lachine!», qui verra le jour en 2017, a été confiée à l’organisme Montréal en Histoires. C’est lui qui signe le parcours de tableaux multimédias Cité Mémoire qui se déploie en images, en paroles et en musique dans le Vieux-Montréal depuis le 17 mai. Structures Les six structures qui jalonnent sur 4,5 km ce cours d’eau, berceau de l’industrialisation au pays, seront donc illuminées. Il s’agit des ponts CN-Du Port, Côte-Saint-Paul, des Seigneurs et Charlevoix ainsi que des passerelles Atwater et Sir-George-Étienne-Cartier. Certaines structures seront éclairées par des équipements statiques. D’autres seront illuminées par du matériel d’éclairage dynamique et programmable permettant notamment de varier l’intensité de la lumière selon la présence ou non de piétons. Célébrer en se souvenant «Ce projet va avoir un rayonnement plus large grâce à une collaboration avec Cité Mémoire», se réjouit Benoit Dorais. Le parcours créé par Michel Lemieux, Victor Pilon et le dramaturge Michel Marc Bouchard va s’enrichir d’un 24e tableau historique créé spécialement pour le Sud-Ouest sur un site qui n’a pas encore été choisi. «En se promenant dans le Sud-Ouest, on voit que c’est un lieu chargé d’histoire. C’est très riche comme endroit», constate Michel Lemieux. Le créateur bouillonne déjà d’idées pour ce tableau. «On va aller chercher des personnages connus qui sont passés à l’histoire mais aussi des personnes inconnues, explique-t-il. Nous voulons mettre les humains au centre de l’Histoire, pas seulement des lieux et des dates.» Michel Lemieux est emballé par ce volet du projet. «Le 375e anniversaire de Montréal, on a le devoir de le célébrer en se souvenant», estime-t-il. Les gens devront donc à aller un peu plus à l’ouest du Vieux-Montréal pour voir ce nouveau tableau. «Ça va faire découvrir les attraits de nos quartiers», anticipe le maire Dorais. Réalisé au coût de 1 M$, le projet de legs du Sud-Ouest sera financé par la Ville de Montréal.
  3. Revitalizing Calgary's core: Some possibilities for rebirth 'Calgary has reinvented itself before ... from a ranching/agriculture-based economy to oil and gas' By Richard White, CBC News Posted: Jun 17, 2016 While it is shocking that Calgary's downtown skyscraper vacancy rate skyrocketed to 20 per cent at the end of March, and that it could soon surpass the vacancy record of 22 per cent set in 1983 (twice what it was a year ago), we should keep some perspective. These numbers are not unheard of in major corporate headquarter cities. Back in the 1970s, New York City was in decline. By the mid-70s, the city came close to bankruptcy and its office vacancy rate hit 20 per cent. In 1993, Toronto's downtown office vacancy rate hit 20.4 per cent. Vancouver's rose to 17.4 per cent in 2004. And these may not even be records, as data only goes back to 1990 for those cities. Today, New York City, Toronto and Vancouver's downtowns are booming. All downtowns go through periods of growth, decline and rebirth. Montreal's decline and rebirth In the '60s, the case could still be made Montreal was Canada's business capital. Its downtown was a major office headquarters for Quebec's natural resource industry as well as a thriving financial industry, including the head offices of the Bank of Montreal, Royal Bank of Canada and insurance giant Sun Life. In 1962, when the Place Ville Marie office designed by iconic architects I.M. Pei and Henry N. Cobb opened, it symbolized Montreal's arrival as a world-class city. This was further reinforced with the hosting of Expo '67, the arrival of Montreal Expos baseball team in 1969, and the 1976 Olympics. However, the '70s brought the threat of separation, which prompted many corporate headquarters and their executives to move to Toronto. By 1971, Toronto's population surpassed Montreal's. The 1976 Montreal Olympics, the most expensive in history, plunged the city into a legacy of debt and decline for decades. Today, Montreal has reinvented itself as an international tourist destination and a major player in the gaming and music industries. New York's return from the brink In 1975, New York City was on the brink of bankruptcy. The gradual economic and social decay set in during the '60s. The city's subway system was regarded as unsafe due to crime and frequent mechanical breakdowns. Central Park was the site of numerous muggings and rapes; homeless persons and drug dealers occupied boarded-up and abandoned buildings. Times Square became an ugly, seedy place dominated by crime, drugs and prostitution. Today, New York City is back as one of the world's most successful cities, economically and culturally, and Times Square is again one of the world's most popular urban tourist attractions. Calgary's future Perhaps Calgary has already begun to reinvent itself. Despite the growing vacancy rate downtown, the CBRE's First Quarter 2016 Report says, "Not all commercial real estate in the city has been affected, though. Suburban office space held steady from the last quarter, and the industrial real estate market is still robust because it's not tied to oil and gas." Indeed, Calgary has become one of North America's largest inland port cities, including two state-of-the art intermodal rail operations. Calgary is now the distribution headquarters for Western Canada, a position once held by Winnipeg. And so Calgary's industrial sectors employ more people than the energy sector. Calgary Economic Development is working with the real estate community to implement a "Head Office/Downtown Office Plan" with three action items. One idea is the repurposing of smaller older office spaces as incubators and innovation hubs to attract millennials and/or entrepreneurs. A good example of this is in West Hillhurst, where Arlene Dickenson has converted an old office building at the corner of Memorial Drive and Kensington Road that was once home to an engineering firm into District Ventures, home to several startup packaged goods companies. Another repurposing idea would be to convert some older office buildings into residential uses. In the U.S., programs like Vacant Places Into Vibrant Spaces have been successful but mostly for office to residential conversions of older buildings with smaller floor plates. They don't work for offices buildings with floor plates over 7,500 square feet (which is the case for most of Calgary's empty high-rise office space), as it is expensive and difficult to meet residential building codes, which are very different from commercial ones, making it tough to compete with new residential construction. In an ideal world, Calgary could become a global talent hub, where skilled workers who have been displaced from the energy and related industries continue to live in Calgary but become a remote workforce for energy projects around the world. Temporary and permanent satellite offices could be established in Calgary with teams of engineers, geologists, accountants, bankers etc. working on projects around the world. The obvious strategy would be to woo international companies in the finance, insurance, transportation, agriculture, digital media and renewable resources to set up a Canadian or North American office in Calgary, maybe even relocate here. With cities like San Francisco, Seattle and Boston facing major affordable housing crises for millennial workers, Calgary could become a very attractive place for a satellite office for companies in those cities. One "off the wall" idea postulated by George Brookman, CEO of West Canadian Industries, would be to promote Calgary as an "International Centre for Energy Dispute Resolution," similar to the Netherland's TAMARA (Transportation And Maritime Arbitration Rotterdam-Amsterdam), which offers an extrajudicial platform for conducting professional arbitration for settling disputes. However, one wonders: Could Calgary compete with London and New York, which are already leaders in the international arbitration business? Incentivize rebirth Calgary has reinvented itself before, evolving from a ranching/agriculture-based economy to oil and gas in the middle of the 20th century. Indeed, the downtown core, which is an office ghetto today, would benefit immensely if incentives could be made to convert a dozen or so office buildings into condos, apartments or hotels to foster a rebirth of the core as a place to live. Calgary at a Crossroads is CBC Calgary's special focus on life in our city during the downturn. A look at Calgary's culture, identity and what it means to be Calgarian. Read more stories from the series at Calgary at a Crossroads. http://www.cbc.ca/news/canada/calgary/calgary-core-kickstart-richard-white-1.3638276
  4. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  5. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201606/18/01-4993388-des-fraises-sur-le-toit-du-palais-des-congres-de-montreal.php Des fraises sur le toit du Palais des congrès de Montréal Publié le 19 juin 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Pierre-André Normandin La Presse Les Montréalais pourront bientôt aller cueillir des fraises en plein coeur de leur ville. Un laboratoire de recherche en agriculture urbaine prévoit ouvrir cet été une ferme sur le toit du Palais des congrès, où les citoyens ainsi que les restaurateurs du secteur pourront s'approvisionner. Ce projet est piloté par le Laboratoire sur l'agriculture urbaine (AU/LAB) de l'UQAM. Le responsable, Éric Duchemin, confirme que le projet devrait aller de l'avant. Ne manque qu'une autorisation des assureurs. « Le toit est assez solide », assure M. Duchemin. L'inauguration officielle doit avoir lieu plus tard cet été, le temps que les installations soient aménagées. Pour son premier été, la ferme exploitera une superficie de 500 mètres carrés, mais elle devrait atteindre 1840 mètres carrés en 2018, soit environ le tiers d'un terrain de football. Celle-ci sera ouverte de juin à octobre. De la culture de légumes est déjà pratiquée depuis quelques années sur la toiture de cet édifice, mais ce projet compte pousser l'expérience beaucoup plus loin. La ferme qui misera sur des cultures biologiques offrira un espace de production de fraises, d'aromates et de fleurs comestibles destinées à la commercialisation. Le projet prévoit qu'une partie de cette production sera offerte en autocueillette. Une autre partie sera vendue aux restaurateurs situés dans un rayon d'un kilomètre ainsi qu'au service de traiteur du Palais des congrès. L'arrondissement de Ville-Marie versera une subvention de 25 000 $, provenant de ses surplus, pour appuyer le démarrage du projet, mais les responsables visent l'autofinancement. Pour y arriver, ils miseront sur les ventes de leurs produits, ainsi que la location d'un espace de travail et de rencontre. « MURS COMESTIBLES » Une partie du site sera réservée à l'expérimentation agricole, notamment pour tester des « murs comestibles ». On veut ainsi vérifier si le climat québécois est propice à ceux-ci et si on peut développer un modèle économique. Montréal a mené il y a quelques années une importante consultation publique sur l'agriculture urbaine, après que plus de 30 000 Montréalais eurent signé une pétition en ce sens. C'était la première - et unique - fois que des citoyens forçaient la Ville à mener une consultation publique sur un sujet. Le laboratoire AU/LAB s'était engagé lors de l'événement Je Vois Montréal à créer un laboratoire vivant sur l'agriculture urbaine d'ici la fin de 2016. Le Palais des congrès n'a pas souhaité commenter le projet immédiatement, indiquant qu'il comptait faire une annonce à ce sujet la semaine prochaine.
  6. Group calls for CP to give up Cote St. Luc rail yards. McGill urban planning to draft designs. http://montreal.ctvnews.ca/mobile/group-calls-for-cp-to-give-up-cote-st-luc-rail-yards-1.2950411 A former mayor of Cote St. Luc is calling for the removal of the CP rail yards. Robert Libman is leading a group calling for the rail yards to be taken off the island of Montreal. The yards take up about one-third of the city of Cote St. Luc, more than 200 hectares in the geographic centre of the island. "There's almost like this black hole in the heart, right in the middle of Montreal," said Libman. His Coalition for the Relocation of the St-Luc Rail Yards is going to lobby Canadian Pacific and multiple levels of government . The group acknowledges that buying out CP will take a fortune, not to mention the cost of decontamination. However it says the value of the land should be an incentive to sell. "In 2016, just the real estate value alone is reason for CP to consider moving their operations off island," said Libman. Libman said that he has heard countless complaints from people living near the yards from people frustrated by noise, smell and pollution. He said the yards are also the source of major commuting problems across a broad part of the island. The rail yards, and spurs from the yard, significantly limit the north-south connections in the region. Trying to afford a path over or under the yards has been one of the sticking points in the decades-old proposal to connect the two ends of Cavendish Blvd. Sources say negotiations with CP about crossing the rail spur that roughly parallels Vezina St. have also been one problem delaying the Blue Bonnets housing project. "[it] creates traffic gridlock, environmental concerns, safety concerns about rail yards being so close to a residential community," said Libman. He pointed out that the Turcot train yards are no longer used, moved out by the reconstruction of the Turcot Interchange and the displacement of Highway 20. Over the summer the Coalition will be seeking support for a petition to move the rail yards off-island - possibly to Les Cedres. Libman said the McGill School of Urban Planning will also work on designs for what could be done with the land if the rails are removed.
  7. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  8. Pas sûr que ça va ici, mais je ne savais pas où mettre. Anyway, super nouvelle! Certains ici ont déjà participé à ça? Moi c'était au National Model United Nations à NY. Je ne sais pas comment se compare le WMUN par contre. https://www.dawsoncollege.qc.ca/news/dawson-community/worldmun-is-coming-to-montreal-thanks-to-dawsons-efforts/
  9. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  10. What you guys think? Would look really nice. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201606/16/01-4992539-inquietudes-sur-un-lancer-de-lanternes-au-sommet-du-mont-royal.php Sur papier, l'idée peut sembler séduisante : relâcher simultanément des milliers de lanternes chinoises dans le ciel de Montréal depuis le sommet du mont Royal. En pratique, la Ville de Montréal craint qu'un tel événement prévu lundi soir ne représente un important risque d'incendie.
  11. Get the Real “Montreal Experience” at These 5 Can’t-Miss Restaurants http://www.vogue.com/13445210/montreal-dining-guide-local-traditional-authentic-food/
  12. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  13. Une Symphonie du jeu video de Montreal presentee par l'Orchestre Metropolitain pour le 375e MONTRÉAL, le 9 juin 2016 /CNW Telbec/ - L'Orchestre Métropolitain, en collaboration avec l'Alliance numérique, présentera en novembre 2017 la Symphonie du jeu vidéo de Montréal dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal ; un spectacle multimédia durant lequel les musiciens de l'Orchestre interpréteront les thèmes de jeux vidéo marquants qui ont été produits à Montréal. Les compagnies de jeux vidéo de Montréal sont invitées dès maintenant à soumettre les trames sonores de leurs jeux pour que celles-ci figurent à la programmation du concert. La sélection finale sera dévoilée à l'automne 2016. « L'Orchestre Métropolitain est fier de présenter cet événement multimédia de grande envergure, à l'image du dynamisme de l'industrie du jeu vidéo de Montréal, a dit Jean Dupré, président et directeur général de l'Orchestre Métropolitain. C'est pour nous l'occasion de décloisonner les formes d'arts et de présenter la musique symphonique dans un contexte nouveau et hautement stimulant ! C'est d'autant plus une grande joie pour l'Orchestre de mettre en valeur le talent créatif des compagnies de jeux vidéo qui font partie intégrante de l'identité de la ville de Montréal. » Le spectacle aura également tout un pôle interactif : en synchronisme avec l'Orchestre, seront projetées sur grand écran des séquences des jeux vidéo. Afin d'ajouter une dimension interactive au concert, une personne du public sera invitée à monter sur scène pour jouer en direct à un jeu vidéo. Sa performance sera projetée et sera accompagnée simultanément par l'Orchestre. « L'Alliance numérique est heureuse d'appuyer l'initiative de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Nous sommes enthousiastes quant au succès de cette spectaculaire initiative dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal et invitons les compagnies de jeux vidéo à participer en soumettant leurs musiques. Ce projet offrira une belle visibilité au savoir-faire et à la créativité nécessaires à la création des jeux vidéo de qualité qui font la renommée de notre industrie. », a déclaré Catherine Émond, directrice des services aux membres de l'Alliance Numérique, qui représente les studios de jeu vidéo du Québec. Le concert sera dirigé par la chef Dina Gilbert. Une œuvre originale du compositeur de jeu vidéo Maxime Goulet, initiateur du projet, sera présentée. Composée spécialement et exclusivement pour le concert, cette œuvre servira de thème musical pour la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Pour guider le spectateur d'un jeu à l'autre, un maître de cérémonie interagira avec le public et fera des liens entre les différentes musiques interprétées par l'Orchestre en dévoilant les caractéristiques recherchées par les auteurs des pièces originales dans le contexte de l'expérience de jeu projeté. La Symphonie du jeu vidéo de Montréal offre aux entreprises de jeux vidéo ayant un studio à Montréal l'opportunité de prendre part à cet événement unique en son genre en soumettant une à la programmation du concert. Pour ce faire, les entreprises sont encouragées à remplir le formulaire sur le site web de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. « Ce spectacle original et exclusif représente un exemple probant de la programmation du 375e anniversaire de Montréal, a déclaré Alain Gignac, directeur général de la Société du 375e anniversaire de Montréal. La vivacité de la métropole sera célébrée à travers cet alliage entre la puissance d'un orchestre symphonique et l'univers immersif et interactif du jeu vidéo. Une soirée mémorable à ne pas manquer », a conclu M. Gignac. « Voilà l'esprit du 375e anniversaire de Montréal ! Quelle étonnante et intéressante initiative entre l'Orchestre Métropolitain et l'Alliance numérique ! Les compagnies de jeux vidéo de Montréal nous démontreront encore une fois leur volonté d'ouvrir grandes leurs portes aux citoyens, leurs forces créatives et leur attachement à la métropole », a souligné le maire de Montréal, Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. En concevant ce concert interactif inédit, l'Orchestre Métropolitain confirme la capacité des promoteurs montréalais d'innover pour mettre en lumière le talent de nos musiciens et créateurs. Cet événement original contribuera à la reconnaissance de notre métropole comme chef de file mondial dans le secteur du multimédia », a fait savoir le ministre des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Montréal, M. Martin Coiteux. À propos de l'Orchestre Métropolitain Toujours composé de musiciens d'ici, majoritairement formés au Québec, l'Orchestre Métropolitain est un organisme de calibre international voué au rayonnement de la musique symphonique d'ici et d'ailleurs, au service de toute la communauté métropolitaine de Montréal et de ses divers organismes culturels. Sous la direction artistique de Yannick Nézet-Séguin depuis 2000, la renommée de l'Orchestre Métropolitain n'a cessé de croître et d'évoluer -- à Montréal, au Québec, au Canada et à l'étranger. À propos de l'Alliance numérique Depuis sa création en 2001, Alliance numérique constitue le réseau d'affaires de l'industrie des nouveaux médias et des contenus numériques interactifs du Québec. L'Alliance compte plus de 100 membres actifs dans le secteur du jeu vidéo et du divertissement numérique interactif. Elle soutient leur développement en leur offrant une gamme étendue de services et d'activités. Elle multiplie aussi les partenariats, les rencontres et les échanges sur les scènes nationale et internationale afin de favoriser la croissance, la compétitivité et le rayonnement de l'industrie, dans le respect de tous ses intervenants. L'Alliance agit également à titre d'interlocuteur privilégié de l'industrie auprès des pouvoirs publics. À propos du 375e de Montréal La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme sans but lucratif qui a pour mission d'organiser les festivités et contributions socio-économiques qui marqueront le 375e anniversaire de Montréal en 2017. Privilégiant la mise en valeur de l'expertise montréalaise, elle agit comme un catalyseur des forces dans la réalisation de son mandat : mobiliser la communauté, mettre en œuvre une stratégie de financement, administrer de façon rigoureuse les fonds recueillis, élaborer une programmation de qualité et assurer la promotion des festivités. Animée par la volonté de créer des ponts, elle compte sur l'appui d'un conseil d'administration, d'un conseil des gouverneurs et de plusieurs comités. La Société bénéficie du soutien financier de la Ville de Montréal, du gouvernement du Québec et de 10 Grandes Montréalaises. À propos de Maxime Goulet, compositeur Maxime Goulet a composé plus de 25 trames sonores de jeux vidéo dont Warhammer 40,000: Eternal Crusade, Roller Coaster Tycoon World, The Amazing Spider-Man, Dungeon Hunter-I, II, III, IV, Shrek Forever After, Brothers in arms 2: Global Front, Brothers in Arms 3: Sons of War. Il est également le créateur de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Ses œuvres de musique classique, dont Chocolats symphoniques, ont été jouées à travers le Canada, aux États Unis, en Europe et en Amérique du sud, par des ensembles tels l'Orchestre Métropolitain, l'Orchestre symphonique de Montréal, Angèle Dubeau, l'Orchestre symphonique de Vancouver, l'Orchestre philharmonique de Calgary et l'Orchestre du Centre national des Arts. À propos de Dina Gilbert, chef d'orchestre Reconnue pour son énergie, sa précision et sa polyvalence, Dina Gilbert aborde avec passion le grand répertoire symphonique tout en accordant une place importante à la création musicale. Originaire de la Beauce, Dina Gilbert est fondatrice et directrice artistique de l'Ensemble Arkea, un orchestre de chambre montréalais proposant des interprétations innovantes de la musique orchestrale. Avec cet ensemble, elle a collaboré à maintes reprises avec de jeunes compositeurs canadiens, créant plus d'une trentaine d'œuvres en plus de prendre part à plusieurs enregistrements de musiques de films et de jeux vidéo. Depuis avril 2013, elle occupe le poste de chef assistante de l'Orchestre symphonique de Montréal et du Maestro Kent Nagano. Au cours de la saison 2015-16, Dina Gilbert a fait ses débuts avec le Toronto Symphony Orchestra, l'Orchestre Métropolitain et le Sudbury Symphony Orchestra. À l'été 2016, elle fera ses débuts à l'Orchestre philharmonique de Radio France et elle dirigera la première mondiale de la présentation du film Le violon rouge, avec orchestre live et la soliste Lara St. John au Festival de Lanaudière. Dina Gilbert - Home | Accueil Pour en savoir plus sur ce projet : sjvm.ca. Pour plus d'information sur les célébrations du 375e anniversaire de Montréal : 375mtl.com ou visitez notre salle de presse pour des images supplémentaires. Trouvez tout dans notre salle de presse virtuelle ici : Salle de presse | 375mtl.com SOURCE Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal Renseignements : Source Orchestre Métropolitain : Laurie-Anne Riendeau, Responsable des relations publiques, T 514 598-0870, poste 27, C 514 467-2320, lariendeau@orchestremetropolitain.com; Source 375MTL : Isabelle Pelletier, 514 238-4178
  14. Consultez « À la une » provenant de La Presse+. http://plus.lapresse.ca/screens/a0893e1f-43ec-470c-ad15-f25dd78f036e%7C_0.html De centre-ville inhabité et moribond, le cœur de Montréal est en train de devenir un véritable quartier résidentiel, dynamique et enthousiaste. La métropole québécoise est-elle en train de vivre une véritable révolution? Nos journalistes ont parcouru les projets qui fleurissent dans les quartiers chauds de Montréal tels que Griffintown, le quartier des spectacles et le centre-ville; ils ont constaté une effervescence dont nos derniers souvenirs pourraient remonter aux Olympiques de 1976. Tours à condos, grands projets de transport, revitalisation des quartiers et projets du 375e convergent pour donner un nouveau souffle à Montréal. Le dossier spécial Le réveil de Montréal, publié le dimanche 5 juin dans La Presse+, vous projettera dans un futur proche très emballant. sent via Tapatalk
  15. MTLmoments / Perspectives http://www.tourisme-montreal.org/blog/fr/mtlmoments/ 1 exemple : [video=youtube_share;ujupFv-mRYU]
  16. http://journalmetro.com/plus/vacances/972394/chasse-aux-fantomes-a-griffintown/ 31/05/2016 Mise à jour : 31 mai 2016 | 23:20 Chasse aux fantômes à Griffintown Par Dominique Cambron-Goulet Métro Des vestiges de l’église Sainte-Anne sont encore bien visibles aujourd’hui. Chantal Levesque/Métro Il n’y a pas que les châteaux d’Écosse qui sont remplis de fantômes. Certains lieux de la métropole recèlent des histoires à faire peur, et il est possible de les découvrir grâce aux visites guidées de Montréal hanté. Aperçu de la visite du Griffintown hanté. Histoire du quartier Le premier arrêt de cette tournée du Griffintown hanté est un terrain abandonné de la rue Barré. «C’est ici que j’explique l’histoire de Griffintown, précise Donovan King, fondateur de Montréal Hanté. Durant la famine de 1847, Griffintown est devenu le bidonville le plus célèbre du Canada parce que 75 000 réfugiés irlandais y sont débarqués, alors que le quartier ne comptait auparavant que 50 000 citoyens.» Peu après, une épidémie de typhus a ravagé Griffintown, et de nombreuses fosses communes y ont été creusées. Héritage irlandais Ces Irlandais ont amené bien des traditions avec eux. «Lors des funérailles, il n’était pas rare que les corps soient exposés debout et que les gens festoient ou même dansent avec le cadavre, explique M. King près des vestiges de l’église Sainte-Anne, dans le parc du Faubourg-Sainte-Anne. Il y a trois ans, un homme qui magasinait un condo a vu un prêtre fantôme se matérialiser ici, ainsi qu’un cercueil avec un chœur d’enfants.» Écrasement meurtrier Une tragédie méconnue est survenue à Montréal en 1944, quand un bombardier qui avait décollé à Dorval s’est écrasé dans Griffintown, tuant les 5 membres d’équipage et 10 personnes au sol, et détruisant triplex. «Des gens disent qu’il s’agit d’un sabotage. En effet, un enfant a trouvé une pièce d’or sur le site de l’écrasement, et on sait que les joyaux de la Couronne étaient gardés dans l’édifice de la Sun Life durant la Deuxième Guerre mondiale», raconte Donovan King. Il n’a toutefois jamais été prouvé que les joyaux se trouvaient à bord du bombardier. La prostituée sans tête Un arrêt au coin des rues William et Murray, le lieu que hanterait le fantôme de Mary Gallagher, est le clou de la visite. «Le 27 juin 1879, Mary Gallagher, une prostituée de 38 ans, a été massacrée par sa meilleure amie, Suzy Kennedy, raconte Robusquet, comédien qui sert de guide pour le parcours en français. Tous les sept ans depuis 1879, des gens voient son fantôme décapité errer ici. Apparemment, elle chercherait sa tête.» Sa dernière apparition date de 2012. Oserez-vous aller vous promener à cette intersection en 2019? Infos Les comédiens-guides de Montréal hanté offrent depuis quelques années des visites des lieux hantés de Montréal en anglais. À partir du 3 juin, des excursions en français auront lieu les vendredis à 20 h, et ce, jusqu’au 7 octobre. Les visites du Griffintown hanté et du mont Royal hanté sont offertes en alternance.
  17. https://blog.cogecopeer1.com/why-montreal-is-fast-emerging-as-canadas-cloud-hub?utm_campaign=FY16%20Inbound%20GLOBAL%20Mar%20Colocation%20Digital&utm_content=31021264&utm_medium=social&utm_source=linkedin So, what makes Montreal attractive for tech startups and cloud providers? The city has low power and real estate costs, making Canada’s second largest financial center more attractive to Canadian organizations. The city’s cold climate is a big advantage. One of the largest costs of running a data center is providing cooling for hardware, and having a supply of freezing cold air for much of the year helps. Montreal, with a population of a million and a half, has a plentiful supply of engineers, and is home to the largest concentration of research complexes in Canada, so is not short of skilled workers. Then there is the abundant supply of green power. It is one of the most inexpensive means of generating electricity, and for organizations requiring power hungry SANs and scaled out storage, cheap power is more attractive than the cheap connectivity offered by a city with a peering exchange.
  18. Provenant de La Presse+. http://plus.lapresse.ca/screens/a45ecad0-51d0-4577-b836-0de86525e75d%7C_0.html [h=1]MONTRÉAL EN 91 JOURS[/h]Passer trois mois dans une ville, puis passer à une autre destination. Voilà le mode de vie des deux hommes derrière le blogue For 91 Days, qui ont choisi la métropole pour leur 16e escapade. Nous les avons rencontrés dans un quartier souvent ignoré par les touristes : Saint-Henri. MARIE-EVE MORASSELA PRESSE Mike Powell et Jürgen Horn ne parlent pas français, mais s’ils restaient au Québec assez longtemps, ils diraient probablement d’eux-mêmes qu’ils ont la bougeotte. Le couple s’est rencontré à Boston en 1999, puis s’est installé en Allemagne, en Irlande et en Espagne, où il a habité trois appartements différents dans la seule ville de Valence.« On s’est rendu compte assez rapidement qu’on a une maladie commune qui fait qu’on ne peut rester au même endroit, dit Jürgen. Un jour, on dinait et on a parlé de changer encore d’appartement. On s’est rendu compte qu’il fallait faire quelque chose d’autre. »Les déménagements successifs sont devenus le nouveau mode de vie des deux hommes. En séparant l’année en quatre, il leur est apparu que passer 91 jours dans chaque ville serait l’idéal. Ils ont tout vendu ce qu’ils avaient et leur vie de nomade a commencé, consignée sur leur blogue For 91 Days.Ils choisissent leurs destinations au gré de leurs envies et non selon les invitations des offices de tourisme. « On ne veut pas être en dette, avoir la pression de tout aimer », précise Jürgen. La publicité sur leur blogue leur permet de faire un peu d’argent, mais tous deux sont des travailleurs autonomes en informatique. « Le blogue, on le voit comme un passe-temps. Si c’était une entreprise, ça changerait la manière dont on le fait », croit Mike.Montréal est leur 16e destination, après Tokyo, Istanbul, Buenos Aires et Savannah, notamment. « On décide où on va selon l’argent qu’on a et la météo. Pour Montréal, la météo est un pari qu’on a perdu ! », dit Mike en riant. Arrivés dans la métropole en avril, ils ont découvert avec effarement que la neige pouvait tomber à la mi-mai. « On a visité beaucoup de musées, mais on commençait à avoir hâte de découvrir la ville de l’extérieur », disent-ils.LA COHUE PRINTANIÈRE Déjà, ils constatent que, contrairement à certains endroits où l’on se réfugie à l’air climatisé dès que la chaleur se fait trop sentir, les Québécois se ruent dehors dès que le mercure grimpe.« Lundi, on a loué une voiture pour aller au mont Saint-Hilaire et on s’attendait à une journée tranquille. Nous ne savions pas que c’était une journée de congé… On a été pris dans le bouchon pour y aller, puis il y a eu de la congestion une fois sur la montagne tellement il y avait de gens ! »En plus de la congestion routière, Montréal leur a fait d’autres surprises. La ville est plus étalée que ce qu’ils avaient imaginé, le festival Chromatic – découvert au hasard d’une promenade – les a charmés et s’ils avaient à choisir un quartier où habiter, ce serait dans la Petite Italie.Mais ils quitteront Montréal à la fin du mois de juin. Le couple est aujourd’hui propriétaire d’un appartement à Valence et se repose à la maison entre deux voyages. Le nomadisme, c’est bien, tant qu’on peut en revenir de temps en temps.Les coups de cœur des blogueursJÜRGEN« J’ai beaucoup aimé aller à la cabane à sucre. La bouffe était super bonne, la météo était parfaite ! »MIKE« Nous sommes allés voir un match du Canadien. Nous étions dans la dernière rangée en haut, ils ont perdu 4 à 1, mais j’ai beaucoup aimé ça ! » Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.
  19. Voici deux vidéos sur Montréal qui sont assez bien réalisées avec de belles images. Kudos pour les mecs d'être venus en hiver.
  20. http://journalmetro.com/actualites/montreal/966622/une-premiere-arcade-de-realite-virtuelle-bientot-a-montreal/ 24/05/2016 Mise à jour : 24 mai 2016 | 3:42 Une première arcade de réalité virtuelle bientôt à Montréal Par Mathias Marchal Métro Montréal pourrait disposer dès cet été de la première arcade de réalité virtuelle en déplacement libre au Canada. C’est ce dont rêve Yan Cyr, directeur du studio Beam Me Up, situé au Technohub, dans l’arrondissement de Saint-Laurent. «À ma connaissance, on est les seuls à concevoir des salles de réalité virtuelle où tu peux te déplacer librement sans être relié à un fil. Donc, ça améliore grandement l’expérience», affirme M. Cyr. Le studio, qui développe cette technologie depuis près de trois ans, travaille avec des spécialistes du jeu vidéo pour créer des expériences immersives en 3D, mais aussi avec des ingénieurs spécialistes des objets connectés. Un collaborateur d’Exium Réalité est aussi en train de mettre au point un gant tactile qui permettra d’ajouter le sens du toucher à l’expérience de réalité virtuelle ou augmentée de Beam Me Up. Si l’arcade dont rêve Beam Me Up ne dispose pas de millions en budget, comme aux États-Unis ou en Australie, son directeur pense qu’il a de quoi en intéresser plusieurs. «Avec toutes les expériences virtuelles qu’on a créées pour tester notre technologie, on pourrait imaginer un parcours dans les locaux du studio. Il y aurait le couloir de la peur, où on serait poursuivi par des gargouilles. On aboutirait ensuite dans l’Holodec actuel [une pièce munie de capteurs], où on jouerait une partie d’échecs à saveur Harry Potter, pour finalement aboutir dans la salle principale, où il faudrait piloter un avion en évitant les obstacles ou survivre à une attaque d’extra-terrestres», illustre l’ancien cofondateur d’Enzym Lab, une entreprise spécialisée dans les tests de jeux vidéo. Video Player Mais la réalité virtuelle va bien au-delà du jeu vidéo. Le studio montréalais développe des projets immersifs avec deux musées montréalais et collabore avec l’arrondissement dans le cadre de la réfection du parc à la sortie de la station de métro Côte-Vertu. «La visualisation du futur parc ou de tout autre projet d’urbanisme peut se faire dans nos salles immersives; ça aide les décideurs publics à voir l’impact des différentes options de réaménagement qui s’offrent à eux afin qu’ils prennent les meilleures décisions», soutient Yan Cyr. L’autre gros marché qui s’ouvre au studio est celui des projets immobiliers. «Avec la réalité virtuelle en déplacement libre, tu peux entrer dans les plans 3D de ton futur appartement avant même qu’il ne soit construit. C’est quand même mieux que de le voir sur une maquette en carton», lance Yan Cyr. Effectivement, en se baladant virtuellement sur la terrasse d’un immeuble, on s’est accidentellement retrouvé sur la corniche au-dessus du vide. Et même si les images sont faites par ordinateur, on était littéralement pétrifié. Il a fallu plusieurs secondes avant qu’on arrive à mettre un pied de côté pour sortir de cette fâcheuse posture. La réalité virtuelle, c’est assez puissant. Pas étonnant alors que la technologie serve à traiter les soldats victimes de stress post-traumatiques, les joueurs compulsifs ou les victimes de phobies. C’est aussi une voie qu’explore Beam Me Up, qui a obtenu une bourse fédérale pour s’assurer la collaboration de six chercheurs en neurosciences et en intelligence artificielle. Pendant deux ans, ils étudieront les données cérébrales des utilisateurs de réalité virtuelle pour optimiser l’expérience. Où les rencontrer? Dans le cadre des activités du Printemps numérique, le studio sera présent : Au marché de la réalité virtuelle de Montréal, le 1er juin Au symposium iX, le 3 juin à la SAT Au festival Eureka, dans le Vieux-Port, du 10 au 12 juin La stratup américaine The VOID VR travaille elle aussi avec Sony Pictures sur la création de centres d’amusement de réalité virtuelle particulièrement élaborés, si l’on se fie à cette vidéo. À Melbourne, en Australie, une telle salle existe déjà, créée par Zero Latency VR
  21. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/05/18/007-cite-memoire-multimedia-vieux-port-montreal.shtml Cité Mémoire, un hommage tout en émotion pour Montréal Publié le mercredi 18 mai 2016 à 17 h 00 | Mis à jour le 18 mai 2016 à 19 h 40 Le reportage de Valérie-Micaela Bain Depuis mardi soir, les gens qui se promènent dans le Vieux-Montréal peuvent admirer 19 tableaux multimédias qui relatent l'histoire de Montréal. Cité Mémoire est un parcours conçu par des créateurs québécois qui nous fait découvrir des évènements et des Montréalais qui ont marqué la ville à leur manière. À la tombée de la nuit, des personnages et des évènements marquants de l'histoire de la métropole apparaissent dans le Vieux-Montréal. La Susan de Leonard Cohen, l'aubergiste Joe Beef et la féministe Éva Circé-Côté prennent vie au sol, sur des façades et même sur des arbres. Les concepteurs Victor Pilon, Michel Lemieux et Michel Marc Bouchard ont créé un parcours urbain spectaculaire et intime en 19 tableaux. « Ces gens-là qui ont construit, rêvé, bâti Montréal sont encore dans les murs, dans les briques, dans les parois, dans la pierre de Montréal, et on s'est dit qu'on veut que ces personnages-là émergent des murs et qu'ils viennent nous raconter un peu de leur histoire, de ce qu'ils ont vécu », explique Victor Pilon Des légendes montréalaises comme Maurice Richard et Émile Nelligan font partie du parcours, mais Cité Mémoire rend aussi hommage aux personnages méconnus qui ont composé l'ADN de Montréal. Jackie Robinson, le premier Noir de la Ligue majeure américaine de baseball, et l'esclave Marie-Josèphe Angélique en sont de bons exemples. Victor Pilon et Michel Lemieux On essaie de toucher les gens par des émotions et par l'émotion, les gens s'identifient à Jackie Robinson par exemple. Michel Lemieux Les visiteurs parcourront le circuit de 5 kilomètres grâce une application mobile sur téléphone ou tablette et des écouteurs. Plus de 200 comédiens, danseurs, acrobates, musiciens ont participé au tournage des fresques. Le dramaturge Michel Marc Bouchard a choisi et mis en scène les personnages en plus d'écrire les textes. Michel Marc Bouchard On a tenté dans ce qu'on présente d'avoir une espèce d'unicité par rapport à Montréal, quelque chose qui n'appartient qu'à Montréal. Michel Marc Bouchard Cité Mémoire, une oeuvre de 20 millions de dollars unique au monde et majoritairement financée par des fonds publics, constitue un des legs du 375e anniversaire de Montréal. Elle sera présentée 10 mois par année, et ce, pour les quatre prochaines années. La poésie de l'oeuvre émerveillera sans aucun doute chacun des visiteurs.
  22. Bonne nouvelle. Ça va continuer à stimuler le boom immobilier. --- http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201605/18/01-4982752-partenariat-de-100-millions-entre-la-caisse-de-depot-et-claridge.php Partenariat de 100 millions entre la Caisse de dépôt et Claridge Maxime Bergeron La Presse Le groupe Claridge et la filiale immobilière de la Caisse de dépôt annonceront aujourd'hui un nouveau partenariat doté d'un budget de 100 millions de dollars, qui investira dans des projets de moyenne envergure dans la grande région de Montréal. « C'est un véhicule qui aura une stratégie d'investissement très particulière pour aider les promoteurs de la grande région de Montréal qui ont besoin d'un certain appui financier pour compléter leurs projets de développement », a expliqué hier Wayne Heuff, vice-président exécutif et directeur général de la nouvelle entité Claridge Immobilier inc. Le partenariat vise à réaliser des investissements de 5 à 15 millions. Puisque les mises de fonds oscillent entre 20 et 25 % dans les projets de développement, une participation de 10 millions de Claridge Immobilier inc. pourrait permettre la réalisation de projets d'une valeur totale de 40 à 50 millions, a souligné M. Heuff. Des projets un peu plus petits ou un peu plus gros pourraient aussi être considérés s'ils sont jugés « stratégiques », a-t-il précisé. EXPERTISE Les deux membres de ce partenariat ont chacun un long parcours. Ivanhoé Cambridge, la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec, détient des actifs de 55 milliards à l'échelle mondiale. Claridge, le fonds d'investissement privé de la famille de Stephen Bronfman, est de son côté actif en immobilier depuis les années 50 et participe ces jours-ci à plusieurs gros projets dans la région montréalaise. Wayne Heuff souligne que la participation du nouveau partenariat dans de futurs projets résidentiels ou commerciaux dépassera de loin le simple investissement en argent. « L'autre avantage qu'on amène dans des projets potentiels comme ça, c'est l'historique et l'expertise que chacune de nos organisations respectives pourrait amener à la table en termes d'investissement immobilier et de développement », a-t-il dit à La Presse Affaires. Aucun investissement précis ne sera dévoilé aujourd'hui, mais quelques projets sont déjà à l'étude.
  23. http://www.tvanouvelles.ca/2016/05/15/le-college-royal-militaire-de-saint-jean-reprendra-son-titre-duniversite Ca demeure une bonne nouvelle pour la région de Montréal si ca aboutit
  24. Intéressant http://ici.radio-canada.ca/emissions/gravel_le_matin/2015-2016/chronique.asp?idChronique=406460
  25. http://montrealgazette.com/news/local-news/josh-freed-the-winds-of-change-are-blowing-and-they-just-might-transform-montreal The winds of change are blowing and they just might transform Montreal -WE NEED MORE ARTICLES LIKE THIS DAMMIT!
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