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  1. Montreal’s cash-strapped universities have a wealth of notable and famous alumni who got their start at one of our local universities before leaving their mark on this province and beyond. Across the fields of business, science, politics and the arts, there are countless examples of notable alumni who earned a degree at a Montreal university before making it big. The list from Université de Montréal reads like a veritable Who’s Who of Quebec leaders, while McGill University has an embarrassment of riches, with bragging rights to the longest list of notables across all fields and by far the most prestigious prize winners. Here are some examples of those famous alumni (with apologies to the many accomplished graduates we didn’t have space to include). We have also included Nobel Prize winners and the number of Rhodes Scholars to round out the list of distinguished alumni. Montreal universities have bragging rights to many famous alumni | Montreal Gazette
  2. http://journalmetro.com/local/ile-des-soeurs/actualites/1008609/du-surf-sur-le-fleuve-grace-au-pont-champlain/ 15/08/2016 Mise à jour : 15 août 2016 | 16:40 Du surf sur le fleuve grâce au pont Champlain? Par Colin Côté-Paulette Montréal pourrait devenir la capitale mondiale du surf de rivière s’il n’en tenait qu’à Hugo Lavictoire, le propriétaire de Kayak sans Frontières (KSF). L’entrepreneur aimerait profiter des travaux de construction du nouveau pont Champlain pour aménager des vagues artificielles et ainsi attirer des touristes sur les berges de la métropole. «On pourrait prendre un pont de 5 G$ destinés aux automobilistes et l’adapter pour en faire une infrastructure qui inclurait un plus grand nombre de citoyens, dont les milliers de gens qui font du surf sur le fleuve», indique M. Lavictoire. Le président de KSF estime que la machinerie déjà en place pour les travaux sous-marins pourrait aussi être utilisée pour installer une structure en forme d’entonnoir au fond du fleuve. Cette pièce créerait de nouvelles vagues éternelles pour les surfeurs et kayakistes, comme celles bien populaires à Habitat 67 et la célèbre «vague à Guy» à LaSalle. À ce sujet: Pour M. Lavictoire, les piles du nouveau pont Champlain pourraient aussi servir d’aires de repos, puisque les structures créent un contre-courant et permettent de remonter facilement le fleuve, de manière sécuritaire, selon lui. «Ça serait quoi d’ajouter 1 M$ au projet pour que Montréal devienne la capitale du surf de rivière. Les retombées économiques seraient plus grandes que celles du Grand Prix, on peut faire du surf neuf mois par année ici, pas seulement une fin de semaine», soutient-il. Olivier Barrette, un membre influent de la communauté de surfeurs montréalais qui parcourt les vagues du monde, voit le projet d’un bon oeil. «Ça fait longtemps qu’on parle d’ajouter des vagues dans le fleuve. Ce n’est pas exagéré, je pense qu’après Munich, on est le 2e pôle de surf de rivière dans le monde. On a plus de surfeurs en tout cas», souligne-t-il dans une entrevue en plein tournage d’une publicité de surf à Burlington. Il prend en exemple certaines villes américaines et allemandes qui ont réussi l’implantation de vagues artificielles dans leurs rivières. Un sport en «implosion» «En ce moment, on est victime de notre succès, le sport implose par sa popularité. Les vagues statiques peuvent être surfées plus longtemps que les vagues dans les océans, alors c’est très populaire», précise Hugo Lavictoire. Il estime que KSF a accueilli entre 200 et 300 touristes cet été, dont plusieurs durant le weekend chaud et ensoleillé du festival de musique Osheaga au début du mois d’août. «On aurait avantage à bonifier l’offre touristique pour s’adresser à une clientèle jeune», croit la gestionnaire des relations publiques à Tourisme Montréal, Andrée-Anne Pelletier. Selon les données Cities, les milléniaux (18-34 ans) représentent 42% des touristes venus à Montréal en 2014. M. Barrette raconte qu’il a même croisé plusieurs hommes d’affaires qui choisissent de faire leurs réunions à Montréal au lieu de Toronto, pour aller profiter des vagues en passant. Impacts: des environnementalistes se prononcent L’achalandage qui découle de la popularité de la vague à Guy joue présentement un rôle dans l’effritement des berges du site, en raison des nombreux adeptes du surf. Toutefois, l’implantation de nouvelles vagues pourrait avoir des effets positifs, selon le directeur de l’organisme Héritage Laurentien, Jason Di Fiore. «Une nouvelle vague viendrait réduire la pression sur les deux sites, mais ça doit être bien fait. Il doit y avoir une étude d’impact adéquate au préalable», explique-t-il. Un changement de courant dans le fleuve, mal dirigé, pourrait troubler les zones de fraie de certaines espèces de poissons. L’accès à l’eau des sites devrait également être amélioré d’après M. Di Fiore. Pour le coordonnateur du Mouvement ceinture verte, Sylvain Perron, l’important est d’avoir une cohérence entre les groupes sportifs et environnementalistes. «Si on officialise le statut de Montréal comme ville de surf, on peut réglementer pour limiter les impacts. Les groupes sportifs pourraient contribuer au nettoyage des berges par exemple», avance-t-il. Le site de la «vague à Guy» sera réaménagé par la Ville de Montréal quelque part entre 2017 et 2019, à la suite de consultations publiques qui ont eu lieu en janvier dernier. Le Réseau des grands parcs de Montréal prévoit, entre autres, l’aménagement d’un escalier de pierres pour freiner l’érosion des berges, la déviation de la voie cyclable et l’ajout de services publics comme une aire de repos et des toilettes. Comme le projet de M. Lavictoire n’est pas encore présenté concrètement, aucun représentant de la Ville ou d’Infrastructure Canada n’a voulu se prononcer.
  3. Le gars est pas pire... https://i.redd.it/w3k1xdb6nfhx.jpg Vu sur https://www.reddit.com/r/montreal
  4. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/201608/24/01-5013543-le-point-de-vue-deuropeens-en-visite-a-montreal.php Un nombre croissant d'Européens choisissent de venir passer leurs vacances au Québec. On les croise quotidiennement dans le Vieux-Montréal et à Québec, mais aussi en Mauricie, sur la Côte-Nord, en Gaspésie, au Lac-Saint-Jean, et même dans les pourvoiries éloignées des grands centres, où ils constituent souvent plus de la moitié de la clientèle. Une promenade dans le Vieux-Montréal nous a permis d'en rencontrer quelques-uns. Famille Blancher (Julie, Emmanuel et leurs filles Anna, 10 ans, et Lilly, 6 ans) Originaire de: Limoges (France) Durée du voyage: 2 semaines Itinéraire: Toronto, chutes du Niagara, Ottawa, parc de la Mauricie, Québec, Baie-Saint-Paul, Tadoussac, fjord du Saguenay, Montréal «Notre grand coup de coeur, c'est le fjord du Saguenay, mais nous avons beaucoup aimé la nature sauvage, tous ces grands espaces, c'est magnifique! Nous avons été très étonnés par le côté américain des grandes villes - la largeur des rues, la hauteur des immeubles, etc. - et par le côté cosmopolite de Montréal. Nous avons aussi été frappés par la grande gentillesse des gens, par leur ouverture.» Hahhah Herty Originaire de: Nuremberg (Allemagne) Durée du voyage: 2 mois Itinéraire: Montréal (depuis trois semaines), Québec, Tadoussac, les parcs nationaux, éventuellement le Nouveau-Brunswick «Je suis venue suivre des cours de français, mais pour ça, j'aurais mieux fait d'aller en France parce que tout le monde est bilingue ici. Dès qu'ils voient que je bloque, les gens me parlent en anglais! dit-elle en riant. Plus sérieusement, j'aime beaucoup l'ouverture d'esprit des gens, on peut parler de tout, même de politique. J'ai eu de superbes conversations dans mes cours. L'atmosphère de Montréal me plaît beaucoup. C'est très cool!» Famille Audenino (Claire, Alain et leur fils, Guillaume, 18 ans) Originaire de: Versailles (France) Durée du voyage: 15 jours Itinéraire: Toronto, Montréal, Québec, fjord du Saguenay, Montréal «En ville, ce qui nous étonne le plus, c'est le mélange des cultures européenne et américaine. On se sent comme entre les deux, c'est très agréable», dit Alain. «Montréal est très cool, on se sent en sécurité partout, ajoute sa femme. Et évidemment, la nature, les grands espaces... tout est plus grand ici qu'en Europe!» Stéphane Binke et sa fille Marion, 17 ans Originaire de: Cannes (France) Durée du voyage: 15 jours Itinéraire: Montréal et Laurentides «C'est la troisième fois que nous venons, et chaque fois nous sommes émerveillés. Les deux premières fois, nous avons fait un grand tour (Québec, Saguenay, Tadoussac, Gaspésie, etc.). Cette fois, comme nous avons des amis à L'Estérel, nous avons choisi de rester un peu plus sur Montréal. Vous êtes bien, ici. Il y a une zénitude qu'on ne trouve plus en France. D'ailleurs, j'espère pouvoir venir m'installer. C'est un peu pour ça que nous sommes là.» Famille Bouëxel (Patrice, Béatrice et leurs enfants Théa, 16 ans, et Maxime, 20 ans) Originaire de: Paris, mais Bretons d'origine (France) Durée du voyage: 3 semaines Itinéraire: Toronto, Mille-Îles, Ottawa, Tremblant, Québec, La Malbaie, fjord du Saguenay, Lac-Saint-Jean, Montréal «Ce qui nous épate, ce sont bien sûr tous ces grands espaces, mais aussi la gentillesse des gens, leur accueil, leur ouverture. La propreté, aussi, notamment dans le métro, on ne voit pas ça chez nous!» Famille Sanchez (Michaël, Caroline et leurs enfants Kyan, 3 ans, et Arvin, 1 an) Originaire de: Paris (France) Durée du voyage: 3 semaines Itinéraire: Toronto, Montréal, Mauricie, Lac-Saint-Jean, fjord du Saguenay, Québec «Nous venons de mettre le pied à Montréal. Nous avons beaucoup aimé Toronto, c'est une ville intéressante. À Montréal, ce qui nous frappe pour l'instant, c'est qu'il y a beaucoup de travaux!»
  5. Hôtel 1000-1006 de la Montagne et Appartements 947 Lucien-L'Allier - 26, 41 étages Condos Laurent & Clark - 20 étages Condos Babylone - 26 - 37 étages Condominium Maritime Montréal - 39 étages Quad Windsor - Tour Peel - 20 étages Tour des Canadiens 3 - 37 ou 49 étages Tour Bleury - 25 étages
  6. Il manque celle de Rocco... http://www.jolijolidesign.com/une-serie-de-photos-sur-les-magnifiques-colonnes-de-montreal-par-drowster/
  7. Publié le 12 août 2016 à 13h38 | Mis à jour le 12 août 2016 à 13h38 Les Forges de Montréal menacées d'éviction par la Ville Les Forges de Montréal, un organisme sans but lucratif, est le seul endroit en Amérique du Nord consacré à enseigner les techniques d'époque, selon Mathieu Collette. La Presse Canadienne Giuseppe Valiante Au beau milieu d'une autoroute et de silos à grains le long du canal Lachine, à Montréal, se trouve une structure grisâtre âgée de 130 ans qui abrite des forgerons pratiquant le métier d'antan. Mathieu Collette, avec sa salopette noire et sa queue de cheval nouant ses cheveux foncés, travaille sur une pièce de fer rouge de chaleur placée sur une enclume française vieille de 230 ans. « Personne au Canada ne fait ce que nous faisons, dit-il alors qu'une goutte de sueur perle sur son front. Nous sommes même uniques en Amérique du Nord. » Bien que plusieurs cours de forge existent ailleurs au Canada, M. Collette affirme que son organisme sans but lucratif, Les Forges de Montréal, dans l'édifice où il travaille, est le seul endroit en Amérique du Nord consacré à enseigner les techniques d'époque. Ses collègues et lui offrent des cours à tous ceux qui sont intéressés à garder le métier de forgeron bien vivant. Depuis 2000, M. Collette et plusieurs autres forgerons se partagent l'espace, mais ils affirment que la Ville de Montréal veut les chasser de l'endroit en raison d'un conflit sur le bail. « La Ville veut mettre ses camions là », soutient M. Collette devant la fenêtre donnant sur l'autoroute Bonaventure, qui est à quelques mètres de l'édifice. Il pourrait prendre son matériel et déménager, mais M. Collette estime que le lieu de son atelier est aussi important que les méthodes qu'il enseigne à ses élèves. Derrière la structure de pierre est situé le canal Lachine, qui était auparavant à proximité des usines de bois transformé, d'acier, de cuir et d'autres produits qui ont été essentiels au développement du Canada. Tout juste à côté de l'édifice se trouvent d'imposants silos à grains, qui appartiennent à l'entreprise propriétaire de la farine Five Roses - dont le panneau en néon rouge illumine le ciel de Montréal chaque soir. Le fait qu'un atelier de forge soit entouré d'usines et de voies ferrées - des symboles de la Révolution industrielle - n'échappe pas à Mathieu Collette. « Nos techniques anciennes sont vivantes et sont [des symboles] de la Révolution industrielle au Canada », souligne-t-il. Le gouvernement possède le terrain sur lequel la structure est érigée et M. Colette souhaite discuter avec Ottawa pour agrandir l'atelier et créer un musée ainsi qu'une aire récréative extérieure afin de raconter l'histoire industrielle du Canada. « C'est totalement unique ici. Juste derrière nous est [située] l'entrée du canal qui a bâti le Canada: les moulins, le train, le pont Victoria derrière nous... Personne ne sait ça. Nous voulons faire un musée qui explique tout ça. » Mais M. Collette et ses partenaires doivent d'abord régler leur conflit avec la métropole, qui est propriétaire de l'édifice. Le forgeron dit qu'il avait une entente avec l'ancienne administration municipale pour remettre à plus tard des rénovations onéreuses. La Ville de Montréal soutient plutôt que cette entente n'avait jamais été formellement approuvée et que le groupe viole les clauses du bail en ne procédant pas aux rénovations. Une porte-parole de la municipalité, Anik de Repentigny, a écrit dans un courriel que les Forges de Montréal ne respectaient pas les obligations du contrat et que « le dossier suit son cours ». « Nous n'avons pas d'autres commentaires », a-t-elle dit. Mathieu Collette espère que les Montréalais et le maire reconnaîtront que son groupe protège l'héritage culturel de la ville. « Nous sommes une équipe de passionnés qui aimons partager les techniques anciennes de forge avec le public. Avant, les gens étaient fiers de faire des objets qui dureraient pour toujours. Et c'est pourquoi les anciennes techniques sont meilleures que les nouvelles », a-t-il fait valoir. La technique de forge en bref - La forge traditionnelle utilise les quatre éléments: la terre (le fer), l'air (pour augmenter la chaleur du fer), l'eau (pour refroidir le métal) et le feu (pour forger). - Le charbon de forge peut atteindre une température d'environ 1600 degrés Celsius. - Pour forger, il faut du charbon, une enclume, un marteau et de la poudre de borax (pour éviter l'oxydation). - À la fin de sa formation, l'apprenti forgeron saura faire des trous dans le métal, souder deux pièces ensemble et scinder le métal. - Les métaux par excellence sont le fer et l'acier en raison de leur solidité et de leur durabilité. - Un bon apprenti peut devenir forgeron après environ trois ans. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201608/12/01-5009878-les-forges-de-montreal-menacees-deviction-par-la-ville.php
  8. http://www.jll.com/Research/Global-Office-Index-Q2-2016.pdf Sent from my iPhone using Tapatalk
  9. http://www.cbc.ca/beta/news/canada/montreal/montreal-real-estate-tax-foreign-investors-vancouver-1.3704178 A new tax on foreign buyers in Vancouver has real estate agents predicting a spillover effect into other Canadian markets. But it's unclear if Montreal, often an outlier when it comes to real estate trends, will be among them. "I really don't think this is something that's looming for Montreal," said Martin Desjardins, a local realtor. The market here is "nothing compared to what's happening in Toronto and Vancouver," he said. The new 15 per cent tax, which took effect Tuesday, was introduced by the British Columbia government with the intent of improving home affordability in Metro Vancouver, where house prices are among the highest in North America. Ontario Finance Minister Charles Sousa has said he is examining the possibility of a similar tax "very closely," as a measure to address Toronto's skyrocketing home prices. Experts believe the Vancouver tax could exacerbate the booming housing market in Toronto and, potentially, affect other Canadian cities. Brad Henderson, president and CEO of Sotheby's International Realty Canada, said some foreign nationals could turn to areas not subject to a tax — either elsewhere in British Columbia or farther afield. "Certainly I think Toronto and potentially other markets like Montreal will start to become more attractive, because comparatively speaking they will be less expensive,'' Henderson said. However, the Montreal market has so far remained off the radar of foreign investors. France, U.S top Montreal foreign buyers the Canada Mortgage and Housing Corporation said the number of foreign investors in the Montreal area is small and concentrated in condominiums in the city's downtown. The report found that 1.3 per cent of condominiums in the greater Montreal region were owned by foreigners last year. That number jumps to nearly five per cent in the city's downtown. Residents of the United States and France accounted for the majority of foreign buyers, while China (at eight per cent) and Saudi Arabia (five per cent) accounted for far fewer buyers. Francis Cortellino, the CMHC market analyst who prepared the study, said it's difficult to determine whether the Vancouver tax will change the situation much in Montreal. "We're not sure yet what [buyers] will do," he said. "There are a lot of possibilities." In Montreal, Desjardins said the foreign real estate buyers most often operate on a much smaller scale, often consisting of "mom and pop investors" or people from France looking for a more affordable lifestyle. "I don't think it will ever be to the point where we'll have to put a tax," he said. Sent from my iPhone using Tapatalk
  10. Voir ce lien pour les superbes images http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/special/2016/7/eglises-montreal-decouvrir/ Vue sur la nef à l'intérieur de l'église Sainte-Geneviève VOICI 7 ÉGLISES DE MONTRÉAL À DÉCOUVRIR De l'Art déco à la représentation de Mussolini, préparez-vous à voyager à travers le patrimoine religieux montréalais. Au-delà des lieux de culte que proposent les guides touristiques, plusieurs églises restent méconnues et mériteraient d'être découvertes. Nous avons demandé à deux spécialistes du patrimoine religieux de nous proposer quelques détours. Un photoreportage d'Anne-Louise Despatie À la fin du XIXe siècle, on parlait de Montréal comme étant la ville aux 100 clochers. En fait, il y en a beaucoup plus dans la métropole québécoise. Aujourd'hui, malgré la fermeture de paroisses, la vente et la conversion de dizaines d'églises, il en reste plus de 300 encore dédiées au culte. Plusieurs sont de magnifiques bâtiments que les passants ne voient plus. En voici certaines, suggérées par nos deux experts en patrimoine religieux qui ont accepté de se limiter à deux ou trois églises, celles qui, selon eux, méritent d'être mieux connues. L'église Saint-Georges : retour au Moyen-Âge Carte indiquant l'emplacement de l'église Saint-GeorgesExtérieur de l'église Saint-Georges, située sur la rue Stanley à Montréal Située devant la gare Windsor, l'église Saint-Georges est un lieu patrimonial méconnu. Nichée dans les arbres et à l'ombre des immeubles qui l'entourent, l'église anglicane est un véritable bijou, selon le professeur David Hanna de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Vue sur le choeur à l'intérieur de l'église Saint-Georges Construite en 1870 par l'architecte William Thomas, son style gothique impose un retour au Moyen-Âge, même si elle est beaucoup plus récente. « L'ambiance est médiévale, souligne M. Hanna. C'est une traduction extraordinaire, je trouve, de l'apogée du gothique en Angleterre ». Il faut remarquer ses vitraux, son choeur, la richesse et le travail du bois. La nef de l'église Saint-Georges La charpente de l'église est remarquable. Cette structure à blochets qui soutient le toit permet d'éliminer les colonnes. L'effet arqué de ces poutres de bois est unique à Montréal. C'est l'un des plus grands plafonds du genre dans le monde. Des gargouilles sculptées autour de l'entrée de l'église Saint-Georges À l'extérieur, il faut s'attarder aux détails et aux sculptures dans le grès. Les arbres constituent un écrin de verdure pour cette église dédiée au saint patron de l'Angleterre. L'église Saint-Esprit-de-Rosemont : Art déco unique Carte indiquant l'emplacement de l'église Saint-Esprit-de-RosemontExtérieur de l'église Saint-Esprit-de-Rosemont, située sur la rue Masson à Montréal Sa façade est particulière et fait la fierté des gens de Rosemont, sondage à l'appui. Construite au début des années 1930, Saint-Esprit-de-Rosemont a d'abord porté le nom de Sainte-Philomène jusque dans les années 1960. Elle porte la signature de l'architecte Joseph-Elgide-Césaire Daoust. Pour le professeur Luc Noppen de l'UQAM, ce monument mérite d'être mieux connu. Ce serait la seule église de style Art déco au Canada. Bancs de style Art déco à l'intérieur de l'église Saint-Esprit-de-Rosemont Tout est intégré et porte la signature de l'architecte. Les luminaires, les confessionnaux, le chemin de croix et le mobilier. À l'avant, les bancs des marguilliers sont uniques et entièrement Art déco; un style prisé dans les bâtiments institutionnels des années 1930, mais qui a été plus rarement utilisé dans les églises. Luminaire de style Art déco dans la nef de l'église Saint-Esprit-de-Rosemont Les luminaires sont remarquables et caractéristiques. Ils mettent en valeur l'ensemble. « Lorsqu'ils sont éteints, on a l'impression qu'il manque quelque chose. Ils font partie de l'effet recherché par l'architecte », explique Luc Noppen, professeur et historien d'architecture. Vitrail de Nincheri L'église Saint-Esprit compte une importante collection de vitraux signés par l'artiste montréalais Guido Nincheri. Il faut remarquer le vitrail de la tribune d'orgue, un chef-d'oeuvre d'Art déco. L'église unie Saint-James : véritable surprise Carte indiquant l'emplacement de l'église unie Saint-JamesExtérieur de l'église unie Saint-James, située sur la rue Sainte-Catherine à Montréal La façade de grès rose et jaune ne passe pas inaperçue, mais peu de gens osent entrer. Il faut prendre le temps de regarder les animaux sculptés dans le bandeau sous la rosace qui est joliment éclairée le soir. Motifs sculptés à la place du prolongement d'une colonne à l'intérieur de l'église Saint-James, construite en 1888. L'architecte Francis Dunlop a remplacé les colonnes par une structure complexe dissimulée derrière le plafond de style gothique. Cela permet à tous les fidèles d'avoir une meilleure vue. Les bancs arrondis au balcon de l'église unie Saint-James « Chez les protestants, l'accent est mis sur les chants, sur la célébration, c'est pourquoi l'architecte a conçu l'église comme un amphithéâtre », explique le professeur David Hanna. L'effet de courbe des bancs au jubé est magnifique. C'est de là-haut qu'il faut contempler cette église. Vue de la façade de l'église Saint-James sur la rue Sainte-Catherine Des années 1920 à 2005, la façade de grès et l'immense rosace étaient cachées par des commerces construits devant l'église. Leur démolition a permis à l'église Saint-James de retrouver sa place rue Sainte-Catherine. Saint-Pierre-Apôtre : rare catholique néo-gothique Carte indiquant l'emplacement de l'église Saint-Pierre-ApôtreExtérieur de l'église Saint-Pierre-Apôtre, située sur la rue de la Visitation à Montréal C'est l'une des rares églises catholiques construites dans le style néo-gothique. Saint-Pierre-Apôtre a été réalisée par l'architecte Victor Bourgeau de 1851 à 1853, selon des plans de John Ostell. Des arcs-boutants en métal plutôt qu'en pierre à l'extérieur de l'église Saint-Pierre-Apôtre Les catholiques ont abandonné le gothique associé davantage aux églises anglicanes et protestantes. Ce virage a été amorcé par monseigneur Ignace Bourget, évêque de Montréal, pour que les églises catholiques se distinguent. La chaire de style gothique de l'église Saint-Pierre-Apôtre Ses colonnes de pierre sont uniques. L'église qui devait être toute en pierre a finalement été terminée en bois et en plâtre. « Le travail n'est pas terminé en haut des colonnes. Tout à coup, on revient avec les traditions du Québec : du bois et du plâtre et forcément de l'imitation de pierre », raconte l'historien d'architecture Luc Noppen. Des banderoles multicolores dans la nef de l'église Saint-Pierre-Apôtre Saint-Pierre-Apôtre est la paroisse du village gai. On y trouve l'arc-en-ciel emblématique et une chapelle dédiée aux victimes du sida. L'église Sainte-Geneviève de Pierrefonds : un classique Carte indiquant l'emplacement de l'église Sainte-Geneviève de PierrefondsExtérieur de l'église Sainte-Geneviève, située sur le boulevard Gouin Ouest à Montréal Située près de la Rivière-des-Prairies, l'église Sainte-Geneviève a été terminée en 1844. C'est la seule église montréalaise signée par l'architecte Thomas Baillairgé de Québec. Vue du balcon sur la nef de l'église Sainte-Geneviève Pour le professeur Luc Noppen, c'est une église qui vaut le détour. « L'architecte Victor Bourgeau qui a travaillé à la voûte va ensuite prendre ce modèle d'église et en construire d'autres dans la région de Montréal. C'est une architecture qui va connaître un certain succès, dit-il, et ça commence ici! » Colonne de style néo-classique à l'intérieur de l'église Sainte-Geneviève Réalisée dans le style néo-classique, l'église Sainte-Geneviève est bien conservée. L'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie : vestige du régime français Carte indiquant l'emplacement de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-MarieExtérieur de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie, située sur le boulevard Gouin Est à Montréal Dans le quartier Ahuntsic, La Visitation est la plus ancienne église datant du régime français encore debout. La nef et la première sacristie datent des années 1750. Cependant, la façade actuelle a été réalisée près de 100 ans plus tard. Choeur à l'intérieur de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie La décoration d'une grande finesse est un plaisir pour les yeux. C'est une église à découvrir aussi pour son emplacement au bord de la Rivière-des-Prairies. Vitrail dans la nef de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie Des artistes ont travaillé et sculpté l'intérieur pendant des décennies. Il s'agit de Philippe Liébert, David-Fleury David et Louis-Amable Quévillon. Portes menant à la sacristie de l'église de la Visitation de la Bienheureuse-Vierge-Marie Il faut s'attarder aux deux portes du sanctuaire. Richement travaillées, leur état de conservation les rend uniques. L'église Notre-Dame-de-la-Défense : pour voir Mussolini Carte indiquant l'emplacement de l'église Notre-Dame-de-la-DéfenseExtérieur de l'église Notre-Dame-de-la-Défense, située sur l'avenue Henri-Julien à Montréal Très italienne, l'église Notre-Dame-de-la-Défense a été inaugurée en 1919 dans la Petite-Italie, à côté du parc Dante. Elle fut réalisée selon les plans de Roch Montbriand et Guido Nincheri, peintre et artiste-vitrier qui a travaillé dans une centaine d'églises. Fresque représentant Benito Mussolini à l'intérieur de l'église Notre-Dame-de-la-Défense La présence de Mussolini à cheval et à côté du pape Pie XI dans la fresque au-dessus du choeur a de quoi surprendre. La fresque du Duce a même valu à son auteur d'être emprisonné pendant la Deuxième Guerre mondiale. Le peintre et artiste-vitrier Guido Nincheri a toujours soutenu avoir été obligé par l'Église de représenter Mussolini. Vue sur la chaire en marbre de l'église Notre-Dame-de-la-Défense Outre les fresques de l'abside, il faut remarquer les vitraux et le travail du marbre importé d'Italie. Un groupe visite l'église Notre-Dame-de-la-Defense Avec un peu de chance, vous croiserez le petit-fils de l'artiste Guido Nincheri. Photographe et guide, Roger Nincheri raconte comment son grand-père s'est inspiré de membres de sa famille pour peindre les anges dans la fresque de l'abside. La passion des experts Luc Noppen, historien d'architecture, auteur et professeur au Département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM Luc Noppen est historien d'architecture, auteur et professeur au Département d'études urbaines et touristiques de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) David Hanna, professeur à l'UQAM Spécialiste en patrimoine et développement durable, David Hanna est professeur à l'UQAM. Il est l'ex-président du Conseil du patrimoine religieux du Québec. Le choix a été difficile pour Luc Noppen et David Hanna qui ont accepté gracieusement de se plier à l'exercice. Ils ont choisi les églises qui méritent d'être mieux connues du grand public pour leur beauté et leurs particularités. En bons traducteurs de l'architecture religieuse, ils nous font faire ces belles découvertes. Si vous connaissez une église qui mérite un détour, n'hésitez pas à partager et à m'écrire : anne-louise.despatie@radio-canada.ca. Sent from my SM-T330NU using Tapatalk
  11. ANDRÉ DUBUC La Presse Le marché de la construction résidentielle se porte mieux que prévu après six mois en 2016. C'est particulièrement vrai dans l'île de Montréal, où le nombre de mises en chantier a doublé au deuxième trimestre 2016 par rapport à la même période l'année précédente. La statistique a été reprise par le Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui l'a publiée dans le plus récent numéro de son bulletin hebdomadaire Montréal économique en bref. Au total, 1534 unités ont été mises en chantier dans l'île d'avril à juin 2016, comparativement à 766 à la même période en 2015, une hausse de 100,3 %. La moitié sont des copropriétés et 37 %, ou 570 unités, sont des logements locatifs. Depuis le début de l'année, les mises en chantier sont en progression de 28 % dans l'île de Montréal. De janvier à la fin de juin, 4751 logements sont sortis de terre, comparativement à 3704 au cours du premier semestre l'an dernier. Quand on regarde la région de Montréal dans son ensemble, la progression des mises en chantier s'élève à 12,5 %, 7510 mises en chantier en 2016 contre 6674 en 2015. <iframe name="fsk_frame_splitbox" id="fsk_frame_splitbox" frameborder="0" allowfullscreen="" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" style="width: 633px; height: 0px; border-style: none; margin: 0px;"></iframe> PROGRESSION DE 9 % AU QUÉBEC Pour ce qui est de la province de Québec, la construction de logements connaît une progression de 9 % dans les centres urbains de 10 000 personnes et plus depuis le début de l'année. On y dénombre 14 441 mises en chantier au premier semestre 2016 par rapport à 13 198 au cours des 6 premiers mois de 2015. La plupart des économistes des organismes du domaine de l'habitation prévoyaient en début d'année une stabilisation, voire une légère baisse du nombre de mises en chantier au Québec en 2016 par rapport aux quelque 38 000 mises en chantier enregistrées en 2015. Ils n'ont pas revu leur prévision depuis. EN CHIFFRES Mises en chantier au premier semestre 2016 Nombre var. par rapport à 2015 Île de Montréal 4751 + 28 % Région de Montréal 7510 + 12,5 % Province de Québec 14 441 + 9 % (Centres urbains de 10 000 personnes et plus) Source : SCHL http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201607/28/01-5005174-montreal-forte-hausse-du-nombre-de-mises-en-chantier.php
  12. Salut, Je suis encore nouveau sur le forum, mais je tenais à partager un lieu que j'ai découvert récemment. Étant donné que ce lieu est méconnu, j'ai voulu en faire un jeu. Mouhahaha. Alors devinez où se trouve ce lieu! Indice: ce n'est pas un parc ou un parc-nature reconnu et ça se situe dans la ville de Montréal.
  13. Happy to see Montreal back in the 2016 top 25 cities ranking by Monocle, one of my favorite magazines. Montreal is back at number 25. Unfortunately the magazine is not online so you will have to pick it up at a bookstore! https://skift.com/2016/06/22/monocles-new-quality-of-life-top-25-cities-survey-tokyo-is-tops-again/ A few takeaways from the Montreal description: Pros: SLR Cons: "Lack of diversity" Other Montreal mentions in this latest issue: Alexandraplatz and Quartier Marconi
  14. http://plus.lapresse.ca/screens/c08b2208-a327-4775-a5fc-489e8e3b03c4%7C_0.html Sent from my SM-T330NU using Tapatalk
  15. The Movement presented by AT&T, hosted by former MLS forward Calen Carr, is a new series from MLS Digital that explores the growing soccer movement and soccer culture in North America In Episode 1, Carr visits Montreal to learn about the city’s unique culture and history — on and off the field. Music: ROWJAY “KUNG FUN MARGIELA" A TRAPPIN APE SOUNDCLOUD.COM/ROWJAYCOB Special Thanks Impact Media Pat Vallee Jordano Aguzzi Yvan Delia-Lavictoire
  16. https://blog.cogecopeer1.com/why-montreal-is-fast-emerging-as-canadas-cloud-hub?utm_campaign=FY16%20Inbound%20GLOBAL%20Mar%20Colocation%20Digital&utm_content=32715745&utm_medium=social&utm_source=linkedin
  17. Certains sur ce forum aime bien dépeindre Montréal (et le Québec par association) comme un endroit où les régulations et l'imposition rendent la vie difficile au commerce et à l'activité économique dans son ensemble. Une étude de KPMG place cependant Montréal au 4e rang d'une sélection de 51 villes pour son niveau de compétitivité fiscale. Le hic? C'est que Toronto et Vancouver figurent parmis les villes qui se classent devant Montréal. Deux constats s'imposent ici : - Montréal, globalement, est extrêmement attirante pour l'établissement de nouvelles entreprises. - Montréal, localement, est peut-être moins attirant. Le deuxième constat est difficilement un défaut que l'on pourrait qualifier d'accablant de l'administration régionale. On accuserait donc Montréal de ne pas être plus catholique que le pape? Il faudrait être la ville la plus "lousse" fiscalement du monde industrialisé pour satisfaire certain. Il est normal que Montréal perde "minimalement" au change quand on la compare à des villes situés dans des juridictions où le panier de services publics sont beaucoup moindre. La ville reste néanmoins extrêmement compétitive en terme d'attraction d'activité commerciale. SOURCE : L'étude de KPMG : http://www.ledevoir.com/documents/pdf/rapportkpmgfiscalite.pdf SOURCE : L'article du devoir : http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/475363/fiscalite-le-canada-soigne-bien-les-entreprises-selon-le-classement-de-kpmg?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1468410135
  18. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/475276/politique-culturelle-du-quebec-la-culture-c-est-aussi-l-architecture Politique culturelle du Québec La culture, c’est aussi l’architecture L’Ordre des architectes du Québec estime que «l’environnement bâti» fait partie de notre identité 12 juillet 2016 |Jérôme Delgado | Actualités culturelles Habitat 67, à Montréal Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Habitat 67, à Montréal La prochaine politique culturelle du Québec devra affirmer que la qualité architecturale est une affaire d’intérêt public et que « l’environnement bâti constitue un aspect fondamental de notre identité ». C’est ce que revendique l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) dans son mémoire présenté lors d’une des premières séances de la consultation publique mise en place par le ministère de la Culture et des Communications. L’OAQ milite depuis longtemps pour une politique nationale de l’architecture du Québec. Celle-ci forme l’échine du document déposé le 21 juin et intitulé La qualité architecturale, un chantier à poursuivre. « Nous recommandons, y lit-on, que la future politique culturelle plaide en faveur d’une politique nationale de l’architecture pour le Québec. » En 2014, l’OAQ a lancé l’idée d’une politique nationale de l’architecture selon des initiatives observées en Europe. Depuis 1991, une vingtaine de pays se sont dotés d’un tel programme. Au Québec, si la politique culturelle émet le besoin de se doter d’une politique en architecture, ce serait un pas dans la bonne direction, selon la présidente de l’OAQ. « Un pont qui tombe, ça exige l’urgence une action. Une politique nationale, c’est un travail de longue haleine », concède Nathalie Dion, lors d’un entretien téléphonique. Elle se félicite par ailleurs que son lobbying porte ses fruits. L’arrondissement de Saint-Laurent a en effet profité du dépôt du mémoire de l’OAQ pour exiger à son tour une politique de l’architecture. Le conseil des élus de ce secteur de l’ouest de Montréal est ainsi devenu la première instance municipale à voter une résolution dans ce sens. Chercher l’harmonisation Sans politique nationale, pas de vision globale. Sans vision, pas de qualité, ce noble principe qui résulte de l’addition d’harmonie, de fonctionnalité, de durabilité et de réponse aux besoins d’un milieu. Selon le regroupement des architectes, la qualité de ce qui se construit dépend de la cohérence des actions de différents ministères. Or, à l’heure actuelle, chacun travaille en vase clos. « Il y a dix ministères qui touchent à l’architecture. Et il n’y a pas d’harmonisation entre ce que font l’un et l’autre », constate Nathalie Dion. Certains s’occupent du code du bâtiment, d’autres de patrimoine, d’efficacité énergétique ou du cadre légal. Un programme interministériel, ou « national », les réunirait tous. Dans son mémoire de 18 pages, l’OAQ cite l’école Saint-Gérard comme un « exemple frappant » des conséquences néfastes du « manque d’harmonisation ». L’établissement du quartier Villeray, dans Montréal, a écopé du dialogue de sourds, autant lors de sa destruction, rendue inévitable en 2014 pour des raisons de moisissures, que lors de son actuelle reconstruction. La décision initiale du ministère de l’Éducation de refuser un toit vert, l’éclairage DEL et un plan de géothermie pour des raisons de dépassement de coûts ne se serait pas présentée avec une politique nationale. « Il est dommage, déplore l’Ordre, qu’une école en soit ainsi réduite à choisir entre les mesures vertes, l’accessibilité universelle et la convivialité des espaces, alors que tous ces facteurs sont essentiels à la qualité d’un bâtiment public. » Le document de l’OAQ détaille ce que la politique culturelle devrait clamer. Il faudrait qu’elle énonce des grands principes qui détermineront l’action du gouvernement. En plus d’appeler à une meilleure coordination entre les organismes publics, les architectes plaident notamment pour une vision en amont de projets, pour un plus grand soutien aux municipalités et pour une meilleure valorisation de la recherche.
  19. Montréal, championne du MICE des Amériques. Montréal attire toujours autant le MICE. Pour la cinquième année consécutive, la ville québecoise est la première destinations des Amériques pour l'accueil d'événements internationaux, selon l'International Meetings Statistics for the Year 2015 publié par l'Union des Associations Internationales (UAI). Montréal, championne du MICE des Amériques Montréal attire les conventions, les congrès et autres meeting. Elle a accueilli 108 événements internationaux au cours de l'année 2015. Cela représente une hausse de 29 % par rapport à 2014. La métropole québécoise devance ainsi les grandes villes américaines en recevant 42% d'événements internationaux de plus que New York (premier rang aux États-Unis) ou encore 59% de plus que Washington DC. Au Canada, Montréal domine aussi largement en accueillant plus de la moitié (52 %) des manifestations internationales qui ont lieu dans les trois grandes destinations du pays (Toronto, Vancouver et Montréal). Pour l'année 2015-16, le Palais des congrès de Montréal a comptabilisé près de 57 000 participants qui ont pris part à 25 congrès internationaux. Ces activités ont permis de générer près de 118 000 000 $ en recettes touristiques pour la ville. Il est possible de se procurer le rapport Meetings Statistics for the Year 2015 complet sur ce lien. Son prix est de 1080€ au lieu de 1270€ jusqu'au 1er septembre. http://www.uia.org/publications/meetings-stats http://www.deplacementspros.com/Montreal-championne-du-MICE-des-Ameriques_a38977.html?TOKEN_RETURN
  20. Quel choix de sujet pour l'article sur Montreal cette semaine dans la section CITIES dans The Guardian quand on compare avec l'article publie sur Toronto ! Jack Todd me déçoit beaucoup ! Welcome to the new Toronto: the most fascinatingly boring city in the world https://www.theguardian.com/cities/2016/jul/04/new-toronto-most-fascinatingly-boring-city-guardian-canada-week https://www.theguardian.com/cities/2016/jul/06/40-year-hangover-1976-olympic-games-broke-montreal-canada?CMP=fb_a-cities_b-gdncities#comments Cities Guardian Canada week The 40-year hangover: how the 1976 Olympics nearly broke Montreal The Montreal Olympics left the city with a C$1.6bn debt, a string of corruption scandals, and a creeping sense of economic and social decline. Forty years on, how did the city survive? Mayor Jean Drapeau stands in the Olympic Stadium, Montreal. Photograph: Graham Bezant/Toronto Star/Getty Cities is supported by Jack Todd in Montreal Wednesday 6 July 2016 07.30 BSTLast modified on Wednesday 6 July 201611.17 BST Shares 714 Comments 93 Save for later There is a moment before all our global sporting extravaganzas when it all seems poised on a knife edge. Helicopters hover above the stadium, keyed-up athletes shuffle and bounce with excess energy, and organisers bite their nails as they try to hold down nervous stomachs, worried that despite years of planning and the expenditure of billions, it will all go desperately wrong. Then the trumpets sound, thousands of young people take part in colourful charades, pop stars fight a losing battle with hopeless stadium acoustics – and the Games begin. The formula is pretty much set in stone, but in 1976 Montreal added a wrinkle. On 17 July, with Queen Elizabeth, Canadian prime minister Pierre Trudeau and 73,000 people looking on, the Greek athletes who traditionally led the Parade of Nations came up the ramp toward the Olympic stadium to find their way almost blocked by construction workers. Out of sight of the cameras and the throng inside the stadium, the staff were frantically wielding shovels and brooms to clear away the building debris left from the manic push to complete the facility on time. In the final scrambling months before the Games, 3,000 labourers had worked in teams 24 hours a day to make it possible for the Olympics to begin at all. They barely succeeded. Two weeks later, when the last athlete had gone home, Montreal woke up to what remains the worst hangover in Olympic history: not just a bill that came in at 13 times the original estimate, a string of officials convicted of breach of trust and the greatest white elephant of a stadium ever built, but a creeping sense of economic and social decline. Forty years on, no other Olympics has so thoroughly broken a city. Facebook Twitter Pinterest The opening ceremony of the 1976 Montreal Games. Photograph: Tony Duffy/Getty Images*** Advertisement When I arrived in Montreal five years earlier, a war resister from Nebraska with little French and less money, the city was enduring its harshest winter on record. Montreal would receive more than 152 inches of snow in 1970-71, including a March blizzard that killed 17 people. The endless snow, in a sense, was a mercy. It turned down the heat on the city’s simmering political crisis, which had boiled over the previous Octoberwhen the terrorist Front du Libération du Quebec (FLQ) kidnapped the British consul, James Cross, and the province’s minister of justice, Pierre Laporte. Prime minister Trudeau responded by imposing martial law. Armoured personnel carriers patrolled the streets and troops detained hundreds of people without charges. The FLQ would murder Laporte on 17 October. They released Cross on 3 December, effectively ending the crisis but leaving the city battered, bruised and tense. Even before the kidnappings, Montreal was jittery from a series of FLQ bombs: 95 in total, the largest of which blew out the northeast wall of the Montreal Stock Exchange. And yet, in those years, the best place to get a sense of what Montreal was and might have been was Le Bistro. It was really Chez Lou Lou, although no one called it that, and it featured more or less authentic Parisian ambience, right down to the surly French waiters. When I could afford it, Le Bistro was my favourite destination on a weekend morning. One especially frigid Saturday, Leonard Cohen sat at the next table with a blonde companion, both of them sporting deepwater tans from the Greek islands, looking blasé about it all. Facebook Twitter Pinterest Leonard Cohen was born in Westmount, Montreal. Photograph: Roz Kelly/Getty ImagesMontrealers could afford to be blasé. The city was everything that Toronto, its rival, 300 miles to the south-west, was not: urbane, sophisticated, hip, a place where you could dine well and party until the bars closed at 3am. In Toronto, they rolled up the streets at 11pm and toasted the Queen at public functions. Montreal was not just the financial capital of Canada, it was also the most European of North American cities, half English-speaking but overwhelmingly French, profoundly cultured and unfailingly elegant, where the old stone of the cathedrals met the Bauhaus steel-and-glass towers of Mies van der Rohe’s Westmount Square. The crowd at Le Bistro was a cross-section of cultural and political life in a city full of tensions, between separatism and federalism, English, French and Jewish, old money and new. There were political tensions that seemed to feed a creative ferment home that produced Cohen, the bombastic poet Irving Layton, the acerbic novelist Mordecai Richler, the politicians Pierre Trudeau and René Lévesque, the actor Geneviève Bujold and the film-maker Denys Arcand. The Olympics can no more run a deficit than a man can have a baby Jean Drapeau, in 1970 When, on 12 May 1970, during the 69th session of the International Olympic Committee held in Amsterdam, Montreal won out over competing bids from Moscow and Los Angeles to be awarded the Games of the XXI Olympiad, it seemed to signal another triumph. The city had hosted one of the most successful World’s Fairs ever in 1967, and a new baseball team, the Expos, began play in 1969, defeating the St Louis Cardinals 8-7 on 14 April at Jarry Park in the first regular season Major League game in Canada. Following those triumphs, the Olympics were sold to the Montreal public as being modest in design and, above all, inexpensive to stage. The mayor, Jean Drapeau – diminutive, autocratic, mustachioed – declared: “The Olympics can no more run a deficit than a man can have a baby.” *** Facebook Twitter Pinterest Leger (left) and Drapeau (right), listen as Taillibert describes the layout of Parc Olympique. Photograph: Bettmann/Bettmann ArchiveThe 1970 estimate was that the Games would cost C$120m (£65m) in total, with $71m budgeted for the Olympic Stadium itself. Drapeau took a personal hand in the stadium’s design. He and his chief engineer, Claude Phaneuf, selected the French architect Roger Taillibert, who had built the Parc des Princes in Paris and would also design the Olympic Village. Taillibert employed his own team of architects and engineers, and was respected for bringing in projects at, or at least near, budget. (The Parc des Princes, originally budgeted at $12m, cost $18m .) His conception for the “Big O” stadium was grandiose, in a style that might be called space-age fascist: it featured an enormous, inclined tower, the tallest such structure in the world, holding a retractable roof suspended from thick cables and looming over the stadium like a praying mantis over a turtle. There is no evidence, however, that either Taillibert or Drapeau ever had a handle on the management of the various construction sites. There were delays from the very beginning, and construction on the Olympic Park complex (including the Velodrome and Big O) began 18 months late, on 28 April 1973. This put Drapeau right where the powerful and militant Quebec labour unions (the Quebec Federation of Labour and the Confederation of National Trade Unions) wanted him: paying extravagant overtime bills. Out of a total of 530 potential working days between December 1974 and April 1976, the workers would be on strike for 155 days – 30% of the work time available. In one particularly crucial period of construction, from May until the end of October 1975, less than a year before the opening ceremonies were to commence, the unions walked off the job and no work was done at all. Oversight was utterly inadequate on every aspect of the project. During the inflationary 1970s, the price of structural steel alone tripled. In 1973, contractor Regis Trudeau, who had been awarded $6.9m in Olympic construction contracts, built a luxurious chalet costing $163,000 for Gerard Niding, who was Drapeau’s right-hand man and head of Montreal city council’s powerful executive committee. Only when a corruption commission forced his hand, five years later, did Trudeau finally produce a bill charging Niding for the house. Game off! Why the decline of street hockey is a crisis for our kids Read more By 1975, the provincial government had seen enough: they removed Taillibert and formed the Olympic Installations Board (pdf) (OIB) in an attempt to get a handle on the construction. Ironically, no one has since delivered a pithier assessment of the corruption than Taillibert himself. In 2011, he told le Devoir: “The construction of the Olympic Park and stadium showed me a level of organised corruption, theft, mediocrity, sabotage and indifference that I had never witnessed before and have never witnessed since. The system failed completely and every civil engineering firm involved knew they could just open this veritable cash register and serve themselves.” Drapeau himself was never charged or even suspected of personal corruption, but his remark about men having babies came back to haunt him. At the time, the physician Henry Morgentaler was much in the news for openly performing abortions. As the Olympic bill nearly tripled, to $310m, Montreal Gazette cartoonist Aislin drew one of the most famous cartoons of a brilliant career: it depicted a visibly pregnant Drapeau on the phone, saying: “‘Ello? Morgentaler?” *** When the Games finally opened, problems plagued the event itself, too. As it would do with debt, corruption and construction chaos, the Montreal Olympics inspired a trend in boycotts, when 22 African nations refused to participatebecause the IOC would not ban New Zealand for sending the All Blacks rugby team to tour apartheid South Africa. It caught on: western nations boycotted Moscow in 1980 over the Soviet invasion of Afghanistan, and communist nations retaliated in Los Angeles in 1984. Facebook Twitter Pinterest Montreal’s Olympic Stadium. Photograph: Design Pics Inc/Alamy Stock PhotoMontreal also broke the mould in security. Following the terrorist tragedy at Munich four years earlier, the security bill ended up running to another $100m (more than 80% of what the entire event was initially supposed to cost), not including the cost of the Canadian forces enlisted to help keep order. Meanwhile, some of the athletes were tainted by accusations of doping, including legendary Finnish postman and distance runner Lasse Virén, who was suspected of transfusing his own blood – a practice that was legal at the time, though Viren has always denied it. Far more serious was the treatment of East German athletes, who dominated their events in part because, the world later learned, they’d been fed performance-enhancing drugs for decades, sometimes without their knowledge, under a programme known as State Plan 14.25. Many later suffered psychological problems and had children with birth defects. The struggle in Iqaluit: north and south collide in Canada's Arctic capital Read more In the end, the athletes themselves redeemed at least some portion of the Olympic expense: the Games themselves went off relatively well. If the relentlessly self-promoting American decathlon gold medalist Bruce Jenner caused a few eyeballs to roll, he was overshadowed by the refrigerator-built Soviet weightlifter Vasily Alekseyev, who repeated his heavyweight gold from Munich and set an Olympic record in the snatch while lifting 440kg. And in the first full day of competition, the 14-year-old diminutive Romanian gymnast Nadia Comăneci earned a perfect 10 on the uneven bars – she went on to become the 1976 Olympics’ unquestioned individual star. Canada, meanwhile, became the first host nation to fail to win a gold medal on home soil, a feat made no less exceptional for being repeated at the Calgary Winter Olympics 12 years later. The glow began to fade with the closing ceremonies on 1 August. The final tally of the cost for the Olympics was $1.6bn, a more than 13-fold increase, including at least $1.1bn for the stadium alone. In popular lore, the Big O had officially become the Big Owe. When all was said and done, the city was left with debt that took 30 years to pay off. Facebook Twitter Pinterest Nadia Comăneci, of Romania, dismounts during a perfect 10 performance. Photograph: Paul Vathis/AP*** On 15 November 1976, running on a platform of good government in the wake of the scandals and cost overruns, René Lévesque’s separatist Parti Québecois (PQ) won its first provincial election. The PQ’s promise to hold a referendum on leaving Canada touched off a full-scale anglophone panic in bilingual Montreal, especially within the business community. Sun Life, the huge insurance company, was the first of a stream of Montreal-based corporations to move down Highway 401 to Toronto. When the referendum was eventually held in 1980, Lévesque and the “yes” side lost decisively, but by the end of the 1980s Canada’s financial capital had shifted firmly from St Jacques Street to Bay Street, Toronto. Between 1971 and 1981, the English-speaking population of Montreal declined by nearly 100,000; over the next 20 years – which included another referendum in 1995, that only kept Quebec in Canada by a narrow margin of 50.6% to 49.4% – it would shrink by another 100,000. It would take 30 years for the city of Montreal to retire the Olympic debt Like some medieval castle under a warlock’s curse, the Olympic stadium – visible from dozens of different vantage points in the city, an inescapable reminder of what went wrong – continued to be plagued with problems. In the 1980s, the tower caught fire. In August of 1986, a chunk of it fell on to the baseball field, forcing the Expos to postpone a game. In September of 1991, a bigger 55-tonne concrete slab fell on to an empty walkway. The OIB reassured the public no one was underneath it, prompting one columnist to ask: “How do they know?” The retractable roof never happened; instead, an orange Kevlar roof was finally installed in April of 1987. It tore repeatedly, until it was replaced in 1998 by a fixed roof, which cost another $37m. In the winter of the next year, that roof tore under a heavy snow load, sending a small avalanche of ice cascading on to workers preparing for a motor show. To this day, in a northern Canadian city that averages roughly 50cm of snow a month in winter, the Olympic Stadium cannot be used if the snow load exceeds 3cm. The OIB claims the only thing more expensive than a permanent steel roof (estimated cost: $200m-$300m) would be to tear the whole thing down (estimated cost: $1bn). Their figure has been widely debunked. The roof remains in place, and the Big O now lacks a full-time tenant: the Expos played their last game in 2004 and the franchise moved to Washington DC. Facebook Twitter Pinterest The 200,000 sq ft, 65-tonne Kevlar roof at the Olympic Stadium in Montreal was expected to last 25 years. Photograph: Shaun Best/ReutersThe stadium aside, Montreal did get some bang for its Olympic buck. The excellent Claude Robillard Sports Centre in the city’s north end is still used by thousands of athletes, and the one-time Velodrome has been converted to the Biodome, an enormously popular indoor nature museum. The claim has also been made that the Montreal Olympics proper turned a profit, which is true only if you chalk up the various purpose-built venues, the stadium in particular, to infrastructure. In any case, it would take 30 years for the city of Montreal to retire the Olympic debt. A commission headed by superior court judge Albert Malouf to probe Olympic corruption spent three years, and another $3m, before releasing a 908-page report in 1980 that laid blame squarely at the feet of the mayor. Taillibert, Phaneuf and others shared some of the responsibility, in Malouf’s view, but Drapeau was the principal culprit, with his hands-on style and his habit of turning a blind eye to the shenanigans around him. Top officials and contractors were convicted of fraud and corruption. They included Niding, Drapeau’s right-hand man, who was convicted of breach of trust and sentenced to one day in jail and a $75,000 fine, and contractor Regis Trudeau, who also received a one-day jail sentence and a $100,000 fine. Even Claude Rouleau, head of the OIB installed to stop the bleeding, was found guilty of breach of trust for accepting gifts in connection with the Olympic construction and was ordered to pay $31,000. Fining the miscreants, unfortunately, didn’t help pay off much of the debt. In order to rid itself of the Olympic burden city hall had to skimp on urban essentials for years. Even now, with a belated rush to repair its crumbling infrastructure,Montreal is still paying the price for decades of neglect. *** Forty years on, however, Montreal has endured. The sour jokes about the stadium, the corruption and the Olympic debt are now part of the culture. The separatist movement that convulsed the city in the immediate aftermath of the debacle also brought some much-needed social change. Welcome to the new Toronto: the most fascinatingly boring city in the world Read more Montreal survived by reinventing itself on a smaller, more viable scale. If Toronto seized the mantle of Canada’s financial capital, Montreal is the unquestioned capital of culture, a vibrant city of street art, sculpture and world-class jazz, fireworks, comedy and fringe festivals, the city no longer just of Leonard Cohen but of Arcade Fire and Cirque du Soleil. Le Bistro is long gone, but Montreal is still hip, the bars and restaurants and clubs the liveliest in the country, a walking city where the cafes are full all day long and joie de vivretrumps quotidian worries over such inconvenient details as bounced rent cheques and unpaid parking tickets. Montreal remains the polar opposite of money and real-estate obsessed Toronto – though where it was once a smaller, colder Paris, Montreal is now more North American, less European, less blithely certain of its position in the universe. Nevertheless, the Olympic debt is paid, separatism is a diminished force and there is even a tentative plan afoot to bring back the Expos. When spring finally comes after the long winters, there is a buoyant sense of rebirth and confidence in the future. If you can ignore the potholes and the still-simmering controversies over municipal corruption, Montreal is once again a great place to live. But you can’t escape the sense that the city might have had it all. In truth, before the Olympics, it did. Guardian Cities is devoting a week to exploring all things Canada. Get involved onTwitter and Facebook and share your thoughts with #GuardianCanada
  21. I came across this lovely video of a young YouTuber from France who visited Montreal for the first time, and how our city brought her a new perspective on life. At one point, recalling the experience of Montreal and Montrealers and what it did for her brings her to tears. A definite watch for us living here; it's a little long but take a moment and check it out. Too many of us take for granted how special a place this is. Skip to 2:35 if you want to get right to it. Interestingly, many of the video's comments are made by other French citizens saying they experienced the same feeling while visiting Montreal.
  22. Il semble que depuis la fin 2014, Montréal est en train d'explorer la possibilité de recouvrir l'autoroute Décarie dans le secteur Namur/De la Savane. Il y aurait au moins 2 hypothèses à l'étude. L'étendue de ce potentiel recouvrement n'est pas mentionnée. http://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=1a3f81aa-ccb1-4046-9821-9ffa7f0254e2
  23. Ça va faire le tour du monde ça. http://journalmetro.com/culture/985845/seal-surprend-un-chanteur-de-rue-a-montreal/
  24. Une vaste aire de stationnement située entre les rues Saint-Antoine, Saint-Jacques, Mansfiled et les voies ferrées du CN, au centre-ville, sera transformée en terminus d’autobus temporaire. Les travaux d’aménagement du site de 5500 mètres carrés par l’Agence métropolitaine de transport (AMT), qui doivent coûter 2,7 M$ au ministère des Transports du Québec, ont débuté lundi et doivent être terminés en novembre. La création du terminus Mansfield a pour objectif de favoriser le transport collectif et d’alléger la congestion routière dans le contexte des grands chantiers routiers en cours dans la région de Montréal, comme ceux du pont Champlain et de l’échangeur Turcot. Ainsi, les chauffeurs de plusieurs lignes d’autobus à destination de la Rive-Sud et de la Montérégie prendront des passagers à six quais d’embarquement et attendront leur heure de départ à quatre postes de régulation. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985820/nouveau-terminus-dautobus-au-centre-ville/
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