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  1. Publié le 07 septembre 2009 à 09h33 | Mis à jour à 09h39 Le Japon vise 25% de réduction de CO2 entre 1990 et 2020 Agence France-Presse Tokyo Le futur premier ministre japonais Yukio Hatoyama a annoncé lundi que le Japon allait tenter de réduire de 25% ses émissions de gaz à effet de serre (GES) d'ici 2020 par rapport à 1990, revoyant à la hausse l'objectif fixé par le gouvernent sortant. «Comme objectif à moyen terme, nous visons une réduction de 25% d'ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990, en nous basant sur les demandes scientifiques dans l'espoir d'arrêter le réchauffement climatique», a déclaré M. Hatoyama lors d'une réunion internationale sur le changement climatique à Tokyo. Président du Parti Démocrate du Japon (centre-gauche) victorieux des récentes élections législatives, M. Hatoyama sera désigné premier ministre par la Chambre des députés le 16 septembre. Ce chiffre annoncé par le prochain chef du gouvernement est plus ambitieux que la réduction de 8% fixée en juin par le premier ministre conservateur sortant, Taro Aso, pour la même période de référence. «Ceci est une promesse politique sur laquelle nous nous étions engagés dans notre manifeste électoral», a expliqué M. Hatoyama. «Nous devons l'accomplir en prenant toutes les mesures nécessaires». Le Japon défendra cet objectif de 25% dès la prochaine réunion organisée par l'ONU à New York le 22 septembre, préparatoire au sommet de Copenhague de décembre. Sous l'égide de l'ONU, ce sommet vise à trouver un accord international pour succéder au protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de GES considérées comme largement responsables du changement climatique. M. Hatoyama a toutefois averti que le Japon ne voulait pas avancer seul sur ce sujet. «Un accord enthousiaste avec la participation de tous les grands pays est une condition nécessaire à notre promesse devant la communauté internationale», a-t-il souligné. Deuxième économie mondiale, l'archipel n'est que le cinquième émetteur de gaz à effet de serre, derrière la Chine, les États-Unis, l'Inde et la Russie. Le futur premier ministre a annoncé en outre qu'il lancerait «une initiative immédiatement après la formation du gouvernement» pour aider les pays en développement à réduire leurs émissions de GES. «Nous pensons que les pays en développement doivent aussi faire un effort pour réduire leur GES, car le changement climatique est un problème planétaire. Les pays développés doivent fournir un soutien financier et technique aux pays en développement qui essaient de réduire leurs émissions», a-t-il expliqué. La question de l'aide financière apportée par les pays riches aux pays pauvres pour réduire leurs émissions constitue un désaccord de taille dans les négociations en vue du sommet de Copenhague.
  2. Une vieille nouvelle. La construction est en cours sur cet édifice de 6 étages. Un projet de 10,8 millions de dollars - LA MINISTRE LISE THÉRIAULT ET LA DÉPUTÉE FATIMA HOUDA-PÉPIN ANNONCENT L'AGRANDISSEMENT DU CENTRE D'ACCUEIL MARCELLE-FERRON BROSSARD, QC, le 8 juin /CNW Telbec/ - Le coup d'envoi des travaux de construction du projet d'ajout de 50 places de soins de longue durée au Centre Marcelle-Ferron, à Brossard, a été donné aujourd'hui par la ministre déléguée aux Services sociaux, madame Lise Thériault, et la députée de La Pinière et Première vice-présidente de l'Assemblée nationale, madame Fatima Houda-Pepin. «Nous voulons continuer à offrir un environnement de qualité et sécuritaire aux personnes aînés en perte d'autonomie. L'agrandissement prévu est un autre geste concret que nous posons et qui permettra d'atteindre cet objectif», a indiqué la ministre Thériault. Pour sa part, la députée de La Pinière qui a travaillé sur ce projet et qui en a fait un de ses engagements électoraux, en décembre 2008, est heureuse de le voir aboutir. «Cet ajout de 50 places en soins de longue durée, au coût de 10,8 millions de dollars est une réponse concrète à un besoin réel, celui des personnes en perte d'autonomie de la Rive-Sud, une région qui enregistre à la fois, une croissance démographique significative et un vieillissement de la population. Je remercie mon gouvernement pour l'écoute et l'appui qu'il donne à ce projet, ainsi que toutes les personnes et organismes qui m'ont accompagné durant les différentes étapes de sa concrétisation, notamment, Dr Jean-Marc Dumas, qui en est le promoteur, l'équipe du Centre Marcelle-Ferron, ainsi que l'Agence de santé et services sociaux de la Montérégie», a ajouté la députée Fatima Houda-Pepin. Le projet consiste à ajouter une aile d'environ 3 600 mètres carrés aux installations actuelles. Le Centre d'accueil Marcelle-Ferron verra ainsi sa capacité passer de 199 à 249 places. Les 50 lits supplémentaires seront répartis en cinq unités de vie, comptant chacune dix lits. Il sera ainsi possible d'accueillir des aînés en perte d'autonomie venant des territoires du Centre de santé et de services sociaux Champlain et du Centre de santé et de services sociaux Jardins-Roussillon. La députée de La Pinière a rappelé que le Centre d'accueil Marcelle-Ferron a le statut d'établissement privé conventionné, ce qui signifie qu'il offre les mêmes services, aux mêmes conditions, que les centres d'hébergement et de soins de longue durée du réseau public. «Depuis 2003, notre gouvernement a fait des efforts considérables pour améliorer les conditions de vie des personnes hébergées. Dans le cadre du Plan québécois des infrastructures, nous avons prévu des investissements de 800 millions de dollars dans les centres d'hébergement et de soins de longue durée. Nous avons aussi instauré des visites d'appréciation des services qui y sont offerts et mis en place un processus de certification des résidences privées. Le projet annoncé aujourd'hui témoigne une nouvelle fois de notre volonté de fournir les meilleurs services possibles à nos aînés en perte d'autonomie», a conclu la ministre Thériault. Québec © Gouvernement du Québec, 2009 photo : http://www.demolyal.com/MarcellFerron.html
  3. Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle. 490 MILLIARDS seront investi en défense par le fédéral en 20 ans et sur ce montant, 108 M $ va au Québec.... Fait-on rire de nous ? ------------------------------- Ottawa investit 108 millions $ en défense au Québec 25 août 2009 | 14h16 ARGENT Argent Le gouvernement du Canada a annoncé un investissement de 108,8 millions $ dans les infrastructures de défense au Québec. Le ministre de la Défense, Peter MacKay, a fait l’annonce sur la base militaire de Valcartier aujourd’hui. Les projets financés seront situés à Valcartier, mais également sur les bases militaires de Bagotville et de Montréal. Le gouvernement fédéral a indiqué qu’il y avait un besoin d’améliorer et remplacer les infrastructures de défense vieillissantes.
  4. J'aime beaucoup ce que Garnotte fait, je vais "poster" celles qui me font sourire. Lisa Raitt, ministre des Ressources naturelles Le Devoir Michel Garneau Édition du mercredi 10 juin 2009 http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254223.html
  5. Québec va contester le projet de commission unique des valeurs mobilières Publié le 08 juillet 2009 à 11h36 | Mis à jour à 13h05 Martin Vallières La Presse (Montréal) «Le système actuel fonctionne. Le Québec entend affirmer sa compétence en matière de valeurs mobilières et c'est pas vrai qu'on va laisser migrer ça à Toronto», a indiqué le ministre des finances du Québec, Raymond Bachand, en conférence de presse, ce matin a Montréal. Le 6 février dernier, le gouvernement du Canada avait présenté à la Chambre des communes le projet de loi C-10 portant sur la création d'une commission pancanadienne. Le projet a été adopté le 12 mars. Le gouvernement québécois affirme n'avoir d'autre choix que de prendre la voie de la contestation judiciaire et d'obtenir l'opinion de la Cour d'appel sur ces questions constitutionnelles. À son avis, le projet fédéral met en péril la compétence législative et les instances administratives du Québec. Le gouvernement québécois pense, d'autre part, que la crise financière a récemment démontré que, contrairement à ce qu'affirme le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, la réglementation des valeurs mobilières s'avère plus efficace lorsqu'elle est effectuée par des organismes non centralisés. Good move Québec, fight them up !
  6. Valeurs mobilières: Ottawa prépare une commission nationale Publié le 22 juin 2009 à 16h09 | Mis à jour le 22 juin 2009 à 18h33 La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral a fait un pas de plus vers la création d'un organisme national de réglementation des marchés financiers en annonçant lundi la mise sur pied d'un bureau de transition dont le mandat sera de coordonner le projet avec les provinces et avec l'industrie. Ce bureau sera présidé par l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, Doug Hyndman. Il sera secondé par le Torontois Bryan Davies, qui occupe depuis 2006 le poste de président du conseil de la Société d'assurance-dépôt du Canada. Le ministre des Finances Jim Flaherty a assuré que l'adhésion au futur organisme de réglementation serait volontaire et que le Québec - qui s'y est toujours opposé - pourrait choisir de rester à l'écart. Il ne perd cependant pas espoir de voir un jour la Belle Province rentrer dans le rang. «Nous ne claquons la porte au nez de personne. Je rêve du jour où nous aurons un organisme de régulation vraiment national», a-t-il insisté lors d'un point de presse à Ottawa. Pour le ministre, la création d'une commission nationale contribuera à la consolidation de l'État canadien. Il a toutefois insisté lundi pour dire qu'il faudrait respecter les expertises et les spécificités régionales tout au long du processus. Le gouvernement du Québec n'a cependant pas semblé rassuré par ces propos. Le grand argentier de la province, Raymond Bachand, craint que le projet de régulateur national crée de l'incertitude sur les marchés à un bien mauvais moment. «La dernière chose dont on a besoin c'est un débat de structures. Moi j'ai besoin que mes autorités de valeurs mobilières et les commissions des autres provinces concentrent 100 pour cent de leur énergie sur la réglementation, la surveillance des marchés et faciliter la reprise économique», a-t-il martelé. Le ministre Bachand a ajouté que, s'il le fallait, Québec pourrait se tourner vers les tribunaux pour faire valoir son point de vue et défendre son Autorité des marchés financiers. L'annonce de Jim Flaherty n'a pas non plus été bien accueillie par les partis d'opposition à Ottawa. Pour le Bloc québécois et le Nouveau Parti démocratique, la création du bureau est une manoeuvre de plus pour faire pression sur les «provinces récalcitrantes». «C'est de la provocation», a résumé le leader parlementaire du Bloc québécois, Pierre Paquette, en entrevue à La Presse Canadienne. «On n'est pas dupes du tout. Le caractère volontaire, c'est tout simplement pour s'assurer d'isoler le Québec et d'éventuellement le forcer à intégrer cette commission-là», a-t-il ajouté. De son côté, le chef-adjoint du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, reproche à Ottawa d'empiéter encore une fois dans un champ de compétence exclusive des provinces. Les deux hommes se sont par ailleurs dits «outrés» que le ministre Flaherty ait attendu que les travaux parlementaires soient suspendus pour faire son annonce. «Il n'a même pas eu le courage de soulever le débat pendant que la Chambre siégeait encore. Il a attendu le premier jour où la Chambre ne siège plus», a souligné M. Mulcair, qui est le seul député néo-démocrate du Québec. Le projet d'un organisme national est cher aux yeux des conservateurs et particulièrement du ministre Flaherty, qui en a fait l'une de ses priorités depuis son arrivée en poste en 2006. L'industrie des services financiers, très largement basée à Toronto, en a aussi fait l'un de ses chevaux de bataille depuis quelques années. Les libéraux, qui ont longtemps été favorables à l'idée d'un organisme pancanadien de régulation des marchés, ont récemment indiqué qu'ils avaient désormais des doutes et qu'ils préféreraient demander à la Cour suprême de se pencher sur la constitutionnalité du projet avant de se prononcer. Actuellement, chaque province et territoire est responsable du commerce des valeurs mobilières à l'intérieur de ses frontières. Plus de 85 pour cent des inscriptions et des transactions réglementées sont toutefois sous la juridiction de la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario.
  7. Publié le 13 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour à 07h07 Projets en PPP:Gagnon-Tremblay songe à faire marche arrière Ariane Lacoursière La Presse La présidente du Conseil du Trésor, Monique Gagnon-Tremblay, reconnaît que les avantages liés aux partenariats public-privé (PPP) ne sont pas les mêmes en temps de crise économique. Pour cette raison, elle ne «ferme pas la porte» à l'idée de revenir au mode de construction traditionnel dans quelques grands projets, comme l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). «Je suis consciente qu'il y a des avantages aux PPP mais, dans notre contexte économique, si les avantages liés au PPP ne sont pas au rendez-vous, le gouvernement devra prendre les décisions appropriées», a déclaré la ministre. Mme Gagnon-Tremblay n'est «pas insensible» à ce qu'elle a entendu cette semaine. Au cours des derniers jours, l'Ordre des architectes, l'Ordre des ingénieurs, la Corporation des entrepreneurs généraux et l'Association des économistes du Québec ont tous clamé que bâtir un hôpital universitaire et des installations d'envergure comme l'échangeur Turcot en mode PPP n'est pas souhaitable. La coalition «CHU sans PPP» a même vu le jour cette semaine. Sans entrer dans les détails, Mme Gagnon-Tremblay a affirmé que, pour l'instant, le processus suit son cours: «On n'est pas en train d'évaluer un moment pour changer de cap. Mais plusieurs intervenants sont dans le dossier et pourront dire à un moment s'il faut faire marche arrière», a-t-elle dit. Selon nos sources, plusieurs personnes influentes à Québec souhaitent que le gouvernement abandonne les PPP. Un représentant de l'Agence des PPP a d'ailleurs dit cette semaine qu'il se sentait «?bien seul?» dans le dossier PPP. Dans une lettre ouverte publiée jeudi par le quotidien Le Devoir, le président de l'Agence des PPP, Pierre Lefebvre, assure que, si les projets du complexe Turcot et des CHU sont complexes et risqués, il s'agit justement «d'un argument de taille pour que les risques de ces projets ne soient pas assumés uniquement par le gouvernement et les contribuables québécois». Pour sa part, Mme Gagnon-Tremblay affirme que, «quel que soit le mode choisi, la rigueur sera au rendez-vous». «Ma grande préoccupation, c'est l'argent des contribuables», dit-elle. Mme Gagnon-Tremblay n'est pas la seule à ouvrir la porte à un changement de cap. Le cabinet du ministre de la Santé, Yves Bolduc, confirme que les projets de construction de grands hôpitaux en PPP «n'est pas une religion». «On a privilégié le mode PPP parce qu'on nous prouvait que c'était plus avantageux au moment où on a fait l'analyse initiale. Mais quand on aura les propositions finales, on devra réévaluer», a dit l'attachée de presse du ministre Bolduc, Marie-Ève Bédard.
  8. 700 000 emplois disponibles d’ici 3 ans Agence QMI Julie Charette 08/06/2009 12h08 En vue de combler les 700 000 emplois qui seront disponibles au Québec d’ici 2011, le gouvernement de Jean Charest compte sur les travailleurs spécialisés étrangers. Devant une centaine de gens d’affaires réunis ce matin lors de la première journée des travaux du 5e Forum économique international des Amériques, la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James, a soutenu que l’immigration était une partie de la réponse aux besoins en main-d’œuvre du Québec. «La diminution de la population active pourrait entraîner un ralentissement de l’activité économique», affirme Mme James en rappelant qu’en 2050 un Québécois sur trois aura 65 ans et plus. L’immigration: «une valeur ajoutée pour le Québec» Confronté au vieillissement de sa population, le Québec doit donc développer des «mesures audacieuses» pour recruter et retenir les travailleurs immigrants. «À l’heure actuelle, plusieurs pays se font concurrence pour attirer les travailleurs», signale la ministre James. Afin de tirer son épingle du jeu, le Québec a mis en place diverses mesures: priorisation du traitement des demandes des travailleurs qualifiés et accélération de leur arrivée au Québec, accompagnement spécialisé, renforcement de la francisation et signature d’une trentaine d’ententes avec des ordres professionnels pour faciliter l’accès des immigrants aux professions réglementées. Le gouvernement Charest souhaite attirer près 50 000 immigrants annuellement. Pour ce faire, il devra accueillir plus de 9000 immigrants supplémentaires au Québec au cours des prochaines années.
  9. Québec courtise Magna Publié le 04 juin 2009 à 17h58 | Mis à jour le 04 juin 2009 à 18h55 Hélène Baril La Presse Le gouvernement du Québec veut attirer le nouveau copropriétaire de la filiale européenne de GM, Magna International, qui a l'intention de se lancer dans l'assemblage de voitures électriques. Le ministère du Développement économique de Raymond Bachand s'intéresse de près aux projets de l'entreprise de Frank Stronach, a fait savoir jeudi sa porte-parole Anne-Sophie Desmeules. «Magna est une entreprise très intéressante, a-t-elle dit, et le Québec voudrait bien l'attirer au Québec». Une proposition pourrait être faite par le gouvernement du Québec à Magna, mais il n'a pas été possible d'en savoir plus. «Ça ne se négocie pas sur la place publique», a dit la porte-parole du ministre Bachand. Ce ne sera pas la première fois que le Québec tente de convaincre Magna de s'installer au Québec. Le fabricant de pièces d'automobiles a déjà été courtisé pour qu'il construise une usine de ce côté-ci de la rivière outaouais, sans succès. Franck Stronach a mis la main sur une participation de 20% d'Opel, la filiale de GM en Europe. Le fondateur de Magna veut investir dans la voiture électrique qui comptera pour au moins 15% de toutes les voitures vendues dans six ans, estime-t-il. Magna a demandé au gouvernement fédéral de lui consentir un prêt qui lui permettrait d'ouvrir une première usine d'assemblage au Canada. «Nous sommes courtisés par plusieurs états américains, a-t-il dit cette semaine, mais nous voulons faire nos investissements au Canada». Le Québec accueille déjà deux entreprises qui font l'assemblage de véhicules électriques, la Zenn et la Nemo, et possède une expertise intéressante dans la fabrication de batteries. «Le Québec est très présent dans ce créneau et continue de négocier pour favoriser une implantation», a fait savoir la porte-parole du ministre Bachand, qui est aussi ministre des Finances.
  10. Un déficit fédéral de 162 milliards? * Ulysse Bergeron, lesaffaires.com * 14:31 Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années, selon Don Drummond. Photo : Bloomberg Le déficit du gouvernement canadien pourrait graviter autour de 162 milliards de dollars d’ici cinq ans, selon les estimations de l’économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond. L’expert en matière de budget fédéral soutient que le gouvernement Harper ne sera pas en mesure d’équilibrer son budget dès 2014, comme le prévoit le ministre des Finances Jim Flaherty. Au contraire. Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années. Don Drummond avait déjà émis de sérieuses réserves quant aux estimations avancées par le ministre Flaherty, le 26 mai dernier. Outre le dévoilement d’un déficit de 50 milliards pour l’année en cours, le ministre avait alors avancé que le Canada enregistrerait un surplus de 700 millions dès 2014. Pour cette même année, Don Drummond estime plutôt qu’Ottawa enregistrera un déficit de 19 milliards. La seule façon pour le Canada d’obtenir un budget équilibré pour 2014 serait de geler les programmes de dépense dès l’année fiscale 2012-2013. Ce qui est peu probable, souligne la TD.
  11. Québec Bachand prévoit 70 000 pertes d’emploi Agence QMI 01/06/2009 17h26 Le ministre des Finances du Québec, Raymond Bachand, estime que la crise économique entraînera la perte de 70 000 emplois dans la province. Rencontré lundi midi après s’être adressé à l’association des MBA du Québec, il a évalué à «32 000, et peut-être un peu plus» le nombre de mises à pied dans la province depuis octobre 2008. Selon lui, d’ici la fin de la crise, «près de 70 000 postes auront été perdus au total». C’est la première fois que le nouveau ministre des Finances, qui est en poste depuis le 8 avril, évoque de tels chiffres. Il a toutefois indiqué que celle qu’il remplace, Monique Jérôme-Forget, disposait des mêmes estimations lors de la présentation du dernier budget. «Plus ça dure, plus les entreprises sont forcées de faire des coupures », a-t-il observé, en s’empressant toutefois d’ajouter que « ce calcul n’est pas une science exacte » et que « le Québec s’en sort mieux que les autres provinces canadiennes». Chiffres conservateurs? Pour Carlos Leitao, économiste en chef à la Banque Laurentienne, les chiffres avancés par le ministre sont fort plausibles, et pourraient même être un peu conservateurs. «D’octobre 2008 à avril, nous avons évalué à 72 000 le nombre de pertes d’emploi. Sur une période d’un an, jusqu’en octobre 2009, on parle de 80 000 coupures», dit-il, joint au téléphone par 24 heures. Selon Raymond Bachand, la récente appréciation du dollar canadien, qui a clôturé lundi à 91,7 cents américains, peut expliquer les difficultés de l’économie québécoise. «Le protectionnisme d’Obama» Dans le secteur des infrastructures, le ministre blâme plutôt «le protectionnisme d’Obama» pour le ralentissement des exportations vers nos voisins du sud. «Plusieurs entrepreneurs que je rencontre ont des problèmes avec ça. On travaille activement avec le gouvernement du Canada, et aussi avec des délégations aux États-Unis», a-t-il indiqué. En avril, 22 000 nouveaux emplois ont été créés au Québec, mais le taux de chômage s’est accru pour atteindre 8,4% en raison de l’augmentation de la population active.
  12. J'ai hésité à mettre dans ''Projets- Complétés'' ou ici, ''Actualités'' Malek : libre à toi de décider où ça va. ---------- Montréal Christine St-Pierre fait d'Habitat-67 un monument historique La Presse Canadienne 27/03/2009 13h08 Habitat-67 vient d'être classé monument historique en vertu de la Loi sur les biens culturels. La ministre de la Culture, Christine St-Pierre, a annoncé aujourd'hui que l'extérieur du bâtiment de la Cité du Havre, à Montréal, et l'intérieur des unités 1011 et 1012, propriétés de l'architecte concepteur Moshe Safdie, seraient ainsi protégés. Présent lors de la conférence de presse dans l'unité 1011, M. Safdie, qui s'est dit «très touché et très honoré», a annoncé qu'il souhaitait ouvrir au public cette même unité. Mme St-Pierre a spécifié que ce statut donnait à Habitat-67 accès au Fonds du patrimoine culturel pour une aide à la restauration et à la mise aux normes du bâtiment, jusqu'à hauteur de 40 pour cent du coût des travaux. La ministre a rappelé que dès la création d'Habitat-67, le concert d'éloges a été immédiat: spécialistes et profanes ont été conquis par l'originalité et l'audace de sa conception, qui faisait appel à des techniques de construction jusque-là inédites. Habitat-67 constituait le projet de fin d'études de M. Safdie, en 1961, à l'Université McGill. Il voulait créer un immeuble à logements permettant une occupation à haute densité tout en offrant intimité et tranquillité à ses résidents. Il avait été invité à développer son concept dans le cadre d'Expo 67.
  13. Publié le 11 mai 2009 à 16h10 | Mis à jour à 18h34 Le Québec se joint à la future Bourse du carbone François Cardinal La Presse Le gouvernement Charest fera un pas de plus vers la création d'un vaste marché du carbone nord-américain en déposant mardi un projet de loi en ce sens. Sans attendre Ottawa, Québec jettera les bases de sa participation au futur programme de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions de gaz à effet de serre, qui doit entrer en vigueur en 2012. Lors d'un discours prononcé mardi à Montréal, la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, précisera que la pièce législative qu'elle dévoilera au cours de la journée permettra au gouvernement de mettre sur pied une Bourse du carbone à Montréal, et d'y participer activement. Sous l'égide du Western Climate Initiative (WCI), ce futur marché financier devrait devenir le plus important système de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions en Amérique du Nord, le second au monde. En clair, cette future Bourse permettra l'échange de droits de polluer entre entreprises (celles qui émettent plus de 25 000 tonnes de gaz à effet de serre par année). Les émissions de ces dernières seront plafonnées, après quoi les mauvais élèves, qui ne réussiront pas à respecter la limite fixée, devront acheter des crédits aux bons élèves, qui auront émis moins de gaz à effet de serre que permis. «À ce jour, le Québec a surtout eu recours à des plans d'action qui contenaient des mesures de nature volontaire et incitative, a reconnu la ministre. Les réductions obtenues jusqu'ici sont fort appréciables, mais elles seront insuffisantes pour l'atteinte des cibles de réduction à long terme préconisées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).» Sans vouloir préciser ses intentions, la ministre a laissé entendre que le Québec se fixerait une cible de réduction plus ambitieuse, à l'horizon 2020, que celle préconisée par le WCI: moins 15 % sous le niveau de 2005.
  14. Le ministre des Finances déclare qu'il n'a pas été informé d'une possible fuite d'information sur les données de chômage de Statistique Canada, qui a provoqué une enquête de l'organisme. Pour en lire plus...
  15. Située dans la Tour de la Bourse L'AMA à Montréal jusqu'en 2021 Agence QMI Jean-Philippe Arcand 08/05/2009 15h31 - Mise à jour 08/05/2009 15h40 L’Agence mondiale antidopage (AMA), établie à Montréal depuis 2001, restera dans la Métropole pour encore près de 20 ans. L’AMA a annoncé aujourd'hui, de concert avec le gouvernement fédéral et provincial, de même que l’organisme Montréal International, la prolongation de dix ans de son bail 2001-2011. Ainsi, les bureaux de l’Agence demeureront dans la Tour de la Bourse au moins jusqu’au 31 décembre 2021. «Nous avons ainsi l’assurance que nous pourrons nous concentrer sur la lutte contre le dopage pour les prochaines années, a déclaré le président de l’AMA, John Fahey. Je suis fier de dire que Montréal sera notre maison pour encore longtemps.» Leader mondial Le ministre d’État aux Sports, Gary Lunn, considère que cette annonce «fera en sorte que le Canada continuera d’être un leader contre le dopage et permettra aux athlètes de compétitionner sur un même pied d’égalité.» M. Lunn, dont on a d’ailleurs souligné le 52e anniversaire, en a profité pour manifester son désir de faire des Jeux olympiques d’hiver de Vancouver, qui auront lieu l’an prochain, «un modèle qui établira les standards dans la lutte anti-dopage.» Problème Son confrère Denis Lebel, ministre d’État de l’Agence de développement économique pour les régions du Québec, s’est quant à lui dit particulièrement touché par la question du dopage, étant lui-même un grand sportif. «Cela constitue un réel danger, surtout pour les jeunes sportif», a-t-il dit. De son côté, le ministre québécois des Relations internationales, Pierre Arcand, a parlé du dopage comme d’un «problème de santé publique» qui prend de plus en plus d’ampleur, rappelant que «certains sports ont monté une telle culture du dopage qu’on se pose maintenant des questions sur les records et les statistiques.» «Chez certains athlètes, on constate même une qualité et une espérance de vie réduite», a-t-il ajouté. L’Agence mondiale antidopage compte 45 employés représentant 30 nations différentes.
  16. Le ministre fédéral des Finances n'écarte pas la possibilité de changements au régime, comme le réclame l'opposition. Pour en lire plus...
  17. Harmonisation de la TPS et de la TVQ Vers une entente Ottawa-Québec La Presse Canadienne 29/04/2009 17h11 Le conflit entre Québec et Ottawa entourant l'harmonisation des taxes de vente fédérale et provinciale ainsi que la compensation monétaire l'accompagnant pourrait être en voie de se régler. Les conservateurs de Stephen Harper ont, contre toute attente, appuyé aujourd'hui une motion du Bloc québécois voulant que le gouvernement fédéral négocie de bonne foi avec Québec en vue d'harmoniser la TVQ avec la TPS. Cette motion prévoit une compensation de 2,6 milliards $ pour le Québec et insiste également sur le fait que Québec continuerait à administrer les taxes harmonisées, comme le souhaite le gouvernement de Jean Charest. Cependant, si l'on en croit les paroles du ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, les conservateurs ont plusieurs réserves sur cette motion pour laquelle ils ont malgré tout voté. Après le vote, le ministre a soutenu que le gouvernement appuyait l'idée générale de la motion, mais pas nécessairement les détails. Cette précision du ministre a laissé perplexe le chef bloquiste Gilles Duceppe, qui a fait valoir que la motion était claire, unanime, et que les conservateurs allaient devoir respecter les engagements qu'ils avaient pris en votant pour la motion. Par ailleurs, M. Flaherty a indiqué qu'il avait discuté en après-midi avec son homologue québécois, le ministre des Finances Raymond Bachand, et que la première étape de la négociation consistait en des discussions sur les aspects techniques de l'harmonisation.
  18. Le fisc aux trousses des restaurateurs Le Devoir Robert Dutrisac Édition du samedi 25 et du dimanche 26 avril 2009 Mots clés : Évasion fiscale, Restaurateurs, Fisc, Gouvernement, Québec (province) Le tiers des 900 millions que le fisc veut récupérer d'ici 2013-14 proviendra du seul secteur de la restauration D'ici la fin de 2011, le ministère du Revenu implantera 33 000 modules électroniques dans les caisses enregistreuses de 18 000 restaurants à leurs frais. Photo: Agence Reuters Québec -- Ce sont les restaurateurs qui seront les premiers visés par le gouvernement Charest dans sa lutte contre l'évasion fiscale. Le tiers des 900 millions que le fisc veut récupérer d'ici 2013-14 proviendra du seul secteur de la restauration. Cliquez ici ! C'est ce qu'a révélé, hier, le ministre du Revenu, Robert Dutil, lors de l'étude des crédits de son ministère. «C'est là qu'il y a le plus de concurrence déloyale», a déclaré le ministre au cours d'un point de presse. D'ici la fin 2011, le ministère du Revenu implantera 33 000 modules électroniques dans les caisses enregistreuses de 18 000 restaurants à leurs frais. Grâce à ce système, il sera difficile de ne pas émettre de facture pour un repas sans que le fisc puisse s'en rendre compte. Le ministère prévoit réduire de 70 % l'évasion fiscale dans la restauration. Dans le dernier budget de Monique Jérôme-Forget, il est prévu que 900 millions des 6,13 milliards nécessaires pour arriver à l'équilibre budgétaire en 2013-14 proviendront de la lutte contre l'évasion et l'évitement fiscaux que mènera Revenu Québec. Au total, l'évasion fiscale représente un manque à gagner de 2 à 2,5 milliards annuellement pour l'État, a souligné M. Dutil. À l'heure actuelle, le montant de la récupération fiscale effectuée par Revenu Québec auprès des contribuables fautifs s'élève à 2,1 milliards. Outre la restauration, trois secteurs sont dans le collimateur du fisc: la planification fiscale abusive, la construction et le tabac. Selon les dernières données disponibles, Revenu Québec est parvenu à récupérer 216 millions auprès de 7910 entreprises du secteur de la construction en 2007-08. En vue de contrer la contrebande du tabac, des discussions ont cours avec les gouvernements fédéral et ontarien. «La contrebande de tabac, c'est devenu un problème de criminalité. Souvent, malheureusement, on pense que les autochtones sont à la source de ça. Ce n'est pas exact: le crime organisé est dans le tabac», estime Robert Dutil. Robert Dutil présentera un mémoire au conseil des ministres en vue de modifier la Loi sur le revenu afin d'accroître les pouvoirs du fisc dans sa lutte contre la contrebande de tabac. Le ministre a donné pour exemple la possibilité de taxer les revenus illicites. Afin d'intensifier ses efforts pour contrer l'évasion fiscale, le ministère du Revenu engagera 825 personnes de plus d'ici quatre ans dans les services touchés qui comptent plus de 3000 fonctionnaires. Pour cette activité, Revenu Québec est soustraite à la règle du Conseil du trésor qui exige qu'un seul fonctionnaire sur deux qui prend sa retraite soit remplacé. Dès l'an prochain, le ministère procédera à 250 embauches pour une dépense de 20 millions. On calcule que contre chaque dollar dépensé pour contrer l'évasion fiscale, on en récupère huit. Au total, Revenu Québec compte 9000 employés. Pour le député de Rimouski et porte-parole de l'opposition officielle en matière de revenu, Irvin Pelletier, l'objectif de 900 millions est trop modeste. Trop modestes aussi les moyens mis en branle par le ministère pour récupérer cette somme. http://www.ledevoir.com/2009/04/25/247446.html (26/4/2009 10H44)
  19. Ottawa 4,2 M$ octroyés à 12 organismes artistiques montréalais La Presse Canadienne Lia Lévesque 24/04/2009 12h56 Le gouvernement fédéral, qui avait fait des compressions de 45 millions $ dans divers programmes culturels, juste avant l'élection, vient d'annoncer l'octroi de 4,2 millions $ à 12 organismes artistiques de la région de Montréal. Le ministre du Patrimoine canadien James Moore s'est déplacé à Montréal, aujourd'hui, pour en faire l'annonce, devant plusieurs représentants des groupes visés. Cette somme est versée par Ottawa en proportion des dons reçus de la part des entreprises privées par ces mêmes organismes. Ainsi, pour chaque dollar recueilli de la part des entreprises privées par ces organismes, Ottawa verse 72 cents, a précisé le ministre Moore. Au cours d'une rencontre avec la presse, le ministre Moore a précisé qu'il s'agissait-là d'une amélioration par rapport à l'an dernier, alors que son ministère avait attribué 52 cents pour chaque dollar recueilli du privé. Parmi les 12 organismes ainsi soutenus, on note les Grands Ballets canadiens, l'Orchestre symphonique de Montréal, l'Ecole nationale de théâtre, l'Ecole nationale du cirque, le Festival international de Lanaudière, l'Orchestre de chambre I Musici, la Compagnie Jean Duceppe et les Jeunesses musicales du Canada. Interrogé à savoir si cet appui financier devait permettre de compenser en partie les compressions de 45 millions $ dans les programmes culturels, notamment ceux comme Routes commerciales qui soutiennent les tournées à l'étranger, le ministre Moore a nié que son gouvernement ait réduit les sommes affectées à la culture. «C'est vrai qu'il y avait des programmes inefficaces, par exemple Routes commerciales, qui a coûté 5 millions $ pour livrer 2 millions $ de bénéfices. Alors c'était un programme qui était franchement irresponsable de continuer. Alors on n'a pas continué le programme, mais on a continué avec nos investissements sans précédent pour aider nos artistes, ici au Canada et à l'étranger», a commenté le ministre Moore. Des organismes présents à la conférence du ministre se sont toutefois montrés plus critiques.
  20. Sacs de plastique payants Québec souhaite que tous les épiciers embôitent le pas La Presse Canadienne Rémi Nadeau 22/04/2009 11h37 - Mise à jour 22/04/2009 12h27 Tous les marchés d'alimentation devraient exiger que leurs clients payent pour chaque sac de plastique qu'ils utilisent, suggère la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp. Mme Beauchamp a formulé le souhait, aujourd'hui, que tous les épiciers emboîtent le pas, après que la chaîne d'alimentation Loblaws ait annoncé que les sacs de plastique seront désormais vendus cinq cents chacun dans ses magasins. ::encart: «C'est indéniablement une bonne façon de diminuer la consommation de sacs en plastique», a signalé la ministre à son entrée au caucus des députés libéraux à Québec, affirmant que deux milliards de ces sacs sont mis en circulation au Québec chaque année. La ministre s'est d'ailleurs fixé comme objectif de réduire de 50 pour cent la mise en circulation de sacs de plastique d'ici 2012, pour éviter que ceux-ci ne s'accumulent au rythme actuel dans les sites d'enfouissement. Questionnée sur la possible réticence des consommateurs à débourser cinq cents pour chaque sac de plastique distribué jusqu'ici gratuitement, Mme Beauchamp a indiqué que la meilleure façon de les convaincre de la pertinence de ce changement est d'injecter les sommes perçues dans des initiatives environnementales, comme le fera la chaîne Loblaws. «Ils vont retourner les sommes d'argent vers des groupes environnementaux, ça c'est sûr que moi, c'est quelque chose que je privilégie.» Mme Beauchamp a admis que le coût environnemental des sacs en papier est plus élevé. Toutefois, elle a répété qu'il était impératif de diminuer significativement l'enfouissement des sacs de plastique. Le groupe IGA n'a pas l'intention pour l'instant d'exiger que ses clients paient pour leurs sacs alors que, du côté de Métro-Super C, la direction étudie actuellement la possibilité de le faire. Déjà, les quincailleries Rona et la chaîne de magasins de meubles IKEA imposent aux consommateurs le paiement de cinq cents par sac utilisé. Pour sa part, la Société des alcools du Québec a complètement éliminé l'utilisation de sacs de plastique.
  21. Mise à jour le lundi 20 avril 2009 à 12 h 22 RadioCanada.ca La ministre Yolande James (archives) Radio-Canada a appris que le gouvernement de Jean Charest n'a pas atteint son objectif en matière d'immigration. Le Québec a accueilli 4000 immigrants de moins que la cible maximale fixée par la ministre Yolande James. En 2007, la ministre de l'Immigration annonçait que la province accueillerait 10 000 immigrants de plus par année d'ici 2010 et pour la seule année 2008, Yolande James parlait d'une croissance de 8 %. Mme James déclarait à l'époque: « Pour une première année, notre objectif est de 49 000 et on s'assure d'avoir les mesures nécessaires pour ce faire ». Au ministère, on cherche à minimiser, en expliquant que la ministre parlait d'une cible maximale. Selon Claude Fradet, il faut se référer à la cible inférieure fixée cette année-là à 46 700. Selon lui, les chiffres planifiés sont une fourchette. Selon le ministère, des impondérables peuvent expliquer les résultats de l'an dernier. Mais l'opposition croit qu'Immigration Québec n'a pas les moyens de ses ambitions. « On a beau se fixer des objectifs qui paraissent très importants, si le budget du ministère n'est pas à la hauteur, on n'arrivera pas à atteindre ces résultats que l'on annonce », a estimé le porte-parole de l'opposition officielle en matière d'immigration, Camil Bouchard. Par ailleurs, les cas référés par le fédéral ont baissé de plus de 50 % en cinq ans, ce qui fait dire au Parti québécois qu'Ottawa nuit à l'immigration québécoise.
  22. Ma préférée du gouv. Charest s'en va ----------------- Politique Monique Jérôme-Forget annonce son départ La Presse Canadienne 08/04/2009 09h33 - Mise à jour 08/04/2009 10h03 Monique Jérôme-Forget démissionne de ses fonctions ministérielles de même que de son poste de députée de Marguerite-Bourgeoys. L'annonce a été faite par Mme Jérôme-Forget elle-même, ce matin, à l'Assemblée nationale, en présence du premier ministre Jean Charest, qu'elle a qualifié d'ami à vie. La ministre des Finances et ministre responsable des Infrastructures entend désormais se consacrer à sa vie familiale. Elle a souligné qu'elle avait décidé depuis un certain temps de quitter la politique. Quant au premier ministre Charest, il a dit être très ému par le départ de Mme Jérôme-Forget. Il a souligné la longue carrière politique de sa fidèle alliée, qui s'étale sur plus de 40 ans. Il a aussi noté la difficulté des mandats que sa ministre a néanmoins accepté de relever au gouvernement du Québec. Elle a été élue pour une première fois à l'Assemblée nationale aux élections générales du 30 novembre 1998. Mme Jérôme-Forget devrait tenir une conférence de presse en après-midi dans sa circonscription de Marguerite-Bourgeoys, dans l'arrondissement LaSalle, à Montréal.
  23. Un milliard de dollars pour les infrastructures municipales - Québec et Ottawa promettent d'agir rapidement La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Les municipalités qui poussaient les hauts cris devant l'état de leurs conduites d'eau depuis des années verront peut-être enfin la lumière au bout du tunnel. Les gouvernements fédéral et provincial ont précisé hier les modalités du programme PRECO pour le renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées. Ce programme sera doté de 700 millions, soit 350 millions de la part de chacun des deux ordres de gouvernement. À cette somme, les municipalités ajouteront leur part, pour totaliser un milliard sur deux ans. Québec et Ottawa veulent y aller rondement, cette fois, surtout après avoir entendu les doléances des municipalités, qui ont des projets dans leurs cartons depuis des années et qui attendaient qu'Ottawa et Québec s'entendent. L'aide financière sera disponible en 2009-2010 et 2010-2011 et sera octroyée en fonction des longueurs et des diamètres des conduites d'eau existantes. Le versement de l'aide financière sera effectué après la démonstration que les conduites ont été effectivement renouvelées, indique la documentation du gouvernement du Québec. La ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau a promis que les choses iront rapidement. «Le délai de traitement sera rapide. Nous prenons l'engagement dans un délai de deux semaines de donner une réponse positive aux municipalités», a-t-elle dit. Mais les besoins sont tels, les conduites si vétustes, dans certains cas, que le programme ne permettra de combler qu'une partie des besoins. Le Québec abrite plus de 80 000 kilomètres de conduites souterraines, a noté la ministre des Affaires municipales. Relance économique Le premier ministre Jean Charest a présenté le programme PRECO dans un cadre plus large de contribution à la relance économique, puisque cela crée des emplois dans la construction et dans les secteurs connexes. «Les gouvernements, dans le contexte de ralentissement économique, cherchent à faire des programmes d'infrastructure. Et c'est souvent le premier choix pour plusieurs raisons, d'abord parce que le besoin est là, mais, en plus, c'est un investissement stratégique, qui nous permet à plus long terme de structurer notre économie, d'améliorer notre qualité de vie», a expliqué le premier ministre.
  24. TVQ: Duceppe dénonce les visées d'Ottawa La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Québec -- Le chef bloquiste, Gilles Duceppe, a déclaré hier que les conservateurs utilisent des prétextes afin d'empêcher le Québec d'obtenir une compensation de 2,6 milliards de dollars pour l'harmonisation des taxes de vente fédérale et provinciale. M. Duceppe croit qu'en demandant au gouvernement québécois de céder au fédéral la gestion de la taxe de vente du Québec (TVQ) et de la taxe sur les produits et services (TPS), le ministre des Finances, Jim Flaherty, pourrait aussi poursuivre des visées centralisatrices. «Vous voyez bien que ce sont des prétextes, a-t-il dit lors d'une conférence de presse. Ou [que c'est une façon] de tout centraliser. C'est aussi grave dans un cas comme dans l'autre.» Selon lui, le gouvernement du Québec a déjà démontré sa bonne foi dans ce dossier, en acceptant d'offrir un crédit de TVQ aux grandes entreprises et en se montrant ouvert à cesser d'appliquer la taxe provinciale à la TPS, comme l'a demandé Ottawa. «Que ce soit "collecté"par Ottawa, ça c'est non, et qu'il y ait une seule taxe et non pas deux d'identifiées par souci de transparence, c'est non également, et je l'appuie totalement, a-t-il dit. Il y a unanimité à l'Assemblée nationale.» Hier, Mme Jérôme-Forget a refusé de se plier à la plus récente exigence de M. Flaherty, qui a réclamé l'unification de la perception et de l'administration des taxes de vente. La ministre a aussi indiqué qu'elle enverrait à son homologue un projet d'entente Canada-Québec. Selon son bureau, le document devait être acheminé hier. Actuellement, Québec gère les sommes provenant des deux taxes et remet ensuite sa part au fédéral, ce qu'Ottawa souhaite changer.
  25. Québec: le personnel politique coûte cher La Presse canadienne Édition du lundi 30 mars 2009 Québec -- Le gouvernement Charest demande aux Québécois de se serrer la ceinture, mais il est loin de prêcher par l'exemple. Depuis qu'ils sont au pouvoir, les libéraux de Jean Charest ont fait exploser les dépenses associées au fonctionnement du gouvernement, selon les données obtenues par La Presse canadienne auprès du conseil exécutif, en vertu de la Loi d'accès à l'information. Ainsi, en six ans, la masse salariale totale consentie aux cabinets ministériels a augmenté de près de 30 %. En 2003, au chapitre de la rémunération, le personnel politique du gouvernement libéral coûtait aux contribuables 18,9 millions, contre 26,4 millions actuellement. Et malgré la crise économique qui sévit, au point de justifier le déclenchement d'élections générales l'automne dernier, la propension du gouvernement à ouvrir les vannes n'a pas fléchi. Au contraire. En décembre dernier, une fois reporté au pouvoir, le premier ministre a choisi d'ajouter huit nouveaux venus à son Conseil des ministres, pour un total de 26 membres. Total de la facture: 3,8 millions de plus, pour entourer ces nouveaux ministres de tout le personnel politique requis. En moins de deux, la masse salariale du gouvernement, pour ce qui est du niveau politique, venait de faire un bond de 15 %, passant de 22,5 millions à 26,4 millions. Et cela n'inclut pas la prime accordée à ces députés appelés à siéger à la table du conseil. Promus ministres, les huit nouveaux venus ont vu leur salaire de base passer alors de 83 714 $ à 145 500 $. Et le 1er avril, il augmentera à 149 429 $. Le gouvernement Charest compte actuellement sur 467 personnes pour faire passer son message politique. Souvent issu du parti au pouvoir, le personnel politique -- directeur de cabinet, attachés politiques, attaché de presse et personnel de soutien -- seconde le ministre dans sa tâche et assure le lien avec les fonctionnaires. Si le gouvernement dans son ensemble coûte de plus en plus cher aux contribuables, il en va de même au cabinet du premier ministre Charest. Ainsi, la rémunération globale versée au personnel politique rattaché directement au premier ministre s'est accrue de 14 % depuis son élection en 2003, passant de 3,4 millions à tout près de 4 millions aujourd'hui. Au cours des années 2003, 2004, 2005 et 2006, la masse salariale du cabinet du premier ministre était gelée à 3,4 millions, avant de faire un bond chaque année par la suite. Après la dernière élection, la facture salariale de son cabinet a fait un bond de 200 000 $.
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