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  1. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  2. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/982657/legs-pour-le-375e-de-montreal-six-ponts-illumines-sur-le-canal/ 20/06/2016 Mise à jour : 20 juin 2016 | 16:09 Legs pour le 375e de Montréal: six ponts illuminés sur le canal Par André Desroches TC Media Photo Gracieuseté Six ponts et passerelles qui jalonnent sur 4,5 km le canal de Lachine, dont le pont Côte-Saint-Paul, seront illuminés. Le paysage du Sud-Ouest sera appelé à changer dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’arrondissement prévoit l’iIllumination de six ponts enjambant le canal de Lachine ainsi que la création d’un tableau du circuit Cité Mémoire avec deux artistes de renom, Michel Lemieux et Victor Pilon. «Le canal est un symbole très fort de notre arrondissement. À la tombée du jour, il va carrément changer de visage», annonce le maire Benoit Dorais. La réalisation du projet «Lumières sur le canal de Lachine!», qui verra le jour en 2017, a été confiée à l’organisme Montréal en Histoires. C’est lui qui signe le parcours de tableaux multimédias Cité Mémoire qui se déploie en images, en paroles et en musique dans le Vieux-Montréal depuis le 17 mai. Structures Les six structures qui jalonnent sur 4,5 km ce cours d’eau, berceau de l’industrialisation au pays, seront donc illuminées. Il s’agit des ponts CN-Du Port, Côte-Saint-Paul, des Seigneurs et Charlevoix ainsi que des passerelles Atwater et Sir-George-Étienne-Cartier. Certaines structures seront éclairées par des équipements statiques. D’autres seront illuminées par du matériel d’éclairage dynamique et programmable permettant notamment de varier l’intensité de la lumière selon la présence ou non de piétons. Célébrer en se souvenant «Ce projet va avoir un rayonnement plus large grâce à une collaboration avec Cité Mémoire», se réjouit Benoit Dorais. Le parcours créé par Michel Lemieux, Victor Pilon et le dramaturge Michel Marc Bouchard va s’enrichir d’un 24e tableau historique créé spécialement pour le Sud-Ouest sur un site qui n’a pas encore été choisi. «En se promenant dans le Sud-Ouest, on voit que c’est un lieu chargé d’histoire. C’est très riche comme endroit», constate Michel Lemieux. Le créateur bouillonne déjà d’idées pour ce tableau. «On va aller chercher des personnages connus qui sont passés à l’histoire mais aussi des personnes inconnues, explique-t-il. Nous voulons mettre les humains au centre de l’Histoire, pas seulement des lieux et des dates.» Michel Lemieux est emballé par ce volet du projet. «Le 375e anniversaire de Montréal, on a le devoir de le célébrer en se souvenant», estime-t-il. Les gens devront donc à aller un peu plus à l’ouest du Vieux-Montréal pour voir ce nouveau tableau. «Ça va faire découvrir les attraits de nos quartiers», anticipe le maire Dorais. Réalisé au coût de 1 M$, le projet de legs du Sud-Ouest sera financé par la Ville de Montréal.
  3. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/05/18/007-cite-memoire-multimedia-vieux-port-montreal.shtml Cité Mémoire, un hommage tout en émotion pour Montréal Publié le mercredi 18 mai 2016 à 17 h 00 | Mis à jour le 18 mai 2016 à 19 h 40 Le reportage de Valérie-Micaela Bain Depuis mardi soir, les gens qui se promènent dans le Vieux-Montréal peuvent admirer 19 tableaux multimédias qui relatent l'histoire de Montréal. Cité Mémoire est un parcours conçu par des créateurs québécois qui nous fait découvrir des évènements et des Montréalais qui ont marqué la ville à leur manière. À la tombée de la nuit, des personnages et des évènements marquants de l'histoire de la métropole apparaissent dans le Vieux-Montréal. La Susan de Leonard Cohen, l'aubergiste Joe Beef et la féministe Éva Circé-Côté prennent vie au sol, sur des façades et même sur des arbres. Les concepteurs Victor Pilon, Michel Lemieux et Michel Marc Bouchard ont créé un parcours urbain spectaculaire et intime en 19 tableaux. « Ces gens-là qui ont construit, rêvé, bâti Montréal sont encore dans les murs, dans les briques, dans les parois, dans la pierre de Montréal, et on s'est dit qu'on veut que ces personnages-là émergent des murs et qu'ils viennent nous raconter un peu de leur histoire, de ce qu'ils ont vécu », explique Victor Pilon Des légendes montréalaises comme Maurice Richard et Émile Nelligan font partie du parcours, mais Cité Mémoire rend aussi hommage aux personnages méconnus qui ont composé l'ADN de Montréal. Jackie Robinson, le premier Noir de la Ligue majeure américaine de baseball, et l'esclave Marie-Josèphe Angélique en sont de bons exemples. Victor Pilon et Michel Lemieux On essaie de toucher les gens par des émotions et par l'émotion, les gens s'identifient à Jackie Robinson par exemple. Michel Lemieux Les visiteurs parcourront le circuit de 5 kilomètres grâce une application mobile sur téléphone ou tablette et des écouteurs. Plus de 200 comédiens, danseurs, acrobates, musiciens ont participé au tournage des fresques. Le dramaturge Michel Marc Bouchard a choisi et mis en scène les personnages en plus d'écrire les textes. Michel Marc Bouchard On a tenté dans ce qu'on présente d'avoir une espèce d'unicité par rapport à Montréal, quelque chose qui n'appartient qu'à Montréal. Michel Marc Bouchard Cité Mémoire, une oeuvre de 20 millions de dollars unique au monde et majoritairement financée par des fonds publics, constitue un des legs du 375e anniversaire de Montréal. Elle sera présentée 10 mois par année, et ce, pour les quatre prochaines années. La poésie de l'oeuvre émerveillera sans aucun doute chacun des visiteurs.
  4. Une entreprise de plus pour le Mile-End: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/922937/hybride-sinstalle-sur-le-plateau/
  5. Je crois que ça a passé sous le radar régional mais "Les Centres d’Achats Beauward" prévoient construire un nouveau centre de congrès à St-Hyacinthe, agrémenté d'un hôtel de 200 chambres à proximité de l'ancien Hôtel des Gouverneurs qu'ils ont acquis et qu'ils vont démolir (c'était tout pourri apparemment). En gros, ils reconstruisent un équivalent contemporain, connecté à leur centre d'achat. Pour la petite histoire locale, il y a une guéguerre avec un autre centre d'achat de la région, ça s'accuse de magouilles etc, il y a des détails dans l'article. Ah, oui, le PA de Beauward est ni plus ni moins que Marc-A. Bibeau.
  6. http://www.scfp.qc.ca/nouvelles/2831/--Transports-Canada-compromet-la-securite-des-passagers-aeriens-en-permettant-que-des-sorties-de-secours-soient-laissees-sans-surveillance--?langue=fr «Transports Canada compromet la sécurité des passagers aériens en permettant que des sorties de secours soient laissées sans surveillance» «Le nouveau ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers proposé par Transports Canada met la sécurité des passagers en danger. Avec la nouvelle réglementation, il y aura au moins un agent de bord de moins à bord de nombreux avions, ce qui ne permet pas d'assurer un niveau de sécurité adéquat aux passagers en cas d'évacuation d'urgence», a déclaré le président de la Division du transport aérien du SCFP, Michel Cournoyer, lors de sa participation à la réunion du Conseil consultatif sur la réglementation aérienne canadienne sur le projet de modification réglementaire. Son message a été repris par des agents de bord de partout au pays, représentés par la Division du transport aérien du SCFP. Ils ont pris part à la consultation, soit en personne à Ottawa ou par vidéoconférence dans d'autres villes canadiennes. «En réalité, le nouveau ratio ne prévoit pas suffisamment de personnel pour surveiller toutes les issues de secours, lors de situations où les passagers doivent pouvoir compter sur des agents de bord ayant reçu une formation complète pour les aider», a expliqué Michel Cournoyer. Par exemple, lorsque le ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers est en vigueur sur un Airbus A320, toutes les sorties de secours ne sont pas surveillés par un agent de bord. A pleine capacité, trois agents de bord doivent couvrir les quatre sorties accessibles au niveau du plancher. «Le ratio actuel d'un agent de bord pour 40 passagers ne laissait déjà place à aucune marge d'erreur en situation d'urgence. Avec un équipage réduit, imaginez comment les choses pourraient tourner si un agent de bord était blessé en cours d'évacuation», a déclaré M. Cournoyer. «Les accidents survenus par le passé prouvent qu'un ratio d'un agent de bord supérieur au un pour 50 proposé améliore les chances de survie des passagers en situation d'urgence. En 2005, lorsque le vol 358 d'Air France s'est écrasé à l'Aéroport Pearson de Toronto, les 309 personnes à bord ont survécu en grande partie grâce à une évacuation rapide coordonnée par les agents de bord. Le ratio était d'un agent de bord pour 30 passagers et les huit issues de secours étaient surveillées», a-t-il ajouté. «De toute évidence, le ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers offre un niveau de sécurité inférieur à la norme actuelle. Par conséquent, il faut maintenir le ratio éprouvé d'un agent de bord pour 40 passagers. D'ailleurs, le rapport d'évaluation des risques de Transports Canada publié en juillet 2003 concluait que le ratio d'un pour 50 n'est pas aussi sécuritaire». «Puisque Transports Canada est prêt à mettre la sécurité des passagers en danger, le Comité permanent des transports, de l'infrastructure et des collectivités de la Chambre des communes doit maintenant mener une enquête publique sur le projet de modification règlementaire», a conclu Michel Cournoyer. Le SCFP représente plus de 10,000 agents de bord à l'emploi d'Air Canada, Air Transat, Calm Air, Canadian North, Canjet, Cathay Pacific, First Air et Sunwing.
  7. La Cité du cinéma prend de l'expansion. (Montréal) Les studios Mel's pourraient bientôt accueillir davantage de blockbusters hollywoodiens. Leur propriétaire, Vision Globale, a conclu une entente avec la Ville de Montréal pour acheter un terrain de 260 000 pi2 voisin de ses studios actuels dans le Technoparc et y construire de nouveaux studios de tournage. Vision Globale, qui a payé 362 536$ pour ce terrain vacant de 258 954 pi2 près de l'autoroute Bonaventure en bordure du centre-ville de Montréal, investira au moins 10 millions pour y construire des studios de tournage. Les studios Mel's/La Cité du cinéma comptent déjà 18 studios de tournage sur quatre sites dans la région de Montréal. Il n'y a toutefois qu'un seul studio (celui de 36 500 pi2) qui peut accueillir un film américain à grand déploiement. À titre d'exemple, ce studio héberge actuellement l'équipe de X-Men: Days of Future Past, un film mettant en vedette Hugh Jackman, Jennifer Lawrence et Ellen Page. À l'été 2011, Montréal avait perdu trois blockbusters américains en raison de son manque de studios de très grande taille. La construction de nouveaux studios réglera-t-elle le problème? Difficile à dire pour l'instant puisque la Cité du cinéma n'a pas décidé si elle allait bâtir un autre studio d'environ 35 000 pi2 sur son nouveau terrain. «Ce n'est pas encore décidé. Nous travaillons sur plusieurs maquettes, à savoir si nous allons construire un grand studio ou plusieurs petits studios», dit Michel Trudel, président de la division studios et équipement de Vision Globale. L'entreprise Vision Globale, propriété de l'actionnaire majoritaire Mathieu Lefebvre, a acheté les studios Mel's et sa filiale Locations Michel Trudel en décembre dernier. Un monopole renforcé Le gouvernement du Québec s'est déjà inquiété du fait que seule la Cité du cinéma possède des studios assez grands pour intéresser les producteurs d'Hollywood. Dans un rapport remis au gouvernement en juin 2012, le président de la SODEC, François Macerola, a conclu que l'offre aux producteurs est suffisante mais qu'elle peut avoir des désavantages. «Cette offre est en situation de quasi-monopole qui a parfois des effets négatifs sur l'industrie du cinéma et de la télévision du Québec et ses artisans, et auprès des majors américains qui exigent normalement de baser leurs décisions sur un processus d'appel d'offres», a-t-il écrit. Les films Source Code, The Aviator, The Day After Tomorrow, The Curious Case of Benjamin Button et White House Down, notamment, ont été tournés à la Cité du cinéma. La vente du terrain vacant dans le Technoparc a été approuvée mercredi dernier par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Avant d'être officialisée, la transaction doit être approuvée par le conseil municipal de la Ville de Montréal le 17 juin. Selon le sommaire décisionnel de la Ville, Vision Globale peut construire sur 80% de l'espace du terrain, le reste étant utilisable uniquement à des fins de stationnement. Vision Globale s'est engagée à décontaminer le terrain et à commencer la construction de ses nouveaux studios d'ici deux ans, sous peine d'une pénalité de 1500$ par jour de retard. «Il faut attendre qu'il y ait moins de tournages pour commencer les travaux, car nous ne pouvons pas construire en même temps qu'un tournage à cause du bruit, dit Michel Trudel. Avec tous les tournages que nous amenons de Los Angeles, il faudra attendre un peu. Sinon, nous pourrions construire la nuit.» La Ville de Montréal estime cette transaction «profitable» car les nouveaux studios permettront «d'accroître la vitrine cinématographique de Montréal» et de décontaminer le terrain ayant servi de site d'enfouissement pendant 140 ans. Le prix de vente minimal du terrain de 24 057 m2 sera de 15,07$ par mètre carré. La Cité du cinéma discutait avec la Ville depuis environ deux ans pour acheter ce terrain, qu'elle a déjà loué pour y installer de l'équipement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/07/01-4658719-la-cite-du-cinema-prend-de-lexpansion.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  8. http://affaires.lapresse.ca/portfolio/developpement-economique-regional-2013/portrait-2013-montreal/201304/02/01-4636662-montreal-la-metropole-se-rattrape.php
  9. L'agence de publicité Bos vendue à des Japonais Marie-Eve Fournier . les affaires.com . 01-06-2012 (modifié le 01-06-2012 à 10:50) L’agence de publicité Bos, l’une des plus réputées de Montréal, est acquise par la japonaise Dentsu, a appris lesaffaires.com. Cette agence, qui possède des bureaux sur les 5 continents, est la plus importante agence unique au monde avec des revenus annuels de 23,3 G$ CA (1,89 milliards de yen). Les employés de Bos ont été convoqués à 10 heures ce matin. Les plus gros clients ont appris la nouvelle au cours de la semaine. Le cofondateur et président de Bos, Michel Ostiguy, présidera les activités canadiennes de la nouvelle entité qui sera appelée DentsuBos et qui comptera deux bureaux au pays. Regroupant une centaine de personnes, l’actuel bureau de Bos à Montréal, dans le quartier Saint-Henri, ne doit pas subir de changement significatif. Mais à Toronto, la vingtaine d’employés de Bos déménageront leurs affaires dans ceux de Dentsu. Cette nouvelle équipe d’une centaine de personnes sera gérée par l’associé de Michel Ostiguy, Claude Carrier. Le chef de la création pour tout le Canada sera aussi un Québécois, Roger Gariépy (actionnaire et vice-président création de Bos). « Ils ont acheté le management », résume Michel Ostiguy, en entrevue téléphonique. Le publicitaire explique avoir accepté de vendre son agence parce qu’il voulait « avoir une plus grande présence pancanadienne et renforcer la qualité des services offerts – tant d’un point de vue publicitaire que numérique – à ses trois principaux clients » que sont Fido, la Banque Nationale et Aliments Ultima (fabricant des yogourts Yoplait). « Je veux mourir au bureau » Michel Ostiguy n’a pas voulu révéler le montant obtenu pour son agence fondée en 1988 avec deux autres ex-cadres de Cossette (André Beauchesne et Yves Simard). « Ce n’est même pas possible d’établir le prix de vente à ce stade-ci parce que la transaction va se faire sur une période de quatre ans et que le prix va changer au fil du temps. » Chose certaine, ce n’est pas pour prendre sa retraite que l’homme de 62 ans a accepté l’offre de Dentsu, après avoir été courtisé « au moins une dizaine de fois » depuis la création de Bos en 1988. « Je m’imagine mourir au bureau dans un avenir aussi lointain que possible. Si je suis aussi heureux chez Bos-Dentsu, je ne changerai pas mes plans. » Pourquoi avoir accepté l’offre de Dentsu alors que toutes les autres ont été refusées auparavant ? « Dentsu n’a pas une mentalité d’envahisseur. Ils me laissent une pleine autonomie d’opération. Ils ont une culture très entrepreneuriale et nous aussi, chez Bos, nous sommes issus de cette culture. J’ai demandé à qui j’allais me rapporter et on m’a dit de me regarder dans le miroir et de me parler à moi-même !» répond Michel Ostiguy. Dentsu, dont les actions se négocient à la Bourse de Tokyo depuis 2001, emploie 20 000 personnes dans une centaine de villes dans le monde. http://www.lesaffaires.com/techno/medias-et-communications/l-agence-de-publicite-bos-vendue-a-des-japonais/545087
  10. C'est de la grande classe. Avec Gordon Campbell, les stars internationales de la gastronomie vont-elles faire de Mtl un terrain de compétition? Ce serait vraiment cool. http://www.montrealgazette.com/Boulud+Ritz+resto+will+lift+competition+chefs/4619441/story.html
  11. Pour tous les mélodramatiques qui aimerait avoir 26 fois plus de tours en bureau en contruction... Montréal: la ville aux 162 chantiersPublié le 29 mars 2011 à 09h00 | Mis à jour à 10h35 Martine Letarte, collaboration spéciale La Presse (Montréal) CHUM, CUSM, CHU Sainte-Justine, Quartier des spectacles, Faubourg Pointe-aux-Prairies, Pointe-Nord de L'Île-des-Soeurs: voilà quelques-uns des 162 chantiers de plus de 5 millions en cours à Montréal. De ce nombre, on compte 70 projets institutionnels et commerciaux, 65 projets résidentiels, 29 projets de génie civil et de voirie ainsi que 2 projets industriels. Somme des investissements: 13,4 milliards. Après des années de stagnation, et au moment où la ville de Québec regorge de projets, Montréal est-elle en train de se réveiller? «On a longtemps dit qu'à Montréal, il n'y avait pas de projets et que ça reflétait le manque de confiance des investisseurs dans l'économie montréalaise. Là, avec tous les chantiers importants, il faut admettre l'inverse: les investisseurs croient au potentiel de Montréal», affirme Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Pourtant, Montréal a été plus touché par la crise économique que l'ensemble du Québec. «Il y a eu 32 000 pertes d'emplois au Québec en 2009, dont 30 200 à Montréal. C'est plus de 90%. L'an dernier, l'ensemble du Québec a récupéré et dépassé les emplois perdus, alors que Montréal les a récupérés, mais pas dépassés», indique Hugues Leroux, économiste pour la direction régionale d'Emploi-Québec de l'île de Montréal. Il affirme toutefois que la métropole s'est bien sortie de la crise économique. «Montréal met toujours plus de temps à recouvrer la santé sur le marché du travail, entre autres, parce qu'il accueille la grande majorité des immigrants et beaucoup de jeunes des autres régions, explique le spécialiste. Ces personnes qui doivent intégrer le monde du travail y arrivent plus difficilement lorsque le marché de l'emploi est déprimé.» Les retombées En matière de développement économique, il semble qu'un projet en attire un autre. «Le meilleur exemple de ça, c'est le Quartier international, affirme le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Les gouvernements y ont investi 90 millions et il a géré des projets d'investissements de plus d'un milliard.» Le Quartier des spectacles viendra renforcer aussi, selon Michel Leblanc, l'offensive internationale faite à l'image de marque de Montréal. «On reverra des photos dans les grands magazines, comme on en avait vu pour le Quartier international, et c'est important, puisque ça montre que Montréal est une ville de créateurs, une ville où il se passe quelque chose.» Le Quartier de la santé construit autour du CHUM pourrait aussi entraîner des investissements importants. «Le défi sera d'attirer des entreprises du secteur des sciences de la vie. De plus, les firmes qui travaillent sur ces projets à la fine pointe de la technologie pourront par la suite exporter leur expertise», affirme le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Et c'est sans oublier les projets de condos, plus nombreux que jamais, et l'effervescence du quartier Griffintown. «Ça signifie que nous avons réussi à créer un environnement favorable pour les investisseurs», croit le maire Tremblay. Dollar et productivité Emploi-Québec est également optimiste pour Montréal, particulièrement pour le secteur des services et pour les gens qui ont un niveau de compétence élevé. «D'ici à 2014, 55% des emplois créés exigeront un niveau de compétence universitaire ou collégial», indique Hugues Leroux. «Plusieurs emplois de qualité sont créés dans les grappes technologiques comme celle en aérospatiale, mais aussi, celles en finance, en logistique et celle sur les technologies propres», indique Gérald Tremblay. Certains secteurs demeureront toutefois en difficulté cette année, croit-on à Emploi-Québec. «Entre autres parce que le dollar canadien est toujours à parité et, selon les prévisions, il le demeurera», affirme M. Leroux. Selon Michel Leblanc, le grand défi des entreprises est donc d'améliorer leur productivité pour demeurer concurrentielles dans ce contexte. «Elles doivent investir dans de l'équipement et dans la formation, revoir leurs processus, penser à la délocalisation, indique-t-il. C'est important puisque notre productivité est plus faible que celle des États-Unis et nous avons de moins en moins de travailleurs disponibles. Heureusement, les entrepreneurs montréalais se concentrent déjà là-dessus alors qu'ailleurs dans le monde, ils sont encore à se demander comment ils sortiront de la récession.» Évolution des projets Le maire garde le cap Conflits avec le vérificateur général et enquête de l'Agence du revenu du Canada sur les contrats municipaux en lien avec des allégations de collusion et de corruption mises au jour depuis plus d'un an. Est-ce que tout cela rend la réalisation des projets à Montréal plus difficile? «Je fais abstraction de tout ça, dit le maire Gérald Tremblay. S'il faut revoir certaines décisions, comme dans le cas des compteurs d'eau, je remets toute l'information aux autorités compétentes pour qu'elles vérifient s'il y a eu collusion.» L'avancement des projets est-il ralenti par ce contexte? «Moi, j'ai décidé de me concentrer sur deux grandes responsabilités: répondre aux besoins essentiels des citoyens et créer de la richesse en mettant en place un environnement favorable aux investisseurs. C'est ce que nous faisons depuis trois mandats», ajoute-t-il. Montréal en bref Superficie: 498 km2 Population: 1934082 (2010), soit 24% des habitants de la province Solde migratoire interrégional: -23 640 (2009-2010) Taux de chômage: 9,6% (février 2011) Taux d'activité: 64,2% (février 2011) PIB par habitant: 50 012$ (moyenne provinciale: 36 161$) Revenu disponible par habitant : 27 262$ Secteur d'emploi le plus important: Tertiaire (plus de 85% de l'emploi) Source: Institut de la statistique du Québec et MDEIE http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/portrait-2011/201103/29/01-4384286-montreal-la-ville-aux-162-chantiers.php
  12. Avis aux médias - Un autre Québec est possible - Lancement de l'Alliance sociale QUÉBEC, le 3 nov. /CNW Telbec/ - Afin de contrer le discours de droite de plus en plus présent sur la scène publique et en prévision des consultations prébudgétaires du ministre des Finances, Raymond Bachand, des groupes progressistes lancent l'Alliance sociale. Les représentantes et les représentants des médias sont invités à une conférence de presse qui se tiendra le 5 novembre 2010, à 9 h 30, à l'hôtel Québec Hilton, à la salle Beauport. Cet événement se déroulera en présence de Michel Arsenault (FTQ), Claudette Carbonneau (CSN), Réjean Parent (CSQ), François Vaudreuil (CSD), Lucie Martineau (SFPQ), Dominique Verreault (APTS), Gilles Dussault (SPGQ), Louis-Philippe Savoie (FEUQ) et Léo Bureau-Blouin (FECQ).
  13. In the June-July issue there is an article on Michel Dallaire Its quite interesting to see all the stuff he has designed over the 44 years he has been in business for himself. If you do not know who he is... he designed the Bixi bikes and some of the benches in the city. Also notably the 1967 Olympic Torch. I will try and post the 11 page article, later on during the week.
  14. Bâtiment rébarbatif au premier coup d'oeil, Climatisation et chauffage urbains de Montréal (CCUM) cache pourtant dans ses entrailles un bijou d'architecture industrielle. Un véritable «Beaubourg intérieur», selon la firme Humà - design + architecture, chargée de lui refaire une beauté. La première phase est achevée: la mise en lumière de ses machineries, signée en collaboration avec Erick Villeneuve de Novalux. «On s'est concentré sur l'expression vers la ville de ce "Beaubourg intérieur" de la machinerie», explique Jean Beaudoin, qui travaille avec Stéphanie Cardinal chez Huma. Méconnu des Montréalais, CCUM fournit le chauffage à une vingtaine d'édifices du centre-ville, de la tour de la Bourse à la place Ville-Marie, en passant par l'École de technologie supérieure et l'hôtel Reine Elizabeth. Construite en 1947 dans ce qui n'était alors qu'un champ, cette centrale thermique est aujourd'hui enclavée entre l'autoroute Bonaventure et le viaduc du Canadien Pacifique. Mais demain, quand l'autoroute sera abaissée pour faire place au quartier Bonaventure (QB), elle trônera ni plus ni moins à l'entrée de la ville. «On ne peut pas rester de même, s'exclame en riant le directeur de l'établissement, Jean-Claude Michel. On va avoir l'air d'une usine d'Europe de l'Est restée debout après une explosion nucléaire!» D'autant plus que cet emblème du passé met le cap sur l'avenir en abandonnant le mazout au profit du gaz naturel, plus propre. On installe actuellement une nouvelle chaudière qui fonctionnera entièrement au gaz naturel. «Le mazout, on ne veut plus en utiliser, juste en cas d'avarie», précise M. Michel. Jusqu'ici, CCUM fonctionnait en mode biénergie pour profiter des variations de prix de chaque carburant. «Il faut valoriser la centrale comme icône urbaine en résonance avec le quartier en devenir, indique M. Beaudoin. Et [CCUM] est en train de se repositionner comme la façon économique de chauffer les quartiers, en ligne avec le développement durable.» Jardin des vapeurs En écho à son principal mode de chauffage (la vapeur à haute pression) et aux émanations de vapeur issues de la combustion du gaz naturel — «On est une usine à nuages», dit joliment le directeur —, un jardin des vapeurs accessible au public sera éventuellement aménagé au nord du bâtiment. Une passerelle mènera à une terrasse (l'ancien pont de livraison du charbon) ayant une vue imprenable sur le centre-ville. «On veut que le bâtiment évolue en fonction de ce que devient le quartier», prévient M. Beaudoin, dont les plans s'arrimeront à ceux du QB, en chantier dès l'an prochain. Le jardin se prolongera par une promenade sous arcades le long de la rue Nazareth, où pourrait être documentée l'histoire du lieu. La dernière phase consistera à insérer le haut du bâtiment dans un écrin de verre. «Ces panneaux seront développés selon des technologies nouvelles qui consolideront l'offre énergétique de CCUM», indique M. Beaudoin. Car les ambitions de CCUM ne sont pas qu'esthétiques. L'entreprise, qui appartient moitié à Gaz Métropolitain, moitié à Dalkia (filiale du géant français Veolia), entend à la fois se faire connaître auprès du public et se trouver de nouveaux clients dans le futur QB. «On voudrait utiliser nos surplus d'énergie — on a environ de 10 à 15 % de pertes — pour atteindre une efficacité de 100 %», précise M. Michel. CCUM est d'ailleurs sur le point de faire son entrée sur le marché des crédits carbone. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/286846/la-centrale-thermique-de-montreal-se-refait-une-beaute
  15. Dévoilement de l'étude "La culture à Montréal: impacts économiques et financement privé" MONTRÉAL, le 20 nov. /CNW Telbec/ - La Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui les résultats de son étude intitulée : La culture à Montréal : impacts économiques et financement privé. Réalisée dans la foulée du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle, cette analyse illustre, avec des données concrètes, la puissance du secteur culturel comme levier de développement économique pour Montréal et dresse un portrait synthétique de la contribution du secteur privé. "En réalisant cette étude sur les impacts économiques du secteur culturel à Montréal, nous avions la volonté de contribuer à une meilleure compréhension collective de cet atout incomparable pour la métropole. Nous souhaitions également nous doter d'un outil rigoureux et reproductible dans le temps. En effet, l'étude a été conçue de façon à servir de jalon pour suivre l'évolution de ce secteur hautement stratégique pour Montréal, de même que l'implication du secteur privé à son financement au fil des ans", a déclaré Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. "Je me réjouis que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui une analyse qui démontre "chiffres en main" la place importante qu'occupe la culture dans l'économie de la grande région de Montréal. Ce document constituera assurément un ajout positif dans notre réflexion sur les façons de préparer l'avenir pour les multiples acteurs culturels de la métropole", a pour sa part dit Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine. À la lumière des résultats qui émanent de l'étude, la Chambre tire les trois grands constats suivants : 1. Un secteur économique vigoureux et en croissance "Le secteur culturel est un créateur d'emplois important avec près de 100 000 personnes qui y œuvrent dans le Grand Montréal. Il s'agit là d'un nombre d'emplois supérieur à celui généré par les grappes des sciences de la vie et de l'aérospatiale combinées. Qui plus est, l'emploi y croît trois fois plus rapidement que pour l'ensemble des autres secteurs économiques et ces emplois en culture ont un effet de levier plus grand que la moyenne sur la création d'emplois indirects", a indiqué Michel Leblanc. "Parmi les données économiques qui méritent d'être soulignées, mentionnons que le secteur culturel montréalais génère des retombées économiques totales de 12 milliards de dollars, dont près de huit milliards en retombées directes, ce qui représente 6 % du PIB de la métropole. C'est énorme!", a ajouté Michel Leblanc. 2. Un "cœur créatif" fragile "Malgré la vigueur dont témoignent les données économiques du secteur culturel montréalais, il faut se garder d'être complaisants. Le "cœur créatif culturel" de Montréal - le secteur artistique - est fragile. En effet, quand on observe le sous-secteur qui est au centre du foisonnement culturel montréalais, soit les artistes, auteurs et interprètes, on se rend compte qu'il demeure généralement précaire. Cette catégorie de travailleurs a des revenus représentant la moitié du salaire moyen à Montréal, et près de 20 000 $ en deçà du revenu moyen en culture", a précisé Michel Leblanc. 3. Une implication notable, mais inégale, du secteur privé "En culture, le secteur privé est un joueur important. Quand on analyse le budget des organismes culturels en lien avec le Conseil des arts de Montréal, on constate que le financement privé est de l'ordre de 21 %. Cependant, les engagements dans le domaine des arts ont souvent une portée qui varie grandement selon la taille des organismes et leur secteur d'activité. Cela met en lumière un enjeu majeur : comment favoriser une meilleure collaboration entre les entreprises et les organismes culturels ? Et comment faire en sorte que le "cœur créatif" soit encore mieux appuyé ? Cette étude représente autant un témoignage du dynamisme économique de notre secteur culturel qu'un appel à la mobilisation des gens d'affaires en sa faveur. À nous maintenant de poursuivre nos efforts pour développer des stratégies de renforcement afin que notre secteur culturel se développe davantage et contribue pleinement à la création de richesse", a conclu Michel Leblanc. Faits saillants de l'étude - En 2008, on recensait 96 910 emplois directs, une croissance annuelle de 4,6 % en 10 ans, soit presque trois fois plus que la moyenne globale du marché du travail, qui était de 1,7 % sur la même période. - Les retombées économiques annuelles totales (directes et indirectes) du secteur de la culture à Montréal sont évaluées à 12 milliards $. La contribution directe à l'économie est de 7,8 milliards $, soit environ 6 % du PIB de la grande région de Montréal. - Le salaire moyen des artistes, auteurs et interprètes est de 24 400 $. Cette catégorie d'emploi est la moins bien rémunérée du secteur culturel, soit à peine plus que la moitié (55 %) du salaire moyen dans le secteur culturel (44 000 $). - Les 294 organismes artistiques constituant l'échantillon analysé par le Conseil des arts de Montréal sont financés à 21 % par le privé, soit 14 % en dons et 7 % en commandites. Cette proportion varie beaucoup en fonction du budget ainsi que du domaine d'activité des organismes. Cette étude de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a été réalisée grâce au soutien financier du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec ainsi qu'à la collaboration de Culture Montréal et du Conseil des arts de Montréal. Hyperlien à l'étude : http://www.ccmm.qc.ca/financement_culture
  16. I was bored and decided to make this list. Is this normal? I find it a bit scary. November 18, 2:00am, 3484 Hutchinson No injuries News link November 17, 7:39pm, NDG 1 dead, 1 injured (fire was declared accidental) News link November 16, 4:20am, St Urbain at St Viateur No injuries News link November 16, 4:15am, Nouba restaurant, St Laurent at Maguire No injuries News link November 5, 4:00am, St. Michel at Louvain No injuries News link November 4, 11:08pm, Joliette St, Hochelaga-Maisonneuve No injuries (vacant building) News link November 4, 2:30am, Iberville at Rachel No injuries News link November 3, 1:40am, Chambord at Mont Royal No injuries (fire spread from cars) News link October 29, 4:25am, Cafe Bistro Charland, 2347 Charland near de Lormier No injuries News link October 28, 4:15am, Peaches Bistro, St Michel No injuries News link October 28, 4:05am, Perandello Sport Bar on Robert at St Michel No injuries News link
  17. Newbie

    Garbage Cans

    Hi! I hope this post is not miscategorized. Since I moved to Montreal I have been looking forward to seen these old garbage cans replaced: They are too small, break easily, are always leaking, and most of them have lots of garbage under them which looks really bad (I don't even know how it gets there though I have a few theories). Anyway, in 2007 I found out that Michel Dallaire (the BIXI industrial designer) was to design new benches and garbage cans for downtown: http://www.ledevoir.com/2007/12/17/168881.html In 2008, renderings of the new designs appeared on his website: http://www.dallairedesign.com/flash/index.html And after that nothing happened. Is there any way to know what happened to this? Are they ever going to be replaced?
  18. J'aime beaucoup ce que Garnotte fait, je vais "poster" celles qui me font sourire. Lisa Raitt, ministre des Ressources naturelles Le Devoir Michel Garneau Édition du mercredi 10 juin 2009 http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254223.html
  19. Publié le 11 mai 2009 à 06h39 | Mis à jour à 06h42 Surfait, le Plateau-Mont-Royal? Lise Leduc La Presse Ceux qui commencent à trouver qu'il faudrait en revenir, du Plateau-Mont-Royal, n'ont sans doute pas tort de trouver que ce quartier de Montréal est un peu, beaucoup idéalisé dans les journaux. Pour tout dire, autour du Plateau, il y a carrément «sublimation médiatique», à en croire une professeure de l'Université d'Ottawa qui vient de produire une étude sur le «processus de consécration du Plateau-Mont-Royal». Michel Tremblay a écrit son Albertine en cinq temps; Kenza Benali, elle, a étudié le Plateau en trois temps en examinant des centaines d'articles publiés ici. Elle présentera ses conclusions cette semaine dans le cadre du Congrès de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS). Dans les années 70, le Plateau est déstabilisé par la poussée de la ville. «Dans un contexte marqué par le populisme et le traditionalisme, le Plateau est alors investi d'un discours médiatique qui l'érige comme le symbole de la «ville traditionnelle» par opposition à la «ville moderne» projetée par les autorités municipales», écrit Mme Benali. Le Plateau est alors présenté comme un espace de «cohabitation pacifique entre différentes classes et ethnies», poursuit-elle. Comme le dernier rempart contre la ville tentaculaire, quoi. C'est l'époque de la «bohème artistique et intellectuelle» et le Plateau se présente alors comme «le ghetto de la contre-culture québécoise», «la capitale du macramé». Les artistes célèbrent le Plateau, s'y installent et entraînent la première phase d'embourgeoisement. Arrivent les années 80. Il y a revitalisation commerciale, rénovation domiciliaire, création de parcs. Le quartier se met à incarner le renouveau urbain, mais il perd au passage sa réputation de quartier populaire pour s'embourgeoiser. On le dépeint désormais comme un quartier convoité, cher. «Si plusieurs acteurs sociaux (journalistes, résidants, militants, etc.) ont apprécié cette métamorphose urbaine, d'autres l'ont vivement contestée», peut-on lire dans l'étude de Mme Benali. Plus positif Les années 90 voient réapparaître dans la presse un ton résolument plus positif, «même que le quartier connaît une sublimation médiatique sans précédent», avance Mme Benali. Il devient l'un des quartiers les plus branchés en Amérique du Nord et «avec la notoriété internationale de Michel Tremblay et de son oeuvre, il acquiert ses lettres de noblesse». La presse lui pardonne son embourgeoisement et avance que sa mixité lui permet de retrouver l'équilibre d'antan au plan de la diversité sociale. Les médias l'opposent à des quartiers comme Outremont, le Vieux-Montréal et le Centre-Sud, «comme si ces derniers étaient les rivaux potentiels du Plateau». Dans ce discours, Outremont est «catalogué comme un ghetto bourgeois sclérosé», le Vieux-Montréal comme un «musée figé» et le Centre-Sud comme un quartier «dont la stigmatisation négative freine la relance». Le Plateau devient la petite ville dans la grande ville, le quartier par excellence où l'on a su réconcilier la ville et la nature. Bernard Lamizet, professeur à l'Institut d'études politiques de Lyon, avait bien raison, conclut Mme Benali au sujet du Plateau, quand il a écrit que la ville imaginée et la ville réelle «participent toutes deux au dynamisme de la vie urbaine». La ville, comme le disait Lamizet, «n'est pas seulement le lieu où nous vivons et où nous mettons en oeuvre nos stratégies de sociabilité: elle est aussi le lieu que nous investissons de notre imaginaire, de nos désirs, de nos utopies».
  20. Ce n'est pas tant la compétence que la «culture des affaires» de Michel Sabia à la tête de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui ne fait pas l'unanimité. Pour en lire plus...
  21. It’s déjà-vu all over again. With the market updates being so identically close to the ones from November and December, January’s market news are no news at all. Still, let’s give the breakdown, to keep the tradition. Here we go: Compared to January 2008, last month we had an increase of 12% of properties listed in the market. New listings decreased by 14% Overall actual sales decreased by 37% Prices are still increasing: Condos: +4% Single Family Homes and Plexes: +3% If you take a look at the past reports you will see that not much has changed. The prices have not decreased, and sales continues to be slow. Michel Beausejour, FCA, Chief Executive Officer of the GMREB, notes: “It’s obvious that the sales decline is mostly due to a drop in consumer confidence. It’s not surprising to see this decline, even though the real estate market has been quite solid for the last 30 years or so, which is as far back as our statistics go.” http://montrealrealestateblog.com/
  22. Le président de la banque française BNP Paribas, Michel Pébereau, et le directeur général, Baudouin Prot, ont décidé de renoncer à leur rémunération variable («bonus») pour l'exercice 2008, a indiqué samedi à l'AFP une porte-parole de la banque. Pour en lire plus...
  23. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain choisit Michel Leblanc, directeur associé chez SECOR, pour devenir son grand patron. Pour en lire plus...
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