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  1. Est-ce que le métro devrait être en service la nuit ou est-ce que ça serait une dépense inutile?
  2. La société en commandite a attiré un nombre record de nouveaux clients résidentiels, au cours de la dernière année, et réalisé des profits annuels en hausse. Pour en lire plus...
  3. Les temps sont difficiles pour le distributeur québécois Gaz Métro qui est plongé dans le rouge à son quatrième trimestre. Les revenus ont atteint 332 M$ durant cette même période. Pour en lire plus...
  4. STM: Prolongement du métro: Ligne 04 jaune vers le sud Discussion et actualités sur le prolongement de la ligne 04 jaune vers le sud.
  5. Alstom pourrait fabriquer une partie essentielle des voitures du métro de Montréal à Sorel-Tracy. Il s'agirait des bogies, soit les chariots à deux essieux sur lesquels sont posées les caisses des voitures. Pour en lire plus...
  6. Publié le 05 novembre 2008 à 08h34 | Mis à jour le 05 novembre 2008 à 08h40 Le métro de Montréal, un musée Martine Bouliane La Presse Le métro est avant tout un moyen de transport pour se rendre du point A au point B. Pourtant, avec ses 68 stations à l'architecture unique et ses nombreuses oeuvres, le métro est considéré par certains comme le 31e musée montréalais. Certains diraient même que le réseau est une vaste exposition d'art... underground! L'idée de réaliser une excursion ici, c'est de ralentir le rythme. De prendre le temps d'examiner les stations qui deviennent, dès lors, beaucoup plus intéressantes. Un lieu à revoir avec son oeil de touriste. Londres a eu le sien en 1863. Paris, en 1900. À Montréal, il aura fallu attendre jusqu'en 1966, soit une année avant la fameuse Expo 67. Le métro comptait alors 26 stations. La construction du réseau s'est ensuite effectuée par phases. La toute dernière, soit le prolongement du métro vers Laval, s'est étirée jusqu'en 2007. Le métro montréalais se distingue avant tout par sa diversité. Chaque station a une architecture qui lui est propre et la plupart abritent des oeuvres d'art. Lors de mon excursion sous terre, j'ai choisi de visiter une douzaine de stations, principalement éparpillées au centre-ville. Parcourir en entier les 68 stations aurait de quoi donner un teint verdâtre à quiconque. Et toutes ne présentent pas le même intérêt. J'ai entrepris ma visite souterraine par la station la plus à l'est de mon parcours, Pie-IX, à l'ombre du Stade olympique. Sitôt les tourniquets passés, je me suis attardée devant l'oeuvre installée à la mezzanine, intitulée Citius, Altius, Fortius - Plus loin, plus haut, plus vaillamment - la devise olympique. Au centre de la grande fresque se trouve un personnage au coeur proéminent. La construction de cette station s'est achevée en 1976, année même des Jeux. Oeuvres historiques Ensuite, hop dans un train direction Angrignon, jusqu'à la station Papineau. Dans les 26 stations d'origine, il était question d'incorporer des oeuvres d'art ayant un lien avec l'histoire. On en trouve un bon exemple ici, avec les murales en céramique sur les Rébellions de 1837 et 1838. J'avais souvent vu l'une d'elles, bien en évidence alors qu'on descend vers les quais. J'ai été surprise de remarquer deux autres murales qui adoptent la forme arrondie du tunnel à l'étage inférieur. Elles représentent, dans différentes scènes, les Patriotes reconnaissables à leurs bonnet et ceinture, et leur chef, Louis-Joseph Papineau. Prochain arrêt: Berri-UQAM. C'est le point de rencontre de trois des quatre lignes du métro. En suivant le couloir vers la ligne jaune, je revois les trois murales de Robert La Palme, premier directeur artistique du métro, récupérées et installées ici après l'Expo 67. L'événement explique d'ailleurs la construction de cette ligne, qui menait au site de l'île Sainte-Hélène. Sur les quais de la ligne verte, une grande verrière au-dessus du tunnel rend hommage aux fondateurs de la ville de Montréal. Les portraits stylisés représentent Jérôme Le Royer de La Dauversière, Jeanne Mance et Paul de Chomedey de Maisonneuve, dans des tons francs de rouge et de bleus. Luminosité et musique Deux arrêts plus loin, j'arrive à la station Place-des-Arts. Je suis aussitôt frappée par la luminosité ambiante. Les rayons du soleil ne pénètrent pas ici. L'éclairage des nombreux néons, la blancheur du plafond et des passerelles et les briques bleues et grises des murs contribuent à créer cet effet. Le tout est aéré et très classique. La très belle verrière L'histoire de la musique, de Frédéric Back, se trouve ici. Première oeuvre d'art du métro, elle montre les musiciens de la ville, des autochtones aux personnages plus contemporains tels que le compositeur de l'hymne national, Calixa Lavallée. Malheureusement, elle est éloignée des tourniquets. Pour la contempler, il faut passer de l'autre côté et payer à nouveau son passage. On trouve par ailleurs dans cette station une autre verrière très colorée, et malgré tout discrète, juste au-dessus du tunnel en direction Angrignon. La station suivante, McGill, est la plus fréquentée du réseau, avec Berri-UQAM. La large verrière aborde la vie à Montréal au XIXe siècle. Au centre se trouvent les portraits des deux premiers maires de la ville, Jacques Viger et Peter McGill. Difficiles de les manquer. Sous les regards interrogateurs des autres passagers, je m'attarde aux multiples détails de l'oeuvre, orientée sur l'architecture, la mode vestimentaire et les bateaux à vapeur, moyen de transport populaire à l'époque. Des milliers de cercles À peine 450 mètres de tunnel séparent les stations McGill et Peel, sa voisine. C'est assurément l'un de mes coups de coeur. Une multitude infinie de ronds attirent l'oeil. Des cercles colorés, créés par le célèbre artiste québécois Jean-Paul Mousseau, ornent la station. Le motif est repris dans le carrelage et sur les murs. Certaines portions des quais baignent dans une lumière bleutée. Un décor idéal pour un restaurant ou un bar rétro. Je m'arrête ensuite à la station Lionel-Groulx, créée sur deux étages en plus de la mezzanine. Les lignes verte et orange s'y croisent. Je reviendrai d'ailleurs pour passer de l'une à l'autre un peu plus tard. Ici se trouve une intéressante sculpture, à la facture assez classique, intitulée L'arbre de vie. Elle a été donnée à Montréal par l'Organisation des Nations unies en 1967. Des visages gravés dans la même pièce de bois symbolisent la souche unique d'où proviennent les humains de partout dans le monde. Je poursuis ma route jusqu'à la station Monk. Une sculpture rend hommage aux ouvriers du métro. Il s'agit de deux gigantesques travailleurs en acier qui s'affairent à la tâche. Ils font penser à des bonshommes allumettes élancés. Les couleurs terre de la station et les murs, irréguliers et stratifiés, semblent représenter le travail fait dans le roc pour construire le métro. L'arrivée au métro Angrignon a de quoi surprendre. Ici, l'éclairage du jour baigne les quais. Enfin de la lumière naturelle au bout de kilomètres de tunnels. Dernier arrêt de la ligne verte, la station se trouve pratiquement au niveau du sol. Situé dans l'un des grands parcs de Montréal, le bâtiment possède une multitude de fenêtres courbes qui rejoignent le plafond. Leur forme arrondie fait écho aux marquises du terminus d'autobus adjacent. Bonheur d'occasion De retour sur mes pas, je reviens à la station Lionel-Groulx pour bifurquer sur la ligne orange, direction Côte-Vertu. La station Place-Saint-Henri constitue un détour, puisque je compte retourner en sens inverse tout de suite après. Mais le crochet en vaut la peine pour admirer cet autre coup de coeur. Les murs de brique au niveau des quais forment un dégradé de couleurs. Ils sont de teintes bleutées, pour devenir du rouge, puis, encore plus loin, du jaune. La volée d'escaliers qui mènent à la mezzanine semble interminable. Je la monte tout de même à pied, pour me retrouver devant les mots «Bonheur d'occasion» inscrits dans la brique. Une façon de rappeler que l'histoire du classique de Gabrielle Roy est indissociable de ce quartier. En redescendant, je remarque par hasard la sculpture suspendue au-dessus des quais, autrefois mobile, qui fait penser à une construction spatiale. Je prends cette fois le métro en direction inverse, soit Montmorency, pour m'arrêter à la station Georges-Vanier. Je m'attarde aux formes géométriques bleues incrustées dans les murs qui brisent la monochromie ambiante, toute grise. Je m'étonne, après quelques minutes, de remarquer un grand arbre de béton aux nombreuses branches sur le quai opposé. Puis, je m'arrête à Square-Victoria. C'est surtout en dehors des guérites que se trouvent les éléments intéressants de la station. Principalement cette entrée extérieure au look très parisien qui annonce le «métropolitain» dans un style Art nouveau, donnée justement par le métro de Paris à Montréal. L'ensemble sinon est assez terne à l'intérieur, les murales en aluminium brun peuvent presque passer inaperçues et se démarquent peu du reste. Mon dernier arrêt est la station Place-d'Armes, qui jouxte le Palais des congrès. Je considère qu'il s'agit d'un bon endroit pour revenir sur terre puisque la station dessert le Vieux-Montréal et le Vieux-Port. Il y a de nombreuses activités à y faire et d'attraits à y voir, notamment en famille. L'un d'eux, le musée Pointe-à-Callière, possède des vitrines sur les quais. Elles contiennent des reproductions d'objets réellement découverts lors de fouilles archéologiques. Le métro peut se targuer non seulement d'être le plus vaste musée montréalais, mais aussi d'avoir les heures d'ouverture les plus longues. Et, pour seulement 2,75 $, la visite en vaut assurément le prix. Rallye dans le métro Une façon de redécouvrir le métro, notamment en famille, est de faire le court rallye qui suit. Sur la ligne orange, il se concentre dans le centre-ville. À l'ouest, il se rend jusqu'à la station Angrignon. À l'est, Pie-IX. Il faut compter entre une heure trente et deux heures pour le faire, selon la fréquence de passage des rames du métro. La réponse à chacune des questions se trouve à l'intérieur des tourniquets. Pas besoin de débourser plus que le prix d'un billet pour le réaliser. À moins, bien sûr, d'en profiter pour visiter certains attraits à proximité. Chaque station peut constituer le point de départ. 1. À la station Pie-IX, qu'est-ce qui, sur les quais, rappelle la tenue ici des Jeux olympiques de Montréal, en 1976?2. À la station Papineau, qu'est-ce que Louis-Joseph Papineau tient dans ses mains, dans la murale au niveau du quai? 3. Qu'est-ce qui orne les souliers de Jérôme Le Royer de La Dauversière, le personnage de gauche, sur la verrière de la station Berri-UQAM? 4. À la station Place-des-Arts, combien de rectangles peut-on compter dans la verrière située au-dessus du tunnel en direction Angrignon? 5. À la station McGill, quel bâtiment construit en 1844 et toujours présent dans le Vieux-Montréal est représenté? 6. Combien de pastilles colorées peut-on compter sans sortir des tourniquets à la station Peel? 7. Combien de visages trouve-t-on sur l'Arbre de vie à la station Lionel-Groulx? 8. Quels outils utilisent les constructeurs du métro de la station Monk? 9. Quelle est la couleur des structures qui soutiennent les nombreuses fenêtres de la station Angrignon? 10. Combien de marches doit-on monter pour atteindre la mezzanine - et l'oeuvre Bonheur d'occasion - à la station Place-Saint-Henri? 11. Quel est le «fruit» de l'arbre de la station Georges-Vanier? 12. Quel est le plus vieil objet représenté dans les vitrines de Pointe-à-Callière? Réponses: 1. Les anneaux olympiques; 2. La déclaration de 1837; 3. Des boucles (ou des rubans); 4. 96; 5. Le marché Bonsecours; 6. 8; 7. Cinq visages; 8. Un pic et une pelle; 9. Orangé; 10. 78 marches; 11. Des lumières (ou ampoules); 12. Des pointes de flèches. Pour plus de renseignements sur le métro: Montréal en métro, Guides de voyage Ulysse, 2007, Montréal, 237 pages. Le métro de Montréal, 35 ans déjà, Benoit Clairoux, éditions Hurtubise HMH, Montréal, 2001, 159 pages. http://www.stm.info http://www.metrodemontreal.com (site non officiel, instructif et très bien fait par un amoureux du métro!)
  7. EXCLUSIF - L’édifice de la station de métro serait rasé pour élever de nouvelles tours Diane Lapointe Le Courier du Sud 1 novembre 2008 - 09:00 Actualités - VIEUX-LONGUEUIL. L’immeuble du métro rasé et remplacé par une tour à bureaux, hôtel, centre des congrès, stationnements étagés; le paysage du secteur Place Charles-Le Moyne risque de se transformer de façon significative dans un avenir rapproché. Sans oublier les 17 étages de la tour de l’Université de Sherbrooke qui sont levés et dont l’échéancier n’accuse aucun retard. Le Courier du Sud a appris en exclusivité que de nouveaux édifices en hauteur risquent fort de s’élever dans le ciel de la Place Charles-Le Moyne, ce qui modifierait encore ce secteur névralgique de Longueuil. Catania – Groupe immobilier a en effet de grandes ambitions et s’il met à exécution les projets sur lesquels il planche, l’immeuble qui abrite la station de métro Longueuil—Université de Sherbrooke, serait complètement rasé pour faire place à une tour à bureaux. Les stationnements pourraient aussi être métamorphosés en un vaste stationnement à étages sur lesquels s’ajouteraient d’autres étages pouvant accueillir des bureaux professionnels et même peut-être un nouvel hôtel ou un mini centre des congrès. Catania engagé avec la Ville Catania – Groupe immobilier vient de s’associer à la Ville de Longueuil pour la réalisation d’une étude portant sur le développement de la Place Charles-Le Moyne et le redéveloppement de l’édifice du métro. L’entrepreneur immobilier s’est engagé à assumer 50% des coûts de cette étude, qui sera réalisée par le Groupe Gauthier Biancamano Bolduc, une firme d’urbanistes conseils. «Nous souhaitons valoriser ce pôle» André Fortin, président de Catania – Groupe immobilier confirme les visées de l’entreprise dans ce secteur au fort potentiel. «Nous souhaitons valoriser ce pôle, mais il faut d’abord que des études de circulation soit faite afin de définir la capacité de voitures qui pourront y circuler.» L’édifice de la station de métro est, dit-il, non conforme en plusieurs points, et il y a fort à parier qu’il disparaîtra du paysage dans un moyen avenir pour être remplacé par une tour à bureaux. Le sous-sol, par contre, est la propriété du Réseau de transport de Longueuil (RTL). Des experts soutiennent qu’il en coûterait plus cher de réparer les problèmes de structure et d’infiltration d’eau que de carrément reconstruire un autre édifice, selon un nouveau concept plus moderne et imposant. Densification du secteur Les études détermineront ainsi les conditions d’aménagement et le plan d’affaires car, évidemment, la construction de nouveaux espaces densifierait passablement le secteur, qui compte une station de métro, un important terminus d’autobus et, très bientôt, le nouveau campus longueuillois de l’Université de Sherbrooke. Les conclusions de l’étude devraient être connues à la fin de 2008 ou au début de la prochaine année. L’Université se développe Quant à l’Université de Sherbrooke, tout baigne dans l’huile alors que la construction suit son cours normal. Selon Jacques Viens, directeur du cabinet du recteur, la tour de 120 M$ hébergera quelque 8000 étudiants à compter de 2009. Des espaces au rez-de-chaussée et au 1er étage seront loués à des fins commerciales. De plus, 10 à 15% des locaux situés aux étages supérieurs seront loués à des entreprises, tant et aussi longtemps que le nombre d’étudiants ne justifiera pas leur occupation par l’UdeS. Aussi prévu dans les plans, la construction d’une seconde tour de six étages. La Ville acquiert l’Atrium Rappelons finalement que dans le cadre d’une entente entre la Ville de Longueuil et l’Université de Sherbrooke, la Ville a récemment adopté un règlement d’emprunt de 15 M$ pour acquérir l’Atrium; cette place intérieure de 816 m2 reliera la station de métro, le terminus d’autobus et le campus de l’Université.
  8. LaSalle réclame le prolongement du métro sur son territoire par Pierre Boulanger (Journal le messager LaSalle) Article mis en ligne le 8 octobre 2008 à 23:18 LaSalle réclame le prolongement du métro sur son territoire Le conseil d'arrondissement demande officiellement à l'Agence métropolitaine de transport de planifier le prolongement du métro sur le territoire de LaSalle jusqu'aux limites de l'arrondissement. Une résolution à cet effet a été présentée par le conseiller Richard Deschamps lors de la séance de lundi soir dernier. La résolution rappelle que LaSalle compte une population de 74 763 personnes et près de 25 000 travailleurs. Montréal vise une hausse de 8% de l'achalandage du transport en commun d'ici 2012 et de 26% d'ici 2021 et le conseil d'arrondissement souhaite inciter la population à utiliser les transports collectifs puisque 67% de la population de LaSalle utilise l'auto comme moyen de transport pour aller travailler. L'arrondissement a réalisé un sondage auprès des résidants visant à identifier les besoins des citoyens en matière de transport et a obtenu, en collaboration avec Développement économique LaSalle, un sondage auprès des travailleurs. De nombreux organismes communautaires ont souligné le besoin d'améliorer le transport en commun, notamment dans le plan d'action en développement social ainsi que dans la politique familiale. Même le CSSS LaSalle-Lachine-Dorval mentionne dans son rapport la déficience du transport en commun dans le secteur. La résolution du conseiller Deschamps spécifie que la desserte en transport en commun de LaSalle mérite une attention particulière à l'aube de travaux majeurs à venir aux axes autoroutiers de LaSalle, tels que le pont Honoré-Mercier et le complexe Turcot. M. Deschamps précise que LaSalle compte plus de 1 300 entreprises et commerces et qu'il dessert une population supra locale sur le plan institutionnel par le Cégep André-Laurendeau, le Centre de formation professionnelle de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys (CIMME) et l'hôpital de LaSalle. Pour le conseiller Deschamps, «cette résolution exprime notre volonté très claire d'augmenter de façon importante l'ensemble de nos services de transport en commun sur le territoire».
  9. Revitalisation du secteur Bellechasse La démolition du viaduc Rosemont-Van Horne, en tout ou en partie, est envisagée dans le cadre de la revitalisation du secteur Bellechasse, qui a été officiellement lancée samedi. «C'est une pollution visuelle et il faut se demander si nous en avons encore besoin», a souligné le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Le secteur Bellechasse, qui abrite notamment les garages de la Société de transport, en biais avec la station de métro Rosemont, a défrayé la chronique lorsqu'il a été question d'y établir le CHUM. Il est bordé au nord par la rue de Bellechasse, au sud par des voies ferrées, à l'ouest par le boulevard Saint-Laurent et à l'est par la rue Saint-Denis, de part et d'autre du viaduc Rosemont-Van Horne. L'ancienne Place de la mode, qui a été rebaptisée Le 5800 Saint-Denis et où s'est établi le Campus des technologies de la santé, fera partie des discussions. «Tout est sur la table, a souligné le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, André Lavallée. Le viaduc est une horreur du point de vue urbain et mon rêve serait de le détruire, en tout ou en partie, pour recréer un lien avec le Plateau-Mont-Royal et Outremont.» Tout comme l'avenue des Pins, qui vient d'être réaménagée, un nouveau sort pourrait être réservé au carrefour, indique Gérald Tremblay. «Il faut enlever les barrières psychologiques qui séparent les trois arrondissements et avoir une vision commune de leur développement. Avec la transformation de l'ancienne gare de triage Outremont et la revitalisation du secteur Saint-Viateur, à l'est du boulevard Saint-Laurent, on ne peut plus y aller à la pièce.» Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, et Marie Cinq-Mars, mairesse de l'arrondissement d'Outremont, ont d'ailleurs assisté hier au lancement de la consultation qui mènera à la revitalisation du secteur Bellechasse. Le but visé: créer un milieu diversifié avec une certaine densité de population (au moins 1500 nouveaux logements), des commerces et des entreprises générant des emplois, dans un environnement vert. Son grand atout: sa situation géographique, à proximité de la station de métro Rosemont, du centre-ville et de l'Université de Montréal. «Il est très rare d'avoir l'occasion de créer un nouveau quartier, a souligné André Lavallée. Nous voulons tenir compte de nouvelles considérations, comme la popularité accrue des transports en commun.» Pour obtenir un consensus dès le départ, un comité regroupant des représentants d'une quinzaine d'organismes a été formé. Dès lundi, un appel de candidatures sera lancé aux équipes multidisciplinaires intéressées à participer à un atelier de design urbain qui aura lieu du 10 au 14 novembre. Le but: brasser des idées et soumettre diverses propositions d'aménagement. Le programme particulier d'urbanisme (PPU) sera élaboré au cours de l'hiver prochain et devrait être soumis à une consultation publique au printemps. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/9129-Revitalisation-du-secteur-Bellechasse.html
  10. Source: Cyberpresse La démolition du viaduc Rosemont-Van Horne, en tout ou en partie, est envisagée dans le cadre de la revitalisation du secteur Bellechasse, qui a été officiellement lancée hier. «C'est une pollution visuelle et il faut se demander si nous en avons encore besoin», a souligné le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Le secteur Bellechasse, qui abrite notamment les garages de la Société de transport, en biais avec la station de métro Rosemont, a défrayé la chronique lorsqu'il a été question d'y établir le CHUM. Il est bordé au nord par la rue de Bellechasse, au sud par des voies ferrées, à l'ouest par le boulevard Saint-Laurent et à l'est par la rue Saint-Denis, de part et d'autre du viaduc Rosemont-Van Horne. L'ancienne Place de la mode, qui a été rebaptisée Le 5800 Saint-Denis et où s'est établi le Campus des technologies de la santé, fera partie des discussions. «Tout est sur la table, a souligné le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, André Lavallée. Le viaduc est une horreur du point de vue urbain et mon rêve serait de le détruire, en tout ou en partie, pour recréer un lien avec le Plateau-Mont-Royal et Outremont.» Tout comme l'avenue des Pins, qui vient d'être réaménagée, un nouveau sort pourrait être réservé au carrefour, indique Gérald Tremblay. «Il faut enlever les barrières psychologiques qui séparent les trois arrondissements et avoir une vision commune de leur développement. Avec la transformation de l'ancienne gare de triage Outremont et la revitalisation du secteur Saint-Viateur, à l'est du boulevard Saint-Laurent, on ne peut plus y aller à la pièce.» Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, et Marie Cinq-Mars, mairesse de l'arrondissement d'Outremont, ont d'ailleurs assisté hier au lancement de la consultation qui mènera à la revitalisation du secteur Bellechasse. Le but visé: créer un milieu diversifié avec une certaine densité de population (au moins 1500 nouveaux logements), des commerces et des entreprises générant des emplois, dans un environnement vert. Son grand atout: sa situation géographique, à proximité de la station de métro Rosemont, du centre-ville et de l'Université de Montréal. «Il est très rare d'avoir l'occasion de créer un nouveau quartier, a souligné André Lavallée. Nous voulons tenir compte de nouvelles considérations, comme la popularité accrue des transports en commun.» Pour obtenir un consensus dès le départ, un comité regroupant des représentants d'une quinzaine d'organismes a été formé. Dès lundi, un appel de candidatures sera lancé aux équipes multidisciplinaires intéressées à participer à un atelier de design urbain qui aura lieu du 10 au 14 novembre. Le but: brasser des idées et soumettre diverses propositions d'aménagement. Le programme particulier d'urbanisme (PPU) sera élaboré au cours de l'hiver prochain et devrait être soumis à une consultation publique au printemps.
  11. Le Tribunal des droits de la personne déclare la société Gaz Métro coupable de sexisme et la condamne à payer 220 000 $ à sept femmes. Pour en lire plus...
  12. Des blocs de jambon cuit vendus dans les supermarchés Métro ont fait l'objet d'un rappel. Le produit pourrait être contaminé par la bactérie Listeria. Pour en lire plus...
  13. Nouveau projet immobilier sur l'Ilot Mont-Royal Ford - Le Plateau sans concession ! MONTREAL, le 4 sept. /CNW Telbec/ - C'est lors d'une rencontre avec les citoyens de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal que le Groupe Gabriel a dévoilé hier son projet de développement sur l'ancien site du concessionnaire Mont-Royal Ford, entre les rues Fullum et Messier. Le Groupe Gabriel a ainsi annoncé son intention de démolir, dès que possible, tous les bâtiments de l'ancien concessionnaire automobile pour les remplacer par un projet résidentiel avec une partie commerciale sur le côté nord de l'avenue du Mont-Royal. Des bonnes nouvelles pour les résidents du secteur Le projet propose la relocalisation du Metro Supermarché Mont-Royal (actuellement au coin de la rue Parthenais), lequel comprendra, aux deux étages supérieurs, 46 unités d'habitation dont 23 logements sociaux. Ce nouvel emplacement, d'une superficie plus grande, notamment pour la préparation d'aliments en sous-sol, permettra non seulement une meilleure offre alimentaire dans le secteur, mais aussi une gestion nettement améliorée des livraisons et de la circulation. Sur la portion nord du site, 180 unités d'habitation en copropriété seront construites, dont plus d'une quarantaine spécifiquement destinée aux familles. Une attention toute particulière a été portée afin d'élaborer un projet qui saurait maximiser les espaces verts, minimiser le stationnement sur rue et offrir des avantages aux cyclistes. C'est ainsi que l'architecte Louis-Paul Lemieux, de l'Atelier Ville Architecture Paysage, a présenté un projet aux lignes architecturales originales, proposant la construction de quatre bâtiments disposés perpendiculairement aux rues Fullum et Messier. Cette disposition des bâtiments, contrairement aux alignements traditionnels en façade des rues, permet des percées visuelles majeures tout en améliorant la qualité du milieu de vie et de l'environnement. Tout au long de la soirée, les citoyens ont émis des commentaires constructifs visant la bonification du projet. Il a notamment été question de la proportion de logements sociaux et abordables, de l'aménagement des façades de côté du marché Metro et de l'intégration d'une dimension artistique ou culturelle au projet. L'ensemble de ces commentaires ont été reçu favorablement par les représentants du Groupe Gabriel et de Metro qui se sont engagés à les considérer en vue de pouvoir les intégrer au projet. "Nous souhaitons ardemment participer à la revitalisation du quartier. Nous sommes très heureux d'avoir pu rencontrer nos voisins afin de les informer de ce projet dont nous sommes très fiers. Cela nous a non seulement permis de répondre à leurs questions, mais aussi de connaître leurs préoccupations. Nous visons la meilleure intégration possible de notre projet dans ce secteur de l'arrondissement qui en a bien besoin", a déclaré M. Fadi Azouz, responsable du projet au sein du Groupe Gabriel. Le Groupe Gabriel est une entreprise familiale québécoise en affaires depuis plus de 20 ans et particulièrement active dans les domaines de l'automobile et de l'immobilier. Renseignements: Pierre Guillot-Hurtubise, (514) 581-6068; Source: Groupe Gabriel
  14. Voici ma proposition pour le projet d'un nouveau pont champlain. Je suis en faveur de conserver le pont Champlain actuel. Nous sauvons sur les couts de démolition, et avec une nouvelle vocation plus faible en terme d'usure, la structure pourrait durer beaucoup plus longtemps. Le gros de mon plan serait de construire un nouveau pont à 8 voies en (presque) parallel au pont actuel. Le vieux pont Champlain serait utilisé pour supporter du transport en commun (autobus, métro, et possiblement covoiturage) Situation actuelle qui cause des embouteillages: Autoroute 10 (Brossard) - 4 voies de chaque bord Nouveau pont Champlain - 3 voies de chaque bord A-15/20 jusqu'à Turcot - 2 voies de chaque bord Futur: Autoroute 10 (Brossard) - 4 voies de chaque bord Nouveau pont Champlain - 4 voies de chaque bord A-15/20 jusqu'à Turcot - 3 voies de chaque bord De plus, en lien avec ma vision pour le metro 2100, le pont Champlain pourrait porter des voies de metro pour la ligne rouge. Voici alors mon plan: Commentaires? Suggestions? Don't go too rough on my foolish ideas... this one took hours to make!
  15. Gaz Métro a perdu son plus important client, la centrale au gaz de TransCanada Energy à Bécancour, à cause des surplus d'électricité. Pour en lire plus...
  16. Metro name to be largest in Canada with consolidation of five banners in Ontario 48 minutes ago MONTREAL — Venerable grocery banners Dominion and A&P will soon disappear as Canada's third-largest surpermarket chain, Metro Inc. (TSX:MRU.A), plans to consolidate five store names in Ontario under the Metro moniker, born 47 years ago in Quebec. Metro will become the most common supermarket name in Canada, boasting 376 stores in Quebec and Ontario, after 158 stores in Canada's largest province are converted over the next 15 months. Metro will have 376 stores in Quebec and Ontario, after 158 stores in Canada's largest province are converted over the next 15 months. The move supplants IGA as the most common grocery banner, although that chain's stores are owned and operated by different companies across the country. Metro announced Thursday it will spend $200 million to rebrand its stores in Ontario, where the company had been operating under the A&P, Dominion, Loeb, The Barn and Ultra banners. "For Quebecers, it's good news to see a banner that we know well establish itself in Ontario to become the largest banner in Ontario," CEO Eric La Fleche said in an interview. The change will see the disappearance from Canada's retail landscape two venerable grocery names: Dominion and A&P. The conversion will start next month with the rebranding of 49 Dominion stores in Toronto. Hamilton will then lose The Barn, followed by the removal of Ultra in Guelph and Burlington. By the end of 2008, 60 stores will be converted. Loeb will disappear early next year before A&P is converted by the end of 2009. The long-awaited change comes as the Ontario grocery market is in the midst of intense competition, which has driven down profits as chains have been forced to lower their prices to win or keep customers. Besides pressure from the two biggest national grocers, Loblaws (TSX:L) and Sobey's (TSX:EMP.A), Metro faces challenges from U.S.-based department store operator Wal-Mart and Toronto-based Shoppers Drug Mart (TSX:SC), which have both increased their grocery sales. "We think that in Ontario we will be stronger with one banner than with five and we think that the $200 million that we will invest in our stores will help us to better compete in that market," said La Fleche, who recently took over from longtime CEO Pierre Lessard. The only banner not included in the change is Food Basics, which competes in the discount food segment of the grocery market. There are also no immediate plans to open the Metro Plus banner or Brunet in-store pharmacies in larger Ontario stores. No store closures are forecast. The banner consolidation will produce savings by allowing the company to publish one flyer and market one store name. "I think you get more bang for your buck under one name. You can build better equity and more brand awareness across the province and have a more consistent shopping experience across the province," he said. While some stores will only be "refreshed," others will receive major upgrades. Metro's private label brands Selection and Irresistibles will continue to be added to store shelves. Newly stylized Metro signs will be added to Quebec locations over the next two to three years. La Fleche said the name on the store is secondary for consumers than the entire shopping experience. "They want to buy from people they know and trust. They want to buy good product and they want fair price. That's what we're all about and this move is about making that even better." The banner consolidation comes nearly three years after Metro purchased A&P Canada. It recently conducted extensive consumer research and considered maintaining two banner names. The decision was delayed a few months as the company tackled internal IT systems conversions and intense market pressures in Ontario. "We had a lot of work to do to set the foundation and be in a position to do these kinds of moves," La Fleche said. Operating under one banner could make it easier for Metro to eventually expand operations but the company said there are no immediate plans for acquisitions in Western Canada. Metro hopes the changes will improve its financial results, but wouldn't disclose targets. In its financial statement Thursday, the chain reported it earned $92.6 million for the latest quarter, up 3.7 per cent from $89.3 million for the corresponding 2007 period. Sales jumped just under one per cent to $3.37 billion from $3.34 billion for the corresponding quarter last year. Excluding decreased sales of tobacco products, sales were up 1.5 per cent over last year. Earnings per share rose to 82 cents compared with 77 cents last year, an increase of 6.5 per cent. "We resolved the issues associated with our new information systems in Ontario and achieved good performance in our Quebec operations," said La Fleche. With annual sales of nearly $11 billion and a workforce exceeding 65,000, Metro is Quebec's second biggest grocer and a growing food retailer in Ontario. On the Toronto Stock Exchange, Metro shares rose $1.33 to $26.77, a gain of 5.23 per cent. ___________________________________________________________________________________________________ METRO deviendra la plus importante bannière alimentaire en Ontario Un investissement de 200 millions $ pour regrouper les supermarchés de la compagnie sous la bannière Metro Toronto, le 7 août 2008 : METRO Inc. (TSX :MRU.A) a annoncé aujourd’hui qu’à partir de septembre 2008, elle regrouperait ses cinq bannières de supermarchés conventionnels en Ontario sous la bannière Metro. Le lancement de la bannière Metro en Ontario sera soutenu par un investissement de 200 millions $, dédié à la rénovation des magasins, à l’amélioration de l’offre alimentaire, ainsi qu’à la réalisation d’une campagne de marketing pour créer, avec ses 158 épiceries, la bannière alimentaire la plus importante de la province. La conversion des bannières Dominion, A&P, Loeb, The Barn et Ultra sous la bannière Metro sera effectuée d’ici les quinze prochains mois. Les magasins Food Basics ne sont pas touchés par ce changement, puisqu’ils œuvrent dans le secteur des magasins d’escompte. « La décision de lancer la marque Metro en Ontario fait partie d’une stratégie à long terme visant à capitaliser sur l’efficacité des activités d’exploitation et de marketing en unissant les forces individuelles des bannières existantes en Ontario et en mettant en commun les meilleures pratiques de nos magasins du Québec et de l’Ontario », a expliqué Eric La Flèche, Président et chef de la direction de METRO Inc. La transition vers Metro débutera en septembre à Toronto avec la conversion des magasins Dominion, de sorte que les magasins Dominion, Ultra et The Barn seront convertis avant la fin de 2008. La conversion des magasins Loeb suivra au cours des six premiers mois de 2009 et celle des magasins A&P avant la fin de 2009. Lorsque le programme de consolidation de la bannière sera complété, le réseau de magasins Metro sera constitué de 376 supermarchés conventionnels au Québec et en Ontario, dont 218 au Québec. METRO investira 200 millions $ pour moderniser ses magasins et accroître l’offre de produits afin de mieux répondre aux préférences des consommateurs ontariens tout en continuant à offrir des prix très compétitifs. La compagnie a commencé à planifier la conversion des bannières ontariennes après l’acquisition d’A&P Canada en 2005. En prévision du projet annoncé aujourd’hui, elle a intégré ses systèmes de gestion de l’information et renforcé sa chaîne d’approvisionnement. La compagnie en profite également pour dévoiler un nouveau logo Metro qui devient le logo de la bannière ainsi que celui de la Société. « Nous sommes très heureux d’entreprendre cette nouvelle étape dans la croissance de METRO », a déclaré M. La Flèche. « Nous bâtissons sur des fondations solides, grâce à notre stratégie ciblée sur l’alimentation, à nos excellents emplacements et à une équipe d’employés soucieux d’offrir à nos clients un service exceptionnel. Nous sommes emballés par les nouveautés qui seront offertes en magasin à partir de septembre. » METRO INC. Avec un chiffre d’affaires annuel de près de 11 milliards $ et plus de 65 000 employés, METRO Inc. est un chef de file dans les secteurs alimentaire et pharmaceutique au Québec et en Ontario, où elle exploite un réseau de près de 600 marchés d’alimentation sous plusieurs bannières dont Metro, Metro Plus, Super C, A&P, Dominion, Loeb et Food Basics de même que plus de 250 pharmacies sous les bannières Brunet, Clini Plus, The Pharmacy et Drug Basics.
  17. L'épicier québécois entend consacrer 200 millions de dollars au regroupement, d'ici 15 mois, de ses multiples bannières ontariennes sous le seul nom de Metro. Pour en lire plus...
  18. La chaîne d'alimentation utilisera la bannière Metro dans la province voisine. Par ailleurs, ses profits ont monté de 3,7% à 92,6 M$ au troisième trimestre. Pour en lire plus...
  19. Retrouvant la rentabilité au troisième trimestre de son exercice 2008, le distributeur de gaz naturel empoche 4,8 M$. Pour en lire plus...
  20. Le projet évalué à plus de 1,2 milliard de dollars prévoit l'achat de plus de 300 nouvelles voitures de métro par la Société de transport de Montréal. Pour en lire plus...
  21. Après des années d'attente, la Société de transport de Montréal (STM) lance son appel d'offres pour remplacer les 336 voitures MR-63 du métro de Montréal. Pour en lire plus...
  22. Plusieurs acheteurs sur les rangs pour Uniprix 23 juillet 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent. Non seulement le grossiste canadien McKesson Canada lorgne Uniprix, mais Metro-Brunet, de Montréal, et Katz Group of Companies, d'Edmonton, s'intéressent aussi à la première chaîne du Québec pour le nombre de pharmacies. «C'est McKesson qui est le plus motivé par l'acquisition d'Uniprix, mais Metro et le Katz Group seraient grandement intéressés aussi», déclare à La Presse Affaires un analyste financier d'un grand courtier canadien. McKesson doit se défendre contre les braconniers dans son marché, ajoute David Hartley, analyste de BMO Marchés de capitaux. Un peu lassée d'attendre l'acquisition souhaitée de la chaîne de supermarchés Safeway Canada, Metro miserait encore davantage sur l'expansion de Brunet, sa filiale de pharmacies, et leur grossiste McMahon, explique son collègue. Quant au Katz Group, ce leader nord-américain possède plus de 1800 pharmacies au Canada et aux États-Unis. En outre, Katz exploite Meditrust Pharmacy, seule entreprise canadienne de vente en ligne de produits pharmaceutiques. Par ailleurs, Katz ne compte encore aucun magasin au Québec, ni dans les Maritimes, note le premier analyste financier. Pas de surprise pour Jacques Nantel, professeur de commerce de détail et secrétaire général de HEC Montréal. Juste après l'acquisition de Proxim par McKesson le 1er juillet dernier, Jacques Nantel a en effet prononcé une conférence chez Uniprix sur la consolidation du secteur des pharmacies. Les chaînes de pharmaciens indépendants vont devoir se consolider, tout comme antérieurement celles dans l'alimentation et la quincaillerie, dit Jacques Nantel. Par ailleurs, un autre spécialiste du commerce de détail affirme que Metro manifeste un appétit tel pour l'expansion de Brunet que des dirigeants du groupe ont tenté d'acheter Proxim, raflée par McKesson Canada. Metro-Brunet a de plus discuté d'une acquisition avec Uniprix et même avec... Jean Coutu, ajoute ce spécialiste. Metro-Brunet a refusé de donner des détails hier, tout comme le Groupe Jean Coutu. De son côté, le porte-parole d'Uniprix, Pierre Gince, a lancé "qu'un autre gros acteur essaie d'acquérir une chaîne de pharmacies au Québec". Leader au Québec pour les ventes, avec 305 grandes pharmacies, Jean Coutu ne serait pas autorisé à acheter Uniprix par le Bureau canadien de la concurrence, déclare l'analyste financier qui ne veut être identifié. Par contre, Metro demeure en bonne santé financière, malgré la sévère concurrence que doit affronter sa filiale ontarienne A&P, et pourrait réaliser des synergies appréciables après l'acquisition d'Uniprix par Brunet, estime cet analyste. Les gammes de produits des supermarchés et des pharmacies se ressemblent souvent. En outre, contrairement au grossiste McKesson, Metro-Brunet possède une grande expertise dans le commerce de détail. Quant à Katz, sa structure d'exploitation s'apparente en partie à celle d'Uniprix, selon l'analyste, contrairement à celle de Shoppers-Pharmaprix. C'est toutefois McKesson qui offrirait le meilleur prix pour la bannière Uniprix, selon l'analyste, pour protéger son marché. Le grossiste approvisionne à la fois Uniprix et Proxim. Shoppers-Pharmaprix serait le groupe le moins intéressé par Uniprix, même si la chaîne compte près de 400 pharmacies. Joint aux États-Unis, Guy-M. Papillon, fondateur d'Essaim (la chaîne devenue Proxim), déclare que les pharmaciens sont enchantés du prix payé par McKesson. Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent, dit l'analyste. Le Québec offre un marché plus intéressant que les autres provinces, pour le nombre de prescriptions. L'acquisition d'Uniprix et de Proxim par McKesson pourrait entraver la croissance en cours de Jean Coutu et de Shoppers-Pharmaprix au Québec, dit David Hartley. Ces deux chaînes seraient davantage menacées, par contre, si Metro-Brunet entrait dans la danse en achetant Uniprix, selon lui.
  23. Fortier

    Métro de Québec

    Métro de Québec phase 1:
  24. Premier pavillon de l'Université de Montréal a la station de metro Montmorency.
  25. Les quelque 40 000 clients résidentiels qui effectuent des paiements égaux subiront dès le mois prochain des augmentations de tarifs de 15 à 20%. Pour en lire plus...
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