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  1. Christie's Great Estate croit que le marché de la revente d'habitations redémarre dès ce mois-ci à Montréal, malgré la morosité et la tempête économique. Pour en lire plus...
  2. Le groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson a dépassé mardi les attentes du marché au quatrième trimestre 2008 et sur l'ensemble de l'année écoulée. Pour en lire plus...
  3. Avec l'offre de plus en plus limitée et un marché des liquidités qui s'assouplit peu à peu, les prix des métaux de base pourraient avoir atteint un bas. Pour en lire plus...
  4. La hausse escomptée de la demande pour les obligations, en raison de la possibilité que la Réserve fédérale américaine rachète des titres à longue échéance, semble être le facteur dominant du marché obligataire actuellement. Pour en lire plus...
  5. «L'Italie est un marché difficile», admet Éric Gravier, vice-président de McDonald's France. Pour en lire plus...
  6. En Amérique du Nord, l'ensemble de l'industrie de la nourriture bon marché a bien fait l'année dernière. Mais McDonald's a fait mieux encore. Pour en lire plus...
  7. Les prix du baril de pétrole ont de nouveau reculé jeudi à New York, cédant près de deux dollars, dans un marché qui encaisse les mauvaises nouvelles économiques. Pour en lire plus...
  8. General Motors a indiqué jeudi qu'il avait retenu comme hypothèse une chute du marché automobile américain de 20% pour établir le plan de retour à la viabilité. Pour en lire plus...
  9. Le ralentissement du marché publicitaire fait sombrer le diffuseur dans les pertes à son premier trimestre. Pour en lire plus...
  10. L'année 2008 s'est terminée dans la déprime dans le marché de la revente de la région de Montréal, avec en décembre une baisse de 2% du prix des condos et une chute de 29% des transactions. Pour en lire plus...
  11. Le marché boursier torontois a clôturé en forte hausse mardi, après que les actions du secteur de l'énergie eurent connu un regain de vie. Pour en lire plus...
  12. Après avoir connu une année record en 2007, le marché de la revente de résidences dans la grande région de Montréal a reculé de 7% l'an dernier. Pour en lire plus...
  13. Coup dur pour la revente immobilière à Montréal 13 janvier 2009 - 09h43 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le marché de la revente a fortement ralenti à Montréal en décembre mais la Chambre immobilière du Grand Montréal préfère porter ses lunettes roses. La CIGM rapporte en effet que le volume de ventes a fondu de 28% à 456,6 M$ et le nombre de transactions a reculé de 29% à 1710. La copropriété a été la catégorie la plus pénalisée avec des transactions en baisse de 33% à 451. Le prix médian a reculé de 2% à 192 000 $. Les édifices de 2 à 5 logements, surnommés les «plex», ont tiré leur épingle du jeu avec une diminution de 23% à 269 marchés conclus. Les prix ont monté de 3% à 337 750 $. «La confiance des consommateurs, qui est un facteur clé de la vigueur du marché immobilier, a été affectée récemment en raison du bombardement constant de nouvelles sur l’instabilité de l’économie», indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM. «Toutefois, poursuit-il, les Montréalais devraient être encouragés par l’ensemble des résultats de 2008, qui arrive au second rang des années les plus actives du marché immobilier à Montréal. Le marché s’est bien comporté par rapport à 2007, l’année qui a battu tous les records.» Un coup d'œil sur l'ensemble de 2008 permettrait de dire que ça ne va pas trop mal car sur 12 mois, le nombre de transactions a reculé de seulement 7% à 40 916 alors que le volume a diminué de 4% à 10,6 G$. Les copropriétés ont été les grandes gagnantes alors que la revente a été presque identique au record de 2007 avec 11 561 transactions. Les maisons unifamiliales ont connu un autre sort, alors que les ventes ont baissé de 10% à 24 295. Toutefois, les prix médians de ces deux catégories de propriétés ont respectivement augmenté de 3% à 185 000 $ ainsi que de 6% à 227 000 $. «De plus, les prix ont continué d’augmenter en 2008, ce qui est une bonne nouvelle pour les propriétaires et pour tous ceux qui ont un intérêt particulier dans le marché immobilier à Montréal», ajoute M. Beauséjour. À son avis, quand on se compare, on se console. «Il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs, comme à Vancouver, Calgary ou Toronto, où les prix et les ventes ont diminué de façon spectaculaire au cours de la dernière année, pour apprécier la vigueur du marché montréalais.» Les intentions d'achat se maintiennent La Chambre immobilière croit aussi que son plus récent sondage sur les intentions d'achat renferme des données encourageantes. L'enquête révèle que 5,1% des ménages montréalais estiment très ou assez probable qu'ils fassent une acquisition d'ici un an et 17,2% d'ici 5 ans. Respectivement, ces chiffres s'élevaient à 6,2% et 20,4% en 2007. «Ces sondages se sont révélés assez fiables au cours des dernières années, ce qui est une bonne nouvelle pour le marché immobilier montréalais. À titre d’exemple, en 2006, les intentions d’achat étaient de 9%, ce qui s’est traduit par une année exceptionnelle en 2007», précise M. Beauséjour. Le sondage a été réalisé par le Groupe Multi Réso du 21 octobre au 9 novembre 2008 auprès de 1500 répondants de la région métropolitaine de Montréal.
  14. Le marché de la revente a fortement ralenti en décembre mais la Chambre immobilière du Grand Montréal préfère porter ses lunettes roses. Pour en lire plus...
  15. Les cours du pétrole baissaient pour une cinquième séance consécutive mardi matin avec un marché inquiet de l'état de la demande pétrolière et du niveau très élevé des stocks. Pour en lire plus...
  16. Les véhicules électriques et hybrides suscitent beaucoup d'espoir pour relancer un marché automobile en pleine crise. Pour en lire plus...
  17. Le marché canadien des fusions et acquisitions s'est déprécié de moitié en 2008, passant de 269milliards $US en 2007 à seulement 131,5milliards $US l'an dernier. Pour en lire plus...
  18. Les prix du pétrole s'enfonçaient sous les 40 $ US à New York lundi, sur un marché de nouveau assujetti aux inquiétudes économiques. Pour en lire plus...
  19. Les États-Unis ont détruit un total de 2,6 millions d'emplois en 2008, ce qui en fait la pire année pour le marché du travail depuis 1945. Pour en lire plus...
  20. La crise économique continue d'avoir des effets négatifs sur l'emploi au pays, avec un recul constaté de 34 000 postes pendant le mois de décembre. Pour en lire plus...
  21. MARCHÉ IMMOBILIER Plateau: le marché ralentit, les prix se maintiennent Publié le 7 janvier 2009 à 11:03:51 | Mis à jour à 13:26:22 La Presse Le marché immobilier du Plateau Mont-Royal montre des signes de ralentissement. «On sent que les acheteurs sont hésitants. Ils ont un peu plus de choix, font moins de compromis qu'au temps où les propriétés se vendaient en deux semaines», constate René Legault, directeur du Groupe Le Pailleur. «C'est moins un marché de vendeurs», dit-il. L'agent Pascal Atlan-Wallet du Groupe Sutton Immobia est très surpris que les prix se maintiennent, dans ce contexte. «La demande est là pour des cottages sur le Plateau, rénovés et de bon goût. En bas de 600 000$, ça se vend très bien», dit-il. Un cottage de 1800 pieds carrés qu'il a vendu 525 000$ en décembre 2007 vient d'être revendu 564 000$, douze mois plus tard, rue Garnier. Ces jours-ci, on peut trouver un cottage pour 425 000$ - à rénover, précise René Legault - et un appartement de deux chambres à coucher pour environ 225 000$, 275 000$ et plus si celui-ci a été rénové. Agrandir Agrandir La superficie habitable de l'appartement est de 1001 pieds carrés. Photo Alain Roberge, La Presse Toujours dans le Plateau, un condo coûte grosso modo de 250$ à 300$ le pied carré, estime Pascal Atlan-Wallet. Plusieurs variables déterminent bien sûr le prix, comme le voisinage, l'étage, la présence ou non d'une terrasse, d'un stationnement, le design... Un exemple? L'agent Pierre Viens, de La Capitale du Mont-Royal, demande 319$ le pied carré pour cet appartement situé rue de la Roche. Superficie habitable: 1001 pieds carrés. Outre sa localisation à 100 mètres de l'avenue du Mont-Royal, cette copropriété présente deux atouts «vendeurs»: un aménagement intérieur conçu par un professionnel, et une succession de fenêtres en forme de «V» arrondi. Orientées au sud, au sud-ouest et à l'ouest, ces fenêtres éclaircissent trois des cinq pièces. Les planchers craquent. L'immeuble date de 1900. C'est en 1995 que cet appartement, au deuxième, a été rénové. L'intérieur a été dessiné et aménagé par le designer Richard Bélanger. Deux cabinets sont encastrés au salon et dans la salle à manger. Le premier incorpore un plan de travail et une bibliothèque. Le deuxième, un vaisselier, est surmonté de deux spots encastrés au plafond. Son dosseret argenté et texturé réfléchit la lumière. Petite, la cuisine peut loger une petite table et deux ou trois chaises. Les deux chambres se trouvent du côté de la rue de la Roche. L'une d'elle a un balcon. Les fenêtres sont oscillo-battantes. La chambre principale possède une penderie. À noter: les portes sont pleine hauteur, mettant en valeur les neufs pieds et demi de plafond. Il y a un autre balcon, accessible de la cuisine, et un espace de stationnement via la ruelle. Ceux qui ne peuvent pas s'offrir le Plateau se tournent apparemment vers Villeray et La Petite-Patrie, incluant la Petite Italie. Mais pas Outremont, d'après l'expérience de René Legault: «Les gens (dans le Plateau) aiment ce style de vie-là, par exemple ceux qui n'ont pas de voiture et qui veulent un endroit pour leur bicyclette (...) même s'ils sont un peu plus tassés (qu'à Outremont).» La propriété en bref Prix demandé : 319 000 $ Évaluation municipale : 158 300 $ Nombre de pièces : 5 Salle de bains : 1 Impôt foncier : 1621 $ Taxes scolaires : 363 $
  22. Immobilier: Royal LePage ne prévoit pas d'effondrement 6 janvier 2009 - 09h39 Presse Canadienne
  23. Le marché de l'emploi continue de se dégrader à un rythme effréné aux États-Unis, où le secteur privé a détruit 693 000 emplois en décembre. Pour en lire plus...
  24. Terminé l'état de grâce: le marché du travail allemand est rattrapé par la crise économique comme en témoigne une nette remontée du chômage au mois de décembre annoncée mercredi par l'Agence fédérale pour l'emploi. Pour en lire plus...
  25. Tours à bureaux: le marché avantage les locataires 29 décembre 2008 - 09h28 La Presse Laurier Cloutier Parce que les conditions économiques se détériorent rapidement, le marché des bureaux, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, tourne à l'avantage des locataires. Pourtant, la pénurie de locaux a soulevé l'inquiétude des locataires en 2008 à Montréal. La contrepartie, c'est qu'il faudra faire une croix sur les chantiers attendus de tours à bureaux à Montréal, et pour plusieurs mois. C'est l'évaluation que fait Jean Laurin, président et chef de la direction de GVA Devencore, de Montréal, une société canadienne spécialisée dans l'immobilier commercial. Les compagnies immobilières SITQ, Westcliff, Canderel, Magil-Laurentienne/Desjardins et Sidev n'ont pas encore trouvé le locataire principal pour lancer la construction de leur tour à bureaux respective. Les promoteurs devront patienter encore six mois, sinon jusqu'en 2010, estime Jean Laurin. Pourtant, au printemps de 2008, plusieurs s'attendaient à la construction d'une première de ces tours, en raison du plus faible taux d'inoccupation depuis longtemps à Montréal. Peu favorable à court terme «Le marché n'est plus favorable à court terme pour trouver ce locataire principal et amorcer la construction de cette tour à bureaux», note Jean Laurin. «La tempête économique remet tout en question: le plan d'affaires, l'organisation, la situation financière, déclare le président. Ça force à la réflexion.» Entre-temps, des promoteurs pourront par contre restaurer des immeubles existants, bien situés, dans quelques quartiers. Ils pourront ainsi en rénover au centre-ville, afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. D'autres en trouveront le long des lignes de métro. On pourra convertir des immeubles industriels en bureaux. Car pour les locataires, les économies vont prendre la tête des priorités, du moins à court terme, souligne Jean Laurin. «Ils vont mettre au congélateur le prestige et l'image de marque.» «Au cours des six premiers mois de 2009, il ne va rien se passer. Après, on verra d'abord quel type de reprise se dessine», déclare le président de Devencore. Les constructeurs pourront tout de même rénover de cinq à 10 immeubles à Montréal en 2009, avec un nombre de pieds carrés plutôt appréciable, estime Jean Laurin. Il faudra pour cela que des promoteurs aux reins solides découvrent de bons immeubles à restaurer, bien localisés. Place à la négociation Dans ce contexte en évolution rapide, des locataires de Montréal et d'ailleurs au Canada, avec des baux qui approchent de l'échéance, peuvent renégocier avec les propriétaires, ajoute le président. Pour garder un bon locataire, le propriétaire de l'immeuble va accepter de négocier un bail à la baisse. «De gros propriétaires en particulier s'adaptent rapidement à la nouvelle situation du marché. La tendance des prix est à la baisse», note Jean Laurin. Le président de Devencore revient de New York, où «la valeur des immeubles et les loyers ont baissé, pendant que le taux d'inoccupation des bureaux a augmenté au rythme de la dégradation des disponibilités financières des entreprises. Et à Londres, c'est encore pire», dit-il. «Au Canada, le taux d'inoccupation des bureaux devient relativement élevé et les pressions à la hausse sur les loyers se sont évaporées. À Calgary, à Vancouver et à Ottawa, le marché devient plus favorable aux locataires. À Toronto, des constructeurs ont même mis en chantier de nouvelles tours de 2,5 à 3,5 millions de pieds carrés, à livrer sur le marché en 2009 et 2010, ce qui favorisera aussi les locataires», explique Jean Laurin. À Montréal, le taux d'inoccupation a fini par augmenter légèrement, mais on ne trouve toujours pas sur le marché les grands blocs de locaux contigus recherchés, conclut le président de Devencore. LE MARCHÉ DES TOURS À BUREAUX Grands centres urbains (automne 2008) SUPERFICIE (pi2) / INOCCUPATION / TAUX LOCATIF Toronto: 64,8 millions / 6,8% / 45$/pi2 Montréal: 45,2 millions / 5,5% / 33$/pi2 Calgary: 34,5 millions / 3,8% / 50$/pi2 Vancouver: 24,3 millions / 2,4% / 52$/pi2 Ottawa: 16,9 millions / 2,3% / 39$/pi2 Source: GVA Devencore
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