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  1. jeudi 8 fév, 17 h 32 Hydro-Québec prend la pleine mesure du réchauffement climatique: la société d'État a vu ses besoins diminuer d'un térawattheure et demi, de quoi alimenter une ville comme Laval pendant un an. PUBLICITÉ Sa division Distribution a acheté trop d'électricité sur le marché et se retrouve cette année avec près de 5 milliards de kilowattheures de surplus. Hydro-Québec Distribution, qui aurait pu revendre à profit ces kilowattheures sur le marché, tente plutôt de s'entendre avec ses fournisseurs, TransCanada Energy et Hydro-Québec Production. Elle veut reporter d'un an les livraisons prévues à leurs contrats, sans payer de pénalités. TransCanada Energy a refusé de rouvrir son contrat, qui prévoit la livraison à Hydro de 4,1 milliards de kilowattheures par année à 10,5 ¢ le kilowattheure. Hydro-Québec Production a pour sa part accepté de régler le problème et de ne pas livrer à Hydro-Québec Distribution l'électricité prévue cette année, soit 5 milliards de kilowattheures à près de 5 ¢ le kilowattheure. Cette décision lui occasionnera un manque à gagner de 220 millions. De plus, elle a renoncé à encaisser les pénalités prévues au contrat en cas de désistement de l'acheteur, et se prive ainsi de 82 millions supplémentaires, pour un total de 302 millions. « Ce n'est pas de l'argent qui disparaît, l'eau reste dans les réservoirs, a justifié le grand patron d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. C'est de l'électricité qui pourra être revendue cette année ou plus tard », a-t-il affirmé mercredi, au moment où les dirigeants d'Hydro-Québec Distribution comparaissaient devant la Régie de l'énergie, à qui ils demandent d'approuver d'urgence l'entente conclue avec la division Production. Le temps presse, les livraisons d'électricité devant commencer dans deux semaines. L'opposition critique la façon de faire L'an dernier déjà, Hydro-Québec prévoyait avoir trop d'électricité pour les besoins de 2007. Selon Hydro, la température anormalement douce du mois de janvier, la fermeture de Norsk Hydro et de plusieurs usines du secteur des pâtes et papiers, de même que la réduction des besoins d'Alcan, ont aggravé la situation et porté les surplus à 5 milliards de kilowattheures. Hydro-Québec Distribution aurait pu vendre ces surplus sur les marchés à profit et faire bénéficier ses clients d'une réduction de tarifs. Elle a refusé de prendre cette voie puisque son mandat n'est pas de revendre de l'énergie et qu'elle n'aurait pas pu en tirer un prix assez intéressant, ont affirmé ses représentants devant la Régie. Ces derniers estiment que les quantités à remettre sur le marché étaient telles que la vente de celles-ci aurait fait baisser le prix de vente. La porte-parole de l'opposition officielle en matière d'énergie, Rita Dionne-Marsolais, estime que ce genre d'entente mine la crédibilité d'Hydro-Québec sur les marchés financiers. « Le message que ça envoie, c'est qu'Hydro joue selon les règles du marché seulement quand ça fait son affaire », a-t-elle déploré.
  2. le 6 novembre 2007 Frank Zampino, président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, et Sammy Forcillo, conseiller du district Sainte-Marie–Saint-Jacques et membre du comité exécutif, annoncent la vente du marché Saint-Jacques pour la somme de 2 300 000 $. L’administration municipale avait lancé un appel de propositions à la suite de la décision de relocaliser les services municipaux qui occupaient cet immeuble hébergeant un marché public depuis plus de 75 ans. «Cette transaction amène le nouveau propriétaire à conserver la vocation de marché public en louant la partie extérieure de l’immeuble à la Ville jusqu’en 2022. Cette condition est assortie de cinq options de renouvellement d’une durée de cinq ans chacune, de manière à respecter l’entente intervenue avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal qui exploite déjà cet espace», a commenté Franck Zampino. «De plus, le propriétaire est tenu de réserver le rez-de-chaussée du bâtiment à des commerces d’alimentation, ce qui permettra de relancer le développement commercial et économique du secteur», a-t-il argumenté. Retombées positives? Pour sa part, Sammy Forcillo a souligné que «la conservation et le renforcement de la vocation de marché alimentaire et public bénéficiera aux résidents du quartier qui profiteront de services d’approvisionnement additionnels. Le marché Saint-Jacques a marqué l’histoire de notre quartier et il fera encore la fierté de ses usagers, j’en suis certain ». Il s’est réjoui que la transaction vise également le maintien du caractère architectural du bâtiment construit en 1931. «Cet édifice de style art déco représente une valeur patrimoniale importante tant pour les résidents du quartier que pour l’ensemble de la population montréalaise», a conclu Sammy Forcillo.
  3. Je prévois y aller en juillet pour 3 journées complètes mais j'ai peur de m'y ennuyer ! Avez-vous des endroits à me recommander ? Des activités que je dois absolument faire ? J'ai peur qu'après avoir visité le battery park, marché un peu dans le centre-ville et avoir été en haut de la Willis Tower et Hancock tower, que je n'aie plus rien à faire. Merci !
  4. http://www.ecologieurbaine.net/promenades'>http://www.ecologieurbaine.net/promenades 50 visités de quartiers (gratuites) le 5 et 6 mai 2012 50 marches pour redécouvrir Montréal Date de parution: 05 avril 2012 Les 5 et 6 mai, la Promenade de Jane offre 50 visites de quartier guidées gratuites. C’est la 4e édition de la Promenade de Jane organisée à Montréal à l’initiative du Centre d’écologie urbaine de Montréal (CEUM). « Nous avons une quarantaine de guides qui animeront ces visites dans 12 arrondissements ou villes sur l’île de Montréal. Les parcours de deux heures permettront d’explorer des thèmes liés à l’histoire des quartiers, à la nature en ville et au développement urbain, et il y a aussi plusieurs visites de places publiques à découvrir », explique Tristan Bougie, coordonnateur de l’événement au CEUM. Explorer l’île de Montréal Plus de trente marches sont organisées dans l’axe nord-sud de l’île, de Montréal-Nord jusqu’à Ville-Marie, en passant par Villeray—Saint-Michel—Parc-Extension, Rosemont–La Petite-Patrie, le Plateau-Mont-Royal et Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Au centre de l’île, les visites sont concentrées dans les arrondissements Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce, Outremont, Sud-Ouest et Verdun. Enfin, dans l’ouest de l’île, des guides organisent des visites dans les villes de Pointe-Claire et Côte Saint-Luc. Pour s’inscrire aux visites et pour consulter le programme complet, visitez le site http://www.ecologieurbaine.net/promenade Événement international Cette année la Promenade de Jane est présentée dans 17 pays et dans plus d’une centaine de villes dont Barcelone, New York, Mumbai, Paris, Toronto, Saint-Pétersbourg et Sao-Paulo. En 2011, l’événement avait été organisé dans 75 villes et plus de 12 000 marcheurs avaient participé à l’un des 500 parcours urbains autour de la planète. Jane Jacobs La Promenade de Jane souligne l'héritage de Jane Jacobs. Auteure du livre The Death and Life of Great American Cities, Jane Jacobs a introduit des idées novatrices sur le fonctionnement, l’évolution et le déclin des villes. Des décennies plus tard, son œuvre inspire encore des générations d'architectes, d’urbanistes, de politiciens et de militants. - 30 - Avis aux médias : Trois organisateurs de marches sont disponibles pour entrevues en français ou en anglais : M. Jonhatan Cha, urbanologue et architecte paysagiste. Organisateur de la marche « À l'origine des squares-jardins victoriens de Montréal. Parcours historique de la vieille ville à la New Town » Mme Megan Hanna, guide de la marche « Our dynamic urban environment: Changes in NDG’s landscape » organisée en partenariat avec Prévention CDN-NDG M. Sasha Dyck, guide de la marche « Eating in Park Extension » organisée par la Société d’histoire de Parc-Extension Source : Centre d'écologie urbaine de Montréal
  5. 369 nouveaux condos sur la rue De Castelneau juste derrière le projet ''De Castelneau''. Ce secteur est en vois de devenir assez impressionnant car la densification est assez bonne et la transformation est très intéressante. C'est tout le coin qui va en bénéficier. Autant Villeray, que le Marché Jean-Talon et la Petite Italie. Le projet est présentement a l' OCPM http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P73/3a.pdf
  6. Etonne de ne pas trouver d'autre informations sur ce sujet, mais le Carre Lucerne aux intersections de la metropolitaine, Lucerne et Plymouth, est en pleine construction. Le provigo est en demolition, le Pharmaprix semble avoir toute sa structure montee, et la phase 1 ( subway, ben&florentine et +) est terminee. Ce sera interessant de voir le nouveau gros Provigo le Marche, et ce qui se passera du Loblaws sur Ste-Croix. Aussi tres hate de voir le Pharmaprix vu que son local actuel (ancien Uniprix) sur Lucerne est extremement moche et desuet. Je me demande si le UPS va revenir de ce cote.. Il me semble qu'il perd beaucoup de son accessibilite sur Lucerne, esperant que c'est temporaire pendant les constructions http://carrelucerne.ca/
  7. Je crois que ça a passé sous le radar régional mais "Les Centres d’Achats Beauward" prévoient construire un nouveau centre de congrès à St-Hyacinthe, agrémenté d'un hôtel de 200 chambres à proximité de l'ancien Hôtel des Gouverneurs qu'ils ont acquis et qu'ils vont démolir (c'était tout pourri apparemment). En gros, ils reconstruisent un équivalent contemporain, connecté à leur centre d'achat. Pour la petite histoire locale, il y a une guéguerre avec un autre centre d'achat de la région, ça s'accuse de magouilles etc, il y a des détails dans l'article. Ah, oui, le PA de Beauward est ni plus ni moins que Marc-A. Bibeau.
  8. Le Sainte-Émilie est un projet de 18 condominiums de 1 à 3 chambres, allant de 657 à 1466 pi2, situé à proximité du canal de Lachine et du marché Atwater, dans le très recherché secteur du Sud-Ouest de Montréal. Livraison: décembre 2014 Plus d'information à la page: districtatwater.com Sainte-Émilie coin Bourget
  9. http://axedumarche.com/ Quadrilatère Théodore/Rouen/Leclaire Ce projet est situé à l'emplacement d'un bâtiment industriel qui a été démoli cet été. De plus, il se situe juste à côté du tout nouveau parc linéaire.
  10. Le marché Atwater fait peau neuve D’importants travaux se déroulent au marché Atwater depuis le mois d’avril. Si, jusqu’à présent, les clients n’ont pas été témoins des différents chantiers, ils seront aux premières loges dès la semaine prochaine. La fin des travaux est prévue pour la mi-novembre. http://journalmetro.com/actualites/montreal/370057/le-marche-atwater-fait-peau-neuve/
  11. Je remarque qu'on a pas de discussion sur le grand débat Uber et le Taxi à Montréal... Qu'en pensez-vous? Avez-vous une opinion tranchée sur le sujet? Supportez-vous le droit acquis des taxis? Ou vous êtes en faveur d'un marché plus ouvert que prône Uber?
  12. http://plus.lapresse.ca/screens/859bc2a2-f0ed-470c-862f-943a02746c63%7C_0.html FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE La place Émilie-Gamelin est bien accueillante pour les manifestants, qui s’y donnent rendez-vous ces jours-ci. Mais pour le flâneur urbain, on repassera… C’est un espace hypercentral, dans une ville hypersécuritaire. Un espace auquel on a ajouté de gros jeux d’échecs et des camions de bouffe. Mais personnellement, je ne ferais pas de détour pour y passer un samedi après-midi avec mon fils, disons. Bon, ça prouve peut-être que je suis un papa poule. Mais surtout, que tout ce qui a été tenté au cours des dernières années pour faire de la place Émilie-Gamelin un lieu public accueillant et invitant – pour tous – a cruellement échoué. Cette fois sera-t-elle la bonne ? Je l’espère. J’ai appris qu’on va tenter complètement autre chose, cette année. On va fermer la place pour un mois, à partir de lundi prochain, afin de la transformer en « village » animé jour et soir, tout l’été, avec resto, bar, café, jardins et spectacles. On va aménager un marché public, un jardin communautaire, une terrasse avec tables et parasols, un immense lieu de projections. Bref, on va tenter d’en faire un lieu convivial pour tout le monde. Pas juste les revendeurs de drogue. *** Ça fait maintenant quatre ans que le Partenariat du Quartier des spectacles tente de « renipper » la place Émilie-Gamelin avec des événements ponctuels. Mais rien à faire : dès qu’ils prennent fin, le lieu redevient insécurisant. Changement complet de stratégie, donc. Fini les coups de pinceau et les interventions à la pièce. On a embauché l’organisme derrière le Village éphémère, Pépinière & Co, afin de créer un village semi-permanent, de mai à octobre. « On veut vraiment changer l’allure de la place, et sa réputation par le fait même », précise Pascale Daigle, du Partenariat. Sous l’enseigne lumineuse « Jardins Gamelin », on va donc retrouver de nombreux bancs, des bacs à fleurs, des chaises de type Adirondack, ainsi qu’une scène circulaire où se tiendront des événements programmés et spontanés : spectacles, conférences, animation, yoga matinal. On ajoutera une canopée lumineuse ainsi qu’une « œuvre magistrale illuminée » en suspension. À l’ouest, on ouvrira un restaurant dans une construction de conteneurs où l’on vendra du café tôt le matin, et de la bière tard le soir. On installera une dizaine de tables avec chaises et parasols afin que les gens puissent profiter de leur consommation ou de leur propre lunch. Au sud de la place, on retrouvera de l’agriculture urbaine : jardin de tournesols, production de légumes, plantations diverses, serre, etc. Et à l’est, on installera un marché de fruits et légumes et on se servira de la façade de la Place Dupuis comme toile de projection. « Montréal est une ville d’événements, fait remarquer Jérôme Glad, de Pépinière & Co. Mais l’événementiel est souvent en rupture avec la ville au quotidien : on installe des clôtures et des tentes génériques, puis une fois terminé, on remballe tout. » « Là, on veut inverser la logique : investir le lieu, en faire un canevas cohérent, puis y attirer des événements qui donneront à la place un caractère propre. » *** Est-ce qu’on est dans l’embourgeoisement localisé ? Une façon de repousser ceux qu’on préférerait ne pas voir ? De remplacer ceux qui ont élu domicile dans le parc par des hipsters et leur macchiato ? Le Partenariat du Quartier des spectacles s’en défend. Il assure que son village s’implantera avec l’aide de l’arrondissement et du Service de police de la Ville de Montréal, qui veilleront à maintenir la cohabitation. Comme à l’époque des interventions de l’ATSA. À l’arrondissement de Ville-Marie, on ne cache pas que « les comportements de personnes marginalisées » sont source de préoccupation. Mais le but n’est pas de les faire disparaître, assure la porte-parole Anick de Repentigny. « Il n’est pas question d’exclure qui que ce soit. L’arrondissement souhaite une cohabitation sociale optimale. » De toute façon, renchérit Jérôme Glad, l’idée n’est pas de lisser l’endroit pour en faire une autre place des Festivals. « On a vraiment une approche de quartier, à échelle humaine, ouverte et inclusive. On veut que ça devienne un lieu propice aux rassemblements et aux pique-niques. On veut que ce soit une grande terrasse pour tout le monde. » Pas une autre place des Festivals, donc, mais pas un autre « Village éphémère » non plus, ces événements populaires et branchés qui ont eu lieu ces deux dernières années (bonne nouvelle : une démarche est en cours pour que cet événement revienne au Pied-du-Courant à compter du 19 juin). « On mise plutôt sur une réappropriation d’un lieu public par toutes sortes de monde », affirme Jérôme Glad. Pensons au Marché des ruelles dans la rue Sainte-Catherine, ou au Marché des possibles dans le Mile End. Ne nous contons pas d’histoire. Ce sera tout un défi d’assurer une cohabitation des usagers actuels et futurs. Mais un défi qu’il vaut certainement la peine de tenter de relever. Car s’il ne faut pas chasser les marginalisés, on ne peut chasser non plus les riverains et les commerçants. sent via Tapatalk
  13. Situé dans l'arrondissement St-Hubert, à côté de l'aéroport. Photos: Construction Vergo
  14. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201704/06/01-5085937-immobilier-residentiel-les-acquisitions-chinoises-depassent-mont-royal.php Hâte de voir l'impact à moyen-terme. La PM WYNNE est supposée mettre en place des mesures concrètes sous peu en Ontario pour ralentir la hausse fulgurante des coûts immobliers.
  15. Montréal, c’est quoi? Le Dimanche 7 Juin 2009 | Mise en ligne à 13h40 | Stephane Laporte Dans ma chronique dominicale, je demande ce qu’est Montréal. Los-Angeles, c’est le cinéma. Paris, c’est l’amour. New York, c’est l’argent. Milan, c’est la mode. Montréal, c’est quoi? Un lecteur me répond que Montréal, c’est le night life. C’est, selon lui, ce qui attire les touristes: le sexe bon marché. Selon vous quelle est la spécialité montréalaise? Crédit : By FRANZ' http://www.flickr.com/photos/franksk1/3603415115/
  16. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  17. Photo prise lorsque je voulais tourner de Président Kennedy vers Bleury: Le groupe de piétons juste devant ma voiture n'attend pas pour traverser, non ils sont en plein dans la rue à jaser, je leur fais signe poliment de se tasser sur le trottoir, ils ne réagissent pas, klaxonne, ils m'envoient chier alors qu'ils sont pertinement dans le tort! Ensuite, arrive dans le vieux-mtl, je marche sur McGill, un cycliste roule sur le trottoir est alors qu'il y a une piste cyclable sur la même ostie de rue! Quand on parle de respect et partage de la route, ca s'applique à tout le monde, mais dans notre ville il faut croire que tous ne sont pas nés avec la civilité nécessaire pour vivre dans une grande ville!
  18. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  19. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  20. Dans un autre ordre d'idée et d'un point de vue purement sportif et de loisir, voici un article intéressant sur certains sentiers de marche au Québec. Certains y ajouteront volontairement une dimension religieuse, cela dépend de chacun. En ce qui me concerne, c'est la beauté de l'activité, son côté humain et sa dimension culturelle qui me procurent bien-être et satisfaction à tous les niveaux. Allez sur le site pour plus de détails avec les cartes des différents parcours. http://ici.radio-canada.ca/regions/special/2016/marcher-compostelle-quebec/index.html Marcher sur les chemins de Compostelle du Québec Les amateurs de marche de longue distance peuvent désormais emprunter plusieurs itinéraires dans différentes régions du Québec, à la manière des pèlerins qui parcourent les chemins menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Marcher sur le long ruban qui s’étire devant soi. Ne penser à rien et apprécier ces étendues qui s’offrent au regard. Humer les effluves émanant des territoires qu’on traverse ou ressasser les événements de la vie pour les désamorcer. On retrouve un peu de tout ça chez ceux qui décident d’entreprendre une marche de longue distance, que ce soit à Compostelle ou ici au Québec. Depuis une quinzaine d'années, nous entendons de plus en plus parler de Québécois qui vont marcher en Europe, sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. En 2014, plus de 210 000 pèlerins de toutes les régions du monde se sont rendus, à pied, jusqu’à cette ville du nord-ouest de l’Espagne. Certains ont parcouru des centaines de kilomètres, marchant pendant cinq ou six semaines, parfois plus. La marche de longue durée permet de visiter les régions rurales du Québec. Photo : ICI Radio-Canada Marcher au Québec L'Association québécoise des pèlerins et amis du chemin de Saint-Jacques rapporte qu'en 2015, 998 de ses membres se sont rendus en Europe marcher sur l'une ou l'autre des voies menant à Compostelle. Plusieurs de ces Québécois, en revenant ici, ont senti le besoin de développer des circuits de marche s'inspirant des chemins de Compostelle. Ces chemins québécois ont gagné en popularité au fil des ans. Comme en Europe, les marcheurs qui empruntent les voies québécoises peuvent marcher pendant plusieurs jours, sur des centaines de kilomètres. Parmi les itinéraires qui se démarquent au Québec, on retrouve : le chemin de Saint-Rémi : 820 km en 43 jours, de Saint-Adrien-de-Ham en Estrie à Sainte-Florence dans la vallée de la Matapédia le sentier Notre-Dame Kapatakan : 215 km en 10 à 15 jours, de Rivière-Éternité à Lac-Bouchette, au Saguenay-Lac-Saint-Jean le chemin des Sanctuaires : 375 km en 18 jours, de Montréal à Sainte-Anne-de-Beaupré le chemin des Navigateurs : 400 km en 21 jours, de Pointe-au- Père dans le Bas-Saint-Laurent à Sainte-Anne-de-Beaupré Une bonne chaussure est la clé d'une marche réussie. Photo : ICI Radio-Canada À chacun son défi Qu'est-ce qui motive les marcheurs à parcourir 20, 25 et parfois 30 kilomètres par jour? Certains sont d'abord inspirés par des motifs religieux. D'autres y voient plutôt un défi physique ou une occasion de faire une pause et de se détacher de leur routine. Certaines personnes le font pour voir du pays d'une manière différente. Quelle que soit sa motivation, quiconque a complété une longue marche de ce genre affirme que l'expérience a été enrichissante. Et bien des gens ont, à ce point, été marqués qu'ils souhaitent reprendre leurs souliers de marche et leur sac à dos et repartir sur un de ces chemins. | SUIVANT > Réalisation web : Denis Castonguay
  21. http://www.lapresse.ca/maison/immobilier/201606/02/01-4987626-un-condo-sur-trois-vendu-a-perte.php L'immobilier, un moyen assuré de s'enrichir*? Certainement pas pour les Québécois qui ont acheté un condo au cours des trois dernières années. La firme JLR a analysé toutes les transactions impliquant des copropriétés achetées en 2012 ou 2013 et revendues avant le 31*décembre dernier. Sa conclusion*? Près du tiers des vendeurs ont dû se résoudre à accepter un prix égal ou inférieur à celui qu'ils avaient payé*! Plus de la moitié (56*%) des 7195*condos vendus depuis 2012 ont généré un gain de moins de 5*% pour leur propriétaire, révèle l'étude publiée la semaine dernière par JLR. Une fois les frais de courtage, de notaire, les droits de mutation et l'inflation pris en compte, ce gain « se transforme souvent en perte ». La plus-value médiane lors de la revente a été de 3,9*%, toutes transactions confondues, précise l'étude de JLR.  Beaucoup de pertes à Québec La situation est encore pire dans la ville de Québec, où l'orgie de construction des dernières années a entraîné une surabondance de copropriétés sur le marché. Selon l'analyse de JLR, 37*% des condos ont été vendus à un prix égal ou inférieur au coût d'achat dans la Vieille Capitale. La proportion de propriétaires « perdants » grimpe à 62*% lorsqu'on inclut les appartements revendus avec un profit inférieur à 5*%. « Ces résultats corroborent le rapport de l'évaluation du marché de l'habitation de la SCHL, qui indique que le niveau élevé de l'offre de copropriétés demeure inquiétant dans la RMR de Québec », souligne l'étude. JLR conclut qu'il est « peu probable de sortir gagnant d'une revente après un court délai de possession », à moins d'avoir investi en rénovations pour améliorer la valeur de revente de sa copropriété. De quoi faire réfléchir sur ses besoins à court et à moyen terme avant de déposer une offre sur un condo.
  22. http://ici.radio-canada.ca/regions/quebec/2016/04/06/002-marche-public-expocite-gestionnaire.shtml <header style="margin: 0px 0px 30px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial, helvetical, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 18.2px;">ÉCONOMIE Le nouveau marché public d'ExpoCité dévoilé <time datetime="2016-04-06T15:16:37Z" data-datetimelastpublished="2016-04-06T16:52:40Z" style="color: rgb(119, 119, 119); display: block; font-family: arial; font-size: 12px; margin: 15px 0px 10px; text-transform: uppercase;"> </time></header>
  23. Hello all! With what felt like the first day of spring today, here's an article summing up what we can expect on the Trans-Atlantic market this summer....should be an interesting one for all players involved. http://plus.lapresse.ca/screens/7900cc96-937e-4cdb-befe-926da2847d4b%7C_0.html
  24. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201512/09/01-4929658-de-la-marijuana-legale-a-la-saq.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS1 Publié le 10 décembre 2015 à 05h00 | Mis à jour à 06h10 De la marijuana légale à la SAQ? Tristan Péloquin La Presse Le syndicat des employés de la Société des alcools du Québec voit d'un bon oeil la possibilité que le cannabis récréatif, une fois légalisé, soit vendu dans les succursales de la société d'État. Ses 5500 membres ont demandé à l'Institut de recherche et d'informations socio-économiques (IRIS) de mener pour eux une étude sur la question. «On n'est pas opposés [à la vente du cannabis], mais ce sera éventuellement à nos membres de décider en congrès quelle est notre position à ce sujet, affirme Marc-André McSween, vice-président du Syndicat des employés de magasins et de bureaux de la SAQ (SEMB-SAQ). Pour l'instant, ce qu'on veut obtenir, c'est une étude qui nous démontrera quelles sont les répercussions.» Le syndicat pourrait demander à ses membres d'adopter une position claire à ce sujet dès ce printemps, au cours de leur prochaine assemblée générale. «Il y a de plus en plus un consensus pour que ce marché soit récupéré par le secteur public. Nous avons une formation en éthique de vente, la SAQ fait du contrôle de la qualité avec ses laboratoires. Nous voyons un lien entre ce que nous faisons présentement et la commercialisation du cannabis», lance M. McSween. La SAQ assure de son côté ne pas avoir de projet en ce sens. «On fait de la collecte de données sur ce qui se fait dans le monde, admet le porte-parole Jean-Vincent Lacroix, mais c'est clair qu'il n'y a pas d'orientation. Ultimement, c'est au gouvernement de donner les orientations.» Demandes en Colombie-Britannique, en Ontario et au Manitoba Dans son récent discours du Trône, le premier ministre Justin Trudeau a réitéré son engagement de légaliser et d'encadrer la vente de marijuana récréative au pays, sans toutefois préciser de feuille de route. La semaine dernière, en Colombie-Britannique, le Syndicat des employés de service du gouvernement et l'Association des magasins privés d'alcool ont cependant pris les devants, demandant conjointement que la marijuana soit vendue uniquement dans les Liquor Stores de la province. En Ontario, le président du Syndicat des employés de la fonction publique, Warren Thomas, s'est aussi publiquement prononcé pour la possibilité que la LCBO obtienne le monopole de la vente de cannabis récréatif. Le premier ministre du Manitoba, Greg Selinger, a également recommandé, en novembre, que la vente de marijuana se fasse exclusivement dans les magasins d'alcool de la province. Au Québec, Hydropothicaire, le seul producteur de cannabis médical actuellement autorisé par Santé Canada, se dit aussi favorable à ce que les magasins d'alcool en soient les distributeurs exclusifs. «Ce qui est le plus important à nos yeux, c'est qu'il y ait une vérification d'âge. Ces réseaux de vente sont déjà habitués à le faire. Ce serait le moyen le plus simple et le plus rapide», affirme son PDG, Sébastien St-Louis. Le privé aux États-Unis Dans l'État de Washington et au Colorado, où la vente de marijuana a été légalisée au cours des deux dernières années, ce sont plutôt des commerces privés qui assurent la vente de cannabis et de produits dérivés. Les vendeurs - appelés budtenders - doivent absolument obtenir une licence du gouvernement, qui leur est délivrée seulement après une vérification de leurs antécédents judiciaires. Les commerces de vente d'alcool, qui sont également privés, n'ont pas le droit de vendre de marijuana sous quelque forme que ce soit. Un marché substantiel Marché du cannabis médical au Canada: 1,3 milliard Marché estimé du cannabis récréatif: 8 milliards* Nombre de succursales de la SAQ: 400 Nombre d'employés: 5500 Dans l'État de Washington Population: 7 millions Ventes totales en dollars de cannabis depuis la légalisation (juin 2014): 622 millions Taxes récoltées: 177 millions * Selon Hydropothicaire
  25. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/859468/une-nouvelle-promenade-urbaine-proposee-pour-atwater/ 18/10/2015 Mise à jour : 18 octobre 2015 | 23:05 Une nouvelle promenade urbaine proposée pour Atwater Par Jeff Yates Métro Le projet prévoit la création d’une promenade urbaine partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Collaboration spéciale Une promenade urbaine donnant sur une grande esplanade, voilà une des idées mises de l’avant par la proposition de réaménagement du pôle Atwater retenue hier dans le cadre de l’incubateur urbain de l’arrondissement du Sud-Ouest. La proposition gagnante prévoit le retrait du terre-plein central ainsi que de deux voies de circulation sur l’avenue Atwater pour créer une promenade urbaine, partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Selon Bryan Marchand, un des trois architectes de l’équipe qui a conçu la proposition gagnante, le flux de la circulation ne sera pas affecté, puisque l’avenue Atwater dispose présentement de trois voies de circulation de part et d’autre du terre-plein, mais le tunnel, lui, ne comporte que deux voies de circulation dans chaque direction. La promenade aboutirait sur une grande esplanade aménagée autour du marché Atwater, entre la rue Notre-Dame et le canal de Lachine, marquée avec un pavage distinctif. «L’idée rappelle la grande place des villes européennes du Moyen-Âge et de la Renaissance», soutient M. Marchand. Une patinoire sur le canal de Lachine est aussi proposée, accompagnée d’un chalet qui permettrait d’enfiler ses patins. «L’idée est lancée depuis longtemps, mais ça ne se fait pas. Pourtant, ça serait tellement simple à faire, juge M. Marchand. On a toutes les infrastructures nécessaires. Ce qui manque, c’est le chalet.» La sélection s’est faite au terme de trois jours de peaufinage des propositions des cinq équipes, rehaussée par la participation d’une centaine de citoyens venus donner leur avis à la caserne 23 dans Saint-Henri, et de quelque 500 personnes en ligne. Un jury a alors choisi la proposition retenue. Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, était visiblement satisfait de la démarche, entreprise de concert avec l’organisme MTL ville en mouvement. «Ce n’est pas facile de faire changer la recette, la façon de faire des travaux publics, a-t-il lancé en marge de l’annonce. On a voulu challenger nos équipes, et c’est pour ça que ça bouge.» Pour mener à bien le projet de réaménagement, le maire reconnaît que l’arrondissement devra coopérer avec la ville-centre, qui gère les artères principales comme l’avenue Atwater, et avec Parcs Canada, propriétaire du canal, mais il reste optimiste. «Je ne prévois pas de difficultés majeures, on travaille déjà avec eux», estime-t-il. Processus La proposition d’aménagement sera finalisée, et une version définitive sera présentée au printemps prochain, dans le cadre d’une «diffusion immersive» à la Société des arts technologiques. • La proposition sera ensuite intégrée dans un plan d’urbanisme soumis à la ville-centre. • Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, promet que certains aspects de la proposition pourront être mis en place à «court et moyen terme».
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