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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201704/06/01-5085937-immobilier-residentiel-les-acquisitions-chinoises-depassent-mont-royal.php Hâte de voir l'impact à moyen-terme. La PM WYNNE est supposée mettre en place des mesures concrètes sous peu en Ontario pour ralentir la hausse fulgurante des coûts immobliers.
  2. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  3. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  4. Dans un autre ordre d'idée et d'un point de vue purement sportif et de loisir, voici un article intéressant sur certains sentiers de marche au Québec. Certains y ajouteront volontairement une dimension religieuse, cela dépend de chacun. En ce qui me concerne, c'est la beauté de l'activité, son côté humain et sa dimension culturelle qui me procurent bien-être et satisfaction à tous les niveaux. Allez sur le site pour plus de détails avec les cartes des différents parcours. http://ici.radio-canada.ca/regions/special/2016/marcher-compostelle-quebec/index.html Marcher sur les chemins de Compostelle du Québec Les amateurs de marche de longue distance peuvent désormais emprunter plusieurs itinéraires dans différentes régions du Québec, à la manière des pèlerins qui parcourent les chemins menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Marcher sur le long ruban qui s’étire devant soi. Ne penser à rien et apprécier ces étendues qui s’offrent au regard. Humer les effluves émanant des territoires qu’on traverse ou ressasser les événements de la vie pour les désamorcer. On retrouve un peu de tout ça chez ceux qui décident d’entreprendre une marche de longue distance, que ce soit à Compostelle ou ici au Québec. Depuis une quinzaine d'années, nous entendons de plus en plus parler de Québécois qui vont marcher en Europe, sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. En 2014, plus de 210 000 pèlerins de toutes les régions du monde se sont rendus, à pied, jusqu’à cette ville du nord-ouest de l’Espagne. Certains ont parcouru des centaines de kilomètres, marchant pendant cinq ou six semaines, parfois plus. La marche de longue durée permet de visiter les régions rurales du Québec. Photo : ICI Radio-Canada Marcher au Québec L'Association québécoise des pèlerins et amis du chemin de Saint-Jacques rapporte qu'en 2015, 998 de ses membres se sont rendus en Europe marcher sur l'une ou l'autre des voies menant à Compostelle. Plusieurs de ces Québécois, en revenant ici, ont senti le besoin de développer des circuits de marche s'inspirant des chemins de Compostelle. Ces chemins québécois ont gagné en popularité au fil des ans. Comme en Europe, les marcheurs qui empruntent les voies québécoises peuvent marcher pendant plusieurs jours, sur des centaines de kilomètres. Parmi les itinéraires qui se démarquent au Québec, on retrouve : le chemin de Saint-Rémi : 820 km en 43 jours, de Saint-Adrien-de-Ham en Estrie à Sainte-Florence dans la vallée de la Matapédia le sentier Notre-Dame Kapatakan : 215 km en 10 à 15 jours, de Rivière-Éternité à Lac-Bouchette, au Saguenay-Lac-Saint-Jean le chemin des Sanctuaires : 375 km en 18 jours, de Montréal à Sainte-Anne-de-Beaupré le chemin des Navigateurs : 400 km en 21 jours, de Pointe-au- Père dans le Bas-Saint-Laurent à Sainte-Anne-de-Beaupré Une bonne chaussure est la clé d'une marche réussie. Photo : ICI Radio-Canada À chacun son défi Qu'est-ce qui motive les marcheurs à parcourir 20, 25 et parfois 30 kilomètres par jour? Certains sont d'abord inspirés par des motifs religieux. D'autres y voient plutôt un défi physique ou une occasion de faire une pause et de se détacher de leur routine. Certaines personnes le font pour voir du pays d'une manière différente. Quelle que soit sa motivation, quiconque a complété une longue marche de ce genre affirme que l'expérience a été enrichissante. Et bien des gens ont, à ce point, été marqués qu'ils souhaitent reprendre leurs souliers de marche et leur sac à dos et repartir sur un de ces chemins. | SUIVANT > Réalisation web : Denis Castonguay
  5. http://www.lapresse.ca/maison/immobilier/201606/02/01-4987626-un-condo-sur-trois-vendu-a-perte.php L'immobilier, un moyen assuré de s'enrichir*? Certainement pas pour les Québécois qui ont acheté un condo au cours des trois dernières années. La firme JLR a analysé toutes les transactions impliquant des copropriétés achetées en 2012 ou 2013 et revendues avant le 31*décembre dernier. Sa conclusion*? Près du tiers des vendeurs ont dû se résoudre à accepter un prix égal ou inférieur à celui qu'ils avaient payé*! Plus de la moitié (56*%) des 7195*condos vendus depuis 2012 ont généré un gain de moins de 5*% pour leur propriétaire, révèle l'étude publiée la semaine dernière par JLR. Une fois les frais de courtage, de notaire, les droits de mutation et l'inflation pris en compte, ce gain « se transforme souvent en perte ». La plus-value médiane lors de la revente a été de 3,9*%, toutes transactions confondues, précise l'étude de JLR.  Beaucoup de pertes à Québec La situation est encore pire dans la ville de Québec, où l'orgie de construction des dernières années a entraîné une surabondance de copropriétés sur le marché. Selon l'analyse de JLR, 37*% des condos ont été vendus à un prix égal ou inférieur au coût d'achat dans la Vieille Capitale. La proportion de propriétaires « perdants » grimpe à 62*% lorsqu'on inclut les appartements revendus avec un profit inférieur à 5*%. « Ces résultats corroborent le rapport de l'évaluation du marché de l'habitation de la SCHL, qui indique que le niveau élevé de l'offre de copropriétés demeure inquiétant dans la RMR de Québec », souligne l'étude. JLR conclut qu'il est « peu probable de sortir gagnant d'une revente après un court délai de possession », à moins d'avoir investi en rénovations pour améliorer la valeur de revente de sa copropriété. De quoi faire réfléchir sur ses besoins à court et à moyen terme avant de déposer une offre sur un condo.
  6. Je remarque qu'on a pas de discussion sur le grand débat Uber et le Taxi à Montréal... Qu'en pensez-vous? Avez-vous une opinion tranchée sur le sujet? Supportez-vous le droit acquis des taxis? Ou vous êtes en faveur d'un marché plus ouvert que prône Uber?
  7. http://ici.radio-canada.ca/regions/quebec/2016/04/06/002-marche-public-expocite-gestionnaire.shtml <header style="margin: 0px 0px 30px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial, helvetical, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 18.2px;">ÉCONOMIE Le nouveau marché public d'ExpoCité dévoilé <time datetime="2016-04-06T15:16:37Z" data-datetimelastpublished="2016-04-06T16:52:40Z" style="color: rgb(119, 119, 119); display: block; font-family: arial; font-size: 12px; margin: 15px 0px 10px; text-transform: uppercase;"> </time></header>
  8. Hello all! With what felt like the first day of spring today, here's an article summing up what we can expect on the Trans-Atlantic market this summer....should be an interesting one for all players involved. http://plus.lapresse.ca/screens/7900cc96-937e-4cdb-befe-926da2847d4b%7C_0.html
  9. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201512/09/01-4929658-de-la-marijuana-legale-a-la-saq.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS1 Publié le 10 décembre 2015 à 05h00 | Mis à jour à 06h10 De la marijuana légale à la SAQ? Tristan Péloquin La Presse Le syndicat des employés de la Société des alcools du Québec voit d'un bon oeil la possibilité que le cannabis récréatif, une fois légalisé, soit vendu dans les succursales de la société d'État. Ses 5500 membres ont demandé à l'Institut de recherche et d'informations socio-économiques (IRIS) de mener pour eux une étude sur la question. «On n'est pas opposés [à la vente du cannabis], mais ce sera éventuellement à nos membres de décider en congrès quelle est notre position à ce sujet, affirme Marc-André McSween, vice-président du Syndicat des employés de magasins et de bureaux de la SAQ (SEMB-SAQ). Pour l'instant, ce qu'on veut obtenir, c'est une étude qui nous démontrera quelles sont les répercussions.» Le syndicat pourrait demander à ses membres d'adopter une position claire à ce sujet dès ce printemps, au cours de leur prochaine assemblée générale. «Il y a de plus en plus un consensus pour que ce marché soit récupéré par le secteur public. Nous avons une formation en éthique de vente, la SAQ fait du contrôle de la qualité avec ses laboratoires. Nous voyons un lien entre ce que nous faisons présentement et la commercialisation du cannabis», lance M. McSween. La SAQ assure de son côté ne pas avoir de projet en ce sens. «On fait de la collecte de données sur ce qui se fait dans le monde, admet le porte-parole Jean-Vincent Lacroix, mais c'est clair qu'il n'y a pas d'orientation. Ultimement, c'est au gouvernement de donner les orientations.» Demandes en Colombie-Britannique, en Ontario et au Manitoba Dans son récent discours du Trône, le premier ministre Justin Trudeau a réitéré son engagement de légaliser et d'encadrer la vente de marijuana récréative au pays, sans toutefois préciser de feuille de route. La semaine dernière, en Colombie-Britannique, le Syndicat des employés de service du gouvernement et l'Association des magasins privés d'alcool ont cependant pris les devants, demandant conjointement que la marijuana soit vendue uniquement dans les Liquor Stores de la province. En Ontario, le président du Syndicat des employés de la fonction publique, Warren Thomas, s'est aussi publiquement prononcé pour la possibilité que la LCBO obtienne le monopole de la vente de cannabis récréatif. Le premier ministre du Manitoba, Greg Selinger, a également recommandé, en novembre, que la vente de marijuana se fasse exclusivement dans les magasins d'alcool de la province. Au Québec, Hydropothicaire, le seul producteur de cannabis médical actuellement autorisé par Santé Canada, se dit aussi favorable à ce que les magasins d'alcool en soient les distributeurs exclusifs. «Ce qui est le plus important à nos yeux, c'est qu'il y ait une vérification d'âge. Ces réseaux de vente sont déjà habitués à le faire. Ce serait le moyen le plus simple et le plus rapide», affirme son PDG, Sébastien St-Louis. Le privé aux États-Unis Dans l'État de Washington et au Colorado, où la vente de marijuana a été légalisée au cours des deux dernières années, ce sont plutôt des commerces privés qui assurent la vente de cannabis et de produits dérivés. Les vendeurs - appelés budtenders - doivent absolument obtenir une licence du gouvernement, qui leur est délivrée seulement après une vérification de leurs antécédents judiciaires. Les commerces de vente d'alcool, qui sont également privés, n'ont pas le droit de vendre de marijuana sous quelque forme que ce soit. Un marché substantiel Marché du cannabis médical au Canada: 1,3 milliard Marché estimé du cannabis récréatif: 8 milliards* Nombre de succursales de la SAQ: 400 Nombre d'employés: 5500 Dans l'État de Washington Population: 7 millions Ventes totales en dollars de cannabis depuis la légalisation (juin 2014): 622 millions Taxes récoltées: 177 millions * Selon Hydropothicaire
  10. Situé dans l'arrondissement St-Hubert, à côté de l'aéroport. Photos: Construction Vergo
  11. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/859468/une-nouvelle-promenade-urbaine-proposee-pour-atwater/ 18/10/2015 Mise à jour : 18 octobre 2015 | 23:05 Une nouvelle promenade urbaine proposée pour Atwater Par Jeff Yates Métro Le projet prévoit la création d’une promenade urbaine partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Collaboration spéciale Une promenade urbaine donnant sur une grande esplanade, voilà une des idées mises de l’avant par la proposition de réaménagement du pôle Atwater retenue hier dans le cadre de l’incubateur urbain de l’arrondissement du Sud-Ouest. La proposition gagnante prévoit le retrait du terre-plein central ainsi que de deux voies de circulation sur l’avenue Atwater pour créer une promenade urbaine, partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Selon Bryan Marchand, un des trois architectes de l’équipe qui a conçu la proposition gagnante, le flux de la circulation ne sera pas affecté, puisque l’avenue Atwater dispose présentement de trois voies de circulation de part et d’autre du terre-plein, mais le tunnel, lui, ne comporte que deux voies de circulation dans chaque direction. La promenade aboutirait sur une grande esplanade aménagée autour du marché Atwater, entre la rue Notre-Dame et le canal de Lachine, marquée avec un pavage distinctif. «L’idée rappelle la grande place des villes européennes du Moyen-Âge et de la Renaissance», soutient M. Marchand. Une patinoire sur le canal de Lachine est aussi proposée, accompagnée d’un chalet qui permettrait d’enfiler ses patins. «L’idée est lancée depuis longtemps, mais ça ne se fait pas. Pourtant, ça serait tellement simple à faire, juge M. Marchand. On a toutes les infrastructures nécessaires. Ce qui manque, c’est le chalet.» La sélection s’est faite au terme de trois jours de peaufinage des propositions des cinq équipes, rehaussée par la participation d’une centaine de citoyens venus donner leur avis à la caserne 23 dans Saint-Henri, et de quelque 500 personnes en ligne. Un jury a alors choisi la proposition retenue. Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, était visiblement satisfait de la démarche, entreprise de concert avec l’organisme MTL ville en mouvement. «Ce n’est pas facile de faire changer la recette, la façon de faire des travaux publics, a-t-il lancé en marge de l’annonce. On a voulu challenger nos équipes, et c’est pour ça que ça bouge.» Pour mener à bien le projet de réaménagement, le maire reconnaît que l’arrondissement devra coopérer avec la ville-centre, qui gère les artères principales comme l’avenue Atwater, et avec Parcs Canada, propriétaire du canal, mais il reste optimiste. «Je ne prévois pas de difficultés majeures, on travaille déjà avec eux», estime-t-il. Processus La proposition d’aménagement sera finalisée, et une version définitive sera présentée au printemps prochain, dans le cadre d’une «diffusion immersive» à la Société des arts technologiques. • La proposition sera ensuite intégrée dans un plan d’urbanisme soumis à la ville-centre. • Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, promet que certains aspects de la proposition pourront être mis en place à «court et moyen terme».
  12. http://axedumarche.com/ Quadrilatère Théodore/Rouen/Leclaire Ce projet est situé à l'emplacement d'un bâtiment industriel qui a été démoli cet été. De plus, il se situe juste à côté du tout nouveau parc linéaire.
  13. Bonjour chers membres, Maxime Lachance, un bon ami à moi et promoteur du YOO Montréal, me demande depuis environ 1 mois de rencontrer les membres MTLURB. Il est un lecteur assidu du forum et aimerais partager avec vous le point de vue d'un promoteur sur le marché immobilier de Montréal. Il vous invite donc à un café-muffins-causerie le samedi 13 juin de 11h à midi au bureau de vente du YOO (ouvert juste pour nous). Max va discuter du marché montréalais et bien sûr répondre à vos questions sur le projet YOO. Donc préparez vos questions et on vous attends en grand nombre au bureau de vente au coin des rues Ottawa et Young dans Griffintown. SVP veuillez confirmer votre présence en répondant au fil. Membres confirmés: Malek ScarletCoral monctezuma Brightlightsbigcity Synosik Memphis22
  14. After all these years I think it's about time this happens. Will be located at 7250 Boul. Des Roseraies, will be located where Best Buy was. The store will be 50 000 sq feet, about the same size of Dix30 and is due to open in the summer. http://journalmetro.com/local/mercier-anjou/actualites/732002/marche-adonis-ouvrira-une-succursale-aux-galeries-danjou/
  15. http://plus.lapresse.ca/screens/859bc2a2-f0ed-470c-862f-943a02746c63%7C_0.html FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE La place Émilie-Gamelin est bien accueillante pour les manifestants, qui s’y donnent rendez-vous ces jours-ci. Mais pour le flâneur urbain, on repassera… C’est un espace hypercentral, dans une ville hypersécuritaire. Un espace auquel on a ajouté de gros jeux d’échecs et des camions de bouffe. Mais personnellement, je ne ferais pas de détour pour y passer un samedi après-midi avec mon fils, disons. Bon, ça prouve peut-être que je suis un papa poule. Mais surtout, que tout ce qui a été tenté au cours des dernières années pour faire de la place Émilie-Gamelin un lieu public accueillant et invitant – pour tous – a cruellement échoué. Cette fois sera-t-elle la bonne ? Je l’espère. J’ai appris qu’on va tenter complètement autre chose, cette année. On va fermer la place pour un mois, à partir de lundi prochain, afin de la transformer en « village » animé jour et soir, tout l’été, avec resto, bar, café, jardins et spectacles. On va aménager un marché public, un jardin communautaire, une terrasse avec tables et parasols, un immense lieu de projections. Bref, on va tenter d’en faire un lieu convivial pour tout le monde. Pas juste les revendeurs de drogue. *** Ça fait maintenant quatre ans que le Partenariat du Quartier des spectacles tente de « renipper » la place Émilie-Gamelin avec des événements ponctuels. Mais rien à faire : dès qu’ils prennent fin, le lieu redevient insécurisant. Changement complet de stratégie, donc. Fini les coups de pinceau et les interventions à la pièce. On a embauché l’organisme derrière le Village éphémère, Pépinière & Co, afin de créer un village semi-permanent, de mai à octobre. « On veut vraiment changer l’allure de la place, et sa réputation par le fait même », précise Pascale Daigle, du Partenariat. Sous l’enseigne lumineuse « Jardins Gamelin », on va donc retrouver de nombreux bancs, des bacs à fleurs, des chaises de type Adirondack, ainsi qu’une scène circulaire où se tiendront des événements programmés et spontanés : spectacles, conférences, animation, yoga matinal. On ajoutera une canopée lumineuse ainsi qu’une « œuvre magistrale illuminée » en suspension. À l’ouest, on ouvrira un restaurant dans une construction de conteneurs où l’on vendra du café tôt le matin, et de la bière tard le soir. On installera une dizaine de tables avec chaises et parasols afin que les gens puissent profiter de leur consommation ou de leur propre lunch. Au sud de la place, on retrouvera de l’agriculture urbaine : jardin de tournesols, production de légumes, plantations diverses, serre, etc. Et à l’est, on installera un marché de fruits et légumes et on se servira de la façade de la Place Dupuis comme toile de projection. « Montréal est une ville d’événements, fait remarquer Jérôme Glad, de Pépinière & Co. Mais l’événementiel est souvent en rupture avec la ville au quotidien : on installe des clôtures et des tentes génériques, puis une fois terminé, on remballe tout. » « Là, on veut inverser la logique : investir le lieu, en faire un canevas cohérent, puis y attirer des événements qui donneront à la place un caractère propre. » *** Est-ce qu’on est dans l’embourgeoisement localisé ? Une façon de repousser ceux qu’on préférerait ne pas voir ? De remplacer ceux qui ont élu domicile dans le parc par des hipsters et leur macchiato ? Le Partenariat du Quartier des spectacles s’en défend. Il assure que son village s’implantera avec l’aide de l’arrondissement et du Service de police de la Ville de Montréal, qui veilleront à maintenir la cohabitation. Comme à l’époque des interventions de l’ATSA. À l’arrondissement de Ville-Marie, on ne cache pas que « les comportements de personnes marginalisées » sont source de préoccupation. Mais le but n’est pas de les faire disparaître, assure la porte-parole Anick de Repentigny. « Il n’est pas question d’exclure qui que ce soit. L’arrondissement souhaite une cohabitation sociale optimale. » De toute façon, renchérit Jérôme Glad, l’idée n’est pas de lisser l’endroit pour en faire une autre place des Festivals. « On a vraiment une approche de quartier, à échelle humaine, ouverte et inclusive. On veut que ça devienne un lieu propice aux rassemblements et aux pique-niques. On veut que ce soit une grande terrasse pour tout le monde. » Pas une autre place des Festivals, donc, mais pas un autre « Village éphémère » non plus, ces événements populaires et branchés qui ont eu lieu ces deux dernières années (bonne nouvelle : une démarche est en cours pour que cet événement revienne au Pied-du-Courant à compter du 19 juin). « On mise plutôt sur une réappropriation d’un lieu public par toutes sortes de monde », affirme Jérôme Glad. Pensons au Marché des ruelles dans la rue Sainte-Catherine, ou au Marché des possibles dans le Mile End. Ne nous contons pas d’histoire. Ce sera tout un défi d’assurer une cohabitation des usagers actuels et futurs. Mais un défi qu’il vaut certainement la peine de tenter de relever. Car s’il ne faut pas chasser les marginalisés, on ne peut chasser non plus les riverains et les commerçants. sent via Tapatalk
  16. Etonne de ne pas trouver d'autre informations sur ce sujet, mais le Carre Lucerne aux intersections de la metropolitaine, Lucerne et Plymouth, est en pleine construction. Le provigo est en demolition, le Pharmaprix semble avoir toute sa structure montee, et la phase 1 ( subway, ben&florentine et +) est terminee. Ce sera interessant de voir le nouveau gros Provigo le Marche, et ce qui se passera du Loblaws sur Ste-Croix. Aussi tres hate de voir le Pharmaprix vu que son local actuel (ancien Uniprix) sur Lucerne est extremement moche et desuet. Je me demande si le UPS va revenir de ce cote.. Il me semble qu'il perd beaucoup de son accessibilite sur Lucerne, esperant que c'est temporaire pendant les constructions http://carrelucerne.ca/
  17. Je crois que ça a passé sous le radar régional mais "Les Centres d’Achats Beauward" prévoient construire un nouveau centre de congrès à St-Hyacinthe, agrémenté d'un hôtel de 200 chambres à proximité de l'ancien Hôtel des Gouverneurs qu'ils ont acquis et qu'ils vont démolir (c'était tout pourri apparemment). En gros, ils reconstruisent un équivalent contemporain, connecté à leur centre d'achat. Pour la petite histoire locale, il y a une guéguerre avec un autre centre d'achat de la région, ça s'accuse de magouilles etc, il y a des détails dans l'article. Ah, oui, le PA de Beauward est ni plus ni moins que Marc-A. Bibeau.
  18. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6897,68149718&_dad=portal&_schema=PORTAL Mises en chantier résidentielles Le bulletin Mises en chantiers résidentielles présente le nombre d'unités de logement en construction sur le territoire de l'agglomération de Montréal, selon les différents segments de marché (copropriétés, locatifs et propriétaires occupants) et selon les composantes territoriales, soit les municipalités de l'île et les arrondissements de la ville de Montréal. Ce bulletin est dorénavant publié sur une base trimestrielle. sent via Tapatalk
  19. http://www.groupesopromont.com/fr/projets/17-projet-delano.html http://delanocondos.com/le-projet.html La première phase de cet impressionnant projet, situé dans le quartier Chomedey à Laval, propose un immeuble de structure de béton, comprenant 59 unités réparties sur 6 étages avec ascenseur. Sa localisation géographique est idéale : à proximité de tous les grands axes routiers Lavallois, du renommé Marché 440 ainsi que d'innombrables restaurants et boutiques qui entourent le site du DELANO. D'un design contemporain, les immeubles démontrent une architecture urbaine et intemporelle. Pour jouir pleinement de la vue panoramique imprenable, toutes les unités sont dotées d'une fenestration abondante.
  20. http://www.newswire.ca/en/story/1447329/-r-e-p-r-i-s-e-un-entrepreneur-local-lance-1642-cola-l-esprit-de-montreal-dans-une-bouteille?relation=org https://www.indiegogo.com/projects/le-cola-de-montreal-first-montreal-cola
  21. Le centre-ville serait moins séduisant pour les entreprises Le centre-ville de Montréal est de moins en moins séduisant pour les entreprises de services alors que plusieurs d’entre elles déplacent leurs employés en banlieue. D’après une étude de la firme immobilière Colliers, le marché de la location d’immeubles de bureaux au centre-ville de Montréal est en perte de vitesse. Cette situation s’explique notamment par le fait que les entreprises tentent de réduire l’espace de leurs bureaux et par les problèmes de congestion routière. Selon l’étude, près de 130 000 pieds carrés d’espace locatif ont été abandonnés au troisième trimestre au centre-ville de Montréal. « Il est également prévu que cette tendance devrait se prolonger dans les trimestres à venir, considérant que les entreprises tentent de diminuer la superficie qu’elles occupent », peut-on lire dans le rapport. Ainsi, à Montréal, le marché avantage présentement les locataires, et les propriétaires réagissent en augmentant les incitatifs pour ceux-ci. La multiplication des projets de tours de bureaux au centre-ville donne aussi actuellement un avantage aux locataires. Sur l’île de Montréal, le taux d’inoccupation au troisième trimestre atteignait 7,3 % pour le marché des espaces à bureaux et 4,1 % dans le marché des espaces industriels. Banlieue Depuis le début de 2104, les deux secteurs les plus dynamiques de la grande région de Montréal ont sans été la Rive-Sud et Laval. La Rive-Sud présente un taux d’inoccupation de 5 % et un taux de disponibilité de 11,8 %. C’est aussi le sous-marché comptant le plus grand nombre de projets d’immeubles de bureaux présentement en construction. Quant au marché des espaces industriels, le marché de la grande région de Montréal a connu une croissance depuis le début de l’année alors que près de 3,5 millions de pieds carrés ont été absorbés jusqu’à maintenant. http://argent.canoe.ca/vos-finances/immobilier/le-centre-ville-serait-moins-seduisant-pour-les-entreprises-13112014
  22. Flo

    Cocorico

    Après Patrick Modiano le Nobel de littérature, c'est au tour de Jean Tirole chercheur à l'Université Toulouse 1 Capitole de remporter le prix Nobel de... l'économie. C'est un pied de nez au French bashing tel que pratiqué par The Economist, the Financial Times & Co. Le Français Jean Tirole sacré prix Nobel d'économie 2014 Publié à 13h08, le 13 octobre 2014, Modifié à 15h21, le 13 octobre 2014 Après le prix Nobel de la Paix, le Nobel de littérature ou encore de médecine, place au prix Nobel d'économie. Et c'est le français Jean Tirole, chercheur à l'université de Toulouse, qui a été récompensé. Il est primé pour son "analyse de la puissance du marché et de la régulation", a annoncé le jury dans un communiqué. Le troisième Français récompensé. Chercheur resté fidèle à l'université de Toulouse depuis les années 1990, après être revenu de l'université américaine MIT, Jean Tirole était cité parmi les favoris du Nobel depuis quelques années. Agé de 61 ans, il n'avait pas attendu l'annonce de Stockholm pour bénéficier d'une réputation mondiale: son CV remplit 24 pages de distinctions, publications et prix en tous genres (prix Claude Levi-Strauss en 2010, prix récompensant le meilleur jeune économiste européen en 1993). Originaire de Troyes, Jean Tirole est le troisième Français récompensé par le prix Nobel d'économie après Gérard Debreu en 1983 et Maurice Allais en 1988. "C'est un petit peu intimidant (...). Suivre leur trace est quelque chose de très impressionnant pour moi", a réagi Jean Tirole sur France Info. Il recevra son prix, et la récompense de 8 millions de couronnes suédoises (environ 878.000 euros), le 10 décembre à Stockholm. Un spécialiste de la théorie de l'information et de la régulation. Présenté par le comité Nobel comme "l'un des économistes les plus influents de notre époque" malgré sa modestie, il a notamment "éclairci la manière de comprendre et de réglementer les industries avec quelques entreprises importantes". "La meilleure régulation ou politique en matière de concurrence doit (...) être soigneusement adaptée aux conditions spécifiques de chaque secteur. Dans une série d'articles et de livres, Jean Tirole a présenté un cadre général pour concevoir de telles politiques et l'a appliqué à un certain nombre de secteurs, qui vont des télécoms à la banque", a résumé l'Académie royale des sciences. "En s'inspirant de ces nouvelles perspectives, les gouvernements peuvent mieux encourager les entreprises puissantes à devenir plus productives et, dans le même temps, les empêcher de faire du tort à leurs concurrents et aux consommateurs", a-t-elle ajouté. En clair, l'apparition de crises n'est à ses yeux pas de la seule responsabilité des acteurs économiques : elles résultent aussi et surtout des défaillances des régulateurs. Interrogé par Les Echos sur les origines de la crise de 2008, l'économiste mettait en avant "une défaillance des institutions étatiques nationales et supranationales", allant jusqu'à parler de "laxisme" imputé à "des institutions de régulation défaillantes". Ayant travaillé avec Jean-Jacques Laffont, Jean Tirole a notamment participé à conceptualiser le marché des émissions de CO2. Parmi ses propositions les plus connues, il a aussi recommandé d'instaurer un taxe de licenciement, qui augmenterait en fonction du nombre de personnes renvoyées par une même entreprise, mais aussi un contrat unique qui remplacerait les CDI et CDD. "La fierté de notre pays". Les réactions enthousiastes n'ont pas tardé, de la part de Manuel Valls, du ministre de l'Economie ou encore de Jacques Attali. "Ce prix Nobel marque une école française (...) liée à la régulation (...) C'est la reconnaissance d'une pensée économique française qui a une forme de singularité dans le monde aujourd'hui", a renchéri Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement. http://www.europe1.fr/economie/le-prix-nobel-d-economie-pour-un-francais-2258451
  23. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/francois-cardinal/201407/07/01-4781621-montreal-lanti-bilbao.php Montréal, l'anti-Bilbao Agrandir Trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent dans la Petite Italie, la place Shamrock a été inaugurée samedi. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE =author%3AFran%C3%A7ois+Cardinal&sort=recent"]FRANÇOIS CARDINAL La Presse On aurait dû profiter du remplacement du pont Champlain pour doter Montréal d'une oeuvre architecturale spectaculaire qui aurait fait «boum» et attiré les foules du monde entier... C'est le commentaire qui s'est retrouvé le plus souvent dans ma boîte de courriels, ces derniers jours, avec une foule d'images de ponts à couper le souffle conçus par des starchitectes comme Santiago Calatrava et Norman Foster. Plusieurs évoquent le Viaduc de Millau, parfois l'impressionnant pont à haubans Trinity River Bridge, puis citent l'exemple de Bilbao, cette ville espagnole peu connue et peu visitée, qui est devenue un épicentre touristique grâce à la construction d'un musée hors de l'ordinaire, signé Frank Gehry. Pourquoi pas Montréal? Parce qu'on ne copie pas ce qui se fait ailleurs pour se distinguer, d'abord. Parce que Montréal n'est pas Bilbao, ensuite. En fait, j'oserais même dire que Montréal est l'anti-Bilbao par excellence. Je comprends l'attrait pour les grandes vedettes de l'architecture. Je ne cracherais pas sur une oeuvre signée Renzo Piano, Zaha Hadid ou Rem Koolhaas, si tant est qu'une seule de ces vedettes se présentât ici. Mais c'est loin d'être une nécessité pour Montréal, dont la marque de commerce est tout sauf éclatante, tapageuse, spectaculaire. La métropole québécoise ne possède pas de grands boulevards haussmanniens, mais de jolies rues vibrantes comme Mont-Royal, de la Commune et de la Gauchetière dans le Quartier chinois. Elle n'a pas de belles artères comme l'Embarcadero de San Francisco ou les Ramblas de Barcelone, mais des avenues aux portions électrisantes, comme Saint-Denis, Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Elle n'a pas un musée Guggenheim qui fait la une des revues d'architecture, mais elle compte bon nombre de musées d'envergure et de festivals qui font sa renommée pour leur vigueur. Ne nous faisons pas des «à-croire», Montréal n'est pas une vibrante mégalopole qui attire les stars de la planète, ce n'est pas le haut lieu de la finance du continent, ce n'est pas une ville riche qui attire le gratin mondial ou son portefeuille, et donc il est normal que ce ne soit pas le lieu des constructions les plus audacieuses. Pourquoi, de toute façon, Montréal irait-il se battre sur ce terrain en se sachant entouré de plus prospères comme Toronto et Calgary, qui attirent justement les Foster, Gehry, Calatrava? Oui, on retrouve ici quelques oeuvres architecturales impressionnantes, comme Habitat 67 et le Stade olympique, mais ces emblèmes font partie du passé. Comme le statut de métropole du pays fait partie du passé. La force de Montréal, aujourd'hui, n'est pas dans le grandiose, mais dans ses plus petites et plus simples composantes: la qualité de vie, l'hétérogénéité de ses quartiers, le dynamisme de ses artères commerciales, le soin apporté au design de ses commerces, la place faite aux vélos, la qualité de sa bouffe bon marché, la vitalité de ses marchés publics, le vivre ensemble, l'impressionnante créativité de ses résidants, la vigueur de sa scène culturelle, l'énergie de ses festivals, etc. Autant de choses que l'on voit certes dans d'autres villes, mais qui atteignent à Montréal un niveau de concentration impressionnant pour une ville de cette taille. On l'a vu ce week-end encore, avec l'inauguration samedi de la place Shamrock dans la Petite Italie, un trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent inspiré par l'urbaniste danois Jan Gehl. L'exécution n'est peut-être pas à la hauteur des ambitions, mais l'intention d'animer l'espace public y est avec ce carrousel à vélos gratuit. Voilà qui fait très «Montréal», comme ces murales qui ont vu le jour sur la «Main» ces dernières semaines, les sculptures de Mosaïcultures que l'on recycle aux quatre coins du centre-ville depuis une semaine, les camions de bouffe bariolés, la place des Festivals et ses terrasses, les Piknic Electronik, les pianos publics du Plateau, etc. Il est d'ailleurs intéressant de noter qu'après avoir passé deux mois ici pour capter l'essence de Montréal, l'équipe du magazine allemand Flaneur n'a pas retenu le caractère «bling-bling» d'une grande artère commerciale dans sa dernière édition, dévoilée vendredi dernier, mais bien la beauté de la rue Bernard, l'intérêt de ses commerces et commerçants, la singularité de ses ruelles que David Homel qualifie d'«allées sournoises». Il n'y a absolument rien de misérabiliste à le souligner et le reconnaître, bien au contraire: la force de Montréal est d'être une ville à échelle humaine qui ne se prend pas pour une autre, simple, belle et réservée à la fois, une ville qui se découvre dans ses menus détails plus que dans ses artifices, une ville qu'il faut regarder sous toutes ses coutures pour en cerner les mérites et qualités. Comme le futur pont Champlain signé Poul Ove Jensen...
  24. Le Sainte-Émilie est un projet de 18 condominiums de 1 à 3 chambres, allant de 657 à 1466 pi2, situé à proximité du canal de Lachine et du marché Atwater, dans le très recherché secteur du Sud-Ouest de Montréal. Livraison: décembre 2014 Plus d'information à la page: districtatwater.com Sainte-Émilie coin Bourget
  25. La SAQ, avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal, prévoient la construction d'une nouvelle succursale sur une partie du terrain de stationnement proche de la bâtisse de Première Moisson.
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