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12 résultats trouvés

  1. Les ventes des manufacturiers canadiens ont baissé de 5,4% en janvier dernier par rapport à décembre, soit le niveau le plus bas atteint en 10 ans. Sans surprise, l'industrie automobile a été la plus touchée. Pour en lire plus...
  2. Les grandes différences entre les secteurs manufacturiers québécois et ontarien rendent la province voisine plus vulnérable aux déboires de l'économie américaine. Pour en lire plus...
  3. Ventes de véhicules en hausse, livraisons accrues des manufacturiers: l'économie canadienne a affiché une vigueur surprenante en septembre, au moment même où la tempête se déchaînait sur les marchés financiers de la planète. Pour en lire plus...
  4. Les ventes des manufacturiers canadiens ont légèrement progressé au mois de septembre, soit de 0,1%, pour atteindre 52,2 G$. Pour en lire plus...
  5. Les ventes des fabricants au Canada ont affiché une diminution notable de 3,7% au mois d'août après avoir connu quatre hausses mensuelles consécutives. Pour en lire plus...
  6. Les Manufacturiers et Exportateurs du Canada estiment que la principale priorité du nouveau gouvernement conservateur minoritaire devrait être d'accentuer les efforts visant à stimuler l'économie. Pour en lire plus...
  7. Pour le quatrième mois d'affilée, la valeur des ventes des manufacturiers était à la hausse en juillet. Au Québec, elles ont progressé de 2%, ce qui représente une huitième hausse en 10 mois. Pour en lire plus...
  8. L'avantage chinois s'étiole 2 août 2008 - 12h37 La Presse Hugo Fontaine Le fabricant de meubles de bureau Teknion, Roy & Breton, dont quatre usines sont situées sur la rive sud de Québec, a son propre bureau à Shanghai. Présente depuis quatre ans en Chine, l'entreprise y fait encore de bonnes affaires. Mais désormais, elle jette aussi un coup d'oeil aux pays voisins. Teknion, comme bien d'autres manufacturiers occidentaux, est victime de la hausse importante des coûts de production en Chine, qui était il n'y a pas si longtemps une destination évidente pour la fabrication de produits manufacturés. Mais c'était avant l'arrivée de l'inflation galopante (4,8% en 2007, 7,1% en 2008), de la hausse des coûts de main-d'oeuvre (18% pour les ouvriers des villes au premier semestre de l'année), de la réévaluation du yuan chinois, du recul du dollar américain (avec lequel tout se transige) et de l'augmentation des coûts de transport. Sans oublier la diminution progressive, par le gouvernement chinois, des crédits à l'exportation. Léo-Karl Fischlin, président de Jeans Warwick, évalue que ses coûts ont augmenté de 20 à 30% en Chine depuis quatre ans. Environ 75% de sa production y est concentrée. Du côté de la montréalaise Claudel Lingerie, qui a déménagé la totalité de sa production en Chine en 2005, le président François Lapierre parle d'une hausse de 15% en une seule année. En deux ans, les coûts de main-d'oeuvre du fabricant Tristan en Chine ont augmenté de 40%, selon son président Gilles Fortin. Et on ne parle que des coûts de main-d'oeuvre. Car s'il n'était question que de hausse des salaires, fut-elle élevée, les manufacturiers n'en seraient pas trop affectés, soutient le directeur corporatif de l'approvisionnement de Teknion, Roy & Breton, Mario Forgues. Mais cela vient s'ajouter à tout le bouquet de changements économiques. «C'est encore bon de faire des affaires en Chine, soutient néanmoins M. Forgues. Mais il faut mieux choisir nos produits, être plus stratégique. Ça veut dire aller chercher des produits qui ont de plus en plus de valeur ajoutée ou des produits qui s'empilent mieux dans des conteneurs, de sorte que chaque conteneur livré ait la meilleure valeur possible.» Il en coûte 5000$ pour faire voyager un conteneur de la Chine jusqu'à Québec, indique Mario Forgues. L'indice Baltic Dry, qui mesure le coût du fret dans le monde, a augmenté de 250% depuis deux ans. Peu d'alternatives «Avec l'augmentation des prix, la Chine ouvre la porte à ses compétiteurs et ils nous permettent de résister avec une tranche de production nord-américaine», note Gilles Fortin. «C'est certain que les prix augmentent et ça nous oblige carrément à aller voir ailleurs», dit Léo-Karl Fischlin, de Jeans Warwick. Les manufacturiers s'installent ou font de l'exploration de l'Inde à l'Indonésie, en passant par le Bangladesh, le Vietnam et la Malaisie. Mais pour l'instant, aucun de ces pays n'égale «l'avantage chinois». «En Chine, ce n'est pas aussi avantageux qu'avant, ça coûte plus cher que ça coûtait, mais ce n'est pas tous les pays qui ont des infrastructures aussi développées», dit Gilles Fortin. Le Vietnam, par exemple, peut être attirant en raison des salaires moins élevés. «Mais si vous êtes pressés et que vous devez faire livrer quelque chose par air, il y a bien plus d'avions qui décollent de Shanghai et de Hong Kong que de Ho-Chi-Minh-Ville», souligne M. Fortin. Quant au Bangladesh, la fiabilité, un élément crucial pour un manufacturier, y est bien inférieure à celle offerte en Chine. «Dans ce pays, tout ce qui peut aller mal va aller mal, dit François Lapierre, mi-blagueur, mi-sérieux. On travaille un peu avec le Bangladesh, mais c'est encore très laborieux.» La Chine reste en avant Quand La Presse Affaires a demandé aux manufacturiers s'ils prendraient la même décision aujourd'hui que le jour où ils ont décidé de faire affaire avec la Chine, aucune réponse n'a été franchement négative. «Je choisirais encore la Chine, répond Léo-Karl Fischlin. C'est encore eux qui ont les meilleurs qualifications et c'est encore presque 50% moins cher qu'au Québec. Dans mon secteur, c'est encore ce qu'il y a de mieux.» Il est aussi important de mentionner que la situation n'est pas partout pareille dans l'empire du Milieu, comme le fait remarquer François Lapierre, de Claudel Lingerie. «Nous sommes situés dans le nord du pays, dans les campagnes, donc nous sommes moins affectés par les hausses de salaire ou l'inflation, contrairement à ceux qui sont situés dans le sud ou sur la côte.» «Avant que l'inflation et les hausses de coûts de main-d'oeuvre rattrapent le reste du pays, on a encore quelques années devant nous», ajoute M. Lapierre. Les produits chinois les plus importés par le Canada en 2007 Matériel de télécommunications Outils Meubles et accessoires Vêtements et chaussures Ordinateurs Jeux et jouets
  9. Les manufacturiers québécois qui brassent des affaires dans l'empire du Milieu ne regrettent par leur choix, mais commencent à explorer de nouvelles avenues. Pour en lire plus...
  10. Les exportations vont plomber la croissance 16 juillet 2008 - 10h32 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque La ralentissement américain - notamment dans la construction - et la force du huard n'aident pas les exportateurs canadiens. La baisse des exportations va limiter la croissance au Canada à seulement 1,7% pour l’année 2008. C’est ce qu’affirme le Conference Board of Canada dans sa note de conjoncture canadienne de l’été 2008. «Depuis quatre ans, l'économie canadienne oscille entre des dépenses de consommation très solides et un secteur du commerce extérieur faible. Cette tendance s'est poursuivie jusque dans les premiers mois de 2008", explique Pedro Antunes, Directeur, Prévisions nationales et provinciales. Toutefois, souligne l’organisme, les manufacturiers devraient connaître un soulagement, car le dollar canadien se maintiendra juste sous la parité. Mardi, le dollar canadien a avancé de 0,29 cent US à 99,77 cents US. «Heureusement pour les manufacturiers, le huard semble avoir quitté le sillage des cours de l'énergie. Le dollar canadien devrait donc rester relativement stable en 2008 et 2009», souligne M. Antunes. Dans sa note, le Conference Board se dit étonné que le PIB du Canada ait chuté de la sorte. Selon l’organisme, cela s’explique par «la baisse de la demande américaine de produits canadiens, surtout le secteur automobile». Le Conference Board indique également que les ménages canadiens ont été imperméables jusqu’à présent aux soubresauts de l'économie, mais cela risque de changer. «Les premiers signes de malaise commencent à se manifester dans notre économie intérieure», dit l’organisme dans sa note. D’ailleurs, le Conference Board s’attend à ce que la création d’emplois ralentisse alors qu’on «arrive au bout des nouvelles mesures d'incitation budgétaire, surtout sous la forme de réductions de l'impôt fédéral et provincial». Pour les États-Unis, l’organisme indique que les ménages ressentent les effets de la crise immobilière, de la diminution de l'emploi et de l'inflation.
  11. Les signes d'une remise en marche de l'économie canadienne au deuxième trimestre se multiplient. Pour en lire plus...
  12. Ottawa n'aide pas assez les manufacturiers 11 juin 2008 - 16h31 Presse Canadienne L'organisme fait écho au ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand (photo), qui a dénoncé publiquement la décision d'Ottawa de ne plus subventionner les budgets de fonctionnement des organismes à but non lucratif oeuvrant dans le secteur économique. Le président des Manufacturiers et Exportateurs du Québec (MEQ), Jean-Luc Trahan, a déploré mercredi que le gouvernement fédéral ait refusé de contribuer financièrement à une initiative visant à aider les PME à brasser plus d'affaires avec les géants Bombardier, CAE, et RioTintoAlcan, entre autres. L'organisme a ainsi fait écho au ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand, qui a dénoncé publiquement, la semaine dernière, la décision d'Ottawa de ne plus subventionner les budgets de fonctionnement des organismes à but non lucratif oeuvrant dans le secteur économique. Les MEQ lancent ces jours-ci le programme Puissance 5, dont l'objectif est de faire en sorte que les fournisseurs québécois de cinq multinationales puissent obtenir des mandats auprès de leurs filiales internationales. Cinq fournisseurs de chacun de ces grands donneurs d'ordres seront sélectionnés pour le programme. Outre CAE, Bombardier et RioTintoAlcan, le fabricant d'électroménagers Mabe (anciennement Camco) et l'entreprise d'ameublement Teknion seront ciblés. Pour justifier son refus de venir en aide aux MEQ, le gouvernement fédéral a soutenu qu'il avait déjà, par le passé, financé des projets de l'organisme, a indiqué M. Trahan au cours d'un entretien téléphonique. Selon lui, Puissance 5 s'inscrit parfaitement dans l'air du temps puisque les grandes entreprises ont désormais tendance à limiter le nombre de fournisseurs avec lesquels ils traitent. Il est donc primordial, pour les PME, d'établir des liens étroits avec les grandes sociétés. Faute d'appui fédéral, les MEQ se sont tournés vers Québec, qui a consenti à accroître son aide financière. Sur deux ans, le gouvernement québécois versera 1,7 M$ pour Puissance 5, alors que les entreprises apporteront une contribution de 1,9 M$. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080611/LAINFORMER/80611204/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
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