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  1. Toutefois, le recul enregistré est moins important que prévu. La baisse a été de 0,6% alors que les ventes ont atteint 530 000 logements, dépassant légèrement les attentes. Pour en lire plus...
  2. Un pan du rêve américain s'écroule AFP Édition du jeudi 24 juillet 2008 Washington -- L'accession à la propriété était une étape majeure du rêve américain, mais aujourd'hui ce socle de la mobilité sociale s'effondre, et avec lui s'enclenche un cercle vicieux dont les professionnels ne voient toujours pas la fin, au bout d'un an de crise. Et cette spirale infernale s'étend à l'ensemble de l'économie. Comme l'a souligné début juillet le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, le déclin du marché immobilier est «une cause majeure du ralentissement plus large de l'activité économique». De nombreux foyers modestes avaient vu dans les facilités de crédit accordées par les banques l'occasion de s'acheter un logement: en cinq ans, la proportion de ménages ayant apporté moins de 20 % du capital nécessaire à l'achat d'une maison ou d'un appartement est passé de 45 % à 58 %. Mais les banques ont fait payer cette facilité de crédit avec des taux d'intérêt plus élevés que la moyenne. Tant que le marché immobilier était haussier, les emprunteurs pouvaient toujours vendre ou renégocier leur crédit, s'ils n'étaient plus en mesure d'honorer les traites. Mais avec un marché immobilier en baisse, «cette porte de sortie se referme», comme l'explique William Emmons, un économiste de la Banque fédérale de réserve de Saint Louis dans une étude. «Tout revers financier peut rapidement se traduire en défaut de paiement.» Par pâtés de maisons À terme, les banques peuvent saisir les logements: 2,2 millions de procédures ont été lancées en 2007, selon le cabinet RealtyTrac. Les ménages surendettés sont expulsés, la maison abandonnée se dégrade, cela pèse sur le standing du quartier, et la banque est prête à brader le logement non remboursé, ce qui pèse sur le marché d'ensemble. «S'il y a beaucoup de logements vacants, à un moment ça bascule», relève Leif Haase, un responsable du centre de réflexions New American Foundation en Californie. Dans la capitale de l'État, Sacramento, touchée de plein fouet, «on voit certains pâtés de maisons où trois ou quatre maisons ont été saisies et restent vides. [...] Sans parler des lotissements construits et non habités, parce que les gens ne veulent pas vivre dans des villes fantômes». Pour finir, «l'effet boule de neige» peut conduire au développement de la criminalité, avec la promesse d'une dégradation durable des quartiers. La question qui se pose maintenant, c'est de savoir si on a touché le fond.
  3. Le Québec agité par une nouvelle ruée vers l'or Ludovic Hirtzmann 21/07/2008 | Mise à jour : 07:49 | . Alors que l'once d'or vaut près de 1 000 dollars, l'Abitibi-Témiscamingue est en pleine effervescence. Les habitants de la ville de Malartic, située sur un gisement, déménagent. Montréal Le 9 juillet dernier, à cinq heures du matin, des camions de la compagnie minière canadienne Osisko ont déménagé les deux premières maisons d'un quartier résidentiel de Malartic, une bourgade de 4 000 habitants, située à 600 kilomètres au nord de Montréal. Osisko a découvert l'été dernier un gigantesque gisement de 8,4 millions d'onces d'or, précisément sous un quartier de Malartic. Les Québécois ont décidé de déplacer leurs habitations pour permettre à Osisko d'exploiter une mine à ciel ouvert dont la durée de vie est estimée à vingt ans. Près de 200 maisons seront déplacées au cours des dix-huit prochains mois. L'entreprise minière montréalaise devra de plus reconstruire une école, une maison de retraite et une garderie. Au Québec, les maisons sont en bois et une opération de déplacement d'un quartier entier est relativement facile. « C'est l'aboutissement d'une longue période de consultation avec les résidents et les élus », a déclaré le président et chef de la direction d'Osisko, Sean Rosen. Hausse de la valeur des maisons Le déménagement du quartier de Malartic coûtera 82 millions de dollars à Osisko. La société versera une petite prime de 5 000 dollars aux habitants qui ont accepté de déménager. Certains propriétaires ont préféré vendre leur demeure à Osisko. Si, selon la direction de la société minière, près de 95 % des expropriés ont approuvé l'entreprise, le projet ne fait pas l'unanimité. Une habitante, Rachel Rivard, a déploré que le processus d'expropriation ait déjà commencé alors que, s'est-elle plainte au quotidien montréalais La Presse, « les études d'impact ne sont pas encore terminées ». Ce n'est qu'à l'automne, après une série d'audiences publiques et un avis du ministère de l'Environnement, qu'Osisko saura si elle a le feu vert pour l'exploitation minière. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, confie au Figaro que « seuls huit citoyens n'ont pas accepté pour l'instant de déménager. Pourtant, les conditions sont avantageuses. Osisko paie 25 % de plus que le prix du marché à ceux qui veulent vendre. Pour les autres, les maisons sont placées sur des terrains plus grands ». Malartic est une ville minière, née d'un gisement découvert en 1935 et exploité jusqu'en 1985. *En Abitibi-Témiscamingue, une ré*gion* grande comme deux fois la Belgique, peuplée d'environ 150 000 personnes, la hausse des cours du métal jaune a mené de nombreuses compagnies minières à multiplier les prospections depuis deux ans. Fernand Carpentier ajoute que « 400 emplois seront créés, avec une priorité donnée aux gens de Malartic. C'est une bonne affaire pour notre ville. Depuis l'annonce du projet il y a deux ans, la valeur des maisons a augmenté de 35 % ». Dans les années trente, l'Abitibi-Témiscamingue avait déjà connu une fièvre de l'or. L'une des principales villes de la région s'appelle d'ailleurs Val d'Or. Le vice-président des finances d'Osisko, Bryan Coates, optimiste, conclut : « On espère faire couler l'or vers la fin de 2010. » http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2008/07/21/04012-20080721ARTFIG00235-le-quebec-agite-par-une-nouvelle-ruee-vers-l-or-.php
  4. Le prix des maisons a doublé depuis 2002 à Québec 23 juillet 2008 - 06h00 Le Soleil Pierre Couture Le marché immobilier de la capitale ne dérougit pas. Depuis 2002, le prix des maisons unifamiliales a bondi de 100%. Selon les données compilées par Le Soleil, un acheteur devait étaler en moyenne 205 000 $ à Québec au dernier trimestre pour acheter une maison unifamiliale, soit le double du prix moyen payé en 2002 (102 000 $). «Depuis quelques années, on constate que le marché de la revente de maisons ne semble pas vouloir s'essouffler», indique l'analyste Frédérique Brie à la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). L'an dernier, le prix des maisons unifamiliales a progressé de 10,7 % (192 500 $) alors qu'en 2006, les acheteurs ont déboursé en moyenne 6,1 % de plus (150 100 $) pour une résidence détachée. Selon les données recueillies par la SCHL, la flambée des prix serait d'ailleurs loin d'être terminée. Depuis le début de 2008, la hausse est de l'ordre de 11,5 % dans la région métropolitaine. En juin, le prix moyen payé pour une maison unifamiliale a même atteint 214 000 $ à Québec, soit 12 % de plus qu'en juin 2007. Selon M. Brie, la bonne tenue de l'économie de la région n'est pas étrangère à cette impulsion du marché immobilier. «Il s'est créé 10 000 emplois l'an dernier, et la demande demeure forte pour ce type de produits», note-t-il. L'analyste de la SCHL fait remarquer que les bas taux d'intérêt observés ces dernières années et l'apparition de nouveaux produits hypothécaires permettant d'étaler les paiements sur une plus longue période (30 et 35 ans) ont aussi collaboré à cette poussée des prix. La SCHL constate également que le nombre de maisons disponibles pour les acheteurs est en légère baisse dans la région de Québec. En juin, 3199 inscriptions ont été répertoriées (2,5 %) contre 3282 à pareille date l'an dernier. Le prix des condos stagne Si le prix des maisons unifamiliales est en forte hausse, on ne peut en dire autant de celui des condominiums. En juin, le prix moyen pour un condo n'a progressé que de 0,2 % (163 393 $) par rapport à la même période l'an dernier. Pour tous les types de maisons confondus (unifamiliale, condo et maison en rangée), le prix moyen s'est élevé à 188 000 $ après deux trimestres à Québec, en hausse de 5 % depuis le début de l'année. D'ici la fin de l'année, la SCHL croit que le marché immobilier demeurera vigoureux dans la région. Si tout se déroule comme prévu, quelque 7000 résidences devraient changer de mains
  5. La montée continue, mais le rythme d'ascension ralentit. Le prix moyen des maisons de la région de Montréal continuera de croître dans la seconde moitié de l'année, mais avec plus de modération. Pour en lire plus...
  6. Pendant ce temps, les ventes reculaient, a révélé mardi l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  7. Le marché des maisons neuves tombe dans le négatif 12 juin 2008 - 06h50 La Presse Laurier Cloutier Malgré un marché encore en ébullition, dans l'Ouest canadien et les Maritimes, le prix des maisons neuves a commencé à plafonner ou même à baisser au Canada, dès avril dernier. Selon l'étude d'hier de Statistique Canada, le prix moyen des propriétés neuves a stagné (0%) au pays, de mars à avril 2008, et a même baissé de 0,1% si l'on exclut la valeur du terrain. On note des baisses dans plusieurs villes, de mars à avril dernier, dont 0,1% à Montréal, 0,3% à Victoria, 0,6% à Edmonton et 0,8% à Calgary. Comparativement à avril 2007, par contre, le prix des logements neufs a encore monté de 5,2% au Canada, grâce à Saskatoon (+43,7%), Regina (+34%), Winnipeg (+14,8%), St. John's (+16,3%) et Halifax (+11,3%). Par contre, le prix moyen à Montréal (+4,3%) se retrouve en bas de la moyenne canadienne, tout comme celui de Québec (+5%) et de Gatineau (+3,2%). «Le marché redescend du sommet. C'est assez significatif, déclare Neil Killips, économiste de StatCan. Le sommet a été atteint en 2006, avec une hausse de prix de 12,1%. Après tous les bonds de prix des dernières années, la tendance négative se poursuit, sans surprise.» Selon Statistique Canada et le Groupe Investors, le prix des maisons a bondi de 49,3% au pays entre 2001 et 2006. L'économiste Neil Killips ne fait pas de prévisions. Depuis avril dernier toutefois, les pressions sur les prix se sont sans doute accentuées «à cause de facteurs comme le prix de l'essence». En outre, après avoir attiré de nombreux travailleurs du pays, «l'Ouest canadien voit sa demande d'habitations comblée, ajoute Neil Killips. Après Calgary, plusieurs Terre-Neuviens retournent chez eux pour travailler». Revente en baisse Sur le marché de la revente, le nombre de transactions a baissé de 9% en mai dernier à la Chambre immobilière du Grand Montréal et même de 15% dans le cas des maisons unifamiliales, par rapport à l'an dernier. Seuls les condos ont tiré leur épingle du jeu, avec une hausse de 5% des transactions, puisque celles des plex ont baissé de 10%. La couronne Nord y goûte, avec une baisse de 16% des transactions. Par contre, le prix des maisons est encore en hausse de 5%. «Il y a moins d'acheteurs, mais les vendeurs ne veulent pas sacrifier leur prix», explique Michel Beauséjour, chef de la direction de la chambre. La création d'emplois va bien, mais la Banque du Canada n'a pas abaissé son taux d'intérêt directeur, hier, et la confiance des consommateurs a chuté dramatiquement depuis mars dernier, de 50% à 38%, ajoute M. Beauséjour. «C'est une année d'incertitude. Le coût de l'énergie gruge le budget des ménages.» Le chef de la direction prévoit «une année en dents de scie, au fil des mois, selon les prix à la pompe». «Si les prix de revente chutaient, là ce serait inquiétant." Michel Beauséjour prévoit plutôt "une hausse de 4% des prix». Dans le cas de l'habitation neuve, «le marché est en train de changer. Le neuf est toujours touché avant la revente. Les constructeurs n'ont pas encore subi l'impact principal des bonds du coût de l'énergie, dit-il. À cause de l'essence, des familles vont peut-être tenter de se rapprocher de leur travail». Le nombre d'agents immobiliers atteint près de 10 000, «c'est toujours en croissance, mais au ralenti, reconnaît Michel Beauséjour. Si la stabilité se confirme en 2008, des agents laisseront tomber leur permis que dans un an et demi ou deux ans». «Il n'y a toujours rien d'alarmant du côté des saisies de maisons, contrairement aux États-Unis où c'est épouvantable, dit-il. L'économie du Québec va bien, mais les gens dépensent moins, parce qu'ils sont incertains de l'avenir.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080612/LAINFORMER/806121100/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  8. La construction résidentielle a crû de 9% au Québec en mai 9 juin 2008 - 10h47 Presse Canadienne Grossir caractère Imprimer Envoyer Partager facebook digg del.icio.us Google La construction résidentielle a progressé au Québec le mois dernier. Selon les données publiées lundi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), 4459 habitations ont été mises en chantier en mai dans les centres urbains (10 000 habitants et plus), comparativement à 4081 à la même période un an auparavant. L'augmentation est de 9%. Le nombre de logements collectifs (maisons jumelées ou en rangée et appartements) a augmenté de 20% en mai par rapport au même mois l'an dernier (2685 en 2008, contre 2232 en 2007). Le relevé mensuel indique également que les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 4% au Québec, ce qui constitue un recul pour un troisième mois de suite. Au total, 1774 maisons individuelles ont été commencées en mai 2008, comparativement à 1849 durant la même période l'année précédente. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080609/LAINFORMER/80609092/5891/LAINFORMER01
  9. La construction résidentielle a crû de 9% au Québec en mai 9 juin 2008 - 10h47 Presse Canadienne La construction résidentielle a progressé au Québec le mois dernier. Selon les données publiées lundi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), 4459 habitations ont été mises en chantier en mai dans les centres urbains (10 000 habitants et plus), comparativement à 4081 à la même période un an auparavant. L'augmentation est de 9%. Le nombre de logements collectifs (maisons jumelées ou en rangée et appartements) a augmenté de 20% en mai par rapport au même mois l'an dernier (2685 en 2008, contre 2232 en 2007). Le relevé mensuel indique également que les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 4% au Québec, ce qui constitue un recul pour un troisième mois de suite. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080609/LAINFORMER/80609092/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  10. Les prix des maisons connaissent leur première baisse en sept ans au premier trimestre, mais la Banque Scotia assure que la correction est mineure et saine. Pour en lire plus...
  11. La revente de maisons ralentit, mais que les propriétaires se rassurent: le marché est encore largement favorable aux vendeurs. Partout, les prix continuent de monter, en particulier dans l'Ouest-de-l'Île de Montréal pour les maisons unifamiliales et dans les quartiers centraux pour les «plex». C'est ce qui ressort de l'analyse du marché de la revente de la région de Montréal, publié mardi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Pour en lire plus...
  12. Les maisons redeviennent abordables 15 mars 2007 - 08h17 LaPresseAffaires.com Michel Munger Bonne nouvelle pour ceux qui veulent devenir propriétaires : les maisons ont accaparé une proportion moins importante du revenu au Québec lors du quatrième trimestre. Les maisons à deux étages sont celles où l'abordabilité a le plus progressé. Selon le rapport publié jeudi matin par les Services économiques RBC, l'indice d'accessibilité à la propriété prend du mieux pour la première fois depuis un an alors que le marché immobilier atterrit en douceur. L'indice mesure le pourcentage du revenu avant impôts utilisé pour posséder une propriété. Ainsi, voici les changements qui ont eu lieu au quatrième trimestre : document.write(''); - Bungalow unifamilial : il nécessite 35,3% du revenu au quatrième trimestre, contre 36,2% trois mois plus tôt. Le prix moyen sur un an a monté de 4,4% à 206 174 $. - Appartement en copropriété : l'indice a baissé à 28,3%, après s'être établi à 28,7% auparavant. Le prix moyen a augmenté de 5,6% à 166 608 $. - Maison en rangée : l'indice a descendu à 30,8%, alors qu'il était de 31,4% au troisième trimestre. Le prix moyen a progressé de 3,8% à 180 932 $. - Maison à deux étages : le pourcentage est passé de 44,2% à 43% au quatrième trimestre. Le prix moyen, lui, a connu une hausse de 4,5% à 251 319 $. «Les forces qui agissent sur l'offre et la demande de logements s'apaisent au même rythme, et leurs effets se conjuguent pour améliorer le sort des candidats à la propriété», commente Derek Holt, économiste en chef adjoint de RBC. Le rapport trimestriel souligne par ailleurs que les ventes, inscriptions et prix ont marqué le pas à Montréal, mais que les prix des maisons ont moins progressé qu'en 2005. Dans la métropole québécoise, les hausses de prix ont varié de 3% à 6% en 2006, contre une norme d'environ 10% un an plus tôt. Selon RBC, le marché s'essouffle après des années d'essor, mais les propriétaires ne voient pas la valeur de leur logement tomber.
  13. Prix des maisons: le marché reste vigoureux à Montréal Photo archives La Presse Le mardi 15 janvier 2008 Stéphane Paquet La Presse Si votre beau-frère est agent immobilier, vous avez peut-être remarqué qu'il était tout sourire dans le temps des Fêtes. Et si tout se passe comme prévu, il pourrait bien avoir le même minois à Pâques. Après 2005 et 2006, voici que 2007 enregistre une autre année record dans le secteur immobilier de la très grande région montréalaise. De Lanaudière à la Montérégie en passant par Laval, les Laurentides et Montréal, jamais autant de maisons et de condos n'ont été vendus. Pour être plus précis, 55 776 résidences ont changé de mains à l'aide d'un agent, une croissance de 11% par rapport à l'année précédente. L'avantage est décidément resté aux mains des vendeurs, qui ont vu le prix de leur foyer augmenter entre 5% et 8%. Deux exceptionssignificatives: les condos des Laurentides qui s'échangent au même prix qu'en 2006 et les maisons unifamiliales de Lanaudière dont les prix ont progressé de 10%. Dans ce dernier cas, on note toutefois qu'elles s'échangent encore à la moitié du prix d'une maison dans l'île de Montréal. Le marché montréalais est donc bien loin de la crise immobilière américaine. «C'est toujours mieux d'avoir un rendement raisonnable qui dure longtemps plutôt que d'avoir un rendement exceptionnel suivi d'une perte exceptionnelle», souligne Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La question de décembre Est-ce la météo difficile de décembre? Toujours est-il qu'il y a eu une légère baisse de l'activité en décembre -la première en 16 mois. Moins 3% dans l'ensemble du marché. Michel Jobin, qui est agent depuis 22 ans, a senti un léger ralentissement à l'automne. «J'ai de belles maisons actuellement, elles sont impeccables. Mais je n'ai pas eu de demandes. Ça veut dire quoi? Qu'elles sont trop chères», confie celui qui travaille dans Montréal-Nord et une partie d'Ahuntsic. Tableau: le prix des maisons dans la grande région de Montréal et ses environs Source: Chambre immobilière du Grand Montréal Même un agent comme André Bouchard, de Sutton Accès, qui trouve le marché hot, constate que certains condos se vendent moins bien. «Si vous avez un condo de 500 à 750 pieds carrés, ça ne se vend pas.» Ovina Horth, de La Capitale, indique aussi que les multiplex sont plus difficiles à vendre qu'avant, que le marché est généralement plus lent. Il montre du doigt les légères hausses de taux d'intérêt de l'année dernière. «Ce n'est pas tellement haut, mais ça affecte la capacité de payer des gens», dit l'agent qui a presque 30 ans d'expérience derrière la cravate. À la Chambre immobilière, Michel Beausoleil n'est pas inquiet face à ces données de décembre. «On ne peut pas dire que c'est une tendance», dit-il, même si le temps de vente a légèrement augmenté, passant de 73 à 76 jours. M. Beausoleil regarde tout de même les données du côté américain. «S'il y avait une récession majeure, c'est sûr qu'il y aurait un impact au Canada. Si c'est une petite récession, on aura une année semblable à 2007.» Constat semblable du côté de la Société canadienne d'hypothèques et de logement, où on fait toutefois une nuance dans cette flopée de chiffres records. «Avec des maisons plus chères, le marché est plus à l'avantage de l'acheteur», précise l'économiste Sandra Girard. Pour 2008, l'agence fédérale prévoit une hausse de prix de 5 ou 6% dans la région. Votre beau-frère pourrait continuer d'afficher son plus beau sourire. Cyberpresse http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/6764-Prix-des-maisons-le-marche-reste-vigoureux-a-Montreal.html
  14. Le Journal de Montréal 27/11/2007 Déçus du manque de services offerts à Montréal et découragés par le prix des propriétés, deux tiers des jeunes adultes de la métropole la quitteraient ou songeraient à le faire pour s'installer en banlieue. Ces données, tirées d'un avis du Conseil jeunesse de Montréal (CjM), démontrent que la ville est loin d'avoir conquis le coeur des jeunes adultes de moins de 30 ans Parmi les 800 répondants, 26% ont affirmé vouloir déménager pour une meilleure offre de services sportifs et culturels en banlieue. Un peu plus de 30% ont mentionné vouloir malgré tout rester en ville et 40% ont dit qu'ils évalueraient les deux options. Les familles et les jeunes Si la problématique des familles qui désertent Montréal pour les banlieues est connue, les intentions des jeunes qui sont nombreux à vouloir partir le sont moins. «C'est la première fois qu'on les questionne directement, dit Mylène Robert, coordonnatrice du CjM. Ça nous permet de voir qu'ils ne trouvent pas assez de services en ville, notamment. «Un jeune artiste qui veut pratiquer la batterie dans son appartement peut difficilement le faire à Montréal, poursuit-elle. Il pourrait alors être attiré vers la banlieue.» Maisons et loyers trop chers Les prix des loyers et des maisons, beaucoup trop élevés, poussent aussi les jeunes adultes à s'établir hors de Montréal, qui devient de plus en plus une «ville de passage», selon le CjM. Hier, en point de presse, l'organisme a exhorté Marcel Tremblay, du conseil exécutif, d'agir dans ce dossier pour freiner l'exode de la jeunesse. «Nous entendons relever le défi du sentiment d'appartenance à notre ville et cet avis permettra à notre administration d'orienter certaines de ses interventions», a dit celui qui s'occupe notamment des services aux citoyens et de la jeunesse à la Ville.
  15. Le Journal de Montréal 07/11/2007 Si vous rêvez d’une maison manoir, sachez que ces grosses demeures de luxe ont toujours le vent dans les voiles dans la région métropolitaine de Montréal. Depuis le début de l’année, 917 maisons de plus de 500 000 $ se sont vendues. C’est 22 % de plus qu’à la même période l’an passé. Et si la tendance se maintient, 2007 pourrait marquer un record puisqu’en 2006, 979 maisons manoirs avaient changé de mains. À titre de comparaison, 379 transactions ont été enregistrées dans ce créneau en 2002. «Beaucoup plus de personnes sont en mesure de s’offrir ce type de maison», explique Astrid Joseph, analyste de marché à la Société canadienne d’hypothèques et de logement. En fait, il y a de plus en plus de familles qui gagnent un revenu de 100 000 $ et plus. Elles étaient 13,9 % en 2005 contre 9,6 % en 1980. Pouvoir de négociation La plupart de ces grosses demeures (70 %) se vendent sur l’île de Montréal dans des quartiers comme Outremont ou Westmount. C’est toutefois en banlieue que vous êtes en meilleure position pour négocier. Sur la Rive-Nord, par exemple, il y a 1 acheteur pour 38 vendeurs, alors que sur l’île de Montréal le marché est équilibré, c’est-à-dire qu’il y a 1 acheteur pour 10 vendeurs. Soulignons que le marché du neuf montre un peu plus de retenue que celui de la revente puisque 410 maisons manoirs ont vu le jour depuis le début de l’année. C’est une hausse de 5 %. Le marché de la maison manoir reste marginal. Dans le créneau de la maison existante, les maisons de plus de 500 000 $ représentent en 2007 seulement 4 % des maisons unifamiliales vendues par l’entremise du système inter-agences SIA
  16. Vigueur étonnante de l'immobilier à Montréal Taille du texteImprimerEnvoyer Agrandir Photo archives La Presse Maxime Bergeron La Presse Le marché immobilier fait preuve d'une vigueur étonnante à Montréal. Parlez-en à Claude Vézina, de la firme Sutton Québec. Le mois dernier, l'agente a mis en vente une copropriété pour 189 000$ dans le quartier Petite Patrie. Elle a reçu quatre offres d'achat en moins d'une semaine... et a réussi à obtenir 197 000$ pour le condo. «J'ai eu le même genre de cas récemment avec un quatreplex: il y a eu 11 offres le deuxième jour!» raconte-t-elle. Selon des données publiées hier par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), le marché montréalais aura connu une année 2007 exceptionnelle. Le nombre de reventes enregistrées sur le réseau MLS aura progressé de 10%, à 42 800 unités, un niveau jamais atteint. Pendant ce temps, les prix auront grimpé de 6% pour les maisons unifamiliales et de 5% pour les condos. «La création d'emplois a dépassé nos attentes et les conditions de financement sont demeurées attrayantes, alors ç'a permis d'alimenter la demande de logements», explique Sandra Girard, analyste principale à la SCHL. Le marché demeure nettement à l'avantage des vendeurs, même dans le secteur du condo, qui avait pourtant marqué des signes d'essoufflement l'an dernier. Et cette situation perdurera toute l'année 2008. «Le marché de la copropriété a flirté avec des conditions de marché équilibré, mais il est revenu à l'avantage des vendeurs», indique Mme Girard. Le nombre de condos vendus a fait un bond de 17% par rapport à 2006! «La demande a été tellement forte qu'elle a épuisé l'offre des propriétés à vendre dans tous les segments de marché, ce qui ne s'était pas vu depuis quatre ans», dit l'analyste. L'année 2008 sera très bonne, souligne Sandra Girard, bien que la croissance s'annonce moins vive qu'en 2007. Les reventes devraient grimper de 3% dans le secteur des appartements en copropriété (à 11 600 transactions), et se stabiliser à 26 400 pour les maisons unifamiliales, après une hausse de 9% en 2007. Du côté des «plex», le nombre de transactions baissera de 6% l'an prochain, prévoit la SCHL, après un gain de 7% en 2007. Un recul qui s'explique par la remontée du taux d'inoccupation des logements, «ce qui rendra ce type d'habitation un peu moins attrayant». Les prix poursuivront sur leur lancée dans toutes les catégories en 2008. Selon la SCHL, les condos et des plex se vendront 5% plus cher et les maisons unifamiliales, 6%. Mises en chantier Après un bond de 10% cette année, les mises en chantier diminueront à l'échelle du pays l'an prochain. Elles atteindront 214 000 pour l'ensemble du Canada (-6%), 48 000 au Québec (-8%) et 23 500 dans la région de Montréal (-6%), prévoit la SCHL. «Le repli de l'activité l'an prochain sera essentiellement attribuable à la hausse des prix des habitations observée au cours des dernières années, laquelle a fait monter les charges de remboursement hypothécaire», explique Bob Dugan, économiste en chef à la SCHL, dans un rapport publié hier. Le nombre de reventes aura progressé de 7,6% au Canada cette année, à 521 000, et devrait décliner de 3,9% en 2008, selon la SCHL. Les prix moyens augmenteront de 10,1% cette année et de 4,2% l'an prochain, dynamisés par la vigueur de l'Ouest canadien, rapporte l'agence fédérale. Le portrait de l'immobilier au Canada contraste fortement avec celui des États-Unis, où la crise du crédit hypothécaire continue de faire des ravages. Au cours de la période de 12 mois terminée en août, les prix ont chuté de 4,4% dans les 20 régions métropolitaines étudiées par Standard&Poors, a-t-on appris hier. Il s'agit du pire déclin en au moins six ans. La confiance des consommateurs américains est fortement ébranlée par la crise immobilière. L'indice de confiance du Conference Board a glissé à 95,6, comparativement à 99,5 en septembre, son plus fort déclin depuis octobre 2005.
  17. 29/05/2007 Le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) demande à la Ville de Montréal et au gouvernement provincial de mettre un frein à la conversion de maisons de chambres privées en condos et en hôtels.Selon le recensement de la Ville de Montréal pour l'année 2006, c'est quelques 180 maisons de chambres privées, abritant environ 3 000 unités, qui existeraient toujours dans la métropole. Le RAPSIM demande la sauvegarde de ces habitations, qu'il aimerait voir transformées en logements sociaux. Plus de 45 % des unités de maisons de chambres privées se retrouvent dans les arrondissements de Ville-Marie et du Plateau Mont-Royal. Des quartiers fort prisés par les promoteurs immobiliers. Le RAPSIM demande ainsi à Montréal de catégoriser les maisons de chambres de manière à ce que leur éventuelle conversion soit plus difficile à autoriser. Une sorte de moratoire qui empêcherait leur vente rapide à des promoteurs immobiliers, à l'instar de celui existant au chapitre des condominiums. Le RAPSIM réclame également plus d'argent de Québec afin de rencontrer les coûts réels rattachés à l'achat et à la rénovation des maisons de chambres privées. C'est environ 15 000 $ par unité que l'organisme réclame, des coûts qui s'ajoutent à ceux déjà consentis en ce sens.
  18. Samedi 19 mai 2007(Le Devoir) Des ventes plus nombreuses que l'an dernier, mais plus lentes.Alors que le marché de l'immobilier aux États-Unis a connu récemment une diminution du nombre de transactions et une baisse des prix, la situation est différente de ce côté-ci de la frontière. Selon des acteurs du milieu, le marché de la revente des maisons de luxe se porte bien actuellement sur l'île de Montréal. Le marché de la revente des maisons unifamiliales de luxe se porte bien actuellement, selon la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), faisant référence aux résidences de 500 000 $ et plus. Le nombre de ventes de maisons de cette catégorie sur l'île de Montréal a augmenté de 22 % entre le premier trimestre de 2006 et le premier trimestre de 2007, fait valoir le chef de la direction de la CIGM, Michel Beauséjour. Le délai moyen de vente a toutefois augmenté. Selon les chiffres de la CIGM, 203 résidences de 500 000 $ et plus ont été vendues sur l'île de Montréal lors du premier trimestre de 2007, comparativement à 166 durant le premier trimestre de l'année précédente. «C'est une augmentation significative», affirme M. Beauséjour. La CIGM estime que le marché de la revente des résidences de 500 000 $ et plus est actuellement en équilibre sur l'île de Montréal. Elle considère un marché en équilibre quand le nombre de vendeurs pour un acheteur varie entre huit et douze. Le délai moyen de vente des maisons de 500 000 $ et plus sur l'île de Montréal a par ailleurs augmenté par rapport à l'an dernier. Il était de 82 jours durant le premier trimestre de 2007, comparativement à 69 jours lors du premier trimestre de 2006. Outremont, Mont-Royal et Westmount Le marché des maisons de luxe «va très bien» actuellement, affirme Charlotte Michaud, agent immobilier affilié au Groupe Sutton à Outremont, en faisant référence aux maisons de 800 000 $ et plus dans ce quartier de Montréal. «Présentement, c'est-à-dire depuis un mois ou maximum deux mois, je dirais que cela va aussi bien qu'en 2004, qui avait été une année record pour bien du monde», dit-elle. Des maisons d'un million de dollars et plus ont été vendues récemment en quelques semaines, mentionne-t-elle. Selon la CIGM, dix maisons de 800 000 $ et plus ont été vendues à Outremont lors du premier trimestre de 2007. L'agent immobilier Georges Bardagi de RE/MAX affirme pour sa part que le marché des maisons de luxe se porte très bien actuellement à Outremont et dans la ville de Mont-Royal, également située sur l'île de Montréal. «On voit un plus grand nombre de ventes [que l'an dernier] et une accélération [sic] des prix», affirme-t-il. Les prix augmentent toutefois «beaucoup plus faiblement qu'en 2002-2003», dit-il. Selon M. Bardagi, le délai de vente moyen est en outre un peu plus long que durant ces années. «Cela prend plus de temps, mais c'est un peu normal, les prix sont beaucoup plus élevés aussi qu'ils étaient en 2002-2003», affirme l'agent immobilier. Selon la CIGM, lors du premier trimestre de 2007, 45 maisons de 500 000 $ et plus ont été vendues à Westmount -- une municipalité cossue également située sur l'île de Montréal --, 24 dans la ville de Mont-Royal et 17 à Outremont. Le nombre de ventes de maisons de 500 000 $ et plus a augmenté à Westmount et à Outremont par rapport au premier trimestre de 2006 (respectivement 39 et 13 ventes). Il était relativement stable pour la ville de Mont-Royal, où il y a eu 24 ventes dans cette catégorie durant le premier trimestre de 2007, une de moins qu'à la même période l'an dernier. Le délai moyen de vente des maisons de 500 000 $ et plus a toutefois augmenté durant cette période. Selon les données de la CIGM, il est ainsi passé de 67 à 87 jours à Westmount, de 63 à 121 jours à Mont-Royal et de 52 à 66 jours à Outremont. Banlieue En banlieue de Montréal, le marché des maisons de 500 000 $ et plus est actuellement favorable aux acheteurs, affirme la CIGM. Le nombre peu élevé de transactions dans cette catégorie fait en sorte qu'il est plus difficile d'observer des tendances par rapport à l'an dernier seulement sur l'île de Montréal. Le nombre de ventes de maisons de 500 000 $ et plus sur la Rive-Sud était de 26 lors du premier trimestre de 2007, comparativement à 27 à la même période l'année précédente. Il était de 11 à Laval et de 23 sur la Rive-Nord durant le premier trimestre de 2007, comparativement à huit à Laval et à neuf sur la Rive-Nord durant le premier trimestre de 2006. Une situation différente de celle des États-Unis La situation du marché de l'immobilier dans la région de Montréal est bien différente de celle qu'on peut observer aux États-Unis, souligne Michel Beauséjour. «Il y a eu beaucoup de spéculation dans certains États comme la Californie et la Floride», mentionne-t-il. Des institutions financières ont également accordé des prêts à haut risque à des acheteurs aux États-Unis, un phénomène qu'on ne retrouve pas au Canada, ajoute-t-il. Selon M. Beauséjour, le secteur immobilier dans la région de Montréal est notamment favorisé par des taux d'intérêt peu élevés, par la création d'emplois et par la confiance dans l'économie. Le chef de la direction de la CIGM n'entrevoit pas de ralentissement du marché. Bien qu'il y ait moins de «frénésie» dans le marché immobilier qu'au début des années 2000, le nombre de transactions augmente tout de même, fait-il valoir. Les prix sont également en hausse, mentionne-t-il. Tous types de propriétés confondus, le prix de vente moyen a augmenté de quelque 6 % par rapport à l'an dernier dans la grande région de Montréal, selon les données de la CIGM. M. Beauséjour croit que les prix continueront d'augmenter. Depuis les 40 dernières années, il n'y a eu que deux périodes durant lesquelles les prix ont diminué légèrement: une première fois durant un an en 1982 et une deuxième fois pendant deux ans en 1995-1996, souligne-t-il, optimiste pour l'avenir.
  19. Vers un record en revente de maisons à Montréal 8 mai 2007 - 10h01 LaPresseAffaires.com Michel Munger Si la tendance se maintient, le marché montréalais de la revente de maisons et de condos se dirige vers une autre année record. C'est ce qu'affirme la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) mardi matin en dévoilant le bilan des quatre premiers mois sur son territoire. La CIGM a relevé une hausse de 11% de l'activité de janvier à avril, pour un total de 21 908 transactions sur le système MLS. La revente de condos a été le secteur le plus grouillant, avec une croissance de 14% à 853 transactions. Le prix moyen a aussi augmenté, soit de 6% à 204 000 $ l'unité. Du côté des maisons unifamiliales, les transactions ont crû de 11% à 14 242 alors que le prix moyen a monté de 6% à 223 000 $. Au total, le marché a enregistré un volume de ventes de 4,9 G$, soit un bond de 10%. Et de janvier à avril, les nouvelles inscriptions ont augmenté de 2% à 39 563 sur le système MLS. «Le volume de transactions est exceptionnel depuis le début de l'année", indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM. Tous les indicateurs économiques continuent de pointer dans la bonne direction. Entre autres, la bonne performance du marché de l'emploi au premier trimestre est de bon augure pour le marché de la revente au cours des prochains mois.» «Selon un récent sondage effectué auprès des consommateurs de la région métropolitaine de Montréal, ajoute M. Beauséjour, les intentions d'achat ou de vente d'une propriété se maintiennent comparativement à l'an dernier.» «Cela laisse aussi présager que le marché de la revente continuera d'être très vigoureux au cours des mois à venir», prédit le patron de la Chambre. Maisons unifamiliales (1er trimestre 2007) Secteurs Prix moyen Variation Montréal 335 000 $ 4% Laval 227 000 $ 7% Montérégie 210 000 $ 6% Laurentides 200 000 $ 6% Lanaudière 170 000 $ 9%
  20. Presse Canadienne 18 avril 2007 Les inquiétudes relatives à un recul du marché immobilier en raison d'un déclin démographique auraient été nettement exagérées. Un rapport de Marchés mondiaux CIBC (CM) prédit que le prix des maisons au Canada doublera au cours des 20 prochaines années. Dans ce rapport, on estime que le marché canadien de l'habitation enregistrera une offre supplémentaire de quelque 250 000 maisons. Cela représente 12 500 maisons offertes de plus par année pendant cette période. Pour Benjamin Tal, économiste pour les Marchés mondiaux CIBC, même si l'activité sur le marché de l'habitation fluctuera au cours des 20 prochaines années, le prix réel moyen des maisons reflétera le rendement des deux dernières décennies. Dans l'hypothèse d'un taux d'inflation annuel de 2%, il affirme que le prix des maisons au Canada devrait doubler d'ici 2026. Il précise que cette hausse ne sera pas symétrique, ajoutant que dans les grandes villes, l'évaluation des maisons augmentera encore davantage. Selon lui, les inquiétudes relatives à une baisse des prix attribuable à l'aménagement de plus petites maisons et à l'accroissement des liquidations de maisons par les personnes âgées, ainsi que le recul du nombre d'acheteurs d'une première maison, sont largement exagérées. Le rapport de la Banque CIBC compare la croissance de la population entre deux cycles de prix du logement, soit de 1987 à 2006 et de 2007 à 2026, en se fondant sur les perspectives de croissance et d'immigration moyennes de Statistique Canada. Entre 2007 et 2026, la baisse nette prévue de 167 000 acheteurs d'une première maison (Canadiens âgés de 25 à 44 ans) est marginale, sans plus, a déclaré Tal. Puisque ce groupe de consommateurs est celui qui contribue le plus à la demande globale en matière de logements, représentant près de 68% de toutes les ventes de maisons, ce ralentissement relativement modeste ne devrait pas avoir d'incidence appréciable sur la demande de logements. Le recul le plus important (2,5 millions) est prévu pour le groupe des personnes âgées de 45 à 54 ans, de nombreux membres de la génération du baby-boom passant au groupe d'âge suivant. L'incidence de ce changement devrait aussi être limitée, étant donné que le groupe des personnes âgées de 45 à 54 ans ne représente que 12% de la demande totale de logements. En fait, ce recul modéré sera contrebalancé en partie par la solide augmentation dans le groupe des consommateurs de 55 à 74 ans et par son activité intense sur le marché de l'habitation, en grande partie attribuable à des achats de propriétés de vacances et à des placements immobiliers.
  21. Photothèque Le Soleil La prolifération des piscines en banlieue, une belle spécificité québécoise. Quoi, un sous-sol? La maison québécoise surprend les immigrants Marianne White Le Soleil Quand ils ont magasiné leur première maison à Québec, Sabine et Olivier Cotard avaient un critère très important: que toutes les chambres soient à l'étage. «Il était hors de question que mes enfants dorment au sous-sol», raconte la jeune mère de famille en rigolant. Comme plusieurs immigrants, ce couple de Français a été très surpris de constater qu'ici, les sous-sol sont aménagés et que les gens profitent de cet espace pour installer des chambres ou une salle familiale. «Les sous-sols, on ne s'y fait vraiment pas», ajoute Sabine. Mais ses deux filles, elles, par exemple, ont vite apprivoisé cette aire de jeu et sont de «vraies Québécoises» à cet égard. Le Marocain d'origine Mohamed El-Khayat a, lui aussi, rapidement trouvé des avantages au sous-sol aménagé. «C'est très pratique en été lorsque c'est la canicule !» souligne-t-il. Ce qui l'a surtout surpris en arrivant au Québec en 1987, ce sont les portes vitrées des maisons. Au Maroc, ainsi que dans plusieurs pays méditérannéens, les portes sont mieux protégées et sont souvent recouvertes de métal ou d'un grillage. Et que dire du béton, peu utilisé ici dans la construction des maisons. «Je trouvais que ça ressemblait à des maisons de dessins animés ! remarque-t-il. Et je n'avais jamais vu de murs de gyproc. Tu donnes un coup dans le mur et ça traverse.» La construction des maisons québécoises a également étonné Marcelo Ortiz, un Équatorien qui vit au Québec depuis 25 ans. «J'ai été frappé par les mises en garde qu'on nous fait souvent pour réagir rapidement en cas de feu. En Équateur, ce sont les tremblements de terre qui nous inquiètent surtout», souligne le musicien. L'utilisation du bois et du gyproc dans les résidences permet aux entrepreneurs québécois de bâtir très rapidement. «Ici, tu peux avoir une maison construite en six mois, c'est incroyable !» dit M. Ortiz. Maisons nord-américaines Est-ce que ces particularités sont propres aux demeures québécoises ? Pas tout à fait, indique Yves Laframboise, ethno-historien et auteur de plusieurs ouvrages sur les maisons du Québec. Nos habitations ont de nombreuses caractéristiques nord-américaines, comme l'aménagement du sous-sol et l'utilisation prépondérante du bois. «C'est lié en bonne partie à l'apparition du bungalow après la Deuxième Guerre mondiale», souligne-t-il, ajoutant que les entrepreneurs utilisent souvent les ressources disponibles localement. Et au Québec, le bois est très accessible. En France, dans certaines régions, c'est la roche calcaire qui est utilisée, tandis qu'au Maroc on a beaucoup recours à la chaux et que dans plusieurs pays sud-américains, le béton est omniprésent. M. Laframboise constate cependant que les maisons du Québec sont de moins en moins différentes que celles du reste du monde. Avec la mondialisation, on retrouve le même plancher flottant partout, souligne-t-il. «Il y a moins de différences car les matériaux et les gens voyagent.» Histoires de piscine Mais il existe bel et bien des «spécificités québécoises», comme la prolifération des piscines sur les terrains. «Ce qui m'a surtout surprise c'est que les piscines sont en dehors de la terre, et rondes en plus !» affirme Martha De Montenero, une Mexicaine qui a suivi le chemin de l'amour jusqu'au Québec il y a 10 ans. Au Mexique, seulement les plus nantis ont des piscines sur leur terrain et elles sont creusées et de forme rectangulaire. À son arrivée au Québec, Sabine Cotard ne voulait pas que la chambre de ses enfants se trouve au sous-sol. (Photo Jean-Marie Villeneuve, Le Soleil) Sabine Cotard a, pour sa part, bien du mal à comprendre pourquoi les Québécois installent des piscines sur de petits terrains. «Il n'y a rien d'autre dans le jardin. Il n'y a même pas de place pour que les enfants jouent», remarque-t-elle, ajoutant avoir fait enlever la piscine qui se trouvait sur le terrain lorsqu'ils ont acheté leur maison à Cap-Rouge. «On y a fait installer à la place des balançoires et des jeux pour les enfants.» Une autre différence marquée réside dans la division intérieure des maisons. La désignation des logements (2 1/2, 3 1/2, etc.) laisse notamment plusieurs nouveaux arrivants pantois. «Au début je me demandais c'était quoi la demie !» rigole Martha De Montenero. Sabine Cotard a trouvé étonnant le fait que la toilette soit dans la même pièce que la salle de bains. «Ça m'a vraiment choquée ! En France ce sont des pièces distinctes, c'est plus pratique.» Importance de la cuisine Trân Triêu Quân, du Viêtnam, fondateur de Norbati Consultants Trân & Associés inc., a constaté de son côté que la cuisine occupait une place importante dans les maisons québécoises. Elle est grande et généralement ouverte sur la salle à manger ou le salon. «Chez nous, c'est une pièce fermée à l'arrière de la maison ou même à l'étage d'en dessous», explique-t-il. Enfin, le grand corridor qu'on retrouve dans plusieurs maisons ou appartements continue de surprendre. «Beaucoup de maisons sont comme ça, raconte Marcelo Ortiz, qui a pris le temps de visiter plusieurs résidences avant d'en choisir une très éclairée. C'est très sombre et désagréable. Tu te sens dans un tunnel», lance-t-il. En dépit de ces particularités, les immigrants qui ont choisi de vivre ici embrassent ces petites différences avec joie et les oublient rapidement. «L'accès à la propriété est plus facile au Québec. C'est une grande richesse», croit Mohamed El-Khayat.
  22. MONTREAL, le 8 fév. /CNW Telbec/ - L'enquête menée en janvier par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) révèle que la construction résidentielle a progressé au Québec au cours de ce même mois. Le total de 2 391 logements mis en chantier dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus représente une augmentation de 7 % par rapport à janvier 2006. Cette croissance est attribuable à la mise en chantier de deux résidences pour aînés dans l'agglomération de Drummondville, portant le total pour cette ville à 409 (contre 96 en janvier 2006). "Déjà observée en 2006, la construction de résidences pour aînés à l'extérieur des grands centres urbains se poursuit. Comme nous le constatons dans le bilan de janvier, il s'agit d'un phénomène dont l'impact sur le plan provincial peut être important.", affirme Kevin Hughes, économiste provincial à la SCHL. Dans la catégorie des maisons individuelles, le Québec a enregistré une baisse de 20 %, et 616 maisons ont été mises en chantier en janvier 2007, comparativement à 772 durant la même période l'année précédente. Les régions métropolitaines de recensement (RMR) de Montréal (-28 %) et de Gatineau (-43 %) ont enregistré des reculs importants alors que le rythme dans la RMR de Québec était stable (113 contre 111 en janvier 2006). Dans les agglomérations de 50 000 à 100 000 habitants la construction de maisons individuelles était également en baisse de 20 %. La construction de logements collectifs dans les centres urbains a connu une croissance de 21 % en janvier. Selon l'enquête, on a recensé 1 775 mises en chantier de logements collectifs contre 1 465, en janvier 2006. Outre la forte augmentation dans l'agglomération de Drummondville, les hausses des mises en chantier de logements collectifs étaient particulièrement fortes dans les régions de Montréal (30 %) et de Gatineau (plus de 100 %). Durant cette même période, les RMR de Québec (-80 %) et de Trois-Rivières (-55 %), quant à elles, ont enregistré des reculs notables . La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est l'organisme national responsable de l'habitation au Canada, et ce, depuis plus de 60 ans. Elle contribue à améliorer les conditions de vie et le bien-être des Canadiens par l'entremise de quatre secteurs d'activité : le financement de l'habitation, l'aide au logement, la recherche et la diffusion de l'information, et la promotion des exportations. La SCHL veille à ce que les Canadiens aient accès à un large éventail de logements de qualité, à coût abordable, et elle favorise la création de collectivités et de villes dynamiques et saines partout au pays.
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