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  1. Collège Marianopolis: feu vert à une version réduite du projet Martin Croteau La Presse Site du promoteur: http://www.msurlamontagne.com/
  2. Je n'ai pas vu ce projet sur le forum après une petite recherche... un article est paru dans la Presse sur ce projet situé sur les stationnements du concessionnaire Touchette, situé dans le quadrilatère Papineau-Ontario-Cartier-Sherbrooke. On y prévoit pour le moment 5 bâtiments de 3 étages avec 11 condos chacun. Une deuxième phase suivra avec 15 maisons de ville de trois étages. Lien vers l'article de La Presse: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/nouveautes/201008/27/01-4310454-touchette-automobile-adieu-vaste-terrain-de-stationnement.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS1 Des images: La construction est déjà commencée, selon l'article de La Presse.
  3. mtlurb

    Terrasse Laverdure

    Dans LaPresse+ CHICS CONDOS DANS AHUNTSIC DANIELLE BONNEAU LA PRESSE NOM DU PROJET Terrasse Laverdure OÙ ? Le projet se trouve près de la station de métro Henri-Bourassa. EN TOUT 32 condos et 6 maisons en rangée dans un immeuble en forme de L. Les condos prendront place dans un édifice de cinq étages, qui longera le boulevard Henri-Bourassa. Les maisons en rangée, de deux étages, borderont la rue Laverdure. APERÇU Le complexe est construit à la place d’un immeuble qui a déjà abrité un restaurant bien apprécié des résidants du quartier, « La vieille école », et est devenu un lieu de culte par la suite. Le projet a pu aller de l’avant après la tenue d’une consultation publique. Le Groupe Julmat veut se distinguer en construisant un complexe haut de gamme avec des appartements spacieux et une structure de béton. Pour ce faire, il a fait appel à l’architecte Karl Fischer. Il aura aussi recours à des matériaux de qualité, dont des fenêtres oscillo-battantes en aluminium de la compagnie Alumilex. Tous les stationnements seront souterrains, même ceux des propriétaires des maisons en rangée. C’est pourquoi aucune porte de garage ne sera visible, en façade. AUTRE PARTICULARITÉ Une vaste cour intérieure de 4000 pi2 sera aménagée à l’intention de tous les copropriétaires. Celle-ci sera adossée à la cour de la résidence pour personnes âgées voisine, amplifiant l’impression de se trouver dans une oasis de verdure. Le promoteur prend également soin de préserver le plus d’arbres sur le terrain. Aucune autre aire commune n’est prévue. En l’absence d’une salle d’exercice ou d’une piscine, les charges de copropriétés seront relativement moins élevées. POUR QUI ? Une clientèle qui vend sa maison à Ahuntsic ou ailleurs et aime être près de la rivière des Prairies. Plusieurs, avec de grands enfants qui étudient au cégep ou à l’université, apprécient aussi la proximité d’une station de métro. COMBIEN (TAXES INCLUSES) ? Condos (il en reste 17 à vendre) : À partir de 229 000 $, 1 chambre, 769 pi2 À partir de 360 000, 2 chambres, 960 pi2 À partir de 411 000 $, 3 chambres, 1286 pi2 Charges mensuelles de copropriété : environ 19 cents par pied carré Maisons en rangée (il en reste 3 à vendre) À partir de 625 000 $, 3 chambres, 2 salles de bains, cour privée donnant sur la cour intérieure, 2539 pi2 Charges mensuelles : 225 $ (pour l’assurance, l’entretien, le déneigement ; chacun est responsable de sa maison) DANS LE VOISINAGE Le parc Nicolas-Viel et ses 9 terrains de tennis, traversé par la piste cyclable de la route verte numéro 1, tout près du bord de l’eau. La rue Fleury, avec ses commerces et restaurants, se trouve non loin. La station de métro Henri-Bourassa est à trois coins de rue. CONSTRUCTION Elle a débuté. Les copropriétaires devraient commencer à emménager en décembre 2015. ON AIME ? Le complexe mettra en valeur le terrain, situé dans un beau quartier. L’ancien stationnement fait place à une grande cour paysagée. ON AIME MOINS ? Le boulevard Henri-Bourassa est très passant et manque de charme. Un acousticien veillera à la qualité de l’insonorisation.
  4. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  5. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  6. http://www.ledevoir.com/societe/consommation/449987/l-architecture-a-la-conquete-des-oceans-pour-batir-les-villes-de-demain L’architecture à la conquête des océans, pour bâtir les villes de demain 14 septembre 2015 |Olivier Dessibourg - Le Temps | Consommation À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Photo: Margriet Faber Agence France-Presse À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Les océans constituent le prochain espace de conquête architecturale et urbanistique de l’homme. Que ce soit pour y ériger les villes du futur pensées comme des refuges techno-modernes et autonomes en énergie, voire des lieux de vacances hyperexclusifs promus par les images de synthèse de cabinets d’architectes, ou plus simplement parce que les villes et régions déjà les plus peuplées, et souvent situées sur les côtes, devront faire face à une montée des eaux certaine due au réchauffement. Partout, dans les milieux technologiques, économiques, du design, on se demande comment s’installer dans ce Far West aquatique. « Jusqu’à aujourd’hui, les villes en bordure des océans ont été érigées de manière statique, fixe, souvent désordonnée », dit Koen Olthuis. Cet architecte hollandais de 44 ans, nommé en 2007 parmi les personnes les plus influentes par Time Magazine, est l’un des fers de lance de ce mouvement en plein essor. « Dans les cités côtières des pays en développement, les bidonvilles sont souvent proches de ou sur l’eau, et sont ainsi très fragiles face aux inondations. De plus, aux environs de plusieurs mégapoles, il existe parfois d’énormes no man’s land situés entre terre et mer, pour l’heure inoccupés, détaille celui qui a été l’une des stars d’une récente conférence mondiale sur le sujet, à Bangkok. Ce sont ces zones qu’il s’agit de viser en priorité, à l’heure où la population urbaine mondiale va exploser. » Et d’indiquer que des agglomérations comme Londres, Miami, Tokyo ou Djakarta vont étendre leur superficie de 5 à 10 % sur les eaux d’ici à 2030. Bâtiments flottants Avec d’autres, le cofondateur de l’agence d’architectes néerlandaise Waterstudio a dessiné des systèmes permettant de rendre moins vulnérables les habitations côtières, qui se trouvent 90 % du temps sur la terre ferme. « Lorsque l’eau monte, nos constructions y font face sans être submergées. Parmi les solutions d’architecture amphibie envisagées pour les fondations de ces maisons “résilientes” : des “flotteurs” en béton renforcé et remplis d’air, mais tout de même liés au sol. Au final, l’édifice flotte sans se déplacer. De même que, si vous devez porter une charge dans les vagues, vous le pouvez grâce à la force d’Archimède, vos jambes jouant alors le rôle de support fixe. » Selon l’expert, le défi principal consiste à stabiliser l’ensemble en cas de répartition inégale du poids en surface. « C’est possible, grâce à des systèmes de remplissage de compartiments stabilisateurs avec de l’eau. » Des expériences réelles sont déjà menées, avant tout aux Pays-Bas, plate région concernée au plus haut point par la montée des eaux. À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg, construit sur des îles artificielles, s’enrichit de maisons flottantes. L’agence Waterstudio développe aussi des projets de constructions entièrement flottantes, comme ce café Internet qui devrait être installé sur une barge dans un bidonville émergé au Bangladesh. « La technologie des habitations flottantes n’est qu’un pan de l’architecture amphibie, mais le plus emblématique », admet Koen Olthuis. Pour preuve, la pléthore de projets futuristes, voire utopistes, récemment divulgués. La dernière salve en date est celle du Seasteading Institute. Fondée en 2008 en Californie par Patri Friedman, petit-fils du Nobel d’économie Milton Friedman, cette institution rêvait d’ériger une ville entière au large, sur les eaux territoriales, et d’y fonder une nouvelle société autogérée politiquement. Puis ses instigateurs ont reconnu qu’il serait plus aisé de rapprocher leur projet des côtes, pour des raisons évidentes de logistique et d’approvisionnement, mais avec alors la nécessité d’obtenir l’autorisation d’un État hôte qui leur reste à trouver. Des îles-villes, une utopie ? Les visionnaires tiennent à leur idée de base, et viennent de révéler les résultats d’un concours d’architecture visant à façonner leur île-ville pour 167 millions de dollars. Le concept proposé : des plateformes carrées ou pentagonales, de 50 m de côté, supportant des édifices de trois étages ou des parcs (voire les éléments herbeux d’un golf !) que l’on relie à souhait pour former une agglomération. Selon une étude de faisabilité de la société d’ingénierie DeltaSync, chaque plateforme coûterait 15 millions de dollars, soit un prix par mètre carré équivalent à ce qu’on trouve à New York ou Londres. Observateur du monde de l’architecture puisqu’il dirige la revue Tracés, Christophe Catsaros juge « sensée l’idée de gagner du terrain sur les terres immergées près des côtes, comme cela se fait depuis longtemps sur les polders dans le nord de l’Europe. » Par contre, les projets futuristes, « s’ils évoquent l’avenir, n’en ont en fait pas, tant leur coût énorme implique qu’ils ne s’inscrivent pas dans notre logique économique immobilière. » Koen Olthuis admet aussi que, « au regard des besoins dans les pays en développement, ces visions ne constituent pas une priorité, tant elles servent uniquement les riches ». Même si elles demeurent relativement abordables : dans une récente présentation TEDx, l’architecte explique que si une personne fortunée doit sortir 30 millions de dollars pour acquérir un yacht de luxe, une île artificielle ne coûterait qu’une douzaine de millions. Un nouveau marché de luxe Son entreprise a d’ailleurs imaginé de petits îlots équipés d’une résidence de luxe, qui peuvent être installés n’importe où. Depuis cet été, la société Christie’s International Real Estate les commercialise. « Cet hiver, nous construirons aux Pays-Bas les premières îles d’un lot de 33 qui sera acheminé vers Dubaï », dit Koen Olthuis. Selon lui, viser ce segment du luxe n’est pas en contradiction avec sa vision première, car « dans ce cas, les riches paient pour développer des technologies d’architecture amphibie qui pourront être démocratisées partout dans le monde ». Un argument qui ne convainc pas Christophe Catsaros : « L’architecture spectacle peut parfois faire apparaître des avancées intéressantes, mais le plus souvent, elle génère des concepts kitsch qui vieillissent mal. » Le débat naît donc sur ce que d’aucuns qualifient de « révolution bleue ». Et que l’agence DeltaSync, dans son étude de faisabilité servant aussi de manifeste, résume : si les terres viennent à manquer, « où irons-nous ? Dans le désert ? Les ressources en eau manquent. Dans l’espace ? Toujours trop cher. Reste l’océan. […] Ce siècle verra l’émergence sur l’océan de nouvelles cités durables […]. Elles contribueront à offrir un haut standard de vie à la population, tout en protégeant les écosystèmes. Un rêve ? Non, la réponse au principal défi du XXIe siècle. »
  7. Voici le projet Contrecoeur. Situé à l'intersection des rues de Contrecoeur et Pierre-de-Coubertin, celui-ci est composé de 3 maisons de ville. Malgré une apparence bleutée sur le rendu, la brique est plutôt grise en vrai. Bien plus beau! En date du 10 décembre 2013 :
  8. Ce projet remplace Écocité sur le Bois, qui a été annulé ********************* Are we sure this is the right website and name? or are the towers a distant future phase?
  9. Ton Paris contre mon Montréal Montréal brille au Top 10 des lieux d'échanges de maison. Non, non, tout ne va pas si mal pour Montréal. À preuve, la métropole s'est hissée cet été au Top 10 du site d'échanges de maison, HomeExchange.com, mieux connu en français sous le nom de TrocMaison.com. Pour la première fois depuis la création du site international d'échange de maisons HomeExchange en 1992, Montréal joue du coude avec rien de moins que Paris (1ère place), Londres (2e), New York (3e), suivis de Rome, Barcelone, Milan, Madrid, Copenhague, Amsterdam et...Montréal (10e). La preuve que malgré l'avalanche de manchettes sur la corruption municipale, les nids-de-poule ou les ratés du métro qui font hurler les Montréalais, leur ville dispose encore et toujours d'un important capital de séduction. Elle séduit du moins ceux qui cherchent des modes de tourisme alternatifs. «Cela fait déjà plusieurs années que le Canada se trouve dans le Top 5 des destinations les plus courues sur notre site, mais c'est la première fois que Montréal fait son entrée dans le palmarès des villes les plus recherchées», soutient Paul Charoy, responsable des relations de presse pour TrocMaison.com. L'abondance de l'offre de maisons et de condos offerts aux échanges dans la métropole — près de 400! — explique en partie la popularité de Montréal parmi les grandes capitales du monde, ainsi que l'intérêt démontré envers le Québec en général (près de 1000 offres). Mais pas seulement. Avec autant de propositions disponibles, ni Berlin (300 et plus) ni San Francisco (500 et plus) — villes qu'on ne peut certainement pas considérer comme dénuées d'intérêt — ne se hissent pas dans le Top 10 des villes convoitées par ceux qui troquent leur maison. Pourquoi cet engouement pour Montréal? Outre la présence d'une offre généreuse, difficile de dire exactement pourquoi, selon Trocmaison.com. Le site d'échanges ne dispose pas de statistiques qualitatives sur les raisons des choix faits par ses membres. Tout ce qu'on sait, c'est que la concurrence est forte dans ce marché alternatif du voyage puisque le site, qui compte 47 000 abonnés, affiche chaque année quelque 46 000 offres et permet la concrétisation annuelle de 300 000 échanges dans 154 pays. Le pouvoir d'attraction dont jouit Montréal dans ce créneau n'est pas sans intérêt, puisque selon Trocmaison.com, chaque échange se traduit par l'injection de 2100 $ par participant dans l'économie locale. «Montréal est devenue une attraction non seulement l'été, mais tout au cours de l'année, ce qui offre à plusieurs de nos membres la possibilité de faire des échanges décalés dans le temps. Récemment, un de nos membres a même réussi à troquer une maison bien ordinaire à Terrebonne, contre une maison et un bateau en Polynésie», ajoute le porte-parole de TrocMaison.com Depuis l'apparition du site Airbnb.com, site de location de chambres ou de maisons de gré à gré chez des particuliers qui fait grincer des dents l'industrie hôtelière, l'intérêt pour l'échange de maison ne se dément pas. Selon M. Charoy, l'arrivée d'Airbnb.com a au contraire gonflé l'intérêt du public pour toutes ces nouvelles façon de découvrir le monde «autrement». «Ce qui attire les gens dans les échanges de maison ou des sites comme Airbnb.com, c'est aussi le contact, l'expérience humaine et ces deux formules le permettent», dit-il. En plus de la popularité de Montréal, l'échange de maisons est portée par un vent encore plus fort. Celui de la consommation participative. En marge de la consommation traditionnelle, axée sur la transaction d'un bien par un individu, la consommation participative repose sur le partage de produits ou de services par plusieurs personnes plutôt qu'une seule. On peut citer en exemple, les services de vélos en libre service, d'autos en libre service et de taxis collectifs, qui ont de plus en plus la cote. À ce jeu, Montréal ne jouit-elle pas déjà d'une longueur d'avance? Pourquoi ne pas troquer votre condo dans Homa ou Ahuntsic, abonnement à Communauto et carte Bixi inclus, contre un pittoresque appartement à Amsterdam? http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/389492/ton-paris-contre-mon-montreal
  10. LES TERRASSES CHERRIER maisons de ville condos Plateau, Montreal 5 superbes Maisons de Ville de 2000 pieds carrés au cœur du plateau, situé à l’angle de 2 artères de prestiges soit la rue Cherrier et Saint-Hubert. À mi-chemin du Parc Lafontaine et de la rue Saint-Denis, situées près du métro Sherbrooke et à quelques minutes du centre-ville, vous aurez accès à toutes les commodités qu’un quartier peut offrir ; écoles, garderies, boutiques, restaurants, marchés d’alimentation et la beauté des espaces verts dans un environnement des plus stimulants Chaque maison de ville possède une immense terrasse privée sur le toit, une cuisine de style européenne, salles de bain moderne et salle d’eau aux lignes épurées, des plafonds de plus de 9 pieds et une fenestration abondante. Garage intérieur disponible. Livraison été 2012. Réalisées par SP IMMOBILIER, promoteur immobilier du projet de condos Les terrasses Chambord près de l’avenue Mont-Royal sur le Plateau, Montreal, elles sont synonymes de bon goût et d’originalité.
  11. SASH condo, NOUVEAU projet 15 condos à vendre, Marché Atwater, Canal Lachine, Montreal SASH projet immobilier de qualité supérieure au design spectaculaire: condos, lofts, maisons de villes , maisons aériennes & penthouses dans le secteur du Marché Atwater et Canal Lachine. Comptoirs de pierre, bois franc, lockers, terrasses privées, garages intérieur. SASH condo à vendre Marché Atwater, McGill immobilier, courtier immobilier Montréal. http://www.mcgillimmobilier.com/lang/fr/2008/12/30/sash-condo-project-atwater-market-lachine-canal-montreal-sash-projet-condo-marche-atwater-canal-lachine-montreal/
  12. La démolition d'un vieux garage de carrosserie est en cours pour laisser place a un nouveau projet immobilier. Possiblement 3 étages. À ne pas confondre avec le projet immobilier qui a eu lieu l'année dernière à deux maisons en arrière et a un futur projet qui remplacera éventuellement l'ancien PFK sur Masson. Voici des photos de la démolition en cours :
  13. Projet de maisons en rangée sur le terrain des anciens garages municipaux Sandrine Béjanin Informés par la Ville d'un nouveau projet majeur de construction résidentielle dans leur environnement immédiat, les Brossardois du secteur des anciens garages municipaux, situé dans le quartier B, se sont mobilisés contre un développement qu'ils estiment préjudiciable à leur qualité de vie. Le promoteur immobilier A.H. Inc. projette d'acheter à la Ville de Brossard le terrain des anciens «ateliers municipaux» afin d'y construire un ensemble à vocation résidentielle de 70 maisons en rangée, desservi par une nouvelle rue qui traversera le parc Baudelaire. Situé entre l'avenue Baudelaire et l'avenue Béliveau, et entre l'avenue Bienvenue et le croissant Balmoral, ce terrain, appartenant à la Ville, lui servait autrefois de garage pour ses véhicules. Clos, mais inutilisé depuis environ une quinzaine d'années, le terrain nécessite d'être décontaminé, ce que le promoteur propose de faire à ses frais. «Pour la Ville, c'est une belle occasion de se débarrasser de la patate chaude que constitue la contamination du terrain», invoquent Jules Béliveau et Frédéric Côté, deux résidents à l'origine de la pétition de 108 personnes se déclarant contre le projet. Outrés devant l'ampleur du projet, les signataires contestent surtout la hauteur des bâtiments de trois étages, qui risquent de priver les habitants de l'avenue Bienvenue et de la place Benoît de toute luminosité et toute intimité dans leur cour arrière. Leur souci s'étend aussi à l'augmentation connexe de la circulation automobile, de la surpopulation dans les écoles, et des îlots de chaleur dans le secteur, ainsi qu'à la suppression du terrain de basketball du parc Baudelaire. Devant l'opposition massive des citoyens, qui s'est manifestée lors d'une réunion d'information, le 22 juin dernier, la Ville a demandé au promoteur de revoir son projet et s'est engagée à présenter le nouveau projet aux citoyens lors d'une prochaine rencontre dont la date n'a pas encore été fixée. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Anciens ateliers municipaux : vive opposition à un projet immobilier. Texte Paul-André Gilbert Un nouveau projet immobilier sur le terrain des anciens ateliers municipaux de Brossard provoque de vives réactions chez des résidents du secteur B. Le groupe immobilier A.H. inc. prévoit construire sur ce terrain, situé à l’intersection des rues Baudelaire et Bienvenue, un projet de maisons unifamiliales en rangées, composé de 70 résidences. Jules Béliveau et Frédéric Côté, deux résidents du voisinage, s’opposent vivement à ce projet, qu’ils considèrent inapproprié pour plusieurs raisons. Premièrement, l’ajout de nouvelles résidences amènerait selon eux une multiplication du nombre de voitures dans les rues du secteur, qui sont déjà très achalandées. «La rue Baudelaire est devenue la décharge de l’autoroute 30. Ce n’est plus une rue, c’est un boulevard», explique M. Côté. Avec l’augmentation de la circulation, ce dernier, dont la résidence est adossée à l’ancien garage municipal, craint pour la sécurité de ses enfants et de ceux du voisinage, trois écoles primaires étant présentes dans le secteur. «J’essaie de voir le puzzle en terme de sécurité», s’inquiète-t-il. Hauteur des maisons MM. Béliveau et Côté sont également préoccupés par la hauteur des maisons du projet d’Immobilier A.H. Les résidences seraient en effet composées de bâtiments de trois à six unités de trois étages. Les deux résidents craignent pour l’harmonie architecturale du quartier, qui est composé en majorité de bungalows. Ils croient aussi que les résidences entraineront une diminution importante de l’intimité et de la luminosité pour les résidences qui jouxte le terrain. «Ça fait une muraille de Chine et ça coupe passablement l’horizon et la lumière», précise M. Béliveau. Il ajoute que toutes ces résidences vont créer un îlot de chaleur dans le secteur, qui était rafraîchi par le terrain vague. D’ailleurs, M. Béliveau propose que la Ville construise un parc sur ce terrain plutôt que des résidences. Terrain contaminé Un autre élément important cause une forte inquiétude chez MM. Côté et Béliveau : le terrain des ateliers municipaux serait selon eux fortement contaminé. Puisque le terrain était occupé par les ateliers municipaux de la Ville, on retrouverait dans le sol des hydrocarbures et d’autres substances toxiques qui proviennent de matériel qu’on retrouve généralement dans un garage municipal, comme de la peinture et des batteries. L’Administration municipale affirme être consciente de la présence de contaminants dans le sol. Cependant, le promoteur s’engage à décontaminer le terrain avant de construire les résidences. Le directeur des communications de la Ville de Brossard, Alain Gauthier, affirme que le promoteur a déjà effectué une décontamination par le passé et que cette décontamination sera validée par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs. De son côté, le promoteur Bernard Armand explique qu’il est conscient des réticences des résidents et que c’est pourquoi il essaie de moduler le projet dans le but qu’il soit fait de la manière la plus harmonieuse possible. Par exemple, la hauteur des bâtiments causant un problème, la compagnie Immobilier A.H. serait en train de revoir l’aspect architectural du projet. Il rappelle toutefois que le terrain est hautement contaminé. «On est prêt à regarder où on pourrait modifier le projet pour le rendre plus acceptable pour tous et chacun, mais il y a des limites», a-t-il conclu.
  14. Chantelle Grady, Australienne parachutée à Montréal, vient de publier un des plus beau magazine jamais fait sur Montréal. Elle nous dit sur notre ville: ''J'aime qu'elle s'enroule autour de la montagne, j'aime les maisons de briques et leurs escaliers, j'aime les gens chaleureux et accueillants et qu'ils aiment la mode et le style!'' http://alittlerelish.com/magazine/
  15. Plusieurs centaines d'unités réparties dans des maisons de villes et des condos. Un nouveau petit quartier à Laval. http://www.royalchomedey.com
  16. Développement d’un projet immobilier d’envergure sur l’Île Charron (2008) Investissement Luc Poirier développe actuellement un projet immobilier de grande envergure (environ 1 milliard de dollars), qui sera situé sur l’Île Charron à Longueuil. Ce projet immobilier sur les rives du St-Laurent comprendra plusieurs tours de condominiums, de nombreuses maisons, un complexe de condo-hôtel, un spa, un parc national, un golf et une marina. 1 image Pas mauvais! Vous pouvez checker son site ici http://www.investissementlucpoirier.com/projets.html
  17. Secteur Angus, 2ème et Gilford J'ai de la misère a visualiser exactement ou le projet va être construit. -------------------------------------------------------------------------------- Un copier-coller du projet au Dix30 Découvrez prochainement Cité Angus dans le Quartier Angus. Imaginée par le Groupe Cholette, Cité Angus propose un concept d'habitation unique de condominiums contemporains et de maisons urbaines spectaculaires sur un ou deux étages. À deux pas de l'activité piétonne du Quartier Angus, à quelques minutes du centre-ville de Montréal, un endroit où l’on vie au rythme du Quartier. Au cœur de la vie urbaine du Quartier Angus à Montréal, d'élégants immeubles de condominiums contemporains au design unique tant par l'architecture et la conception de ces derniers. Vaste choix de modèles de condominiums et de maisons de ville urbaines sont offerts. Du choix pour tous les goûts à prix abordables. À distance de marche, on y retrouve marchés et boutiques spécialisés, restaurants, centre de conditionnement physique, garderie, piscines extérieures municipales, magnifiques parcs et espaces verts. Situé à l'angle de la rue Gilford et la 2ième avenue à Montréal dans le Quartier Rosemont, le site est accessible via le boulevard Saint-Jospeh, à proximité de l’avenue Papineau. Ouverture du pavillon des ventes automne 2010 Pour des informations svp communiquer avec nous et inscrivez-vous pour recevoir des informations privilégiés via notre formulaire de réservation prioritaire ou par courriel au ventes@groupecholette.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
  18. Le tout dernier projet de Construction Continuum Arrondissement Ville-Marie À 5 minutes à pied du métro Préfontaine Près de tous les services 2648 rue Wurtele Maisons de ville Sur 3 étages 3 chambres 2 salles de bains Finition et isolation de qualité supérieure 120 à 130 m2 Printemps 2011 À partir de 315 000 $ plus taxes http://bati.ca/
  19. Je ne sais pas si je me trompe, mais je crois que quelqu'un avait parti un fil sur un projet d'ajouter deux maisons sur le toit de l'édifice N-Y Insurance Life Building de la Place d'Armes. Ça vous dit quelque chose ? Le projet est terminé et à l'émission Visite Libre de artTV, on visite les maisons. Ce qui est spectaculaire, c'est que les chambres de la première maison sont situées dans le clocher de l'édifice. Bref, si vous retrouver le fil svp me le laisser savoir. Merci !
  20. Le SO Rozel, maison de ville sur trois niveaux. Situé au Sud du Canal Lachine près du marché Atwater et du centre-ville de Montréal. Rue Rozel près de Wellington et du parc Marguerite-Bourgeoys. Le SO Rozel se distingue avec ses habitations de style "townhouse", chacune des 7 unités étant aménagée sur trois niveaux. Ces maisons de ville ont leur propre entrée privée sur la rue avec au surplus, la possibilité d’acquérir un stationnement intérieur au sous-sol. 6 des 7 unités ont également une cours arrière privée. http://www.sorozel.com/
  21. Lors de la signature du traité de la Grande Paix de Montréal avec les nations amérindiennes il y a 309 ans, Montréal comptait à peine 1 200 habitants. Voilà le genre d’anecdotes qui parsèment le nouveau spectacle multimédia Signé Montréal, présenté lundi par le musée Pointe-à-Callière. Les visiteurs habitués à l’ancienne vidéo qui parcourt toute l’histoire montréalaise en 18 minutes seront charmés. La salle a été largement repensée, et sur un gigantesque écran en U de 270 degrés, les grands moments de la métropole défilent de façon dynamique. Au sol, les vestiges de fondations datant de l’époque des premiers colons retrouvent vie grâce à un ingénieux système de projection et d’éclairage. Dans le casque d’écoute, Montréal se raconte (bientôt en huit langues) de façon optimiste mais sans complaisance (on ne manque pas de parler du coût du Stade olympique, par exemple!). Les Iroquoiens et leurs maisons longues, les fondateurs De Maisonneuve et Jeanne Mance, l’invasion anglaise (1760), l’essor économique, l’arrivée des premiers triplex (1891), la mode du tramway (jusqu’à 54 lignes), l’Expo 67 et ses 50 millions de visiteurs : tout y passe. Le spectacle est «un beau cadeau pour que les touristes aient accès à l’histoire de Montréal rapidement», indique la directrice générale du musée, Francine Lelièvre. Le coût du projet s’élève à 2,5 M$, mais celui-ci durera dix ans, précise Mme Lelièvre. Il faut y ajouter 1 M$ pour le réaménagement de la salle de 185 places, qui comprend aussi une scène pouvant accueillir des évènements corporatif. Des jeux virtuels animent en outre le site internet du musée, et un magnifique ouvrage reprend les grandes lignes du spectacle ainsi que son iconographie. http://www.journalmetro.com/linfo/article/679501--montreal-vu-par-pointe-a-calliere Petit video:http://vimeo.com/16288680
  22. Le marché des résidences de luxe est en pleine explosion à Montréal. Le nombre de propriétés vendues plus de 500 000$ a doublé depuis un an, et bondi de presque 200% dans certains secteurs de l'île. «Les maisons affichées à juste prix partent très rapidement: je viens d'en vendre une de 3 millions en trois jours à Westmount», dit Marie-Yvonne Paint, agente immobilière spécialisée dans le haut de gamme. > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter Selon les données obtenues par La Presse Affaires, les transactions ont grimpé de 97% au premier trimestre pour les maisons de plus d'un demi-million. Pendant la même période, l'ensemble des ventes a progressé de 37% dans l'île de Montréal. La demande pour les appartements en copropriété de luxe a aussi explosé. Le nombre de reventes a augmenté de 100% au premier trimestre, contre 50% pour le secteur du condo en général, révèlent des statistiques fournies par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Le segment des maisons très haut de gamme - vendues à plus de 1 million - connaît également une «effervescence», souligne Marie-Yvonne Paint. Dans les quartiers les plus chic de la métropole, 64 maisons de plus de 1 million ont changé de main pendant les trois premiers mois de l'année, contre seulement 27 à la même période de 2009. Le prix moyen de ces transactions se situe à 1,5 million, par rapport à 1,3 million l'an dernier. La confiance de retour La raison de cette explosion n'a rien à voir avec la faiblesse historique des taux hypothécaires. La plupart des acheteurs de cette gamme de prix paient comptant, dit Mme Paint. L'explication se résume plutôt en un mot: confiance. «Beaucoup de gens ont été réticents à acheter à cause de la crise en 2009, par prudence, mais cette année, cette rétention s'est défoulée», avance l'agente rencontrée dans une somptueuse résidence de 8000 pi2 de Westmount, mise en vente pour 7,3 millions. Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM, partage ce point de vue. «L'économie québécoise va bien, la création d'emplois va bien, donc la confiance à long terme est bonne. Cela veut dire que les gens qui ont des moyens sont maintenant sur le marché pour faire des transactions.» Aussi, le recul observé l'an dernier n'est pas le seul responsable de la hausse impressionnante du pourcentage de transactions cette année. En fait, les ventes sont en forte progression par rapport à 2008 - donc avant la crise financière. Il s'est vendu 304 maisons de plus de 500 000$ dans l'île de Montréal pendant les trois premiers de 2010 (19% des transactions), contre 202 il y a deux ans (14% du total). Dans le condominium, le nombre de transactions de plus d'un demi-million s'est établi à 114 au premier trimestre (5% du total), comparativement à 67 en 2008 (3% du total). Les propriétés chères se retrouvent surtout dans les quartiers centraux de l'île. La majorité des condos ont été vendus dans le Vieux-Montréal, Westmount, Outremont, Mont-Royal, Hampstead et L'Île-des-Soeurs. Les maisons de plus de 500 000$ - un prix de moins en moins rare - sont plus dispersées géographiquement. Sur les 407 vendues au premier trimestre dans le Grand Montréal, 304 se trouvaient dans l'île, 101 sur la Rive-Sud et 70 à Laval et dans la couronne nord. La hausse la plus marquée du nombre de transactions - 193% - a été observée dans le secteur de Saint-Laurent-Ahunstic. Et qui sont les acheteurs de ces maisons cossues? D'après Marie-Yvonne Paint, ils sont à 95% des «locaux» de Montréal et de sa périphérie, chefs d'entreprise, médecins ou avocats. Le segment du luxe va très bien mais demeure accessible à une infime minorité, en somme. «Pour acheter un condo à 500 000$, il faut au moins que tu fasses 150 000$ ou 200 000$ de revenus par année, et 200 000$, c'est 1% de la population, dit Michel Beauséjour, de la CIGM. On parle d'une niche très, très sélective.» Premier trimestre de 2010 QUANTITÉ VENDUE / VAR. SUR UN AN Maisons de plus de 500 000$ / 304 / 97% Ensemble du marché des maisons / 1581 / 37% Condominiums de plus de 500 000$ / 118 / 100% Ensemble du marché du condo / 2282 / 50% Source: Chambre immobilière du Grand Montr http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201004/14/01-4270200-immobilier-le-haut-de-gamme-explose-a-montreal.php
  23. La construction de logements collectifs bondit au Québec les mises en chantier plus élevées que prévu Louis-Pierre Côté Argent La construction résidentielle s’est accrue au Québec en août, grâce à la vigueur du segment des logements collectifs. Selon les chiffres publiés mercredi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), 3409 habitations ont été mises en chantier en août, dans les centres urbains, comparativement à 3082 un an auparavant. En juillet, il s’était mis en chantier 3080 habitations, toujours dans les centres de plus de 10 000 habitants. La vigueur de la construction résidentielle est entièrement attribuable à une hausse dans le segment des logements collectifs, soit des maisons jumelées ou en rangée ou appartements. Alors que les mises en chantier pour ce type de logements progressaient de 36% à 2536 par rapport à août 2008, celles de maisons individuelles se repliaient de 28%, à 873. «Jusqu'à présent en 2009, la construction résidentielle dans les centres urbains (au Québec) est en baisse de 16%. Le recul moins important du côté des logements collectif, soit -10% contre -25% pour les maisons individuelles, traduit (…) un virage vers les formes d'habitation plus abordables», note Kevin Hughes, économiste régional à la SCHL. Dans les grandes agglomérations de recensement, qui comptent de 50 000 à 99 999 habitants, les mises en chantier ont augmenté de 68% au mois d'août (223 en 2009, 133 en 2008). Les mises en chantier d'habitations collectives y ont d'ailleurs été très nombreuses, souligne la SCHL, avec un essor de plus de 100%. Cependant, aucune variation significative de l'activité résidentielle n'a été constatée dans le segment des maisons individuelles
  24. Les mises en chantier d'habitations ont augmenté en mai au Canada Publié le 08 juin 2009 à 08h57 | Mis à jour à 09h46 La Presse Canadienne Ottawa La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) s'attend à ce que le rythme des mises en chantier d'habitations continue de s'améliorer cette année. L'organisme a publié mardi des statistiques qui font état d'une accélération de l'activité, tant dans le segment des maisons individuelles que dans celui des logements collectifs. La SCHL a indiqué que le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations au Canada a grimpé à 128 400 en mai, comparativement à 117 600 en avril. Elle a observé une hausse de 22% dans les grands centres urbains de l'Ontario, de 16,8% dans les Prairies, de 7,3% dans l'Atlantique et de 3,3% au Québec. Un recul de 5% a toutefois été noté en Colombie-Britannique. On évalue à 20 600 le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier dans les régions rurales du Canada pour le mois de mai. Au Québec, 3594 fondations ont été coulées en mai, comparativement à 4659 un an auparavant. Le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s'est toutefois établi à 35 400 et dépasse donc son niveau d'avril, qui se situait à 33 100. Dans les régions métropolitaines de recensement du Québec, les résultats ont été disparates au cours du dernier mois. Alors que l'activité était en hausse à Gatineau et Sherbrooke, des baisses étaient enregistrées à Trois-Rivières, Montréal et Saguenay. Dans la région de Québec, les mises en chantier d'habitations ont été pratiquement au même niveau qu'à pareil mois l'an passé. Tout comme en avril, les mises en chantier de maisons individuelles étaient en baisse dans la majorité des régions métropolitaines du Québec le mois dernier, alors que les résultats étaient beaucoup plus variés du côté des habitations collectives. Au Nouveau-Brunswick, 334 habitations ont été mises en chantier le mois dernier dans les centres urbains, comparativement à 481 en mai 2008. Les mises en chantier de maisons individuelles ont fléchi de 38% dans les villes de la province: elles ont été au nombre de 138. Au 31 mai 2009, leur cumul annuel se chiffre à 292 et accuse donc un retard de 39% par rapport à l'an passé. Dans le segment des logements collectifs, les constructeurs ont coulé les fondations de 196 logements dans les villes du Nouveau-Brunswick en mai 2009, contre 258 un an plus tôt. Pour sa part, le cumul annuel des mises en chantier de logements collectifs n'accuse qu'un léger retard, de 6,7%, en regard du résultat enregistré pour la période allant de janvier à mai 2008.
  25. Terrains à vendre au pied de l'Oratoire Hugo Joncas, Les affaires Les terrains excédentaires de l'Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal attirent les promoteurs immobiliers. L'institution vient de vendre trois lots au constructeur de maisons de luxe Jean Houde et à la famille Elman, actionnaire majoritaire du fonds d'investissement en santé Persistence Capital Partners. Elle a obtenu près de 2,6 millions de dollars pour les trois terrains. L'Oratoire compte vendre sept autres terrains autour de Surrey Gardens, mais préserver le reste de la ceinture verte entre l'institution et les résidences de Westmount. Les terrains mis en vente sont tous situés dans un boisé à l'extérieur de l'arrondissement historique et naturel du mont Royal protégé par Québec. Le zonage de ces lots, situés dans la Ville de Westmount, prévoit uniquement la construction de maisons unifamiliales détachées. Pour l'instant, la Ville n'a discuté qu'avec Construction Jean Houde, selon Joanne Poirier, directrice de l'urbanisme. " Ils nous ont soumis des plans préliminaires pour un terrain à l'est de la rue Surrey Gardens ", dit-elle. Le produit de la vente de ces lots sera investi dans l'entretien des installations de l'Oratoire. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-22/493716/terrains-etagrave-vendre-au-pied-de-loratoire.fr.html (22/5/2009 11H27)
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