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  1. On parle ici d'une maison à Westmount, qui est qualifiée de "Number one home in Canada" dans un article du Architectural Digest. Je vous en recommande fortement la lecture. L'article dans Architectural Digest. La firme d'architectes: http://www.ericjsmitharchitect.com Designer d'intérieurs: http://www.davideastoninc.com/
  2. Le 25 septembre 2010 Opération patrimoine: de découverte en découverte * Carole Thibaudeau La Presse L'Opération patrimoine architectural de Montréal (OPAM) célèbre ses 20 ans d'existence, avec, depuis hier et jusqu'au 10 octobre, son traditionnel concours de la maison coup de coeur du public, ses conférences, ses circuits de découverte à pied, ses activités pour la famille, ses musées et ses journées portes ouvertes, bref, près d'une quarantaine d'activités gratuites. Du nouveau cette année: le circuit pédestre Trésors du Vieux-Montréal. Les personnes intéressées aux immeubles patrimoniaux du Vieux-Montréal organisent leur propre itinéraire, à partir des fiches descriptives (histoire et architecture) qu'on trouve sur http://www.operationpatrimoine.com.'>http://www.operationpatrimoine.com. Deux autres randonnées urbaines, guidées cette fois, promettent de belles découvertes: une visite des lieux mentionnés dans les romans de Mordecai Richler, sur la Main et dans le Mile-End, aujourd'hui, de 10h à 12h (http://www.amisboulevardstlaurent.com ou http://www.mile-end.qc.ca); et une excursion toponymique du Vieux-Montréal au centre-ville, avec des experts expliquant l'origine des noms des rues, une activité réputée riche en anecdotes: le samedi 2 octobre, de 14h à 16h. Réservation obligatoire: 514-872-3953. À noter, deux itinéraires de découverte se feront simultanément en autobus, demain, dimanche, à 10h: l'un pour les cinémas de quartier, et l'autre sur le Montréal disparu (squares anéantis, rivières enfouies, etc.). Renseignements au 514-872-3207 ou sur http://www.autremontreal.com. Comme activité familiale, la Chasse aux trésors à Stewart Hall, le remarquable édifice abritant le centre culturel de Pointe-Claire, vaudra un prix à chaque enfant qui terminera le parcours. Aujourd'hui, de 13h à 16h. Renseignements: 514-630-1220. Maison coup de coeur Les Montréalais sont invités à choisir la maison coup de coeur La Presse-Historia, pour la 14e fois. Chacun vote, avant le 31 octobre à 17h, pour sa maison favorite parmi une sélection de cinq propriétés primées en 2010. Les participants sont admissibles à un tirage avec 12 700$ en prix à gagner: un week-end pour deux à l'hôtel Place d'Armes du Vieux-Montréal (800$), un ventilateur-échangeur d'air LifeBreath (1200$), trois aspirateurs centraux (900$ chacun), un bon d'achat de 3000$ pour Portes&Fenêtres Métropolitain et un bon d'achat de 5000$ applicable chez un fournisseur recommandé par CAA-Québec, services en habitation). Les photographies de ces maisons seront télédiffusées sur Historia et publiées dans La Presse, où elles seront accompagnées de bulletins de vote à découper. On pourra aussi faire son choix directement sur le site http://www.lamaisoncoupdecoeur.com. Portes ouvertes Encore une fois revient la Journée portes ouvertes du patrimoine, demain dimanche, de 13h à 16h. Une cinquantaine de propriétés à vendre, dotées d'un grand cachet patrimonial, seront ouvertes aux amateurs de belles résidences. La Journée est organisée par des membres de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). La Journée portes ouvertes du patrimoine a été imaginée pour offrir aux amateurs de patrimoine la possibilité d'apprécier en un après-midi un bel échantillon de résidences anciennes. La liste de ces résidences se trouve sur le site de l'OPAM ainsi que sur celui de la CIGM (http://www.centris.ca). L'OPAM est organisée par la Ville de Montréal et Héritage Montréal, en partenariat avec la Banque Laurentienne et avec l'appui de plusieurs autres organismes. http://www.operationpatrimoine.com
  3. MONTREAL, June 22 /CNW Telbec/ - The head office of Astral Media Inc. (TSX: ACM.A/ACM.B) now boasts a new address at 1800 McGill College Avenue. Astral-one of Canada's largest media companies-also shares its name with this office building that has been part of Montréalers' lives since 1989 and now becomes Maison Astral. Over 400 of the 2,800 Astral employees will occupy many of the building's floors, including Corporate Department employees, as well as a large portion of its French-television team and Sales Department employees. "Our company was founded in Montréal nearly 50 years ago and we take great pride in helping to make our city one of the country's economic and cultural drivers. Today, we are delighted to occupy a choice location at the heart of Montréal's business and cultural district," declared Ian Greenberg, President and Chief Executive Officer of Astral. Maison Astral is a 30-storey office building with a breathtaking view of the Mount Royal that overlooks Montréal's most strategic hub at the corner of McGill College Avenue and de Maisonneuve Boulevard. ----------------------------------------------- They have already installed their hideous new logo
  4. Publié le 03 juin 2010 à 07h01 | Mis à jour le 03 juin 2010 à 07h06 (Montréal) Signe que le marché immobilier de luxe se porte bien à Montréal, un record vient d'être fracassé dans l'arrondissement d'Outremont. L'agente Marie-Yvonne Paint, de Royal LePage, a obtenu le prix le plus élevé jamais payé dans ce quartier pour une résidence située au 22, avenue Ainslie. La maison vient d'être achetée par un couple d'industriels français au coût de 5,3 millions après sept mois sur le marché. «À Westmount, on a déjà eu ce prix-là, mais pas à Outremont, a indiqué Mme Paint. On a vraiment créé un précédent.» > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter Le prix d'origine de la somptueuse résidence - connue sous le nom de Maison Tourville - était de 6,2 millions, mais il a été abaissé en mars. La propriété de cinq chambres à coucher est évaluée à 3,6 millions par la Ville, et ses comptes de taxes municipales et scolaires s'élèvent à 43 693$ par année. Les acheteurs, qui arrivent directement de France, s'y installeront avec leurs cinq enfants. Ils ne manqueront pas d'espace, puisque la propriété compte aussi une maison secondaire pour les invités. Avant cette transaction, le prix le plus élevé jamais obtenu pour une résidence à Outremont était de 2,7 millions, selon les données de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La transaction remonte à 2004. Marie-Yvonne Paint se dit très satisfaite du prix final ainsi que du délai de vente de sept mois, «qui n'est pas long pour cette gamme de prix». La maison a fait l'objet d'un total de trois offres au fil des mois, a-t-elle affirmé. Ce prix de vente, si élevé soit-il, est à des années-lumière de ce que tente d'obtenir un vendeur de l'Île-Bizard, dans l'ouest de Montréal. Il demande 27 millions pour sa propriété de neuf chambres à coucher, sise sur un terrain de 48 000 mètres carrés. Les taxes combinées coûteront 64 000$ par an au futur acheteur... s'il se manifeste. Le marché du haut de gamme dans son ensemble se porte très bien dans la métropole, selon des données obtenues récemment par La Presse Affaires. Quelque 64 maisons de plus de 1 million ont changé de main au premier trimestre, contre 27 pendant la même période en 2009. Le prix moyen de ces transactions était de 1,5 million, comparativement à 1,3 million l'an dernier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201006/03/01-4286371-un-record-immobilier-fracasse-a-outremont.php
  5. MONTREAL'S FIRST 100% GREEN CONDO AND TOWNHOUSE PROJECT Overview Located minutes from Montreal’s downtown core and the historic Atwater Market, Maison Productive House (MpH) is a contemporary, green living project that offers a contemporary architecture that makes sustainable urban living bountiful and verdant. At Maison Productive House empowers consumers to live intelligently. Maison Productive House offers you two housing choices to meet you specific needs, Condo and Townhouse. Each unity offers a contemporary and green design that is both rich in space and refined in its architecture. MpH residences offer a privileged, refined living environment, which is refined and avant-garde. MpH perpetuates the exceptional architectural style with the most advanced Green (sustainable living) elements. MpH is Montreal’s first ecological design that seeks carbon-neutrality and addresses various productive aspects of a responsible lifestyle: alternative energy, food garden, active transportation, more personal productivity and leisure time. Here are some of the design principles that inspired the vision for the MpH Its walking distance from Charlevoix metro station Amenities MpH is very green. Its infrastructure can contribute to the environment instead of being as drain upon it. Maison Productive House seeks a LEED® Platinum certification and follows zero-emission development (ZED) design principles. What is unique about the MpH project is that it is Novoclimat® certified, uses Solar Panel and Geo-thermal energy; includes EnergyStar® appliances, dual-flush toilets and radiant heated floors. Additional examples of this unique project include: Onsite garden Custom-built doors kitchens and stairways using FSC or reclaimed wood or bottles No use of VOC products in lacquers, and natural fibers wherever possible (insulation, wall structure). Social and productive spaces, mixing ecological and social functions, such as: its year-round greenhouse, sauna, meditation room, and laundry room recovering grey waters and balcony. The sauna is strategically placed to allow for voluntary heat loss that directly will benefit the otherwise passively heated (solar) greenhouse. The greenhouse is supplied with recouped rainwater and filtered gray water for irrigation. Other amenities include: - Attention to linkages between outdoor and indoor spaces with the innovation of SunSpaces and ample roof, garden and balcony spaces for social interaction and growing. - Artisan bakery integrated into the residential development - Creation of possible income-streams to owners through rental spaces - Proximity to public transportation and the provision of a shared car service - Both inside and outside the greenhouse, the roof is maximized for growing vegetables. Cold-frames are integrated in the roof balustrade with seasonal covers to extend the growing season. - This social gathering area will have all the amenities for Bar-B-Qs, sun-bathing and gardening. - The Sauna uses an electrically-powered design which utilizes pine wood and is large enough for 4-6 people. - In addition to the roof greenhouse, every owner has their own private plot for growing fruits and vegetables in the garden as well as access to a fruit orchard and a herbal garden. - Water filtration systems: Units 2,4 and laundry room have recycled gray waters. Also personal units are supplied with carbon filters in the kitchen counters to provide the cleanest possible drinking water. backview They say they have 55% sold. It seems like they have 3-4 condos [only 1 left] (each are 3.5 equalling 809 sq.ft) and there is 4 townhouses [only 2 left] PDF File
  6. Des prêts hypothécaires plus difficiles à obtenir? André Pratte Dans un article publié en manchette de son édition de samedi, le Globe and Mail révèle que les dirigeants des six plus grandes banques canadiennes pressent le gouvernement fédéral d’imposer des règles plus sévères pour l’obtention de prêts hypothécaires. Les banques sont apparemment inquiètes de voir les prix des maisons continuer d’augmenter au Canada et craignent que, lorsque les taux d’intérêts grimperont, plusieurs personnes soient incapables d’assumer leurs obligations. C’est une situation similaire qui a mené à la crise financière aux États-Unis. Les choses sont tout de même différentes ici puisque 75% des prêts hypothécaires sont assurés par une société de la Couronne, la Société canadienne d’hypothèque et de logement, i.e. par le gouvernement du Canada. Cela assure une certaine solidité au marché. Toutefois, les consommateurs faisant face à une saisie auraient du mal à rembourser leurs autres dettes (notamment celles des cartes de crédit), ce qui réduirait les profits des banques et freinerait l’économie. On ne sait pas dans quelle mesure le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, est sensible aux arguments des banquiers. Il doit notamment considérer le fait que tout resserrement des règles pourrait également avoir un impact néfaste sur la croissance économique, en plus de priver plusieurs Canadiens de la possibilité de réaliser leur rêve (pas très rentable au plan politique…). Néanmoins, les normes actuelles portent en elles des risques importants, me semble-t-il. On peut aujourd’hui acheter une maison en ne déposant que 5% du capital. Ça veut dire 10000$ pour une maison de 200000$! Quelqu’un qui ne peut mettre plus de 10000$ sur la table a-t-il vraiment les moyens d’acheter une maison de 200 000$? De plus, l’échéance du prêt peut aller jusqu’à 35 ans, ce qui veut dire que l’acheteur paie une somme considérable en intérêts. Les banquiers aimeraient que les nouvelles normes imposent un paiement comptant de 10% de la valeur de la maison et que l’échéance du prêt ne puisse être plus longue que 30 ans. Il s’agirait là, à mon avis, de mesures de prudence élémentaire.
  7. Le Montmarte Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Centre-ville, Montréal ? mètres - 8 étages Description: - Le projet sera construit autour d'une maison ancienne.
  8. Économie 100 M$ pour construire 1100 logements Mise à jour : 31/08/2009 17h37 C'est le plus important projet de logements locatifs jamais vu depuis 40 ans à Québec. La firme Beaudet & Saucier va investir 100 millions $. d'ici sept ans, pour construire 13 immeubles résidentiels, regroupant 1100 logement, dans le secteur Lebourgneuf. Structure de béton armé, stationnement souterrain, accès contrôlé électroniquement et finition soignée : on parle de logements de 3½, 4½ et 5½ pièces qui vont se louer entre 700 et 1200 $ par mois. Clientèle cible : les babyboomers à l'aise qui vendent leur maison et ne veulent pas demeurer en condominium. Le projet arrive à point puisqu'il y a rareté de logements à Québec, depuis quelques années, En effet, le taux d'inoccupation se situe présentement à 0,6 %, alors que la situation d'équilibre voisine 2,5 %.
  9. Prix des maisons: Montréal résiste Publié le 26 mars 2009 à 06h36 | Mis à jour à 06h37 La Presse (Montréal) Montréal résiste encore et toujours. Alors que les prix des maisons baissent au Canada, ils se maintiennent dans la région métropolitaine. Selon un indice colligé par la Banque Nationale et la société Teranet, les prix des maisons ont reculé de 2,4% au Canada entre janvier 2008 et janvier 2009.Par contre, ils ont enregistré une croissance de 4,1% à Montréal. La Chambre immobilière du Grand Montréal a constaté la même tendance au niveau des statistiques de ventes du système MLS (Multiple Listing Services). «Les prix augmentent moins vite qu'avant, mais le Québec fait bien meilleure figure que le reste du Canada, a commenté le chef de la direction de la chambre immobilière, Michel Beauséjour, en entrevue avec La Presse Affaires. C'est généralement lié à l'économie: l'économie québécoise est un peu moins affectée qu'ailleurs.» Selon l'indice Teranet-Banque Nationale, les prix des maisons ont diminué de 2,4% à Toronto entre janvier 2008 et janvier 2009, d'un respectable 4,2% à Vancouver et d'un considérable 8,2% à Calgary. Marc Pinsonneault, économiste principal à la Banque Nationale, a expliqué que le nombre de maisons disponibles par rapport à la demande était beaucoup plus élevé dans ces villes qu'à Montréal. «Il y a eu surconstruction», a-t-il déclaré. À Calgary, les prix des maisons ont bondi de 45% en 2006, ce qui a incité les promoteurs et les constructeurs d'habitations à s'en donner à coeur joie. «Avec la baisse inattendue du prix du pétrole, on s'est aperçu qu'il y avait eu surconstruction», a affirmé M. Pinsonneault. À Vancouver, les prix des maisons, déjà extrêmement élevés, ont augmenté 24% en 2007. La spéculation s'est mise de la partie. «Il n'y a pas un Canadien qui peut acheter une maison ou un condo au centre-ville de Vancouver, a affirmé M. Beauséjour. Les prix sont tellement élevés qu'il fallait que ça dégonfle. Maintenant, Vancouver est dans le marasme depuis un an.» De son côté, la région torontoise a été frappée par la crise manufacturière, notamment dans le secteur de l'automobile, a ajouté M. Beauséjour. Le secteur de l'immobilier s'en est ressenti. «Au Québec, nous sommes plus diversifiés en termes d'économie, a affirmé le patron de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La PME se comporte assez bien. La récession est là, mais on n'a pas encore d'impact majeur au niveau des pertes d'emplois.» Il a rappelé qu'un des facteurs qui influencent l'achat d'une maison, le niveau des taux hypothécaires, était encore très favorable. M. Pinsonneault, de la Banque Nationale, a indiqué que les prix des maisons avaient connu de bonnes hausses au cours des dernières années à Montréal, notamment en 2002 (15%), mais il a soutenu qu'il ne s'agissait pas d'une vague de spéculation et que cela n'avait pas donné lieu à de la surconstruction. «C'était du rattrapage à la suite d'années de vaches maigres», a-t-il affirmé. Il a noté que Montréal avait connu une baisse des prix des maisons, sur une base mensuelle, pendant les trois derniers mois de 2008. Par contre, les prix ont très légèrement augmenté (0,1%) en janvier 2009 par rapport à décembre 2008. M. Beauséjour a affirmé que les Québécois qui avaient l'intention d'acheter une maison au cours des deux prochaines années avaient toujours cette idée en tête, mais qu'ils envisageaient de retarder cette acquisition compte tenu de la situation économique.
  10. Malgré la chute des prix des maisons, la baisse des taux hypothécaires et les mesures visant à stimuler le marché immobilier, l'achat d'une première maison se fait rare dans la région de Toronto. Pour en lire plus...
  11. Un nouveau salon de l'habitation à Montréal Publié le 13 février 2009 à 11:53:49 | Mis à jour à 11:58:30 Marie-France Léger La Presse Alors que la morosité économique s’est installée, voici qu’un nouveau salon de l’habitation voit le jour, réunissant 50 constructeurs immobiliers sur un total de quelque 200 exposants. Au Stade olympique, le salon Habitat Ville et Banlieue, du 12 au 15 mars, présentera au public, sous un même toit, une centaine de nouveaux projets immobiliers de ville, aussi bien à Montréal, sur la couronne nord et la Rive-Sud. «Je suis très optimiste, affirme le vice-président de l’événement, Robert Yelle. À Montréal, il n’y avait pas de plateforme pour les acheteurs de maisons neuves.» Les projets présentés seront de type condos – surtout à Montréal – et des maisons unifamiliales et en rangée, pour la banlieue. Selon M. Yelle, les visiteurs n’auront pas moins de 15 000 nouvelles unités d’habitation à se mettre sous la dent. Il s’agit d’un salon extrêmement ciblé réunissant seulement des promoteurs et des entrepreneurs spécialisés. Un speed dating nouveau genre Quelque 50 000 visiteurs sont attendus pour discuter avec des constructeurs d’habitations et experts du milieu. Le salon opte pour une formule tout à fait nouvelle où les promoteurs eux-mêmes rencontreront les visiteurs à l’occasion de rencontres rapides, telles les speed dating, de l’habitation, qui auront lieu le samedi et dimanche. «J’ai une dizaine de promoteurs pour le moment. Ils vont rencontrer les acheteurs potentiels pendant une dizaine de minutes et, à la cloche, on change !» souligne Robert Yelle. Au salon Habitat Ville et Banlieue, en une seule visite, les acheteurs potentiels en sauront davantage sur le marché immobilier et sur les nouveaux produits et matériaux directement reliés à la construction ou à la rénovation. Des maisons vedettes seront montées pour l’occasion dont la maison ADCOM, une maison éco-énergétique, un concept d’habitation abordable à haut rendement énergétique, avec fabrication en atelier des panneaux mariant composantes écologiques et conventionnelles. Dans un tout autre style, on pourra également visiter une maison préfabriquée en béton de type manoir européen de la compagnie Géo-Metrix Precast Canada, d’une étanchéité à toute épreuve. Des constructeurs très importants participent à ce premier rendez-vous dont Groupe Cholette, Voyer et Tremblay, ADCOM Construction inc., Corporation Proment, Construction Rheault, Samcon, Développements immobiliers F. Catania & associés inc. et Géo-Metrix. _______________________ Le salon Habitat Ville et Banlieue ouvre ses portes jusqu’à 21 h du jeudi au samedi les 12, 13 et 14 mars, mais ferme à 17 h le dimanche 15 mars. Coût d’admission des visiteurs : 14 $ (adultes). Il est possible de payer un forfait de 20 $ pour ce salon et le salon Chalets et maisons de campagne, qui se déroule du 19 au 22 février au Stade olympique.
  12. La prestigieuse maison d'enchères britannique Christie's a annoncé lundi qu'elle allait supprimer un nombre «important» de postes. Pour en lire plus...
  13. Kyra Coleman gare sa voiture en face d'une maison abandonnée du quartier Osborn, à Detroit. «C'est celle-là, dit-elle. Celle-là que je veux acheter.» Pour en lire plus...
  14. La Bourse de Toronto approuve l'offre publique de la maison mère de Bell de racheter une partie de ses actions afin de retourner de la valeur à ses actionnaires, dans la foulée de l'échec de sa vente. Pour en lire plus...
  15. Les ventes de boissons alcoolisées, du moins celles consommées à la maison, durant les réceptions, ne devraient pas ralentir, malgré l'économie en panne. Pour en lire plus...
  16. À la maison, au bureau ou dans leur voiture, peu importe l'endroit, les Québécois consultent compulsivement les bulletins météo. Pour en lire plus...
  17. Les temps sont durs pour l'industrie aérienne. La maison mère du transporteur Air Canada, Gestion ACE aviation, enregistre une perte nette de 135 millions de dollars pour son troisième trimestre. Pour en lire plus...
  18. Publié le 15 octobre 2008 à 20h52 | Mis à jour le 15 octobre 2008 à 20h57 Bush aurait dû être destitué, estime Donald Trump Agence France-Presse Washington Le président américain George W. Bush aurait dû être destitué pour avoir menti au pays à propos de l'Irak, a estimé mercredi le milliardaire Donald Trump, pourtant ardent défenseur du parti républicain. Lors d'un entretien avec la chaîne de télévision CNN, M. Trump s'est dit surpris que les démocrates n'aient pas engagé de procédure de destitution à l'encontre du président après avoir obtenu la majorité au Congrès en 2006. «C'aurait été une chose merveilleuse», a déclaré le magnat de l'immobilier, qui ne pardonne pas au président les raisons qu'il a avancées pour justifier l'invasion de l'Irak en 2003. «Il a menti. Il nous a mis en guerre sur des mensonges», a martelé Donald Trump, 62 ans. L'homme d'affaires a fait le rapprochement avec le scandale Monica Lewinsky, la jeune femme avec qui le prédécesseur de M. Bush, Bill Clinton, a eu une liaison qui a failli lui coûter la Maison Blanche en 1999. «Regardez tous les problèmes que Bill Clinton a eus pour une chose sans aucune importance. Ils ont tenté de le destituer, ce qui était ridicule», a asséné M. Trump. «Et Bush nous a engagés dans cette horrible guerre avec des mensonges, en racontant qu'il y avait des armes de destruction massive et des tas d'autres choses qui se sont avérées fausses», a-t-il lancé. A propos de la campagne en cours pour la Maison Blanche, M. Trump n'en a pas moins fait part de son soutien au candidat républicain John McCain «C'est un type très malin, c'est un dur. Je pense qu'il ferait un grand président (...) et qu'il peut gagner», a-t-il ajouté, alors que M. McCain est distancé dans les sondages par son rival démocrate Barack Obama. Donald Trump, qui a hérité d'un empire immobilier, a donné son nom à une compagnie aérienne, des casinos, des hôtels, des stations balnéaires et à son gratte-ciel new-yorkais.
  19. La crise entraîne une vague de violence aux USA WASHINGTON - Dans le Massachusetts, une femme au foyer se suicide avant que la maison ne soit saisie. A Los Angeles, un gestionnaire de portefeuille sans emploi massacre sa famille puis se tue. A travers tous les Etats-Unis, les autorités redoutent qu'une vague de violence accompagne la crise économique et financière, et elles exhortent les désespérés à demander de l'aide. Dans certains endroits, les numéros de téléphone d'aide psychologique sont débordés, les services de conseil aux personnes sont très demandés, et les refuges pour victimes de violences domestiques sont pleins. "Un grand nombre de personnes me disent qu'il s'agit de l'événement qui évoque le plus le 11-Septembre", affirme le révérend Canon Ann Malonee, de l'Eglise de la Trinité, située dans le coeur du quartier d'affaires de New York. Sans personne vers qui se tourner, beaucoup de gens appellent les numéros d'urgence de prévention du suicide. L'association des Samaritains de New York a ainsi reçu 16% d'appels en plus l'an passé, la plupart d'entre eux ayant trait à des problèmes d'argent. "Beaucoup de gens nous affirment qu'ils sont en train de tout perdre. Ils perdent leur maison, font faillite, et sont au chômage", explique Virginia Cervasio, qui dirige un centre anti-suicide dans le sud-ouest de la Floride. Et les drames liées à la crise s'enchaînent: à Los Angeles, la semaine dernière, un ancien conseiller financier a abattu sa femme, ses trois fils et sa belle-mère avant de retourner l'arme contre lui. Karthik Rajaram, âgé de 45 ans, a laissé une lettre expliquant qu'il connaissait des difficultés financières et avait envisagé de se suicider. Mais il a finalement décidé de tuer toute sa famille car il trouvait cela plus honorable, selon la police. Cet immigré indien a travaillé pour une grande banque de dépôt et pour Sony Pictures, et a un temps possédé des parts dans une holding financière. Il n'avait plus de travail depuis plusieurs mois, a déclaré la police. Cette affaire a amené la police et les autorités sanitaires de Los Angeles à exhorter les gens qui se sentent dépassés par la crise à chercher de l'aide. Une intervention plutôt inhabituelle qu'ils ont justifiée par la crainte d'un "phénomène d'imitation". Dans le Tennessee, une femme de 57 ans s'est suicidée par balle la semaine dernière quand les adjoints du shérif sont venus l'expulser. L'histoire est d'autant plus tragique que Pamela Ross et son mari, qui se battaient pour conserver leur logement, venaient d'obtenir un sursis de dix jours pour faire appel. En mars à Ocala, en Floride, Roland Gore a tué sa femme et son chien, mis le feu au logement sous le coup d'un ordre de saisie, et s'est suicidé. Les autorités font état de plusieurs cas d'individus ayant tué leur conjoint ou leurs animaux de compagnie, incendié leur propriété ou bien attaqué des policiers avant de se donner la mort. Le docteur Edward Charlesworth, psychologue clinicien à Houston, souligne que la crise actuelle entretient un sentiment d'anxiété chronique chez des personnes qui se sentent impuissantes et sont prises de peur panique, et qui sont en colère parce que le gouvernement les a laissé tomber. "Ils ont le sentiment que dans notre grande société, on devrait davantage protéger les personnes, et pas seulement les entreprises", analyse-t-il. Le lien direct entre ces suicides et le marasme actuel n'est pas établi car il faut généralement deux ans pour que les statistiques nationales soient publiées. Mais l'histoire montre que le nombre de personnes qui mettent fin à leurs jours augmente en période de crise économique. Et certains considèrent déjà la récession actuelle comme la pire depuis la Grande Dépression des années 1930. A Taunton dans le Massachusetts, Carlene Balderrama, une femme au foyer de 52 ans, a caché à son époux l'état de plus en plus grave de leurs finances. Elle interceptait les lettres envoyées par la compagnie de crédit et les déchirait. Sa demande de rééchelonnement de la dette a finalement été rejetée. En juillet, le jour où la maison devait être vendue aux enchères, elle a faxé à ses créanciers la note suivante: "Quand vous saisirez ma maison, je serai morte". Elle a tué ses trois chats adorés et s'est suicidée avec le fusil de son mari. Des documents que Carlene Balderrama a laissés en évidence sur une table montrent qu'elle préparait son départ depuis des mois. Elle a précisé son choix de sépulture, sorti son assurance-vie et écrit à son mari qu'elle ne pouvait plus supporter la situation, ajoutant: "Finis de payer la maison avec l'argent de l'assurance". "Apparemment elle n'avait personne à qui parler. Elle ne s'est pas tournée vers moi. J'ignore pourquoi", confie son époux, John Balderrama. "Il faut faire quelque chose pour aider les gens qui souffrent, plutôt que de laisser quelqu'un perdre la vie pour une stupide maison". Par Kelli Kennedy, ASSOCIATED PRESS
  20. Un sondage effectué par la maison SOM montre que les jeunes Québécois doivent mieux planifier l'aspect financier de leur retraite. Pour en lire plus...
  21. M. Bush a averti que «cela prendrait du temps» avant que les effets du plan se fassent sentir, lors d'une allocution dans les jardins de la Maison Blanche. Pour en lire plus...
  22. Exposition au Monument-National - Montréal, ville ouverte Le Devoir Jean-François Nadeau Édition du vendredi 26 septembre 2008 Mots clés : Montréal, ville ouverte, Exposition, Art, Culture, Montréal, Québec (province) Les photographes Mia Donovan, Guy Glorieux et Gabor Szilasi documentent les changements du centre-ville Mia Donovan Les photos de Mia Donovan apparaissent comme une coupe chirurgicale au milieu d'un monde où le sexe s'apparente à une affaire strictement mécanique. Au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent se trouvait, jusqu'à l'an passé, une sorte de centre du sexe qui surplombait une suite de petits commerces tous plus ou moins misérables: vendeurs de pizzas maigrement garnies, poseurs d'ongles synthétiques, revendeurs de bijoux de pacotille, soldeurs de t-shirts trop petits. Programme principal du lieu: peep shows et danses très lascives. Ce vieil immeuble hideux, enrobé de tôles ondulées et couvert de réclames, a été rasé depuis pour faire place, selon ce qu'on nous promet, à une partie vitale du nouveau quartier des spectacles. Au pire, cela finira encore en terrain vague ou en espaces de stationnement. À Montréal, comme on le sait, l'horreur semble toujours résister à tous les changements. À deux pas de là, lundi dernier, se réunissaient au Monument-National la plupart des organismes culturels qui entendent donner un nouveau lustre à ce quartier qui a connu de meilleurs jours. Juste au-dessus d'eux, une magnifique exposition, bien que modeste, des photos que Gabor Szilasi, Guy Glorieux et Mia Donovan ont consacrées à ce coin de rue qui appartient désormais au passé. Leur travail est le fruit d'une commande passée par UMA, la Maison de l'image et de la photographie, que dirige André Cornellier. «Il n'y aura plus rien de pareil au centre-ville d'ici moins de cinq ans! On ne se souviendra même pas de quoi avait l'air la rue Sainte-Catherine avant. Il allait de soi pour moi, explique Cornellier, de faire en sorte de documenter au plus vite ces changements.» C'est donc dans cet esprit documentaire que les trois photographes reconnus ont entrepris d'observer à leur manière cette part de la vie urbaine qui cède peu à peu le pas à une nouvelle, sous les assauts répétés des pics des démolisseurs autant que sous le poids de cet argent qui rachète tout, même la virginité d'un quartier pourtant ouvert depuis longtemps à toutes les outrances. Guy Glorieux propose une seule photo, très grande, réalisée grâce à une camera obscura géante. Ce procédé ancien, utilisé depuis des siècles par les peintres, permet de contourner les problèmes parfois insolubles du contrôle des perspectives tout en offrant la possibilité de dessiner de grands ensembles. Pour les photographes, cette technique astucieuse permet aussi de réaliser des clichés de paysages sans objectif, selon une approche noble qui confine aux origines mêmes de la photographie. Installé rue Sainte-Catherine, à l'étage d'un ancien hôtel de passe, Guy Glorieux s'est donc évertué pendant 10 nuits à saisir le paysage de ce lieu désormais disparu. Sa chambre, il l'a d'abord réduite à l'obscurité complète. La fenêtre, soigneusement obstruée, ne laissait filtrer de la lumière que par un orifice minuscule. Au mur, solidement fixé, du papier photosensible. Après nombre de tentatives d'exposition très longue à ce filet de lumière, une photo unique de la rue est apparue, diffuse, intrigante, prodigieuse. Le procédé semble s'ajuster parfaitement aux mystères de la nuit. Il présente, tout en douceur, dans des formes presque spectrales, les contours d'un monde aujourd'hui disparu à jamais. Aujourd'hui et demain, dans le cadre des Journées de la culture, on installe d'ailleurs au Monument-National une grande camera obscura. Les visiteurs pourront y entrer et en comprendre le fonctionnement. La visite est gratuite. Gabor Szilasi, vieux routier, a produit pour sa part des images plus classiques de l'extérieur de l'immeuble sis au 2-22, rue Sainte-Catherine Est. En fait, Szilasi montre dans ses photos ce qui semble encore banal pour les habitués des lieux mais qui, à coup sûr, apparaîtra comme étonnant d'ici quelques années à peine. La superposition des images publicitaires enregistrées par l'oeil sûr de Szilasi produit un fouillis unique, véritable oeuvre d'art qui n'en a pas l'allure a priori. Voici les «Ongles glamour», à côté du «Peep Show», des «Danseuses XXX», des pointes de pizza de Miami et des «DVD-VHS» criards. Au milieu de tout cela, cette réclame unique et surréaliste, parfaitement étonnante: «Chaos visuel organisé gratuit!» Ça ne s'invente pas. L'affichage surchargé des lieux apparaît presque aussi vulgaire que les pratiques auxquelles se livrent à l'intérieur des adultes consentants. La photographe Mia Donovan, qui est à réaliser un film sur l'industrie du sexe en Amérique du Nord, avait déjà l'habitude de ce genre d'endroit. Ses photographies au format carré apparaissent comme une coupe chirurgicale au milieu d'un monde où le sexe s'apparente à une affaire strictement mécanique. Nous voici devant le Sex-Machine, fierté de l'établissement disparu, sorte de fétiche géant en plastique pour masturbateurs ultra décidés. «Nous devions vendre le forfait "sex-machine" aux clients parce que plus cher, explique une ancienne employée de l'endroit qui a accepté de se confier au Devoir. Mais lorsque les gars voyaient ce que c'était, la plupart trouvaient la chose ridicule. Je dirais qu'au moins 80 % ne touchaient même pas à ça!» Les cabines de passes que nous montrent les photos de Mia Donovan sont toutes d'un vieux rose. La mélamine règne sur ces lieux où des distributrices de savon à main laissent entendre qu'une relative propreté doit être respectée avec «les demoiselles». Ces espaces réduits ressemblent en fait à des déclinaisons soudainement sexuées de simples salons de bronzage ou de caisses populaires des années 1980. «Mia Donovan a réussi à capter l'esprit d'un lieu, explique André Cornellier. Elle ne prend pas position. Elle n'a pas à le faire: tout est déjà dans ses images! Absolument tout!» La Maison de l'image et de la photographie ne manque pas d'autres projets pour l'avenir. Elle entend d'abord prêter au mieux son concours à des artistes. «Nous n'avons pas de vocation muséale. Nous ne voulons pas collectionner, mais nous pouvons aider les artistes à se retrouver au musée, à favoriser leurs créations.» L'UMA offre des moyens techniques uniques pour contribuer à la réalisation d'oeuvres particulières. Pour André Cornellier, demeure l'espoir de voir apparaître avant longtemps une maison qui serait un point de ralliement pour la culture photographique à Montréal. Cette maison, bien avancée en théorie, souffre néanmoins, pour l'instant, de contraintes hors du contrôle de ses artisans. http://www.ledevoir.com/2008/09/26/207515.html (26/09/2008 13H55)
  23. mtlurb

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