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  1. Voici le lien FB https://www.facebook.com/chmmtl/?fref=ts
  2. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  3. http://journalmetro.com/actualites/montreal/906723/un-nouveau-gesu-a-letude/ Un nouveau Gesu a l’étude Par Laurence Houde-Roy Métro Archives Métro Le Gesù Le comité exécutif de la Ville de Montréal devrait accorder mercredi matin un soutient financier de 78 000$ au Gesù. Cette somme aura pour but de réaliser des études de faisabilité concernant un projet de réaménagement que les responsables de l’église du Gesù aimeraient concrétiser. Le sous-sol de l’immeuble est depuis longtemps l’hôte d’activités artistiques dans un amphithéâtre qui y est aménagé, mais l’église est peu utilisée, souvent que quelques heures par semaine, peut-on lire dans des documents de la Ville. Les dirigeants souhaiteraient ainsi transformer l’église pour y accueillir des événements culturels. Aussi, la résidence jésuite, adjacente à l’église, serait transformée en espace à bureaux pour des organismes partenaires. Avec l’amphithéâtre au sous-sol, cela a pour but de «former un tout cohérent». «Le projet global, qui prend le nom de Nouveau Gesù, vise à créer un pôle de partenaires et d’organismes clés autour des axes culturels, artistiques, sociaux et spirituels au coeur du Quartier des spectacles. Certains partenaires seront des utilisateurs résidents et d’autres seront des utilisateurs non résidents», expliquent les documents de la Ville. Les études de faisabilité se pencheront sur ce projet. Des études acoustiques, d’électricité, un inventaire des composantes patrimoniales et une stratégie de conservation et de mise en valeur seront notamment fait. La contribution financière de Montréal de 78 000$ représente 49% de l’ensemble du budget de la phase d’étude et de développement qui est de 160 060$. Le Gesù déboursera également 82 060$. L’église du Gesù est actuellement un immeuble patrimonial classé. Le projet vise «la mise en valeur et la pérennité» de l’immeuble. La Compagnie de Jésus du Canada français, propriétaire du site de l’église, souhaiterait, dans le cas où le projet irait de l’avant, se retirer de l’oeuvre et organiser la passation du patrimoine. sent via Tapatalk
  4. Un belvédère adjacent au Pont Jacques-Cartier offrira des vues panoramiques de Montréal de 360 degrés, incluant des vues spectaculaires du pont lui-même. Les vues du centre-ville, le Mont-Royal et le fleuve seront nettement plus intéressantes que celles de la Tour du Stade, car le Stade est plus éloigné du centre-ville. Le Belvédère du Pont sera facilement accessible à cause de la proximité du Métro Papineau et les pôles touristiques du centre-ville, à distance marchable. Comme les belvédères du Mont-Royal, il nous donnera l'opportunité de s'approcher d'un autre icône importante de Montréal. Il y a suffisamment d'espace pour construire une tourelle dans les espaces sous-utilisés adjacents au pont, prés de la rue Sainte-Catherine ou même par dessus l'Épicerie Métro dans un projet d'agrandissement. Un belvédère de plus ou moins 25 m au dessus de la rue, légèrement plus haut que le tablier à cette endroit, sera à peu prés à la même hauteur que le projet d'Interloge, présentement en construction du côté est de la rue de Lorimier. Photo prise (sans l'effet zoom) à partir de la piste cyclable (le côté ouest) du tablier du pont, vis à vis la rue Sainte-Catherine. On peut voir le toit du Métro Papineau dans la bas droite de la photo. Un belvedere avec un design simple sera facile à construire, et ne devrait pas coûter énormément cher non plus. Un attrait touristique pour le quartier et un phare qui pourrait être un lègue pour 2017. Le Belvedere du Pont pourrait être financé par un ou plusieurs employeurs du secteur (Molson, Épicerie Métro, La Cordée, Macdonald Tobacco, les syndicats...). Le design de la structure (du discret à l'audacieux) restera à déterminer. Au sujet d'un nouveau belvédère (avec ascenseur) prés du pont Jacques-Cartier, quels concepts verriez-vous quant aux emplacements possibles autour de la rue Sainte-Catherine (entre l'Épicerie Métro et la rue de Lorimier)? Quelques images Pour voir des images et des exemples d’ailleurs, vous pouvez consultez ce fil: Etes-vous pour la construction d'un ascenseur pour le pont Jacques-Cartier? Par exemple, il y a quelques images dans le post #85 dans ce lien. http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/19747-Etes-vous-pour-la-construction-d-un-ascenseur-pour-le-pont-Jacques-Cartier?p=180518#post180518 Vos découvertes (images ou exemples d’ailleurs) sont les bienvenues aussi!
  5. Le 215 Redfern à Westmount est un nouveau projet de condos modernes de 6 étages comprenant 65 grands appar-tements luxueux qui seront érigés sur un site où s'élève actuellement un immeuble à bureaux en voie de démolition. Ce nouvel édifice de prestige, situé dans le quartier convoité de Westmount, sera construit sur une rue résidentielle tranquille dans un emplacement exceptionnel. Il est à quelques pas de l'avenue Greene, de boutiques, de restaurants, de cinémas et du métro. Avec une vue imprenable sur le fleuve, le mont Royal et les parcs avoisinants de Westmount, il s'agit du meilleur endroit pour vous sentir comme chez-soi. Vous devez absolument jeter un coup d'œil au 215 Redfern. http://215redfern.com/accueil.php
  6. MONTRÉAL, ENFANT PAUVRE DES GRANDES VILLES CANADIENNES http://plus.lapresse.ca/screens/dce21a65-1e37-4a60-bfc5-7893e0ab27ef%7C_0.html Dans Journal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/867671/montreal-performante/ sent via Tapatalk
  7. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/859468/une-nouvelle-promenade-urbaine-proposee-pour-atwater/ 18/10/2015 Mise à jour : 18 octobre 2015 | 23:05 Une nouvelle promenade urbaine proposée pour Atwater Par Jeff Yates Métro Le projet prévoit la création d’une promenade urbaine partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Collaboration spéciale Une promenade urbaine donnant sur une grande esplanade, voilà une des idées mises de l’avant par la proposition de réaménagement du pôle Atwater retenue hier dans le cadre de l’incubateur urbain de l’arrondissement du Sud-Ouest. La proposition gagnante prévoit le retrait du terre-plein central ainsi que de deux voies de circulation sur l’avenue Atwater pour créer une promenade urbaine, partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Selon Bryan Marchand, un des trois architectes de l’équipe qui a conçu la proposition gagnante, le flux de la circulation ne sera pas affecté, puisque l’avenue Atwater dispose présentement de trois voies de circulation de part et d’autre du terre-plein, mais le tunnel, lui, ne comporte que deux voies de circulation dans chaque direction. La promenade aboutirait sur une grande esplanade aménagée autour du marché Atwater, entre la rue Notre-Dame et le canal de Lachine, marquée avec un pavage distinctif. «L’idée rappelle la grande place des villes européennes du Moyen-Âge et de la Renaissance», soutient M. Marchand. Une patinoire sur le canal de Lachine est aussi proposée, accompagnée d’un chalet qui permettrait d’enfiler ses patins. «L’idée est lancée depuis longtemps, mais ça ne se fait pas. Pourtant, ça serait tellement simple à faire, juge M. Marchand. On a toutes les infrastructures nécessaires. Ce qui manque, c’est le chalet.» La sélection s’est faite au terme de trois jours de peaufinage des propositions des cinq équipes, rehaussée par la participation d’une centaine de citoyens venus donner leur avis à la caserne 23 dans Saint-Henri, et de quelque 500 personnes en ligne. Un jury a alors choisi la proposition retenue. Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, était visiblement satisfait de la démarche, entreprise de concert avec l’organisme MTL ville en mouvement. «Ce n’est pas facile de faire changer la recette, la façon de faire des travaux publics, a-t-il lancé en marge de l’annonce. On a voulu challenger nos équipes, et c’est pour ça que ça bouge.» Pour mener à bien le projet de réaménagement, le maire reconnaît que l’arrondissement devra coopérer avec la ville-centre, qui gère les artères principales comme l’avenue Atwater, et avec Parcs Canada, propriétaire du canal, mais il reste optimiste. «Je ne prévois pas de difficultés majeures, on travaille déjà avec eux», estime-t-il. Processus La proposition d’aménagement sera finalisée, et une version définitive sera présentée au printemps prochain, dans le cadre d’une «diffusion immersive» à la Société des arts technologiques. • La proposition sera ensuite intégrée dans un plan d’urbanisme soumis à la ville-centre. • Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, promet que certains aspects de la proposition pourront être mis en place à «court et moyen terme».
  8. http://www.citylab.com/politics/2015/10/in-the-montreal-area-82-municipalities-begin-to-think-and-act-as-one/409489/?utm_source=SFFB sent via Tapatalk
  9. http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/849828/hotel-dieu-une-super-clinique-et-un-pole-sante/ sent via Tapatalk
  10. http://www.lesaffaires.com/blogues/joanie-fontaine/metro-copropriete-moins-chere/581959?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_content=28-09-2015&utm_campaign=metro-coproopriete Êtes-vous de ceux qui cherchent à acheter une copropriété abordable à moins de 15 minutes de marche d’une station? Les prix peuvent varier énormément d’un endroit à l’autre, d’où l’importance de bien se renseigner. De plus, certains quartiers ont changé d’aspect à la suite d’un boom de construction et l’offre de propriétés y est maintenant fort différente. La carte suivante vous permet de voir le prix médian des copropriétés, vendues en 2014, situées à moins de 1,5 km de route d'une station de métro. Le prix médian n’a pu être calculé pour l’ensemble des stations, puisque certaines comptaient trop peu de ventes de copropriétés. Les transactions colligées par JLR comprennent toutes les ventes enregistrées au Registre foncier (par l’entremise d’un courtier et entre particuliers). Les constructions neuves sont également incluses dans les prix présentés. (voir carte en plein écran) sent via Tapatalk
  11. Cela faisait 37 ans que la magnifique église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End avait perdu deux de ses statues extérieures, dû à leur dégradation avancée. Ces deux œuvres sont maintenant restaurées! J'ai pris quelques photos aujourd'hui (18 juin 2015): En espérant que la prochaine restauration ne prenne pas 4 décennies! Montréal souffre souvent d'un déficit d'entretien de son beau patrimoine. Pour plus de renseignement sur cette restauration, voici un lien vers un article du Journal Métro: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/794384/patrimoine-religieux-redonner-vie-aux-anges-du-mile-end/
  12. http://journalmetro.com/actualites/montreal/759841/une-oeuvre-suspendue-de-janet-echelman-a-la-place-emilie-gamelin/ Une oeuvre suspendue de Janet Echelman à la place Émilie-Gamelin Par Audrey Neveu Métro DenverGracieuseté Studio EchelmanPrevious photoNext photo EXCLUSIF logoL’oeuvre «1.26» de l’artiste américaine de renommée internationale Janet Echelman surplombera la nouvelle place Émilie-Gamelin réaménagée, a appris Métro. Cette sculpture suspendue sera dévoilée au cours de l’inauguration le 7 mai prochain et y sera exposée jusqu’au 4 octobre. Le titre de l’oeuvre s’inspire du tremblement de terre du Chili en 2010, lors duquel le temps aurait été comprimé de 1,26 secondes en raison de la redistribution de la masse de la Terre. Pour Janet Echelman, artiste accomplie et professeure à l’Université Harvard, ce chiffre symbolise la connexion entre les individus, peu importe où ils se trouvent sur la planète. «La sculpture prend une signification différente dans chaque ville, selon le contexte urbain, a confié Janet Echelman à Métro. Elle bouge dans le vent, à la manière d’une chorégraphie. Elle change tout le temps, comme une relation.» «1.26» a notamment été exposée à Denver, à Amsterdam et à Singapour. La structure suspendue, d’une quarantaine de mètres de largeur et de hauteur, est faite en fibres Spectra®, extrêmement légères et entrelacées en filet. Sa forme étoilée toute en couleurs sera illuminée la nuit tombée. Elle sera arrimée aux bâtiments de l’UQAM et de la Place Dupuis. «C’est assez extraordinaire. On espère que l’œuvre va susciter la curiosité, qu’elle fera se déplacer les gens, qui viendront l’admirer et voir les activités aux Jardins Gamelin», explique Pascale Daigle, directrice de la programmation au Partenariat du Quartier des spectacles. 15 La fibre Spectra® utilisée pour fabriquer l’œuvre suspendue est 15 fois plus solide que l’acier en proportion de son poids. La venue de cette œuvre unique marquera en grand le réaménagement de la place Émilie-Gamelin, rebaptisée Jardins Gamelin pour l’été. «Ça s’inscrit dans une logique de réappropriation citoyenne. On voulait créer un rythme différent, un rendez-vous permanent où les gens se réuniront sans se poser de questions», fait valoir Pascale Daigle. Le Partenariat du Quartier des spectacles a fait appel à l’organisme à but non lucratif Pépinière & Co., également à l’origine du Village éphémère. Un resto-bar, une terrasse permanente, des jardins avec plantations et maintes activités citoyennes viendront revitaliser la place publique. Janet Echelman sera d’ailleurs présente à l’inauguration des Jardins Gamelin. «Montréal est une ville tellement dynamique, vivante et cosmopolite, je suis très excitée de participer au renouvèlement de cet espace public», dit-elle.
  13. http://montrealgazette.com/news/local-news/montreal-re-imagined/montreal-reimagined-cityscape-is-more-than-only-a-view The Montreal Re-Imagined section is presented by Concordia University Concordia University Montreal Reimagined: Cityscape is more than only a view MONTREAL, QUE.: April 02, 2015 -- Logo staff mugshot / headshot of Luca Barone in Montreal Thursday April 02, 2015. LUCA BARONE, SPECIAL TO MONTREAL GAZETTE Until I graduated, my daily hike up to McGill’s Faculty of Law on the corner of Peel St. and Dr. Penfield Ave. began at the corner of de Maisonneuve Blvd. W., where I would emerge into daylight from the métro station. Ascending into the world from the underground takes a little readjusting: you look around to get your bearings, check the weather, and let your eyes readjust to the sunlight. I was never afforded much to look at until I began walking north up Peel and glimpsed the mountain. The east-west view along de Maisonneuve is disappointing. Look left or right and the view is the same: dark towers pockmarked with windows rise up on the horizon. When a building obstructs a view down a street and becomes the focal point of what you see, it is known as a terminated vista. They can be a blessing and a curse. They also can help create a sense of destination and diversity in a city and can be manipulated to highlight significant landmarks. The view of McGill’s campus against the backdrop of Mount Royal from McGill College Ave. is one of Montreal’s iconic landscapes. Looking south down St. Urbain St., the view of the Art Deco waterfall of the Aldred Building on Place d’Armes is another example of a successful blocked view that beckons rather than repulses, as is the view of the dome of the Hôtel-Dieu looking north along Ste-Famille. These landmarks create a sense of place and they are symbols of our city. But look south down Parc Ave. toward Place du Parc (the Air Transat building) and the view is hardly inspiring. When the view down a street ends in a blank tower, the terminated vista does not help create a more livable city. Not every building should be monumental or iconic, but any urban building should make you want to walk toward it rather than avert your eyes. Downtown towers should be built because they have many virtues, from proximity to public transit to the lower environmental effect of higher population density, but we should not ignore how these buildings relate to their surroundings. Uniformity should not be the goal, either: a building should not have to look exactly like its neighbours, but it should complement them. Without exaggerating the importance of the look and shape of buildings, Montrealers deserve more than what we’re getting from urban planners, architects and real estate developers. We should trudge out of the métro and be delighted by what we see. In a city full of talented architects, much of the blame for uninspired buildings lies with real estate developers who don’t hire local talent, and city councillors and urban planners who give construction permits without paying sufficient attention to buildings’ visual impact. The Louis-Bohème building on the corner of Bleury and de Maisonneuve is an example of a building that succeeds on many levels. Its apartments make the best use of the land by increasing the density of residents in the area. It also has underground parking and shops at ground level, from where you can also access the Place-des-Arts métro station. In many ways, the building represents exactly the kind of development Montreal needs. But it fails as an element of the urban landscape. When you see it rising above Parc or de Maisonneuve, the view of its charcoal concrete panels leaves you unmoved at best and intimidated at worst. In a city that suffers from interminable winters exacerbated by short days and little sunlight, buildings clad in light-absorbing, dark materials are not merely ugly — they should be considered a public health concern. One way to improve urban design would be to develop a sustainable local architecture that is responsive to our climate. Initiatives like the Quartier des Spectacles’ Luminothérapie winter light installations are a great start, but the city should take a more active role in promoting architecture that makes long winters more bearable. For example, Edmonton has issued specific winter design guidelines that promote architectural features that block wind, maximize sunlight, and enliven the cityscape as part of its “WinterCity Strategy.” It is not easy for a building to enrich its surroundings while responding to the demands of a city and its inhabitants, the climate and the economy. But our buildings speak eloquently about who we are and what we value. We have to live with them for decades, if not centuries. It’s worth getting them right sent via Tapatalk
  14. Faire du vélo dans les tunnels de métro abandonnés de Londres ... why not !? http://www.slate.fr/story/97679/velo-tunnels-metro
  15. Peut-être que certains d'entre vous ont remarqué que le 2020 University se faisait "retaper" un peu! Changement de fenêtre jusqu'à maintenant, mais mes sources à l'IA (les proprios) m'ont dit qu'il y aurait de plus gros changements à venir. Ils voudraient fermer la galerie marchande au niveau du Métro McGill. La terrasse serait complètement refaite. La base donnant sur Maisonneuve serait complètement transformée (vitrée, je crois), s'ouvrant à la rue et accueillant de nouveaux commerces. Voilà les changements, jusqu'à maintenant : Avant (vitres noires) - Après (vitres blanches)
  16. https://medium.com/@transitapp/the-mini-villages-of-montreal-s-metro-6900e158b2a The metro is the backbone of Montreal. Besides New York City and Mexico City, Montreal’s annual ridership is higher than every other subway system in North America. It’s a feel-good story if you’re from Montreal. But there are lots of big cities in North America. Why has the STM — Montreal’s transit authority — been so successful in getting us to ride the metro? One big reason: Montreal’s metro stations are incredibly well-integrated within the city’s densest neighbourhoods. Would you take the metro if it took you an hour to get there? Probably not. That’s why when urban planners design transit systems, they try to optimize transit station walksheds: the area around a transit station accessible by foot. Just because your grandpa walked seven miles to school (uphill both ways) doesn’t mean you should. Having a metro station within walking distance makes it more likely that you’ll actually use public transit, and not have to rely on a car. This visualization shows the population that lives within walking distance of each Montreal rail station: Montreal rail station walksheds’ population within 800m of stations. The sizes of the circles and the numbers inside them correspond to the population in 1,000 people (24 = 24,000). How does your station compare? In other words, if you were to shout really loudly outside most metro stations, there are lots of people who will hear you. There are thousands — and often tens of thousands — of people living within 800 metres of Montreal’s rail stations. And this is in a city with almost no skyscrapers! To create this graphic, we found the number of people in Montreal who live within 800 metres of the nearest rail station, which represents a 10 minute walk for a fully-grown human with average-sized legs. The Côte-Sainte-Catherine station has the most people living in its walkshed (about 28,000 people), followed by the Mont-Royal and Guy-Concordia stations (about 26,000 each). Mont Royal metro on the left (26,000 people), Montmorency on the right (6,000 people). Where would you rather live? Funnily enough, the metro station with the most foot traffic (Berri-UQAM) actually has less people living around it than the areas around the adjacent Beaudry, St. Laurent, and Sherbrooke stations. This is because many people going through Berri-UQAM don’t actually live there — they’re just stopping to transfer between the Orange, Green, and Yellow lines. Tweet at us!On the whole though, areas around metro stations are much more densethan the rest of Montreal: the population density within metro walksheds is more than 10,000 people/km², while population density outside of them is a mere 3,700 people/km². By giving Montrealers cheap, rapid, and reliable access to the rest of the city, metro stations encourage people to live nearby. But when people can’t live near stations (due to zoning or other reasons) you don’t see as much development, and neighbourhoods become much more car-reliant and “suburbified”. Consider Montreal’s AMT stations, which generally don’t have as many people living nearby as metro stations. AMT stations are often next to highways and surrounded by a sea of parking, while others are smack-dab in the middle of nowhere. The lack of dense housing nearby is one reason that the ridership numbers for the AMT (80,000 daily trips) pale in comparison to the mammoth numbers of the STM Metro (1,250,000 daily trips). When people live further away from stations, they have to rely on feeder buses or park-and-ride’s. To avoid that inconvenience, many people simply choose to use cars instead of taking public transit. Altogether, we’re proud that Montreal’s car cravings are comparatively light. When stacked up against similarly-sized North American cities, our public transit mode share is very high. Take a look: Originally posted by transit planner extraordinaire Jarret Walker on humantransit.orgLargely because of our city’s metro, over 20% of Montrealers take public transit to work, which is more than double the share in the metropolitan areas of San Francisco, Washington DC, and Seattle. Still, we can do better. In the STM’s Strategic Plan for 2020, one of the primary goals is to reduce the share of car trips from 48% of total trips down to 41%. To make up the difference, they hope to encourage more Montrealers to take public transit. There are many ways to acccomplish this goal: congestion pricing or better parking policies to discourage driving, increased service to boost transit’s convenience, and real-time customer information (iBUS anyone?). In particular, our walkshed graph shows that denser development should be an important part of the STM’s toolkit — notwithstanding the usual political hurdles. Our team at Transit App is also doing its part to make public transit more convenient in Montreal, and in many other cities around the world. From our Mile End office, our team is giving millions of people the flexibility and reliability of a car — without the burdens of actually owning one. Find out how we can help make your transit experience better: You can download Transit App for free on iPhoneand Android
  17. Photographer Chris Forsyth on the Montreal Metro, Going Underground, and Overlooked Architecture Montreal-based photographer Chris Forsyth doesn’t see his city the way others do — that much is evident from his body of work, which includes rooftop photos of the Montreal skyline, nocturnal shots taken from the arm of a crane and now, images from the underground. The Montreal Metro Project is Forsyth’s latest series, documenting the often overlooked architecture of the urban subway since October 2014. Composed of 68 stations, each designed by a different architect between the 60s and 70s, the Montreal Metro system is as diverse and idiosyncratic as the city it underpins. Forsyth captures the stations empty of passengers, highlighting their architecture and reframing them in a manner rarely experienced. ArchDaily spoke to Forsyth about the series and the creative process behind it. Read his responses and view selected images from The Montreal Metro project after the break. Is there a reason for capturing these usually crowded urban environments without people? I often avoid having people in my photos for a few reasons. Firstly, due to the nature of my photos, the length of the exposure rarely works with people. When shooting with shutter speeds around 1 second, you either have to get lucky and hope people stand still enough, or avoid people all together. But people do make spaces much more interesting in certain situations. They offer a sense of scale that’s necessary for certain images, and unnecessary for others. Secondly, photographing on private property, I have to be conscious of others. I’m not allowed to photograph STM employees strictly, and out of general consideration, I avoid photographing people to avoid disruption. What message about this overlooked architecture do you hope to convey through the Montreal Metro Project? I hope to show that beautiful architecture and design is accessible and present in all spaces (with exceptions of course). In the metros, even the tiling of each station and the spacing of the signage was meticulously considered. The color of the trains, which were at one point supposed to be red, the city’s color, went through much debate too. I just want to show how beautiful it can be if you take the time to really look at the stations. Just take a moment to walk around and look every once in a while. How much is your perception of a city altered by experiencing it from underground? My sense of space and distance is drastically altered when taking the metro. I can hop on the metro in one neighborhood, travel the distance of 5 stations in a matter of minutes, and find myself disoriented at another station in a completely different part of the city. When traveling underground in dark tunnels, you lose a sense of time and distance. It’s not like driving at street level where you can connect A to B by streets and landmarks. When you’re underground, you only have the design of stations to tell you where you are. For how long has this project been ongoing, and what sparked your initial interest in metro stations? The project has been ongoing for about 6 months now. Taking the metro every day for several years now, I developed an obsession of sorts. I found the story behind the system interesting, from the planning and construction, to the reason behind why the metros ride on rubber tires as opposed to steel wheels. The more I learn about it, the more I’m intrigued. Not to mention, during the winter it’s a great place to hide from the cold and find inspiration. Is there any other “overlooked” architecture that you hope to explore in the future? I just love architecture, design, and urban spaces. I’m interested in photographing everything from the interiors of factories, to the architecture of holdout buildings as well as more commonplace architecture of course. The Montreal Metro Project can be viewed here.
  18. Article de Radio-Canada: La station de métro Beaubien fermée du 4 mai au 30 août Mise à jour le mercredi 4 mars 2015 à 21 h 33 HNE La Société de transport de Montréal (STM) annonce que des travaux de réfection majeurs entraîneront la fermeture de la station de métro Beaubien pendant quatre mois, du 4 mai au 30 août prochains. Les travaux se poursuivront après la réouverture de la station, jusqu'en janvier 2016. Les travaux, qui coûteront 3,6 millions de dollars et seront financés aux trois quarts par le ministère des Transports du Québec, seront réalisés par la firme Groupe Axino. Pour le président du conseil d'administration de la STM, Philippe Schnobb, cette longue fermeture est nécessaire. « Ce sont des stations qui ont été construites dans le réseau initial, donc elles ont 50 ans, a-t-il expliqué à Radio-Canada. Et il y a, à certains égards, des choses qu'on doit faire et c'est plus pratique pour nous de fermer la station. On peut faire les travaux plus rapidement. » Les travaux touchent de nombreuses structures de l'édicule et de la station, dont les dalles structurales de l'édicule, le puits de ventilation naturelle, l'éclairage, les marches de granite, les dalles et panneaux muraux des quais ainsi que l'environnement immédiat de la station. Selon M. Schnobb, sans une fermeture complète, de tels changements pourraient prendre plusieurs années. Pour pallier cette fermeture, des navettes d'autobus effectueront le trajet entre la station Beaubien et les stations Jean-Talon et Rosemont. Leur fréquence sera de 2 à 6 minutes en heure de pointe et de 10 minutes maximum le reste du temps, pendant les heures normales d'ouverture du métro. Ce n'est pas la première fois que la STM ferme complètement une station. Mais Beaubien est plus achalandée que les récents exemples de Jolicoeur, Côte-Sainte-Catherine ou Charlevoix. Pour ce qui est de l'aspect extérieur du métro, des consultations doivent encore avoir lieu avec la mairie d'arrondissement. Selon le cabinet du maire de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau, ces travaux ne sont pas incompatibles avec l'annonce récente d'un réaménagement complet des alentours de la station Beaubien pour y créer, entre autres, une place publique. La station de métro Beaubien a ouvert ses portes en octobre 1966. Elle accueille 3,6 millions d'utilisateurs par année, selon des statistiques fournies par la STM. Avec la collaboration de René Saint-Louis
  19. Vaste plan d'aménagement pour le grand Montréal La Communauté métropolitaine de Montréal a dévoilé jeudi la première version de son premier Plan d'aménagement et de développement JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 28 avril 2011 19:55 La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a présenté, jeudi, son projet de Plan d’aménagement et de développement (PMAD). Ce projet, qui sera soumis à la consultation publique à l’automne, vise à densifier la région métropolitaine, à mettre en place un réseau métropolitain de transport performant et à développer un réseau récréotouristique. Le premier PMAD doit être adopté au plus tard le 31 décembre, en vertu de la loi. La CMM prévoit qu’il faudra deux ans à ses membres pour conformer leurs schémas d’aménagement régionaux aux critères du PMAD. Elle se donne ensuite jusqu’en 2031 pour réaliser tous les objectifs de son plan. Selon les évaluations de la CMM, 320 000 nouveaux ménages s’établiront à Montréal, Laval, Longueuil, dans la couronne Nord ou dans la couronne Sud d’ici 20 ans. Puisque ces territoires sont déjà relativement denses, la CMM se donne comme objectif de «canaliser 40% de la croissance future à proximité des points d'accès aux réseaux de transport en commun en favorisant la réalisation de quartiers de type TOD (Transit-Oriented Development)». Les quartiers de type TOD s’articulent autour des stations de transport en commun (train, métro, service rapide par bus) et favorisent les transports actifs, sans toutefois exclure l’automobile. Ils pourront se greffer aux projets de transports qui attendent la région, dont le prolongement du métro vers l’est et la mise en place d’un système léger sur rail (SLR) sur le nouveau pont Champlain. Au chapitre de l’environnement, la CMM «propose de mettre en place un réseau récréotouristique qui s'appuie sur les atouts naturels et culturels de la région». Elle rappelle que la région «dispose d'un riche patrimoine naturel et bâti ainsi que de paysages emblématiques qui méritent d'être mieux protégés et mis en valeur dans une approche intégrée». http://www.journalmetro.com/linfo/article/845598--vaste-plan-d-amenagement-pour-le-grand-montreal
  20. Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 25 novembre 2007 à 6:00 Soyez le premier à commenter cet article Vue aérienne de la phase 1 du projet résidentiel Urbania occupant à l'angle Du Souvenir et Le Corbusier une superficie de 265 000 pieds carrés. Aux trois immeubles de 5 étages bordant Le Corbusier s'en ajouteront six autres, soit deux de 8, 10 et de 11 étages (Photo: Martin Alarie) Fichier: Urbania Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency Groupe Le Versant Immobilier nourrit de grandes ambitions pour le développement domiciliaire avoisinant la station terminale Montmorency. Selon une demande de changement de zonage adressée à la Ville, le promoteur immobilier entend presque doubler la densité résidentielle qui avait été initialement projetée pour Urbania, alors que les unités d'habitation passeraient de 312 à 580. Inauguré en grandes pompes à l'automne 2003, le complexe de copropriétés prévoyait à l'origine un ensemble de 9 immeubles de 4 à 5 étages. Actuellement, trois immeubles de 5 étages bordent le boulevard Le Corbusier au sud de du Souvenir, le dernier immeuble de 40 unités ayant été mis en chantier il y a 18 mois. Tours de 11 étages D'après les plans déposés au comité exécutif, on construirait deux nouvelles tours d'habitation de 8 étages, deux tours de 10 étages et deux autres de 11 étages. Au total, ce sont 31 étages additionnels qui s'élèveraient dans le ciel d'un centre-ville en devenir. Ce projet d'implantation révisé n'est pas sans rappeler le changement de vocation auquel se destinait Urbania, il y a deux ans. On parlait à l'époque de la possibilité d'ériger trois tours de 11 et 12 étages destinées aux personnes âgées. Une perspective qui avait alors heurté quelques copropriétaires du bâtiment donnant à l'intersection des boulevards Le Corbusier et du Souvenir. Ceux-ci déploraient le fait que leur immeuble se trouverait plongé dans l'ombre d'une tour et que l'horizon prendrait soudain l'allure d'un mur bétonné à une distance d'à peine cent pieds de leur propriété. «Ce n'est pas l'environnement, ni la qualité de vie que proposait le concept original lorsque j'ai acheté», avait protesté l'un d'eux au Courrier Laval. Pour une toute autre raison, le projet ne s'est jamais concrétisé. Changement de zonage Revenons-en à la demande de modification de zonage qui était à l'ordre du jour, jeudi soir, de l'assemblée de consultation publique tenue à l'hôtel de ville. Si le zonage en vigueur autorise les habitations multifamiliales d'au moins 4 étages, et ce, sans limite de hauteur, «cette augmentation de la densité vient toutefois rendre le projet dérogatoire à certaines normes, dont les rapports des espaces libres, viables et récréatifs», précise le directeur du Service de l'urbanisme dans une récente communication adressée au comité exécutif. D'où la présente démarche pour rendre le projet conforme au zonage en matière de cases de stationnement et de superficie des dépôts à déchets. La Ville a beau se montrer favorable à l'idée de réduire le nombre minimal de cases requis à 1,25 case par logement, elle s'objecte, par contre, à la réduction de la superficie des dépôts à déchets. Densification L'administration Vaillancourt est clairement en faveur de la densification de ce secteur desservi par une station de métro, un important terminus d'autobus de même que par un ensemble d'activités commerciales et publiques. «Une telle augmentation de la densité répond, de façon avantageuse, aux objectifs des nouveaux concepts de planification urbaine du Transit Oriented Development (TOD) apparentés au nouvel urbanisme et au Smart Growth aux États-Unis et en Europe», soutient-on au Service de l'urbanisme. Ces concepts visent à densifier les développements autour des pôles de transport en commun, réduisant d'autant la dépendance des résidants à l'automobile. Lors de l'assemblée consultative, jeudi, le projet de règlement concernant certaines dispositions en matière d'implantation, de stationnement, d'aménagement des espaces extérieurs et de gestion des matières récupérables est passé comme une lettre à la poste.
  21. Description Situé en plein cœur de Montréal, ce projet résidentiel à l’architecture moderne comprend 24 unités de type 3 ½, 4½ et 5½, d’une superficie variant de 580 à 1 112 pi2, offertes à un prix abordable. Alliant le modernisme à un style de vie urbain, le projet Blü Condos permet un raffinement sans compromis au coin de Jean Talon et d'Iberville devant la station de métro et à proximité de plusieurs services. Plafond de 9 pieds, Ascenseur, Terrasse privée et commune (avec végétation) sur le toit... Ouverture prochaine du pavillon des ventes au coin de la rue Bélanger et de la 1ère Avenue. Inscrivez-vous sur notre liste VIP et profitez des prix de lancement de projet Plus d'information à la page: http://www.blucondos.ca
  22. Un petit projet de MONDEV en à quelques blocs de chez moi. Le bâtiment visible sur StreetView est déjà démoli. [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/?ll=45.524297,-73.587161&spn=0.003146,0.004823&t=m&z=18&layer=c&cbll=45.524297,-73.587161&panoid=g7pZWBNgC916QuyYX3m6-g&cbp=12,54.77,,0,-10.91[/sTREETVIEW] http://www.mondev.ca/129-condo-henri-julien-condo-plateau-mont-royal.html
  23. Seriez-vous capable d'identifier une ville par son réseau de métro? Testez vos connaissances: http://www.washingtonpost.com/blogs/wonkblog/wp/2015/01/16/quiz-can-you-name-these-cities-just-by-looking-at-their-subway-maps/?Post+generic=%3Ftid%3Dsm_twitter_washingtonpost --- J'ai eu un pas pire 8/10
  24. C'est vraiment triste! Dans le journal Métro : R.I.P. Prince-Arthur Selon Eco-compteur, plus de 40 000 personnes déambulent quotidiennement sur la rue Prince-Arthur malgré son déclin. Marc-André Carignan La rue Prince-Arthur était «aux soins palliatifs» depuis déjà plusieurs années, et sa santé économique se dégradait à vue d’œil. Mais là, c’est vrai: elle a rendu l’âme ces derniers mois dans un silence presque absolu. Sur la portion piétonnisée entre Saint-Laurent et le carré Saint-Louis, le paysage est plus morose que jamais dans cette rue qui a jadis fait la réputation de Montréal, avec ses terrasses, ses artistes et ses formules Apportez votre vin. Les restaurateurs, principaux piliers de l’activité économique du secteur depuis les années 1980, n’auront malheureusement jamais réussi à se renouveler face à la compétition de plus en plus féroce sur l’île. Si on ajoute à cela des hausses marquées des coûts d’exploitation et des taxes foncières sur le Plateau, l’inévitable devait arriver un jour ou l’autre. Les locaux commerciaux vacants se succèdent désormais dans cette rue (le taux d’inoccupation dépasse les 30%), tout comme les graffitis qui pullulent sur les édifices désertés. La neige est à peine déblayée, et plusieurs portes et fenêtres sont placardées. Le coût mensuel de certains locaux délaissés aurait même diminué de 50% à 60% au cours des cinq dernières années, selon des commerçants que j’ai questionnés à ce sujet. Ironiquement, Prince-Arthur possède toujours un certain charme malgré sa déconfiture. Sa configuration à l’échelle humaine s’avère très attractive, et sa localisation entre le métro Sherbrooke et la Main rend ce lien pédestre quasi indispensable pour les piétons et les cyclistes. Plus de 40 000 personnes y circulent quotidiennement, un chiffre plutôt impressionnant pour une artère «cliniquement morte». Son potentiel de réaménagement est donc énorme, et les élus de l’arrondissement le savent très bien. «Vous m’auriez parlé de Prince-Arthur il y a huit mois, j’aurais été très découragée, me confiait récemment la conseillère du district Jeanne-Mance, Christine Gosselin. Mais là, on voit un renouveau. Une association marchande volontaire a été créée, de nouveaux bâtiments sont en chantier ou le seront bientôt. Et puis quelques commerces ont ouvert leurs portes. Ça devrait amener un second souffle.» L’arrondissement planche également sur divers scénarios pour dynamiser les environs, notamment durant la période estivale. «On tente de développer un projet de danse à ciel ouvert, de guinguette où les citoyens pourraient socialiser, poursuit-elle. L’idée d’un marché de fruits et légumes ou d’antiquités a également été évoquée.» Propositions intéressantes, certes, mais on devra aller beaucoup plus loin. Ce qu’il faut avant tout pour Prince-Arthur (et plusieurs autres artères sur l’île), c’est un véritable plan de match pour le développement commercial. Un plan qui forcerait l’administration Coderre à réévaluer le fardeau fiscal imposé aux commerçants, à épurer les couches bureaucratiques qui nuisent à l’épanouissement des artères (pour installer de simples lumières de Noël, par exemple!) et à élaborer des stratégies pour limiter la spéculation immobilière. Un remède de cheval, quoi. Plus d’un local commercial sur trois est vacant sur la rue Prince-Arthur Les graffitis pullulent plus que jamais sur la rue piétonne
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