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  1. Al's, Impact et CH au 7e ciel (CKAC)– Mine de rien, la ville de Montréal vit une année 2008 absolument superbe sur le plan sportif. Avec le centenaire du Canadien, le retour en force des Alouettes et les prouesses de l'Impact en Ligue des Champions, les amateurs de sports en ont plein la vue. Le CH vise la Coupe Avec l'addition d'Alex Tanguay, Robert Lang et de Georges Laraque, le Canadien s'avère, sur papier, une meilleure équipe que celle qui avait terminé la saison dernière au premier rang de la conférence de l'Est. Les Chris Higgins, Mike Komisarek et Carey Price de cette équipe débarquent au camp avec une année de plus d'expérience sous la cravate. Alex Kovalev, Saku Koivu et Alex Tanguay ont tous intérêt à donner le maximum d'eux-mêmes puisqu'ils deviennent tous joueurs autonomes l'été prochain. Pour la première fois depuis les années '80, les partisans ont l'assurance que l'équipe ne vise rien de moins que la coupe Stanley. Le message du président Pierre Boivin a été bien clair lors du tournoi de golf de l'équipe il y a un mois. «Nous voulons que les partisans sachent que nous ne sommes plus en période de reconstruction, il est temps pour nous de passer à une autre étape, celle de tenter de gagner la coupe.» Le Canadien célèbre en même temps le centenaire de son équipe avec une multitude de cérémonies et de célébrations entourant cet anniversaire spécial. Les mordus du Canadien n'en sauront plus où donner de la tête. Les Alouettes de retour au sommet Avec l'embauche de Mark Trestman, les Alouettes ont finalement retrouvé leur aplomb et la crédibilité qu'ils avaient bâtie depuis leur retour à Montréal. Trestman a amené avec lui son bagage de la NFL et a instauré la discipline qui était disparue depuis que Jim Popp était en poste. Même Brian Chiu, qui est avec l'équipe depuis des années, n'en revenait pas. «Je ne me suis jamais entraîné aussi fort durant les entraînements de l'équipe.» Anthony Calvillo est redevenu le quart-arrière étoile que l'on connaissait lors de la conquête de la Coupe Grey en 2002. Calvillo montre un pourcentage de passes complétées de 67.1%, ayant déjà accumulé 3608 verges cette saison. Le porteur de ballon Avon Cobourn était en lice pour le titre de joueur le plus utile à son équipe lors qu'il a été victime d'une blessure à la cheville. Il se dirigeait vers une saison de plus de 1000 verges au sol et 1000 verges par la voie des airs, du jamais vu dans la Ligue canadienne. Les Alouettes trônent au sommet de la division Est de la LCF et sont déjà assurées d'une place en série et d'un match à domicile au Stade olympique. Avec une victoire cette fin de semaine face aux Tiger-Cats ou une défaite des Blue Bombers, l'équipe s'assurerait du championnat de la division et d'une semaine de congé lors de la première ronde des séries. Comme par hasard, le retour en force de l'équipe coïncide avec le fait que les Alouettes seront l'hôte de la Coupe Grey cette année. Le plan de match de Larry Smith se déroule exactement comme il l'espérait. L'équipe devrait pouvoir bénéficier de quelques matchs sans signification au mois d'octobre pour donner congé à certains joueurs blessés. L'équipe devrait donc faire son entrée dans les séries avec une équipe en santé. Avec un peu de chance, les Alouettes remporteront leur premier match des séries au Stade olympique et seront propulsés directement à la Coupe Grey. L'Impact sur la scène internationale Non seulement l'Impact a envahi la ville de Montréal cet été, mais l'équipe s'est aussi finalement fait un nom sur la scène internationale. Pour la première fois de l'histoire, le tournoi de la Ligue des Champions avait sa tranche nord-américaine et l'Impact a trouvé le moyen de remporter le championnat canadien pour représenter le pays sur la scène mondiale. C'est lorsqu'on aperçoit le nom Impact de Montréal dans la même liste que ceux du Juventus, Manchester United, AC Milan, Barcelone et Marseille, lorsqu'on consulte les résultats de matchs sur le site internet de ESPN que l'on se rend compte de l'ampleur des exploits de l'équipe. L'Impact est au sommet de son groupe avec 7 points et se retrouve en bonne posture pour accéder à la ronde éliminatoire de la Ligue des Champions qui aura lieu au mois de février. En même temps, l'équipe n'a pas abandonné l'idée de remporter le championnat de la USL. Les guerriers de John Limniatis se donnent cœur et âme soir après soir malgré les nombreux longs voyages de l'équipe. Plusieurs experts prédisaient un effondrement de l'Impact au mois de septembre dû à la fatigue extrême, mais Limniatis et sa troupe trouvent toujours le moyen de jouer des matchs solides. Avec une victoire dans la série aller-retour face aux White Caps de Vancouver, l'Impact se retrouverait en grande finale. Les amateurs de soccer de Montréal ont aussi eu droit à 2 autres premières à Montréal. Premièrement, l'arrivée d'un tout nouveau Stade de soccer; le Stade Saputo. Un Stade de 13 000 places, construit uniquement pour le soccer, qui pourrait se transformer en stade de 20 000 si l'équipe fait le saut en MLS…Une autre bonne nouvelle qui pourrait être confirmée aux partisans d'ici la fin de l'année 2008. Par ailleurs, Montréal a été l'hôte de deux matchs de qualification de la Coupe du monde de soccer : le premier impliquait l'équipe nationale canadienne et l'équipe de St-Vincent et les Grenadines, l'autre opposait nos Canadiens au Honduras. En tout et partout, sur le plan sportif, les partisans pourront dire que les équipes montréalaises auront trouvé le moyen de voler la vedette cette année, surtout si on se compare à Toronto. Comparez rapidement les équipes de Toronto versus celle de Montréal…Canadiens-Maple Leafs, Alouettes-Argonauts, Impact-FC Toronto… Ok Ok, vous pouvez arrêter de rire maintenant. Jeremy Filosa / CKAC
  2. M. Bush a averti que «cela prendrait du temps» avant que les effets du plan se fassent sentir, lors d'une allocution dans les jardins de la Maison Blanche. Pour en lire plus...
  3. La banque Suisse pourrait encore sortir le couperet dans leurs services de banque d’investissement, revenus fixes et marchés financiers lors de leur assemblée des actionnaires qui se tiendra demain. Pour en lire plus...
  4. Publié le 25 septembre 2008 à 08h15 | Mis à jour le 25 septembre 2008 à 08h18 La Fondation David Suzuki s'implante à Montréal François Cardinal La Presse Curieusement absente du Québec depuis sa naissance il y a déjà 18 ans, la Fondation David Suzuki annoncera aujourd'hui qu'elle comble cette lacune en inaugurant sa toute première antenne locale, a appris La Presse. Bien que l'organisation ait crû à un rythme impressionnant au cours des années grâce à la notoriété de son fondateur, le scientifique David Suzuki, il aura fallu qu'un tout nouveau dirigeant francophile en prenne la barre pour que le Québec se retrouve soudainement dans l'écran radar. Nommé au début de l'année, Peter Robinson a en effet placé tout en haut de ses priorités l'implantation de son organisme dans la province. Il a en quelque sorte appliqué la même recette éprouvée lors de son passage à la direction de Mountain Equipment Coop, qui compte grâce à lui deux magasins dans la région (un troisième s'ajoutera bientôt). «C'était une priorité d'avoir une présence formelle au Québec. D'abord parce que l'environnement est au sommet des préoccupations des Québécois. Ensuite parce que la Fondation ne peut se dire nationale tant qu'elle n'est pas implantée au Québec», a-t-il indiqué lors d'une entrevue qui s'est déroulée uniquement en français. Le directeur du bureau québécois est Karel Mayrand, un environnementaliste bien connu qui était jusqu'à récemment directeur d'Unisféra, un centre d'expertise sur le développement durable, et de Planétair, un programme de crédits de compensation de carbone. M. Mayrand aura un titre différent de celui des autres directeurs provinciaux de la Fondation, qui ont leur bureau à Vancouver, au quartier général de l'organisation. Il aura ainsi une plus grande marge de manoeuvre pour implanter des programmes propres au Québec, par exemple, ou mettre sur pied un site internet complètement distinct. «Nous avons adopté le modèle de Mountain Equipment Coop, qui fait sa force au Québec», précise le nouveau directeur. Pourquoi un nouveau groupe au Québec alors que la province en compte déjà beaucoup? «Car chacun a sa spécificité, précise Karel Mayrand. On veut ajouter plus de poids scientifique, faire le lien entre l'environnement, la science et l'éducation. On veut aussi ajouter des ressources en recherche, en communication et en diffusion des solutions.» «Il ne faut pas oublier que les groupes ne sont pas en concurrence, mais bien en partenariat», a renchéri Peter Robinson.
  5. L'information a été dévoilée par le grand patron de la compagnie d'assurance, Dominic D'Alessandro, lors d'une conférence tenue à l'intention d'investisseurs à Toronto lundi matin. Pour en lire plus...
  6. Publié le 27 septembre 2008 à 20h42 | Mis à jour le 27 septembre 2008 à 20h45 Le PLQ veut faire reconnaître la spécificité du Québec Alexandre Robillard La Presse Canadienne Lévis Le fruit constitutionnel n'est pas mûr, mais les libéraux provinciaux ont adopté, samedi, une résolution qui a tout l'air d'une demande de reconnaissance de la nation québécoise dans la constitution du Canada. Lors de leur conseil général, les militants se sont prononcés en faveur de la reconnaissance constitutionnelle de la spécificité québécoise, qui s'apparente au concept de nation québécoise, a indiqué le ministre des Affaires intergouvernementales canadiennes, Benoit Pelletier. Selon M. Pelletier, la spécificité québécoise est fondée sur la langue, la culture, les institutions, le droit civil ainsi qu'un mode de vie qui est particulier au Québécois. «Plusieurs vont reconnaître dans tout ça les caractéristiques d'une nation au sens sociologique ou politique, a-t-il déclaré lors d'un point de presse. (...) Cette spécificité rejoint pleinement le caractère national du Québec.» M. Pelletier s'est bien défendu de vouloir imposer une terminologie puisque le contexte économique actuel ne se prête pas à des négociations constitutionnelles sur ce sujet. Il a, en d'autres termes, répété sa formule consacrée que «le fruit n'est pas mûr». Il a toutefois affirmé que la reconnaissance de la spécificité était un objectif auquel son gouvernement est attaché, «même si ce n'est pas pour demain». Actuellement, seule une motion du parlement fédéral sanctionne cette reconnaissance. Cette proposition sur la spécificité fait partie d'une résolution-cadre sur l'identité et le fédéralisme qui a été l'objet de discussions, samedi, au conseil général du Parti libéral du Québec, et dont le gouvernement pourra s'inspirer dans l'élaboration de ses politiques. Durant les échanges, les militants libéraux ont rejeté une proposition visant à augmenter les amendes des commerçants qui ne se conforment pas à la Charte de la langue française après un avertissement, préférant réclamer des visites régulières dans les commerces. Après deux séries de reportages ayant démontré, au cours des derniers mois, que la place du français n'était pas toujours respectée dans les commerces du centre-ville Montréal, ils ont refusé, samedi, un amendement visant à limiter ces visites aux établissements dont la taille et les activités le justifient. «Si on veut faire avancer le français, il faut le faire avancer partout, pas seulement dans les grandes entreprises», a dit le militant Kim Leclerc, dans la salle d'un centre de congrès où les résolutions ont été débattues. Toujours dans le dossier de la protection de la langue française, les libéraux ont décidé qu'un critère de qualité de la langue parlée devrait être ajouté par le gouvernement fédéral concernant le renouvellement ou l'octroi des licences de radiodiffusion et de télécommunications pour le Québec. «On veut que nos Québécois parlent un bon français, a dit Jean Beaudoin. Je pense que c'est une bonne orientation de faire en sorte que le gouvernement fédéral, quand il octroie des licences, s'assure que la langue française au Québec soit mieux respectée.» Ces demandes ont été complétées par l'adoption d'une résolution sur diverses mesures pour que la population maîtrise les deux langues, dont un programme d'anglais intensif en sixième année du primaire. Les libéraux ont réclamé des mesures pour imposer le bilinguisme au niveau fédéral, pour les postes d'ambassadeurs et de sous-ministre, et afin que les juges à la Cour suprême maîtrisent le français. Ils ont voté en faveur de mesures d'intégration des immigrants au marché du travail, dont la création d'un poste de commissaire qui veillera à leur garantir un accès équitable de la part des ordres professionnels. Au chapitre de la santé, ils ont voté en faveur du remboursement des traitements de fecondation in vitro pour les couples infertiles, dont le coût annuel devrait se situer entre 15 et 30 millions $. Cette deuxième journée de travaux s'est déroulée dans une atmosphère studieuse. Outre l'identité et le fédéralisme, il a aussi été question d'éducation et d'occupation du territoire. Ce dernier thème devrait d'ailleurs être abordé dimanche par le premier ministre Jean Charest, lors d'un discours de clôture. M. Charest caresse le projet d'ouvrir le nord du Québec au développement.
  7. Les convulsions des marchés financiers pourraient contraindre les détaillants à baisser leurs prix lors de la saison des achats de fin d'année. Pour en lire plus...
  8. Le détaillant a déclaré hier un bénéfice net de 1,5 M$ pour son deuxième trimestre, en baisse comparativement à celui de 2,1 M$ réalisé lors de la période équivalente. Pour en lire plus...
  9. Les agents de bord syndiqués d'Air Canada (TSX:AC.B) espèrent qu'un arbitre fédéral décidera, d'ici quelques jours, d'obliger leur employeur à leur accorder des indemnités de départ lors des mises à pied de cet automne, annoncées plus tôt cette année. Pour en lire plus...
  10. L'offensive pub de la multinationale a porté fruit: la croissance mondiale par magasins comparables a grimpé de 8,5% en août dernier. Pour en lire plus...
  11. Lors de ses 18 années passées à sa tête, l'ex-dirigeant a transformé la petite caisse d'épargne de Seattle en l'un des plus gros établissements du pays. Pour en lire plus...
  12. Les travailleurs de l'industrie automobile canadienne ont élu leur nouveau président. Ken Lewenza, qui succède à Buzz Hargrove en tant que président du syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile (TCA), a été élu unanimement samedi matin, lors d'une assemblée extraordinaire tenue à Toronto. Pour en lire plus...
  13. Ken Lewenza a été élu à la tête des TCA lors d'une assemblée extraordinaire à Toronto. Pour en lire plus...
  14. La compagnie aérienne taiwanaise a perdu plus d'argent que jamais lors des six premiers mois de l'année, en raison des prix du carburant. Pour en lire plus...
  15. Les actions sont dans l'ensemble «plus attrayantes» aujourd'hui qu'il y a un an, a affirmé M. Buffett lors d'une interview accordée à la chaîne financière CNBC. Pour en lire plus...
  16. Selon lui, la preuve comptable qui sera présentée lors du procès au criminel a déjà été jugée lors du procès pénal de Vincent Lacroix. Pour en lire plus...
  17. Les gains de productivité ont légèrement ralenti au deuxième trimestre à 2,2%, contre 2,6% lors des trois premiers mois de l'année. Pour en lire plus...
  18. La société montréalaise perd 7,9 M$ alors que ses revenus et ses marges se sont comprimés lors du trimestre. Pour en lire plus...
  19. Pour le bilinguisme intégral à 12 ans Antoine Robitaille Édition du samedi 02 et du dimanche 03 août 2008 Les jeunes libéraux proposent également de tripler les droits de scolarité Sherbrooke -- Hausser les droits de scolarité au niveau de la moyenne canadienne, ce qui représenterait un effort d'environ 4000 $ de plus par année par étudiant, telle est l'une des résolutions phares dont les jeunes libéraux vont discuter aujourd'hui à Sherbrooke, lors de leur 26e congrès annuel, afin de changer «des modèles québécois». Plusieurs des 11 autres résolutions rédigées par l'exécutif (les régions en ont proposé 26), après une tournée de quelque 20 villes, risquent de provoquer d'âpres débats au sein et à l'extérieur du PLQ, notamment la proposition d'instaurer un programme obligatoire d'immersion en 6e année afin que tout Québécois devienne bilingue à 12 ans, celle de privilégier une hausse des tarifs d'Hydro-Québec à toute hausse de taxes, la diminution des taux d'imposition des entreprises, la promotion de l'exportation de l'eau «afin que les Québécois puissent commencer à s'enrichir grâce à leur or bleu», ainsi que l'adoption du principe du «consentement présumé» pour les greffes d'organes. Quelque 800 à 900 jeunes âgés de 16 à 25 ans s'étaient inscrits au congrès hier. Rafraîchir le syndicalisme Leur cahier de résolutions, dont le thème est «Le Québec, un travail d'équipe», est un document empreint d'une vive inquiétude à l'égard des tendances démographiques du Québec, lesquelles le feront passer «d'une société de travailleurs à une société de retraités». Aussi, comme Le Devoir le révélait hier, les membres de la CJ proposent des façons de «rafraîchir» les institutions syndicales. Ils ont entre autres jugé bon de ramener leur proposition (déjà battue au congrès des membres en mars à Québec) d'imposer des votes secrets «par les travailleurs concernés lors des processus de grève ou d'accréditation syndicale». Selon les jeunes de la CJ, il est «primordial que l'action syndicale représente en tout temps les intérêts et les préoccupations des travailleurs syndiqués». Le président de la CJ, François Beaudry, a soutenu que le principe du vote secret est «incontournable» en démocratie et que, par conséquent, personne ne devrait s'y opposer dans le monde syndical. À la Fédération des travailleurs du Québec, on déplorait hier ce positionnement. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, a soutenu, lors d'un entretien téléphonique, que les votes secrets pour l'accréditation avaient entraîné, là où ils ont été adoptés, une baisse radicale du taux de syndicalisation (actuellement à 40 % au Québec), notamment parce qu'ils ont pour «effet pervers» de reporter souvent indéfiniment la décision de se syndiquer ou non. Au reste, M. Arsenault s'est plaint que les jeunes libéraux aient refusé de recevoir un représentant du comité jeune de la FTQ, Dominique Lemieux. Ce dernier avait proposé de venir faire une présentation devant les membres jeunes, laquelle aurait été suivie d'une période de questions. Interrogé à ce sujet, François Beaudry a confirmé avoir bien reçu une proposition de la FTQ. Mais selon lui elle est venue trop tard. De plus, la CJ, a-t-il insisté, ne reçoit habituellement aucun conférencier extérieur, qu'il soit représentant du patronat ou des syndicats. «J'ai vu une annonce contre les PPP sur l'autoroute 40; je n'ai pas été consulté non plus pour savoir si j'étais pour ou contre», a-t-il rétorqué. Il s'est toutefois dit disposé à rencontrer M. Lemieux «une prochaine fois». Impôt post-universitaire Quant à l'augmentation radicale des droits de scolarité, François Beaudry insiste sur le fait qu'elle s'accompagnerait de l'adoption d'un «impôt post-universitaire» (IPU), une formule selon laquelle on étudie maintenant et on paie plus tard, mais en proportion avec le salaire décroché. Et si un diplômé ne réussit pas à se trouver de l'emploi? «Il ne paie pas, c'est tout», a répondu M. Beaudry. L'idée d'un IPU a aussi circulé au sein du Parti québécois et avait même été évoquée l'an dernier comme solution au problème de financement des universités par le député de Gouin et ancien leader étudiant Nicolas Girard. En 2005, alors que les droits de scolarité étaient «gelés», les jeunes libéraux, réunis à Sherbrooke, avaient appuyé massivement une résolution prônant un «dégel responsable». M. Charest avait trouvé l'idée intéressante et en avait par la suite fait une proposition électorale lors du scrutin de 2007. Le dégel a été appliqué en septembre 2007. Au reste, François Beaudry a fait une sortie virulente contre le manque «d'imputabilité» qui a mené à ce qu'il est convenu d'appeler «le fiasco immobilier de l'UQAM», un «dérapage» qui s'est pourtant produit sous les libéraux. Tous bilingues à 12 ans La Commission jeunesse débattra aussi aujourd'hui de l'opportunité d'implanter un «véritable système d'apprentissage de la langue anglaise en sixième année du primaire», lequel comprendrait, pour tous les élèves «de la province», «un programme intensif en anglais d'une demi-année scolaire». Même si le français demeure la langue de «première importance», l'anglais est un atout dans la mondialisation actuelle, ont-il argué. Le jour de son arrivée à la tête de la CJ, l'an dernier, M. Beaudry avait provoqué une petite commotion lorsqu'il avait déclaré: «On est une province bilingue, qui va de plus en plus vers trilingue, quadrilingue. Donc, je pense que c'est important de parler autant en anglais qu'en français, deux langues qui sont égales, qui sont reconnues au Québec.» Il avait rectifié le tir le lendemain après avoir essuyé des critiques acerbes de la part du chef adéquiste Mario Dumont et de la chef péquiste Pauline Marois: «Le français est la langue officielle du Québec et n'est pas à égalité avec l'anglais; il n'y a aucun doute dans mon esprit.» Combien coûterait un programme d'immersion obligatoire? Pour l'instant, le responsable de cette question au congrès, Julien Gagnon, dit n'en avoir aucune idée. Il s'agit pour la CJ de proposer une «grande orientation»: «Un changement de modèle, c'est donner de nouvelles orientations, de nouveaux objectifs.» À l'entrée d'un caucus des élus libéraux qui avait lieu en marge de l'ouverture du congrès, le chef libéral Jean Charest a dit qu'il prêterait une grande attention à ce que les jeunes de son parti proposeraient. Mais il a ajouté que, lorsqu'on est jeune, «on est toujours plus pressé».
  20. Le fabricant d'équipement de réseau perd 113 M$ ou 23 cents par action lors de la période qui s'est terminée le 30 juin. Pour en lire plus...
  21. La compagnie a fait savoir que ses profits ont chuté de 23% au deuxième trimestre en raison d'octroi d'options d'achat d'actions et après que les gains réalisés lors de la ventes d'actifs un an plus tôt eurent gonflé les résultats. Pour en lire plus...
  22. Aux États-Unis et au Canada, les ventes des scooters ont grimpé lors de la première partie de l’année 2008. Pour en lire plus...
  23. Le propriétaire de YouTube, Google, s'entend avec Viacom pour cacher l'identité de ses usagers lors du procès qui les oppose. Viacom réclame un milliard de dollars à Google pour atteinte à ses droits d'auteur. Pour en lire plus...
  24. Ces résultats ont été bien accueillis en Bourse, l'action prenait 0,50% lors des échanges électroniques après la clôture, à 20,81 $. Pour en lire plus...
  25. «Nous traversons une période dure, mais notre économie croît», a dit M. Bush lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche. Pour en lire plus...
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