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  1. Il s'agit du rythme le plus lent enregistré depuis plus de deux ans et demi - qui était alors de 4,9% -, indique Statistique Canada. Pour en lire plus...
  2. En avril, au pays, les prix des logements neufs ont augmenté au rythme le plus lent depuis plus de 30 mois. Les prix de vente des entrepreneurs ont augmenté de 5,2% entre avril 2007 et avril 2008. Pour en lire plus...
  3. Le taux d'inoccupation moyen des immeubles du secteur privé de trois logements et plus s'établissait à 2,5% dans les centres urbains du Québec ce printemps. Pour en lire plus...
  4. Le prix de la maison individuelle et le vieillissement de la population feront des logements collectifs des choix plus prisés, selon la SCHL. Pour en lire plus...
  5. La croissance annuelle des prix a ralenti pour s'établir à 6,1% en mars dernier au Canada. Pour en lire plus...
  6. Boom immobilier dans le Sud-Ouest Le mercredi 5 mars 2008 Danielle Bonneau La Presse L'arrondissement du Sud-Ouest sort de sa torpeur. Ses quartiers sont parmi les plus pauvres de Montréal: Saint-Henri, Petite-Bourgogne, Pointe-Saint-Charles, Ville-Émard, Côte-Saint-Paul et Griffintown. Mais le vent tourne. Ce qui joue en sa faveur? La proximité du centre-ville et du Vieux-Montréal, de même que le canal de Lachine, qui le traverse. La fermeture de nombreuses usines y a laissé de grands terrains vacants et d'anciens bâtiments industriels. De nouvelles entreprises y élisent toutefois domicile et plusieurs sont reconvertis en immeubles en copropriété. Le potentiel est énorme. Le Portail du canal > 5524-5530, rue Saint-Patrick > 184 condos (en tout) > Première phase: 120 unités > 72 condos vendus > Superficie: de 433 à 1230 pieds carrés > Prix: de 96 900$ à 300 000$ > La construction devrait débuter sous peu > Emménagement prévu: janvier 2009 > Promoteur: Les Développements Harcon Les deux bâtiments seront construits sur un terrain vague, dont le zonage a été modifié pour permettre la construction d'un projet principalement résidentiel. Situé aux abords du canal de Lachine et de la piste cyclable, il abritera quelques commerces au rez-de-chaussée. Nul besoin d'y aménager une salle de conditionnement physique ou une piscine: les futurs copropriétaires pourront se rendre à pied au centre récréatif Gadbois, de l'autre côté du canal. Pour faciliter l'accès à la propriété, le promoteur offre son propre programme de crédit d'achat abordable. Les conditions de financement ressemblent à celles offertes par la Société d'habitation et de développement de Montréal, dans le cadre de son programme Accès Condos. La seconde phase du projet comprendra 64 condos. L'arrondissement du Sud-Ouest a effectué un exercice de réflexion, il y a cinq ans, pour tirer le meilleur parti du terrain, qui appartenait à la Ville de Montréal. Longeant le canal de Lachine, celui-ci est bordé par le chemin de la Côte-Saint-Paul et la rue Saint-Ambroise. Résultat: trois projets très différents, répondant à des besoins variés, y ont été menés simultanément. La résidence Côte-Saint-Paul s'inscrit ainsi dans l'Opération Solidarité 5000 logements de la Ville de Montréal. À côté, la construction du complexe l'Héritage du canal va bon train. Viennent aussi d'être construits les condos du complexe Zone C, bâtis dans le cadre du programme Accès Condos. Les premiers copropriétaires ont emménagé à la mi-janvier. Près d'une vingtaine d'appartements sont encore disponibles. La phase II du projet Zone C, qui comprendra aussi 72 unités, est en préparation. Résidence Côte-Saint-Paul > 5400, chemin de la Côte-Saint-Paul > 138 logements à coûts abordables, pour personnes âgées à revenus modestes > 92 des logements > Loyer: à compter de 900$ par mois, pour un logement avec une chambre (chauffage, électricité, téléphone, câble, cinq repas par semaine, inclus) > Emménagement prévu: mi-avril 2008 > Plus de 80 logements disponibles > Constructeur: Construction Gesmonde > Promoteur: Office municipal d'habitation de Montréal (OMHM) À proximité du canal de Lachine, l'immeuble de six étages conçu par l'Atelier Chaloub+Beaulieu Architectes se démarque. Brique rouge, verre et métal rappellent le passé industriel du secteur. «Cela ne coûte pas nécessairement plus cher de construire un bel immeuble, souligne Fabien Cournoyer, directeur général de l'Office municipal d'habitation de Montréal. Cela prend un peu plus de recherche.» La salle communautaire et la salle à manger seront au rez-de-chaussée, doté de nombreuses fenêtres. Aux étages supérieurs, les locataires auront une vue sur le canal. L'Héritage du Canal > 5380, chemin de la Côte-Saint-Paul > 24 condos > Prix: de 129 900$ à 226 900$ > Superficie: de 600 à 1205 pieds carrés > Emménagement prévu: automne 2008 > Constructeur: Excellence Construction Zone C (programme Accès Condos) > 5170, rue Saint-Ambroise, apt. 4 > 72 condos > À partir de 203 000$ (stationnement et taxes inclus) > Constructeur: Les Habitations Siena/ Excellence Construction > Promoteur: Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) Loft Impérial / Phase IV > 735, rue Bourget > 52 lofts urbains > Mise en vente: au printemps > Superficie: de 500 à 800 pieds carrés > Prix: de 139 000$ à 240 000$ > Occupation prévue: printemps 2009 > Promoteur: Groupe Prével La reconversion des anciennes usines d'Imperial Tobacco, amorcée en 2006, se poursuivra au cours des trois ou quatre prochaines années. En tout, sept anciens bâtiments industriels seront métamorphosés et un nouvel immeuble sera construit. Ils comprendront à terme environ 500 condos. Le promoteur construit aussi actuellement un bâtiment de 60 logements communautaires, rue Bourget, pour la coopérative Manoir Bourget. La rénovation de deux bâtiments (phases II et III du projet), rue Rose-de-Lima, avance rondement. Les logements devraient être prêts respectivement l'été et l'automne prochains. Le promoteur prépare maintenant la transformation d'un quatrième édifice. Les condos seront encore une fois de taille réduite, avec de hauts plafonds de béton. Et leurs prix seront abordables pour les jeunes couples et les célibataires. Les copropriétaires habitant dans les quatre premiers immeubles rénovés pourront se donner rendez-vous sur la terrasse qui sera aménagée sur le toit du troisième bâtiment. Il y aura une piscine, un barbecue et un foyer, de même qu'un chalet urbain, avec une table de billard, une petite cuisine et un salon. Un autre chalet urbain sera construit probablement sur le toit de la phase VI, à l'intention des copropriétaires des phases V, VI, VII et VIII. Le Saint-Philippe > 644, rue Saint-Philippe (au coin de la rue Saint-Jacques) > 32 appartements en copropriété > Superficie: de 610 à 1050 pieds carrés > Prix: de 117 000$ à 199 000$ > La construction devrait débuter ce mois-ci > Emménagement prévu: novembre ou décembre 2008 > Promoteurs: Mondev Construction et Excellence Construction Un ancien bâtiment industriel sera démoli ce mois-ci pour faire place à l'édifice de trois étages. Les logements sont vendus à des prix abordables pour plaire à des jeunes couples et des célibataires qui songent à acheter leur première propriété. Le projet est situé tout près de la station de métro Saint-Henri. L'Ambiance du marché / Phase II > 2718, rue Notre-Dame Ouest, au coin de la rue Atwater > 23 appartements en copropriété répartis sur deux étages > 18 unités sont vendues > Superficie: de 800 à 1400 pieds carrés > Prix: de 189 900$ à 330 000$ > La construction vient de commencer > Emménagement prévu: novembre 2008 > Promoteur: Mondev Construction Le complexe immobilier de trois étages est construit sur un terrain vague, tout près du marché Atwater et de la station de métro Lionel-Groulx. Il y aura un commerce au rez-de-chaussée, fort probablement une pharmacie. Les appartements sont conçus comme des maisons en rangée. Sur le toit, devant leur unité, les copropriétaires auront un espace privé où ils pourront installer des chaises et un barbecue. Cet espace donnera sur une terrasse commune. Il y aura un ascenseur et un stationnement intérieur. Le Nordelec > 1751, rue Richardson > Plus de 1000 logements, répartis dans plusieurs bâtiments > Les travaux débuteront cet été > Promoteur: Groupe El-Ad (Canada) L'imposant édifice de huit étages, construit en 1904, est situé à proximité du canal de Lachine. Le bâtiment, qui abrite déjà un millier de travailleurs, conservera sa vocation commerciale. Environ 230 appartements en copropriété seront ajoutés, en prolongeant trois des quatre ailes de l'immeuble jusqu'à la rue Saint-Patrick. Si le marché le permet, les trois derniers étages pourraient être convertis en lofts. Environ 270 logements seraient ainsi créés. Le rez-de-chaussée, qui comprendra des commerces et des bureaux, sera entièrement réaménagé. La construction d'un stationnement intérieur, sous les nouveaux condos, permettra de libérer un terrain adjacent, qui sert actuellement de stationnement. Le promoteur a cédé le terrain à l'arrondissement et se chargera de le décontaminer. Environ 180 logements sociaux et communautaires, destinés à des familles et des personnes âgées, y seront construits. Au cours des prochaines années, le Groupe El-Ad (Canada) prévoit bâtir, à côté du Nordelec, six édifices de six et huit étages, qui comprendront 560 logements. De grandeurs variées, ils ne seront pas aussi haut de gamme que ceux de la première phase. Environ 15% d'entre eux seront abordables. Les Jardins Bourgeoys > Rues LeBer, Sainte-Madeleine et Bourgeoys > 108 appartements en copropriété > Prix: de 154 900$ à 199 900$ > 668 à 881 pieds carrés > Les condos viennent d'être mis en vente > Emménagement prévu: fin 2008 > Promoteur: Samcon Ce projet est le premier à voir le jour dans cet ancien secteur industriel appelé à être revitalisé. Un petit bâtiment vacant sera démoli pour faire place aux nouvelles habitations. Les condos seront aménagés dans des bâtiments en rangée de trois étages, qui formeront ultimement un U. À l'arrière, tous auront de grands balcons, qui donneront sur une vaste cour intérieure joliment aménagée. Le stationnement sera intérieur. Les copropriétaires à l'étage supérieur auront une vue sur le centre-ville. Les bâtiments de brique rouge seront dotés de nombreuses fenêtres. À proximité: le canal de Lachine et la station de métro Charlevoix. Lowney / Phase IV > 400, rue de l'Inspecteur > 110 condos urbains > 30 unités encore à vendre > Superficie: de 550 à 1000 pieds carrés > Prix: de 139 000$ à 275 000$ > La construction devrait débuter plus tard ce printemps > Occupation prévue: printemps 2009 > Promoteur: Groupe Prével Le Groupe Prével a été un des premiers à s'aventurer dans Griffintown. En 2003, lorsqu'il a acheté le terrain délimité par les rues William, de l'Inspecteur et Saint-Paul, à l'est de l'ancienne brasserie Dow, il faisait figure de pionnier. Deux anciens bâtiments industriels, où étaient jadis confectionnés les Cherry Blossom, ont été convertis en condos au cours des deux premières phases du projet. La construction d'un nouvel immeuble de 136 unités va maintenant bon train. Les premiers résidants devraient emménager en juillet. La métamorphose du quadrilatère sera complète avec l'ajout d'un quatrième édifice de brique rouge, dont la construction commencera dans quelques semaines. Pour demeurer abordables, les condos seront encore une fois de dimensions réduites. Comme dans les trois phases précédentes, la terrasse sur le toit deviendra un lieu de rencontre avec sa piscine, son bain tourbillon, son barbecue et son coin «feu de camp». Une formule qui plaît particulièrement aux jeunes. En tout, les quatre bâtiments comprendront 370 condos urbains. Une cour intérieure sera aménagée au centre. Le projet ne s'arrêtera pas là. Le promoteur a en effet acheté le stationnement en face, bordé par les rues de l'Inspecteur, Montfort, Notre-Dame et Saint-Paul. Environ 325 unités devraient y être proposés au cours des prochaines années, dans trois immeubles de quatre à 10 étages. Le cinquième édifice devrait être dans le même esprit architectural que ses prédécesseurs. Les logements de la cinquième phase devraient être mis en vente cet été. PROJETS À VENIR Anciens ateliers du CN (Alstom), à Pointe-Saint-Charles > Terrain bordé au nord par la rue LeBer, à l'ouest par les rues De Sébastopol et Bourgeoys, et encerclé au sud et à l'est par des voies ferrées. > Superficie: environ 85 000 mètres carrés (plus de 900 000 pieds carrés) > Nombre et types de logements: à déterminer > Il y aura aussi probablement des activités commerciales et industrielles C'est le calme plat dans l'ancienne gare de triage du CN, de même que dans les anciens bâtiments industriels situés à proximité, qui sont d'intérêt patrimonial. Le propriétaire du terrain veut donner une nouvelle vocation à l'endroit, mais aucun projet n'a encore été mis au point. Le promoteur devrait entamer un dialogue ce printemps avec les organismes du milieu et les citoyens, pour guider sa démarche. Ancien centre de tri de Postes Canada > Terrain bordé au nord par la rue Ottawa, au sud par le canal de Lachine, à l'est par la rue du Séminaire et à l'ouest par la rue Richmond. > Superficie: 96 634 mètres carrés (plus d'un million de pieds carrés). > Nombre et types de logements: à déterminer. > Il y a aura une grande variété d'habitations, de tous les prix. > Il y aura aussi probablement des bureaux, des commerces, des activités touristiques, culturelles et récréatives. > La riche histoire industrielle du secteur sera mise en valeur. > Propriétaire: Société immobilière du Canada (SIC). La Société immobilière du Canada se livre actuellement à un vaste exercice de consultation pour comprendre les besoins du quartier et les préoccupations des organismes locaux. Sa priorité: bâtir un consensus sur l'avenir des lieux, comme elle a réussi à le faire à Benny Farm. Pour ce faire, elle a mis sur pied un comité, qui s'est réuni pour la première fois le 11 décembre dernier. La société d'État fédérale a multiplié aussi les rencontres avec des centaines de personnes de tous les horizons afin de dégager sa vision. La première ébauche du plan directeur pour le réaménagement du site devrait être présentée au public en avril. Elle servira de base aux discussions futures. Il s'agit d'un des plus importants projets de l'organisme, dans tout le pays, affirme Gordon McIvor, vice-président de la SIC. «C'est le berceau de l'industrialisation du Canada, explique-t-il. C'est aussi le début du réaménagement du Nouveau Havre de Montréal, dit-il. Cinq autres propriétés seront achetées des autorités portuaires de Montréal et de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), au cours des prochaines années, à mesure que leurs baux viendront à échéance. Des terrains totalisant près de 5 millions de pieds carrés seront réaménagés sur les berges du canal de Lachine et autour, dans le secteur du Silo No 5, dans le port de Montréal, et dans la Cité du Havre, à côté d'Habitat 67!» Griffintown > Territoire bordé à l'est par l'autoroute Bonaventure, au sud par le canal de Lachine, au nord par la rue Ottawa et à l'ouest par la rue du Séminaire. > Superficie: environ 1 million de pieds carrés. > Environ 3860 logements sont prévus (65% de la superficie totale). > Il y a aura près de 900 logements sociaux et abordables. > Près de 900 logements locatifs pour personnes âgées. > Environ 500 logements pour étudiants. > Environ 1560 condos moyen et haut de gamme. > Création de rues piétonnières, bordées de restaurants et de boutiques. > Environ 18% de la superficie sera commerciale. > Préservation d'une vingtaine de bâtiments de valeur patrimoniale. > Construction d'édifices à bureaux. > Revalorisation du canal de Lachine et de ses berges. > On pourrait y trouver: une salle de spectacle, un hôtel, des salles de cinéma, une marina, des ateliers d'artistes, un musée ou un centre d'interprétation. > Promoteur: Devimco. > Une consultation publique sur le programme particulier d'urbanisme (PPU) du secteur Peel-Wellington est en cours actuellement, dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Devimco est prêt à investir 1,3 milliard de dollars dans la réalisation du projet. Ce dernier a beaucoup changé depuis son dévoilement, l'an dernier. La proportion commerciale a été réduite de moitié, tandis que le nombre de logements a plus que doublé. Et il continue d'évoluer. Pour maximiser ses chances de succès, le promoteur a rencontré de 30 à 40 organismes depuis juin dernier. Il a tenu compte de leurs commentaires pour revoir son concept. D'autres modifications seront apportées à la suite des consultations publiques. «Ce n'est pas le projet d'un seul promoteur», souligne Serge Goulet, coprésident de Devimco, qui entend engager de multiples équipes de consultants et confier la construction des immeubles à divers constructeurs, pour favoriser un bouillonnement d'idées. Après les consultations publiques, le projet progressera encore. À la demande de Devimco, des experts de divers milieux se pencheront sur la vocation du pôle culturel, patrimonial et récréotouristique qui sera créé. Le but: ne pas entrer en concurrence avec ce qui est déjà offert à Montréal. Proposer plutôt un projet inédit, inspiré de ce qui se fait de mieux dans le monde. Les deux premières phases pourraient débuter au printemps et à l'automne 2009.
  7. Montréal vend des actifs immobiliers 11 février 2008 - 11h18 La Presse Sébastien Rodrigue L'administration Tremblay-Zampino s'apprête à vendre ou à céder une cinquantaine d'immeubles par l'entremise de la Société d'habitation et de développement de Montréal. La SHDM prévoit notamment se départir de l'édifice Chaussegros-de-Léry, dont la valeur marchande dépasse les 100 M$, a appris La Presse. L'administration Tremblay-Zampino a donné son accord à un «plan stratégique» prévoyant la vente de ces immeubles. «Afin que la SHDM puisse s'autofinancer, elle doit rapidement développer, mettre en valeur et céder ses actifs», peut-on lire dans le document. Ce plan a été adopté à la suite de la fusion entre la SHDM et la Société de développement de Montréal en 2006. «Ce n'est pas notre rôle de détenir des immeubles, on est là pour faire du développement», explique le directeur général adjoint de la SHDM, Jean-François Bertrand. La SHDM possède une vingtaine d'immeubles commerciaux avec une valeur foncière d'environ 130 millions. La SHDM a ainsi récemment vendu à QUAM groupe conseils un immeuble de la rue William dans l'arrondissement de Ville-Marie. En vendant cet immeuble 1,2 million, la SHDM estime avoir réalisé un profit de 44 500$. La plupart des propriétés de la SHDM se trouvent dans le Vieux-Montréal. L'édifice Chaussegros-de-Léry est voisin de l'hôtel de ville. L'administration municipale occupe une vaste partie de cet immeuble construit au coût de 80 M$. Montréal paie un loyer annuel d'environ 10 millions de dollars. Le responsable de l'habitation au comité exécutif, Cosmo Maciocia, indique que la Ville souhaite conserver ces locaux et qu'elle est sur le point de renouveler son bail pour une longue période, ce qui augmentera la valeur de l'immeuble. La SHDM a d'ailleurs commandé une évaluation marchande avant de le mettre en vente. Immeubles résidentiels La société possède aussi de nombreux immeubles résidentiels dont la valeur foncière totalise un peu plus de 306 millions. Il s'agit pour la plupart d'habitations à prix abordables ou de chambres. Jusqu'à maintenant, sept immeubles à logements ont été vendus, mais la société ne prévoit pas faire de profits. Ces propriétés sont transférées aux organismes gestionnaires selon leur «capacité de payer». La SHDM s'était portée acquéreur de ces bâtiments dans les années 90 pour les rénover et les vendre aux organismes. «Cette opération aurait dû se faire dans les 10 premières années (...) Nous avons attendu que ce soit rentable avant de les remettre aux organismes», explique M.Bertrand. La SHDM a toutefois vendu deux immeubles résidentiels, rues Sussex et Lincoln, à un entrepreneur privé, Lieberman Realties, pour un peu plus de 10 M$ à la suite d'un appel de propositions. «Ces immeubles requièrent des coûts de rénovations importants (...) les organismes n'étaient pas capables de les acquérir», selon M.Bertrand. Les maisons de chambres connaîtront le même sort. Jusqu'à maintenant, la SHDM a vendu 55 unités et il en reste 242 dans 12 immeubles. La SHDM administre aussi des immeubles subventionnés par la Société canadienne d'habitation et de logement. Aucune discussion n'a toutefois été entreprise pour vendre ces quelque 2082 logements d'une valeur foncière d'environ 100 millions. Selon M.Maciocia, la SHDM doit réduire son parc immobilier parce que celui-ci nécessite des travaux estimé à 13 M$. «C'est une business, on ne veut pas perdre d'argent, on n'est pas là pour faire des profits exorbitants sur le dos de nos groupes, mais tout ce qu'on peut vendre à la réelle valeur marchande, on va le faire», précise M. Bertrand. Le plan de la SHDM vise a dégager des surplus budgétaires afin d'éliminer la contribution financière de la Ville de Montréal de 2,7 millions. La SHDM promet aussi de construire des immeubles pouvant rapporter 18 M$ en impôts fonciers. La SHDM administre déjà le programme Accès-Condo visant à mettre en marché des copropriétés à prix abordables. La SHDM souhaite mettre sur le marché près de 2500 condos et plus de 900 logements abordables en plus d'investir 93 millions pour des projets de revitalisation. La SHDM est notamment impliqué dans la réalisation du projet du Quartier des spectacles. La société collabore aussi avec la Société de transport de Montréal pour planifier le réaménagement des garages Saint-Denis et Frontenac. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080211/LAINFORMER/80211090/5891/LAINFORMER01
  8. PROJETS DOMICILIAIRES La SHDM fait rager les promoteurs avec Accès Condos Les quelque 400 logements du projet Square Cartier sur la rue Parthenais, à Montréal, bénéficie de la formule Accès Condos. Photo Robert Mailloux, La Presse, Le mercredi 16 janvier 2008 Simon Diotte (collaboration spéciale) La Presse Les promoteurs immobiliers de Montréal sont en colère. Ils accusent la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), une société parapublique de la Ville de Montréal, de leur livrer une concurrence déloyale dans la vente de condos. Selon eux, c'est aux promoteurs privés de répondre à la demande du marché immobilier, et non à la Ville. En 2005, la SHDM a lancé son programme Accès Condos avec comme objectif d'offrir des logements abordables aux premiers acheteurs. Dans les divers projets de la société paramunicipale, le prix des logements défie toute concurrence. En plus de profiter de logements abordables, les consommateurs bénéficient d'un crédit d'achat correspondant à 10% du prix de vente de leur unité, montant applicable à la mise de fonds. Résultat: ils n'ont besoin que de 1000$ pour acquérir un logement de la SHDM. La formule Accès Condos est un énorme succès: 583 condos ont été livrés par la SHDM en 2007 et 346 autres devraient l'être en 2008, dans divers projets un peu partout dans l'île de Montréal. Parmi les plus connus, notons la Biscuiterie Viau, 180 logements dans l'arrondissement d'Hochelaga-Maisonneuve, et Square Cartier, plus de 400 logements à côté de Télé-Québec, dans l'arrondissement de Ville-Marie. Ce succès fait des jaloux. Tous les promoteurs rejoints par La Presse ne cachent pas leur mécontentement face à la Ville et la SHDM. «Les promoteurs privés répondent très bien à la demande de logements neufs et abordables à Montréal. On ne comprend pas pourquoi la Ville vient nous couper l'herbe sous le pied», s'insurge Denis Robitaille, président de Conceptions Rachel-Julien, important promoteur de Montréal. L'architecte Jocelyn Duff, fondateur de Développements Mas (entreprise qu'il vient cependant de quitter), constate que la concurrence acharnée de la SHDM fait déjà des victimes. Les petits constructeurs quittent la ville pour la banlieue. «Le contexte est de moins en moins favorable pour la construction à Montréal. Tout le monde se bat pour développer les mêmes terrains, mais désormais, on doit faire face à la concurrence de la Ville elle-même», déplore cet architecte. Frédéric Deslongchamps, directeur du développement immobilier à la SHDM, se dit surpris des critiques des promoteurs privés. «À mon avis, la SHDM n'entre pas du tout en concurrence avec les promoteurs privés. Notre mission est de permettre aux locataires n'ayant pas amassé de mise de fonds d'accéder à la propriété. Ces gens-là ne pourraient pas de toute façon acheter dans un projet privé», dit-il en guise de défense. Au contraire, la SHDM consolide le développement immobilier à Montréal, affirme M. Deslongchamps. «Nos projets immobiliers sont structurants. Sans notre intervention, les secteurs comme celui de Square Cartier et de la Biscuiterie Viau n'auraient jamais été développés, car les risques étaient trop grands pour les promoteurs privés», soutient le directeur. Foutaise! répliquent les promoteurs privés. «La SHDM dit qu'elle investit dans des secteurs négligés de Montréal. Or, ça fait des années que les promoteurs privés s'activent dans Hochelaga-Maisonneuve, dans le Sud-Ouest ou ailleurs. Personne n'a attendu l'arrivée de la SHDM pour revitaliser ces quartiers», rétorque M. Robitaille. La façon de faire de la SHDM est également sévèrement critiquée. À proprement parler, la SHDM ne construit pas de condos. Elle achète la totalité des unités à un constructeur et elle s'occupe ensuite de leur vente. «Le constructeur privé qui s'associe à la SHDM ne prend donc aucun risque. Il n'a pas à se battre avec les autres promoteurs pour livrer le meilleur produit qui soit», critique le président de Conceptions Rachel-Julien. Les lofts de la Biscuiterie Viau. Illustration fournie par la SHDM Condos subventionnés? Un promoteur souhaitant garder l'anonymat ne comprend pas comment la SHDM arrive à vendre des condos à si bas prix. «Est-ce qu'elle calcule dans le prix de vente le salaire des fonctionnaires? J'ignore, mais elle vend ses condos à mon prix de revient! J'ai beau revoir mes calculs, chercher des moyens de couper dans les coûts, d'obtenir des gains de productivité, il m'est impossible d'accoter leurs prix», dit-il. En raison de cette concurrence, certains promoteurs privés remettent en question leurs projets. Frédéric Deslongchamps garantit que le programme Accès Condos ne bénéficie d'aucune subvention de la Ville. «Si les prix de la SHDM sont si bas, c'est que la société impose une marge de profit très mince à ses partenaires et ne dégage aucun profit sur la vente de ses unités», explique-t-il. Au lieu de concurrencer les entreprises privées, Jocelyn Duff, Denis Robitaille et le promoteur anonyme estiment que la Ville devrait se pencher sur les vrais problèmes qui affligent la métropole, dont l'exode des familles vers la banlieue. Selon eux, la SHDM construit des complexes résidentiels qui n'attirent que des célibataires et des couples sans enfant. «Qu'est-ce que la Ville fait pour retenir les familles?» demande l'un d'eux. Le responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, Cosmo Maciocia, appuie évidemment la SHDM et rejette les accusations de concurrence déloyale. «Nous avons l'obligation de retenir le maximum de gens à Montréal et la SHDM répond bien à cette mission. En ce qui a trait à l'aide aux familles, nous venons d'annoncer l'augmentation de la subvention pour l'accès à la propriété de 7500 à 10 000$ pour les ménages avec un enfant ou plus», a-t-il indiqué en entrevue téléphonique. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/6746-La-SHDM-fait-rager-les-promoteurs-avec-Acces-Condos.html
  9. TransGlobe achète 45 immeubles locatifs à Montréal 23 janvier 2008 - 06h22 La Presse Laurier Cloutier L'ontarienne TransGlobe entre en force au Québec par l'achat d'un seul coup de 45 immeubles locatifs dans la région de Montréal, dans l'arrondissement de Saint-Laurent et à Longueuil. En tout, plus de 1300 appartements aux loyers abordables. Le marché de Montréal est attrayant dans les immeubles locatifs, avec des rendements financiers qui s'annoncent prometteurs, explique à La Presse Affaires Anita Walicki, directrice régionale de TransGlobe Property Management Services depuis octobre dernier. TransGlobe vient sans doute de réaliser la plus importante transaction du secteur dans la région depuis l'acquisition en 2002 de 3450 logements, à L'Île-des-Soeurs et à Québec, par Boardwalk Equities, de Calgary. Anita Walicki ne peut cependant le confirmer, mais assure que TransGlobe garde les yeux ouverts pour une autre acquisition, une fois l'actuelle digérée. La directrice régionale ne veut pas, par ailleurs, préciser le prix payé au vendeur, l'entreprise Capreit, qui possède des immeubles locatifs dans plus de 50 villes nord-américaines. Les prix de location commencent à 550$, selon elle, dans les immeubles acquis qui sont en bonne condition, mais qui profiteront immédiatement d'un programme de rénovations de 5 millions de dollars. Les travaux porteront sur les parties communes des immeubles et sur un certain nombre d'appartements, de même que sur le remplacement des systèmes de chauffage et d'éclairage grâce à des solutions éconergétiques. Programme d'expansion TransGlobe est l'une des grandes sociétés de gestion immobilière qui connaissent une croissance rapide au Canada. L'entreprise a adopté un programme d'expansion au pays et, après son entrée au Québec, elle veut y investir davantage, assure-t-elle. Le portefeuille immobilier de TransGlobe comprend déjà 26 000 logements locatifs et plus de 5,2 millions de pieds carrés de locaux commerciaux. Les propriétés acquises dans l'arrondissement de Saint-Laurent et à Longueuil comprennent de petits immeubles locatifs bien entretenus et bien situés, selon le président de TransGlobe, Daniel Drimmer. Le marché du Québec offre une excellente plateforme de croissance, dit-il. La région de Montréal comprend 480 000 logements locatifs et constitue le plus gros marché de ce secteur au Canada, mais la demande demeure élevée, dit-il. À Longueuil, TransGlobe met la main sur des propriétés situées chemin Chambly, près du centre commercial Place Désormeaux. Les immeubles font partie des complexes Jardin sur le Parc et Complexe sur le Parc. Dans l'arrondissement de Saint-Laurent, les acquisitions portent surtout sur des propriétés situées boulevard Côte-Vertu et dans le secteur Bois Franc. Elles comprennent huit immeubles de trois à quatre étages, de même qu'une tour de 12 étages rue Laframboise. TransGlobe possède des immeubles industriels, commerciaux et résidentiels dans sept provinces canadiennes et assure qu'elle mise sur le service à la clientèle. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080123/LAINFORMER/801230912/5891/LAINFORMER01
  10. Québec annonce 410 millions $ pour la rénovation de logements sociaux Il y a 2 heures MONTREAL - Québec annonce un investissement de plus de 410 millions $ sur cinq ans pour rénover des logements sociaux, une nouvelle applaudie par les groupes de défense des locataires. Ces 410 millions $ d'ici 2012, ajoutés aux contributions du gouvernement fédéral et des municipalités, porteront à 1,2 milliard $ les montants investis pour la remise en état et la modernisation des logements sociaux. La ministre des Affaires municipales et vice-première ministre, Nathalie Normandeau, a donné le détail de cet investissement gouvernemental, mardi, dans un édifice de 313 logements sociaux du sud-ouest de Montréal. Il s'agit de la part des milliards de dollars annoncés par Québec pour l'entretien et le renouvellement des infrastructures qui sera réservée à l'habitation. Fait à noter, ces 410 millions $ ne serviront qu'à l'entretien des logements sociaux, à leur rénovation, non à la construction de nouvelles unités. Les listes d'attente pour ces logements ne seront donc pas allégées. "De toute l'histoire du gouvernement, jamais, depuis la construction de nos HLM au Québec, on a eu des sommes aussi importantes qui sont consacrées à la rénovation, à la modernisation", s'est vantée la ministre Normandeau. Il y a au Québec 65 000 logements en HLM, gérés par les offices d'habitation, et 8000 logements coopératifs et sans but lucratif qui seront potentiellement touchés par cette annonce. Ces données excluent les logements sous l'autorité du gouvernement fédéral. Quoi faire? Le parc d'Habitations à loyer modique (HLM) du Québec est âgé en moyenne de 28 ans - 37 ans dans le cas de l'édifice où la ministre a rencontré la presse. Les rénovations nécessaires sont donc nombreuses: toitures à remplacer après avoir été rafistolées au fil des ans, armoires de cuisine qui datent d'il y a 30 ans, salles de bain du même âge, portes et fenêtres à changer. Plusieurs appartements n'ont pas d'entrées pour la laveuse et la sécheuse, a noté M. Fabien Cournoyer, directeur général de l'Office municipal d'habitation de Montréal. Des immeubles à étages, qui hébergent des personnes âgées, n'ont qu'un seul ascenseur et pas de rampes dans les corridors, a-t-il ajouté. Dans certains cas, on pourra ajouter de l'air climatisé dans les salles communautaires, une denrée recherchée des personnes âgées durant les canicules, l'été. Réactions L'annonce de cet investissement a été applaudie par les groupes de défenses des locataires:eek: , pourtant habitués à protester contre l'insuffisance de fonds gouvernementaux dans ce domaine. Le Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) était même présent à la conférence de la ministre. "Ce que ça fait, c'est dire qu'on a un patrimoine collectif qu'on a bâti à travers les années et ce patrimoine-là, on prend les moyens de le garder. Ca, c'est une bonne nouvelle et une bonne nouvelle jusqu'à un certain point inespérée", s'est exclamé François Saillant, du FRAPRU. Le problème des listes d'attente pour un HLM ne sera toutefois pas amoindri pour autant. M. Saillant souligne que 24 000 ménages sont inscrits sur la liste d'attente pour un HLM à Montréal et 35 000 dans l'ensemble du Québec. A la Fédération des locataires d'habitations à loyer modique du Québec, le coordonnateur Robert Pilon se félicite du fait que concrètement, cela veuille dire que plutôt que 105 millions $ pour rénover ces logements en 2008, par exemple, cela sera 265 millions $.
  11. La Presse Canadienne 27/11/2007 La Ville de Montréal a présenté son plan d'action concernant la salubrité des logements. Cosmo Maciocia, responsable de l'habitation au comité exécutif, a indiqué que les propriétaires visés par cette opération ont intérêt à procéder aux travaux requis sans délai, car l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements sera faite de façon rigoureuse. Une équipe de huit personnes a été mise sur pied et elle verra à mener des inspections d'immeubles réputés insalubres et de veiller au suivi des constats d'infraction. L'équipe est déjà passée à l'action. Elle a réalisé ses premières inspections dans 200 logements situés dans les arrondissements de Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension et de Saint-Léonard. Son objectif est d'inspecter 3000 logements d'ici la fin de 2008, dans divers arrondissements. Si le propriétaire intimé refuse d'apporter les correctifs, le Règlement donne le pouvoir d'exécuter des travaux de remise en état des logements à sa place, à ses frais. Le plan d'action s'appuie sur un budget de 3 millions $ sur trois ans. Pour sa part, le regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) invite les arrondissements et la ministre québécoise des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, à emboîter le pas. André Trépanier, responsable du regroupement, a déclaré qu'en étant libérés des cas lourds, les arrondissements n'ont plus d'excuse pour assumer leurs responsabilités dans l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements.
  12. Vendredi 16 Novembre 2007 Des résidents et des représentants d'organismes de Côte-des-Neiges ont remis une pétition de 3845 noms aux instances de la Ville de Montréal hier matin. Les signataires demandent l'achat par la Ville du terrain de l'hippodrome et du même souffle le développement d'un projet résidentiel incluant 2500 logements sociaux. " Si nous mettons l'accent sur le logement social, c'est parce que les gens du quartier sont confrontés quotidiennement à l'insalubrité, aux loyers trop élevés et au manque d'espace. Dire qu'il n'y a pas assez de logements sociaux à Côte-des-Neiges, c'est comme dire qu'il fait froid en hiver ", explique Denyse Lacelle, coordonnatrice du Conseil communautaire de Côte-des-Neiges/ Snowdon.
  13. Presse Canadienne (PC) 31/10/2007 De toutes les grandes villes canadiennes, c'est à Montréal que les logements sont les plus abordables et à Toronto qu'ils le sont le moins. C'est ce que révèle la Société canadienne d'hypothèque et de logement qui a publié, aujourd'hui, un nouvel outil de mesure à cet effet, affublé du titre d'indicateur de «l'abordabilité» des logements locatifs. En contrepartie, la SCHL précise que le degré d'abordabilité augmente à Toronto et diminue à Montréal, tout comme à Calgary, où l'afflux de population crée une vive demande. L'indicateur de l'abordabilité n'est pas une simple comparaison du prix des logements d'une ville à l'autre mais bien une analyse dans laquelle sont inclus les revenus des ménages locataires d'une région donnée et ce qu'ils doivent gagner pour payer le loyer sans y consacrer plus de 30 pour cent de leur revenu. L'indicateur publié par la SCHL compare les marchés de Vancouver, Calgary, Toronto, Montréal et Halifax. En partant du plus abordable, Montréal vient donc en tête, suivi dans l'ordre par Halifax, Calgary, Vancouver et Toronto. L'expression «abordabilité», quant à elle, est une traduction directe de l'anglais «affordability» et, bien qu'elle soit utilisée depuis quelques années par de nombreuses agences gouvernementales et incluse dans le Grand dictionnaire terminologique en ligne de l'Office de la langue française, elle ne se retrouve dans aucun dictionnaire de la lange française, ni sur le dictionnaire en ligne de l'Académie française. Dossiers• Le site de la SCHL
  14. le 14 octobre 2007 L’Ordre des architectes du Québec décerne un Prix d’excellence en architecture à Brière Gilbert + Associés Architectes ainsi qu’à la Coopérative d’habitation Au-Pied-du-Courant pour la réalisation de logements sous le tablier du pont Jacques-Cartier. L’Ordre des architectes du Québec procédait jeudi à la remise du trophée d’un Prix d’excellence en architecture dans la catégorie des projets résidentiels de type «ensemble d’habitations» aux architectes Brière, Gilbert + Associés ainsi qu’à la Coopérative d’habitation «Au-pied-du-courant» pour la réalisation des logements situés au 2000 rue Tansley à Montréal, sous le tablier du pont Jacques-Cartier. Membre du jury, l’architecte Isabelle La Fontaine, a justifié le choix de ce projet dans ces termes: «Malgré l’âpreté de sa situation géographique et le caractère ingrat du terrain, ce projet a su démontrer, par son architecture simple mais vivante, l’adéquation de l’expression à l’idée.» Le jury a tenu à souligner l’originalité et l’ingéniosité de ce projet tant dans sa réponse au milieu bâti environnant que par l’exploitation optimale des ressources offertes. «La cour, toute de verdure, devient le milieu de vie de ces familles réunies en coopérative. On assiste à la transition parfaite d’un lieu urbain triste et gris à un lieu collectif lumineux dans cette cour semi-ouverte créée par la morphologie du bâtiment en L. L’effort de revitalisation urbaine de cet ensemble d’habitations dans un contexte de ressources très limitées représente un intérêt indéniable. Un projet valeureux!», a déclaré le jury. Ce projet a été sélectionné parmi une centaine d’autres, toutes catégories confondues, par des experts réunis dans le cadre de la 24e édition des Prix d’excellence en architecture.
  15. Logements abordables: Montréal dépasse son objectif Éric Clément La Presse La stratégie adoptée il y a deux ans par Montréal pour favoriser la construction de logements abordables porte déjà ses fruits: l'an dernier, l'objectif d'au moins 30% de production résidentielle abordable a été dépassé, avec presque 40% d'unités abordables par rapport à l'ensemble des nouveaux logements. L'annonce en a été faite lundi par le responsable Habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, le maire de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Cosmo Maciocia, dans le cadre de la présentation publique d'un rapport d'étape sur les deux premières années d'application de la Stratégie d'inclusion de logements abordables dans les nouveaux projets résidentiels. Cette stratégie a été adoptée en 2005 pour favoriser la mixité sociale et la rétention des ménages à Montréal. Basée sur une approche volontaire et la négociation avec des promoteurs privés, elle a pour but d'augmenter la construction de logements à des prix que peuvent se permettre des ménages ayant des revenus très limités. Elle se combine à l'Opération 15 000 logements qui vise à construire 5000 nouveaux logements sociaux et communautaires et favoriser la création de 15 000 logements abordables entre 2006 et 2009 grâce à des subventions de 480 millions, dont 100 millions de la Ville elle-même. Deux ans après, les résultats sont déjà positifs. Une dizaine de projets immobiliers incluant des logements abordables ont émergé, notamment Le Nordelec et les Lofts Impérial dans le Sud-Ouest, la Biscuiterie Viau dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve ou le site des Ateliers Rosemont. Les promoteurs privés sont à l'écoute de la stratégie municipale: le rapport dévoilé (www.ville.montreal.qc.ca/habitermontreal) indique que de 2004 à 2006, la production abordable privée est passée de 17% à 27,1%, ce qui est «considérable», selon Denis Quirion, directeur Développement du logement social et abordable à la Ville de Montréal. Nancy Shoiry, chef de division Urbanisme dans le Sud-Ouest, a expliqué que les succès récents de son arrondissement sont dus à des négociations appliquées entre l'administration publique, les promoteurs privés, les professionnels de l'habitation et les organismes sociaux. Même le FRAPRU, qui se bat sans relâche depuis des années pour que les gouvernements favorisent le logement social, a reconnu les efforts de la Ville. Toutefois, l'organisme a regretté que le prix d'un logement abordable soit de 900$ au lieu de 682$ à cause d'un calcul, selon lui, déficient. Éric Michaud, du Comité logement centre-ville, a aussi regretté que la Ville ait cédé l'ancienne gare Viger sans exiger du promoteur Cameron Charlebois qu'il réserve du logement social parmi les condos qui seront créés. Il a demandé que la Ville veille à ce que les projets à venir dans Ville-Marie (CHUM, gare Viger, etc.) «ne chassent pas la population du quartier à cause de l'augmentation de la valeur foncière». :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes: (misère on va chasser le vrai monde pour les remplacer par des extra terrestres). Les personnes présentes ont souhaité que les gouvernements conservateur à Ottawa et libéral à Québec délient un peu plus les cordons de la bourse. «L'accès aux programmes de subventions est indispensable pour la réalisation de logements sociaux et communautaires», a dit M. Maciocia, qui s'est réjoui du fait que Québec ait renouvelé Accès Logis lors du dernier budget et ait accordé 25 millions à Montréal dans le cadre du programme Rénovation Québec. «Mais l'existence de ces programmes n'est pas assurée au-delà de 2009 et j'invite tous les partenaires de la Ville à se joindre à nous pour demander aux deux gouvernements qu'ils deviennent récurrents», a-t-il dit.
  16. 21 août 2007 À partir de l'analyse d'un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) constate que les locataires montréalais ont reçu des demandes moyennes d'augmentation de loyer de 4,4 %, lors de la dernière période de renouvellement des baux. Certains secteurs ou arrondissements de Montréal s'en tirent mieux. Ce qui n'est toutefois pas le cas pour l'arrondissement de Mercier – Hochelaga-Maisonneuve, où la hausse moyenne est de 4,7 %. Différents facteurs peuvent expliquer cette différence : la disponibilité des loyers dans le secteur, l'état des logements, les services de proximité, etc. À noter que dans la grande majorité des cas de l'échantillonnage étudié, le chauffage est à la charge des locataires et leurs logements n'ont pas subi de réparations majeures. Pour ces situations, en absence de variation des taxes foncières, l'indice d'ajustement des loyers, publié par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8 %. Selon la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), entre 2000 et 2006, le coût du loyer d'un logement de deux chambres à coucher a bondi de 25 % dans la région de Montréal. « Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer, précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. La ministre des Affaires municipales et des Régions, Nathalie Normandeau, a en main diverses solutions pour corriger le travail de la Régie du logement. » En l'absence d'un registre des baux, certains propriétaires en auraient profité pour hausser considérablement le coût de leur loyer. Pour contrer cette situation, le RCLALQ encourage les locataires qui déménagent à « passer leur bail » à ceux qui emménagent afin de leur donner la possibilité d'exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n'avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l'ensemble du Québec. Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n'a pas été complétée. Cependant, si cette section est dûment remplie, les locataires ne disposent que de 10 jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. « Comme souvent la section G demeure incomplète, l'entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l'absence d'un registre des baux », conclut M. Trépanier.
  17. 15 juin 2007 Coquerelles, moisissures, fuites d'eau, coupures de chauffage; la liste des horreurs est longue dans certains immeubles montréalais. La Ville de Montréal investira 3 millions de dollars au cours des trois prochaines années pour qu'une équipe de huit inspecteurs se consacre au suivi de 70 immeubles. La Ville de Montréal compte remettre en état 2000 logements insalubres répartis dans 70 immeubles déjà répertoriés. La Place Henri-Bourassa, près de l'autoroute 15, est l'un des immeubles ciblés par la nouvelle mesure de la Ville. La Cour municipale a imposé des amendes de 1 million de dollars à son propriétaire, explique le responsable de l'habitation au comité exécutif, Cosmo Maciocia. Si on calcule de 300 à 350 logements à raison de 2000 à 3000 $ chacun pour les remettre en conditions de salubrité, je pense que ça devient plus intéressant pour le propriétaire de faire des travaux que de payer 1 million d'amendes. — Le responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, Cosmo Maciocia La Ville se chargera de faire exécuter les travaux lorsqu'un propriétaire refusera de le faire en espérant être remboursé. Les associations de locataires et de propriétaires se réjouissent de ce plan d'action. Ils expriment respectivement des réserves. Le Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) estime qu'il faudrait être encore plus sévère envers ces propriétaires. Si un proprio ne fait pas les travaux après avoir reçu plusieurs amendes, il risque de ne pas payer la facture non plus. Ce que l'on souhaite, c'est que la Ville exproprie les propriétaires délinquants ou les saisisse. — Un membre du Frapru, Jean-Claude Laporte De son côté, la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIC) regrette que la Ville sévisse seulement contre les propriétaires. Elle souhaiterait que la Ville prenne également des mesures pour pénaliser les locataires négligents.
  18. 29/05/2007 Le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) demande à la Ville de Montréal et au gouvernement provincial de mettre un frein à la conversion de maisons de chambres privées en condos et en hôtels.Selon le recensement de la Ville de Montréal pour l'année 2006, c'est quelques 180 maisons de chambres privées, abritant environ 3 000 unités, qui existeraient toujours dans la métropole. Le RAPSIM demande la sauvegarde de ces habitations, qu'il aimerait voir transformées en logements sociaux. Plus de 45 % des unités de maisons de chambres privées se retrouvent dans les arrondissements de Ville-Marie et du Plateau Mont-Royal. Des quartiers fort prisés par les promoteurs immobiliers. Le RAPSIM demande ainsi à Montréal de catégoriser les maisons de chambres de manière à ce que leur éventuelle conversion soit plus difficile à autoriser. Une sorte de moratoire qui empêcherait leur vente rapide à des promoteurs immobiliers, à l'instar de celui existant au chapitre des condominiums. Le RAPSIM réclame également plus d'argent de Québec afin de rencontrer les coûts réels rattachés à l'achat et à la rénovation des maisons de chambres privées. C'est environ 15 000 $ par unité que l'organisme réclame, des coûts qui s'ajoutent à ceux déjà consentis en ce sens.
  19. (12 avril 2007 La Presse)Il y a une si forte demande de résidences pour personnes âgées qu'elles poussent comme des champignons, au Québec et ailleurs au Canada. Si l'immobilier plafonne dans plusieurs secteurs, cette année, les groupes Melior et Maurice, de Montréal, voguent à une cadence de 50 % de hausse du nombre de logements pour retraités. Le taux d'occupation dans les 10 complexes du Groupe Maurice atteint 100 %, à une exception près, a déclaré à La Presse Affaires son président, Luc Maurice. Pourtant, les loyers à son nouveau projet L'Image d'Outremont, qui ouvrira à l'été 2008, commencent à 1095 $ et s'élèvent jusqu'à 3975 $ par mois. «Les capitaux pour financer les projets ne manquent pas», assure le président du conseil et chef de l'exploitation du Groupe Melior, Jean M. Maynard, en transit entre deux réunions pour les contrats de trois projets. «Ça va très vite, beaucoup plus que prévu», renchérit Pierre Ferland, président et chef de la direction de Maestro, de Montréal. Fondée en 2001, Maestro gère déjà 43 résidences au Canada, avec 8000 logements pour aînés, dont près de 20 au Québec. En six ans seulement, le gestionnaire immobilier a réussi à amasser plus de 500 millions, auprès de caisses de retraite et de compagnies d'assurance canadiennes, et la valeur de son actif dépasse le milliard de dollars. Trois projets, à Québec, Hull et Kingston, vont ajouter une valeur de 150 millions, dit Pierre Ferland, sans parler de 10 transactions à conclure d'ici l'été. La demande ne provient même pas encore de la grosse cohorte des baby-boomers, souligne Pierre Ferland. Les premiers baby-boomers viennent de passer le cap des 60 ans et ne commenceront à prendre d'assaut les résidences pour personnes âgées que dans 15 ans. Outre Melior et Maestro, les leaders des résidences au Québec comprennent les groupes El Ad, Maurice et Soleil. Melior est en train d'investir 73 millions à Laval, dans la construction de deux immeubles du Domaine des Forges et l'acquisition des Habitations La Roseraie, tout près, pour un total de 475 logements. Ses projets pour 2700 logements additionnels d'ici deux ans nécessiteront toutefois 400 millions, souligne Jean Maynard. Cela portera la valeur de l'actif de Melior à plus de 1 milliard, sans inclure les nouvelles transactions potentielles pour 1200 autres clients. Melior gère déjà 6700 logements au Québec -des studios et suites en passant par des appartements- d'une valeur de 651 millions, précise Jean Maynard. «L'industrie des résidences doit croître, y compris pour les aînés atteints d'Alzheimer et les aidants naturels», explique Jean Maynard. «La moyenne d'âge des résidents s'établit à 82 ans, mais on vient de fêter six centenaires en pleine santé», lance Pierre Ferland. À Outremont, Luc Maurice ne néglige pas la demande pour des appartements avec plusieurs services de la part de couples dont l'un des membres devient plus fragile. «C'est une première au Québec», selon lui. Le Groupe Maurice compte plus de 1800 logements et en offrira 3020 grâce à quatre projets en construction, à L'Île-Bizard, face aux pyramides olympiques à Montréal et à Shawinigan. Pour satisfaire la demande, Melior a conclu des partenariats avec le leader canadien Chartwell FPI et Solim, le bras immobilier du Fonds FTQ. Et Melior achète des immeubles de plusieurs communautés religieuses du Québec, note Jean Maynard. La croissance ralentit temporairement, et pour quatre ou cinq ans encore, parce que la demande provient des retraités nés au cours de la Grande Dépression de 1929, explique Pierre Ferland. Un des défis est d'embaucher pour cette nouvelle industrie des résidences, selon lui. Dans trois ans, il y aura un surplus d'offre dans la région de Montréal, souligne Luc Maurice. «Il faudra bien servir le client, qui aura le choix. Les promoteurs devront se dépasser et sortir des sentiers battus», dit-il.
  20. MONTREAL, le 8 fév. /CNW Telbec/ - L'enquête menée en janvier par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) révèle que la construction résidentielle a progressé au Québec au cours de ce même mois. Le total de 2 391 logements mis en chantier dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus représente une augmentation de 7 % par rapport à janvier 2006. Cette croissance est attribuable à la mise en chantier de deux résidences pour aînés dans l'agglomération de Drummondville, portant le total pour cette ville à 409 (contre 96 en janvier 2006). "Déjà observée en 2006, la construction de résidences pour aînés à l'extérieur des grands centres urbains se poursuit. Comme nous le constatons dans le bilan de janvier, il s'agit d'un phénomène dont l'impact sur le plan provincial peut être important.", affirme Kevin Hughes, économiste provincial à la SCHL. Dans la catégorie des maisons individuelles, le Québec a enregistré une baisse de 20 %, et 616 maisons ont été mises en chantier en janvier 2007, comparativement à 772 durant la même période l'année précédente. Les régions métropolitaines de recensement (RMR) de Montréal (-28 %) et de Gatineau (-43 %) ont enregistré des reculs importants alors que le rythme dans la RMR de Québec était stable (113 contre 111 en janvier 2006). Dans les agglomérations de 50 000 à 100 000 habitants la construction de maisons individuelles était également en baisse de 20 %. La construction de logements collectifs dans les centres urbains a connu une croissance de 21 % en janvier. Selon l'enquête, on a recensé 1 775 mises en chantier de logements collectifs contre 1 465, en janvier 2006. Outre la forte augmentation dans l'agglomération de Drummondville, les hausses des mises en chantier de logements collectifs étaient particulièrement fortes dans les régions de Montréal (30 %) et de Gatineau (plus de 100 %). Durant cette même période, les RMR de Québec (-80 %) et de Trois-Rivières (-55 %), quant à elles, ont enregistré des reculs notables . La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est l'organisme national responsable de l'habitation au Canada, et ce, depuis plus de 60 ans. Elle contribue à améliorer les conditions de vie et le bien-être des Canadiens par l'entremise de quatre secteurs d'activité : le financement de l'habitation, l'aide au logement, la recherche et la diffusion de l'information, et la promotion des exportations. La SCHL veille à ce que les Canadiens aient accès à un large éventail de logements de qualité, à coût abordable, et elle favorise la création de collectivités et de villes dynamiques et saines partout au pays.
  21. 6 février 2007 - 21h20 Le Soleil Pierre Couture Québec Grossir caractère Imprimer Envoyer var nsteinWords; nsteinWords = unescape(''); Cap Reit Apartments poursuit son magasinage à Québec. Le fonds de placement immobilier de Toronto vient de mettre la main sur 17 immeubles dans les secteurs Lebourgneuf et Sainte-Foy. Le montant de la transaction s’élève à 60 millions $. « Cela confirme notre engagement envers le marché de Québec », a souligné hier au Soleil le président et chef de la direction de Cap Reit, Thomas Schwartz. Les 17 immeubles à logements acquis des mains de la société immobilière Beaudet et Saucier comptent 607 logements dits « de luxe «. Le taux d’occupation est d’environ 98 %. Avec cette transaction, Cap Reit met notamment la main sur le Domaine Laudance à Sainte-Foy. Ce complexe immobilier construit en 1990 situé à deux pas du secteur du Campanile comprend six immeubles d’habitation renfermant 235 logements.
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