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  1. Source: Jardin botanique de Montréal Le Jardin botanique de Montréal a reçu des fleurs du ministre fédéral de l'Environnement, John Baird. Il a proclamé l'institution montréalaise lieu historique national du Canada, jeudi à Montréal. « La reconnaissance attribuée au Jardin botanique de Montréal au regard de son importance historique nationale nous rappelle la chance que nous avons de bénéficier d'un jardin aussi magnifique et d'une telle étendue en plein coeur de la ville de Montréal », a déclaré la vice-présidente du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable des Muséums nature de Montréal, Francine Senécal. La Commission des lieux et monuments historiques du Canada a recommandé le Jardin botanique pour trois raisons:'étendue de ses collections et de ses installations, son évolution, la richesse et la diversité de ses collections. Le Jardin botanique compte 22 000 espèces et cultivars de plantes, une trentaine de jardins thématiques et un vaste arboretum. De plus, le jardin, fondé dans les années 1930 par le frère Marie-Victorin, a préservé la vision de ses bâtisseurs, soit des vocations esthétique, scientifique, éducative et sociale. « Il s'agit d'une désignation très significative pour le Jardin botanique, puisqu'elle fait ressortir le travail effectué depuis plus de 75 ans sur l'ensemble de son site », a déclaré le directeur du Jardin botanique de Montréal, Gilles Vincent. « Je pense ici aux jardins, aux serres, à l'Arboretum ainsi qu'aux autres activités d'animation scientifique et de recherche qui ont contribué à faire évoluer le Jardin botanique. »
  2. La Cour supérieure du Québec a tranché: l'assemblée des créanciers de TQS ne sera pas reportée et elle aura lieu le 22 mai comme prévu. Pour en lire plus...
  3. Ça intéresse quelqu'un? Michel Simonsen et Simon Cantin sont heureux de vous inviter à la première projection publique de leur plus récente réalisation, un documentaire de 52 minutes intitulé "projet Dow" qui porte sur les restes d'une immense brasserie abandonnée du centre-ville de Montréal, la Dow-O'Keefe. projet Dow, c’est l’histoire de cette série de bâtiments inutilisés depuis 1991. Par leur ampleur et leur situation géographique, ces édifices font l’objet de diverses spéculations : projets immobiliers, commerciaux, industriels, institutionnels, patrimoniaux… Or, la période de latence, entre le moment où il ne se passe plus rien "officiellement" et le moment de la renaissance, donne lieu à une activité clandestine, à l’image de ces édifices qui fonctionnent comme une tache aveugle, un trou dans le tissu urbain. projet Dow, c’est une usine désaffectée présentée de l’intérieur par Richard, qui l'habite. Un parcours inusité, à travers lequel on découvre une autre façon d’habiter la ville, de vivre de ses restes. C'est un documentaire sur ce qui est là sans qu'on le remarque, une visite de l’ombre. La première projection publique du film aura lieu le lundi 7 avril, à Montréal au : Cinéma ONF (salle 1), 1564, rue Saint-Denis coin de Maisonneuve, Métro Berri-UQAM. Le visionnement débutera à 19h00 et sera suivit d'un cocktail où de la bière O'Keefe et des grignotines seront servies. L’invitation est ouverte à tous et à toutes, n'hésitez donc pas à la partager.
  4. 5 janvier 2008 - source http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080105/LAINFORMER/801041343/5891/LAINFORMER01 Presse Canadienne et LaPresseAffaires.com Le détaillant spécialisé Mountain Equipment Coop a indiqué, vendredi, qu'il envisage d'ouvrir un second magasin dans la région de Montréal avant la fin de l'année. L'endroit précis où sera installé le second magasin montréalais n'a toutefois pas été précisé. Le seul magasin de la chaîne d'articles de plein air à Montréal est actuellement situé au Marché Central, près du rond-point l'Acadie. MEC devrait par ailleurs inaugurer un troisième magasin dans la région montréalaise d'ici quatre ans. Le marchand d'articles pour activités de plein air a également mentionné Toronto et Burlington, en Ontario, comme prochains lieu d'expansion de la chaîne, a indiqué vendredi son nouveau président David Labistour, qui vient de succéder à Peter Robinson. Propriété de ses membres réunis en coopérative, Mountain Equipment affichait au dernier bilan annuel connu, celui de 2006, un chiffre d'affaires de 222,8 M$ contre 195,8 M$ en 2005. En 2003, MEC a inauguré son premier magasin de la province, au Marché Central de Montréal. L'année suivante, la coopérative ajoutait un autre magasin dans la Vieille
  5. le jeudi 6 décembre 2007 La Ville de Montréal élargit les conditions d'accession à la propriété pour freiner l'exode des jeunes familles vers les banlieues. La Ville bonifie et prolonge son programme d'accès à la propriété jusqu'en 2009. Le nouveau programme favorisera davantage les familles. Actuellement, les familles ne représentent que 20 % des bénéficiaires. La nouvelle version du programme accorde une subvention de 10 000 $ aux familles avec enfant(s) qui désirent acheter une propriété au lieu de 7500 $ précédemment. Cette aide est conditionnelle du prix d'achat de la propriété. Ce seuil est revu à la hausse lui aussi. La subvention sera versée dans la mesure où le prix de l'achat est inférieur ou égal à 235 000 $, contre 200 000 $ auparavant. La subvention accordée aux ménages sans enfant est maintenue à 6500 $. Le prix maximum d'achat est revu à la hausse avec 180 000 $ au lieu de 165 000 $. Selon le Conseil jeunesse de Montréal, l'administration municipale doit non seulement améliorer ses programmes d'accès au logement, mais aussi renforcer le sentiment d'appartenance des jeunes envers l'île de Montréal. Selon l'Institut de la statistique, Montréal enregistre des pertes nettes migratoires dans presque tous les groupes d'âge, notamment chez les 25 à 44 ans. Quelque 250 000 familles vivent présentement sur le territoire de l'île de Montréal.
  6. 3 novembre 2007 - 06h00 La Presse Claude Picher Grossir caractère Imprimer Envoyer Il est présentement un document qui connaît une certaine popularité chez les internautes, et il est possible que vous en ayez déjà reçu une copie dans votre courrier électronique. Pour ma part, je l'ai reçu trois fois, de trois sources différentes: un collègue de travail et deux lecteurs. J'ignore qui a rédigé ce texte. Paraît-il que ce serait un professeur d'université qui essaie d'expliquer le fonctionnement des impôts, mais ce n'est pas sûr. Il est, par contre, une chose dont je suis certain: l'auteur connaît le régime fiscal sur le bout des doigts. À quelques poussières près, les proportions et les chiffres qu'il fournit sont exacts. Les experts utilisent parfois un vocabulaire technique assez rébarbatif. Par exemple, s'ils veulent diviser les contribuables en 10 groupes égaux selon les tranches de revenus, ils parlent de déciles. Le Québec compte 5 779 926 contribuables; il y a donc 577 993 contribuables dans chaque décile, le premier comprenant les plus pauvres. Nulle part l'auteur ne parle de décile; dans son texte, chaque décile est remplacé par... un buveur de bière! Je ne peux m'empêcher de vous transmettre ce bijou. C'est un chef-d'oeuvre de vulgarisation, et je lève mon chapeau au père de cette trouvaille. Et j'insiste là-dessus: le texte que vous allez lire reflète avec précision la progressivité du régime fiscal québécois. Chers lecteurs, je vous laisse apprécier par vous-mêmes, en gardant à l'esprit que le dixième homme, le plus riche, dans cette histoire, représente les Québécois qui gagnent 50 000$ ou plus. //////////////// Supposons que tous les jours, 10 hommes se retrouvent pour boire une bière et que l'addition se monte à 50$ (normalement, 5$ chacun). S'ils payaient la note de la façon que l'on paie les impôts, selon les revenus de chacun, on aurait l'exemple suivant: Les quatre premiers, les plus pauvres, ne paieraient rien, zéro cent. Le cinquième paierait 50 cents. Le sixième paierait 1,50$. Le septième paierait 3,50$. Le huitième paierait 6$. Le neuvième paierait 9$. Le dernier, le plus riche, devrait payer 29,50$ à lui tout seul. On arrive donc bien à 50$. Ils décidèrent de procéder comme décrit. Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et semblèrent assez contents de leur arrangement. Jusqu'au jour où le tenancier du bar les plaça devant un dilemme: «Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j'ai décidé de vous faire une remise de 10$. Vous ne paierez donc vos dix bières que 40$.» Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais comment les six autres, les clients payants, allaient-ils diviser les 10$ de remise de façon équitable? Ils réalisèrent que 10$ divisés par 6 faisaient 1,66$. Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage, alors le cinquième et le sixième homme allaient être payés pour boire leur bière (1,16$ et 16 cents). Le tenancier suggéra qu'il serait plus judicieux de réduire l'addition de chacun selon le même barème et fit donc les calculs. Alors? Le cinquième homme, comme les quatre premiers, ne paya plus rien, Un pauvre de plus. Le sixième paya 1$ au lieu de 1,50$ (33% de réduction). Le septième paya 2,50$ au lieu de 3,50$ (28% de réduction). Le huitième paya 4,50$ au lieu de 6$ (25% de réduction). Le neuvième paya 7,50$ au lieu de 9$ (17% de réduction). Le dixième paya 24,50$ au lieu de 29,50$ (16% de réduction). On arrive bien à un total de 40$. Chacun des six clients payants paya moins qu'avant, et les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie. «J'ai seulement eu 50 cents sur les 10$ de remise», dit le sixième et il ajouta, montrant du doigt le dixième: «Lui, il a eu 5$!!!» «C'est vrai», s'exclama le septième. «Pourquoi il aurait eu 5$ de rabais alors que moi je n'ai eu que 1$? Le plus riche a eu la plus grosse réduction!» «Attendez une minute, cria le premier homme. Nous quatre n'avons rien eu du tout. Le système exploite les pauvres». Les neuf hommes cernèrent le dixième et l'insultèrent. Le jour suivant, le dixième homme ne vint pas. Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui. Mais quand vint le moment de payer, ils découvrirent quelque chose d'important: ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition. Et cela est le reflet de notre système d'imposition. Les gens qui paient le plus d'impôts tirent le plus de bénéfice d'une réduction de taxe et, c'est vrai, ils resteront plus riches. Mais si vous les taxez encore plus fort et les condamnez à cause de leur richesse, ils risquent de ne plus se montrer. Pour ceux qui ont compris, aucune explication n'est nécessaire. Pour ceux qui n'ont pas compris, aucune explication n'est possible.
  7. Espaces publics - De Beyrouth à Montréal Marie Lambert-Chan Édition du mercredi 17 octobre 2007 Mots clés : Cafés, de Beyrouth à Montréal, Festival du monde arabe de Montréal, Espaces publics, Festival et fête, Liban (pays), Montréal « L'Arabe, nomade ou sédentaire, porte son café en son âme » Autrefois lieu de production littéraire, le café arabe est aujourd'hui devenu un espace de discussions vaines, où se réunissent les hommes par dépit pour y refaire le monde du matin au soir, jour après jour. Les immigrants, eux, y entretiennent la nostalgie de leur pays natal. Le journaliste et écrivain Mohamed Ourya nous ouvre les portes de ce lieu symbolique. showBigBox();On error resume nextuseFlash = NOT IsNull(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))isIe = true «Entre un café et un autre café, il y a un café.» Ce vieil adage maghrébin illustre bien l'importance qu'accordent les hommes d'Afrique du Nord à ce lieu de rassemblement viril, dont la tradition se perpétue de génération en génération depuis le XVIe siècle. Pour les immigrants marocains, tunisiens et algériens, la reproduction du café arabe en terre d'accueil est même devenue un refuge culturel. «C'est un mécanisme de détermination identitaire», affirme Mohamed Ourya. Ce journaliste, écrivain et chercheur en science politique d'origine marocaine discutera de ces lieux à la fois familiers et mythiques avec le poète libanais non conformiste Joseph Issaoui lors de la conférence «Cafés, de Beyrouth à Montréal», le 4 novembre prochain, dans le cadre de la huitième édition du Festival du monde arabe de Montréal. Espace social «Les études spécialisées ont souvent décrit le café arabe comme un espace de divertissement et de littérature, mais jamais comme un espace social», observe Mohamed Ourya. Or, selon son analyse socio-anthropologique, le café est un défouloir. «Pour les hommes de mon pays natal, c'est une échappatoire à leur maison cloîtrée, explique-t-il. Ils sortent du train-train de leur foyer pour retrouver une autre routine qui est celle des discussions politiques où l'on approuve ou désapprouve ce que le gouvernement fait, où on se raconte des rumeurs et des bonnes blagues et où on scrute les femmes dans la rue.» C'est ce qui semble manquer cruellement à Farid al-Mesnaoui, le héros désillusionné de son livre Le Journal d'un immigrant ordinaire, actuellement traduit en français. Farid est arrivé à Montréal dans l'espoir d'une vie meilleure. Mais la réalité qu'il se plaisait à imaginer dans son café de Casablanca est loin d'être la même. «Cet ouvrage nous ouvre la porte de la communauté arabo-musulmane avec toutes ses contradictions et ses problèmes, écrit Mohamed Ourya dans son introduction. Après les rêves et les grands projets, tout s'est effondré au milieu des difficultés des conditions quotidiennes.» Afin de retrouver ce qui lui manque du Maroc, Farid part à la recherche de son café, là où «à travers des heures de discussions vaines, il livrait bataille et refaisait le monde en paraphrasant Nietzsche et Marx». «L'Arabe, nomade ou sédentaire, porte son café en son âme... C'est le seul lieu qu'il ne peut déserter», note M. Ourya. Au fil du temps, le café devient une famille où tout le monde se connaît, se salue, s'interpelle. «Or, mon personnage d'immigré montréalais se heurte à l'anonymat autant dans les cafés arabes que dans les mosquées, deux espaces nostalgiques. Il essaye donc de retrouver cette reconnaissance, qui est une manière d'être en pleine possession de son processus d'immigration.» Le début des cafés arabes Le café arabe tel que le connaît Farid est l'aboutissement d'une longue évolution. Les tout premiers cafés sont apparus à la fin du XVIe siècle à Bagdad. Ils se sont peu à peu transformés en des espaces de réunion pour les hommes, qui ne fréquentaient pas alors les salons de culture élitistes réservés aux intellectuels, aux journalistes, aux politiciens et aux hauts gradés de l'armé. «On peut donc dire que le café arabe a un fondement démocratique», analyse Mohamed Ourya. L'émergence du socialisme arabe force toutefois cette élite à descendre dans les cafés. «Ça ne leur servait en rien de rester cloisonnés», remarque le journaliste. Des écrivains, des penseurs et des poètes s'y installent en résidence pour noircir des milliers de pages. «À Beyrouth, les plus célèbres poètes et intellectuels de la gauche se réunissaient dans les cafés trottoirs de la rue Al Hamra. En Égypte, l'intelligentsia se retrouvait au café Rish qui est l'équivalent du café de Flore à Paris», décrit M. Ourya. Joseph Issaoui juge pour sa part que les années 1960 et 1970 étaient l'âge d'or des cafés arabes comme lieux de création. Mais cela ne dure pas. «L'élite finit elle aussi par se perdre dans des dialogues inutiles où l'on passe de la politique au sport, en passant par la philosophie et l'art, en l'espace de quelques heures», estime Mohamed Ourya. Deuxième âge des cafés Depuis 2002, des cafés littéraires naissent au Maroc, en Égypte et au Liban. Ils n'ont cependant rien à voir avec leurs ancêtres du siècle dernier, juge Joseph Issaoui. «Cette foi en un verbe salvateur, ce débat philosophico-politique qui allait au-delà de l'oeuvre littéraire et de son individualité, ces analyses qui puisaient dans une cohorte de théories et de certitudes, manquent précisément à l'espace culturel actuel», affirme-t-il. «La clientèle élitiste se réfugie dans les cafés littéraires qui sont, d'une certaine façon, la recréation des anciens salons de culture, constate pour sa part Mohamed Ourya. Pendant ce temps, les cafés arabes "traditionnels" se dessèchent et leur nourriture intellectuelle s'appauvrit. Je crois que nous sommes aujourd'hui au deuxième âge des cafés.» Les cafés arabes se multiplient à une vitesse folle, tant ici qu'au Maghreb. «Ils sont pleins du matin jusqu'au soir, un phénomène qui est entre autres attribuable au chômage important», dit M. Ourya. Ces endroits demeurent encore et toujours essentiellement masculins. «Les femmes fréquentent les cafés bon chic bon genre, mais pas ceux des quartiers populaires», précise l'écrivain. Lieu de traditions, le café arabe garde une ambiance qui semble immuable. «Allez visiter le Petit Maghreb sur la rue Jean-Talon, entre les boulevards Pie-IX et Saint-Michel, dit M. Ourya. À quelques différences près, vous y retrouverez le même comptoir, les mêmes tables, la même ambiance maghrébine qui nous fait sentir chez soi. La télévision dans le coin du café diffuse toujours un match de football. On y déguste un café en jouant aux cartes ou aux dominos. Et évidemment, on parle de choses et d'autres.» Les cafés du Petit Maghreb ne suffisent pourtant pas au héros de son roman, qui finit par retourner à Casablanca. Retrouvera-t-il le café de ses souvenirs? Mohamed Ourya compte bien répondre à cette question dans son deuxième opus, dont il nous livre la prémisse. «À son retour au Maroc, Farid fréquente son café pendant une semaine avant de se rendre compte qu'il n'est plus vraiment le sien. En fait, ce n'est pas le lieu qui a changé, mais plutôt lui. Il a compris que ces longues heures de discussion ne mènent à rien et ne modifient pas la face du monde. C'est pourquoi il décide de revenir à Montréal...» *** Collaboratrice du Devoir *** - Cafés, de Beyrouth à Montréal, avec Joseph Issaoui et Mohamed Ourya, le dimanche 4 novembre à 18h, au Gesù, 1200, de Bleury, Montréal.
  8. le 14 octobre 2007 L’Ordre des architectes du Québec décerne un Prix d’excellence en architecture à Brière Gilbert + Associés Architectes ainsi qu’à la Coopérative d’habitation Au-Pied-du-Courant pour la réalisation de logements sous le tablier du pont Jacques-Cartier. L’Ordre des architectes du Québec procédait jeudi à la remise du trophée d’un Prix d’excellence en architecture dans la catégorie des projets résidentiels de type «ensemble d’habitations» aux architectes Brière, Gilbert + Associés ainsi qu’à la Coopérative d’habitation «Au-pied-du-courant» pour la réalisation des logements situés au 2000 rue Tansley à Montréal, sous le tablier du pont Jacques-Cartier. Membre du jury, l’architecte Isabelle La Fontaine, a justifié le choix de ce projet dans ces termes: «Malgré l’âpreté de sa situation géographique et le caractère ingrat du terrain, ce projet a su démontrer, par son architecture simple mais vivante, l’adéquation de l’expression à l’idée.» Le jury a tenu à souligner l’originalité et l’ingéniosité de ce projet tant dans sa réponse au milieu bâti environnant que par l’exploitation optimale des ressources offertes. «La cour, toute de verdure, devient le milieu de vie de ces familles réunies en coopérative. On assiste à la transition parfaite d’un lieu urbain triste et gris à un lieu collectif lumineux dans cette cour semi-ouverte créée par la morphologie du bâtiment en L. L’effort de revitalisation urbaine de cet ensemble d’habitations dans un contexte de ressources très limitées représente un intérêt indéniable. Un projet valeureux!», a déclaré le jury. Ce projet a été sélectionné parmi une centaine d’autres, toutes catégories confondues, par des experts réunis dans le cadre de la 24e édition des Prix d’excellence en architecture.
  9. MONTREAL, le 27 mars Annonce et dévoilement officiel du projet de renouvellement des outils d'interprétation du Biodôme, un projet qui démarre grâce à l'appui du Groupe Financier Banque TD via la Fondation TD des amis de l'environnement. -------------------------------------------------------------- Date le mercredi 28 mars 2007 Heure 10 h 30 Lieu Biodôme de Montréal 4777, avenue Pierre-de Coubertin
  10. À la fois imposant et gracieux, le complexe résidentiel du 333 Sherbrooke constitue un exemple d’intégration urbaine. Érigé sur le terrain en friche de l’ancien couvent Saint-Louis-de-Gonzague, l’ensemble immobilier définit un nouveau lieu mariant harmonieusement architecture, design urbain et architecture du paysage. Le projet relie deux tours d’habitation de 10 étages s’élevant sur la rue Sherbrooke à de nouveaux condoplex de 4 étages jouxtant le square Saint-Louis, haut lieu de l’élite canadienne-française du début du siècle. La façade est rythmée par la répétition d’une baie type parfois agrémentée de balcons français qui donnent du relief à la paroi des bâtiments sur la rue Sherbrooke. La modulation de la volumétrie crée de nombreuses terrasses en cascades. Au sommet des immeubles, une structure en forme de pont suspendu fait office de trait-d’union et abrite une piscine extérieur de même qu’un toit terrasse jouissant de vues imprenables. Du côté jardin, une succession de petits bâtiments individuels de quatre étages s’articule autour d’une placette. Cette organisation s’associe facilement à l’environnement domestique typique du Quartier latin. CANADIAN COMMERCIAL REAL ESTATE NEWSLETTER Vol. 10 No. 50 Dec. 15, 2006 Editor: Maurice Gatien LL.B. HOMBURG JV INVESTS IN MONTREAL CONDO PROJECT HOMBURG BPF CANADA, a joint venture between Halifax-based Homburg Invest Inc. and SNS Property Finance (formerly Bouwfonds Property Finance) of The Netherlands, purchased a 66.67% interest in a condominium development in Montreal. The remaining 33.33% interest will be held by LES INVESTISSEMENTS F.P. S.E.C., whose general partner is Montreal-based TELEMEDIA DEVELOPMENT I INC. The joint venture has invested $3.8 million in the residential condominium development located at 333 Sherbrooke Street East in downtown Montreal. Phase I of the development currently includes an inventory of 35 completed units available for sale in a 9-storey condominium tower and 4 multiplexes (113 residential units in total). Phase II is yet to be constructed but will include 112 condominium units and 213 parking stalls housed in another nine story tower and another two multiplexes. Construction on Phase II is expected to begin early in the New Year. Link: http://www.homburginvest.com
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