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  1. Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
  2. États-Unis Le vice-président de Freddie Mac est trouvé mort Mise à jour : 22/04/2009 12h18 (AP) - David Kellermann, le chef de la direction financière par intérim de Freddie Mac, un géant du secteur des hypothèques aux États-Unis, a été retrouvé mort mercredi matin à sa résidence de Reston, en Virginie. Selon la police, il s'agirait vraisemblablement d'un suicide. Mary Ann Jennings, une porte-parole de la police du comté de Fairfax, a précisé qu'une équipe spécialisée en scène de crime et des détectives du service des homicides ont été affectés à cette enquête, mais qu'à priori rien de suspect n'a été observé relativement à cet événement. David Kellermann, 41 ans, était le chef de la direction financière de Freddie Mac depuis le mois de septembre à la suite de la démission d'Anthony «Buddy» Piszel. Avant d'accepter ce poste, il avait été premier vice-président, contrôleur général et comptable principal de l'entreprise. Il travaillait pour Freddie Mac depuis plus de 16 ans. L'entreprise a été largement critiquée pour ses pratiques téméraires considérées par certains analystes comme ayant contribué à la crise du logement et la crise financière actuelles. Freddie Mac, une entreprise contrôlée par le gouvernement américain, possède ou garantit environ 13 millions de prêts résidentiels aux États-Unis. Son chef de la direction, David Moffett, a démissionné le mois dernier.
  3. Pratt Whitney: 500 postes à supprimer à Longueuil (Source: Radio-Canada) La moitié des postes dont veut se départir l'entreprise seront éliminés dans son usine du Québec. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. 2009-04-10 18:11:44 L'entreprise Pratt & Whitney Canada éliminera 500 emplois à son usine de Longueuil. Ces suppressions d'emplois font partie des compressions de 1000 postes annoncées en février dernier. Ce nombre pourrait toutefois diminuer si certains employés acceptent un programme de retraite anticipée. « C'est important de dire qu'il s'agit d'un chiffre approximatif, car des employés pourront se prévaloir d'un programme de retraite anticipée volontaire. Quand on saura exactement combien d'employés souhaitent se prévaloir du programme, ça réduira d'autant le nombre de mises à pied à faire. Ça pourrait donc être beaucoup moins », a précisé Pierre Boisseau, porte-parole de Pratt et Whitney. Une centaine de travailleurs pourraient souscrire au programme de retraite anticipée volontaire, mais M. Boisseau n'a pas donné de chiffre exact. Ce sont les employés de la production qui seront surtout touchés par les congédiements, de même que des employés de bureau. Un marché qui bat de l'aile L'entreprise, qui fabrique principalement des moteurs d'avion, emploie 10 000 personnes dans le monde, dont 5500 au Québec. Pratt & Whitney explique ces mises à pied par la morosité du marché de l'aviation d'affaires. Elle mise sur la stabilité du marché des hélicoptères et de l'aviation régionale pour éviter d'autres compressions, mais elle ne les exclut pas. Mise à part l'aviation d'affaires, les autres secteurs pour lesquels Pratt & Withney Canada produit des moteurs (aviation commerciale régionale, hélicoptères et petits appareils) se portent encore relativement bien. Au pays, la compagnie compte des installations à Longueuil, à Lethbridge, en Alberta, à Mississauga, en Ontario, et à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
  4. Garda dans le rouge, l'action chute 16 septembre 2008 - 10h46 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Affectée par la faiblesse du dollar américain et le ralentissement économique, Garda World (GW) a encore connu un trimestre difficile alors qu’elle a déclaré une perte nette de 1 M$. Du même coup, l'entreprise a annoncé qu'elle planifie une révision stratégique de ses activités. L'entreprise affirme avoir reçu au cours des derniers mois une manifestation d'intérêt non sollicitée visant l'acquisition d'une partie importante de ses actifs. Une telle transaction lui permettrait de faire un gain, de rembourser une grande partie, sinon la totalité de sa dette bancaire et de distribuer une partie de son capital à ses actionnaires. La perte enregistrée dans ce trimestre est cependant moins importante que celle annoncée il y a un an alors que l’entreprise de services de sécurité avait encaissé une perte de 1,4 M$. Les revenus de Garda ont connu un recul alors qu’ils se sont affichés à 301 M$, une baisse de 6% face aux 318,5 M$ amassés pour la période correspondante un an auparavant. Ces nombreuses turbulences faisaient reculer fortement l'action de l'entreprise qui chutait de près de 50% à la Bourse de Toronto. Selon l’entreprise, la performance financière de l’entreprise au cours du trimestre «est inférieure à ce qui était anticipé en dépit du succès des initiatives d’intégration». Pour Garda, cette performance décevante est la conséquence de multiples causes. Le ralentissement économique général, le non-renouvellement de contrats militaires aux États-Unis et l’augmentation des coûts de l’énergie au Canada sont à pointer du doigt. De l’aveu même du PDG, Stéphan Crétier, les résultats de Garda ont été «décevants». Toutefois, il s’est montré positif face à la situation de l’entreprise dans un futur rapproché. «Nous estimons que cette situation n'est que de courte durée et nous anticipons une seconde moitié de l'année plus solide, au niveau auquel les actionnaires s'attendent de Garda», a-t-il indiqué par voie de communiqué. La structure de coûts efficaces et la gestion serrée des dépenses pourraient aider la société à retrouver le chemin de la rentabilité, croit le PDG. L'entreprise a réalisé plusieurs acquisitions aux États-Unis et ailleurs dans le monde au cours des dernières années.
  5. Aux prises avec de lourdes dettes, la direction de Nortel envisagerait de vendre l'entreprise en pièces détachées à ses concurrents plutôt que de la restructurer pour payer ses créanciers. Pour en lire plus...
  6. Le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile conclut une entente de principe avec General Motors sur un plan de restructuration pour sauver l'entreprise. Les détails seront connus dimanche Pour en lire plus...
  7. Après 42 ans au service de la multinationale québécoise, dont 13 à titre de président et chef de la direction, Jacques Lamarre passe le flambeau à Pierre Duhaime, un vice-président de l'entreprise. Pour en lire plus...
  8. Komatsu va fermer son usine de Candiac Publié le 05 mars 2009 à 18h52 | Mis à jour le 05 mars 2009 à 18h56 La Presse Canadienne Candiac Le constructeur japonais de machinerie lourde Komatsu America a indiqué jeudi son intention de fermer son usine de Candiac à la fin de septembre, supprimant ainsi 245 emplois. L'entreprise a dit vouloir regrouper sa production dans une usine établie aux États-Unis. «La récession à laquelle nous faisons face force Komatsu à prendre ces mesures afin de demeurer une entreprise viable en Amérique du Nord», a déclaré par voie de communiqué le directeur de l'usine, Normand Poitras. De son côté, le Syndicat des Métallos affirme avoir offert l'intervention du Fonds de solidarité FTQ. «Rien à faire, a déclaré par voie de communiqué Richard Boudreault, permanent du Syndicat des Métallos. Le bureau chef à Tokyo a décidé de consolider ses opérations aux États-Unis. Il n'est pas question d'envisager quelque relance que ce soit. Le Québec est encore sacrifié et ce sont plus de 200 bons emplois syndiqués qui disparaissent.» L'usine de Candiac est le seul site de production canadien de Komatsu. L'entreprise a indiqué que les commandes déjà reçues y seront complétées d'ici la fin juin, et que l'usine fermera définitivement à la fin septembre.
  9. Le constructeur automobile américain General Motors et les vérificateurs de la firme Deloitte et Touche expriment de sérieux doutes quant à la capacité de l'entreprise à survivre à la crise. Pour en lire plus...
  10. La minière IOC abandonne son idée de relancer ses installations à Sept-Îles, fermées depuis 1981. Selon le président et chef de la direction de l'entreprise, cette annonce est inévitable en raison du contexte économique mondial. Pour en lire plus...
  11. L'entreprise met à pied près de 80 de ses 100employés pour deux semaines pour réduire ses stocks. Pour en lire plus...
  12. Loblaws cède sa place à Maxi au Québec Publié le 19 février 2009 à 07h26 | Mis à jour à 07h28 Martin Vallières La Presse (Montréal) Des supermarchés Loblaws (T.L) battent encore de l'aile dans certaines localités du Québec, même plusieurs années après leur implantation. Au point où les dirigeants du géant de la distribution alimentaire ont décidé de remplacer l'enseigne Loblaws de magasins québécois par celle de Maxi&Cie, plus performante comme supermarché à escompte. De telles conversions d'enseignes ont eu lieu récemment dans deux supermarchés de Montréal (boul. Pie-IX) et de Saint-Georges de Beauce, après six ans de fonctionnement sous l'enseigne Loblaws. Et d'autres conversions de ce genre pourraient survenir bientôt, selon le président de Loblaw, Allan Leighton. «Au Québec, les premières conversions de supermarchés Loblaws en Maxi&Cie fonctionnent relativement bien. Nous déciderons au cours des prochains mois quels autres supermarchés Loblaws au Québec devraient être convertis», a indiqué M. Leighton au cours d'une téléconférence d'analystes financiers, hier, après la publication des plus résultats financiers de l'entreprise. Cette rétrogradation de l'enseigne Loblaws au Québec s'effectuera avec le programme accéléré de rénovations de magasins que l'entreprise a mis de l'avant pour son exercice 2009. Au moins 300 magasins dans toute l'entreprise seront touchés par ces investissements, mais à différents niveaux. Les budgets individuels par magasin varieront de 500 000$ jusqu'à 2 millions et plus, selon l'ampleur des travaux. Au Québec, Loblaw compte encore 35 supermarchés de sa propre enseigne. Tous ont été ouverts au cours des 12 dernières années dans de grands édifices bâtis sur mesure. Cette implantation de Loblaw au Québec a aussi été marquée par son acquisition de Provigo, en 1998. Malgré leur forte identification corporative, les supermarchés Loblaws sont demeurés en marge de leurs activités principales au Québec. Ces activités sont centrées sur les quelque 510 supermarchés de tailles diverses et identifiés à Maxi, Provigo et Inter-Marché, notamment. Le marché québécois difficile Par ailleurs, depuis deux ans, en pleine tourmente de réorganisation, les hauts dirigeants de Loblaw ont admis avoir obtenu des résultats décevants sur le marché québécois. L'entreprise avait même inscrit une charge spéciale de 800 millions à titre de radiation d'actif au Québec lors de ses résultats de fin d'exercice 2006. Mais depuis, la haute direction de Loblaw a été complètement chamboulée. Et depuis quelques mois, son guidon principal a été confié à un gestionnaire d'expérience en commerce de détail, Allan Leighton, d'origine britannique et associé de longue date de la famille Weston, qui contrôle Loblaw. Son mandat: accélérer et compléter pour de bon la remise en forme de Loblaw, qui requerra encore quelques centaines de millions de dollars en investissements. Et ce, alors que le contexte économique est le plus inquiétant depuis des années pour la croissance et la rentabilité de l'entreprise. «Cette année (2009) sera très difficile. Je ne crois pas que nous ayons encore vu le pire», a admis M. Leighton hier, au cours de sa présentation des plus récents résultats de Loblaw. Résultats améliorés D'ailleurs, Loblaw a présenté des résultats améliorés pour sa fin d'exercice 2008, malgré le gain particulier provenant d'une semaine d'affaires additionnelle (53 au lieu de 52). Le bénéfice net du quatrième trimestre a atteint 188 millions, comparativement à 40 millions un au auparavant. Les ventes des magasins comparables (ouverts depuis plus d'un an) étaient en hausse nette de 2,7%, après correction pour la semaine additionnelle. Par ailleurs, Loblaw a admis hier qu'un conflit de travail qui paralysait 12 supermarchés Maxi au Québec depuis la mi-octobre avait amputé «environ 1%» à la croissance de ses revenus au quatrième trimestre. Ce conflit est en voie de règlement après une entente intervenue lundi soir, mais non sans la fermeture définitive de deux supermarchés. En 17 semaines, ce conflit de travail aurait coûté au moins 120 millions à Loblaw en ventes perdues, selon les chiffres divulgués hier. Mais sans impact notable sur la rentabilité du trimestre, a-t-on souligné au siège social. Pour tout l'exercice 2008, Loblaw déclare un profit net en regain de 65%, à 545 millions, alors que son chiffre d'affaires progressait de 4%, à 30,8 milliards. En Bourse, les investisseurs ont minimalement apprécié ces résultats, d'autant que Loblaw devra investir davantage dans sa restructuration. Son action a reculé de 1,2%, à 33$, à la Bourse de Toronto, alors que l'indice de marché S&P/TSX était en baisse de 2,5%.
  13. Publié le 19 février 2009 à 06h14 | Mis à jour à 06h18 Montréal, porte d'entrée du financier Stanford au pays Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville. Francis Vailles La Presse (Montréal) «Nous voulons vous informer que la Banque Stanford Internationale n'a aucun investissement dans les fonds Madoff.» Telle est l'assurance que donnait la banque accusée de fraude à ses clients à la mi-décembre, dans la foulée du scandale Madoff. Cette missive, dont La Presse Affaires a une copie, a été transmise aux clients canadiens de la Banque Stanford, en français et en anglais. L'organisation a un bureau en plein centre-ville de Montréal, avenue McGill College, ce qui en fait la porte d'entrée de l'organisation au Canada. Lundi, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a gelé les actifs de la Stanford International Bank et de ses affiliés, accusant l'organisation et ses dirigeants, Robert Allan Stanford, James M. Davis et Laura Pendergest-Holt, de fraude massive. La banque, située dans le paradis fiscal d'Antigua, et ses affiliés Stanford Group Company et Stanford Capital Management, de Houston, au Texas, ont vendu des «certificats de dépôt» totalisant environ 8 milliards US en promettant des rendements irréalistes de plus de 10% depuis 15 ans, selon la SEC. Les investissements de Stanford n'étaient pas liquides, contrairement à ce que les dirigeants affirmaient aux clients; une bonne partie était investie dans l'immobilier et des placements privés, selon la SEC. En outre, l'entreprise est exposée aux fonds Madoff, contrairement à l'assurance faite aux clients. Stanford est présente à Montréal depuis quatre ans, selon le registre des entreprises du Québec. Les locaux sont situés au 30e et dernier étage de la Place Montréal Trust, avenue McGill College, la rue la plus chère à Montréal pour la location de bureaux. Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville, etc. À la réception, impossible d'avoir un entretien avec le directeur, Alain Lapointe. La réceptionniste nous renvoie au département des communications de l'entreprise, situé en Floride, où il n'a pas été possible d'avoir la communication. Plus tôt, au téléphone, la réceptionniste nous avait indiqué que tout continuait à fonctionner normalement selon les instructions des clients. Le bureau de Montréal, le seul au Canada, nous a-t-elle dit, compterait une demi-douzaine d'employés. Au début de décembre, l'entreprise a commencé à faire circuler un nouveau bulletin d'information parmi ses employés et clients appelé Stanford Did You Know. Dans ce document obtenu par La Presse Affaires, l'organisation prétend qu'elle continue à croître malgré la crise financière sans précédent. «Ne vous y trompez pas, nous resplendissons plus que jamais», écrit l'entreprise. La SEC s'interroge d'ailleurs sur les rendements improbables de Stanford. En 2008, selon la SEC, la banque soutient que son portefeuille diversifié n'a perdu que 1,8%, comparativement à 39% pour la Bourse américaine (S&P 500). Selon la SEC, les dirigeants n'ont pas collaboré avec les enquêteurs, qui tentaient notamment de savoir ce qu'il est advenu de 90% des fonds de 8 milliards, placés dans une espèce de «boîte noire» inaccessible. Hier, selon l'agence Bloomberg, le SEC disait ne pas savoir où se trouve Allan Stanford. Pas d'enquête à l'AMF Au Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) n'a pas entrepris d'enquête sur la Banque Stanford. «À la lumière des faits connus, l'AMF n'a pas juridiction, car il s'agit d'une succursale d'une banque étrangère, avec des activités de dépôt», a expliqué Nathalie Drouin, directrice générale du contrôle des marchés de l'AMF. Une telle banque relève plutôt du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), qui a commencé une enquête. Par ailleurs, le directeur de la succursale montréalaise de la banque, Alain Lapointe, est membre du conseil d'administration de l'Association des diplômés de HEC Montréal. À ce titre, il a participé aux campagnes de souscription de l'organisme. M. Lapointe a obtenu son MBA de HEC en 1985. Son nom ne figure pas dans l'acte d'accusation de la SEC. Aucun autre membre du conseil de l'Association n'a de liens avec Stanford et l'organisme n'a pas placé d'argent dans cette banque, nous indique Jacynthe Alain, porte-parole de HEC Montréal. Alain Lapointe n'est pas l'ancien professeur d'économie de cette école, aujourd'hui à la retraite.
  14. Le bénéfice net trimestriel de Telus chute de 29 %, en raison d'ajustements liés aux impôts. L'entreprise enregistre malgré tout une croissance soutenue de ses produits sans fil et de transmission de données. Pour en lire plus...
  15. Création de 500 nouveaux emplois chez Vidéotron en 2009 Feb 11, 2009 12:34 ET MONTREAL, QUEBEC--(Marketwire - 11 fév. 2009) - L'entreprise poursuit ses efforts de recrutement afin de combler plus de 500 postes permanents en 2009. Plus de 330 emplois permanents sont actuellement affichés sur le site videotron.com/carrières pour combler des postes dans tous les services de l'entreprise, de l'Ingénierie à l'Informatique en passant par le Service à la clientèle, le Service technique, les Finances, le Marketing, la Construction et l'Entretien de réseau, et les Ressources humaines. Des centaines de nouveaux emplois d'ici la fin de 2010 A elle seule, la construction du nouveau réseau de télécommunications sans fil, un projet qui représente des investissements d'entre 800 millions et 1 milliard de dollars, permettra la création de plusieurs centaines de nouveaux emplois chez Vidéotron au cours des deux prochaines années. Ces embauches se feront principalement au sein des secteurs de l'ingénierie et de l'informatique; emplois qui s'ajouteront à quelques centaines d'autres actuellement en recrutement au sein d'autres projets corporatifs et à l'embauche de ressources additionnelles dans les entreprises qui participeront à la construction du réseau. "Depuis que Vidéotron a entrepris son virage client, en 2003, elle a presque doublé son équipe, qui regroupe aujourd'hui plus de 4200 personnes. En cette période d'incertitude économique, l'entreprise est heureuse de contribuer à l'économie du Québec en générant un nombre important d'emplois et en offrant de belles possibilités de carrière", affirme Robert Dépatie, président et chef de la direction. Des emplois de qualité Au cours de la dernière année, Vidéotron a investi plus d'un demi-million de dollars dans la formation et le perfectionnement de ses conseillers du Service à la clientèle, du Service technique et de ses gestionnaires - toutes catégories confondues. Par ailleurs, l'entreprise accompagne les employés souhaitant grandir au sein de l'entreprise en leur offrant de nombreuses possibilités d'avancement. Les employés peuvent également bénéficier d'un salaire intéressant, d'un régime de bonification, d'un régime de retraite à prestations déterminées et d'un programme d'assurance très avantageux. Les profils recherchés L'entreprise est à la recherche de candidats aux formations très pointues comme des ingénieurs en télécommunications, des analystes de réseau IP et des analystes programmeurs, de même que de candidats avec des formations plus générales pour des postes de conseiller au Service à la clientèle, de technicien et d'agent de ventes dans les kiosques, entre autres. Les efforts de recrutement ont notamment permis de développer des partenariats avec des écoles spécialisées et des universités et de mettre en place des stages et des programmes de bourses pour sensibiliser les jeunes aux nombreuses possibilités offertes par l'industrie des télécommunications. "Vidéotron s'adapte aux besoins du travailleur et répond à la nécessité d'une plus grande flexibilité en appliquant des programmes basés sur les nouvelles réalités comme le travail à horaire comprimé et le télétravail", précise M. Dépatie. Pour soumettre sa candidature Tous les postes sont affichés sur le site de videotron.com et sur Jobboom. Les candidats sont invités à postuler en ligne à partir de la section carrières corpo.videotron.com/site/carrieres/index-fr.jsp où on leur demande de répondre à un questionnaire et d'y joindre leur CV. Vidéotron ltée (http://www.videotron.com), filiale à part entière de Quebecor Media inc., est une société intégrée de communications oeuvrant dans les domaines de la télédistribution, du développement multimédia interactif, des services d'accès Internet, de la téléphonie par câble et de la téléphonie sans fil. Vidéotron est un chef de file en nouvelles technologies, grâce notamment à son système de télévision interactive illico et à son réseau à large bande lui permettant d'offrir, entre autres services, l'accès Internet haute vitesse par modem câble et la télévision en modes analogique et numérique. Au 30 septembre 2008, Vidéotron comptait au Québec 1 691 500 clients à son service de télédistribution, dont 876 700 clients à illico télé numérique. Vidéotron est également le numéro un de l'accès à Internet haute vitesse au Québec avec 1 031 400 clients à ses services par modem câble au 30 septembre 2008. A cette date, Vidéotron avait activé 58 600 lignes de son service sans fil et assurait le service de téléphonie par câble à 797 900 foyers et organisations du Québec.
  16. L'entreprise de Mirabel annonce la mise à pied de 500 employés pour une période de trois mois. Pour en lire plus...
  17. Air France ajoute des vols vers Montréal Publié le 30 janvier 2009 à 06h31 | Mis à jour à 06h32 Marie Tison La Presse (Montréal) Alors qu'un bon nombre de transporteurs aériens réagissent au ralentissement économique en réduisant leur capacité, Air France s'engage sur le sentier de la guerre en augmentant de 11% sa capacité sur la liaison Montréal-Paris. Le transporteur veut faire jouer son arme secrète, une multiplication des fréquences. «Je suis encore optimiste», a déclaré le directeur général de la filiale internationale et des Pays-Bas d'Air France-KLM, Erik Varwijk, dans une entrevue accordée à La Presse Affaires hier. L'été dernier, Air France offrait trois vols quotidiens entre Montréal et Paris. L'été prochain, le transporteur offrira un vol additionnel. Il utilisera certains appareils plus petits que ceux de l'année dernière, mais le nouveau vol lui permettra quand même d'offrir une centaine de sièges de plus. M. Varwijk a affirmé que le coefficient d'occupation de l'été dernier justifiait cette décision. Mais il a surtout insisté sur le fait que l'ajout d'un nouveau vol offrait plus de flexibilité aux passagers et leur donnait accès à un plus grand nombre de correspondances à l'aéroport Charles-de-Gaulle, notamment vers l'Afrique et l'Asie. «C'est une façon logique d'attirer de nouveaux clients», a affirmé M. Varwijk. Dans l'ensemble, Air France-KLM n'augmentera pas sa capacité cette année. Si Air France augmente sa capacité vers le Canada, l'Amérique du Sud et l'Afrique, elle la diminue pour l'Inde. «Nous gardons une flexibilité à la hausse et à la baisse, a déclaré M. Varjwijk. Nous pouvons ajouter ou diminuer des fréquences, nous pouvons ajouter ou retirer des appareils.» L'entreprise a notamment retardé la prise de possession de certains appareils, comme des Boeing 777. Par contre, Air France devrait recevoir comme prévu l'été prochain le premier des 12 appareils A380 commandés à Airbus. «L'A380 est encore une bonne idée, c'est encore un avion très efficace», a plaidé M. Varwijk. Air France n'a pas encore déterminé de façon définitive où elle fera voler l'A380, mais ce ne sera pas sur la liaison Montréal-Paris. Encore une fois, il s'agit de faire jouer l'avantage de la multiplication des fréquences. L'utilisation de l'énorme A380 aurait forcé le transporteur à réduire le nombre de vols quotidiens entre les deux villes. M. Varwijk estime qu'Air France-KLM peut compter sur d'autres avantages pour tirer son épingle du jeu dans le contexte actuel. «La situation financière de l'entreprise est solide, a-t-il soutenu. Nous pouvons passer au travers la tempête.» Il a notamment soutenu que, cinq ans après la fusion d'Air France et KLM, il y a encore bien des synergies à aller chercher. L'entreprise n'a fait que commencer à combiner ses équipes de vente à l'échelle mondiale, ses systèmes informatiques et ses équipes d'approvisionnement. En outre, Air France-KLM s'apprête à lancer une coentreprise avec Delta-Northwest, ce qui permettra aux entreprises de partager les revenus liés aux liaisons entre l'Europe et l'Amérique du Nord. «Ce n'est pas quelque chose de nouveau, cela faisait déjà 11 ans que KLM avait formé une coentreprise avec Northwest», a-t-il rappelé. Air France-KLM a également annoncé récemment une prise de participation de 25% dans le transporteur italien Alitalia. «L'avenir est dans la coopération entre les transporteurs», a lancé M. Varwijk. Air France-KLM n'entend cependant pas répondre au ralentissement en adoptant une grille tarifaire à la Air Canada. Le transporteur canadien offre ses différents services à la carte. Le tarif est plus élevé si le passager désire plus de flexibilité, ou s'il veut un repas, ou s'il veut enregistrer des bagages supplémentaires. «C'est quelque chose qu'on voit moins en Europe, a déclaré M. Varwijk. Si les clients veulent ce type de différenciation, nous regarderons l'idée, mais pour l'instant, il n'y a pas une grande demande pour cela.» Par ailleurs, Air France-KLM ne ferme pas la porte à l'idée de commander un jour des appareils de la CSeries, la nouvelle famille d'appareils de 110 à 130 places de Bombardier. M. Varwijk a cependant déclaré que l'entreprise regardait également du côté d'Embraer, et même des nouveaux manufacturiers de biréacteurs régionaux de Russie et de Chine.
  18. Lors de son premier trimestre, l'entreprise forestière Tembec a enregistré des pertes de la même ampleur qu'à la même période l'an dernier. Pour en lire plus...
  19. La patronne de Home Depot Canada affirme que l'entreprise ne sera pas affectée par la décision prise par sa société mère d'éliminer 7000 emplois. Pour en lire plus...
  20. Fiat est l'entreprise symbole de l'Italie qui a réussi ces dernières années un redressement spectaculaire sous la férule d'un patron atypique, Sergio Marchionne. Pour en lire plus...
  21. Secouée, comme d'autres, par le ralentissement économique, l'entreprise Plastiques Moore, de Saint-Damien, vient de trouver un peu de réconfort. Pour en lire plus...
  22. Akio Toyoda arrive plus tôt que prévu à la barre de l'entreprise ébranlée par la crise économique mondiale. Pour en lire plus...
  23. Le quotidien new-yorkais rapporte qu'un milliardaire injecterait 250millions de dollars américains pour renflouer les coffres de l'entreprise. Pour en lire plus...
  24. L'entreprise croule sous les dettes et ses usines de Pokemouche et d'Atholville, dans le nord du Nouveau-Brunswick, devraient bientôt fermer. Pour en lire plus...
  25. Les usines Fils Atlantique et Fils Fins Atlantique, à Atholville et à Poquemouche au Nouveau-Brunswick, sont à nouveau au bord de la faillite. Pour en lire plus...
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