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  1. L'ex-président de Shell Canada, David Collyer, accède à la présidence de l'Association canadienne des producteurs pétroliers. Pour en lire plus...
  2. L'entente de principe, dont les détails n'ont pas été dévoilés, sera soumise au vote des membres de l'Association des policiers des Chemins de fer nationaux du Canada. Pour en lire plus...
  3. L'industrie mondiale du transport aérien va afficher des pertes de plus de 5,2 G$ US pour 2008, essentiellement en Amérique du Nord, a estimé mercredi l'association du transport aérien international (IATA). Pour en lire plus...
  4. Un rapport préparé pour l'Association des comptables généraux accrédités fait 12 suggestions pour contrer la pénurie de main-d'oeuvre qualifiée au Canada. Pour en lire plus...
  5. Les Américains voyagent à l'étranger autant qu'auparavant, sauf au Canada La Presse canadienne Édition du lundi 11 août 2008 Halifax -- Les organismes de l'industrie du tourisme aux États-Unis affirment que les Américains voyagent à l'étranger autant qu'auparavant, cet été, sauf au Canada. Selon eux, la faiblesse de l'économie et du dollar américains n'a dans l'ensemble pas incité les Américains à renoncer à leurs projets de voyage afin de demeurer à la maison. Les résultats d'un nouveau sondage effectué auprès de 2230 Américains, rendus publics vendredi par l'Association de l'industrie touristique des États-Unis, révèlent que seulement neuf pour cent des adultes projettent de passer leurs vacances au pays. Ce sondage succède à une autre étude dévoilée plus tôt cet été par l'Association automobile américaine (AAA), selon laquelle les réservations pour des voyages organisés en Europe ont chuté de cinq pour cent cette saison, tandis que les voyages au Canada ont diminué. Mike Pina, porte-parole de l'AAA, a affirmé que «le Canada n'est pas l'aubaine que les gens croyaient qu'il était auparavant», expliquant la situation par la vigueur du dollar canadien. Il a ajouté que, avec l'entrée en vigueur prochaine de nouvelles réglementations au chapitre du passeport pour les Américains souhaitant se rendre au Canada, davantage de gens se procurent le document et envisagent de voyager plus loin pour la première fois. «Il y a davantage de concurrence à une période de l'année qui est importante pour [le tourisme canadien]», a-t-il indiqué. Une chute d'un million de visiteurs Les voyages effectués par les Américains à l'étranger ont fortement augmenté, après avoir été en chute libre à la suite des attentats du 11 septembre 2001. Leur nombre est passée de 56,2 millions de voyageurs en 2003 à un chiffre sans précédent de 64,1 millions l'an dernier, selon le ministère américain du Commerce. Pendant la même période, le nombre des Américains qui ont voyagé au Canada a chuté d'environ un million de visiteurs, alors que celui des Américains qui se sont rendus en Allemagne, au Japon, en Espagne et en Inde, entre autres destinations, a augmenté d'au moins 10 pour cent. Le président de l'Association de l'industrie touristique du Canada (AITC), Randy Williams, affirme ne pas être étonné. «Le dollar [canadien] valait habituellement 65 cents [américains] et les coûts de l'essence étaient peu élevés, c'était donc facile et nous étions gâtés, cela ne fait aucun doute», a affirmé M. Williams, selon lequel les touristes américains ont longtemps été perçus comme des «fruits prêts à être cueillis».
  6. L'Association des hôtels du grand Montréal lance un appel pressant aux employés afin qu'ils se prononcent au plus tôt sur les propositions patronales. Pour en lire plus...
  7. Pendant ce temps, les ventes reculaient, a révélé mardi l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  8. Un rapport déposé mardi au sujet de la relance de l'industrie forestière canadienne fait l'unanimité à la Chambre des communes. Le président et chef de la direction de l'Association des produits forestiers du Canada (APFC) l'accueille aussi favorablement. Pour en lire plus...
  9. Dans le journal de montreal sous la signature de Martin Smith, on pouvait lire le 22 avril: Le stade Saputo prefere au BMO field pour le match retour entre le Canada et Saint-vincent-et-les-Grenadines. Le stade Saputo n'a pas encore ete inaugure qu'il se permet deja un joli pied de nez au BMO field de Toronto pompeusement surnomme " stade national du soccer au Canada " En effet l'Association canadienne de soccer annoncera aujourd'hui....... Et l'article se termine ainsi " le grand patron Joe Saputo a donc pu decider d'eriger un stade concu specifiquement pour le soccer avec un terrain de gazon naturel, surface preferee par la tres vaste majorite des joueurs. Pour une fois le comite executif de l'Association canadienne a pris une decision en tenant doublement compte des souhaits exprimes par les joueurs plutot que sur le niveau des revenus escomptes. Le choix de Montreal et du stade Saputo devant Edmonton et son immense stade du Commonwealth, par exemple, s'explique par un autre souhait des joueurs, majoritairement bases en Europe, ils tiennent a jouer autant que possible dans l'est du Canada afin d'eviter d'avoir a combattre les effets d'un trop grand decalage horaire. Le choix du stade Saputo pour la rencontre du 20 juin fournira une occasion supplementaire aux Montrealais de faire rager leurs ennemis jures de Toronto. En effet, si les Quebecois assurent un succes populaire au match contre Saint-vincent-et-les-Grenadines ainsi qu'aux eventuelles rencontres contre le Honduras et le Mexique, il ne faudrait pas s'etonner que le stade Saputo devienne le veritable stade de predilection de l'equipe du Canada ". En effet la nouvelle devait se confirmer plus tard .
  10. Québec s'attaque à l'évasion fiscale Dernières nouvelles (archives) Le gouvernement du Québec intensifie ses efforts dans la lutte contre l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration. Radio-Canada a appris que le ministère du Revenu annoncera lundi le lancement d'un projet pilote pour contrer ce phénomène. Revenu Québec va installer gratuitement un logiciel d'enregistrement fiscal dans une cinquantaine de restaurants pour comptabiliser leurs véritables revenus. Le projet se fera en accord avec l'Association des restaurateurs du Québec. Le gouvernement souhaite que tous les restaurants soient équipés de ce logiciel d'ici 2011. Chaque année, l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration prive le trésor public du Québec de 425 millions de dollars. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2008/01/25/002-Restauration-Fiscal.shtml
  11. MONTREAL, le 2 oct. /CNW Telbec/ - M. Gilbert Grimard, président de l'Association de la Construction du Québec (ACQ) invite les représentants des médias à une rencontre de presse, le jeudi 4 octobre prochain à 11 h 00, au cours de laquelle sera dévoilée une étude économique portant sur les prospectives de l'industrie de la construction du Québec 2007-2012. M. Daniel Denis, président du conseil et associé chez SECOR, présentera cette nouvelle étude qui apporte un regard sur les cinq prochaines années et s'avère déterminante pour la planification stratégique des projets de construction. Au début de l'année 2007, l'Association de la construction du Québec demandait au Groupe SECOR de mettre à jour l'étude prospective de l'industrie de la construction réalisée en l'an 2000. Cette étude a pour but de réévaluer les tendances lourdes identifiées lors de l'étude de 2000 et d'analyser les impacts de ces tendances et des nouvelles tendances identifiées auprès des différents acteurs de l'industrie.
  12. La Presse Le vendredi 24 août 2007 Les beaux jours du nightlife pourraient tirer à leur fin dans le Vieux-Montréal: l'association des résidants demande à l'arrondissement de Ville-Marie d'imposer un moratoire sur le nombre de bars dans le secteur historique. Le dossier sera étudié cet automne La population du Vieux-Montréal, qui a triplé en 15 ans, atteignant 5550 résidants cette année, en a assez du bruit, de la musique, et du chahut à 3h du matin. La nouvelle présidente de l'Association des résidants du Vieux-Montréal, Ginette Major, croit qu'il faut un contrôle plus serré, comme pour les calèches, dont le nombre de permis est passé de 40 à une vingtaine. «Le bruit est pire depuis qu'il est interdit de fumer à l'intérieur des bars, assure Mme Major. Cet été, il y a eu de nombreux attroupements et les incivilités ont augmenté. Je pense qu'il faut inventorier les bars, connaître leur emplacement, et prendre en considération les gens qui habitent autour.» À l'arrondissement, on admet que les plaintes ont été plus nombreuses cet été, notamment contre des établissements des rues Saint-Paul et Saint-Jacques. Un cas problème a même abouti entre les mains de l'ombudsman de la Ville de Montréal, qui a tranché en faveur des résidants dont les fenêtres donnent sur la terrasse du bistro Boris, rue McGill. Depuis, l'établissement ne fait plus jouer de musique à l'extérieur, assure le propriétaire. «Nous avons été saisis de la demande des résidants pour obtenir un moratoire cette semaine, explique Jacques-Alain Lavallée, chargé de communication à l'arrondissement. C'est certain que ce sera l'un des sujets chauds de l'automne. On va étudier la problématique et voir s'il est nécessaire d'apporter des changements au règlement.» À la table de concertation du Vieux-Montréal, Gilles Morel, qui représente la Ville, ajoute que le moratoire est une mesure urbaine rarement utilisée. Il pense qu'il faut tout d'abord étudier d'autres possibilités. Dans le même registre, l'arrondissement de Ville-Marie tiendra des consultations publiques, la semaine prochaine, pour maintenir le nombre de bars techno (after-hours) à deux dans le centre-ville. Il y a présentement deux établissements de ce genre au centre-ville, le Circus et le Stereo Afterhour, qui sont voisins, rue Sainte-Catherine Est. Le propriétaire du Stereo, Pierre Guido, croit de toute façon que le marché est saturé pour ce genre d'établissement de danse de nuit, qui ne sert pas d'alcool. Et qui fait jouer de la musique de DJ. «C'est une mode, dit M. Guido. Dans quelques années, le phénomène va peut-être disparaître. Je crois que l'arrondissement prend une bonne initiative.» En limitant le nombre de ces établissements au centre-ville, l'arrondissement répond aux souhaits de l'Association des résidants et résidantes des Faubourgs de Montréal, qui demandait depuis cinq ans un moratoire sur leur nombre. Encore là, les plaintes concernaient le bruit, et les attroupements aux abords des rues résidentielles.
  13. jeudi 21 juin 2007 Une nouvelle structure donnera plus de pouvoirs aux villes reconstituées Loin de simplifier les mécanismes décisionnels sur l'île de Montréal, le gouvernement de Jean Charest propose d'ajouter une structure qui s'additionnera au conseil d'agglomération tant décrié et qui accordera aux villes reconstituées un pouvoir accru. Comme l'a appris Le Devoir de sources diverses, le projet de loi que déposera à l'Assemblée nationale ce matin la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, ajoutera une pierre à l'édifice déjà chancelant de la gouvernance montréalaise. La nouvelle structure prendra l'allure d'un secrétariat dédié au conseil d'agglomération, autonome par rapport à la Ville de Montréal et, surtout, paritaire.Ainsi, les villes de banlieue qui estimaient que leur quote-part au sein de la défunte Communauté urbaine de Montréal (CUM) était toujours trop élevée, qui ont résisté par la suite au mouvement de fusion, qui ont exigé les défusions et qui ont réussi, pour quinze d'entre elles, à récupérer leur identité première, ces villes retrouveront également un poids politique face à Montréal. Représentant 13 % de la population de l'île de Montréal, ces dernières obtiendront une voix aussi forte que celle de Montréal au sein de ce secrétariat. Cette structure ne serait pas décisionnelle mais aurait le pouvoir d'orienter les discussions lors des réunions du conseil d'agglomération. Elle pourrait également demander des avis, commander des études et exiger de Montréal, où la fonction publique détient une large part de l'expertise, de produire certaines analyses. À l'hôtel de ville de Montréal, l'heure était hier à l'inquiétude et à une certaine irritation face à ces changements dont la facture sera payée à 80 % par les Montréalais. «Cela accentuera le climat de chicane. Cela ne trompe personne: le gouvernement Charest a un préjugé favorable envers la classe bien nantie anglophone de l'ouest de l'île», a-t-on fait valoir en coulisse. Une autre personne a fait valoir que «les libéraux ont besoin de mettre un peu de baume sur le coeur de la communauté anglophone» compte tenu du contexte de gouvernement minoritaire. Le même projet de loi ouvrirait la porte à de nouveaux pouvoirs de taxation pour Montréal. Il s'agit notamment du retour de la taxe d'amusement (taxe sur les billets de spectacles) et d'une taxe sur les stationnements commerciaux. Mais les revenus que produiraient ces éventuelles taxes ne serviraient qu'à compenser les nouvelles dépenses reliées au secrétariat du conseil d'agglomération, croit-on à Montréal. Si le poids politique de Montréal devait être réduit, de nombreux dossiers pourraient prendre une nouvelle direction. Les décisions concernant les infrastructures routières d'importance, les grands parcs ou les usines de filtration d'eau pourraient être colorées par les besoins des villes de banlieue qui diffèrent parfois de ceux des Montréalais. Du côté des villes reconstituées, on avait peine hier à contenir un certain enthousiasme. La mairesse de Westmount et porte-parole de l'association des maires de banlieue, Karen Marks, s'est bornée à dire que ce serait positif. La mairesse de Mont-Royal, Vera Danyluk, n'a pas caché une certaine satisfaction. «C'est un pas dans la bonne direction. Il faut arriver à un modus vivendi. On a besoin d'une structure qui travaille pour toute l'île, indépendante et objective», a-t-elle souligné. Actuellement, le conseil d'agglomération s'appuie essentiellement sur Montréal. En septembre dernier, l'association des maires des villes de banlieue avait officiellement réclamé un changement de structure. On évoquait notamment la possibilité que le conseil d'agglomération bénéficie d'un secrétariat indépendant comme c'était le cas pour la CUM. L'association s'appuyait alors sur l'analyse commandée auprès du consultant Pierre Lortie. M. Lortie a présidé le comité de transition de Montréal lors des défusions. Une fois son mandat terminé, il a vendu ses services aux villes de banlieue qui l'ont rappelé à la rescousse au cours des derniers mois. Pierre Lortie est un proche du premier ministre Jean Charest et de la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget. D'ailleurs, cette dernière a souligné lundi dernier en conférence de presse, concernant l'annonce du mode de PPP retenu pour la construction des deux méga-hôpitaux universitaires à Montréal, la rigueur de M. Lortie. Le dossier préparé par M. Lortie pour les villes de banlieue, intitulé Pour assurer le succès et le développement harmonieux de l'île de Montréal, conclut que le conseil d'agglomération est «mal conçu et mal utilisé» et entraîne même des abus. «La structure et la gouvernance actuelles sont dysfonctionnelles et doivent être abolies», peut-on lire dans le rapport de M. Lortie.
  14. Presse Canadienne 05/03/2007La Fédération canadienne des municipalités et son Caucus des maires des grandes villes pressent le gouvernement du Canada d'adopter une stratégie nationale de transports en commun comportant des mesures concrètes pour s'attaquer aux changements climatiques, mais également pour accroître la compétitivité des villes et améliorer la qualité de vie. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010. Gérald Tremblay, maire de Montréal, croit que le transport en commun accroît l'attractivité et la compétitivité des régions métropolitaines. Il rappelle que le secteur des transports représente 30 pour cent des émissions de gaz à effet de serre du Canada, et les véhicules particuliers produisent, à eux seuls, 70 pour cent des émissions de ce secteur. Compte tenu qu'un autobus peut transporter autant de passagers que 50 voitures et qu'il pollue 18 fois moins, il serait logique de convaincre les Canadiens de ranger leur voiture et de prendre les transports en commun, selon les maires. Les maires reconnaissent que le gouvernement fédéral investit déjà dans les transports en commun, mais ils soutiennent que les besoins sont de beaucoup supérieurs aux gestes fédéraux consentis. Les maires demandent aussi d'intégrer l'aménagement du sol et la planification des transports, d'adopter des mesures pour inciter la population à choisir les transports en commun, de mener des recherches pour stimuler l'utilisation des transports en commun et de mettre en oeuvre des mesures de reddition de comptes visant tous les ordres de gouvernement. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010.
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