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  1. Vert, la couleur de l'avenir. Les millions d'amis de Facebook et les fans d'Apple ne trouvent pas très cool que leurs entreprises chéries carburent au charbon et aux autres formes d'énergie polluantes. Aussi, quand Greenpeace a publié il y a quelques semaines un classement des entreprises technologiques les plus propres, les réactions ne se sont pas fait attendre. Des manifestations ont été organisées et des annonces ont suivi. Apple, une des entreprises qui utilisent le plus le charbon pour alimenter ses centres de données, a fait savoir qu'elle abandonnerait complètement cette forme d'énergie d'ici un an dans ses trois installations des États-Unis situées en Caroline du Nord, en Californie et en Oregon. Les modalités de cette conversion totale à l'énergie propre restent à préciser. Les panneaux solaires et les piles à combustible capables de générer de l'électricité avec des biogaz sont au nombre des moyens que compte utiliser Apple pour réduire sa dépendance aux énergies sales. C'est tout un défi pour une entreprise de cette taille. En Californie, où est situé le siège social d'Apple et le plus gros de ses centres de données, l'entreprise doit s'approvisionner auprès de Duke Energy, le seul fournisseur d'électricité de la région qui utilise surtout du charbon. Comme Apple, toutes les entreprises technologiques chassent désespérément les sources d'énergies vertes pour leurs serveurs, dont l'aliment de base est l'électricité. Google, qui a déjà songé à installer les siens sur le site de l'aéroport désaffecté de Mirabel, investit massivement dans le développement des sources d'énergie verte. L'entreprise de Silicon Valley consacre près d'un milliard de dollars américains pour augmenter la production d'énergie solaire et éolienne. Elle achète autant de kilowattheures propres qu'elle le peut mais elle doit malgré tout se contenter d'un bilan assez moyen: seulement 30% de toute l'énergie consommée par Google est renouvelable. Google s'est engagée à réduire à zéro son empreinte carbone, mais pas à tout prix. À ceux qui se demandent pourquoi l'entreprise ne s'installe pas là où il y a de l'énergie propre en abondance, elle répond ceci sur son site internet: les endroits qui ont le plus d'énergie propre ne sont pas nécessairement ceux où un centre de données peut le mieux servir ses clients. S'il y a des milliers de kilomètres entre les deux, le délai de réponse peut devenir un problème, même s'il se mesure en milliseconde. Il y a mille millisecondes dans une seconde. Il faut par exemple 20 millisecondes à une information pour franchir 2000 kilomètres. Ce problème de latence, comme on l'appelle dans l'industrie, peut toutefois être géré et atténué en améliorant la qualité du réseau de transmission. Une explosion de données La musique, les livres, les films se sont dématérialisés et réincarnés dans des centaines de millions de serveurs répartis dans des milliers de centres à travers le monde. Un centre de données informatiques conserve des informations numérisées qui doivent être accessibles rapidement et en tout temps, explique Éric Chouinard, qui a cofondé iWeb, une entreprise d'hébergement de données à Montréal en 1996. Pour être efficace, il a besoin d'une source d'énergie fiable et peu coûteuse. Les serveurs sont énergivores et leur fonctionnement dégage beaucoup de chaleur, qui doit être évacuée. La climatisation représente donc une portion importante de la facture énergétique. Le tiers de la consommation d'électricité sert à refroidir l'espace, d'où l'intérêt de s'installer un centre dans des climats frais, précise Eric Chouinard. iWeb paie chaque mois 300 000$ en électricité à Hydro-Québec pour l'alimentation de ses 35 000 serveurs répartis dans quatre centres. En plus de l'énergie, un centre de données a besoin d'un réseau double de fibre optique, pour continuer de fonctionner en cas d'avarie sur l'un des deux. L'accès à une main-d'oeuvre qualifiée est aussi un ingrédient important, selon le cofondateur de iWeb, qui compte 200 employés, et qui fait de la recherche-développement. Tous ces ingrédients qui font le succès d'un site d'hébergement, Éric Chouinard les a trouvés à Montréal. Son entreprise réalise maintenant un chiffre d'affaires de 45 millions et a des clients dans 150 pays. Depuis des années, le jeune entrepreneur dit à qui veut l'entendre que le Québec aurait intérêt à être plus accueillant pour les centres de données informatiques. Il en est plus convaincu que jamais. «Le nombre d'emplois est à considérer, mais il y a aussi tout un écosystème qui tourne autour des centres de données», estime-t-il. Le développement rapide de l'informatique en nuage, qui permet aux entreprises de sous-traiter le stockage d'un nombre croissant de données, laisse présager une augmentation fulgurante du nombre de centre de données. Selon une étude réalisée par la firme IDC pour le compte de Microsoft, 1,5 million d'emplois ont été créés dans le monde par l'informatique en nuage en 2011. Au Canada, la firme prévoit que 70 000 nouveaux emplois y seront reliés d'ici la fin de 2015. Pour Éric Chouinard, le calcul est vite fait: si le Québec obtient une part équivalente à son poids dans le Canada, ça peut vouloir dire 15 000 emplois de plus. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528702-vert-la-couleur-de-lavenir.php
  2. Publié le 17 juin 2009 à 11h30 | Mis à jour le 17 juin 2009 à 11h35 L'avenir du Québec passe par les «cleantech» Pierre Harvey Il ne se passe pratiquement pas une journée sans que le terme «cleantech» nous apparaisse sur internet ou dans les journaux d'ici et d'ailleurs dans le monde. Cette tendance claire vers les investissements et le réseautage vert, les technologies propres et renouvelables résumés sous le vocable «cleantech» n'est qu'un début et pourrait bien devenir l'une des plus grande industries du Québec de demain. En effet, il ne faut voyager qu'un peu dans le monde pour réaliser que nous pouvons déjà profiter d'une réputation tout à fait enviable au niveau de la production d'énergie propre et renouvelable, une importante avance dans le domaine des technologies des transports vert et surtout une connaissance très développée des technologies visant à économiser l'énergie et en gérer sa production. En se donnant les moyens de nos ambitions, en forgeant notre réseau mondial et en investissant massivement dans le secteur des «cleantech», le Québec pourrait être le porteur nord-américain, voire même la porte d'entrée vers l'Europe et le reste du monde pour l'ensemble des technologies développées chez nous, mais aussi ailleurs en Amérique du Nord. Ces technologies qui mettent en valeur notre savoir-faire et notre positionnement géographique stratégique baigné par une abondance d'eau, de vent et de ressource forestières unique au monde sont notre «or vert». Nous disposons déjà de tout cela sur le même territoire. Nous pouvons nous présenter dans tous les salons de l'environnement qui se tiennent sur la planète en bénéficiant d'une réputation enviable et bâtie au fil des 40 dernières années grâce à Hydro-Québec, carburer avec la réputation de grandes entreprises comme Kruger Énergie, mais aussi viser l'avenir et damer le pion au reste du monde grâce à de nouvelles entreprises comme Enerkem, AAER et des centaines d'autres qui, tranquillement, s'imposent sur la scène des «cleantech» avec une énergie capable de conquérir la planète. Ces entreprises de chez-nous qui gagnent des prix ou des appels d'offres internationaux et qui font leurs chemins graduellement dans ce secteur d'avenir. Mais pour réussir à nous imposer comme leader incontesté des «cleantech» et du virage vert, il nous faudra voir plus loin que la seule production d'énergie et surtout la seule intégration de technologies visant à simplement produire plus pour exporter ou pour combler plus de besoins de consommation. Évidemment pour nous, le nerf de la guerre est représenté par notre besoin de vendre de l'énergie aux Américains et il ne faut absolument pas passer à côté de cette opportunité économique cruciale pour notre développement, cela va de soi. Les initiatives actuelles des gouvernements et les opérations charme, effectuées en ce sens sont tout à fait louables et nécessaires. Le secret de la sauce pour l'avenir du Québec, réside aussi dans la capacité de ses leaders économiques et politiques à envisager non seulement notre capacité à produire plus et mieux, mais à augmenter la somme de nos efforts visant à économiser plus et mieux gérer l'énergie produite et l'énergie utilisée souvent et malheureusement, gaspillée. La combinaison de ces deux facteurs fera du Québec, une puissance économique incontournable mais aussi une référence en matière de résilience environnementale, de respect des peuples fondateurs et d'arrimage entre l'excès et les besoins fondamentaux. Les investissements en infrastructures lancés en grande pompe par les gouvernements pour encourager la reprise économique devraient favoriser particulièrement l'intégration de technologies comme la géothermie par quartiers regroupés, encourager les nouvelles technologies de recyclage et de réduction des déchets, la valorisation de la biomasse, l'utilisation des déchets comme source d'énergie, les services de proximité, la production locale à plus petite échelle et surtout soutenir les initiatives qui visent à maintenir notre réputation très enviée de leader de la protection de l'environnement en Amérique du Nord. Il faut aussi profiter de l'enthousiasme de certains environnementalistes comme David Suzuki qui prend le Québec comme modèle et implante même sa Fondation chez nous. D'autres, plus controversés comme Robert Kennedy Jr. qui reconnaît aussi en nous, Québécois, un peuple capable de grandes réalisations en matière de protection de l'environnement, mais aussi capable de tolérance et de défenses de valeurs sociales qui ne se retrouvent que très peu ailleurs en Amérique du Nord. Ils n'ont certainement pas à être d'accord avec nous sur tous les points, mais nous avons encore une belle longueur d'avance grâce à l'opinion qu'ils ont de nous et de notre société. Finalement c'est le fragile équilibre entre nos objectifs de production d'énergie, la reconnaissance que le monde porte à notre égard à cause de nos 40 années et plus d'expertise en hydroélectricité, mais aussi notre capacité et notre résilience à pouvoir trouver des solutions pour économiser et réduire notre consommation d'énergie qui seront notre avantage concurrentiel sur la scène mondiale. Il n'y aura que très peu de sociétés qui pourront se vanter de posséder ces deux atouts en parallèle, très peu. C'est notre avenir à tous. L'auteur est président de Harvey International Inc. à Sherbrooke.
  3. La Régie de l'énergie accorde à Hydro-Québec une augmentation de 1,2% de ses tarifs à partir du 1er avril prochain, ce qui constitue une hausse globale de 18,2 % de ses tarifs depuis 6 ans. Pour en lire plus...
  4. Ni la chute des prix de l'énergie ni la crise financière ne mettent en danger le projet de terminal de gaz naturel liquéfié que Gaz Métro et ses partenaires veulent construire à Lévis. Pour en lire plus...
  5. La Bourse de Toronto a mal entrepris la semaine, perdant du terrain en raison du recul des cours pétroliers, qui ont nui au secteur de l'énergie. Pour en lire plus...
  6. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) pourrait procéder à une nouvelle baisse de sa production en mars à sa prochaine réunion à Vienne si les cours du brut restent à la baisse, a déclaré samedi à Alger le ministre algérien de l'Energie et des mines Chakib Khelil. Pour en lire plus...
  7. À la suite de l'OPEP, l'Agence internationale de l'énergie prédit une baisse de la demande mondiale de 0,2% en 2009 en raison «d'une économie mondiale déprimée». Pour en lire plus...
  8. L'Agence internationale de l'énergie prévoit que la détérioration de l'économie globale causera un déclin mondial pour la deuxième année de suite. Pour en lire plus...
  9. Le marché boursier torontois a clôturé en forte hausse mardi, après que les actions du secteur de l'énergie eurent connu un regain de vie. Pour en lire plus...
  10. La demande mondiale d'or noir devrait reculer cette année pour la première fois depuis 25 ans, projette jeudi l'Agence internationale de l'Énergie. Pour en lire plus...
  11. La Régie de l'énergie étudie à partir de lundi la demande d'Hydro-Québec d'augmenter de nouveau ses tarifs de 2,2% en moyenne. Pour en lire plus...
  12. La rentabilité a été affectée dans une certaine mesure par la hausse des coûts des matières premières et de l'énergie, a précisé la société. Pour en lire plus...
  13. La société d'État a plus que doublé ses profits au cours du troisième trimestre par rapport à l'an dernier, en raison de l'accroissement des exportations d'électricité et du prix élevé de l'énergie. Pour en lire plus...
  14. La chute brutale des prix de l'énergie ne menace pas la viabilité des projets d'exploitation gazière et pétrolière de Junex au Québec, ont assuré jeudi les dirigeants de l'entreprise. Pour en lire plus...
  15. Les stocks de produits pétroliers ont de nouveau augmenté la semaine dernière aux États-Unis, grâce notamment à un bond bien plus important qu'anticipé des réserves d'essence, a annoncé jeudi le département américain à l'Énergie (DoE). Pour en lire plus...
  16. La production des champs pétroliers matures baisse de 9% par an, en l'absence d'investissements pour augmenter leur rendement, estime l'Agence internationale de l'Énergie. Pour en lire plus...
  17. Le vice-premier ministre russe, qui est chargé du secteur de l'énergie, a ajouté que le gouvernement envisageait de créer une réserve de pétrole «qui lui permettrait d'agir sur les prix du marché». Pour en lire plus...
  18. La cinquantaine de travailleurs de l'usine Matériaux spécialisés de Louiseville, en Mauricie, en grève depuis le 19 mars dernier, ont reçu l'appui des dirigeants du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier et de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec. Pour en lire plus...
  19. La centrale de Senneterre produit de l'énergie thermique aux résidus de bois. Pour en lire plus...
  20. Le fait que l'indice de la Bourse torontoise soit composé pour près de la moitié par des titres liés à l'énergie et aux ressources est une arme à double tranchant. Pour en lire plus...
  21. Hydro-Québec avait songé à abaisser les tarifs 5 septembre 2008 - 06h30 La Presse Hélène Baril Peut-être pour faire mieux passer son augmentation de tarifs en 2006, Hydro-Québec avait laissé miroiter que le coût de l'électricité baisserait à court terme, soit en 2008 et en 2009, des baisses qui ne sont jamais matérialisées. En 2008, les tarifs d'électricité ont augmenté de 2,9% plutôt que de baisser de 1,6% comme le prévoyait Hydro dans les documents déposés à la Régie de l'énergie. En 2009, plutôt qu'une baisse de 1,3%, c'est une augmentation de 2,2% que les consommateurs devront supporter si la Régie accepte la requête d'Hydro. Ce changement de cap n'est pas passé inaperçu chez ceux qui suivent de près les présentations d'Hydro-Québec devant la Régie de l'énergie et qui avaient hâte de voir les justifications de cette nouvelle hausse des tarifs, la septième depuis cinq ans. Depuis le dégel des tarifs, en 2004, Hydro-Québec a justifié toutes ses hausses de tarifs principalement par l'obligation d'acheter de l'énergie sur le marché à des prix plus élevés afin de répondre à une demande croissante. Hydro se retrouve depuis deux ans avec des surplus considérables parce qu'elle a surestimé la demande d'électricité au Québec. Elle n'a plus besoin d'acheter de l'électricité à prix élevés. Quant à sa rentabilité, elle n'a jamais été aussi bonne. Cette fois, Hydro explique donc que, pour se conformer à des normes comptables qui seront en vigueur en 2011, elle doit radier des éléments d'actifs dont la durée de vie est expirée. C'est la principale justification de la hausse de 2,2% qui pourrait s'appliquer le 1er avril prochain. Ça ressemble beaucoup à un prétexte, selon Luc Boulanger, porte-parole de l'Association des consommateurs industriels d'électricité, qui regroupe les entreprises qui consomment le plus d'électricité au Québec. «Ce qu'on comprend, c'est qu'Hydro a jugé qu'il y avait de la place pour une augmentation de tarifs et qu'ils ont trouvé cette raison comptable pour la justifier», a-t-il commenté. Les autres sources d'énergie, comme le gaz naturel et le pétrole, ont en effet beaucoup augmenté depuis l'an dernier. «Est-ce que c'est dans le meilleur intérêt des consommateurs de se conformer avant le temps à des changements comptables qui seront en vigueur en 2011? C'est ce que nous avons demandé à nos experts d'examiner», a ajouté M. Boulanger. La façon de procéder d'Hydro est jugée habile par le porte-parole de l'Union des consommateurs, Charles Tanguay. «On ne peut pas déchirer notre chemise avec une hausse de 2,2%, a-t-il dit. En plus, les subtilités comptables ne sont pas à la portée de tout de monde.» Les spécialistes en énergie de l'Union des consommateurs dissèquent actuellement la requête tarifaire d'Hydro, en prévision des audiences publiques de la Régie de l'énergie qui se tiendront plus tard l'automne prochain. Normal Du côté d'Hydro, un porte-parole explique qu'il est normal que des baisses prévues se transforment en hausse ou l'inverse. «Les documents déposés à la Régie sont des prévisions, faites au meilleur de notre connaissance au moment où ils sont déposés. Ce ne sont pas des engagements», a expliqué Marc-Brian Chamberland. Dans la requête qu'elle vient de déposer, Hydro prévoit qu'au cours des prochaines années, les tarifs d'électricité augmenteront chaque année au rythme de 2% par année. Aucune baisse à l'horizon.
  22. Il n'y a aucun problème d'approvisionnement. Il faut maintenir la production, ce qu'il ne faut pas faire est de l'augmenter, a souligné le ministre de l'Énergie du pays, Rafael Ramirez. Pour en lire plus...
  23. Il admet cependant que les tensions géopolitiques entre la Russie et la Géorgie vont certainement «refroidir un peu les investisseurs», a indiqué le numéro deux de l'Agence internationale de l'Énergie. Pour en lire plus...
  24. Un comité parlementaire se penchera cette semaine sur les prix élevés de l'énergie, et sur le rôle de la spéculation dans la hausse des prix. Pour en lire plus...
  25. Les extracteurs de pétroles et de gaz ainsi que les raffineurs ont profité des coûts élevés de l'énergie pour pousser à la hausse les bénéfices d'exploitation des entreprises canadiennes au second trimestre. Pour en lire plus...
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