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  1. Je n'ai pas beaucoup d'information, j'ai connu le projet grâce à Habsfan. Tout ce que je sais, c'est que le propriétaire du Ben's aurait refuser de vendre son terrain, c'est pourquoi le projet n'a jamais vu le jour. Aujourd'hui, nous avons l'hôtel St-Martin sur ce site : http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=567
  2. Le maire de New York expédie des SDF à Granville Louis Laroque (à Caen) et Adèle Smith (à New York) 10/08/2009 | Mise à jour : 08:42 | Un programme créé en 2007 prévoit de payer un aller simple aux sans-abri accueillis par un membre de leur famille vivant hors de New-York. «Une famille américaine arrivée pour un long séjour dans ma ville ? Mon collègue de New York, Michael Bloomberg, ne m'a pas prévenu», ironise, un brin amer, Daniel *Caruhel, 63 ans, maire DVG de Granville, cité de 15 000 habitants sur les côtes du département de la Manche. Ce pourrait être le jeu de piste de l'été : rechercher ce couple et ses trois enfants en provenance de New York et censés être accueillis à Granville ou ses environs chez une parente de la mère de famille ? Il ne s'agit pas d'un voyage d'été, ni du déplacement classique des enfants et petits-enfants d'un vétéran du Débarquement. Mais d'un aller sans retour pour des SDF new-yorkais avec billets d'avion pour Paris et tickets de train de Montparnasse à Granville. L'addition de 6 332 dollars (4 520 euros) est réglée par la mairie de New York. Depuis 2007, la ville et son maire, Michael Bloomberg, paie des billets d'avion vers la destination de leur choix aux sans-abri. Seule condition : pouvoir justifier d'un hébergement assuré à destination. Une situation mise au jour par le New York Times dans son édition du 28 juillet. Contacté par Le Figaro, le département chargé des sans-abri à la mairie (Department of Homeless Services, DHS) affirme que la famille de Granville est la seule qui ait été renvoyée en France. Le DHS précise qu'en principe les familles reçoivent un appel des autorités de la ville de New York pour vérifier que leur installation s'est bien passée. Nul ne trouve en tout cas la *trace des intéressés en France : ni à la mairie, ni à la préfecture de la Manche, ni au consulat américain à Rennes. Même ignorance à l'ambassade US à Paris où l'on s'interroge : «Il ne s'agit pas d'un projet fédéral. Peut-être cela se *traite-t-il de mairie à mairie ?» «Marchandisation et exportation de la pauvreté» Le maire de Granville n'est au courant de rien. Ancien vice-président national de Peuples solidaires, cet horticulteur de 63 ans, élu en 2008 à la tête d'une liste «humano-pragmatique au-delà des clivages» ne mâche pas ses mots : «On connaissait déjà les charters pour Africains. Cette fois, on assiste à la marchandisation et à l'exportation de la pauvreté.» Interrogé par CNN, Michael Bloomberg a déclaré : «Est-ce que l'on est en train de transférer le problème ailleurs ? Je ne sais pas. Peut-être trouvent-ils un nouvel emploi quand ils arrivent dans un nouvel endroit, peut-être pas. C'est peut-être plus facile pour eux. Ce qui est sûr, c'est que l'on a deux choix : faire ce programme [de billets d'avions] ou payer très cher, chaque jour, pour leur fournir un hébergement.» Un hébergement qui coûte 36 000 dollars (25 000 euros) par an et par famille. Chaque nuit, 38 000 SDF sont accueillis dans les centres d'accueil de la grande métropole. Depuis 2007, près de 550 familles ont déjà bénéficié du programme de «rapatriement volontaire» pour un coût global d'environ un million de dollars (700 000 €). San Juan (Porto Rico) accueille le plus grand nombre d'entre elles pour un coût de «seulement» 484 dollars (340 €). D'autres sont partis pour Johannesburg (Afrique du Sud). Au total, 24 destinations différentes sur les cinq continents.
  3. Le Mardi 4 Août 2009 | Mise en ligne à 15h03 À quoi ça sert, un maire ? Ariane Krol David Miller a tenu tête aux employés municipaux durant plus d’un mois, mais apparemment, ce n’était pas assez. Les Torontois se montrent beaucoup moins enclins à réélire leur maire qu’avant le conflit, montre un sondage CTV/The Globe and Mail. Et on ne parle pas d’un petit recul. Presque 60% des citoyens interrogés ont moins envie de voter pour lui aux élections de l’an prochain. L’enquête a été réalisée à la fin de la semaine dernière, juste après que les conditions de l’entente avec le premier syndicat aient rendues publiques. Plus de 60% des répondants trouvent que leur maire s’est écrasé devant les grévistes. Où étaient les partisans de la ligne dure durant le conflit? On a entendu des masses de citoyens se plaindre des ordures qui s’accumulaient dans les parcs, mais très peu dire que le jeu en valait la chandelle. Qu’ils étaient prêts à endurer quelques semaines de puanteur pour éviter que leur compte de taxes ne grimpe en flèche. Remarquez, on ne fait pas mieux avec notre neige, qu’on voudrait voir ramassée instantanément sans se demander combien il en coûterait de plus. La réaction des Torontois a au moins le mérite de donner l’heure juste sur les attentes des citoyens. David Miller n’a pas ménagé ses efforts pour accroître le rayonnement de sa ville. La métropole canadienne s’embellit et devient plus intéressante de jour en jour, au point que son maire est devenu une sorte de repoussoir pour dénoncer l’apathie de Gérald Tremblay. Et pourtant… Ce qui sera déterminant dans l’isoloir, ce ne sera probablement pas l’architecture des musées ou les nouveaux festivals, mais les services municipaux. Parce que la raison d’être d’une municipalité, c’est avant tout de donner des services. Je suis la première à souhaiter que les maires des grandes villes comme Montréal fassent preuve d’inspiration et voient plus loin que la gestion quotidienne. Mais le premier mandat n’exempte pas du second et les élus ne devraient jamais l’oublier. Car ce ne sont pas les commentateurs de tout acabit qui remplissent les urnes, mais les simples citoyens. (Remarquez, si les citoyens en question étaient aussi prompts à aller voter qu’à critiquer les élus , on aurait peut-être des administrations municipales plus efficaces…)
  4. Publié le 24 juillet 2009 à 10h21 | Mis à jour à 10h23 Échangeur Turcot à Montréal: Québec renonce au PPP La Presse Canadienne Montréal Le gouvernement du Québec confirme l'abandon du partenariat public-privé (PPP) pour la réfection de l'important complexe autoroutier Turcot, dans le sud-ouest de Montréal. Le ministère des Transports explique que les économies de plus de 100 millions $ initialement évaluées pour la réalisation des travaux en mode PPP ne sont plus réalistes. Le ministère ajoute que différents facteurs, tels que le contexte économique mondial, ont contribué à cette décision. Les autorités signalent aussi que la complexité de ce projet nécessite une formule souple permettant simultanément les interventions de reconstruction des infrastructures et celles visant l'entretien et le maintien des structures actuelles jusqu'à leur démolition. Le complexe Turcot est emprunté chaque jour par environ 290 000 automobilistes, mais les ouvrages qui le composent sont arrivés à la fin de leur vie utile.
  5. Une "nouvelle" un peu vieille Stationnement : Montréal dans la moyenne nationale 25 juin 2009 | 15h16 Agence QMI Sarah-Maude Lefebvre 24 heures La Métropole se classe au 5e rang des villes canadiennes où il en coûte le plus cher par jour pour se stationner. Loin derrière la ville championne, Calgary, qui à 22$ par jour est la 2e ville la plus chère après New York sur le continent, Montréal se classe légèrement au-dessus de la moyenne nationale avec un taux moyen de 17$ par jour pour se stationner. 3e pour les tarifs par mois Selon le sondage annuel sur les prix de stationnement de Colliers International, il en coûte 460$ par mois pour se stationner au centre-ville de Calgary, soit une centaine de dollars de moins qu’au centre-ville de New-York. Toronto (305$), Montréal (280$), Edmonton (275$) et Vancouver (224$) complètent le top 5 des villes les plus coûteuses en terme de stationnement, si on se fie aux résultats de ce sondage publié dans The Gazette. Comme le rapporte le quotidien, les Montréalais peuvent tout de même s’estimer chanceux puisqu’ils paieraient 1020 dollars américains par mois s’ils habitaient à Londres ou encore 748 dollars s’ils étaient des résidents de Hong Kong. C’est à Régina qu’il en coûte le moins cher pour stationner son auto au centre-ville avec 148$ par mois. Saskatoon, Victoria, Winnipeg, Ottawa et Halifax ne dépassent pas non plus le cap des 200$ par mois. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/06/20090625-151618.html
  6. Valeurs mobilières: Ottawa prépare une commission nationale Publié le 22 juin 2009 à 16h09 | Mis à jour le 22 juin 2009 à 18h33 La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral a fait un pas de plus vers la création d'un organisme national de réglementation des marchés financiers en annonçant lundi la mise sur pied d'un bureau de transition dont le mandat sera de coordonner le projet avec les provinces et avec l'industrie. Ce bureau sera présidé par l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, Doug Hyndman. Il sera secondé par le Torontois Bryan Davies, qui occupe depuis 2006 le poste de président du conseil de la Société d'assurance-dépôt du Canada. Le ministre des Finances Jim Flaherty a assuré que l'adhésion au futur organisme de réglementation serait volontaire et que le Québec - qui s'y est toujours opposé - pourrait choisir de rester à l'écart. Il ne perd cependant pas espoir de voir un jour la Belle Province rentrer dans le rang. «Nous ne claquons la porte au nez de personne. Je rêve du jour où nous aurons un organisme de régulation vraiment national», a-t-il insisté lors d'un point de presse à Ottawa. Pour le ministre, la création d'une commission nationale contribuera à la consolidation de l'État canadien. Il a toutefois insisté lundi pour dire qu'il faudrait respecter les expertises et les spécificités régionales tout au long du processus. Le gouvernement du Québec n'a cependant pas semblé rassuré par ces propos. Le grand argentier de la province, Raymond Bachand, craint que le projet de régulateur national crée de l'incertitude sur les marchés à un bien mauvais moment. «La dernière chose dont on a besoin c'est un débat de structures. Moi j'ai besoin que mes autorités de valeurs mobilières et les commissions des autres provinces concentrent 100 pour cent de leur énergie sur la réglementation, la surveillance des marchés et faciliter la reprise économique», a-t-il martelé. Le ministre Bachand a ajouté que, s'il le fallait, Québec pourrait se tourner vers les tribunaux pour faire valoir son point de vue et défendre son Autorité des marchés financiers. L'annonce de Jim Flaherty n'a pas non plus été bien accueillie par les partis d'opposition à Ottawa. Pour le Bloc québécois et le Nouveau Parti démocratique, la création du bureau est une manoeuvre de plus pour faire pression sur les «provinces récalcitrantes». «C'est de la provocation», a résumé le leader parlementaire du Bloc québécois, Pierre Paquette, en entrevue à La Presse Canadienne. «On n'est pas dupes du tout. Le caractère volontaire, c'est tout simplement pour s'assurer d'isoler le Québec et d'éventuellement le forcer à intégrer cette commission-là», a-t-il ajouté. De son côté, le chef-adjoint du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, reproche à Ottawa d'empiéter encore une fois dans un champ de compétence exclusive des provinces. Les deux hommes se sont par ailleurs dits «outrés» que le ministre Flaherty ait attendu que les travaux parlementaires soient suspendus pour faire son annonce. «Il n'a même pas eu le courage de soulever le débat pendant que la Chambre siégeait encore. Il a attendu le premier jour où la Chambre ne siège plus», a souligné M. Mulcair, qui est le seul député néo-démocrate du Québec. Le projet d'un organisme national est cher aux yeux des conservateurs et particulièrement du ministre Flaherty, qui en a fait l'une de ses priorités depuis son arrivée en poste en 2006. L'industrie des services financiers, très largement basée à Toronto, en a aussi fait l'un de ses chevaux de bataille depuis quelques années. Les libéraux, qui ont longtemps été favorables à l'idée d'un organisme pancanadien de régulation des marchés, ont récemment indiqué qu'ils avaient désormais des doutes et qu'ils préféreraient demander à la Cour suprême de se pencher sur la constitutionnalité du projet avant de se prononcer. Actuellement, chaque province et territoire est responsable du commerce des valeurs mobilières à l'intérieur de ses frontières. Plus de 85 pour cent des inscriptions et des transactions réglementées sont toutefois sous la juridiction de la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario.
  7. Voilà une confirmation de l'information que Malek nous avais partager! Le Complexe sportif Guimond verra le jour Deux nouvelles glaces pour le hockey Courrier Laval par Sylvain Lamarre Article mis en ligne le 16 juin 2009 à 14:23 Un nouveau joueur vient de s’ajouter dans le dossier du manque d’heures de glace à Laval. Le Groupe Guimond construit un complexe de deux glaces au coût de 5,5 millions. Les travaux de construction ont débuté le 18 mai dernier. Le nouvel amphithéâtre sera situé du côté Nord de l'autoroute 440, entre l'autoroute 13 et le boulevard Labelle. Le Complexe sportif Guimond, qui comptera deux glaces de petite dimension (60 pieds X 130 pieds), devrait voir officiellement le jour à la mi-septembre. Outre les deux glaces, le projet abritera une salle de préparation physique, une salle de musculation, huit vestiaires dédiés aux équipes sportives, une salle de projection, un restaurant santé, une boutique, une glace synthétique, etc. «Nous avons voulu créer un centre de développement pour le hockey», précise Éric Guimond du Groupe Guimond, lors d’un entretien téléphonique accordé au Courrier Laval Entraîneur à Vimont, Éric Guimond a eu la brillante idée de construire un aréna. «J’étais tanné de me lever tôt et d’aller faire des pratiques ailleurs qu’à Laval. J’ai lancé l’idée de construire un deux glaces. Nous allons régler le problème», précise-t-il. «J’ai encore dix ans de bénévolat à donner au hockey et je veux le faire à Laval», poursuit-il. Ce bénévole a la profonde conviction que le Complexe sportif Guimond offrira un nouveau souffle aux équipes de hockey. «Nous manquons de glace à Laval pour le hockey, le patinage artistique, le patinage de vitesse et la ringuette. Le besoin était là.» 500 heures pour Hockey Laval Les responsables d'organisations de hockey mineur de Laval auront à leur disposition, dès septembre, deux nouvelles patinoires intérieures d'entraînement. Hockey région Laval a d’ailleurs signé un contrat de location de 500 heures de glace pour ses équipes lavalloises. Le président de l'organisme sportif, Michel Demers, affirme que l'arrivée de ce complexe vient combler un besoin. «Nous avons besoin de glace. Nous ne faisons plus affaire avec Bourassa, car cette région est devenue Montréal. Nous avons besoin de glaces demain matin.» Éric Guimond avoue qu’il n’a pas encore fait de publicités et que déjà le projet fonctionne à plein régime. «Je croyais que nous aurions un peu de difficulté à louer les heures, mais nous sommes remplis à 80%. Une Ligue de 3 contre 3 a vu le jour. La demande est forte.» Le Groupe Guimond n'a reçu aucune subvention pour réaliser ce complexe. Le Groupe Guimond a notamment construit le fameux Complexe sportif de soccer Bois-de-Boulogne en août 2004.
  8. Publié le 17 mai 2009 à 05h00 | Mis à jour à 07h23 Rêvez Montréal Agnès Gruda La Presse Des élections auront lieu à Montréal le 1er novembre prochain. Voulez-vous influencer les engagements des candidats qui se disputent la mairie de la métropole? La Presse vous invite à participer à un «appel d'offres» unique en son genre, en nous acheminant LE projet dont vous rêvez pour Montréal. Les meilleures suggestions seront soumises à un panel d'experts, puis aux candidats qui seront appelés à prendre position. Auront-ils l'audace de réaliser vos rêves? À vous de jouer! Une plage au pied du boulevard Saint-Laurent ? Du ski de fond sur le canal de Lachine? Cela peut paraître inaccessible, mais ça ne l'est peut-être pas tant que ça. Les idées que vous présentent ici cinq chroniqueurs de La Presse sont autant d'exemples de ce que vous pourriez demander aux politiciens montréalais en campagne pour les élections du 1er novembre. Traditionnellement, le jeu politique se joue dans l'autre sens. Les candidats courtisent les électeurs avec des idées et des projets. Et le jour du vote, les électeurs choisissent le programme politique qui leur convient le mieux. Cette année, La Presse vous invite à inverser les rôles. Aux citoyens de soumettre leurs projets aux politiciens et d'esquisser eux-mêmes la ville de leurs rêves. Ils pourront ensuite voter pour les candidats qui leur paraissent les plus aptes à les réaliser. « À Montréal, les grands projets urbains viennent généralement de haut », déplore Gilles Sénécal, de l'INRS Urbanisation. Et quand les idées viennent d'en bas, elles ont peu de chances de se réaliser. Gilles Sénécal en a eu un exemple il y a une dizaine d'années, quand des habitants du quartier Saint-Henri lui ont demandé de les appuyer pour la réalisation d'un projet de pépinière sous l'échangeur Turcot. Une idée modeste qui aurait permis d'humaniser un peu un quartier dur et désolé. Une idée « verte » qui s'est finalement perdue dans les dédales de la bureaucratie montréalaise... Pourtant, les Montréalais ont une connaissance « intime » de leur ville, différente de celle qu'en ont les administrateurs, fait valoir Louise Roy, présidente de l'Office de consultation publique de Montréal. Cette connaissance gagnée à travers leurs activités quotidiennes les amène à avoir des idées très « incarnées » sur le développement de leur ville, ajoute-t-elle. Des idées qui auraient intérêt à s'exprimer davantage, selon Mme Roy, qui cite l'exemple du « café citoyen » qui a vu le jour dans le quartier Mile End. Un mécanisme inspiré de l'expérience française où de tels lieux de rencontre permettent aux citoyens d'imaginer l'aménagement de leur ville. « Les Montréalais ont peu de pouvoir d'initiative », renchérit le vieux routier d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru. Quand ils sont consultés, leur marge de manoeuvre se limite généralement à réagir pour empêcher les pires dérapages. Ils peuvent bloquer des projets aberrants, ou forcer les instigateurs à corriger le tir en cours de route. Mais ils ont rarement l'occasion de lancer des idées sur la patinoire des politiciens. « Pourtant, la population a un pouvoir d'imagination », souligne Dinu Bumbaru. Nous vous appelons aujourd'hui à l'utiliser... COMMENT PARTICIPER À six mois des prochaines élections montréalaises, La Presse vous invite à influencer les engagements des candidats qui se disputent la mairie de la métropole. Plus concrètement, nous vous invitons à nous acheminer, par internet, LE projet dont vous rêvez pour Montréal. Les meilleures suggestions seront soumises à un panel d'experts, puis aux candidats, qui devront prendre position sur ces idées. - Rédigez votre proposition dans un texte n'excédant pas 100 mots - Faites parvenir votre idée par courriel à l'adresse suivante: revez@lapresse.ca - Vous avez jusqu'au 15 juin pour nous soumettre LE projet dont vous rêvez pour Montréal. - Nous acceptons une seule proposition par participant. - Le projet devra contribuer au rayonnement de Montréal. Il peut s'agir d'une nouvelle plage au bord du fleuve, mais pas d'un nouveau feu de circulation au coin de votre rue. Nous sommes pragmatiques. Nous cherchons des projets qui font rêver tout en étant réalisables. ___________________________________________________________________________________________________________ Publié le 16 mai 2009 à 04h56 | Mis à jour le 16 mai 2009 à 04h56 Fini les arrondissements Patrick Lagacé La Presse Une idée pour Montréal ? Abolir les arrondissements. Avec les 19 maires d'arrondissements et celui de la ville-centre, il y a 20 maires à Montréal. C'est ridicule et contre-productif. Et c'est sans doute un des (nombreux) facteurs qui expliquent pourquoi la mairie de Montréal est rarement briguée par des candidats de premier ordre. Qui veut être le maire d'une ville castrée ? Or, un maire fort, qui parlerait fort pour Montréal, quitte à écraser des oreilles gouvernementales à Québec, est une condition incontournable à la relance de cette ville. Il n'y aura pas de grands projets, pas de grand élan sans un grand leader à l'hôtel de ville. Je sais, c'est aussi difficile de détruire la structure actuelle que de remettre du dentifrice dans le tube. Mais on peut toujours rêver. ___________________________________________________________________________________________________________ Bombarder d'images le silo Nº 5 Nathalie Petrowski La Presse Le silo à grains numéro 5 en face du Vieux-Port de Montréal fait partie du patrimoine urbain depuis plus d'un siècle. Au lieu de le laisser moisir dans le paysage pourquoi ne pas le bombarder de projections et en faire notre Moulin à images à nous en s'inspirant de celui de Robert Lepage à Québec. Dans le même souffle, transformons l'intérieur du silo en Tate moderne en y logeant une partie de la collection du Musée d'art contemporain, et faisons de la passerelle du septième étage un bar à vin avec vue panoramique sur Montréal. Le projet existe déjà sur papier dans les bureaux du MAC. Qu'est-ce qu'on attend pour le réaliser ? ___________________________________________________________________________________________________________ Publié le 17 mai 2009 à 05h02 | Mis à jour à 05h02 Recouvrir l'autoroute Ville-Marie Rima Elkouri La Presse Qu'est-ce qui lie le Quartier chinois au Vieux-Montréal? Une horreur. Un gouffre appelé autoroute Ville-Marie. Je propose de panser cette vieille blessure, d'en faire un espace vert et accueillant pour le passant. Remplaçons ce vieux balcon bétonné avec vue sur une autoroute en tranchée par une magnifique vitrine sur le Vieux-Montréal. L'art public y serait à l'honneur. La beauté de l'hôtel de ville serait mise en valeur. Et le passant n'aurait plus l'impression d'y être en punition. L'idée n'est pas nouvelle en soi. Elle est dans l'air depuis des années. Tant l'administration Tremblay que l'opposition ont déjà dit être favorables au recouvrement de l'autoroute Ville-Marie. Une étude de préfaisabilité avait été commandée dans la foulée du Sommet de Montréal en 2002. Une étude de faisabilité de la Ville de Montréal et du ministère des Transports est en chantier. Bref, on n'a plus aucune excuse pour ne pas réaliser ce projet rapidement. ___________________________________________________________________________________________________________ Publié le 17 mai 2009 à 05h05 | Mis à jour à 05h05 Sous les pavés, la plage Michèle Ouimet La Presse Imaginez le boulevard Saint-Laurent qui se termine par une plage qui donne sur le fleuve. J'entends déjà les sceptiques dire que c'est impossible à cause des voies ferrées et du port qui occupent les berges. Barcelone, elle, a osé. En 1992, elle a organisé les Jeux olympiques. Elle en a profité pour se refaire une beauté. Barcelone tournait le dos à la mer Méditerranée, comme Montréal au fleuve. La ville a déplacé les voies ferrées et mis la hache dans son vieux quartier industriel qui formait une barrière en apparence infranchissable. Elle a créé six plages artificielles. L'effet est magique. Imaginez le boulevard Saint-Laurent..
  9. Publié le 05 mai 2009 à 00h13 | Mis à jour à 00h17 Québec doit mettre Montréal en tutelle, estime Louise O'Sullivan Catherine Handfield La Presse Louise O'Sullivan, ancienne conseillère municipale et candidate à la mairie de Montréal, a demandé à Québec lundi de mettre en tutelle l'administration du maire Gérald Tremblay jusqu'aux élections du 1er novembre. «Vous n'avez d'autres alternatives que d'imposer la tutelle (...) et de mandater la Commission municipale du Québec pour superviser dorénavant toutes les décisions du comité exécutif et des divers arrondissements», a écrit Mme O'Sullivan dans une lettre adressée à la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau. Louise O'Sullivan, qui a quitté l'équipe du maire Tremblay en 2005 et qui a fondé son propre parti ce printemps, demande également de convoquer Gérald Tremblay et ses lieutenants à une commission parlementaire pour faire la lumière sur les controverses qui ont ébranlé la Ville ces derniers mois. «Devant la tournure de plus en plus malsaine que prend chaque jour la saga des scandales entourant l'administration de la Ville de Montréal, je me vois dans l'obligation de vos réécrire pour vous demander d'agir de façon urgente et sévère pour rétablir le climat de confiance envers les actions de nos élus municipaux», écrit-elle. L'ex-conseillère estime que le chef de l'opposition officielle, Benoît Labonté, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont failli à leur tâche. «Tous les élus ont voté en faveur de projets douteux de l'administration sortante et ce n'est qu'après le travail d'enquête de certains journalistes, particulièrement du quotidien La Presse, que l'opposition a commencé à poser des questions», poursuit-elle. Au cours des derniers mois, les médias ont mis au jour les séjours de l'ancien président du comité exécutif de Montréal, Frank Zampino, sur le yacht de l'homme d'affaires Tony Accurso, alors que la Ville s'apprêtait à octroyer le contrat des compteurs d'eau. Un autre controverse entoure la gestion du projet Contrecoeur par la SHDM, un dossier qui a incité le vérificateur général à recommander la tenue d'une enquête policière.
  10. Bientôt dans une rue près de chez vous Sébastien Templier - La Presse 07 avril 2009 | 08 h 43 Communauto pourrait avoir de la concurrence à Montréal. L'entreprise torontoise CityFlitz a l'intention de proposer son service de location de voitures tape-à-l'oeil d'ici le mois de juin. Pour la modique somme de 1$ par jour, on pourra par exemple rouler dans une Mini aux couleurs de Yahoo! . Instaurer un service d'autopartage compétitif tout en faisant de la publicité, tel est l'objectif poursuivi par cette jeune entreprise ontarienne. CityFlitz est avant tout une agence de pub «nouveau genre» qui propose à toute entreprise de lui assurer sa publicité par le biais de voitures brandées, autrement dit aux couleurs de la compagnie en question. Et pour conduire sa flotte de Mini, Smart, New Beetle et Prius, elle compte tout simplement sur le commun des mortels. Depuis septembre dernier, on peut ainsi louer ces voitures à Toronto pour seulement 1$ par jour. La voiture est disponible à partir de 8h le matin jusqu'à 7h le lendemain. La réservation d'une auto se fait uniquement à partir du site internet de CityFlitz. Sa prise de possession et sa remise se font à l'un des cinq points de chute. Au préalable, il faut signer un contrat d'adhésion et respecter certaines conditions d'utilisation. Parmi elles, l'interdiction de sortir de l'agglomération torontoise et l'obligation de parcourir au moins 30 km par jour. La raison? Ces 30 km garantissent un taux de visibilité au client qui affiche ses couleurs sur la voiture. Cette distance n'est aucunement une contrainte, selon le PDG de CityFlitz, Andreas Kotal: «Nos membres ne sont pas limités par ces 30 km. En fait, ils conduisent en moyenne 50 km par jour.» Pour chaque kilomètre en dessous de cette limite minimale, l'usager paye des frais de 4$. Le contrôle des membres sur la route se fait simplement au moyen d'un système GPS. L'abonnement annuel à CityFlitz est de 30$. Des frais mensuels de 7$ sont perçus et un dépôt (remboursable) de 350$ est exigé à l'inscription. Le plein d'essence est aux frais du conducteur. Dans son fonctionnement, CityFlitz ressemble beaucoup à Communauto. Les tarifs sont concurrentiels. Mais dans l'esprit, les deux entités ne poursuivent pas les mêmes objectifs, selon Marco Viviani, responsable développement et relations publiques de Communauto. «Est-ce vraiment de l'autopartage? On pense que non, dit-il. Notre objectif est de remplacer la possession de véhicules par un service de partage d'automobiles. Est-ce que le service de CityFlitz répond aux mêmes besoins que l'autopartage? Je pense que non. Ils ont une location plus souple avec un objectif publicitaire.» Pour M. Viviani, que ce soit Communauto, CityFlitz ou n'importe quelle agence de location, «tous font la même chose mais pas avec les mêmes objectifs, et tous répondent différemment aux besoins de la population». Il insiste pour dire que Communauto fait de la location à court terme, à très court terme même, 24 heures sur 24, sept jours sur sept, avec une flexibilité d'utilisation. Ce que n'offre pas encore CityFlitz à Toronto. Avec seulement 10 voitures offertes au grand public, CityFlitz est évidemment victime de son succès dans la Ville reine - ou atteint déjà ses limites. «Au début, le public était choqué par le prix de 1$ par jour. Maintenant, tout le monde aime nos voitures brandées et nous affichons toujours complet. Nous avons actuellement une liste d'attente de 4000 personnes pour notre programme d'autopartage. Mais nous allons doubler notre flotte dans les trois prochains mois», affirme Andreas Kotal.
  11. Voici une version préliminaire de ma vision pour un réseau de tram à Montréal + Laval + Rive-sud. Station names coming soon. Solid lines = metro Dashed lines = tram Pourquoi 2030? D'abbord on sait que les choses prennent une éternité à Montréal, et deux, selon mon plan, il faudrait reconfigurer pas mal de km de boulevard, certains segments sont élevés, en pont, etc. Plus d'info à venir, pour l'instant il est tard et demain est un autre jour... J'ai passé bien des heures à regarder des cartes, des images satelites, des images vue-de-la-rue, etc, pour en arriver à ceci: Peu importe ci c'est réaliste/faisable ou pas, j'ai eu bien du fun
  12. Québec maintient être en faveur d'une commission de deux jours pour étudier la gestion de la Caisse. Le PQ exige que sa mission soit aussi à l'ordre du jour et que la ministre des Finances vienne témoigner. Pour en lire plus...
  13. Les Québécois s'appauvrissent de jour en jour * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 09:44 Un Québécois gagne chaque semaine 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Le Québec est la seule province canadienne où le salaire moyen a baissé entre octobre et novembre derniers. Ainsi, les salariés québécois gagnaient en moyenne 746,68 dollars par semaine en novembre, soit 1% de moins qu’en octobre. Toutes les autres provinces et territoires canadiens ont vu les salaires moyens stagner ou augmenter, à l’image de l’Alberta où la hausse a été de 1,7% d’un mois sur l’autre, selon Statistique Canada. Si l’on regarde l’évolution des salaires sur une année, le Québec, là encore, enregistre l’une des plus faibles progressions, avec un +1,4% de novembre 2007 à novembre 2008. Les plus fortes hausses concernent l’Alberta (+5,8%), les Territoires du Nord-Ouest (+5,8%), la Saskatchewan (+4,2%) et Terre-Neuve-et-Labrador (+4%). Les salaires chutent dans l’immobilier À l’échelle du Canada, les salaires ont augmenté en moyenne de 0,4% entre octobre et novembre, et de 2,7% en un an. Le salaire canadien moyen est maintenant de 804,58 dollars. Un Québécois gagne donc chaque semaine quelque 58 dollars de moins qu’un Canadien moyen. Les secteurs économiques canadiens qui ont vu les salaires moyens le plus baisser d’un mois à l’autre sont ceux de l’immobilier (-4,7%, à 677,71 dollars), de l’hébergement et de la restauration (-3,2%, à 334,35 dollars), de la foresterie (-1,7% en un mois, à 978,31 dollars) et du commerce de gros (-1,1%, à 936,52 dollars). De moins en moins de salariés En terme de nombre de salariés, presque toutes les provinces et territoires canadiens ont enregistré des baisses entre octobre et novembre. De son côté, le Québec a enregistré une perte de 0,3% de salariés, à 3 310 400. Ceux qui s’en sortent le mieux sont les Territoires du Nord-Ouest (+4,5%) et la Saskatchewan (+0,5%). Les secteurs économiques canadiens les plus touchés par la diminution du nombre de salariés sont la foresterie (-4%), la fabrication (-1,6%) et la construction (-1,5%).
  14. Les cours du pétrole continuaient à chuter jeudi, malgré la baisse record de production de 2,2 millions de barils par jour et le TSX suivait le mouvement. Pour en lire plus...
  15. L'organisation s'apprête à baisser son offre de deux millions de barils par jour et elle attend une diminution comprise entre 500 000 et 600 000 barils par jour de l'offre des pays non membres. Pour en lire plus...
  16. Parlement fermé jusqu'au 26 janvier Source: Radio Canada La gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, a accepté de proroger le Parlement à la demande du premier ministre Stephen Harper. La chef de l'État a donné son assentiment lors d'une rencontre de plus de deux heures tenue jeudi avant-midi à Rideau Hall. À sa sortie de la rencontre, le chef du gouvernement minoritaire conservateur a confirmé que les travaux à la Chambre des communes reprendront le 26 janvier, et que le premier dossier à l'ordre du jour sera le dépôt du budget. La prorogation du Parlement, qui met un terme à la session parlementaire et donc à tous les travaux en cours, permet au gouvernement Harper d'éviter un vote de confiance qu'il aurait selon toute vraisemblance perdu lundi prochain.
  17. Air Canada de retour à Genève Dès le 1er juin 2009, Air Canada volera chaque jour entre Toronto, Montréal et Genève. Après près de 20 ans d'interruption, la ligne Genève-Canada sera de nouveau desservie dès l'année prochaine. A partir du 1er juin 2009, Air Canada desservira chaque jour l'axe Toronto-Montréal-Genève (AC 830 et 831). Un Boeing 767-300 effectuera ces liaisons. Consciente qu'il s'agit d'un axe bénéficiant d'un important volume en été mais générant une demande moindre en hiver, Air Canada devrait réduire à quatre le nombre de fréquences en basse saison. Ce nouveau vol opéré par Air Canada le sera en codeshare avec Swiss. Après United Airlines qui confirme l'ouverture d'une liaison quotidienne Genève-Washington dès la fin mars 2009, Star Alliance renforce grandement sa position à l'Aéroport International de Genève (AIG). Développements dans TRAVEL INSIDE de la semaine prochaine. D'autre part on parle d'un quatrième vol quotidien (!!!!)l'été opéré par Air France ...Montreal deviendrait la seconde 'busiest' escale mondiale après New York en terme de fréquences quotidiennes l'été...seul NYC nous devance et tokyo ou washington,los angeles sont bien derrière YUL...
  18. La Banque du Japon a annoncé vendredi qu'elle abaissait son principal taux directeur, le taux au jour le jour, de 0,2 point de pourcentage, à 0,3%, pour aider l'économie japonaise à surmonter la crise financière. Pour en lire plus...
  19. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole a décidé vendredi de réduire son offre de 1,5 million de barils par jour, pour tenter d'enrayer la chute des prix pétroliers. Pour en lire plus...
  20. Les prix du pétrole brut poursuivent leur baisse, malgré la décision de l'Organisation des pays producteurs de pétrole de réduire sa production de 1,5 million de barils par jour. Pour en lire plus...
  21. La débandade boursière observée ces dernières semaines a permis de mettre au jour des occasions d'achat inespérées sur les marchés. Pour en lire plus...
  22. Ce marché de prêt interbancaire, dont la quasi-paralysie était au coeur de la crise, connaissait son sixième jour de détente de suite vendredi. Pour en lire plus...
  23. Pour représenter le consortium gagnant pour le L'achèvement en PPP de l'autoroute, une équipe d'avocats de Gowlings ont boulonné pendant 15 mois. Presque jour et nuit! Pour en lire plus...
  24. Dans la mise à jour financière que doit présenter le ministre fédéral des Finances en novembre, l'équilibre budgétaire a toutes les chances d'être respecté. Pour en lire plus...
  25. La Bourse d'Arabie saoudite, la plus importante du monde arabe en terme de capitalisation, a chuté de près de 6% samedi, premier jour ouvrable de la semaine, fermant sous le seuil symbolique des 6 000 points, son plus bas en plus de 4 ans. Pour en lire plus...
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