Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'jour'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Les nouvelles du jour - La Presse+ NOUVEL OUTIL POUR SUIVRE LES AUTOBUS PLUS VITE QUE LA STM ELLE-MÊME JEAN-FRANÇOIS CODÈRE LA PRESSE La jeune entreprise montréalaise TransitApp lance aujourd’hui une mise à jour qui permettra aux usagers de la Société de transport de Montréal de voir en temps réel la position de certains autobus, un concept sur lequel travaille elle-même la STM depuis quatre ans. TransitApp est une application mobile offerte sur iOS et Android qui permet à ses utilisateurs de prévoir des trajets en transports en commun. Elle se décrit notamment comme « la plus importante application dédiée aux transports en commun aux États-Unis » et elle est fonctionnelle dans plus de 125 régions, de Chicoutimi à Nairobi. Avec sa nouvelle version lancée aujourd’hui, elle veut miser sur les « plusieurs dizaines de milliers d’utilisateurs quotidiens » qui lui font confiance à Montréal pour fournir des données que la STM peine toujours à récolter et rendre publiques. Environ 85 % des sociétés de transport dont Transit affiche les renseignements lui offrent des données en temps réel sur la position de leurs équipements. Ce n’est toutefois pas le cas de la STM, qui a pourtant signé il y a quatre ans une entente avec une firme allemande pour y parvenir. Le système en question, baptisé iBus, est présentement installé dans certains autobus, mais ses données ne sont pas encore partagées. Pour parvenir à ses fins, TransitApp mise donc plutôt sur ses propres utilisateurs. Concrètement, TransitApp a lancé en septembre dernier une nouvelle fonctionnalité baptisée « Go ». Quand elle est activée pour un trajet, celle-ci suit la position de l’utilisateur en tout temps et peut, par exemple, lui signifier que son arrêt approche. Mais dès sa conception, Go avait aussi pour objectif de donner une raison aux utilisateurs de TransitApp d’accorder à l’application le droit d’accéder à leurs coordonnées GPS. Trois mois plus tard, l’entreprise revient donc à la charge avec une autre nouveauté basée sur les données récoltées par Go. À compter d’aujourd’hui, la position de tous les autobus à bord duquel se trouve un utilisateur de Transit ayant activé le mode « Go » sera affichée en temps réel dans l’application. Selon Samuel Vermette, cofondateur et président de TransitApp, dans son état actuel, le mode Go est activé par au moins un utilisateur dans 5 % à 20 % des trajets d’autobus montréalais. La nouvelle mise à jour implante quelques nouveautés pour convaincre davantage d’utilisateurs d’activer Go et ainsi rendre la position de leur autobus accessible en temps réel. « Quand tu vas activer Go, on va te dire combien de personnes tu aides, explique M. Vermette. Même chose quand ton trajet est terminé, tu vas pouvoir savoir combien de personnes tu as aidées à avoir accès à des coordonnées en temps réel. Ça ajoute un effet d’altruisme et, on espère, un effet d’entraînement. » Ce service est aussi lancé aujourd’hui à Victoria, en Colombie-Britannique, où il n’y a pas non plus de service en temps réel « officiel ». Il sera éventuellement étendu à toutes les régions desservies par Transit. « La plupart des services en temps réel sont mis à jour chaque minute ou aux trois minutes, donc notre fonctionnalité basée sur les utilisateurs va améliorer la précision même dans ces marchés », indique M. Vermette. Transit a annoncé en septembre dernier qu’elle avait reçu un financement totalisant 2,4 millions US provenant de deux nouveaux investisseurs, les fonds américains Accel et Accomplice, et de ses premiers investisseurs Real Ventures et BDC Capital.
  2. Richard Bergeron se joint à l’Équipe Denis Coderre Après avoir siégé deux ans comme indépendant, l’ex-chef de Projet Montréal, Richard Bergeron a rejoint dimanche l’équipe de Denis Coderre. «Vous savez que j’ai été son concurrent aux dernières élections, mais j’ai appris à travailler avec lui depuis trois ans», a rappelé dimanche Richard Bergeron à propos de sa collaboration avec Denis Coderre en 2014, lors de la création du bureau de l’inspecteur général. Le maire de Montréal a profité du colloque de son parti, dimanche, pour annoncer que M. Bergeron, ancien chef de Projet Montréal qui siégeait comme indépendant depuis deux ans au Comité exécutif, rejoignait ses rangs. Il s’agit du troisième élu à passer de Projet Montréal à l’Équipe Coderre, après Marc-André Gadoury en août 2015 et Érika Duchesne en mars dernier. Russel Copeman, maire de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, a lui aussi rejoint les rangs de l’Équipe Coderre vendredi dernier. «À un an de l’élection presque jour pour jour, il était important de prendre cette décision», estime M. Coderre. « Triste » «Ce n’est pas une surprise, mais il faut dire que depuis que Richard Bergeron n’est plus à Projet Montréal, nous n’avons jamais eu autant de membres et notre situation financière n’a jamais été aussi bonne. Je vous laisse tirer vos conclusions», a réagi Alex Norris, porte-parole de Projet Montréal. Toutefois, il «trouve que c’est triste» que M. Bergeron ne défende plus les positions qu’il avait lorsqu’il était à la tête de Projet Montréal, y voyant là une perte de sa crédibilité. Richard Bergeron se joint a l’Equipe Denis Coderre | JDM
  3. I guess this is what Mark_ac was talking about when he said good news in the pipe for this week... This is wonderful. Publié le 23 septembre 2016 à 07h44 | Mis à jour à 07h44 Un an après le début du vol Pékin-Montréal d'Air China, Air Canada a annoncé vendredi le lancement d'un vol quotidien entre la métropole québécoise et Shanghai à partir du 16 février. Les vols seront assurés par des avions Boeing 787-8 Dreamliner de 251 sièges. « C'est un jour que nous attendions depuis longtemps », a déclaré le PDG d'Air Canada, Calin Rovinescu, lors d'une conférence de presse à laquelle ont notamment participé le premier ministre Philippe Couillard et le maire Denis Coderre. L'annonce créera environ 200 emplois, a précisé M. Rovinescu
  4. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/982657/legs-pour-le-375e-de-montreal-six-ponts-illumines-sur-le-canal/ 20/06/2016 Mise à jour : 20 juin 2016 | 16:09 Legs pour le 375e de Montréal: six ponts illuminés sur le canal Par André Desroches TC Media Photo Gracieuseté Six ponts et passerelles qui jalonnent sur 4,5 km le canal de Lachine, dont le pont Côte-Saint-Paul, seront illuminés. Le paysage du Sud-Ouest sera appelé à changer dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’arrondissement prévoit l’iIllumination de six ponts enjambant le canal de Lachine ainsi que la création d’un tableau du circuit Cité Mémoire avec deux artistes de renom, Michel Lemieux et Victor Pilon. «Le canal est un symbole très fort de notre arrondissement. À la tombée du jour, il va carrément changer de visage», annonce le maire Benoit Dorais. La réalisation du projet «Lumières sur le canal de Lachine!», qui verra le jour en 2017, a été confiée à l’organisme Montréal en Histoires. C’est lui qui signe le parcours de tableaux multimédias Cité Mémoire qui se déploie en images, en paroles et en musique dans le Vieux-Montréal depuis le 17 mai. Structures Les six structures qui jalonnent sur 4,5 km ce cours d’eau, berceau de l’industrialisation au pays, seront donc illuminées. Il s’agit des ponts CN-Du Port, Côte-Saint-Paul, des Seigneurs et Charlevoix ainsi que des passerelles Atwater et Sir-George-Étienne-Cartier. Certaines structures seront éclairées par des équipements statiques. D’autres seront illuminées par du matériel d’éclairage dynamique et programmable permettant notamment de varier l’intensité de la lumière selon la présence ou non de piétons. Célébrer en se souvenant «Ce projet va avoir un rayonnement plus large grâce à une collaboration avec Cité Mémoire», se réjouit Benoit Dorais. Le parcours créé par Michel Lemieux, Victor Pilon et le dramaturge Michel Marc Bouchard va s’enrichir d’un 24e tableau historique créé spécialement pour le Sud-Ouest sur un site qui n’a pas encore été choisi. «En se promenant dans le Sud-Ouest, on voit que c’est un lieu chargé d’histoire. C’est très riche comme endroit», constate Michel Lemieux. Le créateur bouillonne déjà d’idées pour ce tableau. «On va aller chercher des personnages connus qui sont passés à l’histoire mais aussi des personnes inconnues, explique-t-il. Nous voulons mettre les humains au centre de l’Histoire, pas seulement des lieux et des dates.» Michel Lemieux est emballé par ce volet du projet. «Le 375e anniversaire de Montréal, on a le devoir de le célébrer en se souvenant», estime-t-il. Les gens devront donc à aller un peu plus à l’ouest du Vieux-Montréal pour voir ce nouveau tableau. «Ça va faire découvrir les attraits de nos quartiers», anticipe le maire Dorais. Réalisé au coût de 1 M$, le projet de legs du Sud-Ouest sera financé par la Ville de Montréal.
  5. Quelqu'un sait quelle est la nature des travaux au 460 rue McGill? Je passe devant à chaque jour et c'est juste aujourd'hui que j'ai remarqué l'ajout d'un étage supplémentaire.
  6. Une nouvelle qui a passée sous le radar. Montréal dépensera 100 M $ pour un nouveau pont à l’île Bizard La Ville de Montréal consacrera 100 millions $ pour remplacer le pont Jacques-Bizard, de l’arrondissement de L’Île-Bizard-Sainte-Geneviève, qui date de 1966. L’adoption du règlement d’emprunt, mercredi, «permettra de rénover le pont actuel et d’en construire un nouveau pour éviter toute interruption du lien routier», a dit le responsable des infrastructures au comité exécutif de la Ville de Montréal, Lionel Perez, par communiqué. Le pont actuel compte trois voies de circulation, une voie cyclable et un trottoir et est emprunté par 30 000 véhicules par jour. Le nouveau pont aura quatre voies, pour permettra de réduire les périodes de congestion. Les travaux ne débuteront pas avant 2018, pour prendre fin en 2020. http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/10/montreal-depensera-100-m--pour-un-nouveau-pont-a-lile-bizard
  7. http://journalmetro.com/dossiers/galeries-de-photos/911031/le-lancer-du-sapin-une-competition-epineuse/ 30/01/2016 Mise à jour : 30 janvier 2016 | 19:54 En photos: Le lancer du sapin, une compétition épineuse! Par Rédaction Métro C’est samedi après-midi à la Place Jacques-Cartier qu’a eu lieu la première compétition panaméricaine de lancer du sapin. Présenté par Igloofest et Sapin MTL en collaboration avec la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, l’événement est inspiré d’une vieille tradition allemande. Pour cette première édition, la compétition a opposé quelques dizaines de participants. Les profits iront au programme 375 000 arbres du Jour de la Terre Québec, qui a pour objectif de planter 375 000 arbres dans la région de Montréal pour son 375e anniversaire.
  8. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=24767&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques La Ville de Montréal veut créer une seule zone touristique où les établissements commerciaux pourront être ouverts 24 heures par jour 16 avril 2015 Montréal, le 16 avril 2015 - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, a annoncé hier que la Ville de Montréal avait fait connaître au gouvernement du Québec sa demande afin qu'il autorise, pour une période de cinq ans, l'établissement à Montréal d'une zone touristique unique. Cette zone permettrait aux établissements commerciaux concernés de pouvoir exercer leurs activités en dehors des heures et des journées prévues par la Loi sur les heures et les jours d'admission dans les établissements commerciaux. La nouvelle zone touristique comprendrait les secteurs du centre-ville, de l'île Notre-Dame (secteur du Casino de Montréal), du Vieux-Montréal et du Quartier chinois, les territoires des sociétés de développement commercial du Quartier Latin et du Village, ainsi que du Quartier des spectacles. Les établissements situés au centre-ville et sur les territoires des sociétés de développement commercial du Quartier Latin et du Village, ainsi que du Quartier des spectacles, auraient tous la possibilité de rester ouverts 24 heures par jour, tous les jours de la semaine, comme c'est le cas actuellement dans les secteurs de l'île Notre-Dame (secteur du Casino de Montréal), du Vieux-Montréal et du Quartier chinois. « Nous sommes persuadés qu'une telle mesure aura un impact important sur l'activité économique à Montréal. Elle permettra d'offrir une meilleure offre commerciale à la fois à une clientèle de jour et de nuit qui est très présente sur un territoire où sont concentrés plusieurs attraits et de nombreuses activités », a déclaré le maire de Montréal. L'autorisation actuelle consentie par le ministère de l'Économie, de l'Innovation et des Exportations du Québec est d'une durée maximale de cinq ans et vient à échéance le 24 mai prochain. Le statut touristique actuel de la zone centre-ville ne s'applique que les samedis et les dimanches de 17 h à 20 h. sent via Tapatalk
  9. via Radio-Canada Frédéric Metz, figure marquante du design au Québec, est décédé Mise à jour le lundi 11 août 2014 à 8 h 35 HAE Frédéric Metz, le « pape du design », est mort d'un cancer samedi soir, à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, le jour de son 70e anniversaire. Membre fondateur de l'École de mode et du Centre de design et ancien professeur associé à l'UQAM, Frédéric Metz était également reconnu comme un pédagogue et un communicateur hors pair. Né en Suisse, Frédéric Metz est arrivé à Montréal en 1967, pendant l'Exposition universelle. Le livre « Design? » de Frédéric Metz Son livre, Design?, s'était vendu à plus de 6000 exemplaires. À la télévision, il avait aussi lancé en 2013 l'émission Design, une série d'entretiens visant à faire découvrir les esprits créateurs qui ont marqué le design au Québec. Il laissera en héritage plusieurs concepts graphiques connus, dont celui de l'aéroport Mirabel, de l'hôtel Méridien et des chaussures Browns, de même que l'accent grave sur le logo de l'UQAM. Bien connu pour ses nombreuses participations à des émissions de radio et à la télévision, il a aussi signé durant trois ans une chronique pamphlétaire dans le magazine Grafika. Le designer a aussi remporté en 2008 le Prix excellence en enseignement, volet carrière de l'Université du Québec. « Je peux enseigner la même matière, mais jamais de la même façon », avait-il lancé. Il avait pris sa retraite en 2009, après 32 années passées à enseigner. L'an dernier, il s'est vu attribuer l'Icograda Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière.
  10. http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702303834304579519620095674460 Ça serait un rêve pour moi d'avoir un jour un penthouse dans un édifice en hauteur comme cela! Les vues de celui à Chicago sont complètement malades.
  11. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrowski/201309/19/01-4690915-une-nouvelle-mecene-pour-les-arts-a-montreal.php
  12. Communiqué de presse reçu ce matin: 17h ce soir. Avis à ceux qui veulent aller voir ça. PS: Si vous savez pas qui est Roadsworth, allez voir ça (très original, et très ludique): http://roadsworth.com/home/
  13. Photo du jour: Rue Notre Dame APRIL 13, 2013 | BY MARTIN NEW
  14. matv est débrouillée jusqu'au 19 février 2013 sur le web. Témoignages d'immigrants à Montréal http://matv.ca/montreal/mes-emissions/couleurs-d-ici-1/videos Revoir Mise à jour Montréal: http://matv.ca/montreal/mes-emissions/mise-a-jour-montreal/videos
  15. Montréal est loin d'être en panne Publié le 30 octobre 2012 à 07h00 | Mis à jour à 07h00 Hélène Baril LA PRESSE Montréal n'est pas seulement la ville paralysée, congestionnée et corrompue qu'on voit jour après jour dans les actualités. C'est aussi une ville à l'économie diversifiée, où le niveau des investissements atteint un record et où les touristes affluent. Dans la morosité ambiante, le portrait de Montréal que tracent les économistes du Mouvement Desjardins a de quoi surprendre. «On a l'impression que tout va à vau-l'eau, mais ce n'est pas le cas», résume Joëlle Noreau, économiste principale et coauteure de l'étude publiée hier. La croissance économique, notamment, a été au rendez-vous à Montréal au cours des deux dernières années. À 4,2% en 2010 et 4,5% en 2011, le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) témoigne d'une économie solide, selon Desjardins. La croissance provient notamment des investissements, dont le niveau a augmenté de 27,6% en 2011. Cette performance, la meilleure des cinq dernières années, devrait être égalée ou dépassée cette année, avec la poursuite des grands projets de construction (comme le CHUM) et de réfection des infrastructures (échangeur Turcot). Les projets de construction de condos et d'hôtels témoignent aussi de la confiance des investisseurs privés à l'égard de Montréal, croit Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Selon Michel Leblanc, il ne fait aucun doute que «Montréal est en bien meilleure santé qu'il y a 10 ans», bien qu'il admette que c'est difficile à croire dans le contexte politique actuel. Ce n'est pas pour rien, par exemple, que Lonely Planet inclut Montréal dans sa liste des 10 villes du monde les plus intéressantes actuellement, selon lui. Comme les autres régions du Québec, Montréal est frappé par le déclin de son secteur manufacturier. Mais ce déclin ralentit et pourrait même se renverser à moyen terme. Selon la firme KPMG, citée dans l'étude, le Grand Montréal s'est classé au 1er rang des 20 plus grandes régions métropolitaines d'Amérique du Nord pour la compétitivité des coûts totaux de main-d'oeuvre. «On redécouvre le savoir-faire nord-américain», constate l'économiste de Desjardins. Sur le plan de l'emploi, la situation de Montréal n'est pas rose. La ville a perdu 10 200 emplois en 2011, après en avoir gagné 29 800 en 2010. Certains de ses secteurs-clés, comme l'industrie pharmaceutique, ont entamé un repli qui se poursuit en 2012, notamment chez Pfizer et Merck. Mais Montréal a d'autres cordes à son arc. La ville fait des gains dans les secteurs de la finance, du tourisme et de l'économie du savoir. Les gains d'emplois dans le secteur de la technologie font plus que compenser les pertes enregistrées dans le secteur manufacturier, souligne l'étude de Desjardins. Autre point positif, la métropole du Québec attire beaucoup d'étudiants, et la proportion de jeunes de 15 à 24 ans augmente, ce qui est de bon augure pour l'avenir, «à condition de pouvoir retenir ces jeunes», souligne Joëlle Noreau. Des projets Comme pour le reste du Québec, la croissance économique ralentira à Montréal en 2012, prévoient les économistes de Desjardins, en raison du contexte difficile aux États-Unis et ailleurs dans le monde. Ce qui devrait aider la métropole, toutefois, ce sont les nombreux projets en marche d'un bout à l'autre de l'île. L'est de Montréal, par exemple, a un plan de croissance qui prévoit des investissements de 550 millions de dollars en cinq ans dans la construction du train de l'Est, le prolongement du métro et la décontamination des terrains. À l'ouest, l'aéroport de Montréal projette des investissements de 165 millions dans l'agrandissement de ses installations. «Il y a énormément de mobilisation et de gens qui travaillent à faire la promotion économique de Montréal», constate l'économiste de Desjardins. Et ça marche, dit-elle, en donnant l'exemple du secteur touristique, qui est devenu un poids lourd de l'économie montréalaise. Les «plus» Investissements à un niveau record en 2012 Augmentation de la population des 15-24 ans Croissance de l'économie du savoir et de la technologie Les «moins» Le déclin de du secteur manufacturier se poursuit L'industrie pharmaceutique en perte de vitesse Le taux de chômage reste supérieur à la moyenne québécoise Source: Desjardins, études économiques [url=]http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201210/30/01-4588370-montreal-est-loin-detre-en-panne.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS3[/url]
  16. je comprend pas qu'on peut se permettre de detruire un entrepot relativement neuf qui vaut surement plusieurs millions.......je comprend pas comment le projet peut être rentable......... un autre projet non loin de la verra aussi le jour +de 100 condos waltersuratwater.com
  17. Donald Trump Jr. joue un rôle de plus en plus central dans l'empire fondé par son père. La Presse Affaires s'est entretenue avec lui cette semaine en prévision de sa venue à Montréal en septembre, dans le cadre d'une conférence sur l'immobilier. L'homme d'affaires de 34 ans achève de piloter l'un de ses plus gros projets à ce jour, la Trump Tower de Toronto. Et il dit regarder du coin de l'oeil la métropole québécoise, ville où les investissements immobiliers se multiplient à un rythme effréné depuis quelque temps. «On a étudié quelques projets à Montréal, on en a refusé un ou deux qui ne cadraient pas tout à fait avec ce qu'on recherchait, a indiqué M. Trump en entrevue téléphonique. Mais je crois que cela pourrait être un marché intéressant pour nous. J'aime la nature internationale du marché, l'ambiance européenne de la ville, et mes amis qui y vont ont toujours beaucoup de plaisir. Peut-être que la conférence me permettra de trouver une occasion...» Donald Trump Jr., dont la crinière est moins flamboyante que celle de son père, s'est joint à l'entreprise familiale au début des années 2000. Ses premiers contacts avec le monde immobilier remontent toutefois à l'enfance - un passage obligé lorsqu'on porte le nom Trump. «On faisait des choses avec notre père, mais pas dans le sens traditionnel du terme, où on se lançait la balle dans la cour arrière», raconte-t-il. «Pour passer du temps avec lui, on le suivait sur les sites de construction, dans les assemblées du conseil. On a participé à un très jeune âge aux activités de l'entreprise, donc c'est devenu naturel pour nous.» Le New-Yorkais, qui occupe aujourd'hui le poste de vice-président principal de Trump Organization, travaille de très près avec son père ainsi que son frère Eric et sa soeur Ivanka sur les différents projets du groupe. «Je les vois chaque jour... et on trouve même le moyen de prendre nos vacances ensemble.» Crise américaine L'entreprise a plusieurs projets d'hôtels de luxe, de terrains de golf et de résidences de prestige en chantier en ce moment. Or, la crise immobilière - qui fait encore des ravages aux États-Unis - a amené le groupe à être nettement plus sélectif au moment de choisir un investissement. «Avant 2007-2008, je pensais que je connaissais tout ce qu'il avait à savoir au sujet de l'immobilier, avec tout le bagage de ma famille dans ce secteur, reconnaît Donald Trump Jr. C'était comme si rien ne pouvait dérailler. Il se trouve que je connaissais seulement 1 ou 2% du métier, et que les 99% restants de mes connaissances ont été acquis ces dernières années... La meilleure leçon que j'ai apprise vient de cette période, qui a changé mes processus décisionnels.» M. Trump, qui prendra la parole lors du tout premier Salon investissement immobilier Québec, le 29 septembre prochain, prône la plus grande prudence au moment de réaliser une transaction. Que l'investisseur soit une entreprise multimilliardaire comme la sienne ou un particulier. «Mon conseil pour quelqu'un qui n'est pas un expert est d'en devenir un, avance-t-il. Il faut vraiment faire ses devoirs. De bonnes transactions se produisent dans les pires moments et vice versa. Il faut vraiment comprendre le marché qui nous intéresse, la dynamique de marché. À New York, par exemple, il y a une surprime selon le côté de la rue où se trouve la propriété, à cause du flot de trafic, etc. Il faut recueillir le plus d'informations possible.» Son entreprise étudie des investissements potentiels un peu partout dans le monde, notamment en Inde, en Amérique du Sud et dans les ex-républiques soviétiques, dit-il. Mais, répète-t-il, la plus grande vigilance demeure de mise. «On va étudier 100 transactions avant d'en réaliser une.» M. Trump estime que le projet de condos-hôtels de Toronto - un gratte-ciel de 70 étages niché dans le quartier des affaires - est un succès, avec environ 80% des unités vendues à ce jour. Et cela, même si plusieurs acheteurs mécontents ont tenté de rompre leurs contrats. «Dans cet environnement, beaucoup de gens qui ont signé des contrats pendant la crise économique ont tenté de s'en sortir», dit-il. Le père de trois enfants affirme aussi que l'inauguration récente de plusieurs projets luxueux à Toronto, dont le Ritz, n'a pas affecté la performance du Trump. Malgré l'immense attention médiatique - et plusieurs controverses - associé à son flamboyant paternel, Donald Trump Jr. dit bien vivre avec son nom de famille. «Dans le monde des affaires, peut-être que ça place une cible sur ma tête, mais d'un autre côté, ça ouvre bien des portes. Il faut profiter des bons côtés et s'accommoder des aspects négatifs.» http://affaires.lapresse.ca/economie/201206/14/01-4534741-donald-trump-jr-un-oeil-sur-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2
  18. Centre-ville Une lamelle de verre de la Grande Bibliothèque éclate Agence QMI Maxime Deland 08/09/2011 21h55 MONTRÉAL - Les lamelles de verre du parement extérieur de la Grande Bibliothèque du Québec (GBQ) font encore parler d'elles. Une des lattes du bâtiment situé au centre-ville de Montréal a volé en éclats, jeudi après-midi, presque trois ans jour pour jour après le dernier incident du genre. Le bris de la lamelle n'a heureusement pas fait de blessé. La cause exacte de l'éclatement n'a pas encore été déterminée, mais la variation de température pourrait avoir joué un rôle dans cet incident. Les nombreuses chutes de lamelles de verre à la GBQ ont fait couler beaucoup d'encre depuis la construction de l'édifice, en avril 2005. À ce jour, plus d'une douzaine de lattes se sont fracassées d'elles-mêmes. La Grande Bibliothèque compte au-delà de 6000 plaques similaires. En tombant au sol, les éclats de verre pourraient facilement blesser des passants. À la suite de la chute d'une sixième lamelle, en août 2005, des clôtures de sécurité avaient été installées le long de la bibliothèque afin d'éviter que des gens soient blessés. À l'époque, la GBQ avait dû débourser plusieurs dizaines de milliers de dollars pour l'aménagement du périmètre de sécurité.
  19. Mise à jour le vendredi 15 juillet 2011 à 7 h 47 HAE C'est par un vote unanime, jeudi, lors d'une séance extraordinaire, que le projet modifié de train léger a été adopté par le conseil municipal d'Ottawa. Le projet du maire Jim Watson, qui ne devrait pas dépasser les 2,1 milliards de dollars, comporte quelques modifications par rapport au projet initial. D'abord, le tunnel sera construit sous la rue Queen plutôt que sous la rue Albert, au centre-ville d'Ottawa, ce qui permettra de réaliser des économies, notamment en frais d'expropriation. Le tunnel sera également moins creux que ce que prévoyaient les plans d'origine. Il aura une profondeur de 4 étages, plutôt que 12. En vertu du nouveau projet d'implantation, l'entrepreneur devra assumer tous les coûts excédentaires. Il devra aussi fournir jusqu'à 400 millions de dollars pour financer une partie de la construction. Selon le maire Jim Watson, après des années d'indécision, la Ville d'Ottawa joindra finalement les autres grandes villes du monde en se dotant d'un train léger. Le système de transport devrait atténuer la congestion routière au centre-ville d'Ottawa durant les heures de pointe. Un appel d'offres devrait être lancé cet automne et le maire Jim Watson espère que le train léger sera en service en 2018. Radio-Canada.ca ------------- Pendant ce temps à Montréal au regarde nos routes qui pourrissent et qui risque de tomber à tout moment, et aucun projet de TEC voit le jour....
  20. Nouvelles générales - Politique municipale Écrit par Marilou Séguin Dimanche, 21 novembre 2010 11:21 Mise à jour le Dimanche, 21 novembre 2010 12:46 Vous êtes Montréalais mais ne savez pas pourquoi vous restez dans la métropole ? Rassurez-vous, l’administration municipale a pensé à vous. Montréal injectera près d’un quart de million de dollars dans l’élaboration d’un nouveau site web pour vendre aux Montréalais l’idée... de vivre à Montréal. En plus des frais de 88 000 $ pour la création du site promotionnel habitermontreal.com (accessible sous son ancienne forme actuellement), le projet nécessite des investissements de plusieurs dizaines de milliers de dollars pour l’alimenter en contenu et l’entretenir. Selon un document de la Ville, des ententes de gré à gré avec différents fournisseurs seront conclues pour la production de contenu, jusqu’à concurrence de 75 000 $ en 2010. Il est notamment question de rédaction de textes, de production multimédia et d’animation. De plus, en 2011, la création du site entraînera des dépenses prévues de 75 000 $ pour l’élaboration de nouveaux contenus, la mise à jour du site et son entretien. Celui-ci devrait être lancé officiellement en février. Le site vise à rehausser l’image positive de Montréal comme lieu de résidence afin de contrer l’exode des jeunes familles. Photo d'archives Chantal Poirier Le contrat de conception et de réalisation, octroyé à la firme de communications interactives Revolver 3 à la suite d’un appel d’offres sur invitation, sera payé à même l’enveloppe du budget consacré à la campagne de communication marketing « Habiter Montréal », dont l’enveloppe totale prévue, en 2010, est de 1 182 000 $. On prévoit un budget de 1 500 000 $ pour la base budgétaire récurrente de la Direction de l’habitation, en 2011. La grande séduction Le site, qui vise à rehausser l’image positive de Montréal comme lieu de résidence afin de contrer l’exode des jeunes familles, contiendra différents « contenus éditoriaux » (textes, capsules vidéo, audio, photos) visant à vendre aux Montréalais le style de vie, les quartiers et l’environnement de la métropole, indique un document de la Ville. En 2008-2009, le solde migratoire interrégional de Montréal s’élevait à près de 19 500, selon les données de l’Institut de la statistique du Québec. Selon le sommaire décisionnel, le site accompagnera la clientèle dans son processus d’achat immobilier, favorisera des relations de collaboration entre les acteurs économiques et sociaux impliqués, et créera une communauté d’intérêt autour de la décision d’adoption d’un quartier de Montréal. « Il aura notamment pour but de mettre à contribution les expériences de vie des Montréalais (Web social 2.0) tout en exposant les visiteurs à l’offre résidentielle montréalaise ainsi qu’à tous les autres avantages et bénéfices de vivre à Montréal », peut-on y lire. Le jeu en vaut-il la chandelle ? Pour l’opposition officielle, il s’agit d’une facture beaucoup trop salée. « Nous voyons mal quelles fonctionnalités du site pourraient justifier ce prix de création que nous trouvons élevé. Le budget est énorme », dit Étienne Brunet, porte-parole de Vision Montréal en matière d’habitation. « De plus, ce projet soulève la question de l’expertise interne. Il y a énormément de personnes aux communications de la Ville, n’y aurait-il pas quelqu’un à l’interne qui pourrait s’occuper des mises à jour ou du contenu ? » ajoute-t-il, soutenant que si le programme d’accès à la propriété était bonifié, autant de publicité ne serait probablement pas nécessaire pour convaincre les familles de demeurer dans la métropole. Il faut un site performant Du côté de la Ville, on explique que pour se positionner dans le domaine de l’habitation sur le Web, il faut un site performant et innovateur, régulièrement mis à jour. Un avis de la Direction des systèmes d’information (DSI) souligne que « la plateforme web actuelle de la Ville est incapable de répondre aux besoins techniques exprimés dans l’appel d’offres, ce qui justifie le développement de ce site par une firme externe ». http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiquemunicipale/30410-web-montreal
  21. Une émission intéressante sur le caractère international de Montréal (Mise à Jour Montréal, à Canal Vox) http://voxtv.ca/montreal/emissions/mise_a_jour_montreal.php
  22. Plus de 500délégués d'une vingtaine de pays participent, à compter de lundi, à la troisième Conférence internationale sur l'uranium, organisée par l'Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole. Pour en lire plus...
  23. La communauté arménienne construira 74 logements sociaux Publié le Juillet 21 2010 Stéphane St-Amour Une pancarte annonce un projet d’habitation sociale et communautaire sur le terrain avoisinant l’église arménienne bordant le boulevard du Souvenir, à l’ouest de Curé-Labelle. Un immeuble de sept étages, abritant 74 appartements destinés aux personnes de 60 ans et plus, autonomes et à faible revenu, y verra le jour grâce à l’initiative de la communauté arménienne de l’endroit. “C’est en gestation depuis 2007», souligne Azad Temisjian, président du conseil d’administration des Habitations Ararat, organisme sans but lucratif à l’origine du projet. AccèsLogis La Société d’habitation du Québec (SHQ), qui y a donné son aval, financera à hauteur de 50 % les quelque 11 M$ que nécessitera la réalisation de cet immeuble. Ville de Laval avancera pour sa part 1,5 M$, somme qui lui sera intégralement remboursée par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) conformément à l’entente de financement liée aux projets subventionnés par le programme AccèsLogis. Liste d’attente Selon Fritz Delphine, du groupe de ressources techniques Option Habitation Québec, près de 160 personnes apparaissent déjà sur la liste d’attente pour habiter cet immeuble qu’on veut accessible à toutes les communautés culturelles. Parmi les critères de sélection, notons que trois unités d’habitation sur quatre seront réservées aux ménages dont le revenu annuel est de 24 000 $ et moins. Coût d’habitation Le prix des futurs loyers correspond à 94 % du loyer médian en vigueur dans la région. Concrètement, il en coûtera, chauffage, téléphone et câble inclus, 578 $ pour un studio, 714 $ pour un 3 ½ et 834 $ pour un appartement de deux chambres à coucher, explique M. Delphine. À ce loyer, il faut toutefois prévoir un montant supplémentaire de 280 $ par mois pour couvrir les services connexes, tels un repas par jour à raison de 5 jours par semaine, la conciergerie, une surveillance 24 heures par jour, l’animation et les activités sur place. Dans le cas où un couple partage le loyer, la seconde personne devra débourser un montant additionnel de 200 $ par mois… “Peut-être que pour certains ménages, il en coûtera le même prix qu’ils paient présentement pour se loger, mais ils auront droit à une qualité de vie supérieure avec en prime des services», signifie M. Temisjian. Supplément au loyer Cependant, jusqu'à 50 % des futurs locataires pourront bénéficier du Supplément au loyer, «une aide financière destinée aux ménages à revenu faible qui, sans ce soutien supplémentaire, devraient consacrer plus de 25 % de leur revenu au logement», peut-on lire sur le site de la Société d'habitation du Québec (SHQ), qui finance ce programme à hauteur de 90 %. Début des travaux Bien qu’on espère une mise en chantier à l’automne pour une occupation en 2011, les travaux pourraient être repoussés au printemps prochain. Au moment d’écrire ces lignes, la SHQ est à réviser les plans et devis préliminaires avant de lancer les appels d’offres publics.
  24. Bonne fête du Canada à tous!! Et pour ceux qui ne fêtent pas ce jour, bonne journée fériée quand même C'est l'été, il fait beau, profitez-en!
  25. Complété en 2008 On n'avait pas de fil dessus à ce jour.
×
×
  • Créer...