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  1. Jean Coutu pourrait donner à ses actionnaires son bloc de 30% d'actions de la chaîne américaine le printemps prochain. Pour en lire plus...
  2. Publié le 19 octobre 2008 à 23h55 | Mis à jour le 19 octobre 2008 à 23h04 Réforme du système financier: la position de Harper frustre Charest Tommy Chouinard La Presse (Québec) Le froid qui s'est installé entre Stephen Harper et Jean Charest au cours de la campagne électorale s'étend maintenant au remède à apporter à la crise financière. Pendant que le premier ministre du Canada prend ses distances du projet ambitieux de Nicolas Sarkozy de «refonder le capitalisme», Jean Charest appuie sans réserve cette proposition. Dans les coulisses du Sommet de la Francophonie, qui a pris fin dimanche, l'entourage de M. Charest a manifesté sa frustration devant la position défendue par le gouvernement Harper. Ottawa doit cesser de s'aligner sur George W. Bush, qui est réfractaire au projet de M. Sarkozy, a dit une source à La Presse. Interrogé à deux occasions, Stephen Harper a refusé d'aller aussi loin que le président français, qui parle de «refonder» et de «moraliser» le capitalisme. Européens et Américains ne s'entendent pas sur l'ampleur que devrait avoir la réforme du système financier. Nicolas Sarkozy demande un renforcement du mandat du Fonds monétaire international et l'instauration d'une supervision mondiale des marchés. George W. Bush n'est pas chaud à cette idée. Stephen Harper a néanmoins souligné que des règlements plus sévères dans chaque pays ne suffiraient pas à éviter une autre crise. Selon son attaché de presse, Dimitri Soudas, le premier ministre «est ouvert aux discussions, mais il ne tient pas pour acquis que toutes les institutions internationales (le FMI, par exemple) ont besoin de réformes». Selon Stephen Harper, chaque pays doit cependant encadrer de près ses institutions financières. Stephen Harper a prévenu les pays développés de ne pas adopter des mesures protectionnistes, qui nuiraient aux pays en voie de développement. «Il faut mieux réglementer le système financier, mais en même temps le Canada va rejeter les propositions des autres pays du Nord selon lesquelles le protectionnisme serait la solution.» «Leadership» de l'Europe Dans une entrevue accordée à TV5, Jean Charest a vanté le projet de M. Sarkozy. «Derrière l'idée de M. Sarkozy, il y a une grande idée: humaniser le phénomène de la mondialisation. C'est ce que nous voulons», a-t-il affirmé. Selon lui, Nicolas Sarkozy a envoyé «un signal fort», et l'Europe est en train d'«affirmer son leadership». «Ce qu'il dit ne signifie pas qu'on est contre le capitalisme. Mais il faut le rééquilibrer, l'encadrer, de manière à ce que le système capitaliste soit équitable et mette en valeur l'investissement réel au lieu de mettre en valeur les spéculateurs.» Selon le premier ministre français, François Fillon, la France souhaite «une régulation du système financier qui soit cohérente et harmonieuse sur l'ensemble des territoires de la planète». «Actuellement, certaines banques d'affaires ne sont pas régulées. Des paradis fiscaux échappent à toutes les règles. Il y a des règles qui ne sont pas les mêmes d'un État à l'autre, d'un continent à l'autre, ce qui crée des déséquilibres. Nous voulons une régulation plus efficace, plus transparente», a-t-il expliqué. La crise financière a occupé une large place dans l'ordre du jour des chefs d'État des pays de la Francophonie. Le secrétaire général de l'Organisation internationale de la Francophonie, Abdou Diouf, a même dû rassurer des journalistes africains et indiquer que les autres sujets n'avaient pas été négligés. « On a parlé de façon très équilibrée de la crise financière, de la crise énergétique, de la crise alimentaire », a-t-il affirmé. Dans la déclaration finale rendue publique hier, les pays de la Francophonie s'engagent à «participer activement au renforcement du système financier international afin de le rendre plus cohérent». Ils promettent de «soutenir une réforme visant la transparence, la solidité bancaire, l'intégrité et l'amélioration de la gouvernance économique mondiale». La Francophonie a aussi appuyé la tenue d'un sommet international sur le sujet. Jean Charest a salué la proposition du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, de tenir la première rencontre sous les auspices de l'ONU. Les pays du Sud seront ainsi entendus, et «on tiendra compte des besoins de l'ensemble de la planète», a-t-il noté. À l'initiative de Jean Charest, les premiers ministres provinciaux et territoriaux se réunissent aujourd'hui à Montréal afin de discuter de la crise financière. Stephen Harper a décliné l'invitation de M. Charest de prendre part aux discussions.
  3. Le crédit se tarit pour les centres commerciaux 17 octobre 2008 - 06h37 La Presse Laurier Cloutier Le financement de projets commerciaux se tarit à vue d'oeil aux États-Unis et au Canada, obligeant les promoteurs à présenter davantage de garanties pour obtenir du crédit. Selon plusieurs spécialistes nord-américains, les prêteurs exigent des promoteurs de centres commerciaux 65% de baux signés, plutôt que 50% auparavant, et 40% de capital, au lieu de 30%, avant de financer en partie un projet. Et les écarts ne semblent pas si grands entre les nouvelles normes de crédit aux États-Unis et au Canada. Des projets commerciaux sont reportés, mis sur la glace, sinon abandonnés. Après vérification dans son réseau, Jean Lambert, directeur de la recherche mondiale de l'International Council of Shopping Centers (ICSC), de New York, affirme qu'il serait surpris de voir un projet commercial démarrer à court terme aux États-Unis. «Avec le magasin d'une grande chaîne comme locomotive, un centre commercial peut lever, mais seulement avec 60% de financement», dit-il. «Les banques américaines ont fermé le robinet, presque complètement, dans le crédit au développement. Un projet fantastique peut attirer quelques banques, mais à des taux d'intérêt très élevés et avec tous les recours (garanties mur à mur). Au Canada, les banques ont toujours été plus prudentes et, en outre, le commerce de détail se porte mieux qu'aux États-Unis», ajoute Jean Lambert. Projets reportés Au Québec, Gilles Fortin, président de la chaîne Tristan&America, a signé un bail pour aménager un autre magasin de vêtements dans un projet de centre commercial, mais il ne sait pas quand il va ouvrir. Le promoteur n'a pas encore 65% de ses baux signés et, avec la crise, tout est reporté. «Aux États-Unis, il y a beaucoup de projets commerciaux reportés, mis sur la glace et même annulés. C'est assez généralisé. Toutes les banques serrent la vis, sauf pour un promoteur avec un excellent crédit», ajoute Jean Lambert, du ICSC. à New York. «Avant, au Québec, une banque pouvait financer 70% de la valeur d'un projet commercial. Là, c'est seulement 60% ou 65%, avec 35% à 40% de comptant et à un taux d'intérêt de 1% plus élevé», déclare de son côté Frédéric Labrie, directeur du commerce de détail au Groupe Altus (consultants). «Avant, les banques se battaient entre elles sur 0,05% de taux d'intérêt. Là, c'est l'inverse. Sur 15 projets, les banques en regardent cinq et font un seul prêt.» «Depuis trois mois, les conditions sont plus difficiles, autant sur le financement de projets commerciaux que sur celui de propriétés existantes, mais ce n'est pas alarmant, ajoute Frédéric Labrie. Le Quartier DIX30 a déjà des assises solides et ce n'est pas difficile de financer la construction des autres phases. Quand viendra le temps de mettre en chantier, Griffintown devra par contre avoir du cash et des baux signés.» «Des projets sont remis en question, reconnaît Jean-Guy Parent, président des consultants Intercom Services immobiliers. Rien n'a été annulé encore, mais des chaînes attendent.» Jean-Guy Parent ne peut avancer de chiffres, mais des prêteurs comme la Banque Royale, Desjardins et la Banque Nationale, depuis deux semaines, lui disent qu'ils serrent la vis dans l'immobilier commercial. «Je ne dis pas qu'il n'y a plus de financement, mais on verra encore beaucoup de nervosité d'ici deux ou trois mois», affirme-t-il. Jean-Guy Parent voit aussi quatre ou cinq banques exiger des mises de fonds qui passent de 30% à 40%. «Ça peut retarder des projets commerciaux. Il n'y a pas de panique, mais des feux rouges s'allument. Ça prend des promoteurs avec des nerfs et des reins solides, avec du cash pour passer au travers.»
  4. Jean Coutu à l'assaut des régions 14 octobre 2008 - 06h15 La Presse Réjean Bourdeau Jean Coutu (PJC.A) veut grandir dans les régions. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. La nouvelle bannière s'appellera PJC Santé Beauté. Elle sera composée de magasins plus petits que ceux des grandes villes. Mais elle offrira une intéressante gamme de produits: médicaments, cosmétiques, photos, produits saisonniers (Halloween, Noël, etc.), précise le président. Deux projets pilotes, à Caplan, en Gaspésie, et à Néguac, au Nouveau-Brunswick, ont donné d'excellents résultats. Le groupe a l'intention d'implanter une cinquantaine de magasins de 5000 pieds carrés d'ici trois ans. Cela lui permettra d'augmenter ses revenus annuels de 200 millions de dollars, estime la direction. «On a toutes les possibilités de le faire, dit M. Coutu. On est solide financièrement et on a un bon nom.» Reste maintenant à trouver des emplacements intéressants. Et à convaincre des pharmaciens indépendants. Discussions en cours La société est justement en discussion avec plusieurs pharmaciens. «Nous leur offrons la structure, la rigueur et l'efficacité de notre groupe, explique le président. Ils profiteront aussi de notre pouvoir d'achat.» L'investissement requis est de 1 million de dollars par projet. Il sera partagé entre les partenaires. Jean Coutu s'occupe notamment du terrain, de l'édifice et du bail. Le franchisé est responsable des stocks, des améliorations locatives et du personnel. Le groupe est en mesure de déménager et d'agrandir des petits commerces de 1000 pieds carrés et plus. «On adapte notre concept Jean Coutu à de plus petites surfaces, dit le président. C'est moins coûteux à exploiter et ça permet d'être rentable avec un chiffre d'affaires moins élevé.» Les communautés francophones de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick sont ciblées. Au Québec, il y aurait beaucoup de potentiel dans le territoire regroupant Montmagny, Saint-Georges, Trois-Rivières et Saguenay. «Il y a un grand bassin de pharmaciens dans cette région», remarque le dirigeant. Jean Coutu crée aussi des liens avec de jeunes étudiants en pharmacie. «Cette année, on a 109 étudiants qui travaillent chez nous, dit François-Jean Coutu. De ce nombre, 101 vont rester. C'est très bon.» Par ailleurs, le groupe poursuit son projet pour rafraîchir son réseau de 343 établissements. Il coûte 100 millions par année. «Depuis deux ans, en collaboration avec nos franchisés, on fait des déménagements, des relocalisations, des agrandissements et des rénovations, souligne le grand patron. Il nous reste encore deux ans pour terminer une centaine de magasins.» L'ENTEPRISE : son réseau au détail en pharmacie compte 343 établissements franchisés au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Ontario. Le groupe emploie plus de 16 000 personnes sous les bannières PJC Jean Coutu, PJC Clinique et PJC Santé Beauté. La société détient une participation de 29,9% dans l'américaine Rite Aid Corporation (5000 magasins dans 31 États). Son symbole à la Bourse de Toronto est PJC. A. DÉFIS : Développer le potentiel des régions et renouveler le réseau après 40 ans d'existence STRATÉGIES: Lancer le nouveau concept Santé Beauté et investir, avec les franchisés, pour déménager, agrandir ou rafraîchir les pharmacies existantes.
  5. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  6. Immeubles de bureaux: la crise retardera des projets 7 octobre 2008 - 07h04 La Presse Laurier Cloutier La rareté de bureaux libres au centre-ville de Montréal s'accentue et touche un record historique, mais la crise financière pourrait retarder les projets de nouvelles tours. «D'ici de six à neuf mois, un projet d'immeuble de bureaux devrait tout de même être annoncé», assure à La Presse Affaires le président et chef de la direction de GVA Devencore, Jean Laurin, après son étude d'hier sur le marché canadien, où les locaux vides sont rares partout pour les locataires. À Montréal, plus de 95% des bureaux sont occupés et c'est en outre la seule ville canadienne où on ne construit toujours pas d'immeuble de ce type, malgré un marché saturé à 100% au moment de sa livraison éventuelle, note Jean Laurin. Des promoteurs travaillent à cinq projets de tours à Montréal, souligne-t-il. Ceux de Hines et de SITQ Immobilier, au 900, De Maisonneuve Ouest, et de Westcliff, au Square Victoria, sont bien connus dans l'industrie. Le plus récent, c'est celui de Sidev, à l'ouest du Complexe Desjardins et au sud de la rue Sainte-Catherine. Magil-Laurentienne et Canderel sont en outre sur les rangs avec des tours de jusqu'à un million de pieds carrés, près de la Place Bonaventure et du Square Phillips. Click here to find out more! La Ville de Montréal consacre aussi des efforts à la mise en valeur de secteurs comme Griffintown, le faubourg des Récollets (autoroute Bonaventure) et Chabanel, dit Jean Laurin. Par contre, des «prêteurs vont analyser attentivement tout projet avant de s'embarquer dans son financement» à cause de la crise financière, reconnaît le président. «Le promoteur devra avoir de l'expérience, un emplacement de choix et des locataires sérieux», explique-t-il. «Ça pourrait prendre un peu plus de temps avant de construire, mais il ne faut pas mettre toutes les institutions financières dans le même panier, ajoute Jean Laurin. Les caisses de retraite doivent investir leurs rentrées régulières de fonds.» Cela pourrait favoriser le projet de SITQ Immobilier, filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Encore faut-il que les loyers éventuels soient à la hauteur des coûts de construction et de financement. Jean Laurin souligne que les loyers n'ont pas grimpé de façon radicale, malgré la rareté des bureaux, et ils ne sont pas encore tout à fait au rendez-vous, estime-t-il. Après le projet dédié du Campus Bell, aucun locataire important n'a encore annoncé une expansion d'envergure de ses activités, pour justifier illico une nouvelle tour au centre-ville, dit-il. Le taux d'inoccupation de 4% à Montréal équivaut à ceux de Toronto et d'Edmonton. Dans le Vieux-Montréal et le Quartier international de Montréal, ce taux s'approche même de 2%, comme à Vancouver, Calgary et Ottawa, au grand dam des locataires. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081007/LAINFORMER/810070843/5891/LAINFORMER01
  7. Publié le 30 septembre 2008 à 16h36 | Mis à jour à 19h13 Exclusif: les libéraux provinciaux en avance Cyberpresse Les libéraux du Québec confirment leur avance dans les intentions de vote, selon un sondage exclusif réalisé pour La Presse et Cyberpresse. Le dernier coup de sonde de CROP attribue une avance de neuf points aux troupes de Jean Charest, à 41%, devant le Parti québécois qui récolte 32% des intentions de vote, après répartition des indécis. L'Action démocratique du Québec est loin derrière, à 16% des intentions de vote, suivie du Parti vert du Québec (6%) et de Québec solidaire (4%). Jean Charest est par ailleurs considéré comme le leader politique qui fait le meilleur premier ministre du Québec par 41% des répondants, devant Pauline Marois (31%) et Mario Dumont (16%). Les résultats du sondage reposent sur 1000 entrevues téléphoniques effectuées du 18 au 28 septembre 2008.
  8. Le partenaire du Groupe Jean Coutu aux États-Unis a vu sa perte nette presque tripler au cours du deuxième trimestre de l'exercice en cours en raison des résultats décevants de pharmacies. Pour en lire plus...
  9. Jean Larose, directeur général depuis plus de 10 ans, quittera son poste dans un mois. Richard Petit, directeur général adjoint, a abandonné le sien le 1er août dernier. Pour en lire plus...
  10. Charest: «On n'a pas de comptes à rendre à Ottawa» Jean Charest (Photo David Boily, La Presse) Photo David Boily, La Presse Denis Lessard La Presse Le gouvernement du Québec n’a pas de comptes à rendre à Ottawa quant à sa décision de baisser les impôts avec l’argent transmis par Ottawa au printemps 2007, a soutenu jeudi le premier ministre Jean Charest. Il répliquait sans ménagement aux propos tenus plus tôt par le premier ministre Stephen Harper pour qui le Québec ne pouvait à la fois prétendre que le déséquilibre fiscal demeurait et baisser les impôts pour ses contribuables. «Baisser les impôts pour la classe moyenne, j’y tenais beaucoup. Les économistes reconnaissent que c’est la raison pour laquelle l’économie du Québec va tirer son épingle du jeu malgré le ralentissement (économique)», a soutenu M. Charest à l’arrivée à la réunion présessionnelle de son caucus. «Je n’ai pas de comptes à rendre au gouvernement fédéral sur la gestion des fonds au Québec», a-t-il laissé tomber. Pour lui le règlement du problème du déséquilibre fiscal passe aussi par une solution au financement de l’éducation post-secondaire, malmenée par les coupures d’Ottawa dans les années 1990. «Comme premier ministre du Québec je vous dis que ce n’est pas réglé et qu’on va continuer à réclamer du financement pour le post-secondaire», a déclaré M. Charest.
  11. Le principal représentant des petits détenteurs de papier commercial adossé à des actifs, Brian Hunter, incite ceux-ci à écrire aux dirigeants de Jean Coutu, de Domtar et de la SGF. Pour en lire plus...
  12. Cirque du Gourmet Montréal’s Jean Talon Farmers’ Market is a feast for the eyes, too By Matt Scanlon You can’t beat the people-watching at Café Italia on Boulevard St. Laurent in Montréal. From the coffeehouse’s small sidewalk tables, an observer can take in the city’s swirling blend of color and culture: a Rasta-capped dad pushing a tandem stroller; a reed-thin, ghost-pale city girl; a man-sandaled Red Sox fan, presumably from the States; a fiftysomething Asian woman in a sky-blue business suit. One thing unifies this disparate urban crowd: loot from the Marché Jean Talon. Grasping sacks filled with guava, pineapples, wedges of cheese and the requisite torpedoes of French bread, the shoppers spill out of one of the best open-air farmers’ markets in the city . . . some say the continent. To those who’ve fallen prey to the Jean Talon addiction, the place is much more than an opportunity for bag filling. Since its opening in 1933, the market has been an impromptu park: part “Where am I?” landmark for tourists, part political forum and part all-day hang-out for everyone from skateboard kids to fashionistas. Think of a circus with much better food . . . and no clowns. Situated between avenues Casgrain and Henri-Julien, closest to the Jean Talon metro stop, the Marché Jean Talon is one of only two large farmers’ markets in Montréal — the other is Atwater in the Westmount neighborhood. However, many locals feel Jean Talon represents a more faithful adherence to the “buy local, sell local” motto. Its 300-odd stalls — shaded from the sun by a roof without walls, train-station-style — overflow with cheese, meat, produce of virtually every shape and description, freshly cut flowers, fish just plucked from the Gulf of St. Lawrence, and Québec crafts such as hand-woven hats and rugs. The outside edges of the market hold restaurants, larger food stores and a raft of cafés. Though the market resides on the northwestern edge of Little Italy, the neighborhood vibe is more Gallic than Latin, and the happiest customers are those who can at least introduce their inability to speak French . . . in French. Stylish epicurians are quick to note that the Atwater market, with its tonier locale, has more cachet these days, and for people less eager to immerse themselves in Québécois culture, its largely Anglophone location is certainly American-friendly. But that’s just the point: When we go to Montréal, it’s because we want to get away. And Jean Talon has plenty of exotic tastes, including Québec favorites such as Rougemont and Mont-Sainte-Hilaire apples, lamb and pork from the Rigaud hills, and chèvre and Pied-de-Vent cheeses. Open year-round, a market of this size naturally has its share of imports, too. You can grab a Florida orange for nostalgia’s sake, but really. Fromage fans in particular have good reason to make the journey to Jean Talon. Though we have plenty of fine unpasteurized cheeses in Vermont, the market is a prime place to sample Québec’s offerings. Purists believe heat kills much of the earthy texture and place-presence (or terroir) of cheese, and after a hockey-puck-sized serving of a goat’s milk variety called “Tome,” it’s difficult to argue the point. Grassy, sharp and with a white-wine-like finish, it’s a revelation. Such bliss comes with a side order of caution; unpasteurized milk is more prone to have listeriosis and E. coli passengers on board, and pregnant woman should abstain. Though there are at least a dozen great places to buy, Fromagerie Qui Lait Cru — a nifty pun that means both “raw milk” and “Who would’ve believed?” — has a particularly garrulous staff when it comes to answering questions. There are few better examples of Jean Talon’s emphasis on local flavor than Porc Meilleur. Supplied by a family-run farm of the same name in the Maskoutan region, its hormone- and antibiotic-free meat comes from pigs that are fed a combination of grains, yogurt and milk — the proportions are a house secret — and the results are the stuff of local legend. It’s not uncommon for shoppers to come from as far as Ottawa for the bacon, and a shortage of chops can be cause for a near-riot. If veal is your thing, Veau de Charlevoix, just a stone’s throw from Porc Meilleur, is just as passionate about animal raising and quality. Les Délices de la Mer has the unofficial designation of the go-to place for fresh fish in the market. You’ll know it by the number of people standing nearby eating fried fillets out of paper wrappers, eyes turned heavenward in appreciation. Les Délices sells and cooks what’s in season, of course, and at the moment turbot is in abundance. A relative of the flounder, this 10- to 30-pound bottom dweller is prized for delicate (if firm) flesh and a decidedly non-fishy flavor. More than anything else, though, what you see in the market is produce, and again, as long as the harvest lasts, local fruits and vegetables are the stars of the show. For sheer scale and diversity, start with Sami Fruit, just off the market on Rue Jean Talon South. Portage potatoes look appreciably different from their Idaho cousins, while Reliance peaches and Nova Scotia grapes put many in the States to shame. Though these staples of Jean Talon anchor the day, the best part of the market is the unexpected. One day an intrepid shopper might find a small stall offering fresh lobster; the next, a display of crayfish; the next, kosher pickles manufactured by the remnants of the area’s once-sizeable Jewish community. Each visit is different, and as you dip your baguette into a jar of brandied strawberry puree over the low notes of a Mexican guitarron, suddenly the ennui of the border crossing seems worth it. Fruit Flight What’s the point of filling your bags with the wonders of Québec if they end up in the hands of customs agents? Crossing the border is nervewracking enough without worrying about the rules regarding the legal importation of Canadian goods, and the trouble is that these regulations change constantly. With every new potato worm, fruit fly or blight, products that were acceptable yesterday become illegal today. Generally, though, things play out like this: Prepared items such as jam, jelly, sauce, olive oil, mustard, honey, wine and vinegar are permissible, with the very strict exception of anything containing meat. Importing a meat product of any kind is forbidden. For the sake of your stomach, and because it generally falls under the meat heading, leave the fish on your plate, too. The rules are a bit more relaxed regarding Canadian fruit and vegetable importation than with flora of Mexico, Central America or Europe. As long as your plunder is not exotic (eat the last of that pineapple before you leave) and/or bears a “grown in Québec” label either on the fruit or on the bag, you’ll most likely be OK. To be safe, don’t mingle different types of fruit in one bag. Hard cheeses, even those containing raw milk, are generally allowed, but no soft varieties — sorry, Brie lovers. Be further advised, though, that any customs agent can decide for any reason that an item is inadmissible or exceeds the maddeningly vague “reasonable amount” rule. Don’t press your luck by proclaiming your rights — you really don’t have any when it comes to this stuff — or doing your Alan Shore impersonation from “Boston Legal.” Smile, surrender the olives, and move on.
  13. Les avocats qui poursuivent au criminel Vincent Lacroix, Jean Renaud et quatre autres hommes relativement à l'affaire Norbourg tiennent à plaider derrière des portes closes. Pour en lire plus...
  14. Le maire de Saguenay, Jean Tremblay, et le conseiller municipal Serge Simard s'opposent fermement à la démolition de l'usine de panneaux MDF de La Baie. Pour en lire plus...
  15. Bien qu'il se propose de réévaluer le dossier Rite Aid à l'automne, le PDG François-Jean Coutu ne s'attend toutefois pas à y voir un retour à la rentabilité à si court terme. Pour en lire plus...
  16. Les affaires vont plutôt bien au Canada mais la compagnie enregistre une perte plus que triplée au premier trimestre en raison de Rite Aid. Pour en lire plus...
  17. Que fera Jean Coutu avec Rite Aid? Jean Coutu a une décision à prendre avec Rite Aid qui symbolise sa «perçée» sur la scène internationale. Rite Aid n’apporte plus aucune valeur à Jean Coutu, selon les calculs de l’analyste Keith Howlett, de Desjardins Valeurs Mobilières. À son cours actuel, l’action de Jean Coutu est même sous-évaluée d’au moins 10%, affirme l’analyste. Rappelons que Jean Coutu détient une participation de 30% dans le pharmacien américain Rite Aid. M. Howlett estime que les activités de Jean Coutu au Canada ont une valeur de 9,50$ par action actuellement. L’action de Jean Coutu ne cesse de perdre de la valeur depuis un an ayant terminé la semaine à 8,38$ vendredi à la Bourse de Toronto. Le titre a même touché un nouveau plancher à 8,30$ en cours de journée vendredi. Rite Aid, dont le titre a perdu 22% de sa valeur jeudi pour clôturer à un creux de 1,35$ à la Bourse de New York, est devenu un boulet pour Jean Coutu. (Rite Aid a rebondi pour gagner 10% vendredi en Bourse) Le redressement des ventes dans les pharmacies Eckerd et Brooks aux États-Unis est un défi de taille que tente de relever Rite Aid. Plusieurs scénarios s’offrent à Jean Coutu pour la gestion de sa participation dans Rite Aid. Scénario no1 Injecter davantage d’argent dans Rite Aid dans l’optique d’obtenir un rendement raisonnable éventuellement. M. Howlett soutient que cette éventualité est peu probable étant donné que les dirigeants de Jean Coutu ont une tolérance limitée pour le risque excessif. Surtout après la mésaventure qui a mené à la vente des pharmacies Brooks et Eckerd à Rite Aid. Il ne faut pas oublier que Rite Aid est actuellement la seule avenue possible pour Jean Coutu si le pharmacien montréalais souhaite encore devenir un acteur important dans le secteur des pharmacies en Amérique du Nord. Scénario no2 Importer la marque Rite Aid au Canada. L’Ontario et l’Ouest canadien sont deux marchés qui pourraient être réceptifs à la venue de Rite Aid, croit M. Howlett. Scénario no3 Distribuer la participation dans Rite Aid directement aux actionnaires. Scénario no4 Vendre les actions de Rite Aid. Conclusion Peu importe le scénario, Keith Howlett ne s’attend pas à ce qu’une décision soit prise par Jean Coutu avant la fin de l’an prochain. Si Jean Coutu conserve ses actions de Rite Aid ou injecte davantage d’argent dans Rite Aid, la direction devra être convaincue que Rite Aid peut se mesurer à Walgreens, CVS et Wal-Mart. Ce qui n’est pas une mince affaire. Une réponse est attendue d’ici 18 mois. http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/dufour/?p=427
  18. Jean Renaud n'était pas seul. Un autre acolyte de Vincent Lacroix faisant face à une pluie d'accusations criminelles était employé pour l'Organisation de l'aviation civile internationale. Pour en lire plus...
  19. Le pharmacien américain dans lequel Jean Coutu possède une participation continue de perdre des plumes. Pour en lire plus...
  20. Les ténors souverainistes réclament des gestes concrets Photo Patrick Sanfaçon, La Presse Jean-François Cloutier La Presse La reconnaissance symbolique de la nation québécoise par le gouvernement Harper ne suffit pas aux ténors du mouvement souverainiste, qui exigent qu'elle se traduise par des mesures concrètes. «On a tous trouvé ça positif, la reconnaissance de la nation, mais maintenant on exige des actes qui ne soient pas seulement de l'ordre du symbole», a affirmé hier Gilles Duceppe. Le chef bloquiste était accompagné pour l'occasion de Gérald Larose, du Conseil de la souveraineté, de Jean Dorion, de la Société Saint-Jean-Baptiste, et de Marilyse Lapierre, des Intellectuels pour la souveraineté. De l'aveu même du chef du Bloc québécois, ce ne sont toutefois pas de nouvelles concessions qui réduiront l'appétit de souveraineté des Québécois. «Quand on voit qu'on est capables, on en veut toujours plus», a-t-il expliqué. Gilles Duceppe a ainsi rappelé que c'est à l'époque de Jean Lesage, au moment où les Québécois n'avaient jamais eu autant de place dans le Canada, que les aspirations indépendantistes avaient pris forme. À quelques jours de la fête nationale, le Bloc réclame trois gestes de la part du gouvernement Harper, dont la création d'un Conseil québécois de la radiodiffusion et des télécommunications (CQRT), qui remplacerait le CRTC fédéral. Le Bloc se défend cependant d'être opportuniste. «Cette demande n'est pas nouvelle, elle remonte à Duplessis», a fait valoir M. Duceppe. «Demandez aux employés de TQS s'ils aimeraient que nous ayons un CQRT, et beaucoup vous diront oui», a-t-il ajouté. La formation souverainiste demande également que la Loi 101 s'applique aux employés québécois d'entreprises de compétence fédérale. Quelque 275 000 personnes travaillant dans des secteurs comme les ports, les banques, les télécommunications et les transports seraient concernées par la mesure. Le Bloc réclame enfin que le Québec soit exclu de la loi fédérale sur le multiculturalisme, un concept ramené par Gilles Duceppe au «fractionnement de la société en une multitude de solitudes». Il lui préfère l'«interculturalisme». «Ici, nous avons un héritage commun auquel nous voulons que les immigrés se greffent», a-t-il déclaré pour illustrer les différences entre les deux modèles d'intégration. Taxe sur le carbone Questionné sur le projet de taxe sur le carbone de Stéphane Dion, Gilles Duceppe s'est montré sceptique: «Sans cibles absolues de réduction des gaz à effet de serre, on passe à côté du problème.» «Stéphane Dion a déjà dit qu'il ne fallait pas trop nuire aux pétrolières pour éviter de nuire à l'économie», a-t-il rappelé. http://www.cyberpresse.ca/article/20080621/CPACTUALITES/806211046/1019/CPACTUALITES
  21. Philippe Couillard tire sa révérence La Presse et Cyberpresse Québec Après cinq ans à la tête du ministère de la Santé, Philippe Couillard tirera sa révérence la semaine prochaine de la vie politique. Son départ forcera le premier ministre Jean Charest à procéder, plus tôt que prévu, à un remaniement ministériel. Lors d'un très bref point de presse ce matin, M. Couillard a confirmé qu'il était en réflexion et qu'il a partagé de cette réflexion avec Jean Charest. Il a confirmé sa participation à des festivités liées au 400e de Québec la semaine prochaine et au Conseil des ministres du 25 juin. Quelques minutes avant lui, le premier ministre Jean Charest s'est adressé aux journalistes en parlant de son ministre de la Santé au passé, ce qui laisse croire que la décision de M. Couillard est bel et bien prise. Selon les informations obtenues par La Presse, M. Couillard a fait part il y a quelques semaines de son intention de partir. Il sait déjà qu'il obtiendra immédiatement un nouvel emploi dans une organisation internationale ou dans le secteur privé, ont indiqué hier soir des sources libérales à La Presse. «Il aspire à d'autres horizons», a-t-on résumé chez les stratèges libéraux. Pour le remplacer, tout le monde voyait d'emblée Michelle Courchesne, responsable du ministère de l'Éducation, mais il n'en est pas question, a-t-on appris. Déjà, avant le dernier scrutin, M. Couillard avait manifesté l'intention d'obtenir un autre portefeuille, le Conseil du Trésor notamment. Son intérêt pour la succession de Jean Charest était aussi manifeste mais, avec la remontée du chef libéral et de son parti dans les intentions de vote, cette hypothèse s'est envolée en fumée depuis huit mois. Pour remplacer ce poids lourd au sein du gouvernement, M. Charest devra plutôt se tourner vers Line Beauchamp, responsable de l'Environnement, ou Nathalie Normandeau, des Affaires municipales. Cette dernière vient de terminer une réalisation importante avec l'approbation de la loi 22 sur la gouvernance de Montréal. Cette obligation de brasser les cartes tombe à un mauvais moment pour M. Charest. Beaucoup de questions se posent toujours sur l'avenir du jeune ministre Claude Béchard. Le titulaire des Ressources naturelles est terrassé depuis deux semaines par la maladie. Une tumeur cancéreuse a été décelée et les médecins évaluent toujours les dommages causés par la maladie. Il y a des mois que M. Couillard a fait savoir qu'il voulait quitter la Santé. Il a de nouveau été consigné à ce poste quand le gouvernement a obtenu seulement un mandat minoritaire, au printemps 2007. Depuis plusieurs jours, son désintérêt était flagrant durant les travaux de la Chambre. Des questions demeurent sur l'ampleur du jeu de chaise musicale qui aura lieu la semaine prochaine. Aux Fêtes, le premier ministre Charest a temporairement mis de côté des scénarios de remaniement qui faisaient accéder deux, voire quatre députés, au Conseil des ministres. Les noms de Pierre Arcand, de Mont-Royal, et de Nicole Ménard, de Laporte, sont revenus fréquemment. Il s'agissait alors de décharger quelques ministres de trop nombreuses responsabilités. Michelle Courchesne empile les responsabilités, tout comme Raymond Bachand, titulaire du Développement économique. Ce scénario a été remis à plus tard. Les remaniements sont une carte importante, qu'on abat généralement pour freiner une glissade dans les sondages.
  22. Pouvoir fédéral de dépenser: Charest ne se formalise pas du peu de progrès Le lundi 16 juin 2008 Sylvain Larocque Presse Canadienne Plus d'un an après avoir promis de mobiliser l'Assemblée nationale dans le but de conclure avec Ottawa une entente pour limiter le pouvoir fédéral de dépenser, le premier ministre Jean Charest ne se formalise pas du cul-de-sac dans lequel le dossier semble être plongé. Interrog é sur le sujet lundi, en marge de la Conférence de l'Alliance entre les Etats du Sud-Est des Etats-Unis et les provinces canadiennes, qui se tient à Savannah, en Géorgie, M. Charest a dit espérer qu'Ottawa «clarifie les responsabilités des uns et des autres». Il s'est toutefois empressé d'ajouter qu'il incombait aux conservateurs de faire avancer le dossier. Au début du mois, le quotidien Le Devoir a révélé que les fonctionnaires fédéraux avaient terminé la rédaction d'un projet de loi sur la question, mais que les conservateurs s'abstenaient de le déposer aux Communes par crainte que le Québec ne le vilipende. Selon le journal, le projet de loi permettrait à une province de se retirer avec «juste» compensation financière de tout nouveau programme fédéral à frais partagés, à la condition que celle-ci mette en place un programme semblable. Or, Québec veut que la mesure s'étende à tous les programmes fédéraux qui tombent dans les champs de compétence provinciaux, que les provinces y contribuent financièrement ou non. Dans son discours d'ouverture, en mai 2007, Jean Charest avait soutenu qu'il ne revenait pas au gouvernement fédéral de dire à Québec «où et comment» dépenser ses fonds. Lundi, M. Charest a assuré qu'Ottawa ne l'avait pas informé de la teneur de son projet de loi. Quant à savoir à quel moment le dossier pourrait débloquer, le chef libéral s'en remet totalement au gouvernement fédéral. http://www.cyberpresse.ca/article/20080616/CPACTUALITES/80616208/1019/CPACTUALITES
  23. Le premier ministre Jean Charest refuse d'envisager toute ingérence du gouvernement dans la définition de la mission du «bas de laine» des Québécois, qui doit continuer à mettre l'accent sur le rendement, selon lui. Pour en lire plus...
  24. Pénurie record de bureaux au centre-ville La Presse Laurier Cloutier Le choix de Montréal par Morgan Stanley, qui embauchera jusqu'à 500 personnes, va augmenter encore la demande pour des bureaux au centre-ville, sur un marché déjà en pénurie record et avec des loyers sous pression. La banque d'affaires new-yorkaise Morgan Stanley devra trouver de 75 000 à 125 000 pieds carrés à Montréal, affirme à La Presse Affaires Jean Laurin, président de GVA Devencore, chef de file canadien en conseil et courtage immobilier aux entreprises. La location d'une telle superficie pourra nécessiter la mise en chantier d'un immeuble de bureaux car les grands locaux vacants n'ont jamais été aussi rares à Montréal. SITQ Immobilier, pour sa part, cherche d'ailleurs un locataire principal pour 40% d'une tour projetée de 350 000 pieds carrés, avant de la mettre en chantier, boulevard De Maisonneuve, tout près de l'ex-Ben's, note un porte-parole, Jacques-André Chartrand. Ce projet, évalué à 150 millions de dollars, est un partenariat avec la société texane Hines. Selon la dernière étude de GVA Devencore, le taux d'inoccupation est passé de 7,1% à 3,7% à Montréal en un an, «un plancher historique», note Jean Laurin, comparativement à 10% en 2004. Ailleurs au Canada, le taux n'a jamais été aussi bas non plus. «Quand le marché tombe sous la barre de 7%, il est mûr pour une tour», ajoute la porte-parole, Sylvie Bachand. Jean Laurin s'attend non seulement à la construction d'une tour, mais aussi à la conversion d'immeubles industriels en bureaux, dans le Vieux-Montréal (ex-locaux liés au port), le quartier de la fourrure (près de La Baie) et celui du vêtement, dans le quadrilatère ceinturé par les artères Saint-Urbain, Rosemont, Saint-Joseph et Saint-Denis. «Le coût d'occupation peut aller du simple au double» dans ces quartiers par rapport au centre-ville, explique Jean Laurin. Si le loyer coûte de 45$ à 55$ le pied carré dans une nouvelle tour, il peut descendre à 25$-35$ dans des usines reconverties. Par contre, ces locaux réaménagés ne conviennent pas à tous. Ils peuvent attirer des entreprises de la publicité, des médias, des services au secteur financier, précise Jean Laurin. Allied Properties, de Toronto, qui a racheté la Cité du multimédia, de Montréal, fait partie des promoteurs qui ciblent des immeubles à restaurer, souligne le président de Devencore. Ces projets peuvent prendre un an car, paradoxalement, en dépit du faible taux record de locaux vacants, le marché immobilier est en période d'analyse, dit Jean Laurin. Tous scrutent la crise financière aux États-Unis, car si son impact déborde, le ralentissement économique peut se transformer en récession prolongée, «ce qui n'est jamais favorable au développement immobilier», dit Jean Laurin. Malgré cette période de transition, «l'appétit pour l'immobilier demeure fort», assure le président, d'autant plus que l'inflation s'accroît. Par contre, les entreprises peuvent patienter trois mois avant de s'engager à long terme pour un bail de 150 000 pieds carrés, mais pas trop, car la construction d'une tour prendra de 24 à 30 mois, dit-il. Les 200 employés du sous-traitant Compuware, que Morgan Stanley doit d'abord embaucher, travaillent à la Cité du multimédia. Compuware n'a pas rappelé La Presse Affaires sur l'utilisation de ces locaux. La Cité négocie, mais n'a pas de locaux vacants, déclare par contre le directeur immobilier, Jean-François Burdet. Outre la tour SITQ-Hines, la firme Devencore voit un intérêt croissant pour l'immeuble de 300 000 à 400 000 pieds carrés de Westcliff au carré Victoria. La demande potentielle s'accroît aussi pour une tour de jusqu'à un million de pieds carrés de Magil Laurentienne à l'angle des rues Université et Saint-Jacques, près de Place Bonaventure. Quant à Canderel, elle veut aménager un immense stationnement au carré Phillips, selon Devencore. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080508/LAINFORMER/805080932/-1/LAINFORMER01
  25. 21 novembre 2007 - 07h12 La Presse Laurier Cloutier Le marché des tours de bureaux se porte bien et des promoteurs pourraient ainsi en mettre en chantier de nouvelles, prochainement. «Il y a de moins en moins de locaux de bureaux vacants au Canada. Le taux d'inoccupation a rarement atteint un niveau aussi bas et depuis longtemps», déclare à La Presse Affaires le président de la société canadienne de consultants en immobilier GVA Devencore, Jean Laurin. GVA Devencore va compléter «d'ici quelques jours une étude canadienne sur l'immobilier non résidentiel et portant surtout sur les bureaux», indique Jean Laurin. Comme les locaux disponibles deviennent plus rares, «des projets de tours de bureaux devraient lever de terre au Canada et pas seulement dans l'Ouest canadien», assure Jean Laurin. Les manufacturiers de l'Ontario souffrent aussi de la hausse du dollar, notamment dans l'automobile. «Mais trois projets d'immeubles de bureaux sont malgré tout en construction à Toronto, dit Jean Laurin. Ailleurs au Canada, c'est plus tranquille, mais des projets d'immeubles de bureaux devraient quand même être lancés d'ici deux ou trois ans à Montréal, Ottawa, Calgary et Vancouver.» Voilà les paroles de mon patron, c'est encourageant, mais c'est vague. Pas trop trop de détails!
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