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  1. Une forêt australienne nommée Jean Charest Mise à jour 07/12/2010 21h18 Mal aimé au Québec, le premier ministre du Québec a vu son « leadership » en matière de lutte contre le réchauffement climatique reconnu sur la scène internationale. L'Australie-Méridionale a même choisi de donner le nom de Jean Charest à une de ses forêts. « Je n'ai jamais pensé qu'une forêt portera un jour mon nom. J'ai hâte de la visiter […] J’aime bien l’idée et je suis flatté qu’on puisse reconnaître le travail que j’ai fait avec beaucoup de conviction », a dit Jean Charest, amusé et radieux, mardi, après avoir appris la nouvelle. La forêt est située dans les environs de la ville d'Adélaïde, en Australie. Elle s’inscrit dans un vaste projet australien de plantation de trois millions d’arbres. Mike Rann, premier ministre de l'Australie-Méridionale, n'a eu que de bons mots pour féliciter M. Charest de son action environnementale. « On a jugé à l’unanimité que Jean Charest a eu un leadership extraordinaire en ce qui a trait aux changements climatiques. Il est une inspiration pour plein de décideurs à travers le monde. En 25 ans de vie publique, je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi impressionnant que Jean Charest dans son engagement », a fait savoir M. Rann. Le gouverneur démocrate de l’État du Wisconsin, Jim Doyle, ne tarissait pas d’éloges à l’endroit de M. Charest. « Il mérite complètement ce prix. Il a inscrit le Québec comme un des leaders mondiaux pour les énergies renouvelables », a dit M. Doyle. L'Australie-Méridionale a accordé son prix de l'année à Jean Charest, un an après l'avoir décerné à l'ancien gouverneur de la Californie Arnold Schwarzenegger. Interrogé à la blague à savoir si ce prix n’allait pas ressusciter la chanson de Pierre Lapointe, « La forêt des mal-aimés », Jean Charest a répondu sur le même ton badin. « N’écoutez pas la chanson, c’est tout », a-t-il plaisanté. Pas un message au Canada Ni M. Rann ni M. Doyle n’ont voulu dire si cette récompense octroyée au Québec était, à leurs yeux, une façon indirecte d’envoyer un message de désapprobation aux politiques canadiennes. « Ce n’est pas notre job », a répondu M. Rann, prudent. « Je ne ferai pas de commentaires à propos de la politique canadienne », a enchainé M. Doyle. Le premier ministre Charest a quitté Cancun, mardi après-midi, sans croiser le ministre fédéral de l’Environnement, John Baird, qui venait d’y atterrir. Il le mérite, admet le PQ. Visiblement surprise de la distinction accordée au premier ministre Charest, la porte-parole péquiste en environnement, Martine Ouellet, a admis du bout des lèvres que Jean Charest méritait son prix. « Pour ses actions au niveau international, il le mérite et c’est à ce titre-là que ça a été remis. Il a fait des démarches et a été proactif, a-t-elle analysé. Toutefois, ses actions au Québec ne suivent pas ses paroles au niveau international. Et c’est ça le problème. » http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/12/20101207-210937.html
  2. Publié le 15 novembre 2010 à 12h15 | Mis à jour à 13h04 Pétition pour la démission de Charest http://www.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.assnat.qc.ca%2Ffr%2Fexprimez-votre-opinion%2Fpetition%2FPetition-1123%2Findex.html&h=c901bFQYY_IMOqF8wQewUSTBOnQ Le site de l'Assemblée nationale héberge depuis ce matin une pétition demandant que Jean Charest démissionne de son poste de premier ministre. La pétition (cliquer ici pour y accéder) est une initiative du Mouvement citoyen national du Québec (MCNQ), un groupe formé en mai dernier en réaction au budget Bachand. Elle a été parrainée par le seul député de Québec solidaire, Amir Khadir. Elle restera jusqu'au 15 février 2011 sur le site de l'Assemblée. Plus de 1082 individus l'avaient signée au moment d'écrire ces lignes. La démission de M. Charest est demandée pour trois raisons: son refus de déclencher une commission d'enquête sur l'industrie de la construction, son refus d'imposer un moratoire sur l'exploration et l'exploitation des gaz de schiste et son «refus de négocier (...) les mesures prévues dans le budget 2010». Le groupe prétend que la majorité de la population s'oppose au budget du gouvernement Charest, et que le premier ministre «refuse de collaborer avec la population». Le MCNQ a été fondé le printemps dernier par Steve Brosseau, un préposé aux bénéficiaires d'un hôpital, âgé dans la trentenaire. Le groupe se dit non-partisan. Il est coadministré par Anthony Leclerc, un étudiant de secondaire 5 de la région de Québec qui avait réalisé un lipdub contre la réforme pédagogique. Le site de leur mouvement est http://www.unissonslequebec.org. Pour entrer dans le site ce matin, il fallait cliquer sur une fleur de lys. Pour en sortir, il fallait cliquer sur une feuille d'érable. Questionné à ce sujet, M. Leclerc a insisté que le groupe «n'était pas souverainiste». Cette page d'accueil a été enlevée quelques minutes après notre interview pour «enlever ces doutes» et pour «effacer une faute d'orthographe», a confirmé un peu plus tard Steve Brosseau. M. Brosseau avoue avoir déjà été un partisan du PQ, mais il dit préférer aujourd'hui Québec solidaire. «Mais mon groupe n'est pas associé à eux. On veut rallier des partisans de tous les partis», précise-t-il. Sur son site, le MCNQ trafique une photo de Jean Charest. Le premier ministre est affublé d'une perruque et d'un nez de clown. Le MCNQ se définit comme étant le «plus gros groupe anti-PLQ et anti-Charest à ce jour!!!». Leur groupe Facebook «1 000 000 de Québecois pour sortir le PLQ et Jean Charest du pouvoir!!!» compte 41 640 membres. Le MCNQ a contacté M. Khadir, le député indépendant et ex-adéquiste Éric Caire et quelques députés péquistes, indique M. Brosseau. «Amir Khadir a été le seul à daigner nous répondre. On n'est pas les premiers à vouloir déposer une telle pétition. Mais on a peut être été les plus tenaces. C'est vraiment compliqué, il a fallu communiquer une trentaine de fois avec le bureau de M. Khadir et modifier notre texte quatre ou cinq fois pour répondre aux exigences de l'Assemblée nationale.» L'Assemblée nationale a accepté la pétition vendredi dernier.
  3. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2010/08/27/004-montreal-fragment-urbanite.shtml
  4. Read more: http://www.montrealgazette.com/entertainment/Lambert+shouts+enough/3317503/story.html#ixzz0uhaLT8LV
  5. Écoles passerelles et projet de loi 103 - Charest à la remorque de la Cour suprême Le Québec serait tout à fait respectueux de l'ordre constitutionnel canadien s'il se prévalait de la clause dérogatoire pour contrer le jugement de la Cour suprême déclarant inconstitutionnelle la loi 104 adoptée par l'Assemblée nationale en 2002 Louis Duclos - Ex-député fédéral de Montmorency-Orléans 21 juin 2010 Actualités en société Photo : Clément Allard - Le Devoir Le premier ministre Jean Charest s’est mis à la remorque de la Cour suprême pour ne pas indisposer le Canada anglais et ne pas hypothéquer ses ambitions futures sur la scène politique fédérale.Le dépôt du projet de loi 103 aura été l'un des faits saillants de la dernière session de l'Assemblée nationale. À l'occasion du débat qu'il a suscité, le premier ministre Jean Charest a reproché à Pauline Marois de préconiser le recours à la clause dérogatoire et de vouloir ainsi «suspendre des droits fondamentaux». Déchirant littéralement sa chemise comme s'il s'agissait là d'un geste odieux et répréhensible de la part de la chef de l'opposition officielle, Jean Charest a fait semblant d'ignorer que l'utilisation de la clause dérogatoire est certainement légitime puisqu'elle est prévue expressément à l'article 33 de la Charte canadienne des droits et libertés de Pierre Elliott Trudeau. Il est d'ailleurs intéressant de rappeler que le Québec n'eut rien à voir avec l'inclusion de cette clause dans la Charte canadienne des droits et libertés. En fait, ce sont les gouvernements des provinces de l'Ouest canadien qui, à l'instigation du premier ministre du Manitoba, en firent une condition de leur adhésion à la résolution constitutionnelle du gouvernement Trudeau au cours de la désormais célèbre «nuit des longs couteaux». Bref, le Québec serait tout à fait respectueux de l'ordre constitutionnel canadien s'il se prévalait de la clause dérogatoire pour contrer le jugement de la Cour suprême déclarant inconstitutionnelle la loi 104 adoptée par l'Assemblée nationale en 2002. Jugement étonnant Ce jugement, qui semble inspiré par des considérations d'ordre politique plutôt que juridique, est fort étonnant dans la mesure où il ne tient pas compte de l'intention du législateur, comme les tribunaux le font habituellement. De plus, il va à l'encontre de l'interprétation que les spécialistes en droit constitutionnel faisaient de l'article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés depuis son adoption en 1981. À ce sujet, l'ex-ministre libéral Benoît Pelletier confiait récemment au Devoir (édition du 5 juin 2010) qu'«auparavant, tous les experts comprenaient que l'article 23 ne devait pas s'appliquer à deux classes d'individus: les immigrants et les francophones». Pour avoir participé très activement au débat sur le rapatriement de la Constitution à titre de député à la Chambre des communes, je peux témoigner du fait que les propos de Benoît Pelletier reflètent fidèlement ce qui était alors l'intention du législateur. En fait, celui-ci a même voulu soustraire explicitement à l'application de l'article 23 les immigrants ayant l'anglais comme langue maternelle au moyen de l'article 59 de la Loi constitutionnelle de 1981 qui rend l'alinéa 23(1)a) inopérant pour le Québec à moins d'une «autorisation de l'Assemblée législative ou du gouvernement du Québec». Parcours authentique En donnant le feu vert au subterfuge des écoles passerelles en raison de l'interprétation qu'elle fait de l'article 23(2), la Cour suprême ouvre carrément les portes de l'école publique anglophone subventionnée aux immigrants de langue maternelle anglaise. En effet, il sera encore plus facile pour eux que pour les autres immigrants et les francophones de faire la démonstration du fameux «parcours authentique» dont fait état le jugement de la Cour suprême. Quant à l'article 59 de la Loi constitutionnelle de 1981, il perd beaucoup de sa pertinence à la suite de ce jugement. Il est désolant de constater que les trois juges du plus haut tribunal au pays en provenance du Québec se soient faits les complices d'un diktat qui, de toute évidence, constitue une attaque sournoise contre le caractère français du Québec. Il est cependant tout aussi désolant que le gouvernement du Québec se soit ainsi mis à la remorque de la Cour suprême pour ne pas indisposer le Canada anglais et ne pas hypothéquer les ambitions futures de Jean Charest sur la scène politique fédérale. *** Louis Duclos - Ex-député fédéral de Montmorency-Orléans http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/291297/ecoles-passerelles-et-projet-de-loi-103-charest-a-la-remorque-de-la-cour-supreme
  6. Le Québec lave-t-il plus blanc que blanc ? Pierre Duhamel La guéguerre entre Québec et Ottawa sur l’environnement devient polluante. Selon le National Post, le gouvernement fédéral, qui a semoncé celui du Québec parce qu’il veut imposer aux constructeurs automobiles des normes plus sévères d’émissions de gaz à effets de serre, serait en train d’imposer les mêmes règles. Le ministre fédéral Jim Prentice trouvait le Québec ridicule d’agir sur cette question, mais on dirait qu’il était plutôt déçu de s’être fait devancer dans l’annonce de cette politique. Ceci dit, je comprends l’exaspération d’Ottawa car le gouvernement québécois est devenu un insupportable donneur de leçons sur les enjeux environnementaux. Le Québec est-il devenu à ce point vert et irréprochable en matière d’environnement ? On apprenait cette semaine que les émissions de CO2 en 2007 ont bondi de 3,7 % au Québec après avoir subi une baisse les années précédentes. Jean Charest s’était pourtant fait le preux chevalier de la lutte aux changements climatiques et s’est commis pour une baisse de 20 % des émissions d’ici 2020. Prenons note qu’il faudra dorénavant diminuer les émissions de 23,7 % pour atteindre la cible. À Copenhague, Jean Charest s’était également permis une charge audacieuse contre les répercussions de l’exploitation des sables bitumineux en Alberta. Ce point de vue est peu entendu au Québec, mais je crois sincèrement que nous profitons largement des retombées de cette exploitation. À preuve, les citoyens de l’Alberta versent par habitant plus du double en taxes et impôts au gouvernement fédéral que ceux du Québec et ils reçoivent- toujours per capita - 25 % de moins que nous en dépenses de programmes et en achats de biens d’Ottawa. Manifestement, il y en a qui paient pour les autres… et ce ne sont pas les Québécois. Présumons que les intentions de Jean Charest sont nobles et qu’il est vraiment catastrophé par l’exploitation des sables bitumineux. Pourquoi alors ce même Premier ministre ne s’offusque pas quand on exploite une mine d’uranium aux portes de Sept-Îles ? Pire, Jean Charest a même défendu en Inde l’exploitation et l’exportation de l’amiante, un produit dont le caractère extrêmement nocif est universellement reconnu. Le gouvernement du Québec défend l’existence d’une vieille mine qui emploie 150 personnes à Asbestos, mais joue les vierges offensées devant une industrie qui emploie 372 000 personnes et où on prévoit des investissements de 100 milliards de dollars d’ici 2020. Le Québec n’a pas de sables bitumineux, mais on cherche activement du pétrole en Gaspésie et du gaz naturel dans la vallée du Saint-Laurent. Je pense que certains de mes concitoyens seront beaucoup moins «verts» quand ils verront les retombées des découvertes potentielles.
  7. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
  8. Metro pourrait-elle acheter Jean Coutu? Permalink 10/07/09 01:32 am, François Pouliot / Général, 967 mots Il serait intéressant de poser la question à Éric Laflèche et François Jean Coutu lors de leur prochaine sortie publique. Dans l’intérim, l’analyste Perry Caicco avance que c’est une possibilité bien réelle et parle même d’un mariage parfait. L’analyste de CIBC Marchés mondiaux ne détaille pas beaucoup sa proposition. Elle survient néanmoins à un moment où les deux sociétés approchent de la maturité et se cherchent des avenues de croissance. Surtout, elle survient à un moment où, si elles ne se courtisent pas relativement rapidement, il pourrait bientôt être trop tard. La situation de Jean Coutu Jean Coutu est enclavée. Après avoir réussi une première sortie du Québec dans les années 90, avec l’acquisition de Brooks, elle vient de mordre la poussière avec Eckerd. Sa participation de 32% dans Rite Aid (désormais propriétaire des Eckerd) l’empêche de songer à un retour aux États-Unis, et même si elle s’en défaisait, l’ampleur de l’échec a probablement fermé pour longtemps la porte à tout plan d’acquisition à l’extérieur du pays. Chat échaudé craint l’eau froide. Au Canada pendant ce temps, rien ne semble disponible. Le plan de match actuel repose donc sur quelques axes intérieurs. Le principal consiste à ajouter des pharmacies Jean Coutu dans le paysage québécois. Le groupe veut faire passer son réseau de 300 à 400 établissements d’ici 5 à 7 ans, tout en intégrant dans la plupart de ses surfaces des boutiques Passion Beauté (les produits de beauté génèrent de fortes marges). La stratégie est intéressante à moyen terme et génère d’assez bons rendements, mais les analystes notent que la création de valeur devient de plus en plus difficile, alors qu’en grandissant, Jean Coutu vole certes des parts de marché à ses concurrents, mais s’en vole aussi à elle-même, ce qui vient diminuer ses marges. L’acquisition du fabricant de produits génériques Pro Doc, il y a un an et demi, est une initiative qui pourrait donner plus de fruit qu’initialement escompté, mais tôt ou tard, l’état des résultats devra faire face à la situation géographique. La situation de Metro Plus de trois ans après avoir acquis A&P Canada, l’épicier est dans un vaste programme de rénovation de 200 M$. Actuellement 89 des 159 Loeb et A&P ont été rénovés et convertis à la bannière Metro. L’opération devrait être complétée à la fin de l’année. Metro continue de livrer d’impressionnants résultats. Au dernier trimestre, les ventes des magasins comparables ont progressé de 7,3% et son bénéfice a pulvérisé le consensus. Les analystes estiment cependant que la croissance est difficilement soutenable alors qu’une bonne partie de celle-ci provient de l’inflation. Après avoir extirpé toutes les synergies qu’elle pouvait tirer de A&P, tout comme Jean Coutu, et plus vite même, Metro se rapproche à nouveau d’une situation de maturité. Les avantages d’une fusion Par le biais de son grossiste McMahon, Metro exploite au Québec la bannière franchisée Brunet, qui compte 122 établissements. Elle exploite aussi la bannière Clini Plus, dont les 68 établissements de moindre taille sont souvent installés en périphérie de cliniques médicales. En Ontario, le détaillant compte 51 établissement Pharmacy (dans ses Metro et A&P) et 27 Drug Basics (dans ses Food Basics). À l’évidence, une acquisition de Jean Coutu par Metro permettrait de créer des synergies significatives et un certain effet de levier. -Le pouvoir d’achat des deux entités serait décuplé. -Les coûts de distribution seraient abaissés. -Les coûts administratifs tomberaient. -Les infrastructures de Metro en Ontario pourraient éventuellement un peu plus tard supporter une expansion de Jean Coutu dans la province. Metro a-t-elle les moyens? Oui. Ses ratios d’endettement sont bas (dette/BAIIA à 1,4). En 2005, elle avait payé 1,7 G $ pour A&P Canada et valait à l’époque elle-même 3 G$. Jean Coutu vaut aujourd’hui 2,4 G$, et Metro en vaut 4 G$. Avec les succès d’intégration de l’épicier québécois, il ne devrait pas y avoir trop de réticence des banquiers à financer. D’autant que l’acheteur pourrait en partie offrir de ses actions pour permettre aux actionnaires de la cible de participer à la récolte projetée de plus value et à la famille Coutu de conserver une position d’influence. Et le Bureau de la concurrence? C’est ici un peu moins évident. Selon sa dernière présentation aux investisseurs, Jean Coutu détient 32% de parts de marché au Québec en termes de ventes pharmaceutiques. Les parts de marché des Brunet et Clini Plus ne sont pas divulguées. Il se trouverait sans doute un certain nombre de concurrents pour agiter le spectre de la domination outrancière et ses conséquences néfastes à long terme (élimination de la concurrence et hausse des prix). En contrepartie, le paysage concurrentiel demeurerait tout de même encore assez bien peuplé (Pharmaprix, Familiprix, Uniprix, Proxim, Wal Mart, etc.) La question est intéressante parce qu’elle veut aussi dire que plus Jean Coutu continuera de grandir, plus sa part de marché devrait continuer de grimper (même si sa marge s’effritera). S’il a des hésitations à 300 établissements, le Bureau de la concurrence ne pourra qu’en avoir davantage à 400. C’est pourquoi si elles ne veulent pas rater un mariage catalyseur de valeur pour chacune, Metro et Jean Coutu auraient avantage à bientôt se parler.
  9. Michael Jackson dies leaving legacy of award-winning music Michael Jackson, who died today at age 50, ruled the music world throughout the 1980s, selling millions of records and concert tickets and dubbing himself the "King of Pop." And while Michael Jackson won multiple times at such popularity contests as the American Music Awards and the MTV Awards, he also earned the respect of his peers in the music industry with his 13 Grammy Awards. Michael Jackson Grammy Awards Thriller Death News 1357986 After striking out on his own from the Jackson Five, Jackson won his first Grammy in 1980 for best R&B male vocal performance ("Don't Stop 'Til You Get Enough"). That track from his chart-topping "Off the Wall" album also contended for best disco recording. "Thriller" – his second solo effort as an adult – was released in November 1982 and spent a record 37 weeks at No. 1, producing an unparalleled seven Top 10 singles. In March 1983, Jackson debuted his moonwalk dance to "Billie Jean" on the TV special "Motown 25: Yesterday, Today and Forever." Michael Jackson earned an Emmy nod for best performance in a variety or music program. He lost to opera diva Leontyne Price for her concert with the New York Philharmonic on "Live From Lincoln Center." At the Grammys in February 1984, Jackson shared in seven of the eight awards won by the album (the exception was for best engineered recording). Michael Jackson shared the wins for album of the year and producer of the year (non-classical) with "Thriller" collaborator Quincy Jones, who also produced his Grammy-winning children's recording "E.T. - The Extra-Terrestrial." For the three chart-topping singles off the album, Jackson won Grammy Awards for male vocal performance in an unprecedented three genres – R&B ("Billie Jean"), rock ("Beat It") and pop ("Thriller"). He shared in the record of the year win for "Beat It" with the production team. And as the songwriter, he picked up a Grammy for penning the best R&B tune ("Billie Jean"). However, Sting's "Every Breath You Take" edged out two Jackson compositions – "Beat It" and "Billie Jean" – for song of the year. Jackson's total of eight Grammy wins in one night broke the record set in 1965 by Roger Miller, who'd won six awards, most for the country hit "King of the Road." And the eight Grammys awarded to "Thriller" was another record haul as well. Both of these achievements were tied by Santana and the album "Supernatural" in 1999. Michael Jackson won another Grammy the following year in the category of best video album for the film that documented the making of the landmark "Thriller" video. That $500,000, 14-minute video, directed by John Landis, told the story of a boy (Jackson) and girl enjoying a date until he turns into a singing, dancing werewolf. In 1986, Jackson and Lionel Richie won the song of the year Grammy for the charity single "We Are the World," which also took home record of the year. As Jackson was one of the pioneers of the music video, it seems appropriate that the last two Grammys he won were for that medium. In 1989 he and his team won the short form video award for "Leave Me Alone" off his follow-up album "Bad." And in 1995 he and his sister Janet Jackson shared in the short form winning "Scream" from his double album "HIStory." Photo: Ken Hively / Los Angeles Times
  10. Terrains à vendre au pied de l'Oratoire Hugo Joncas, Les affaires Les terrains excédentaires de l'Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal attirent les promoteurs immobiliers. L'institution vient de vendre trois lots au constructeur de maisons de luxe Jean Houde et à la famille Elman, actionnaire majoritaire du fonds d'investissement en santé Persistence Capital Partners. Elle a obtenu près de 2,6 millions de dollars pour les trois terrains. L'Oratoire compte vendre sept autres terrains autour de Surrey Gardens, mais préserver le reste de la ceinture verte entre l'institution et les résidences de Westmount. Les terrains mis en vente sont tous situés dans un boisé à l'extérieur de l'arrondissement historique et naturel du mont Royal protégé par Québec. Le zonage de ces lots, situés dans la Ville de Westmount, prévoit uniquement la construction de maisons unifamiliales détachées. Pour l'instant, la Ville n'a discuté qu'avec Construction Jean Houde, selon Joanne Poirier, directrice de l'urbanisme. " Ils nous ont soumis des plans préliminaires pour un terrain à l'est de la rue Surrey Gardens ", dit-elle. Le produit de la vente de ces lots sera investi dans l'entretien des installations de l'Oratoire. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-22/493716/terrains-etagrave-vendre-au-pied-de-loratoire.fr.html (22/5/2009 11H27)
  11. J'ai eu cette idée de ssc.com. Quelle tour qui est présentement en contruction (ou recemment complétée) n'importe ou dans le monde, aimerais tu voir à Montréal? N'oubliez pas les photos! je commence le MoMa à NYC!!! Vraiment incroyable! NYC n'a vraiment pas peur de construire à l'avant garde. Il ne s'inquiètes pas des osties de NIMBY's!!! New York Times November 15, 2007 ARCHITECTURE Next to MoMA, a Tower Will Reach for the Stars By NICOLAI OUROUSSOFF A rendering of the Jean Nouvel-designed tower to be built adjacent to the Museum of Modern Art. The interior of Jean Nouvel’s building, which is to include a hotel and luxury apartments. Cass Gilbert’s Woolworth Building, William Van Alen’s Chrysler Building, Mies van der Rohe’s Seagram Building. If New Yorkers once saw their skyline as the great citadel of capitalism, who could blame them? We had the best toys of all. But for the last few decades or so, that honor has shifted to places like Singapore, Beijing and Dubai, while Manhattan settled for the predictable. Perhaps that’s about to change. A new 75-story tower designed by the architect Jean Nouvel for a site next to the Museum of Modern Art in Midtown promises to be the most exhilarating addition to the skyline in a generation. Its faceted exterior, tapering to a series of crystalline peaks, suggests an atavistic preoccupation with celestial heights. It brings to mind John Ruskin’s praise for the irrationality of Gothic architecture: “It not only dared, but delighted in, the infringement of every servile principle.” Commissioned by Hines, an international real estate developer, the tower will house a hotel, luxury apartments and three floors that will be used by MoMA to expand its exhibition space. The melding of cultural and commercial worlds offers further proof, if any were needed, that Mr. Nouvel is a master at balancing conflicting urban forces. Yet the building raises a question: How did a profit-driven developer become more adventurous architecturally than MoMA, which has tended to make cautious choices in recent years? Like many of Manhattan’s major architectural accomplishments, the tower is the result of a Byzantine real estate deal. Although MoMA completed an $858 million expansion three years ago, it sold the Midtown lot to Hines for $125 million earlier this year as part of an elaborate plan to grow still further. Hines would benefit from the museum’s prestige; MoMA would get roughly 40,000 square feet of additional gallery space in the new tower, which will connect to its second-, fourth- and fifth-floor galleries just to the east. The $125 million would go toward its endowment. To its credit the Modern pressed for a talented architect, insisting on veto power over the selection. Still, the sale seems shortsighted on the museum’s part. A 17,000-square-foot vacant lot next door to a renowned institution and tourist draw in Midtown is a rarity. And who knows what expansion needs MoMA may have in the distant future? By contrast the developer seems remarkably astute. Hines asked Mr. Nouvel to come up with two possible designs for the site. A decade ago anyone who was about to invest hundreds of millions on a building would inevitably have chosen the more conservative of the two. But times have changed. Architecture is a form of marketing now, and Hines made the bolder choice. Set on a narrow lot where the old City Athletic Club and some brownstones once stood, the soaring tower is rooted in the mythology of New York, in particular the work of Hugh Ferriss, whose dark, haunting renderings of an imaginary Manhattan helped define its dreamlike image as the early-20th-century metropolis. But if Ferriss’s designs were expressionistic, Mr. Nouvel’s contorted forms are driven by their own peculiar logic. By pushing the structural frame to the exterior, for example, he was able to create big open floor plates for the museum’s second-, fourth- and fifth-floor galleries. The tower’s form slopes back on one side to yield views past the residential Museum Tower; its northeast corner is cut away to conform to zoning regulations. The irregular structural pattern is intended to bear the strains of the tower’s contortions. Mr. Nouvel echoes the pattern of crisscrossing beams on the building’s facade, giving the skin a taut, muscular look. A secondary system of mullions housing the ventilation system adds richness to the facade. Mr. Nouvel anchors these soaring forms in Manhattan bedrock. The restaurant and lounge are submerged one level below ground, with the top sheathed entirely in glass so that pedestrians can peer downward into the belly of the building. A bridge on one side of the lobby links the 53rd and 54th Street entrances. Big concrete columns crisscross the spaces, their tilted forms rooting the structure deep into the ground. As you ascend through the building, the floor plates shrink in size, which should give the upper stories an increasingly precarious feel. The top-floor apartment is arranged around such a massive elevator core that its inhabitants will feel pressed up against the glass exterior walls. (Mr. Nouvel compared the apartment to the pied-à-terre at the top of the Eiffel Tower from which Gustave Eiffel used to survey his handiwork below.) The building’s brash forms are a sly commentary on the rationalist geometries of Edward Durell Stone and Philip L. Goodwin’s 1939 building for the Museum of Modern Art and Yoshio Taniguchi’s 2004 addition. Like many contemporary architects Mr. Nouvel sees the modern grid as confining and dogmatic. His tower’s contorted forms are a scream for freedom. And what of the Modern? For some, the appearance of yet another luxury tower stamped with the museum’s imprimatur will induce wincing. But the more immediate issue is how it will affect the organization of the Modern’s vast collections. The museum is only now beginning to come to grips with the strengths and weaknesses of Mr. Taniguchi’s addition. Many feel that the arrangement of the fourth- and fifth-floor galleries housing the permanent collection is confusing, and that the double-height second-floor galleries for contemporary art are too unwieldy. The architecture galleries, by comparison, are small and inflexible. There is no room for the medium-size exhibitions that were a staple of the architecture and design department in its heyday. The additional gallery space is a chance for MoMA to rethink many of these spaces, by reordering the sequence of its permanent collection, for example, or considering how it might resituate the contemporary galleries in the new tower and gain more space for architecture shows in the old. But to embark on such an ambitious undertaking the museum would first have to acknowledge that its Taniguchi-designed complex has posed new challenges. In short, it would have to embrace a fearlessness that it hasn’t shown in decades. MoMA would do well to take a cue from Ruskin, who wrote that great art, whether expressed in “words, colors or stones, does not say the same thing over and over again.”
  12. La banlieue attire les immigrants Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 20 mars 2009 Mots clés : Banlieue, Municipalité, Immigration, Canada (Pays) Les villes demandent des fonds pour mieux les intégrer Les immigrants habitent de plus en plus dans les banlieues de Montréal. La part des nouveaux arrivants installés dans la ville centre de la région métropolitaine est passée de 79 % à 67 % entre 2002 et 2006. L'«étalement démographique» s'observe aussi à Toronto et à Vancouver. Voilà une des étonnantes découvertes du récent rapport Immigration et diversité dans les villes et les collectivités canadiennes dévoilé hier à Toronto par la Fédération canadienne des municipalités (FCM). «La voix nationale des gouvernements municipaux canadiens», fondée en 1901, compte près de 1800 membres. «Les immigrants continuent de vivre pour la plupart dans les plus grands centres urbains et les plus instruits s'installent en nombre croissant dans les banlieues et les municipalités de plus petite taille, a résumé Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM. Ceux qui demeurent dans les grandes villes font face à des enjeux socioéconomiques beaucoup plus importants.» Bien que plus scolarisés que l'ensemble des Canadiens, les immigrants comptent davantage sur l'aide sociale et souffrent plus que les autres du chômage. Plus de quatre familles migrantes sur dix vivent avec de faibles revenus, soit trois fois plus que le reste des Canadiens. Le président Jean Perrault a donc demandé que les villes soient consultées «comme des partenaires» pour la définition des politiques et des programmes en matière d'immigration. Il a également réclamé des fonds des ordres supérieurs de gouvernement, sans toutefois chiffrer les besoins. «Les municipalités ne sont pas responsables de l'arrivée des immigrants et pourtant elles doivent en assumer une bonne partie des coûts», a-t-il dit. Il s'agit du cinquième rapport thématique sur la qualité de vie dans les villes canadiennes publié par la fédération. L'étude disponible sur le site fcm.ca porte sur les 24 plus grandes agglomérations du pays, dont celles de Montréal, de Laval, de Québec et de Gatineau au Québec. Au total, ces grandes villes reçoivent 85 % de toute l'immigration et 90 % de tous les réfugiés au Canada. La région métropolitaine de Montréal (et ses 3,5 millions d'habitants au total) a reçu près de 40 000 immigrants en 2006, ce qui la place au deuxième rang derrière Toronto. Québec intègre environ 2000 étrangers par année. En fait, les villes canadiennes atteignent des niveaux de diversité culturelle exceptionnels, même à l'échelle internationale. Toronto et Vancouver ont des populations plus diversifiées que toutes les autres grandes villes de l'Amérique ou de l'Australie. Montréal, Calgary et Edmonton font également partie des dix principaux pôles d'immigration en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2009/03/20/240661.html (20/3/2009 9H45)
  13. Le premier ministre Jean Charest affirme que les services aux citoyens seront protégés et que des mesures pour les travailleurs seront incluses dans le budget 2009-2010. Pour en lire plus...
  14. Smart licences now available for border-hopping Quebecers Last Updated: Monday, March 16, 2009 | 6:04 PM ET CBC News New driver's licence will be accepted instead of passport at land crossings. Quebec Premier Jean Charest showed off his "smart" driver's licence near the Canada-U.S. border on Monday as his province became the first in the country to issue the new border-friendly licences. Quebec Premier Jean Charest holds up his new, high-tech driver's licence near the Lacolle border crossing on Monday.Quebec Premier Jean Charest holds up his new, high-tech driver's licence near the Lacolle border crossing on Monday. (CBC) Quebecers who sign up for the enhanced licences will be able to use them instead of their passports at land and water crossings when the U.S. government brings in more strict security measures in June. "It doesn't solve all of the problems, but it goes a long way in making the lives of a number of our citizens simpler," said Charest at a news conference near the Lacolle border crossing south of Montreal. Charest said he wanted to set the example by becoming the first Quebecer to get the new licence, known as PC Plus. He said the licence will be especially handy for people who cross the border often. "Not everybody carries a passport with them everyday of their lives," said the premier. He also hopes the new licences, which are also being developed by states such as New York, will make it easier for Americans to travel to Quebec. "If there are five people, five kids and two parents, if they had to all pay for a passport it would be an expensive requirement for them to come here," said Charest. Charest aware of privacy concerns The new licence contains an electronic chip that when scanned gives border guards a special code. The guard can then punch the code into a computer to search a database for information about the cardholder. The information will include the same details contained on a passport such as address, birth date and name. Charest said the fact the card contains a code, instead of personal details, will help protect the privacy of individuals who sign up for the licence. The database will also be located on the Canadian side of the border. "[Privacy] is a serious issue. We believe we need to do what has to be done to protect the privacy of individuals," said Charest. The card will cost $40 on top of the standard government licence fees. It will be good for four years. A passport will still be required for air travel. Five Canadian provinces including British Columbia, Alberta, Saskatchewan and Ontario are already testing the technology or have licences in development. Saskatchewan has temporarily put its project on hold pending a review of potential privacy issues.
  15. De passage au Forum économique de Davos, le premier ministre Jean Charest dit prévoir de nouvelles mesures pour «soutenir l'emploi» dans le budget de mars prochain, quitte à plonger le Québec en déficit. Pour en lire plus...
  16. Le dossier du TGV Québec-Windsor, que Jean Charest destinait à la voie rapide voici 12 mois, n'a même pas quitté la gare cette année. Pour en lire plus...
  17. Ce deuxième rachat rapide au Québec va accroître la concurrence de McKesson Canada face à Jean Coutu et Pharmaprix. Pour en lire plus...
  18. Plusieurs acheteurs sur les rangs pour Uniprix 23 juillet 2008 - 06h29 La Presse Laurier Cloutier Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent. Non seulement le grossiste canadien McKesson Canada lorgne Uniprix, mais Metro-Brunet, de Montréal, et Katz Group of Companies, d'Edmonton, s'intéressent aussi à la première chaîne du Québec pour le nombre de pharmacies. «C'est McKesson qui est le plus motivé par l'acquisition d'Uniprix, mais Metro et le Katz Group seraient grandement intéressés aussi», déclare à La Presse Affaires un analyste financier d'un grand courtier canadien. McKesson doit se défendre contre les braconniers dans son marché, ajoute David Hartley, analyste de BMO Marchés de capitaux. Un peu lassée d'attendre l'acquisition souhaitée de la chaîne de supermarchés Safeway Canada, Metro miserait encore davantage sur l'expansion de Brunet, sa filiale de pharmacies, et leur grossiste McMahon, explique son collègue. Quant au Katz Group, ce leader nord-américain possède plus de 1800 pharmacies au Canada et aux États-Unis. En outre, Katz exploite Meditrust Pharmacy, seule entreprise canadienne de vente en ligne de produits pharmaceutiques. Par ailleurs, Katz ne compte encore aucun magasin au Québec, ni dans les Maritimes, note le premier analyste financier. Pas de surprise pour Jacques Nantel, professeur de commerce de détail et secrétaire général de HEC Montréal. Juste après l'acquisition de Proxim par McKesson le 1er juillet dernier, Jacques Nantel a en effet prononcé une conférence chez Uniprix sur la consolidation du secteur des pharmacies. Les chaînes de pharmaciens indépendants vont devoir se consolider, tout comme antérieurement celles dans l'alimentation et la quincaillerie, dit Jacques Nantel. Par ailleurs, un autre spécialiste du commerce de détail affirme que Metro manifeste un appétit tel pour l'expansion de Brunet que des dirigeants du groupe ont tenté d'acheter Proxim, raflée par McKesson Canada. Metro-Brunet a de plus discuté d'une acquisition avec Uniprix et même avec... Jean Coutu, ajoute ce spécialiste. Metro-Brunet a refusé de donner des détails hier, tout comme le Groupe Jean Coutu. De son côté, le porte-parole d'Uniprix, Pierre Gince, a lancé "qu'un autre gros acteur essaie d'acquérir une chaîne de pharmacies au Québec". Leader au Québec pour les ventes, avec 305 grandes pharmacies, Jean Coutu ne serait pas autorisé à acheter Uniprix par le Bureau canadien de la concurrence, déclare l'analyste financier qui ne veut être identifié. Par contre, Metro demeure en bonne santé financière, malgré la sévère concurrence que doit affronter sa filiale ontarienne A&P, et pourrait réaliser des synergies appréciables après l'acquisition d'Uniprix par Brunet, estime cet analyste. Les gammes de produits des supermarchés et des pharmacies se ressemblent souvent. En outre, contrairement au grossiste McKesson, Metro-Brunet possède une grande expertise dans le commerce de détail. Quant à Katz, sa structure d'exploitation s'apparente en partie à celle d'Uniprix, selon l'analyste, contrairement à celle de Shoppers-Pharmaprix. C'est toutefois McKesson qui offrirait le meilleur prix pour la bannière Uniprix, selon l'analyste, pour protéger son marché. Le grossiste approvisionne à la fois Uniprix et Proxim. Shoppers-Pharmaprix serait le groupe le moins intéressé par Uniprix, même si la chaîne compte près de 400 pharmacies. Joint aux États-Unis, Guy-M. Papillon, fondateur d'Essaim (la chaîne devenue Proxim), déclare que les pharmaciens sont enchantés du prix payé par McKesson. Le statu quo est inacceptable pour Uniprix, car la concurrence augmente et ses pharmaciens font moins d'argent, dit l'analyste. Le Québec offre un marché plus intéressant que les autres provinces, pour le nombre de prescriptions. L'acquisition d'Uniprix et de Proxim par McKesson pourrait entraver la croissance en cours de Jean Coutu et de Shoppers-Pharmaprix au Québec, dit David Hartley. Ces deux chaînes seraient davantage menacées, par contre, si Metro-Brunet entrait dans la danse en achetant Uniprix, selon lui.
  19. Jean prendrait bien 10 jours de vacances de plus au lieu d'une augmentation de salaire. Marie, elle, préfère bénéficier d'un service de conciliation travail-famille. Pour en lire plus...
  20. Trois dollars ou 35 cents? L'écart est grand entre la valeur accolée au titre de Rite Aid par le Groupe Jean Coutu et son cours actuel en Bourse. Pour en lire plus...
  21. L'investissement du Groupe Jean Coutu dans les pharmacies américaines Rite Aid continue de peser dans les résultats de l'entreprise québécoise, qui enregistre des pertes nettes de près de 400 millions de dollars au troisième trimestre. Pour en lire plus...
  22. La perte est alimentée principalement par une provision préliminaire de 357,8 M$ liée à Rite Aid. Pour en lire plus...
  23. Tours à bureaux: le marché avantage les locataires 29 décembre 2008 - 09h28 La Presse Laurier Cloutier Parce que les conditions économiques se détériorent rapidement, le marché des bureaux, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, tourne à l'avantage des locataires. Pourtant, la pénurie de locaux a soulevé l'inquiétude des locataires en 2008 à Montréal. La contrepartie, c'est qu'il faudra faire une croix sur les chantiers attendus de tours à bureaux à Montréal, et pour plusieurs mois. C'est l'évaluation que fait Jean Laurin, président et chef de la direction de GVA Devencore, de Montréal, une société canadienne spécialisée dans l'immobilier commercial. Les compagnies immobilières SITQ, Westcliff, Canderel, Magil-Laurentienne/Desjardins et Sidev n'ont pas encore trouvé le locataire principal pour lancer la construction de leur tour à bureaux respective. Les promoteurs devront patienter encore six mois, sinon jusqu'en 2010, estime Jean Laurin. Pourtant, au printemps de 2008, plusieurs s'attendaient à la construction d'une première de ces tours, en raison du plus faible taux d'inoccupation depuis longtemps à Montréal. Peu favorable à court terme «Le marché n'est plus favorable à court terme pour trouver ce locataire principal et amorcer la construction de cette tour à bureaux», note Jean Laurin. «La tempête économique remet tout en question: le plan d'affaires, l'organisation, la situation financière, déclare le président. Ça force à la réflexion.» Entre-temps, des promoteurs pourront par contre restaurer des immeubles existants, bien situés, dans quelques quartiers. Ils pourront ainsi en rénover au centre-ville, afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. D'autres en trouveront le long des lignes de métro. On pourra convertir des immeubles industriels en bureaux. Car pour les locataires, les économies vont prendre la tête des priorités, du moins à court terme, souligne Jean Laurin. «Ils vont mettre au congélateur le prestige et l'image de marque.» «Au cours des six premiers mois de 2009, il ne va rien se passer. Après, on verra d'abord quel type de reprise se dessine», déclare le président de Devencore. Les constructeurs pourront tout de même rénover de cinq à 10 immeubles à Montréal en 2009, avec un nombre de pieds carrés plutôt appréciable, estime Jean Laurin. Il faudra pour cela que des promoteurs aux reins solides découvrent de bons immeubles à restaurer, bien localisés. Place à la négociation Dans ce contexte en évolution rapide, des locataires de Montréal et d'ailleurs au Canada, avec des baux qui approchent de l'échéance, peuvent renégocier avec les propriétaires, ajoute le président. Pour garder un bon locataire, le propriétaire de l'immeuble va accepter de négocier un bail à la baisse. «De gros propriétaires en particulier s'adaptent rapidement à la nouvelle situation du marché. La tendance des prix est à la baisse», note Jean Laurin. Le président de Devencore revient de New York, où «la valeur des immeubles et les loyers ont baissé, pendant que le taux d'inoccupation des bureaux a augmenté au rythme de la dégradation des disponibilités financières des entreprises. Et à Londres, c'est encore pire», dit-il. «Au Canada, le taux d'inoccupation des bureaux devient relativement élevé et les pressions à la hausse sur les loyers se sont évaporées. À Calgary, à Vancouver et à Ottawa, le marché devient plus favorable aux locataires. À Toronto, des constructeurs ont même mis en chantier de nouvelles tours de 2,5 à 3,5 millions de pieds carrés, à livrer sur le marché en 2009 et 2010, ce qui favorisera aussi les locataires», explique Jean Laurin. À Montréal, le taux d'inoccupation a fini par augmenter légèrement, mais on ne trouve toujours pas sur le marché les grands blocs de locaux contigus recherchés, conclut le président de Devencore. LE MARCHÉ DES TOURS À BUREAUX Grands centres urbains (automne 2008) SUPERFICIE (pi2) / INOCCUPATION / TAUX LOCATIF Toronto: 64,8 millions / 6,8% / 45$/pi2 Montréal: 45,2 millions / 5,5% / 33$/pi2 Calgary: 34,5 millions / 3,8% / 50$/pi2 Vancouver: 24,3 millions / 2,4% / 52$/pi2 Ottawa: 16,9 millions / 2,3% / 39$/pi2 Source: GVA Devencore
  24. Les pharmacies Rite Aid ont beau avoir presque triplé leurs pertes au troisième trimestre, le Groupe Jean Coutu voit des signes encourageants. Pour en lire plus...
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